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Le Visage de la Honte
Titre original : Pilot
Saison 1 - Episode 1 | N° dans la série : 1 | N° de Production : 176450
1ère Diffusion (Originale) : 22/07/2003 - (Française) : 22/09/2004

Résumé

Un homme de main d'un caïd de la drogue, Silvio Perez, vient consulter Christian Troy et Sean McNamara pour se faire refaire le visage. Sean est réticent mais Christian accepte après que Silvio lui ait expliqué qu'il veut juste échapper à son patron car il a couché avec sa fille.
Sean, lui, est en pleine crise de la quarantaine et doit faire face aux difficultés que rencontre son couple.

Synopsis de l'épisode

Voir le synopsis

Distribution & Production principale
Scénariste(s) : Ryan Murphy

Réalisateur(s) : Ryan Murphy

Acteurs présents : John Hensley (Matt McNamara), Julian McMahon (Christian Troy), Joely Richardson (Julia McNamara), Dylan Walsh (I) (Sean McNamara)

Guest Star(s) Récurents : Kelsey Batelaan (Annie McNamara) [x35], Kelly Carlson (Kimber Henry) [x11], Linda Klein (Infirmière Linda) [x56], Robert LaSardo (Escobar Gallardo) [x8], Roma Maffia (Liz Winters) [x10], Ruth Williamson (Mme Grubman) [x6]

Guest Star(s) : Ara Celi (Celia), Jeff Chase (Jose), Raymond Cruz (Alejandro Perez), Marlene Forte (Miss Michaels), Karla Hernandez (Fille âgée de 8 ans), Sal Lopez (Julio Esperanza), Rob Macie (Barman), Geoffrey Rivas (Silvio Perez), Joanna Sanchez (Rosa), Grant Vaught (Christian jeune)

Notes de production

* Notes :
- Premier épisode très choc suite aux scènes d’opération très gores.
- Dans la version originale, on apprend que l’adresse des McNamara se situe au 1657 Essex Way.
- Raymond Cruz (Alejandro Perez) a joué également avec :
● Robert LaSardo (Escobar Gallardo) en 1991 dans le film Out For Justice .
● Geoffrey Rivas (Silvio Perez) en 1993 dans le film Bound By Honor .
● Joanna Sanchez (Rosa) en 1996 dans le film Up Close And Personal .
- Geoffrey Rivas (Silvio Perez) a joué également avec :
● Dylan Walsh (Sean McNamara) dans le pilote de Brooklyn South.
● Roma Maffia (Liz) dans l’épisode "Fight Night" ( épisode 7 : "Dernier Round") de la saison 3 des Experts.
● Joanna Sanchez (Rosa) en 1993 dans un téléfilm intitulé Blind Side .
- Joanna Sanchez (Rosa) a joué avec Dylan Walsh (Sean McNamara) dans un épisode de Brooklyn South intitulé "Wild Irish Woes" (épisode 8 : "Ballade Irlandaise").
- John Hensley (Matt McNamara) joue le fils de Dylan Walsh et Joely Richardson (avec qui il a eu une courte liaison) bien qu’il ne soit que de 14 ans plus jeune que Dylan Walsh (Sean McNamara) et 12 ans plus jeune que Joely Richardson (Julia McNamara) dans la vie.
- Roma Maffia (Liz) et Julian MacMahon (Chrisitan Troy) ont tous les deux joué dans la série Profiler.
- Le personnage de Julia McNamara joué par Joely Richardson avait pour prénom d’origine "Claire McNamara" et celui de Christian Troy joué par Julian MacMahon avait pour nom d’origine "Christian Vega".
- Cet épisode a gagné l’Emmy Award 2004 du Meilleur Maquillage à effets spéciaux ainsi que celui du Meilleur Coiffeur. Et il a été nominé pour l’Emmy Award 2004 du Meilleur Pilote d’une série dramatique et pour l’Artios Award 2004 de la Meilleure Direction pour une série dramatique.
- Dans la version de l’Amérique Latine, appelée Cortas Y Punzadas, la voix qui double Christian Troy est la même que celle de Cole dans Charmed (les deux personnages sont joués par Julian MacMahon). C’est également le cas pour la version allemande.
- En Allemagne, cet épisode porte le titre "McNamara/Troy". Tous les autres épisodes ont gardé leur titre original.
- Ce pilote dure 66 minutes (90 avec les pubs), au lieu des 44 minutes habituelles.

