Arrow 1-01
Comment c’était bon ! Non sérieux, j’y crois pas, j’avais beau lire, entendre les critiques élogieuses, me suis demandée s’ils étaient pas tous drogués !
Mais c’est vachement bien ! C’est bien joué (miracle !), les scènes d’action sont plutôt bien réalisés. La première en particulier, je pense que je vais la regarder plusieurs fois, parce que c’est un beau travail. Par rapport à Nolan qui n’a jamais filmé ce genre de scènes et les a presque toutes ratées (même si sur Inception et le dernier c’était presque potables - c’est ça aussi de se faire gâcher des scènes de combat par Gareth Evans qui ne sont pas tournés et chorégraphies par son équipe et lui :p).
Ca fait évidemment beaucoup penser à Batman, même type de parcours, je pense que les parallèles sont obligatoires mais c’est pas grave.
La musique est géniale, vraiment !
Ca n’a vraiment rien à voir avec Smallville, ni dans l’image ni dans tout le reste, c’est un vrai plaisir. Si ça tient ce cap, ca va être vraiment bien.
J’ai rigolé comme une idiote à la première scène de sortie de salle de bains notre nouveau McSteamy (même si trop musclé à mon goût).
Je suis enchantée ! Amell est vraiment vraiment bon, j’y crois pas !
Et Cassidy en brune, je suis très contente, je ne l’ai jamais trouvé aussi fade qu’en barbie ; elle a tellement plus de charme et de chien en brune.
Arrow 1-01
En effet, c’est étonnement bon.
La seule chose qui m’embête, c’est que tous les éléments sont présents pour faire dans le déjà-vu et le mélo à deux balles : la petite sœur aimée qui tourne mal et qui se fera tuer par le grand méchant de la saison, le meilleur ami qui s’éloignera à cause des secrets et finira par basculer du côté obscur, l’ex qui se fera kidnapper, ...
J’attends de voir, ça peut continuer sur des bonnes bases mais j’ai un peu peur quand même.
***SPOILER***
Surtout que le coup de la mère qui trahit, je l’avais vu dès sa 1ère scène. Quand quelqu’un demande si le héros a parlé à l’hôpital c’est que c’est le méchant. Et le fait que la série ait utilisé une ficelle aussi grosse pour la réalisation n’est pas fait pour me rassurer.
Arrow
le meilleur ami qui s’éloignera à cause des secrets et finira par basculer du côté obscur,
En même temps, dans les comics c’est pas très compliqé, dès qu’on a un drôle de nom comme Merlyn (par exemple), on peut s’attendre à ce qu’il soit un sidekick à la robin u un méchant villain à la Magneto.
Je reste pourtant confiante, contrairement à toi. Ce qui me fait un peu plus peur c’est le côté méchant de la semaine ; avec la liste de noms qu’il a, c’est surtout qui est inquiétant. Bien que je peux regarder sans déplaisir ce genre de séries à monstres de la semaine, je ne vais pas en perdre le sommeil si c’est annulé ;) Là, par exemple, Haven commence seulement à être bien parce que la mythologie commence vraiment à être lancée.
Arrow
Je suis pas vraiment aussi enthousiaste que Tonks et Sekhmet , que je rejoins néanmoins sur le fait qu’on nous présente dans ce pilote tous les éléments nécessaires pour faire une série bien relou, genre le dark knight rencontre Gossip Girl (et pourtant, j’aimais beaucoup Willa Holland dans The OC et ça m’a fait plutot plaisir de la retrouver ici).
Le héros n’exprime absolument rien, et tend plus à se comporter comme un ado insupportable, que comme un adulte qui a pris du plomb dans la cervelle après 5 ans sur une ile déserte — ses scènes de coq avec son nouveau beau père et les flics sont assez ridicules dans le genre pseudo virilité déplacée.
