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Ah ! Si On Etait Riches
Titre original : In a World Where the Kings Are Employers
Saison 5 - Episode 15 | N° dans la série : 103 | N° de Production : 515
1ère Diffusion (Originale) : 22/02/2009 - (Française) : 21/05/2009

Résumé

Susan commence son nouveau travail mais lorsqu’elle se rend compte que Mike laisse son fils à Katherine, sa jalousie prend le dessus. Chez les Scavo, la pizzeria est proche de la faillite ce qui oblige Lynette à envisager la vente du restaurant. De son côté, Gaby découvre le vrai visage de Bradley Scott, le patron de Carlos, et décide de le faire chanter.
Quant à Dave, il invite Katherine et Mike à faire une sortie camping mettant en place l’exécution de son plan.


Synopsis de l'épisode

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Distribution & Production principale
Scénariste(s) : Lori Kirkland Baker

Réalisateur(s) : David Grossman

Acteurs présents : Ricardo Antonio Chavira (Carlos Solis), Marcia Cross (Bree Van De Kamp Hodge), Dana Delany (Katherine Mayfair), Jamie Denton (Mike Delfino), Teri Hatcher (Susan Mayer Delfino), Felicity Huffman (Lynette Scavo), Eva Longoria (Gabrielle Marquez Solis Lang), Kyle MacLachlan (Orson Hodge), Neal McDonough (Dave Williams), Shawn Pyfrom (Andrew Van De Kamp), Doug Savant (Tom Scavo), Nicolette Sheridan (Edie Britt)

Guest Star(s) Récurents : Kendall Applegate (Penny Scavo) [x14], Charlie Carver (Porter Scavo) [x18], Max Carver (Preston Scavo) [x29], Maria Cominis (Mona Clark) [x7], Mason Vale Cotton (Mayard "M.J" Delfino) [x8], Todd Grinnell (Dr Alex Cominis) [x6], Joshua Logan Moore (Parker Scavo) [x11]

Guest Star(s) : Davis Gaines (Comptable), Megan Hilty (Shayla Grove), Leslie Karpman (Debbie, la serveuse), Michael Merton (Jewerly Clerk), Erin O'Shaughnessy (Réceptioniste), Perry Ojeda (Serveuse), Ion Overman (Maria Scott), David Starzyk (Bradley Scott), Billy Welch (Gary)

Notes de production

* Notes :
- Le titre donné est celui de Canal+, celui de M6 est "Une Journée de Travail".
- Dates des diffusions internationales :
● Amérique Latine : le 13 mai 2009 sur Sony Entertainment Televison (Canal Sony).
● Australie : le 25 mai 2009 sur Channel Seven/7HD.
● Les Pays-Bas : le 18 août 2009 sur Net5.
● Allemagne : le 23 septembre 2009 sur ProSieben.

* Erreur :
- Lorsque M.J. raconte à Susan que Katherine lui a appris à jouer au black jack, il dit que ce qu’il en a retenu c’est qu’il faut toujours doubler la mise lorsque l’on a une paire d’as. Or, dans le vrai jeu du black jack, lorsque l’on a une paire d’as, il faut diviser la mise et non pas la doubler.

* Allusion :
- Le titre de l’épisode en version originale, “In a World Where the Kings are Employers”, est une phrase de la chanson Liaisons tirée de la comédie musicale A little night music de Stephen Sondheim, datant de 1973 et d’après le film Sourires d’une nuit d’été d’Ingmar Bergman.

* Citations :
Mary Alice (en voix d’ouverture) :
- Ce n’est pas compliqué de repérer une mère de famille qui travaille. Il suffit de chercher une femme qui s’habille à toute vitesse, qui avale son petit déjeuner en courant à sa voiture et qui se maquille dans le rétroviseur. Mais le plus sur pour repérer une mère de famille qui travaille, c’est de chercher un enfant (M.J. est en pyjama, se tient le ventre et vomi) qui tombe malade au plus mauvais moment. (Susan amène M.J. chez Mike.) Non, ce n’est pas compliqué de repérer une maman qui travaille. Il suffit de chercher une femme qui part de chez elle tous les matins en se sentant terriblement coupable.

Mary Alice (en voix d’ouverture) :
- Ça commence dès que la nuit est tombée. Après une longue journée au bureau, des gens fatigués reprennent le chemin de la maison. Certains sont attendus par un fidèle compagnon, d’autres sont accueillis avec un cocktail ou d’autres encore avec un dîner prêt à être servi. Et puis, il y a ceux et celles qui ne rentrent que d’une longue journée de travail que pour avoir (Susan lit le mot de Katherine accroché à sa porte.) une désagréable surprise.

