L'Ecole Est Finie Titre original : Don’t Walk on the Grass Saison 6 - Episode 6 | N° dans la série : 118 | N° de Production : 606 1ère Diffusion (Originale) : 01/11/2009 - (Française) : 15/04/2010
RésuméBree veut mettre un terme à sa relation avec Karl lorsqu’elle se rend compte que ses sentiments sont de plus en plus sérieux mais change d’avis quand celui-ci lui offre la broche de sa grand-mère. Il finira même par lui faire une proposition inattendue.
Dans le même intervalle, Juanita profère un gros mot au cours d’une pièce de son école ce qui entraîne la directrice à douter des capacités d’éducation de Gaby qui décide alors de retirer Juanita de l’école. Mais cette décision précipitée va se retourner contre Gaby. De son côté, Lynette reproche à Tom de vouloir vivre une seconde jeunesse alors que ce dernier a une explication à son comportement, Katherine dit vouloir faire la paix avec Susan et Mike et Angie cache des secrets au sujet de sa mère.
Synopsis de l'épisode Bree se regarde dans la glace pour remettre ses boucles d’oreilles tout en pensant qu’elle ne voulait pas tomber amoureuse de Karl Mayer car sa façon de se tenir à table la répugnait, ainsi que son manque de morale et ses regards lubriques et sans gêne. Bree sentant peu à peu son cœur flancher, elle décide que c’est le moment de rompre avec lui. Alors qu’ils sont dans leur chambre d’hôtel, elle annonce à Karl qu’il faut qu’ils parlent et Karl comprend qu’elle a l’intention de le larguer. Bree lui explique qu’ils savaient qu’entre eux ça ne durerait pas et elle pense qu’il vaut mieux tout arrêter avant de se faire du mal. Elle lui explique que quand elle a accepté d’être sa maîtresse, elle était convaincue que son dégout pour sa vulgarité et son manque de scrupules lui interdiraient d’éprouver de vrais sentiments pour lui. Mais, contre toute attente, ce n’est pas le cas et elle ne veut pas tomber amoureuse d’un homme qui ne lui correspond en rien. Karl finit par accepter que ce soit fini entre eux et lui offre une broche que son grand-père avait offerte à sa grand-mère pour leur premier anniversaire de mariage. Il lui dit également qu’il n’avait pas prévu non plus de tomber amoureux et lui assure qu’il ne lui en veut pas de prendre la fuite. Karl lui déclare qu’il l’aime tandis que Bree, touchée par son geste et ses paroles, décide finalement de ne pas le quitter.
Anne Peterson, la directrice de l’école primaire de Fairview, est une femme qui est très attachée aux règles de vie, aux règles d’hygiène comme aux règles de conduite et aux règles de discipline. Elle estimait que ceux qui ne les respectent pas devaient être punis. Lors du spectacle de son école, Mme Peterson passe devant un homme qui est au téléphone et le lui prend des mains. Elle passe devant Gaby et Carlos qui met sa caméra en route afin de filmer Juanita qui va bientôt monter sur la scène. Quand Carlos demande à Gaby de dire un petit mot à la caméra, Gaby lui dit de prier car après avoir fait répéter Juanita pendant des heures, elle s’est rendue compte que leur fille n’avait aucun talent. Carlos lui rappelle que Juanita n’a que sept ans tandis que Gaby lui dit qu’elle a parcouru le programme afin de choisir une autre gamine qu’ils pourraient faire passer pour leur fille. Le spectacle commence et les enfants entrent en scène. Quand vient le tour de Juanita, celle-ci prononce un gros mot pour la toute première fois car elle n’arrive pas à dire le mot “persécuter” correctement. Tout le monde dans la salle est choqué et Gaby met ses lunettes de soleil afin de passer inaperçue puis tire Carlos pour qu’il se fasse plus petit.
Bree et Orson se rendent chez Susan et Mike pour dîner et Bree prévient Orson qu’elle espère qu’après quelques verres, il ne va pas la tripoter comme il l’a fait chez d’autres amis. Orson lui rappelle qu’elle ne veut pas que leurs amis sachent qu’ils ont des problèmes de couple. Il sonne à la porte tandis que Bree lui rétorque qu’ils ne sont pas obligés de se bécoter pour prouver que tout va bien. De plus, elle n’aime pas les démonstrations en public. Orson lui avoue qu’il le sait mais n’ayant le droit à rien d’autres, il en profite.
Mike leur ouvre la porte et Bree s’excuse de leur retard. Susan remarque immédiatement la broche que Karl a offerte à Bree. Bree ne peut y croire et elle donne la broche à Susan qui confirme, après avoir lu l’inscription, qu’il s’agit bien de sa broche. En effet, il s’agit du bijou qu’elle avait « perdu » lors de son divorce avec Karl dix ans plus tôt. Bree ne sait plus quoi penser quand Karl vient raccompagner Julie. Il s’apprête à repartir quand Susan l’appelle et lui montre la broche de sa grand-mère. Gêné, Karl en reste bouche bée tandis qu’Orson veut savoir où Bree l’a trouvée. Karl l’aide en disant qu’elle l’a sans doute achetée et Bree corrobore ses dires en faisant croire qu’elle l’a achetée chez l’antiquaire de Pearl Street. Karl explique que la personne qui a retrouvé la broche l’a sans doute vendu à l’antiquaire. Susan lui rappelle combien il était en colère mais Karl prétend ne pas se rappeler. Julie affirme également qu’il a hurlé et Susan se met à l’imiter. Bree n’en revient pas tandis que Mike trouve ça drôle que la broche réapparaisse après tout ce temps. Bree décide ensuite de rendre la broche à Susan qui refuse car Bree l’ayant achetée, elle lui appartient. Bree lui signale qu’elle ne pourra pas la porter sachant que Karl la lui a offerte un jour et Susan propose de la rembourser. Bree refuse sous prétexte que ce serait du vol car elle l’a eu pour trois fois rien.
