Bon, évidement, c’est circonstanciel. Simon n’est pas devenu un être en manque d’affection. Vu l’accueil réservé à sa projection commentée et le monde présent à la dédicace surprise pour 100 chanceux selon les organisateur, pour plus de 1000 selon FO (Fourbes Observateurs). Vu les preuves d’amour dispensées par ses fans au fil de l’année dernière, il est même le créateur de série télé française le plus "aimé" du public.

Un amour qui déclenche une forte émotion chez l’acteur-réalisateur-scénariste-monteur. Ce projet qu’il aurait dû, par logique, mettre derrière lui, n’est pas encore mort dans son esprit. Au point qu’au fil de l’année, hormis un téléfilm pour France 3, Simon s’est contenté de faire l’acteur.

Un nouveau bain de foule pour Simon Astier

Et donc, pour stimuler le soutient (même s’il n’y avait pas besoin de ça), Simon Astier promet des bisous à tout le monde en cas de renouvellement d’Hero Corp.

Mouais.

Y’a intérêt que non ! Sans rire, déjà qu’il va falloir l’écrire, cette saison 3, puis qu’il la réalise, qu’il joue dedans, puis qu’il la monte, qu’il supervise toutes les phases, vous croyez qu’il va avoir le temps de faire des bisous à tous ses fans ? Ou alors, il va embaûcher un sosie. Pour les bisous, s’entend.

Au delà de ce mensonge éhonté, le message est clair, et je le redonne dans ce billet : en septembre, abonnez-vous à Comédie, mettez vous sur la chaîne et regardez (ou rererere-regardez) les rediffusions d’Hero Corp. Ne vous dites pas que vous la soutenez en téléchargeant la série, et ne pensez pas qu’avoir acheté le coffret DVD vous dédouane du visionnage. Car notre système fonctionne de telle manière que seule l’audience compte.

Pas la popularité.

Goodies

Retrouvez en ligne la galerie photo du jeudi 03 juin.

Le débrief audio de jeudi en podcast : LES CONTROVERSES n°10.

En exclu sur le blog spécial :

• TODD AND THE BOOK OF PURE EVIL – 1.01 : Todd The Metal God & 1.08 : Cockfight
  Par Dominique Montay
  La série d’aujourd’hui nous transporte au collège. Elle nous parle de la jeunesse, nous sensibilise à l’usage néfaste des drogues douces, nous offre des belles leçons de morales. En plus de messages fondateurs pour les enfants, elle est d’une finesse rare. Et dans le second épisode projeté, on entend le mot pénis près de 100 fois.

• SMALLVILLE – Le début et la fin
  Par Sullivan Le Postec.
  « Smallville » s’est terminée en mai dernier aux Etats-Unis après dix ans de b—Après dix ans de services. Pour lui rendre hommage, la Comic Con Paris proposait de revoir son Pilote et de découvrir en avant-première le double épisode final.

• HELLCATS — 1.01 : A World Full of Strangers
  Par Emilie Flament.
  Des filles sans un poil de graisse, avec des abdos en béton, des jambes interminables, et qui portent des mini-jupes et des brassières à longueur d’épisodes et qui se trémoussent... Cette critique aurait pu servir d’excuse à Dominique pour se rincer l’oeil, mais il a préféré passer son tour. Bizarre... Admettons ! Les hommes de la rédac’ ont du penser qu’avec les histoires de filles et les chorégraphies sur de la musique pop j’étais plus dans la ‘‘cible’’ de la série... Et bien non ! Au final, je crois que devoir regarder un épisode entier de « Hellcats » était ma punition pour mes fréquentes absences cette année sur le site... Snif ! C’est rude !

• CODE QUANTUM – 5.22 : Mirror Image (Le Grand Voyage)
  Par Sullivan Le Postec.
  Il n’y a pas qu’un certain Docteur pour se promener dans le temps. En hommage au Seigneur du Temps à l’honneur lors de cette troisième édition de la Comic Con parisienne, était projeté l’épisode 97, c’est-à-dire le tout dernier « Code Quantum », intitulé « Mirror Iamge ».