The Confession: It breaks my heart, still
Ceci dit, que les fans de FNL ne s’inquiètent pas, la série des joueurs de Dillon n’est pas reléguée au placard. J’ai certes pris du retard sur mes critiques, j’utilise un joker "avance rapide" pour cette review-là, on parle moins de Tami Taylor et de sa famille sur le site, mais FNL reste une excellente série. Une véritable oasis en ces temps de grève. En fait, c’était déjà une oasis avant la grève, donc vous imaginez à quel point j’y suis attachée. J’ai beau avoir critiqué certaines intrigues de cette seconde saison, il n’en reste que FNL continue à tenir le haut du pavé (assez fin depuis la rentrée 2007).
Landry est libre (et libéré par ses aveux), Julie et Tami ont des problèmes relationnels qui sonnent toujours juste, Carlotta et Matt jouent avec le feu, Riggins est toujours aussi beau et aussi paumé, mais le Coach a décidé de l’aider, et Santagio me plaît de plus en plus, surtout quand la série prend le parti de le montrer au milieu de son premier match, sous les spotlights et la pression. C’était la meilleure idée qu’ils pouvaient avoir avec ce personnage, et pourtant, sur le papier, ça aurait pu faire grincer des dents.
Friday Night Lights est toujours digne d’éloges, que ce soit dit. Espérons que les derniers épisodes de la saison feront oublier que Landry et Tyra ont été gâchés dans une intrigue qui n’avait pas sa place dans la série… Et que Matt et Carlotta ne prendront pas le même chemin.