De son côté, Tom rentre chez lui avec deux étudiants, Mahoney et Neidermeyer, et ils ont beaucoup bu. Lynette pense que c’est Porter et n’en revient pas de constater qu’il s’agit de Tom. Ce dernier explique qu’il a bien été à la bibliothèque puis ils sont sortis pour que Tom leur paye des pancakes mais tout était fermé. Lynette se rend compte que Mahoney est bourré même si celui-ci affirme que c’est plutôt Neidermeyer, son camarade qui est couché sur le canapé. Il déclare n’être, quant à lui, qu’éméché jusqu’à ce qu’il demande où sont les toilettes car il a envie de vomir. Tom propose de leur faire des pancakes et de les ramener le lendemain mais Lynette refuse qu’ils passent la nuit chez eux. Tom lui rappelle qu’il ne peut pas les ramener dans l’état où ils sont à cause de leurs parents. Lynette explique à Tom qu’elle comprend qu’il veuille se faire apprécier de tous mais elle lui signale qu’il ne reprend pas ses études pour vivre son adolescence. Tom est d’accord quand l’étudiant allongé sur le canapé leur demande de parler moins fort.
Gaby et Carlos sont dans le bureau de la directrice de l’école de Juanita qui attend en dehors. Anne Peterson leur explique qu’en guise de punition, elle veut que Juanita rédige une lettre d’excuse à ses camarades de classe ainsi qu’aux parents qui ont entendu la fameuse grossièreté. Carlos approuve et Anne Peterson ajoute que Juanita ne participera pas au grand spectacle qu’ils préparent pour Thanksgiving et qu’elle sera également de corvée de ménage à la cantine pendant deux semaines. Carlos est toujours d’accord alors que Gaby émet une objection. En effet, elle veut bien que Juanita fasse une lettre d’excuse, qu’elle soit éjectée de la pièce mais trouve exagérer de lui donner en plus du ménage. Anne Peterson lui fait remarquer qu’ils pratiquent la tolérance zéro en matière d’impolitesse. Carlos intervient pour dire qu’ils respectent entièrement cette politique et demande confirmation à Gaby. Celle-ci lui dit de rester en dehors de ça et déclare à la directrice qu’elle devrait revoir sa politique car Juanita n’a pas agit intentionnellement. La directrice insiste sur le fait que si une personne ne peut accepter le châtiment, elle ne commet pas de crimes. Quand Gaby compare l’école à Alcatraz, Anne Peterson lui suggère de ne pas rendre l’école responsable mais plutôt de chercher le coupable du côté des parents et du manque d’éducation. Carlos comprend que la directrice vient de dire ce qu’il ne faut pas et Gaby s’énerve. Elle décide de retirer Juanita de l’école qu’elle traite de « pourrie » et alors que la cloche sonne, Gaby insulte la directrice. Dehors, Juanita, qui a tout entendu, se prend la tête à deux mains.
Katherine se rend chez Susan et demande à voir Mike mais ce dernier n’est pas là. Katherine explique qu’elle voulait les voir tous les deux afin de s’excuser. Elle sait qu’elle s’est comportée comme une folle et aimerait qu’il n’y ait plus de malaise entre elle et Susan. Elle lui dit que quand elles se croisent dans la rue, elle préfère qu’elles se saluent plutôt qu’elles se cachent derrière la poubelle. Elle voudrait que tout redevienne normal entre elles et demande à Susan de la laisser jouer au poker avec elle et les voisines et lui suggère de l’inviter à un barbecue prochainement. Mais Susan lui rétorque qu’elle a du mal à les voir toutes les deux à un barbecue après ce qui s’est passé entre elles. Katherine change alors de tête et avoue à Susan qu’elle aurait voulu qu’elles se réconcilient afin de montrer à certaines personnes qu’elles avaient tort. À ces mots, Susan veut savoir de qui il s’agit et Katherine lui déclare qu’il s’agit de toutes sortes de personne qui la pousse à la poursuivre en justice pour mise en danger d’autrui et à qui elle avait répondu non parce qu’elles étaient amies. Comme Katherine s’apprête à ouvrir la porte, Susan l’invite à un brunch que Katherine accepte avec plaisir. En partant, Katherine demande à Susan si elle est contente qu’elle ne soit plus folle et Susan lui répond que c’est tellement plus chouette alors qu’elle n’en est pas vraiment convaincue.
Bree vient voir Karl dans son bureau et lui annonce que tout est fini entre eux et que c’est très sérieux. Karl pense que c’est à cause de la broche mais Bree lui reproche surtout d’avoir volée la broche à Susan puis de l’avoir accusée par la suite de l’avoir perdue. Karl lui signale qu’elle pourrait aussi penser à l’homme que son ex-femme veut dépouiller et qui veut récupérer un peu de tout ce qu’elle lui a coûté. Bree le traite de stupide car il aurait dû savoir qu’un jour ou l’autre, Susan l’aurait vu la porter. Pour toute défense, Karl lui dit qu’au moment de leur divorce, Susan a perdu des tas de choses et il ne se rappelait pas que la broche en faisait partie. Bree n’en revient pas tandis que Kar lui rappelle qu’elle a mis en scène un cambriolage pour protéger ses biens d’Orson. Bree affirme qu’elle n’en est pas fière ainsi que d’avoir laissé sa libido l’aveugler au point de ne pas voir qu’elle forniquait avec le pire monstre d’immoralité. Comme elle s’en va, Karl lui demande de l’épouser. Bree se retourne et Karl ferme la porte en disant qu’il sait que le moment est mal choisi mais il a eu peur de n’avoir pas d’autres occasions. Il lui suggère de ne pas lui donner sa réponse tout de suite puis il se met à genoux devant elle et lui dit qu’il l’aime. Bree lui demande d’arrêter tandis que Karl insiste sur le fait que cela serait un honneur pour lui qu’elle envisage ne serait-ce que l’idée de devenir sa femme. Bree refuse et Karl continue en affirmant que l’homme qui a volé la broche était l’homme qu’il était avant. Aujourd’hui, il est quelqu’un de mieux mais ce n’est rien comparer à l’homme qu’il pourrait devenir avec une femme telle que Bree comme épouse. Karl se relève et lui dit de ne rien répondre et de partir afin d’y réfléchir.