* Allusions :
- Le bateau de Christian Troy s’appelle "The Boatox". Le Botox étant une toxine que l’on utilise dans le traitement des rides.
- Dans la version originale, Julia déclare : « Things, Dr Spock did not write a chapter about ». (Dans la VF, "Je ne possède pas le manuel de la mère parfaite.")
En fait, le Dr Benjamin Spock (1903-1998) est un pédiatre américain qui a écrit un livre à succès, The Common Sense Book Of Baby And Child Care (dont la première édition a été publiée en 1946), qui est considéré comme le manuel d’éducation de référence.
- Dans la version originale, Julia déclare : « You think I wanted to be some Stepford doctor’s wife ? ». (Dans la VF, "Tu penses que je voulais être la femme d’un simple médecin ?")
C’est une allusion au livre The Stepford Wives de 1972 écrit par Ira Levin. Dans ce livre, les maris de Stepford, dans le Connecticut, ont remplacé leurs femmes par des robots dociles, obéissants, beaux et parfaits.
- Dans la version originale, Christian déclare : « So I hear your marriage jumped the shark last week ». (Dans la VF, "J’ai entendu dire qu’il y avait de l’eau dans le gaz et que tu es parti hier soir.")
L’expression "Jump the shark" vient d’un épisode de Happy Days intitulé "Hollywood". Dans cet épisode, Fonzie saute sur un requin en faisant du ski nautique. On a considéré ce moment comme le plus ridicule de la série. Cette expression est maintenant utilisée pour dénoter le moment le plus incongru d’une histoire absurde ou d’une situation ordinaire.

* Citations :
(Sean sortant un implant fessier d’un patient et s’adressant à Christian).
Sean : - Tu t’es trompé de côté.
Christian : - Qu’est-ce que tu dis ?
Sean : - L’implant, tu l’as mis à l’envers.
Christian : - Tu m’as encore sauvé les fesses !
Liz : Et les siennes ! (en parlant du patient)

Christian : - Dites-moi la vraie raison pour laquelle vous êtes venu me voir et arrêtez de vous payer ma tête, Mr Perez, avec vos “solo hablo español”, je ne vous crois pas du tout. Ça ne fait que confirmer mes soupçons quant aux motifs réels de cette consultation. Je suis médecin. Tout ce que vous pourrez me dire restera strictement confidentiel.
Silvio Perez : - Je préfère laisser parler mon fric, docteur.
(Il met sa mallette sur le bureau de Christian.)
Christian : - Jolie mallette en croco.
(Silvio Perez ouvre sa mallette remplie de billets.)
Silvio Perez : - 20 000 dollars comme indiqué sur votre site internet. C’est bien votre tarif ?
Christian : - C’est marrant comme… (il sent) certaines choses en provenance de Colombie ont une odeur tenace et imprègne tout de suite une pièce. Le café par exemple et puis bien sur l’argent sale du cartel.
(Silvio Perez referme brutalement sa mallette.)
Silvio Perez : - Je ne suis pas colombien. Mon frère et moi, on est argentin.
Christian : - Mr Perez, si vous êtes vraiment argentin, je ne vous recommande pas de choisir des dents en céramique car c’est le seul pays d’Amérique du Sud où l’eau du robinet est fluorée. Allez, pourquoi voulez-vous changer de tête ?
Silvio Perez : - Je me suis tapé la fille du patron.
Christian : - Vous êtes coureur. Je sais ce que c’est.

(Première rencontre entre Kimber et Christian.)
Christian : - Single ou en couple ?
Kimber : - En couple. J’ai un rendez-vous avec mon petit ami.
Christian : Ooh… Je peux vous offrir un verre ?
Kimber : - Je ne bois pas.
Christian : - Peut-être quelques amuse-gueules…
Kimber : - Je ne mange pas, je suis mannequin.

Christian : - Ça peut avoir des avantages d’avoir un petit ami videur. Par exemple, on ne fait jamais la queue devant les boîtes.
Kimber : - Dis donc, je n’ai pas besoin d’aide pour entrer quelque part. Par exemple, le week-end dernier, mes copines et moi, on est allé au Rendez-vous, la nouvelle boîte à la mode. Et bien, le proprio de la boîte m’a dit : « Et toi, la blonde, passe. » Il m’a donné dix sur dix. Je rentre partout où je veux.

