Ticia Mallory a écrit :Ce que je comprend mal c'est pourquoi ils disent qu'ils veulent l'héberger chez l'un d'eux...c'est impossible vu qu'ils ne sont pas sur leur terre.....
Voila c'est de ça qsue je trouve pas de solution... mais la suite je l'ai prévue c'est bon mais voila j'ai pensé que : Quinn sera logé dans un coin peu fréqiantable (où ? voila cette question que je te propose...) et que un ancien ami (surprise!) le dénonce car il l'a vu. Pour éviter les problèmes (sinon a quoi sa rime...) les autres du groupes laisse un moemnt d'inatention (ils sortent,etc...) pour que le police le capture... après tu vera...
Heu..oui...Moi perso je l'aurais mis au Chandler comme d'hab...
pcq c'est pareil l'ancien ami comme tu dis...il faudrait qu'il le confonde avec son double pour l'héberger....A ce moment la il faut que tu parle du double de quinn
Faudrait éviter les répétition (episode 1de la SV) et en plus ans l' épiosde 1SV le receptioniste était un peu loche ! Donc faudrait qu'il aie des soupcons...sinon c'est pas logique !
bon ecoute ce qu'on va faire...tu ecris ton script en entier a to n idée^^
et quand tu as fini on verra ce qu'il faut modifier ou pas....
c'est la meilleure méthode...
Ticia Mallory a écrit :bon ecoute ce qu'on va faire...tu ecris ton script en entier a to n idée^^
et quand tu as fini on verra ce qu'il faut modifier ou pas....
c'est la meilleure méthode...
Attend j'ai trouvé le scénar super extra ! Tu vas voir !
Vue du devant de la rue. Quinn en sort les mains dans les poches complètement déboussolé il commence à marcher machinalement en appuyant bien sur ses pas... il fait une dizaines de mètres pour que Wade sorte et le suive
Wade : Attends ! C’est pas en fuguant que ça va changer quelque chose !
Elle se met devant lui et arrête sa marche :
Wade : Et tu comptes faire quoi ? Rentrer chez toi ? Et si on te retrouve ? Comment on va pouvoir te trouver !
Quinn fait un geste de la tête pour faire signe qu’il est agacé que son amie ait raison…
Quinn : Alors…(énervé) tu proposes quoi ? Me rendre à la police ?
A son tour Wade commence à perdre patience…
Wade : Oh arrête ! Tu sais bien que…
Nos deux autres compagnons les rejoingnent , Arturo du mieux qu’il peut, précédé de Rembrandt
Rembrandt : Eh ! Partez pas comme ça ! Une seconde de plus et je ne vous aurais pas vu partir !
Arturo : Vous feriez mieux d’éviter ce genre de surprise M. Mallory, (essoufflements) cela éviterait qu’on se perdre !
Rembrandt : Bon on sait que c’est assez dur comme ça mais…
Rembrandt : Il s’arrête dans sa phrase, bouche bée, il fixe derrière l’épaule de Quinn. Ses compagnons le regardent avec étonnement, et suivent son regard qui vise le mur de l’autre côté de la rue , de grandes affiches fraîchement collées sur lesquelles le visage de Quinn avec les cheveux plus long et une petite barbe en plus y est imprimé avec la phrase : «Recherche Quinn Mallory, adepte de Religion, pour influence massive à la population. Si vous l’avez vu appelez le X06 175 84 21». Le petit groupe traverse la rue, tous trois sont aussi hébétés que Rembrandt et...par malchance un vieil homme s’approche dangereusement de nos glisseurs ... Trop tard il aperçoit déjà les affiches que nos amis auscultent puis les regarde plusieurs fois.
Quinn l’ayant remarqué, est plus que tendu, il est impossible de cacher la peur qu’il éprouve sur son visage même si il essaie tant bien que mal. Son cœur bat à une cadence infernale. Peu après, le reste du groupe est aussi dans ce genre de situation : Wade est prête à avoir des cheveux blancs, Arutro et Rembrandt en ont des frissons dans le dos. Le passant le regarde plusieurs fois en faisant des allers-retours avec son portrait sur le papier et notre héros. Puis il demande :
Passant : Si il vous plait jeune homme !