Et ça se prend bien au sérieux et c’est très premier degré et pas très malin. Dans le genre, la scène du meurtre/suicide du père (qui de toute façon est catastrophique sur toute la distance) est d’une effroyable connerie à tous les points de vue, le moindre n’étant pas de se tirer une balle dans la tête sur un bateau pneumatique, dans le sens des pneumatiques. So dark and gritty !
Mais ce qui me pose le plus de problème, c’est qu’à ce stade, notre redresseur de torts qui n’hésite à pas tuer que c’est tellement cool, a tué beaucoup de monde, des flics, des gardes du corps, ses kidnappeurs (quand même), mais s’agissant de la cible principale super méchante qui a justifié ce carnage, transige pour une humiliation publique du type des victoires d’Emily dans Revenge .
Et, plutôt que des scènes légèrement cheap et inutiles censées nous éclairer sur les motivations hautement génériques de notre héros, ce serait quand même plus intéressant de comprendre comment on devient un superwarrior avec des facultés kinésiques surnaturelles (et plein de splendides cicatrices et des fractures même pas encore complètement guéries (et ça se voit même pas, trop badass)) en restant 5 ans sur un caillou désert.
Mais je ne jette pas l’éponge, les maladresses du début peuvent se gommer ou s’épanouir dans les prochains épisodes. Au moins, en effet, et même si on est quand même pas loin de la subtilité de Smallville , c’est pas Smallville .
Arrow 1.01 :
Gros lecteur de comics, je n’ai jamais prêté une grande passion à Green Arrow. Personnage secondaire de l’univers DC qui existe davantage dans une notion de groupe (JLA) qu’individuellement - même si son parcours est intéressant. Et même si la série a son importance historique pour avoir, pour la première fois dans une série mainstream régi par le Comic Code Authority, traité de la drogue de façon frontal (jusqu’à montrer un héroïnomane sur la couverture).
Tout cela pour dire que le projet de la CW attirait ma curiosité sans toutefois générer d’attente particulière (je n’ai jamais aimé Smallville).
Le pilot s’avère honnête même si je ne cache pas que le jeunisme général obligé par la chaîne m’a gêné. Je trouve que l’on perd énormément en profondeur. L’ambiguïté moral autour du personnage devient altéré par son inexpérience. Je ne voudrai pas pousser plus loin les comparaisons aux comics (évitons le syndrome Game of Thrones), la série créé de toute façon une nouvelle mythologie en se basant sur le comic book et non une adaptation au sens littéral du terme. Il y a un changement majeur qui m’a surpris néanmoins, curieux de voir ce qu’ils vont faire avec.
Je ne pense pas qu’il faille chercher autre chose qu’une efficace série popcorn (le paysage américain en manque cruellement). Même si l’ambiance joue sur deux tableaux (manichéisme des comics - radicalisme du héros à tuer) qui pourrait apporter une densité supplémentaire, la série se voit comme un divertissement. J’espère qu’elle gardera cette notion à l’esprit sans vouloir faire dans l’excès d’ambition stérile (je vise Nolan et son Dark Knight Rises).
Arrow 101
Tout cela pour dire que le projet de la CW attirait ma curiosité sans toutefois générer d’attente particulière (je n’ai jamais aimé Smallville).
Curiosité attisée de mon côté également. C’était, je pense, la seule nouvelle série qui m’intéressait cette rentrée (à part Chicago Fire, je n’ai encore rien testé). En gros, je m’attend(ai)s à du bon divertissement avec un gars baraqué, de la vengeance, des trahisons... Et le pilote a repondu exactement à ma demande. On verra pour la suite.
genre le dark knight rencontre Gossip Girl
C’est plutôt du Revenge rencontre Supernatural non ?
Je ne pense pas qu’il faille chercher autre chose qu’une efficace série popcorn (le paysage américain en manque cruellement). Même si l’ambiance joue sur deux tableaux (manichéisme des comics - radicalisme du héros à tuer) qui pourrait apporter une densité supplémentaire, la série se voit comme un divertissement. J’espère qu’elle gardera cette notion à l’esprit sans vouloir faire dans l’excès d’ambition stérile (je vise Nolan et son Dark Knight Rises).