Christian : - Je sais que ça demande beaucoup de discipline et de travail pour en arriver là mais, avec quelques retouches, tu pourrais atteindre les dix sur dix.
Kimber : - Je suis à combien maintenant ?
Christian : - A huit.

Christian (tenant la tête de Kimber) : - Tu n’as pas 21 ans mais 26, tu as un peu abusé du soleil. Mais avec un léger peeling sous les yeux, on te donnera 20 ans. Mais déjà comme ça, tu es vraiment une très belle fille (il embrasse Kimber).
Kimber : - Je ne veux pas être une très belle fille. Je veux être bien plus que ça. Je veux atteindre la perfection.

Christian (marquant le visage de Kimber au rouge à lèvres) : - La beauté, c’est une question de symétrie. Ton œil droit est un demi-millimètre plus haut que ton œil gauche. Je pourrais arranger ça par une augmentation du relief malaire, c’est un élargissement de la pommette. Je t’injecterais du Botox là et là (faisant des marques sur son front). Ça te remontera le haut du visage. Tu es irlandaise ?
Kimber : - A moitié.
Christian : - Ça explique ton petit nez épaté de boxeur. Je pourrais enlever du cartilage, ça te donnerais un… un petit côté Christy Turlington. Et il faudrait augmenter tes seins d’une taille (faisant des marques sur ses seins). Un bonnet C. On pourrait compléter par une lipo sculpture abdomina… (Kimber baisse la tête mais Christian la lui relève), je disais qu’on pourrait terminer par une petite liposuccion ici (faisant des marques sur son ventre). Ce serait magnifique. Regarde (tournant Kimber devant un miroir) tous tes défauts.
Kimber (après une pause) : - Mon Dieu, je suis si moche que ça ? J’ai été plusieurs fois miss.
Christian : - Ne t’affoles pas. Je vais transcender tes défauts et en faire des qualités. Tu n’as même pas idée de ce que tu peux devenir. Le jour où on renonce à la perfection, la vie ne vaut plus la peine d’être vécue.

Matt : - Quand est-ce que tu m’opères, alors ?
Christian : - Oh la, la, la, la. Attends. On se calme. Que ça te plaise ou non, il faut que tu en parles à ton père. Tu n’as pas 18 ans et tu as besoin de son consentement.
Matt : - Ouais. Il ne voudra pas, jamais. C’est un ringard.
Christian : - Oh, ne traite pas ton père de ringard. Tu ne sais pas la chance que tu as. Et puis ton père ne peut pas être un ringard. Un robot n’est jamais un ringard.

Mme Michaels s’adressant à Sean :
- La prochaine fois que vous ferez un bonnet C sur votre table d’opération ou que vous ferez une liposuccion à une fille qui n’en a pas besoin, pensez à mon fils Joey et à ce que vous auriez pu faire pour lui. Vous devriez avoir honte.

Sean : - Au fait, j’en ai une supère bonne. Je me rasais tranquillement ce matin quand Julia est venue me demander de lui refaire les seins.
Christian : - S’il y a un conflit d’intérêt entre vous deux, je suis volontaire pour lui rendre ce service.
Sean : - T’as toujours eu un faible pour Julia.
Christian : - Mais je te rappelle que c’est moi qui suis sorti avec elle le premier et que j’ai bien voulu te la refiler.

Sean (parlant de Matt) : - Il n’a pas besoin d’être circoncis, il veut faire ça par pure vanité.
Christian : - On est dans le vanity-business, après tout, tu ne crois pas ? L’apparence est capitale pour un gamin, tu peux lui faire ce petit plaisir. Un petit coup de scalpel et il sera fier de sa queue. Et toi, Sean, tu as le pouvoir de le rendre heureux. C’est pas beau d’être un papa chirurgien ?
Sean : - Il est hors de question que je touche au pénis de mon fils ou à la poitrine de ma femme. Je ne veux pas que ma famille devienne accro à la chirurgie esthétique.