Angie sort une photo d’une enveloppe représentant une petite fille avec une femme au bord de la mer. Elle sourit puis a les larmes aux yeux quand Katherine frappe et entre. Celle-ci vient pour la remercier mais s’interrompt quand elle voit les yeux d’Angie. Elle veut savoir ce qui ne va pas mais Angie la rassure et lui dit que tout va bien. Katherine s’assoit et révèle à Angie que leur plan fonctionne. Angie ne comprend pas et Katherine lui rappelle qu’elle lui a dit de faire comme si de rien n’était avec Susan. Alors qu’elle lui avoue revenir de chez elle et que Susan ne se doute de rien, elle remarque la photo que tient Angie et demande qui c’est. Angie lui répond qu’il s’agit de sa mère d’Angie et que le lendemain aurait été le jour de son anniversaire. C’est pour ça qu’elle déprime un peu comme chaque année à la même période. Katherine l’invite alors à déjeuner estimant que c’est le moins qu’elle puisse faire pour sa complice mais Angie lui remet les pendules à l’heure en lui disant franchement qu’il n’y a pas de plan, ni de complicité et que l’histoire se passe entre elle et Susan. Angie lui dit de faire ce qu’elle veut mais Katherine reste persuadée qu’Angie n’a pas le moral à cause de sa mère et propose de lui faire son gâteau à l’ananas qui est le meilleur remède, selon elle, quand on a le moral à zéro.
Gaby prépare le repas quand Carlos vient la prévenir qu’il a appelé toutes les écoles privées de la région et il n’y a pas d’inscriptions avant septembre. Carlos lui reproche son attitude mais Gaby refuse de présenter ses excuses. Elle affirme que la directrice l’a cherché et qu’elle est même prête à le refaire car elle s’est attaquée à leur fille. Carlos lui fait savoir que c’est bien qu’elle soit aussi proche de Juanita car elles vont passer beaucoup de temps ensemble vu qu’ils vont devoir faire l’enseignement à domicile. Gaby pense que Carlos plaisante mais ce dernier est très sérieux. Il suggère de s’inscrire sur internet afin d’avoir le programme et déclare à Gaby que c’est elle qui va donner les cours. Gaby lui demande s’il la voit vraiment en maîtresse d’école et Carlos lui avoue que oui puisqu’elle a réussi à apprendre le gros mot que Juanita a prononcé. Gaby lui fait remarquer qu’il ne s’est pas regardé vu son langage quand il parle de son travail. Carlos finit par avouer qu’ils sont tous les deux fautifs mais que c’est elle qui donnera des cours à Juanita. Gaby lui dit qu’il peut faire une croix sur le sexe pour le soir et Carlos lui réplique qu’il n’y a pas de problème puisqu’il l’a déjà fait tout seul.
Susan fait la vaisselle et remercie Bree pour son gâteau. Bree remarque que Susan porte la broche et note que c’est gentil de la part de Karl de lui avoir offert les bijoux de sa grand-mère. Elle lui demande ensuite si cela arrivait souvent à Karl de la surprendre avec des cadeaux. Susan avoue qu’il le faisait tout le temps mais elle a finit par comprendre que cela signifiait qu’il l’avait trompé et qu’il se sentait coupable. Susan se montre surprise de l’intérêt soudain de Bree pour Karl mais celle-ci prétend être juste curieuse. Elle a constaté que quand Susan parle de son mariage avec Karl, elle ne parle que de mensonges et d’adultères mais n’évoque jamais les bons moments. Susan lui confirme qu’il y a en effet eu des bons moments, Karl étant quelqu’un qui embrasse très bien et qui a toujours su la faire rire. Susan avoue que si, une seule fois, il lui avait prouvé qu’il voulait essayer de changer, elle lui aurait sans doute pardonné. Puis, elle retire sa broche et décide de la redonner à Bree qui finit par l’accepter. Susan remercie Bree pour lui avoir fait dire des choses gentilles sur Karl car ça lui a fait plaisir et que ça la change de d’habitude. Bree lui rétorque que cela fait aussi du bien de les entendre et ouvre sa main pour regarder la broche de Karl.
Lynette apporte un globe qui est un peu vieux à Gaby qui est surpris d’apprendre que l’URSS n’existe plus. Tom lui demande si elle est croit vraiment que les cours par correspondance soient une solution et Gaby lui rétorque que Juanita étant en primaire, elle lui fait avaler ce qu’elle veut. Lynette se baisse pour ramasser le téléphone de Tom et fait sauter un bouton de son pantalon. Gaby avoue à Lynette que cela ne l’étonne pas car elle trouve qu’elle s’arrondit depuis quelques temps. Lynette lui explique qu’elle travaille beaucoup et qu’elle rentre tard, qu’elle ne fait plus beaucoup d’exercice et qu’en plus, elle grignote au travail. Tom ajoute qu’à son avis, dans quelques temps, elle sera encore plus grosse et Lynette l’envoie faire ses devoirs. Une fois seule avec Gaby, cette dernière affirme qu’avec un peu de volonté, elle pourrait perdre ses kilos en trop en un moi. Elle lui propose de l’aider en courant tous les matins avec elle. Lynette lui rappelle qu’à sept heures, elle doit aider les enfants à se préparer. Gaby insiste sur le fait que plus elle va attendre, plus elle aura du mal à perdre ses kilos quand le téléphone sonne. Lynette va répondre alors que Gaby s’en va. Son interlocuteur demande à parler à Tom au sujet d’une fête.
