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M. Perfect
Titre original : Chuck Versus the Beefcake
Saison 2 - Episode 15 | N° dans la série : 28 | N° de Production : 3T7265
1ère Diffusion (Originale) : 02/03/2009 - (Française) : 05/07/2009

Résumé

Sur les conseils d’Ellie, Chuck décide de rompre avec Sarah. Mais sa jalousie se réveille quand Sarah a pour mission de séduire un agent du Fulcrum, Cole Barker, afin de récupérer sa boucle de ceinture qui contient des données secrètes.
Pendant ce temps, Ellie et Devon ont la surprise de voir Morgan installé chez eux car il ne supporte plus la relation entre sa mère et Big Mike qui ne pensent qu’au sexe. De plus, Big Mike l’a pris en affection et lui a confié les entretiens d’embauche pour trouver une nouvelle chemise verte. Lester, voyant Morgan affligé, lui propose de s’occuper lui-même des entretiens. En fait, son but est d’embaucher une très belle femme et met son plan au point avec Jeff.

Synopsis de l'épisode

Voir le synopsis

Distribution & Production principale
Scénariste(s) : Scott Rosenbaum, Matthew Miller (II)

Réalisateur(s) : Patrick Norris

Acteurs présents : Adam Baldwin (Major John Casey), Joshua Gomez (Morgan Grimes), Scott Krinsky (Jeff Barnes), Sarah Lancaster (Ellie Bartowski), Mark Christopher Lawrence (Big Mike), Zachary Levi (Chuck Bartowski), Ryan McPartlin (Devon "Capitaine Trop Top" Woodcomb), Vik Sahay (Lester Patel), Yvonne Strahovski (Sarah Walker)

Guest Star(s) Récurents : Bonita Friedericy (Général Diane Beckman) [x47]

Guest Star(s) : Jonathan Cake (Cole Barker), Tim Coyne (Agent Fulcrum #2), Brooklyn Decker (Modèle en maillot de bain), Jessica Gomes (Mannequin #1), Jarah (Mannequin #2), Katrina Law (Alexis White), Artie O'Daly (Portier), Stephen O'Mahoney (Agent Fulcrum #1)

Notes de production

* Notes :
- Jonathan Cake (Cole Barker) est crédité en tant que Spécial Guest Star.
- Cet épisode a pu être téléchargé cinq jours après sa diffusion sur l’i Tunes Store au Royaume-Uni.
L'i Tunes Store (anciennement i Tunes Music Store ou iTMS) est le magasin de musique en ligne d'Apple, accessible depuis i Tunes, qui permet d'obtenir musiques, séries TV, Film , clips vidéo, livres audio, podcasts (moyens de diffusions de fichiers sur internet), courts métrages Pixar, jeux et applications pour iPod. L’i Tunes gère les transferts de musique, photos et vidéos sur les différents périphériques multimédia d'Apple : iPod, iPhone et Apple TV. C’est aussi un logiciel de streaming, qui permet d’écouter des radios du monde entier diffusées en continu par Internet.
- Quand Sarah cherche des informations sur Cole, elle tombe sur un ordre de la Reine où il y a d’écrit “recognized” (reconnu). Cette orthographe-là est américaine. Un ordre de la Reine du Royaume-Uni aurait utilisé l’orthographe britannique “recognised”.
- Dates des diffusions internationales :
● Turquie : 4 mai 2009 sur CNBC-e
● Royaume-Uni : 15 septembre 2009 sur Virgin1
● Amérique Latine : 20 septembre 2009 sur Warner Channel
● Australie : 8 octobre 2009 sur Fox8
● Suède : 12 octobre 2009 sur TV6

* Gaffe :
- Quand Lester met une chemise verte sur une photo représentant cinq femmes en maillot de bain, le dernier maillot de bain est jaune. Dans le plan suivant où on revoit les cinq femmes, le dernier maillot de bain est alors rayé.