Sean : - Les gens qui font appel à la chirurgie esthétique ne cherchent qu’à se débarrasser de leur mal de vivre. C’est pour ça que je veux qu’on engage un psy à plein temps. Je veux des profils psychologiques précis.
Christian : - Super ! Il leur fera faire du yoga !

Sean (lors de l’intervention de Silvio Perez) : - Tu greffes trop bas.
Christian : - C’est bon.
Sean : - Tu veux que ce soit bon ou parfait.

Sean : - Matt, pourquoi tu es allé voir Christian au lieu de venir me voir moi ?
Matt : - Parce qu’il est plus sympa que toi. Parce que lui, au moins, il m’écoute. Au moins, il ne joue pas au “Père la Morale”. Il me traite comme un homme.

Christian : - Votre frère m’a dit qu’il s’était envoyé la fille de son patron. Quel âge avait-elle ?
Alejandro Perez : - Elle avait six ans.

Kimber (parlant de Christian) : - Mais enfin, j’y comprends rien. Je ne l’ai pas vu depuis le jour de mon intervention. J’espérais qu’on traverserait cette épreuve ensemble.
Sean : - Melle Henry, le Dr Troy est un médecin. Ne confondez pas son professionnalisme avec ses sentiments personnels à votre égard.
Liz : - Si ça peut vous consolez, ma belle, vous n’êtes pas la première à qui il fait le coup. Mais au moins à vous, il vous a fait une supère paire. Alors, un conseil : estimez-vous heureuse, séchez vos larmes et oubliez-le.

Christian (au téléphone) : - Les ouvriers nous ont tout piqué, Sean. Ils nous ont pris les stimulants sexuels, enfin tout ce qui les intéressaient.
Sean (au téléphone) : - J’en ai rien à faire, Christian. Je me barre. Je vais recommencer tout à zéro, ailleurs, avant qu’il soit trop tard.
Christian (au téléphone) : - Tu es chez toi ? Je vais passer te voir, on va en parler calmement.
Sean (au téléphone) : - Non, j’en ai assez de tes boniments et de tes âneries. C’est à moi de parler maintenant. Et pour une fois, tu vas m’écouter. Merci de te servir de ton sexe pour attirer, dans notre clinique, des patientes émotionnellement déséquilibrées, c’est une bonne stratégie marketing. Et puis merci d’être aussi ambitieux et sans scrupules au point d’accepter l’argent sale de la drogue et prendre le risque qu’on finisse tous les deux en prison. Si jamais les flics découvraient tout ça, tu te fiches peut-être de te faire rayer du conseil de l’ordre et de finir en taule à faire des boîtes d’allumettes, mais pas moi.
Christian (au téléphone) : - Désolé, je ne t’entends plus.
Sean (criant au téléphone) : - Je t’interdis de me raccrocher au nez, je n’ai pas encore terminé. Merci de me dégoûter de toi à un tel point que ça me donne la force de reprendre ma vie en main.
Christian (au téléphone) : - Qu’est-ce que tu vas faire ?
Sean (au téléphone) : - Depuis dix ans, je consacre ma vie à transformer les autres. Et bien à partir d’aujourd’hui, je vais transformer ma vie (il raccroche).

Sean : - Il y a des souris ici ?
Julia : - Non, ce n’est pas une souris. C’est Frisky, la gerbille, elle s’est échappée de sa cage.
Sean : - Il faudrait la remettre dans sa cage.
Julia : - Je n’ai pas eu le temps, j’étais trop occupée à ramasser les petites crottes qu’elle a laissé partout où elle passait.

(Julia jette une assiette à la tête de Sean.)
Sean (hurlant) : - Non mais tu es complètement malade. Tu aurais pu me tuer.
Julia : - Enfin un peu de passion. Félicitations ! Tu n’es pas encore complètement desséché. Tu sais à quand remonte la dernière fois où je t’ai entendu rire et à quand remonte la dernière fois où tu as montré un peu d’émotion ? Sean, je n’ai pas vu une larme coulée sur ton visage depuis la naissance de Matt.
Sean : - Je ne vais pas m’excuser pour ça. Je suis chirurgien. Si j’étais émotif, mes patients mourraient.
Julia : - Je ne suis pas une de tes patientes, Sean. Je suis ta femme. Et note bien ça dans ton agenda. Notre couple est mort et bien mort. Notre mariage n’a plus de raison d’être, plus rien ne vibre entre nous.