Lynette se rend à la fête en question qui est une soirée d’étudiants. Elle voit Mahoney et Neidermeyer qui lui proposent de goutter à leur pastèque à la bière, tandis que Lynette leur explique qu’elle recherche Tom pour le ramener chez eux. L’un des deux étudiants affirme que Tom n’est pas là mais Lynette leur dit d’arrêter de le couvrir car un de leur camarade a appelé chez elle pour savoir pourquoi Tom n’était pas encore arrivé avec les bières. Ils finissent par lui avouer que Tom a déposé la bière puis est reparti. Lynette insiste et veut savoir pourquoi Tom leur achète de la bière et les invite à dîner s’il n’est pas leur copain. Elle les menace de briser leur pastèque quand ils lui révèlent que Tom est sympa avec eux parce qu’ils l’ont aidé pour l’examen final. Ils connaissent quelqu’un au département mathématique qui leur a donné les sujets. Lynette s’en va avec la pastèque et quand un des deux étudiants la réclame, elle la lance et celle-ci éclate.
Mike et Susan se couchent et se préparent à faire un câlin quand le téléphone portable de Mike sonne. Il répond qu’il n’est pas de service et qu’il essaiera de passer le lendemain puis raccroche. Susan et Mike reprennent leur câlin quand Mike précise que Katherine se débrouillera toute seule. Susan change d’avis en lui ordonnant d’y aller tout de suite et le pousse hors du lit. Mike lui dit qu’il sait qu’ils ont intérêt à être gentils avec Katherine mais pas à toute heure, ni quand Susan met un déshabillé sexy. Susan lui rappelle que Katherine a le droit de les attaquer mais Mike ne pense pas qu’elle le fera. Susan insiste sur le fait qu’elle ait tiré sur elle et lui demande de la rappeler et d’y aller immédiatement. Mike accepte et quand Susan lui demande combien de temps ça va prendre, Mike avoue qu’il n’en sait rien et qu’il s’agit d’une fuite dans la salle de bain. Susan reprend le téléphone de Mike et comprend qu’il s’agit de la salle de bain de la chambre de Katherine.
Quand Mike arrive chez Katherine, cette dernière lui ouvre la porte en déshabillé. Susan se doutant de quelque chose, elle a suivi Mike. Elle explique à Katherine qu’elle est venue aider son mari à travailler deux fois plus vite. Puis, elle note que Katherine n’a plus le bras en écharpe et lui tapote l’épaule quand Mike propose d’aller jeter un œil à la baignoire qui fuit. Katherine l’arrête et déclare qu’il s’agit du broyeur d’ordures dans la cuisine. Mike est surpris mais suit Katherine dans la cuisine pendant que Susan décide de monter à l’étage voir la chambre de Katherine. En ouvrant la porte, Susan découvre une chambre remplie de bougies et de pétales de roses ainsi qu’une bouteille de champagne et des pâtisseries. Katherine la rejoint et vaut savoir ce qu’elle fait là. Susan lui rétorque qu’elle savait qu’elle ne pouvait pas lui faire confiance puisqu’il est évident qu’elle voulait attirer Mike dans sa chambre pour le faire craquer. Katherine affirme qu’elle a l’esprit mal tourné car elle lui fait croire qu’elle fait ça tous les soirs. Susan lui déclare qu’elle a un gros problème et appelle Mike pour savoir si le décor créé par Katherine est réellement familier alors que Katherine tente de tout faire disparaître. Susan tente de l’en empêcher et la suit jusque dans la salle de bain où Katherine a préparé un bain moussant. Susan lui dit qu’elle a besoin d’un psy car elle est malade tandis que Katherine lui rétorque que si elle la pousse à bout, elle portera plainte contre elle. Susan lui dit qu’elle n’a qu’à le faire et lui met une pâtisserie au chocolat sur le visage. Katherine fait de même et elles finissent par tomber toutes les deux dans le bain moussant. Mike se trouve toujours dans la cuisine quand il voit Susan trempée jusqu’aux os et avec de la mousse qui lui précise que la guerre est déclarée.
Rentrée chez elle, Lynette trouve Tom assis le téléphone à la main. Elle avoue qu’elle sait qu’il a triché mais ne comprend pas pourquoi il a fait quelque chose d’aussi aberrant. Tom explique à Lynette que c’est un cours obligatoire qui ne lui servira jamais à rien mais il n’a pas la moyenne. Sachant qu’il n’a pas le droit d’échouer, il a décidé de tricher pour concentrer toute son attention sur les matières principales où c’est loin d’être gagné aussi. Il raconte à Lynette que son prof l’avait prévenu qu’apprendre une nouvelle langue vivante à son âge est très difficile et le mandarin s’avère être une des plus dures. Il affirme qu’il bosse dur mais que cela ne donne rien. Tom révèle être complètement perdu mais Lynette se fiche de sa justification. Elle pense qu’il existe d’autres solutions que tricher s’il rencontre des problèmes dans ses études. Le principe la dérange profondément car si leurs enfants le découvrent, il ne sera pas un bon exemple. Tom compare alors sa tricherie à la façon d’agir de Lynette vis-à-vis de Gaby à qui elle a menti en ce qui concerne sa prise de poids. Lynette se défend en disant que ça n’aura pas les mêmes conséquences car Tom risque d’être viré de l’université tandis qu’elle dira forcément la vérité à Gaby le moment venu. Tom lui signale que quand Gaby le répètera à Carlos, ce dernier pourrait la virer. Lynette trouve que la façon qu’à Tom de justifier son comportement est pathétique. Tom lui indique qu’ils sont deux individus responsables profondément attachés à des valeurs et à des principes qu’ils essaient de transmettre à leurs enfants mais, parfois, il faut renoncer à ces principes pour essayer de survivre. Il avoue avoir triché et comprend que Lynette ne le félicite pas mais il estime qu’elle n’est pas mieux que lui.
