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Epouse-Moi... Un Peu
Titre original : Marry Me a Little
Saison 5 - Episode 22 | N° dans la série : 110 | N° de Production : 522
1ère Diffusion (Originale) : 10/05/2009 - (Française) : 11/06/2009

Résumé

Bree et Karl mettent au point leur complot contre Orson en simulant un cambriolage alors que Gaby emmène Juanita, suite à son comportement de petite fille gâtée, dans une cantine pour les plus démunis et y retrouve une vieille connaissance.
Susan et Jackson annoncent aux habitants de Wisteria Lane qu’ils vont se marier ce qui donne des idées à Mike et Katherine. Tandis que Tom, se trouvant trop vieux, veut se faire un lifting du visage et Lynette tente de le convaincre qu’il n’en a pas besoin.
De son côté, Dave cherche, par tous les moyens, à se débarrasser de Jackson et Susan va lui donner la solution.


Synopsis de l'épisode

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Distribution & Production principale
Scénariste(s) : Jason Ganzel

Réalisateur(s) : Larry Shaw

Acteurs présents : Ricardo Antonio Chavira (Carlos Solis), Marcia Cross (Bree Van De Kamp Hodge), Dana Delany (Katherine Mayfair), Jamie Denton (Mike Delfino), Teri Hatcher (Susan Mayer Delfino), Felicity Huffman (Lynette Scavo), Eva Longoria (Gabrielle Marquez Solis Lang), Kyle MacLachlan (Orson Hodge), Neal McDonough (Dave Williams), Doug Savant (Tom Scavo)

Guest Star(s) Récurents : Daniella Baltodano (Celia Solis) [x48], Richard Burgi (Karl Mayer) [x20], Mason Vale Cotton (Mayard "M.J" Delfino) [x8], Madison De La Garza (Juanita Solis) [x13], Jeff Doucette (Père Crowley) [x10], Gale Harold (Jackson Braddock) [x12], Joshua Logan Moore (Parker Scavo) [x11]

Guest Star(s) : Todd Cahoon (Bill Brown), Nancy Linari (Evelyn), Thomas Lumberg Jr. (Agent de l'immigration), Wendy Makkena (Fran Shillman), Paul Ryan (Bruce), Robert W. Sudduth (Eric), Biff Wiff (Homme sans abri)

Notes de production

* Notes :
- Le titre donné est celui de Canal+, celui de M6 est "Tomber le Masque".
- Joshua Logan Moore (Parker Scavo) apparaît dans l'épisode mais n’a pas de lignes de dialogue et Daniella Baltodano (Celia Solis) ne prononce pas un mot et ne fait que des signes de tête.
- Cet épisode marque la 100ème apparition de James Denton en tant que Mike Delfino.
- Quand Jackson demande à Susan de ne pas dire aux autres que leur mariage est faux, elle devrait être au courant quelle ne peut pas le dire car dans la saison 2, elle a épousé Karl dans le but d’obtenir une assurance santé.
- Dates des diffusions internationales :
● Amérique Latine : le 1er juillet 2009 sur Sony Entertainment Television (Canal Sony).
● Australie : le 20 juillet 2009 sur Channel Seven/7HD.
● Les Pays-Bas : le 6 octobre 2009 sur Net5.
● Finlande : le 12 octobre 2009 sur Nelonen.

* Allusion :
- Le titre de l’épisode en version originale, “Marry Me a Little”, est une chanson de la comédie musicale Company (1970) dont la musique et les paroles sont de Stephen Sondheim. Bien que la chanson ne fasse pas partie de la partition originale représentée à Broadway, elle a été ajoutée à toutes les autres productions ultérieures. "Marry Me a Little" est également le titre de deux autres chansons faisant parties de deux autres comédies musicales de Stephen Sondheim.

* Citations :
Bree : - Tu me demandes de cambrioler ma maison ?
Karl : - Pas exactement. Je pensais embaucher mon copain Toni pour ça.
Bree : - Il n’en est pas question. Je suis partante pour tout ce qui est tricherie comptable, ouverture de compte en banque secret mais de là à embaucher un truand pour simuler un cambriolage !
Karl : - Vous êtes marié sous le régime de la communauté de biens. Orson aura droit à la moitié de tout. Que ce soient tes bijoux, tes œuvres d’art, tes meubles d’époques.
Bree : - Il serait plus simple de le tuer, qu’en penses-tu ?
Karl : - En tant qu’avocat, je ne te le conseillerais pas. Cela dit j’ai un cousin qui se ferait un plaisir de…
Bree : - Je plaisantais.
Karl : - Moi aussi, détends-toi, ma petite biche.
Bree : - Avec toi, on ne sait jamais. Et ne m’appelle pas ta petite biche.
Karl : - Si tu n’es pas d’accord pour embaucher Toni, pourquoi on ne ferait pas le boulot nous-mêmes ? Je parie que t’es sexy avec un masque de ski.
Bree : - Tu es vraiment répugnant.