Susan : - Ça va mieux ?
M.J. : - Oui. Katherine m’a fait de la soupe et elle m’a lu une histoire, et elle m’a appris à jouer au black jack.
Katherine : - Et qu’est-ce que tu as retenu ?
M.J. : - Toujours doubler la mise quand on a une paire d’as.
Susan (les dents serrées) : - Trop chou.

Orson : - Est-ce du cristal taillé ? Cette coupe est ravissante.
Alex : - Andrew encore. Il a réellement des goûts de luxe. Heureusement qu’il a une paye de ministre.
Orson : - Ah oui ?
Alex : - Oui, depuis que vous lui avez donné cette augmentation.
Bree : - Oh, ces amuse-gueules sont un délice. Sont-ils faits maison, Alex ?
Alex : - Euh, c’est juste un mélange pour fête.
Bree : - Oh !
Orson (à Bree) : - Tu lui as donné une augmentation ?
Bree : - Je lui ai donné un très léger coup de pouce.
Alex : - Très léger n’est pas l’expression qui convient à cette incroyable générosité.

Gabrielle au dîner avec Carlos, son patron et la femme de celui-ci :
- Hou, un dîner sans les enfants ! C’est chouette de dîner sans que l’on vous jette des nouilles.

Bradley Scott (parlant de Carlos) : - Gaby, je sais que je me repose beaucoup sur lui et j’espère que ce n’est pas un problème qu’il soit aussi souvent parti.
Gabrielle : - Oh mais je serais nettement plus disposée au pardon quand j’aurais vu son chèque de bonus.
Carlos : - La seule personne plus enthousiaste que Gaby pour ce bonus, c’est son bijoutier.

Gabrielle (après avoir appris que Carlos n’aurait pas de bonus) : - C’est donc ça sa récompense ? Une salade et un blanc de poulet farci ?
Bradley Scott : - Espérons que l’année prochaine soit meilleure.
Gabrielle (agrippant le serveur par le bras) : - On est prêt pour le dessert. Vous mettrez dix homards dans un sac.

Tom (s’adressant au personnel de la pizzeria) : - Hey, tout le monde. Tout le monde, vous enlevez votre tablier. Et, vous vous asseyez près de la vitrine.
Lynette : - C’est quoi ça ?
Tom : - C’est de la psychologie. (S’adressant à son personnel.) Dépêchons, allez, allez, allez. Ecoutez-moi. Personne n’a vraiment envie de rentrer dans une pizzeria vide, n’est-ce pas ? Alors, voilà ce que nous allons faire. Dès que vous voyez quelqu’un passer devant le resto, vous riez fort et ayez l’air de vous éclatez parce que c’est ça qui les attirera.
Lynette : - Donc là on se retrouve avec des clients bidon réfléchissant à ce qu’on pourra faire avec l’argent bidon qu’on va ramasser.

Le directeur de la banque : - Je ne peux vous communiquer aucune information sans ce mot de passe que, de toute évidence, vous ne connaissez pas.
Orson : - Dans ce cas, posez-moi une autre question. Demandez-moi sa date de naissance ou bien son numéro d’assuré social.
Le directeur de la banque : - Au revoir, monsieur.
Orson : - Ou bien sa vraie couleur de cheveux. Et puis croyez-moi, ça n’est pas celle que vous croyez !

Parker (après que Tom ait demandé aux enfants de venir travailler à la pizzeria) : - Au risque de passer pour un enfant gâté, non.
Tom : - Oh mais Parker, ce sera génial ! On va adorer bosser tous ensemble.
Porter : - Pourquoi ? Déjà qu’on n’aime pas vivre ensemble.
Tom : - La main d’œuvre, c’est ce qui nous coûte le plus cher. Si on arrive à s’en passer, on va recommencer à faire des bénéfices.
Preston : - Quoi, tu ne nous fileras pas de tunes ?
Penny : - Hey, mais j’ai neuf ans. Tu es sûr que c’est légal ?
Tom : - Je crois que oui. Mais on va éviter les ennuis, tu as quinze ans. Bon anniversaire, chérie !

Tom : - Tu as dit que vous étiez tous avec moi, tu as même dit à 100%.
Lynette : - Tu es sûr ? Ça ne me ressemble pas.

Porter : - Je te préviens, dans trente ans, quand toi et papa serait vieux et faibles…
Lynette : - Vous nous placerez dans la maison de retraite la moins chère que vous trouverez, oui, c’est noté.