Sean : - Julia, bon sens, qu’est-ce que tu fiches de tes journées ? Tu fais du shopping, tu te fais épiler le sexe comme une vulgaire star du porno, tu vas déjeuner avec tes copines. Excuse-moi mais tu as quand même la belle vie. Moi, quand j’arrive à la maison le soir, t’es toujours crevée. S’il y en a une qui respecte pas l’autre, c’est toi. Je trouve quand même que la vie que je t’offre n’est pas si horrible que ça.
Julia : - Tu ne m’as rien offert du tout. C’est moi qui t’es permis de réussir. Tu crois que c’est la vie dont je rêvais, être juste la femme d’un médecin. Et bien ce n’était pas ce dont je rêvais.
Sean : - Et ben alors fais quelque chose, bon sens, change de vie. Fais comme moi.
Julia : - Mais tu n’y es pas du tout. Je ne fais pas un simple caprice. Tu ne comprends rien. Moi, je veux un vrai changement.

Christian : - Tu crois qu’on peut changer d’équipe comme ça ? Et bien non. Tu veux qu’on change, très bien. Applique à toi-même ce que tu dis à tes propres patients. Oui pour le changement mais qu’il soit imperceptible, ciblé et réfléchi. Malgré ce que tu crois, tu n’es plus assez frais pour faire un lifting à ta vie. On n’a plus 27 ans, on en a 40 maintenant, vieux. On ne va pas s’asseoir sur le rêve américain.
Sean : - Le rêve américain ne m’intéresse plus.

(Christian chez Celia.)
Celia : - Où est l’autre médecin ? Vous aviez dit que vous seriez deux médecins. On est dix filles ici.
Christian : - Je me suis déjà fait dix filles en même temps.

(Christian et Sean nettoyant la voiture.)
Christian : - Dis donc, tu fais ça comme un pro. Tu me fais peur.
Sean : - Tant mieux. C’est bien que je te fasse peur.

* Musiques de l’épisode :
- Lonely par Bebel Gilberto (Quand Christian conduit sa voiture pendant le générique du début.)
- Truth Or Dare par N.E.R.D. (Quand Christian injecte le Botox aux filles.)
- Panoptica par Nortec Collective (Quand Escobar torture Christian.)
- Paint It Black par les Rolling Stones (Durant l’opération du visage de Silvio Perez.)
- A Perfect Lie par Engine Room
- Giddy Up par Indo
Membres additionnels de la production

Producteur exécutif : Michael M. Robin, Greer Shephard
Musique : James S. Levine
Montage : Tim Boettcher
Directeur de la photographie : Christopher Baffa
Création des décors : Chuck Parker
Producteur associé / délégué : Michael Weiss (II)
Assistant du chef de production : Scott M. Leonard
Assistant décorateur : Christopher Marsteller
Assistant montage : Byron Smith
Assistant des producteurs : Jill Elpnick
Assistant de Production : Kathryn C. Galberth
Assistant son : Ryan Darden
Cadreur : John Scott (IX)
Cascadeur / Doublure : Denise Gallo
Chargé de Production : Patrick McKee
Chef accessoiriste : Mike Panevics
Chef décorateur : Tommy Roysen
Chef machiniste : Greg Hewett
Coiffeur : Stacey K. Black
Consultant médical : Linda Klein
Coordinateur de la production : Sarah Yang
Créateur des Costumes : Lou Eyrich
Directeur Artistique : Bill Brownell
Distribution des rôles : Eric Dawson , Carol Kritzer, Robert J. Ulrich
Electricien : Ann Rosencrans
Gaffer : Andrew Glover
Machiniste : Greg Flores
Maquilleur : James Mackinnon
Maquilleur (effets spéciaux) : Thomas R. Burman, Bari Dreiband-Burman
Monteur Son : Todd Murakami
Premier Assistant Réalisateur : Ronald D. Chong
Second Assistant Réalisateur : David McWhirter
Superviseur de la musique : P.J. Bloom, Ray Espinola Jr, Evyen Klean
Superviseur de la post-production : Hoot Maynard
Superviseur du montage son : Michael Babcock

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Mise à jour le : 30/10/2019 à 16:31