Paul pense qu'il est à un tournant de sa vie. Il veut arrêter son métier car il ne veut plus rester enfermé à écouter. Il rompt avec sa petite amie car il n'est pas amoureux d'elle et pense qu'il est prêt à donner de l'amour comme il en a donné à sa femme.
De plus, il est déterminé à stopper sa propre thérapie par rapport aux sentiment qu'il a développé pour Adèle. Elle essaie de le convaincre que tous ces changements dans sa vie ne sont pas propices à l'arrêt de leur travail.
Il ne cède pas et exprime la douleur qu'il ressent face à son rejet. De plus, depuis qu'il sait qu'elle est enceinte le fait de la savoir en couple le blesse. Même si en analysant, il pense qu'elle vit seule. Mais comme Adèle ne lui donne pas de détail sur sa vie, il reste dans le doute et il ne veut plus endurer cela.
Il estime que sa vie, à 57 ans va prendre une route et essaie une dernière fois de percer Adèle.
Elle refuse de répondre à ses avances et il reconnait qu'elle est vraiment une très bonne thérapeute.
Au moment de se dire aurevoir, elle prend sa main entre les siennes de manière tendre et lui dit que sa porte sera toujours ouverte. Ce à quoi il répond, qu'elle doit bien la refermer derrière lui.

Paul sort dans la rue, l'air apaisé, soulagé et rejoint la foule de New York.