* Allusions :
- Quand Jeff et Lester reçoivent des femmes pour un entretien d’embauche, Jeff est en peignoir et croise et décroise les jambes.
Cette scène est une allusion à une scène du film Basic Instinct réalisé par Paul Verhoeven en 1992 quand Sharon Stone croise et décroise ses jambes alors qu’elle se fait interroger par la police.
- Après l’explosion de l’hélicoptère, Cole déclare à Sarah : « Viens avec moi si tu veux vivre. »
Il s’agit d’une citation directe des films Terminator (1984) et Terminator 2 : Le Jugement Dernier (1991), réalisées tous les deux par James Cameron, ainsi que de la série télévisée Terminator : Les Chroniques de Sarah Connor (série diffusée depuis 2008 sur la FOX). C’est le troisième épisode qui fait référence à Terminator après les deux épisodes précédents.

* Citations :
(Le téléphone de Chuck sonne.)
Ellie : - Chuck, c’est Sarah. Tu réponds pas ?
Chuck : - Non, pas la peine. On se voit tout à l’heure. C’est bon.
Devon : - Oui, il faut quelques fois prendre des distances. Froideur et détachement sont de très puissants aphrodisiaques, ma chérie.
Ellie : - Comme l’abstinence. Tu veux essayer ?
Devon (à Chuck) : - Vaut mieux pas que je m’en mêle.

Morgan : - Tu sais ce que c’est que de vivre une histoire tellement complexe que t’en dors plus la nuit ?
Chuck : - J’en ai une vague idée, oui.
Morgan : - Non, ça je ne crois pas. Regarde-moi. Je ne dors plus depuis des jours et si je ne fais pas mes douze heures, je ne suis bon à rien.
Chuck : - Ça se passe mal avec Anna ?
Morgan : - Non, c’est super entre nous. C’est ma mère et Big Mike. Chuck, On dirait des ados complètement obsédés. Ils ne pensent plus qu’à ça. Et Big Mike braille comme un phoque.

Chuck : - Ecoute… Sarah, c’est pas toi, c’est moi.
Casey : - C’est peut-être pas une bonne idée de dire ça à une fille qui a le permis de tuer et qui a un couteau.
Chuck : - Je me préchauffais avant d’aborder le fond du sujet.

Sarah : - T’as qu’à leur dire qu’on veut y aller en douceur et que même si on est très heureux en compagnie l’un de l’autre, on n’a pas envie de le formaliser et d’ailleurs, qui c’est ce que nous réserve l’avenir ?
Chuck : - Mais là, on se raconte encore des histoires, on sait que ça ne nous mènera nulle part, non ? (Sarah ne répond pas.) Voilà. C’est ce que je dis et c’est pour ça qu’il vaut mieux rompre.
Sarah : - C’est ce que tu veux vraiment ?
Chuck : - Oui Sarah.
Casey : - Super ! La pire amourette que j’ai jamais vue s’arrête enfin.

Chuck : - Casey, est-ce que tu pourrais zoomer sur la photo de Cole, plus précisément sur… la région génitale.
Casey : - Y a un truc qui te plait là-dedans, Bartowski ?

Chuck : - Ok, je viens de flasher et ce que nous cherchons est dissimulé dans la boucle.
Casey : - Faudra lui enlever son pantalon, hein Walker ? Une chance que Bartowski t’ait plaqué.

Big Mike : - Grimes ! Comment ça va fiston ? C’est qui tous ces gens qui font la queue devant le service clientèle ?
Morgan : - Vous devez engager une nouvelle chemise verte.
Big Mike : - Fais l’entretien. Goûte un peu au pouvoir du management.
Morgan : - Pourquoi vous ne le faites pas ?
Big Mike : - Parce que ta maman veut que je passe à la maison aujourd’hui pour régler deux ou trois petits trucs. Ça fait longtemps qu’il n’y a pas eu d’homme dans le coin et certaines choses ont été… négligées.
Jeff : - Comme quoi ?
Big Mike : - Euh… La plomberie est à revoir, tout est rouillé, je dois vidanger la pompe, graisser et déboucher les tuyaux et m’assurer que tout est en état de fonctionnement.
Lester : - Quelle horreur !
Big Mike : - À toi de jouer fiston. Réfléchis, tout ça finira peut-être entre tes mains.