Tout à fait d’accord avec cela.
J’espère que la série va se laisser le temps de trouver son ton avant tout essai "d’ambition" (stérile ou pas).
Arrow 1.02
Faudra m’expliquer la relation des américains avec les crèmes glacées, c’est la deuxième série cette année qui a l’air de considérer que la crème glacée est la quintessence de la civilisation. J’ai eu une petite larme émue pendant la scène déchirante où Oliver raconte ça à sa copine "damsel in distress avec un vague job de défenderesse des veuves et orphelins que c’est une femme super bien du coup même si elle a des réactions d’ado qui dans sa fougue se rend pas compte que vraiment elle prend des risques inconsidérés en étant une justicière du bien et qu’elle a besoin d’un papa ou d’un vengeur masqué pour la protéger".
Bon, ça continue à être très bête, générique et mal écrit — encore une passionnante affaire à peine dessinée de méchant-très méchant opposé à des saints, avec des scènes d’action overzetop avec Oliver qui court plus vite que les mitraillettes (qui généralement tirent surtout quand elles ne le voient pas, mais s’arrêtent toujours quand il pose pour bander son arc), tire à l’arc et au couteau de cuisine même pas équilibré comme un dieu vivant. Encore une passionnante histoire de petite fille riche que c’est trop dur pour elle de vivre qu’on peut pas comprendre, de pauvre petit garçon riche qu’on essaie d’obliger à reprendre le poste de son saint papa sans la moindre formation, de femme capricieuse unidimensionnelle "parfaite" (j’ai envie de la frapper presque autant que Lana, c’est dire) qu’il faut protéger d’elle même, et de papa gâteau hystérique, et il y a la mère maléfique. Et tous les noirs ont des roles de majordome comme il se doit (gardes du corps ou CEO dévoué, tous sont là pour servir leurs maitres blancs en serrant les dents avec dignité devant leurs caprices).
En bref, pour synthétiser, c’est à la fois le Revenge et le Person of Interest du pauvre — Revenge est beaucoup plus intelligente, subtile, jouissive et efficace que ça dans le genre Comte de Monte Christo (j’ai enchainé sur le 2.01 de Revenge juste après ça, ça a été un soulagement de retrouver les machinations largement plus sophistiquées d’Emily et Nolan, de voir Emily encore plus blessée et dangereuse que jamais, et s’amuser avec les délires "kill billesques" qui démarquent cette série, même si elle a des boulets similaires à ceux qui pavent le cast d’Arrow), et POI infiniment meilleure et plus profonde comme série d’action de vigilante. D’ailleurs, Stephen Amell joue même au Reese du pauvre, calquant son jeu sur celui de Jim Cazaviel, avec moins de consistance dans le sens où Stephen Amell ne peut s’empecher d’alterner entre la froideur d’un vengeur masqué qui a perdu toutes ses illusions et le besoin de jouer les tombeurs au charme ravageur en permanence.
Cela dit, pour les fans de la plastique de Stephen Amell, ça doit être parfait, chaque épisode passant un temps non négligeable à nous dévoiler les moindres recoins de sa musculature avantageuse.
Plus qu’à croiser les doigts pour que la série S.H.I.E.L.D de Whedon relève le niveau de ce qu’on est censé attendre d’une adaptation de comics à la tv.
Mais bon, j’ai quand même bien aimé les 30 dernières secondes, c’est ça que j’aurais aimé voir dans le pilote plutôt qu’une présentation d’une petite dizaine de personnages génériques unidimensionnels empêtrés dans des intrigues génériques superficielles. Mais comme ça c’est intéressant, j’imagine que ça va être distillé au rythme de quelques secondes par épisodes.