Orson : - Huh ! Tonnerre McFadden. C’est tordant !
Bree : - Qu’est-ce que c’est?
Orson : - Mon pseudo de star du porno. (Regard outrée de Bree.) Non, un ami m’a envoyé un mail. Tu associes le nom du chien que tu avais étant enfant à la rue où tu habitais, et voilà tu as le nom que tu porterais si tu faisais du porno. Donc moi, c’est Tonnerre McFadden. Mon copain, lui, c’est Snoop Windermere. Et ce serait quoi pour toi ?
Bree : - Orson, je prépare un buffet pour 200 convives. Tu crois que j’ai le temps de réfléchir à mon hypothétique carrière dans l’industrie du film pour adulte ?
Orson : - D’accord. Mais sache que c’est pour ça que beaucoup te trouvent trop rigide : tu as du mal à te lâcher et à rigoler.

Maria Scott : - Je vais acheter un club de golf.
Gabrielle : - Une batte de baseball est moins chère qu’un club. Peut-être que je devrais vous laissez finir.
Maria Scott : - Je n’y connais rien en club de golf, en revanche je sais que Carlos s’y connaît. Alors j’ai pensé que tous les deux, vous pourriez enquêter pour savoir quel modèle aimerait Brad.
Gabrielle : - Oh, c’est un cadeau ! Bien sur, oui, on vous aidera avec plaisir. C’est pour quelle occasion ?
Maria Scott : - Rien en particulier. J’ai seulement envie de le remercier d’être un si bon mari.
Gabrielle : - Cela dit, ne dépensez quand même pas trop. Une carte ferait aussi bien l’affaire.

Carlos : - Brad me file un énorme bonus et tu le remercies en disant à sa femme qu’ils ont besoin d’une thérapie conjugale !
Gabrielle : - Je suis désolée, mais ça leur ferait un bien fou !
Carlos : - Mais ce n’est pas tes oignons, leur mariage. Et puis, ils ont l’air très heureux comme couple.
Gabrielle : - Qui ? Lui et Maria ou lui et la blonde que je lui ai vu embrasser hier.
Carlos : - Quoi ? Mais tu délires !
Gabrielle : - Si je te le dis. Et Brad aussi m’a vu. Pourquoi tu crois que ton bonus est passé en un jour du blanc de poulet farci à 30 000 dollars ?
Carlos (comprenant ce que Gaby a fait) : - Oh nom de Dieu ! Hey, c’est illégal. Il n’y a que moi qui ai pu avoir un bonus et ça parce que tu l’as fait chanter.
Gabrielle : - Y a pas de quoi !

Gabrielle : - Tu viens de le dire, ce qui se passe entre eux, ce n’est pas nos oignons. C’est lui qui la trompe. Si on dit quoi que ce soit, ça ne fera qu’aggraver la situation. Les gentils, dans l’histoire, c’est nous.
Carlos : - Tu crois ? Vue d’ici, ce n’est pas l’impression que j’ai.

Susan : - Allez, on rentre.
M.J. : - Mais on allait faire des brownies pour le dessert.
Susan : - Mais on peut en faire chez nous, mon chéri.
M.J. : - Ceux en boîte ? Katherine, elle dit que ceux-là, c’est pas des vrais.
(Susan regarde Katherine avec insistance.)
Katherine : - Sauf, bien sur, si ta maman les fait avec tout l’amour qu’elle a dans le cœur.
Susan : - Très habile !

Mary Alice (en voix de clôture) :
- Ça commence dès que le jour s’est levé. Après une bonne nuit de sommeil, les gens quittent leur foyer pour aller travailler. Et s’ils le font, c’est pour améliorer le quotidien de leur famille. Pour pouvoir s’acheter de jolies choses et pour avoir une raison de se lever le matin. Et une fois leur journée de travail terminée, ils rentrent chez eux, fatigués. Et certains se mettent à compter les jours qui les séparent de leurs prochaines vacances.
Membres additionnels de la production

Producteur exécutif : Matt Berry (II), Marc Cherry, Alexandra Cunningham, Bob Daily, David Grossman, Joey Murphy, John Pardee, George W. Perkins, Larry Shaw, Sabrina Wind
Co-producteur exécutif : Dave Flebotte, Lori Kirkland Baker
Producteur : Stephanie Hagen, Charles Skouras III
Producteur superviseur : Jamie Gorenberg
Producteur consultant : Jeff Greenstein, Joe Keenan
Musique : Steve Jablonsky
Montage : Andrew Doerfer
Directeur de la photographie : Eric Van Haren Noman
Création des décors : P. Erik Carlson
Producteur associé / délégué : Dana N. Wilson
Analyse du scénario : Jordon Nardino

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Ajoutée le : 27/02/2009 à 22:32 -Mise à jour le : 20/06/2015 à 16:37