Mary Alice (en voix d’ouverture) :
- Des masques. On en trouve dans toutes les maisons. Certains sont utilisés une fois par an pour faire peur aux voisins, d’autres sont nécessaires pour certains travaux, certains sont appliqués un jeudi sur deux. Et puis, il y a le genre de masque que certains hommes portent en permanence. C’est un sourire amical qui cache les intentions les plus malsaines.

Gabrielle (regardant le vase qu’elle vient d’acheter) :
- C’est une pièce étonnante, un bijou. Il est simple et élégant. (S’adressant à Celia) Tu ne trouves pas (Celia fait oui de la tête) ? C’est vrai qu’il était un peu cher mais… une telle merveille, ça n’a pas de prix. Pas vrai (Celia fait oui de la tête). Alors quand papa va savoir combien j’ai dépensé, tu voudras bien me servir de bouclier humain (Celia fait oui de la tête) ? Toi, faut vraiment que je t’emmène voir un psy.

Juanita : - Je t’ai entendu parler à tante Bree. T’as dit qu’on roule sur l’or depuis que papa a trouvé ce travail.
Gabrielle : - Et ben, maman n’aurais jamais dû dire ça. C’est quand tante Bree s’est vantée d’avoir un nouveau sac à main, maman a disjoncté.
Juanita : - On s’en fout. Je veux un lit à baldaquin alors tu dois m’en acheté un.
Gabrielle : - Je ne dois rien t’acheter du tout. Arrête de te comporter comme une gamine pourrie gâtée. Je ne paierais pas une fortune pour un lit dont t’as pas besoin.
Juanita : - Oh, par contre tu peux payer des millions de dollars pour un vase inutile.
Gabrielle : - Il est pas inutile ce vase.
Juanita (se tournant vers Celia) : - Il est inutile son vase ? (Celia fait oui de la tête.)
Gabrielle : - Ça suffit, maintenant, tu vas te taire et monter dans ta chambre (Juanita s’en va et Gaby s’adresse à Celia). Toi aussi, l’hypocrite.

Jackson : - Voilà, mes fringues sont dans le placard, il me reste plus qu’à mettre ma brosse à dent dans la salle de bain.
Susan : - Laisse la lunette des toilettes levée, les agents de l’immigration comprendront tout de suite qu’on est marié.

Susan : - Pendant que nos amis lèveront leur verre en nous souhaitant plein de bonheur, on pourra crier : « Surprise, c’était une farce, merci les amis pour la cagnotte. »
Jackson : - Non, non, non. On dit à personne que c’est un mariage blanc, ça ferait tout capoter.
Susan : - Je le dis au moins aux filles.
Jackson : - Surtout pas. Gabrielle, y a pas pire commère.

Tom : - C’est ça, moi je suis un dinosaure, un vieux fossile qui sert plus à rien.
Lynette : - Non, qui a dit ça ? Et ne compte pas trop sur moi pour compatir, je te rappelle que j’ai vécu la même chose.
Tom : - Tu m’as pas dit à quel point ça fait mal, bon sens. Encore un truc que t’as oublié de me dire. On était une cinquantaine à se présenter ce matin pour ce poste et moi, j’ai dix ans de plus que tous les autres candidats, minimum. Et j’ai parfaitement entendu le tweesting commando quand je suis parti.
Lynette : - Ouais, tu veux dire tweetoring (Tom lui lance un regard méchant). Pardon. Pitié, me frappe pas.
Tom : - J’ai entendu une porte se fermer aujourd’hui, Lynette. C’est officiel, mon heure est passée, dépassée, je ne vaux plus rien. Je suis foutu.
Lynette : - Oh, c’est pas vrai, attends, qu’est-ce que c’est que ce cinéma ? Arrête de t’apitoyer sur ton sort, tu es tout de même Tom Scavo, n’oublie pas ça.
Tom : - Et alors ?
Lynette : - Désolée, j’ai rien d’autre. Viens, on va manger.

