J’ai maté ça mercredi dernier, j’ai pas vu tout le 1er épisode mais me suit rattrapé sur Pluzz depuis, pas mal de défauts donc la plupart sont énuméré dans l’article Avant-première de Nicolas Robert (qui est ce nouveau rédacteur d’ailleurs ? une petite présentation ?).
Plusieurs moments sont vraiment précipités sans pour autant dynamiser l’ensemble.

"Sur le papier, c’est plutôt classique et ça pourrait rappeler à un Angélique 2.0."

C’est même carrément ça !
Le schéma est le même, l’héroïne tombe de Charybde en Scylla, en se retrouvant loin de chez elle et étant désirer par tous.
Sauf que dans le cas présent d’une diffusion au 21ème siécle, la notre couche avec les hommes et les femmes qu’elle rencontre dans "sa quête de liberté" !
Effectivement, les personnages de s’embarrasse pas de psychologie, les secondaires encore moins, comme la brigande amoureuse de Gabriel qui essaie de tuer Jolanne puis s’enfuit, revient pour les livrer aux soldats et se fait tuer par Gabriel pour sa trahison, tout ça en 15 min même si y’a eu l’ellipse des 2 mois.
Ellipse plutôt étrange, qui coupe le rythme de la scène précédente surtout quand le perso de Doudou Masta explique à Jolanne le sort des miséreux de sa bande de voleurs alors que bon en 2 mois, elle devrait avoir fait le tour mais à travers son discours (où il arrive à placer damné de la terre), c’est à nous qu’on explique des choses et du coup ça plombe pas mal la scène.
La citation de Valcourt pour l’intro du topic est d’ailleurs très représentative des "saillies"qui jaillissent parfois dans les dialogues et qui fait les fait retomber un peu à plat.
Enfin, c’est la mode de faire parler cru Anglade apparemment après Braquo et le téléfilm Amoureuse.

Après, tout n’est pas désagréable et cela se suit, mais bon, cela ressemble beaucoup trop à de la fiction historique de FT tout en essayant d’être novateur.
Du coup, ça reste bancal.
Cela se sent d’ailleurs dont le public de Fr2 à perçu la série plutôt négativement, voir sur le forum France 2.
Audience assez moyenne, en face de Mentaliste fallait pas s’attendre à grand-chose de toute façon.