Jeff : - Elles sont supères belles. Pourquoi elles viendraient ?
Lester : - L’échange de faveur est une vieille tradition entre les hommes et les femmes, Jeffrey. Nous leur offrons fortune et célébrité et elles s’offrent, elles-mêmes.
Jeff : - Pour travailler comme chemise verte ?
Lester : - Non, pour s’emparer de la chance de leur vie. Comme mannequin très cher payé dans le plus beau magasin d’électronique du pays.

Casey : - On n’a pas beaucoup de temps, Walker. Va dans sa chambre et enlève-lui sa ceinture. Fais vite.
Chuck : - Mais peut-être que… peut-être que… il y a un meilleur moyen de l’avoir, je sais pas. Lui coller un sac sur la tête et tirer le mec dehors. Aller, fais pas cette tête, t’as toujours adoré enlever les espions.
Casey : - Je ne veux pas que son contact nous voit. Qu’est-ce qui t’arrives, Bartowski ? T’as peur de la concurrence ?

Chuck : - Je me demande si c’est sage de confier Sarah à un monsieur qui a l’air aussi dangereux.
Sarah : - Ça ira, Chuck, je suis protégée (elle lui montre son arme dans son sac). Et on a un code avec Casey. Si jamais je lui demande une bouteille de champagne, il comprendra que j’ai un problème.
Casey : - Tout va bien. Fais-lui confiance. Elle a des heures de vol.

Cole : - Si nous devons poursuivre cette conversation, je préfère que ce soit parfaitement clair. Je ne suis pas quelqu’un de gentil.
Sarah : - Cool ! J’aime pas qu’on soit gentil.
Cole : - Vraiment ? Et pourquoi ça ?
Sarah : - Parce qu’on ne pense plus qu’aux sentiments et aux émotions alors que moi ce que j’aime chez un homme, c’est qu’il agisse.
Cole : - Alors on devrait arrêter de parler et allait tous les deux dans ma chambre. Vous avez ma parole qu’il y aura tout sauf du sentiment.
Casey : - Quel talent !

Devon (parlant du repas de Morgan) : - C’est incroyable Morgan, c’est vraiment… trop top.
Morgan : - Ouais ! Ouais, la nourriture c’est une façon de séduire, je sais. D’ailleurs, si je me souviens bien, j’ai conquis Anna en me servant moi-même… en brochette.

Morgan : - C’est trop dommage que Chuck soit pas là. Cela dit, je suppose qu’il est entrain de savourer un délicieux hors-d’œuvre en ce moment. Et par hors-d’œuvre, je veux dire Sarah Walker.
Devon : - Ouais. S’il n’a pas déjà rompu avec elle.
Morgan : - Euh… pourquoi tu dis ça ? Je suis sûr que Chuck ne voudra jamais, jamais rompre avec Sarah.
Devon : - Demandes à Ellie. C’est son idée.
Morgan : - T’es dingue !
Ellie : - Quoi ? Il a dit que ça ne collait pas vraiment.
Morgan : - Il y a… quelques petites choses que je suis sûr de connaître. Et Chuck en fait parti. Crois-moi, il est fou amoureux de Sarah.
Ellie : - Comment tu le sais ?
Morgan : - Parce que c’est inscrit sur son visage. Quand Chuck est avec Sarah, il devient le Chuck dont on a toujours rêvé, tu vois. Le Chuck qui n’a peur de rien, qui ne recule devant rien.
Ellie : - Peut-être que je n’aurais pas dû lui dire de rompre avec elle.
Devon : - T’affoles pas, chérie. Il devait aussi déménager il y a cinq ans. Il mettra probablement des années avant de la quitter.

Chuck (découvrant Sarah en petite tenue, son arme braquée sur Cole) :
- Euh… tu pourrais peut-être enfiler quelque chose. Tu vas prendre froid. Bouh… il fait glacial ici.