Quinn sous la pression ne peut répondre.
Wade : (en sourdine) Mais que ce que t’attends ! Fais quelque chose !
Quinn reprend ses esprits.
Quinn : Euh…oui ?
Passant : Vous ressemblez beaucoup à cette personne…vous êtes quelqu’un de la famille ?
Quinn répond de manière où l’on peut évidemment voir qu’il s’agit d’un mensonge enfantin :
Quinn : Euh non je ne crois pas…
Passant : Ah bon ?…Bon alors bonne journée !
Il s’en va. Dès qu’il est hors de leur champ de vision tout le monde se libère de cet excès de stress :
Quinn : Ouf...j’ai bien cru y passer !
Rembrandt : Hi hi hi ! T’aurai du voir ta tête c’était trop drôle !
Quinn : Ca va ! On voit bien que c’est pas toi qui va te repérer à chaque coin de rue puis passer sur la chaise électrique ou autre chose d’horrible qu’on te fait subir !
Rembrandt : Fallait pas prendre mal ! Mais dans la situation où on était il y avait de quoi rire !
Arturo : Si nous voulons que ce genre de situation se répète pas nous avons intérêt à trouver un endroit pour abriter M. Mallory en attendant notre prochaine glisse. Quelqu’un propose une idée ?
Quinn : (il pense à voix haute)Aller chez Doppler est risqué…impossible d’aller chez moi…non je ne vois pas…
Wade : Mis à part cher moi je connais des autres endroits mais plutôt trop fréquentée…donc tu vas te faire repéré dés le premier pas !
Arturo : Pour ma part je ne vois pas en particulier un lieu précis pour vous abriter sans vous faire attraper M.Mallory.
Rembrandt : Moi je crois avoir une idée !
Arturo : Laquelle ?
Rembrandt : Le Jazzking.
Quinn : Le jazzking ?
Rembrandt : Oui c’est un bon endroit pour éviter les ennuis !
Arturo : C’est une brasserie ?
Rembrandt : Oui ! Et avec un peu de chance c’est possible qu’on me connaisse et qu’on me trouve un local pour t’y mettre Quinn.
Quinn : C’est sans risque ?
Rembrandt : Mais oui ! Tant fais pas ! C’est à l’autre côté de la ville !
Wade : Alors allons y en taxi ! C’est sur qu’il y aura pas de problème ! Suffit juste que tu te mettes dans un coin et c’est bon !
Arturo : Essayons…
Rembrandt se met au bord de la route et appelle le premier taxi qui arrive…ils y entrent et ensuite la voiture redémarre et continue le rue…
Voici la suite ! Aussi pense à cahnger le titre du sujet !
Séquence 7 – Rue –Ext.jour
Vue de haut sur véhicule qui se garent dans une grande rue commerçante. Rembrandt sort le premier puis le professeur sort :
Arturo : En voila fini avec ses embouteillages ! Je suis bien contant de pouvoir me déplier après autant de temps !
Wade commence à sortir :
Wade : Trois heures et demi ! C’est vrai que ça se mérite !
Rembrandt fait signe d’indiquer le lieu parlé précédemment, à quelques pas d’eux.
Rembrandt : Voila c’est ici.
Le jazzking prend des aires de boite de nuit sans pourtant en avoir l’ambiance, au travers des vitres on peux voir une scène demi-circulaire blanc posé dans un coin de la salle où tables et chaises l’entourent. A gauche, le bar apparaît et sur le mur où il est posé, la porte des cuisines est entrouverte. Pendant ce temps Wade fait signe au chauffeur de rester sur place et se panche pour parler à Quinn qui est resté dans la voiture :
Wade : Reste dans la voiture on te fera signe de sortir mais faudra faire vite !
Quinn : D’accord…
Wade se reproche de lui puis lui chuchote :
Wade : Et essaie d’être discret.
Puis elle ferme la portière. C’est après que le conducteur réagit :
Chauffeur : Je vous est pas déjà vu quelque part ?