Père Crowley : - Qu’est-ce qui vous amène dans nos cuisines, Gabrielle ?
Gabrielle : - Et bien, je voudrais que Juanita travaille avec les pauvres. Je veux qu’elle prenne conscience de la valeur des choses et de la chance qu’elle a.
Père Crowley : - Un coup de main est toujours le bienvenu et quatre mains d’un coup, c’est formidable.
Gabrielle (rigolant) : - Moi ? Non. Je suis pas habillée comme il faut pour travailler mais je peux m’asseoir près du comptoir à épices et parfumer les gens au passage.
Père Crowley : - Et vous dites que Juanita doit apprendre la valeur des choses…

Gabrielle : - Non, mais t’imagines. Il y a sept ans, Evelyn meublait la maison de Fran et maintenant, plus de maison.
Carlos : - C’est dingue ! Tu lui as demandé ce qui s’était passé ?
Gabrielle : - Non, je voulais pas qu’elle soit gênée.
Carlos : - Tu l’aperçois faisant la queue pour avoir de la soupe, elle pouvait pas être plus gênée que ça.
Gabrielle : - Tu te rappelles cette réception qu’elle a donnée une fois. Elle avait vingt services différents en porcelaine véritable. Comment ça peut arriver quand on a autant de belle vaisselle ?
Carlos (montrant ce que Gaby veut acheter) : - Hey, 200 dollars le mètre ce truc-là. Dis à Fran de nous garder une place dans la queue à ce compte-là.
Gabrielle : - Ça y est, j’ai compris. C’est à cause de l’alcool. Un soir de nouvel an, je l’ai vu tellement pétée qu’elle est tombée dans la mare.
Carlos : - La mare, oui, je m’en souviens, elle est tombée sur toi. (Regard de Gaby) A cette fête, tout le monde était bourré.
Gabrielle : - Alors elle a forcément perdu son fric au jeu.
Carlos : - Et qu’est-ce qui te fait dire ça ?
Gabrielle : - Les soirées bingo, elle était complètement accro, je le sais, et c’est une luthérienne.
Carlos : - Tu crois carrément qu’elle a perdu sa maison au bingo !
Gabrielle : - J’en sais rien, Carlos, mais y a forcément une raison. On tombe pas comme ça, aussi vite et aussi bas, sans avoir fait ce qu’on appelle un choix stupide.
Carlos : - Mais pourquoi ça te met dans cet état ?
Gabrielle : - Des services en porcelaine, tu te rends compte ?

Karl (cassant un carreau et ouvrant la porte de la maison de Bree) : - Voilà, à nous de jouer.
Bree : - Essuies tes pieds, je viens de nettoyer le tapis. Ce n’est pas parce qu’on est des voleurs, qu’on est obligé de tout salir.

Karl : - Tu vas faire l’amour avec Orson comme on a dit ?
Bree : - Ça ne te regarde pas.
Karl : - Mais il faut surtout pas qu’il soupçonne quoi que ce soit.
Bree : - Le strict minimum, ni plus ni moins.
Karl : - Sa position préférée c’est celle du missionnaire ? Je ne le vois pas autrement que dans la position du missionnaire.
Bree : - Faut-il que tu sois aussi indécent ?
Karl : - Et faut-il que tu sois toujours aussi coincée ? Avec toi, interdiction de parler sexe, interdiction de mettre le bazar. Dans ta vie, il n’y a pas de place pour la spontanéité. Ah, merde, j’aimerais pas être dans ta peau, moi !
Bree : - Être une dame, ça exige des efforts.
Karl : - Tu devrais envisager de te reposer de temps en temps. Tu verrais comme ça fait du bien.
Bree : - Comportes-toi en australopithèque, c’est ton droit. En ce qui me concerne, je préfère la classe et la dignité. Maintenant, pourrait-on finir de cambrioler ma maison ?