Le Général Beckman : - Je vous ordonne de vous enfermer dans le château ce soir, agent Barker. Nous allons contacter vos supérieurs. D’ici là, personne ne bouge. L’agent Walker va rester à vos côtés. Je lui confie le soin de veiller sur vous.
Cole : - Bon. Je connais de pires façons de passer la nuit.
Sarah : - Oh vraiment ! Je ne vois pas lesquelles.
Chuck : - Vous pouvez venir à la maison, si vous voulez. Il y a mon copain Morgan qui dort dans le salon. Ça ne l’ennuierait pas si vous veniez. Il est barbu… comme vous.

(Ellie et Devon découvre Morgan nu devant leur frigo.)
Ellie et Devon : - Oh !
(Morgan tient un panier de fruit devant ses parties intimes.)
Devon : - Original comme nature morte.
Ellie : - C’est pas vrai, je vais tuer Chuck.
Morgan : - Pourquoi, il vous a pas dit que je dormais dans le salon ? J’avais faim… Mais partez pas, où est-ce que vous allez ? Il n’y a pas de quoi en faire un plat, hein ? C’est pas la fin du monde.

Chuck : - Salut, ça va ? Il nous manque un invité.
(Ellie gémit.)
Devon : - Chérie, chérie, respire à fond. On a viré Morgan hier soir.
Chuck : - Non, vraiment ? (Ellie fait oui de la tête.)
Devon : - Ce bouffon dort tout nu. Ce que je respecte… mais pas dans mon salon.
Chuck : - J’ai plus faim. Ellie, je suis vraiment désolé.

Cole : - Salut, chérie. Pourquoi t’es pas venue te coucher hier soir ?
Sarah : - Oh, j’avais pas sommeil.
Cole : - Qui a dit que c’était pour dormir ?
Sarah : - Je préfère être claire. Je ne suis pas intéressée.
Cole : - Moi non plus. Mais je me disais que l’art de la séduction, ça se travaille et… je te proposais mes services.

Un mannequin : - Mon agent dit que le salaire comporte au moins quatre zéros.
Lester : - Nous ne sommes pas autorisés à discuter chiffres. Désolé.
Jeff : - Ce qui veut dire que c’est complètement (il décroise ses jambes alors qu’il est en peignoir) négociable.
Un mannequin : - Vous ne portez pas de sous-vêtements ?
Jeff : - J’en sais rien. Dites-moi.

Un mannequin : - Je ne comprends pas. C’est vous le directeur ?
Lester : - Non. Non, non, non, non. Nous représentons quelqu’un dont la mère couche avec le manager et c’est pour lui que…
Jeff : - Il ne faut pas nous voir comme des… patrons. Voyez-nous comme des patrons avec des privilèges.

Chuck : - Peut-être que je pourrais décoder cette puce. Autrefois, j’étais assez doué pour ça.
Cole :- Pas celle-ci. C’est un peu plus compliqué que les piratages vidéo que tu faisais avec tes copains.
Casey : - Oui, joues pas au héros, Bartowski. Laisses faire les pros.
Chuck : - Excuse-moi, je suis un pro, spécialiste diplômé avec une formation d’informaticien et d’électronicien.
Cole : - Belle couverture.
Casey : - C’est pas une couverture, c’est sa vie.

Casey (s’adressant à Chuck) :
- Hey, pleure pas champion. Il y a plein d’autres puces sur les chiens. Joue pas les petits malins, Bartowski.

Morgan : - J’ai dit à Jeff et Lester d’engager une chemise verte. Ils ont dû prendre quelques libertés.
Chuck : - J’imagine oui !

Jeff : - Regarde, c’est la police.
Lester : - Oh non, un de ces mannequins a dû prévenir les flics. Je t’avais bien dit de ne pas prendre ces photos, sale pervers.
Jeff : - Le casting c’était ton idée.

Chuck : - Ouh ! Oh mon Dieu ! Oh c’est insupportable. Mes bras… ils tiendront pas. Mon dos est entrain de craquer.
Cole : - Ça va mal tourner. C’est quoi son seuil de tolérance ?
Sarah : - À peu près 1/10.
Chuck : - Comment ça 1/10 ? Oh non. Non, je dirais que je tiens 8/10.
Sarah : - Chuck, le torture n’a pas commencé.
Chuck : - Ah c’est une pré-torture ? Ok, vous avez raison, je ne dépasse pas 1.