Juanita lit un livre que lui a donné Gaby mais elle le trouve nul et préfèrerait regarder la télévision. Gaby lui rétorque qu’elle doit faire comme si elle était à l’école et lui dit qu’après le cours de gym c’est l’heure de lire. Juanita lui fait remarquer qu’en cours de gym, on ne fait pas de repassage. Gaby lui rétorque que c’est elle la maîtresse et lui ordonne de lire. Juanita lui suggère de le faire elle-même et jette le livre par terre. Gaby ramasse le livre, le remet devant Juanita et lui demande d’aller jusqu’à la fin chapitre. Gaby se rassoit tandis que Juanita pousse le livre vers le bord de la table. Gaby lui dit qu’elle n’a pas intérêt à le jeter et alors qu’elle ajoute qu’elle ne plaisante pas, Juanita fait quand même tomber le livre par terre une seconde fois. Gaby le ramasse une nouvelle fois mais Juanita le rejette encore. Gaby ordonne à sa fille de le ramasser mais celle-ci refuse. Gaby la menace de l’envoyer rejoindre le livre par terre et Juanita finit par le ramasser. Mais quand sa mère lui dit qu’elle préfère ça, Juanita lâche le livre.
Peu après, Carlos rentre chez lui et trouve Gaby entrain d’essayer de faire ramasser le livre à Juanita qui refuse toujours de le faire. Quand Carlos lui demande ce qui se passe, la seule chose que Gaby lui répond que c’est ça l’enseignement à domicile.
Bree retourne voir Karl pour lui faire part de sa décision. Il se prépare à un refus mais Bree ne dit ni non ni oui parce qu’elle a déjà un mari dont elle a dû mal à se débarrasser. Tout ce qu’elle veut pour le moment c’est que Karl se concentre sur son divorce. Karl veut savoir si après avoir obtenu son divorce, elle l’épousera. Bree lui dit qu’elle ne l’épousera pas lui mais l’homme qu’il envisage de devenir. Karl vaut bien devenir cet homme à condition qu’elle l’épouse. Bree lui rétorque qu’il devra faire son apparition bien avant et que dorénavant, il n’y aura plus de sexe entre eux pendant un mois car elle estime qu’il trouble son discernement alors qu’elle veut avoir la tête froide et les idées claires. Karl pense que c’est comme s’ils étaient déjà mariés puisqu’il ne doit plus y avoir de sexe et qu’il doit en plus devenir un gentil garçon. Bree lui rappelle que si on apprend qu’elle est sa maîtresse et qu’il veut l’épouser, cela pourrait avoir de sérieuses conséquences comme, par exemple, Susan qui ne lui parlerait plus sans parler de la réaction d’Orson. Bree ne veut pas payer un tel prix tant qu’elle ne sera pas sûre qu’il le mérite. Elle lui redonne ensuite la broche en lui disant que s’il lui prouve que le jeu en vaut la chandelle, il pourra la lui redonner et son geste prendra alors un sens. Elle embrasse Karl sur la joue et s’en va.
Gaby range les livres d’école de Juanita quand Carlos vient la prévenir que leur fille a entendu ce qu’elle a dit à la directrice et lui en veut de ne pas pouvoir retourner à l’école. Gaby espère que Carlos l’a défendu et Carlos lui raconte que cela n’a pas été évident car Juanita a un peu raison alors que Gaby a un peu tort. Gaby lui rappelle qu’elle a fait tout ça pour Juanita mais Carlos en doute car il pense que son emportement était en partie dû au fait qu’elle a été critiquée en tant que maman. Gaby nie puis finit par avouer que cela lui a valut l’insulte mais que le reste était instinctif. Elle affirme avoir pris la défense de Juanita et ne comprend pas que cette dernière puisse lui en vouloir. Carlos lui explique qu’elle prive leur fille de son école et de ses amis et aucune de ses amies ne viendra chez eux parce qu’un chimpanzé a bouffé un clown lors de son anniversaire (voir épisode précédent “Hôtel Wisteria”). Carlos estime que Juanita a toutes les raisons d’être en colère au contraire de Gaby.
Chez elle, Angie ne cesse de regarder son téléphone. Elle soupire puis prend le téléphone et appelle sa mère. Elle s’excuse de ne pas avoir appelé avant et lui explique qu’elle ne peut rien lui dire mais elle veut qu’elle sache que tout va bien. Elle demande à sa mère de ne pas pleurer car ils n’ont pas beaucoup de temps pour parler. Elle lui donne ensuite des nouvelles de Danny mais alors qu’elle est entrain de parler, elle aperçoit Katherine dans un miroir, portant un gâteau.