Tom (présentant Bill Brown) : - Lynette, c’est Bill Brown, on était ensemble la première année à l’université.
Lynette : - C’est vrai ?
Tom : - Ouais. (Regardant Bill) Et dis donc toi, t’as pas changé, t’as pris une ride, hein ?
Bill Brown : - C’est pareil pour toi.
Tom : - Menteur, tu m’as à peine reconnu, avoue-le.
Lynette : - Si j’ai bien compris, vous êtes copain d’université ?
Tom : - Ouais.
Lynette : - Autrement dit, vous étiez dans la même classe au même moment ?
Tom : - Oui, on est de la même promo, Lynette, on a le même âge.
Bill Brown : - Non, je crois que j’ai six mois de plus que toi.
Lynette : - Vous êtes plus vieux ! Excusez-moi, j’ai vraiment du mal à croire… (regard de Tom) qu’il n’y a plus de petits fours aux champignons.

Jackson : - Oh non, Susan, ils vont m’expulser.
Susan : - Hey, c’est le Canada, c’est pas l’Iran. C’est comme l’Amérique avec une assurance maladie gratuite.

Lynette : - Ah non, t’auras pas recours à la chirurgie esthétique.
Tom : - C’est mon visage.
Lynette : - On vit sous le régime de la communauté de biens, alors la moitié de ce visage est à moi.
Tom : - Très bien, tout ce qui est en-dessous du nez t’appartient si ça te fait plaisir mais les rides qui a plus haut (il tend son visage avec ses deux mains)… elles vont disparaître.

Lynette : - Puisque je te dis que t’as besoin de lifting. Et moi, si je décidais de me faire retoucher les seins et que je revenais avec d’énormes nibards qui débordent, gros comme des pastèques, qui ressemblent pas du tout aux miens, qu’est-ce que tu dirais ?
Tom : - J’en sais rien, je m’habituerais, sans doute.

Orson (ouvrant la porte de leur maison) : - Je te trouve un peu tendue. Je vais te préparer une bonne petite tisane. (Découvrant leur maison en désordre.) C’est pas vrai.
Bree : - Quelle horreur, notre maison a été cambriolée.
Orson : - Et c’est pas moi, je te le jure.

Gabrielle (passant la queue de sans abris) : - Pardon.
Homme sans abri : - Hey, on fait la queue, comme tout le monde.
Gabrielle : - Oh, détendez-vous, j’ai dîné à la maison (regard des sans abris), dans ma cabane, sous le pont.

Orson : - Voler des choses, je peux le comprendre. Mais pourquoi briser des objets qu’on ne prendra pas ?
Bree : - Ce sont des cambrioleurs, pas des amis antiquaires.

Bree : - Tu utilises ces arguments avec toutes les femmes ?
Karl : - Non, il m’arrive de défendre des cageots aussi. J’en connais qui vont crever toutes seules et se faire bouffer par leur chat.
Bree (dégoutée) : - Charmant.

Bruce : - Lynette m’a expliqué que vous envisagiez d’avoir recours à la chirurgie esthétique.
Tom : - Ah oui ?
Bruce : - Je sais que sur moi ça ne se voit pas. Mais je suis passé par là.
Tom : - C’est vrai ? Et ils ont fini ?

Tom : - Ah bravo, c’est très astucieux d’inviter le Joker pour me faire peur.
Lynette : - Je voulais que tu voies un visage qu’on ne met pas dans les brochures.
Tom : - Je compte me faire opérer par un médecin qui a bonne réputation. Bruce a dû de faire opérer par… par un ours.

Mary Alice (en voix de clôture) :
- La majorité des gens porte un masque. Il faut donc être très attentif pour deviner à qui l’on a affaire. Certains dissimulent leur angoisse de vieillir, d’autres cachent la peur d’être ruiné financièrement, d’autres encore s’en servent pour voler un amour qui n’est pas mort. Et puis, il y a ceux qui laissent tomber leur masque. En le regardant bien dans les yeux, vous comprendrez vraiment qui ils sont et de quoi ils sont capables.
Membres additionnels de la production

Producteur exécutif : Matt Berry (II), Marc Cherry, Alexandra Cunningham, Bob Daily, David Grossman, Joey Murphy, John Pardee, George W. Perkins, Larry Shaw, Sabrina Wind
Co-producteur exécutif : Dave Flebotte, Peter Lefcourt
Producteur : Stephanie Hagen, Charles Skouras III
Producteur superviseur : Jamie Gorenberg
Producteur consultant : Jeff Greenstein, Jeffrey Richman
Musique : Steve Jablonsky
Montage : Karen Castaneda
Directeur de la photographie : Lowell Peterson
Création des décors : P. Erik Carlson

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Mise à jour le : 04/02/2010 à 13:41