(Chuck, Sarah et Cole sont enchaînés au plafond.)
Chuck : - Sarah, Sarah, je l’ai vu. Je sais ce qu’il y a sur la puce.
Sarah : - Quoi ?
Cole : - Désolé mais je vais avoir un peu de mal à me boucher les oreilles.
Sarah : - Tu peux le dire Chuck.
Chuck : - Sur la puce, c’est moi.
Sarah : - Chuck, il ne faut surtout pas que le Fulcrum le sache. Quoi qu’il puisse te faire, tu ne leur diras rien.
Chuck : - Je peux pas supporter la torture, Sarah. T’as vu toutes les seringues là-bas ? Tu sais comment je réagis aux aiguilles.
Cole : - T’inquiète pas pour la torture. Je les provoquerais comme ça ils nous tueront tout de suite.
Chuck : - Intéressant.

Sarah : - Faut juste tenir le coup jusqu’à ce que Casey arrive. En attendant, si jamais t’as trop mal, tu tombes dans les pommes.
Chuck : - Comment ?
Sarah : - T’auras qu’à te faire peur.
Chuck : - Ça devrait pas être trop dur.

Casey : - Salut !
Lester : - Ah quel chic ! Tu vas à un enterrement ou quoi ?
Casey : - Ouais, le tien si tu ne me dis pas où est Bartowski.
Jeff : - Il s’est fait pincer.
Casey : - Quoi ?
Lester : - Les flics l’ont embarqué pour attentat à la pudeur. Il est complètement obsédé.
(Casey plaque Jeff et Lester contre le grillage de la cage.)
Casey : - Quels flics ?
Jeff : - Une femme super sexy vraiment incroyable. Une grande brune avec une bouche…
Lester : - Arrête crétin, c’est à cause de toi qu’on est là.
(Casey les lâche et s’en va.)
Lester : - J’aimerais pas partager une cellule avec ce mec.

(Alexis White fouette Cole.)
Chuck : - Arrêtez. Arrêtez, j’en peux plus. Je ne supporte plus la torture.
Cole : - C’est moi qu’elle torture, imbécile.

Chuck : - Je sais ce qu’il y a sur la puce. Je l’ai regardée.
Sarah : - Non, Chuck, non.
Chuck : - C’est moi. C’est moi que vous recherchez.
Alexis White : - Alors… depuis le début, c’était toi.
Cole : - Vous croyez vraiment que la CIA aurait rentré des données top secrètes dans le cerveau de cette espèce de demeuré. Regardez-le. Vous croyez qu’on lui confierait une mission, qu’il supporterait la torture ?
Sarah : - C’est vrai. C’est un informaticien. Un technicien, rien de plus. Courageux d’accord mais c’est pas l’Intersecret.

Casey : - Général, on a un problème. Il me faut une surveillance satellite.
Le Général Beckman : - Qu’est-ce qui se passe, agent Casey ?
Casey : - Le Fulcrum a capturé l’Intersecret. Je pense qu’il le torture.
Le Général Beckman : - Oh non ! Il ne tiendra pas le choc.

Casey : - Qu’est-ce qui s’est passé ?
Chuck : - Euh… bah…je me suis… évanoui et je me suis cogné la tête en tombant.
Casey : - C’est courageux, Bartowski.
Chuck : - Je me suis évanoui exprès. C’était ma manœuvre. Tu sais que j’ai la phobie des aiguilles.
Casey : - Alors ta manœuvre c’est de t’évanouir et la sienne (parlant de Cole) c’est de résister à la torture. Oui.
Chuck : - Chacun ses méthodes.
Casey : - On dirait que sa méthode est plus efficace (Sarah et Cole partent ensemble).