Arrow 1-02
En bref, pour synthétiser, c’est à la fois le Revenge et le Person of Interest du pauvre — Revenge est beaucoup plus intelligente, subtile, jouissive et efficace que ça dans le genre Comte de Monte Christo
Tu peux affirmer que t’as dit ça après les deux premiers épisodes de Revenge ? ou de PoI ? Parce que très sincèrement comparer les premiers épisodes à l’ensemble de la saison de revenge et de PoI, c’est juste ridicule. Sans compter, que sincèrement revenge, c’est sympathique, certes, mais c’était pas non plus la quintessence de la subtilité, hein. Loin de là. PoI ne devient bonne qu’au bout du
6/7 épisodes. Faut peut-être lui laisser le temps, non ? La preuve que tu compares l’incomparable, tu compares le 2-01 de Revenge, ils ont eu une saison entière pour se positionner et savoir où ils allaient et mettre en place leurs personnages. Soyons sérieux deux minutes, ils n’avaient pas plus d’épaisseurs que ceux de Arrow après les 2 premiers épisodes. Thea (Willa Holland) est déjà plus développée que Ashley en 24 épisodes.
Ou alors, non ne lui laisse pas le temps mais à ce moment sois un peu plus réservé dans tes critiques.
Faudra m’expliquer la relation des américains avec les crèmes glacées
Faut aussi t’expliquer pourquoi ils sortent le pot de crème quand ils sont déprimés ? C’est quoi comme critique, ça. Tu aurais préféré qu’il vienne avec des joints ? du vin ? un bagel et de la cream cheese ?
Ca me fait penser au type qui comprend pas pourquoi dans les séries UK/US, aucune maison n’a de volets....
C’est typiquement une série de super héros avec les grosses ficelles que cela implique. Si c’est pas ton truc, très bien. Tu peux en revanche éviter d’insulter les gens (hommes ou femmes) qui ne regarderaient que pour la plastique d’Amell. Parce que bizarrement, il joue mieux que les 3 quarts des mecs que l’on voit dans les séries à commencer par tous ceux de Revenge (par exemple). Et c’est assez faux ce que tu dis sur son jeu. Caviezel n’a pas de jeu du tout, il ne montre aucune émotion d’aucune sorte, c’est à peine s’il se déride après 24 épisodes.... Amell a le répertoire et l’a montré.
Après effectivement, les scènes où il arrive à utiliser son arc face à des mitraillettes m’ont faite sourire et fait penser à l’expression e "you brought a knife to a gun fight" mais ta critique fait plus penser que tu reproches à la série sur un super héros avec des super pouvoirs d’être irréaliste, Il y a des défauts, mais sûrement pas du niveau que tu critiques. Et je pense que tu interprètes complètement de travers son comportement ce que tu fais depuis le premier épisode :
Le héros n’exprime absolument rien, et tend plus à se comporter comme un ado insupportable, que comme un adulte qui a pris du plomb dans la cervelle après 5 ans sur une ile déserte
et
Stephen Amell ne peut s’empecher d’alterner entre la froideur d’un vengeur masqué qui a perdu toutes ses illusions et le besoin de jouer les tombeurs au charme ravageur en permanence
Ce n’est pas qu’il ne peut s’empêcher d’alterner, c’est qu’il doit être ça. De la même manière que Bruce Wayne par Bale se montrait comme un gosse de riche parce qu’il avait besoin de la façade - ce qui ne l’empêchait pas de s’oublier par moment. C’est plus une ficelle des comics ; ce que tu crois être un mauvais jeu d’acteurs.
Pratiquement tout ce que tu reproches vient du ressort des comics ; à partir de là, ca risque d’être compliqué pour toi d’apprécier et de ne pas sortir n’importe quel argument fallacieux pour dire à quel point la série t’insupporte.
Critique de ma critique d’Arrow 1.02
Faut aussi t’expliquer pourquoi ils sortent le pot de crème quand ils sont déprimés ? C’est quoi comme critique, ça.
Tonks, tu devrais regarder Neighbors quand même, ça permet d’apprendre des concepts très utiles comme le sarcasme ou l’ironie. Mais sinon oui, j’aurais préféré qu’il ramène un joint, je me serais moins sentie dans une série qui apprend la vie à des teenagers attardés.