Quinn : Euh…
Tout en avancent vers l’entrée, Rembrandt raconte sont histoire :
Rembrandt : C’est là dedans que j’ai passé de bon moments, depuis que je m’était installé à San Fransico je chantais avant les premiers concert de mon nouvel album lorsque aucune personne était prévu d’être sur l’estrade et en plus chaque « concert » faisait fureur et tout le monde en redemandait ! C’était le nirvana ! Franchement c’est rare de voir un public si enthousiaste ! Puis le soir le boss m’offrait un bière et on parlait jusqu'à tard dans la nuit…
Rembrandt ouvre la porte :
Rembrandt : Mais maintenant à savoir si il me connaît…
Tout les trois entrent il attendent peu de temps pour que un homme noir rasé portant des lunettes avec une grosse barbe sorte de la porte des cuisine et s’exclament :
Karl : Hé Rembrandt ! Ca fait plaisir de te revoir !
Rembrandt : Ah salut Jim ! Alors toujours le même !
Karl : Euh…je m’appelle Karl…qu’est ce qui vas pas ? T’as des trou de mémoire ou tu t’es cogné la tête contre les murs toute la semaine ?
Sur ce petit détail gênant notre chanteur et ses compagnon s’efforce de rire avec des regards venant de Wade voulant dire d’éviter de répéter se genre de d’imprudence.
Karl : Bon qu’est ce qui t’emmène ici mon ami ? Encore un concert ? Tu sais bien que ce n’est pas le moment…
Rembrandt : Non non c’est pas pour ça, en fait je suis venu pour savoir si tu avait assez de place dans ton sous sol pour installer mon nouveau piano pour mon prochain vinyle et…
Karl : Attend attend attend…tu as toujours détesté jouer du piano ! Tu avait même dit que c’est le pire instrument qu’il existe ! Pire que le saxophone !
Un long silence…Wade le fusille du regard lui demandant de trouver une réponse en vitesse. Rembrandt s’approche du double de Jim d’un air sur de lui et lui tapote l’épaule :
Rembrandt : Eh ben…il y a un début un tout ! Alors c’est possible ?
Karl : Euh…(moment de réflexion) oui oui c’est possible. Juste le temps que je récupère les clés et…
Karl part les chercher en rerentrant dans les fournaux. Pendant ce temps Arturo et Wade commentent se passage à notre imprudent personnage tout ça dans un chuchotement :
Wade : Tu vas tout faire rater ! Tu te rend compte de ce que tu as faillit faire !
Rembrandt : Mais je…
Arturo : Eviter ce genre d’erreur, cela pourrait être fatal à notre ami !
Rembrandt : C’est facile pour vous si vous croyez que je fais des « sans fautes » à chaque fois ! En plus…
Karl ressort et montre un trousseaux assez chargé de clés. C’est à quelques secondes au paravent que chacun s’efforcent de se taire.
Karl : Je les ais. Maintenant attendez que j’ouvrer la porte…
Il s’exécute. Les clés ne cessent de faire un bruit jusqu'à ce que la voie de la cave est ouverte :
Glisseur Interdimentionel a écrit :Voici la suite ! Aussi pense à changer le titre du sujet !
Séquence 7 – Rue –Ext.jour
Vue de haut sur un taxi qui se gare dans une grande rue commerçante. Rembrandt sort le premier suivi du professeur:
Arturo : En voila fini avec ces embouteillages ! Je suis bien content de pouvoir me déplier après autant de temps !
Wade commence à sortir :
Wade : Trois heures et demi ! C’est vrai que ça se mérite !
Rembrandt indique le lieu parlé précédemment, à quelques pas d’eux.
Rembrandt : Voila c’est ici.
Le jazzking a des airs de boite de nuit sans pourtant en avoir l’ambiance, au travers des vitres on peux voir une scène demi-circulaire blanche installée dans un coin de la salle où des tables et des chaises l’entourent. A gauche, le bar apparaît , la porte des cuisines est entrouverte. Pendant ce temps Wade fait signe au chauffeur de rester sur place et se penche pour parler à Quinn qui est resté dans la voiture :
Wade : Reste dans la voiture on te fera signe de sortir mais il faudra faire vite !