Morgan : - Hey Chuck ! Je me disais que peut-être… peut-être que le fait qu’Ellie m’ait vu tout nu c’est une bénédiction.
Chuck : - Pas pour elle, Morgan.
Morgan : - Et qu’il faut que j’ai un endroit à moi où je puisse dormir tout nu et où je n’entende pas ma pauvre chère mère se faire constamment violée par mon patron.
Chuck : - Oui, ça paraît raisonnable.
Morgan : - C’est même parfaitement logique. J’ai 27 ans et je vis toujours dans la même chambre avec les mêmes posters que quand j’avais douze ans. Je voudrais… je voudrais me bouger un peu, tu vois ?
Chuck : - Oui. Morgan ?
Morgan : - Oui ?
Chuck : - Je m’installe avec toi.
Morgan : - Jure-moi que t’es sérieux.
Chuck : - Je suis très sérieux Morgan. Je pense qu’il est temps qu’on se bouge un peu.
Morgan : - Il est grand temps, oui. (Il saute sur Chuck.) Ça fait tellement longtemps que j’attendais ça.

Chuck : - Ellie, Trop Top. Je viens de prendre une grande décision. Je déménage.
Ellie : - Oh ! Ouais !
Chuck : - Je m’installe avec Morgan.
Ellie : - Non ! Non !
Morgan : - Oh si ! Nudisme et jeux vidéos toute la journée et on va se faire (il donne une tape sur les fesses de Chuck)
Chuck : - Mais t’es dingue !
(On frappe à la porte. C’est Sarah.)
Sarah : - Euh… excusez-moi, (à Chuck) est-ce que je peux te voir une petite seconde ? C’est important.
Morgan : - Prenez votre temps. Salut Sarah ! Elle pouvait pas tomber plus mal !

Sarah (parlant de Cole) : - Chuck, il sait que tu es l’Intersecret. On doit te placer sous protection permanente… jusqu’à nouvel ordre.
Chuck : - Euh… ça veut dire quoi exactement ?
Sarah : - Ça veut dire qu’on ne va pas rompre et que je vais habiter avec toi.

Chuck (parlant de Cole) : - T’es sûre vraiment ? Il est plutôt coriace, peut-être qu’il ne parlera pas.
Sarah : - Chuck, tout le monde parle.

* Musiques de l’épisode :
- Tigers In The Fire par Love Grenades (À l’hôtel, quand Casey, Chuck et Sarah attendant l’arrivée de Cole Barker.)
- Wake Up par Mackintosh Braun (Quand Sarah flirt avec Barker.)
- Airplanes par Local Natives (Quand Chuck et Sarah parlent de torture et que Chuck dit au revoir à Barker.)
- The Brightest Of The Head par Starflyer 59 (Quand Chuck et Morgan annoncent qu’ils vont emménager ensemble.)
Membres additionnels de la production

Producteur exécutif : Chris Fedak, McG, Scott Rosenbaum, Josh Schwartz
Co-producteur exécutif : Allison Adler, Peter Johnson (XVII), Matthew Miller (II)
Producteur : Lisa Cochran-Neilan, Paul Marks, Corey Nickerson
Producteur superviseur : Phil Klemmer, Robert Duncan McNeill
Co-producteur : Ben Kunde
Musique : Tim Jones
Montage : Kevin Mock
Directeur de la photographie : Buzz Feitshans IV
Création des décors : Cecele Destefano
Animateur principal : Jeremy Cox
Cascadeur / Doublure : Brian Simpson
Chargé de Production : Lisa Cochran-Neilan
Chef accessoiriste : Scott Bauer
Chef décorateur : William DeBiasio
Chef opérateur du son : Tony Gray
Coiffeur : Joy Zapata
Coordinateur des cascades : Merritt Yohnka
Costumes / Costumière : Linda Huse
Créateur des Costumes : Robin Lewis West
Distribution des rôles : Patrick J. Rush
Maquilleur : Joni Powell
Montage de l'histoire : Zev Borow, Matthew Lau
Montage de la musique : Scott Schirle
Premier Assistant Réalisateur : Christian P. Della Penna
Producteur associé : Rick Hubert
Second Assistant Réalisateur : Susan Elmore
Superviseur des effets spéciaux : Bill Doane
Superviseur des Effets Visuels : Dan Curry
Superviseur de la musique : Alexandra Patsavas
Superviseur du montage son : Greg Gerlich

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Mise à jour le : 05/09/2014 à 15:22