Elle raccroche et Katherine lui dit qu’elle croyait que sa mère était morte. Angie lui ment en prétendant qu’il s’agissait de la mère de Nick, sa belle-mère. Comme elles s’adorent, Angie l’appelle maman. Angie lui fait remarquer qu’elle ne l’a pas entendu frapper et Katherine explique que la porte était ouverte puis lui donne son gâteau. Elle note que le téléphone d’Angie est un téléphone à forfait prépayé et révèle à Angie qu’avec Susan, elles se sont disputées et que Susan l’a fait tomber dans la baignoire. Katherine rappelle que ça a commencé par un coup de feu et que maintenant Susan essaie de la noyer donc elle a décidé d’aller voir la police et lui demande son arme comme preuve. Angie fait semblant de ne pas comprendre et tente de dissuader Katherine de mêler la police à l’histoire. Elle lui suggère de s’en tenir à son plan et Katherine lui avoue qu’elle déteste l’idée que Susan ne soit pas punie. Katherine se lève pour partir quand elle se ravise et demande à Angie si Nick est italien puisqu’elle l’a entendu parler italien. Angie prétend que sa belle-mère adore ça car elle trouve que ça fait classe. Angie prétexte ensuite un rendez-vous chez le médecin alors qu’elle n’est même pas habillée. Elle remercie Katherine pour son gâteau et la raccompagne jusqu’à la porte.
Gaby vient voir sa fille qui est entrain de faire ses devoirs et s’assoit près d’elle pour lui raconter que quand elle avait son âge, on l’embêtait à l’école parce qu’elle était la plus petite de sa classe et elle était incapable de se défendre contre les grosses brutes. Puis, elle a découvert qu’elle avait une grande langue dont elle se sert, depuis, pour se défendre. C’est pour ça que quand Mme Peterson a dit des méchancetés sur Juanita, elle l’a défendue. De son côté, Juanita pense que si Gaby avait laissé la directrice la punir, tout ça serait terminé depuis longtemps. Gaby lui assure que quitter l’école était la meilleure chose qui puisse lui arriver car Mme Peterson est une brute. Juanita lui rétorque alors qu’elle aime bien Mme Peterson. Gaby finit par avouer qu’elle a eu tort et est désolée de l’avoir contrariée. Elle plaisante en disant qu’elle est quand même une super maman mais Juanita ne lui répond pas et continue ses devoirs. Gaby insiste et Juanita lui propose de lire.
Angie se trouve chez Susan pour lui dire qu’elles ne peuvent pas faire confiance à Katherine qui s’est mis en tête de récupérer Mike à tout prix. Elle affirme qu’elle est totalement givrée et Susan approuve en précisant qu’ils ont décidé, avec Mike, de faire comme si Katherine n’avait jamais existé. Angie lui rétorque que cela ne va pas suffire cat Katherine n’est pas quelqu’un qu’on doit laisser en liberté vu qu’elle a de la haine et qu’elle est dangereuse. Susan veut savoir pourquoi elle dit ça et Angie lui fait remarquer qu’elles ne savent pas où se trouvait Katherine le soir où Julie a été agressée. Susan pense que c’est n’importe quoi et ne voit pas pourquoi Katherine voudrait faire du mal à Julie. Angie suggère que Susan venait d’épouser l’homme qu’elle aimait et comme il faisait nuit noire, quand Julie est sortie, elle l’a confondu avec Susan. Angie réussit à mettre le doute dans l’esprit de Susan.
Dans les derniers plans, on voit une pancarte indiquant de rester en dehors de la pelouse tandis que Juanita est assise sur les escaliers devant chez elle et regarde tristement les autres enfants qui rentrent de l’école ensemble. Tom part en voiture de chez lui sous l’œil de Lynette qui fait un signe à Gaby faisant son jogging, Katherine qui observe Mike partir en voiture et Bree faisant un signe à Orson qui s’en va également. Ce dernier se rend chez l’antiquaire de Pearl Street où Bree a prétendu avoir acheté la broche. Il désire la remplacer pour lui faire une surprise mais le vendeur lui explique qu’ils ne vendent pas ce genre de choses puisqu’ils vendent exclusivement des meubles.
Voir le synopsis Distribution & Production principale Scénariste(s) :
Marco Pennette
Réalisateur(s) : David Grossman
Acteurs présents : Andrea Bowen (Julie Mayer), Ricardo Antonio Chavira (Carlos Solis), Marcia Cross (Bree Van De Kamp Hodge), Drea de Matteo (Angie Bolen), Dana Delany (Katherine Mayfair), Jamie Denton (Mike Delfino), Teri Hatcher (Susan Mayer Delfino), Felicity Huffman (Lynette Scavo), Eva Longoria (Gabrielle Marquez Solis Lang), Kyle MacLachlan (Orson Hodge), Doug Savant (Tom Scavo)Guest Star(s) Récurents :
Daniella Baltodano (Celia Solis) [x48], Richard Burgi (Karl Mayer) [x20]
Guest Star(s) :
Daniel Booko (Mahoney), Casper Brindle (Homme au téléphone portable), Hugh Holub (Allen), Cody Wai-Ho Lee (Enfant Pilgrim), Alex Miller (Neidermeyer), Marianne Muellerleile (Anne Peterson)
Notes de production
* Notes :
- Le titre donné est celui de Canal+, celui de M6 est "Les Règles à Respecter".
- Marianne Muellerleile (Anne Peterson) a joué dans le feuilleton télévisé Passions de 2001 à 2007.
- Daniel Booko (Mahoney) est un personnage récurrent de la série La vie de Palace de Zack et Cody dans le rôle de Kyle.
- Dates des diffusions internationales :
● Turquie : 29 décembre 2009 sur CNBC-e.
● Pays-Bas : 2 février 2010 sur Net5.
● Allemagne : 10 février 2010 sur ProSieben.
● Norvège : 2 mars 2010 sur TV2.
* Gaffe :
- Quand Angie est au téléphone avec sa mère, elle met fin à la conversation en disant deux mots en italien « Rimanga Bene ». Mais cette expression est utilisée lorsqu’on s’adresse à des étrangers ou à des personnes qui ne sont pas des proches. L’expression exacte qu’elle aurait dû utiliser est « Stammi Bene ». Les deux expressions sont une manière de dire au revoir.