Pratiquement tout ce que tu reproches vient du ressort des comics ; à partir de là, ca risque d’être compliqué pour toi d’apprécier
Ca veut dire quoi ça ? Que les comics sont nuls aussi donc je peux me la fermer si j’aime pas ? D’ailleurs, je ne pas vraiment sure que ce soit si vrai, puisque d’après ce que j’ai lu sur le personnage, dans les comics, il serait plutot communiste sur les bords, et dans la série Young Justice , il n’a rien à voir avec cette espèce de fantasme de mec riche pour ados.
je pense que tu interprètes complètement de travers son comportement ce que tu fais depuis le premier épisode ... Ce n’est pas qu’il ne peut s’empêcher d’alterner, c’est qu’il doit être ça. De la même manière que Bruce Wayne par Bale se montrait comme un gosse de riche parce qu’il avait besoin de la façade
Oh j’ai très bien compris que c’est ce qu’on devrait penser, mais ce n’est pas pour ça que ça a un sens au delà du désir évident de nous montrer des frasques à la Chuck Bass (qui vont très bien avec l’attention énorme portée au moindre relief du corps du héros). En quoi doit-il être ça sérieusement ? En quoi ça lui est utile de se comporter comme un histrion immature ? Pour pas qu’on le prenne pour green arrow ? Tu crois sérieusement que quiconque irait soupçonner un fils à papa friqué, même discret, contemplatif et poli, d’être un vengeur masqué ?
Quant à Christian Bale dans Batman, il fait quand même bien moins cliché (et plus mur), mais je t’avoue que je suis très loin de considérer les Batman de Nolan comme des chefs d’œuvre ou même le personnage de Batman très intéressant. Ca ne veut pas dire que je n’aime pas le genre superhéros (je fais même campagne pour Alphas en ce moment), mais le genre superhéros n’est pas un sous-genre qui justifie la nullité de l’écriture : le problème ne sont pas les pouvoirs d’Oliver, mais l’absolu manque d’inspiration de l’écriture et les personnages stéréotypés inintéressants.
C’est d’ailleurs sur ce point que je peux te dire sans le moindre scrupule que si, aussi bien POI que Revenge étaient déjà bien meilleurs à leur deuxième épisode. Dans POI , tu as déjà ce duo de personnages charismatiques et intriguants, des personnages adultes et intelligents, et une écriture, une réalisation et des production values bien plus solides. Dans Revenge , si on ne sait pas encore trop à quoi s’attendre au deuxième épisode, on a déjà Emily, qui est un personnage franchement atypique et assez fascinant, et Nolan — et l’un et l’autre sont très intelligents et ça se voit dans la façon dont ils se comportent, analysent et réagissent, sans qu’on ait besoin de nous le dire.
Tu peux en revanche éviter d’insulter les gens (hommes ou femmes) qui ne regarderaient que pour la plastique d’Amell.
Mais qu’elle est chatouilleuse. Où tu m’as vu insulter ? J’ai juste dit qu’ils pouvaient se féliciter de cette série, si POI me donnait du Cazaviel comme ça, je glousserai probablement en permanence — mais je n’aurais aucun doute sur le racolage éhonté à l’oeuvre sous mes yeux.
Thea (Willa Holland) est déjà plus développée que Ashley en 24 épisodes
Tu plaisantes ?! Pour Thea, ils ont juste appuyé sur le bouton "pauvre petite fille riche" de leur générateur automatique de soaps pour ados. Et Thea, c’est un personnage principal, dans Revenge, ce serait Charlotte, pas un des majordomes comme Ashley et la meuf ethnique qui accompagnait la love interest d’Oliver et a peut être dit un mot.
Fallacieux : Qui est basé sur un mensonge ou un faux ; Qui vise à tromper.
C’est moi qui vise à tromper, ou c’est toi, qui je te le signale au passage, n’a pas dit un mot sur l’épisode, qui cherche à tromper ici parce que tu n’aimes pas qu’on dise du mal de tes guilty pleasures ?
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