Quinn : D’accord…
Wade se rapproche de lui puis lui chuchote :
Wade : Et essaie d’être discret.
Puis elle ferme la portière. C’est après que le conducteur réagit :
Chauffeur : Je ne vous ai pas déjà vu quelque part ?
Quinn : Euh…
Tout en avançant vers l’entrée, Rembrandt raconte son histoire :
Rembrandt : C’est ici que j’ai passé de bon moments, quand je m’étais installé à San Fransico, je chantais ici les premières chansons de mon nouvel album lorsque l'estrade était libre...Chaque « concert » faisait fureur et tout le monde en redemandait ! C’était le nirvana ! Franchement c’est rare de voir un public si enthousiaste ! Puis le soir le boss m’offrait un bière et on parlait jusqu'à tard dans la nuit…
Rembrandt ouvre la porte :
Rembrandt : Mais maintenant à savoir si il me connaît…
Tout les trois entrent...Ils attendent peu de temps avant qu'un homme noir rasé portant des lunettes avec une grosse barbe sorte de la porte des cuisine et s’exclame :
Karl : Hé Rembrandt ! Ca fait plaisir de te revoir !
Rembrandt : Ah salut Jim ! Alors toujours le même !
Karl : Euh…je m’appelle Karl…qu’est ce qui vas pas ? T’as des trous de mémoire ou tu t’es cogné la tête contre les murs toute la semaine ?
Sur ce petit détail gênant notre chanteur et ses compagnons s’efforcent de rire sous le regard de Wade voulant dire d’éviter de répéter ce genre d’imprudence.
Karl : Bon qu’est ce qui t’amènes ici mon ami ? Encore un concert ? Tu sais bien que ce n’est pas le moment…
Rembrandt : Non non c’est pas pour ça, en fait je suis venu pour savoir si tu avais assez de place dans ton sous-sol pour installer mon nouveau piano pour mon prochain vinyle et…
Karl : Attends attends attends…tu as toujours détesté jouer du piano ! Tu as même dit que c’est le pire instrument qui existe ! Pire que le saxophone !
Un long silence…Wade le fusille du regard lui demandant de trouver une réponse en vitesse. Rembrandt s’approche de Karl d’un air sur de lui et lui tapote l’épaule :
Rembrandt : Eh ben…il y a un début un tout ! Alors c’est possible ?
Karl : Euh…(moment de réflexion) oui oui c’est possible. Juste le temps que je récupère les clés et…
Karl part les chercher en passant par la cuisine. Pendant ce temps Arturo et Wade commentent ce passage à notre imprudent glisseur en chuchotant :
Wade : Tu vas tout faire rater ! Tu te rends compte de ce que tu as failli faire !
Rembrandt : Mais je…
Arturo : Il serait préférable d'éviter ce genre d’erreur, cela pourrait être fatal à notre ami !
Rembrandt : C’est facile pour vous...vous croyez que je fais des « sans fautes » à chaque fois ! En plus…
Karl ressort et montre un trousseau de clés assez chargé.
Karl : Je les ais. Maintenant attendez que j’ouvre la porte…
Il s’exécute. Les clés ne cessent de faire un bruit jusqu'à ce que la porte de la cave s'ouvre :
Karl : Voilà je vous montre le coin…suivez moi !
Et le reste de la troupe le suivent…
Bon.....ATTENTION AUX FAUTES- je te jure que je vais finir par m'arracher les cheveux à tout corriger!!!!!
Le texte ne lui même est pas mal mais je trouve que tu laisse trop Quinn de coté...On se demande à quoi il sert...Quand à Wade elle est vachement autoritaire contrairement à d'habitude...Depuis le début de ton script elle rale sur Quinn puis sur Rembrandt- on dirait qu'elle veut tout controler (c'est l'impression que cela me donne)....Mais jusqu'ou ira t-elle???
Pour le Jazzking - bonne description on peut bien voir le lieu....
Pour le début la premiere phrase tu remarqueras que j'ai changé le mot véhicule par Taxi sinon ca va pas avec le chauffeur....