* Allusion :
- Le titre de l’épisode en version originale, “Don’t Walk on The Grass”, vient des paroles de la chanson Everybody Says Don’t de la comédie musicale Anyone Can Whistle (1964) de Stephen Sondheim.
* Citations :
Carlos : - Attention, la caméra tourne. As-tu quelques mots à dire avant que notre chère fille ne monte sur les planches ?
Gabrielle : - Ouais, prions.
Carlos : - Gaby, ce film, Juanita voudra le regarder.
Gabrielle : - C’est pas le genre de film qu’on va garder toute la vie. Excuse-moi. Je l’ai fait répéter pendant des heures. Tu vas pas en revenir, elle n’a aucun talent ta fille.
Carlos : - Quel talent ? Mais elle a sept ans ! De quoi tu me parles ?
Gabrielle : - J’ai survolé le programme et choisi une gamine qu’on pourrait faire passer pour la nôtre. J’adore Paige Glover. Ce soir, je suis sa mère.
Lynette : - Porter, non mais ça va pas, tu as vu l’heure qu’il est. Y en a qui dorment (Lynette allume la lumière). Tom ?!
Tom : - Salut, chérie.
Lynette : - Mais qu’est-ce que tu fais là ? Tu… Tu m’as dit que tu travaillais à la bibliothèque.
Tom : - Oui, c’est ce qu’on a fait et après, on a voulu sortir. J’ai dit aux gars que je leur paierais des pancakes. Mais c’était fermé, on est arrivé trop tard.
Mahoney : - Ouais, on a pissé sur la porte. Et viva T. Scavo ! Yo !
Lynette : - T’es bourré ?
Mahoney : - Ah non, pardon madame (il montre son camarade couché). Lui, il est bourré. Moi, je suis éméché. (Il a un haut le cœur.) Où sont les… ?
(Lynette lui montre la direction.)
Lynette : - Et qu’est-ce qu’elle propose cette bibliothèque ? Une entrée avec trois boissons minimum ?
Tom : - Non, on a travaillé sérieusement. Ensuite, on est allé dans un bar et là, on a décidé de… de jouer à bière ping-pong et… et… Bon. Je vais leur faire des pancakes et je les raccompagne demain matin.
Lynette : - Demain matin ?! Est-ce que… je peux te parler deux secondes T. Scavo ? Loin de ces champions de bière ping-pong.
Tom : - Ah ils ont pas gagné. On peut pas dire que ce sont vraiment des champions.
Lynette : - Ça m’est égal, il n’est pas question qu’ils passent la nuit ici.
Tom : - Arrête, regarde Neidermayer. Je peux pas le raccompagner comme ça, voyons, t’imagines pas ses parents !
Lynette : - Mais bien sur que j’imagine, on est des parents, nous aussi.
(Ils entendent Mahoney vomir.)
Lynette : - Tom ! Je comprends que tu veuilles être apprécié de tous pour être élu roi au bal de la promo ou j’en sais rien… mais une chose est sure, tu ne reprends pas tes études dans le seul but de revivre ton adolescence. Quand c’est trop, c’est trop !
Tom : - D’ac… d’accord, j’ai entendu.
Neidermeyer : - Hey, moi aussi, j’entends tout. Vous pourriez parler moins fort ?
Anne Peterson : - En guise de punition, je demande à Juanita de rédiger une lettre pour présenter ses excuses à ses camarades de classe ainsi qu’aux parents qui ont entendu… la fameuse grossièreté.
Carlos : - C’est normal.
Anne Paterson : - Bien entendu, elle ne pourra pas participer au grand spectacle que nous préparons pour Thanksgiving.
Carlos : - Bien sur.
Anne Paterson : - Et elle sera également de corvée de ménage à la cantine pendant deux semaines.
Carlos : - Absolument.
Gabrielle : - Euh… Pas si vite.
Anne Peterson : - Je vous demande pardon ?
Gabrielle : - Voyons, Mme Peterson. La lettre pour s’excuser, ça me va. Qu’elle soit éjectée de la pièce, je vais vous dire, même sans gros mot, on pouvait s’en passer. Mais le ménage, faut pas exagérer.
Anne Peterson : - Mme Solis, dans cette école, c’est la tolérance zéro que nous appliquons en matière d’impolitesse.
Carlos : - Et nous respectons entièrement cette politique, n’est-ce pas, chérie ?
Gabrielle : - Reste en dehors de ça, chéri. (À Ann Peterson) Vous devriez envisager de revoir cette politique. Ça lui a échappé à Juanita, c’était pas intentionnel. C’est pas comme si, juste après, elle avait fait un doigt d’honneur.
Anne Peterson : - C’est le règlement de notre école. Qui ne peut accepter le châtiment ne commet point de crimes.
Gabrielle : - Mais c’est Alcatraz cette école primaire ou quoi ?
Anne Peterson : - Notre école n’est pas du tout en cause. Si vous voulez un vrai coupable, vous devriez chercher du côté des parents et du manque d’éducation.
Carlos : - Oh ! Je crois que vous auriez jamais dû dire ça.
Gabrielle : - Je vous demande pardon ?
Anne Peterson : - Juanita a dû entendre ce mot quelque part.
Gabrielle : - C’est moi qui lui ai appris ce mot alors ?
Anne Peterson : - Non, je suis persuadée que le vent le lui a murmuré à l’oreille !
Gabrielle (alors que Carlos se lève) : - Ecoutez bien ce que je vais vous dire Mme Peterson. C’est moi qui retire Juanita de votre école pourrie. Complètement pourrie. On s’en va Carlos. Oh ! (Gaby est surprise de voir Carlos déjà près de la porte.)
Anne Peterson : - Ecole pourrie ?! Quel dommage, c’est une insulte que nous n’entendrons pas à la levée de drapeau de la part de Juanita.
Gabrielle : - Ah oui ! Et ben moi, j’en ai une belle à vous sortir. Allez… (la cloche sonne et l’on n’entend pas ce que dit Gaby) vous et toute votre école.
Gabrielle (parlant d’Anne Peterson) : - Elle s’est attaquée à notre fille.
Carlos : - Ça tombe bien que tu sois si proche de Juanita parce que vous allez passer beaucoup de temps ensemble.
Gabrielle : - De quoi tu parles ?
Carlos : - C’est clair, on n’a pas le choix. Ce sera l’enseignement à domicile.
Gabrielle (rigolant) : - Ah ! Tu me fais rire. Je t’adore, Carlos. Bon, ça fait du bien, on avait besoin de se détendre. Mais, sérieusement, qu’est-ce qu’on fait ?
Carlos : - Sérieusement ? On s’inscrit sur internet, ils nous envoient le programme et tu t’occupes de donner les cours.
Gabrielle : - Oh ! Attends avant de dire n’importe quoi. Tu me vois, moi, en maîtresse d’école ?!
Carlos : - Ben oui ! Tu as su lui apprendre quelques jolis mots.
Gabrielle : - Moi ? Non, mais tu t’es vu ? Quelle… bip… de journée. Le nouveau commercial au bureau, oh quel petit… bip… Mon pied au… bip… c’est tout ce qu’il mérite.
Carlos : - Ah ouais ! T’oublies les « Ah… bip… cette… bip… de coiffeuse m’a encore raté. T’as vu cette… bip… de coiffure. Non, mais regarde-moi, j’ai vraiment l’air d’une… bip. »
Gabrielle : - Oh ce… bip… de client a refusé de signer notre contrat de… bip… on est dans la… bip… ouin… bip, bip, bip.
Carlos : - D’accord. On est tous les deux fautifs. Mais c’est toi qui lui donner des cours.
Gabrielle : - Très bien. Mais ce soir, tu peux courir. Côté… bip… ce sera niet.
Carlos : - Pas de problème. Je me suis biper tout à l’heure.
Lynette (apportant un globe à Gaby) : - Et voilà, Gaby. Il est un peu vieux, y a un pays qui s’appelle encore l’URSS dessus, t’imagines ?
Gabrielle : - L’URSS n’existe plus ?
Tom : - Tu crois que c’est la solution, les cours par correspondance ?
Gabrielle : - Oh Juanita est en primaire. Je lui fais avaler ce que je veux.
Susan (découvrant la salle de bain de Katherine) : - Oh ! Oh mais c’est pas vrai, mais je rêve ! Un bain moussant ! Là, c’est clair, on est dans le plus ringard des romans à l’eau de rose.
Katherine : - Je veux que tu sortes de chez moi.
Susan : - Katherine, t’as besoin d’un psy. Tu, tu… tu es malade. C’est de la folie. Tu crois tout de même pas que… que les pétales de rose et le champagne, ça peut marcher sur Mike ?! C’est trop tard, il m’aime.
Katherine : - Si tu me pousses à bout, je porte plainte contre toi.
Susan : - Oh ! Tu sais quoi ? Va s’y, attaque-moi. Et porte plainte aussi pour agression à la fraise au chocolat !
Juanita : - S’il te plaît, je peux regarder la télévision ?
Gabrielle : - Juanita, quand t’es ici avec moi, c’est comme si t’étais à l’école. On a fini le cours de gym, maintenant c’est l’heure de lire.
Juanita : - En cours de gym, on fait pas de repassage.
Gabrielle : - Qui c’est la maîtresse ici ? Tu lis.
Membres additionnels de la production
Producteur exécutif :
Matt Berry (II), Marc Cherry, Bob Daily, David Grossman, Joey Murphy, John Pardee, George W. Perkins, Larry Shaw, Sabrina Wind
Co-producteur exécutif :
Dave Flebotte, Peter Lefcourt, Marco Pennette
Producteur :
Stephanie Hagen, Charles Skouras III
Producteur superviseur :
Jamie Gorenberg
Producteur consultant :
Alexandra Cunningham, Joe Keenan
Musique :
Steve Jablonsky
Montage :
Andrew Doerfer
Directeur de la photographie :
Michael Negrin
Création des décors :
P. Erik Carlson
Assistant montage :
Matthew Anconetani
Assistant de Production :
Matt Sherman, Jordan Von Netzer
Chargé de Production :
Charles Skouras III
Chef accessoiriste :
Chuck McSorley
Chef décorateur :
Erica Rogalla
Coiffeur :
Gabor Heiligenberg
Coordinateur des cascades :
Wally Crowder
Coordinateur des Effets Spéciaux :
Mark DiSarro
Coordinateur de la production :
Julianne Weick-Maunder
Coordinateur de Post-Production :
Nick Corney
Coordinateur des transports :
Bo Ehrig
Créateur des Costumes :
Catherine Adair
Directeur Artistique :
Brian Jewell
Distribution des rôles :
Scott Genkinger, Junie Lowry-Johnson
Maquilleur :
John Elliott
Montage de l'histoire :
Jason Ganzel
Monteur online :
Greg Faluszczak
Monteur Son :
Gary Megregian
Premier Assistant Réalisateur :
Tara Nicole Weyr
Producteur associé :
Dana N. Wilson
Second Assistant Réalisateur :
Richard E. White
Supervisation du scénario :
Linda Leifer
Superviseur de la musique :
David Sibley
Superviseur de la post-production :
Luke Haberkorn
Superviseur de la production :
Amanda K. Roberts
Superviseur du montage son :
Robb Navrides
Technicien des effets spéciaux :
Jamal J. Farley
Membres : pour accéder aux avantages membres, vous devez être inscrit ou identifié avec votre login Mise à jour le : 22/09/2010 à 02:19 |