Hôtel Wisteria
Titre original : Everybody Ought to Have a Maid
Saison 6 - Episode 5 | N° dans la série : 117 | N° de Production : 605
1ère Diffusion (Originale) : 25/10/2009 - (Française) : 15/04/2010

Résumé

Gaby doit faire face à la rumeur comme quoi elle serait une mauvaise mère après que Rachel Miller se soit aperçue qu’elle avait laissé Juanita et sa fille, Rachel, sans surveillance. Cette histoire va jusqu’à entraîner des annulations pour la fête d’anniversaire de Juanita mais Gaby décide de ne pas se laisser faire. Alors que Julie rentre enfin chez elle et rompt avec Nick Bolen, le fils de ce dernier, Danny, menace son père de tout raconter à sa mère s’il les revoit encore ensemble.
De son côté, Lynette accepte d’embaucher Roy Bender, le petit ami de Karen McCluskey, comme homme à tout faire tandis que Susan apprend, avec surprise, que Katherine a fait des avances à Mike. Enfin, Bree est contrariée par le jugement de la femme de chambre de l’hôtel où elle retrouve Karl lorsque cette dernière comprend qu’elle trompe son mari.


Synopsis de l'épisode

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Distribution & Production principale
Scénariste(s) : Jamie Gorenberg

Réalisateur(s) : Larry Shaw

Acteurs présents : Andrea Bowen (Julie Mayer), Ricardo Antonio Chavira (Carlos Solis), Marcia Cross (Bree Van De Kamp Hodge), Drea de Matteo (Angie Bolen), Dana Delany (Katherine Mayfair), Jamie Denton (Mike Delfino), Teri Hatcher (Susan Mayer Delfino), Felicity Huffman (Lynette Scavo), Kathryn Joosten (Karen McCluskey), Eva Longoria (Gabrielle Marquez Solis Lang), Kyle MacLachlan (Orson Hodge), Doug Savant (Tom Scavo)

Guest Star(s) Récurents : Daniella Baltodano (Celia Solis) [x48], Orson Bean (Roy Bender) [x23], Richard Burgi (Karl Mayer) [x20], Maria Cominis (Mona Clark) [x7], Kevin Rahm (Lee McDermott) [x27], Tuc Watkins (Bob Hunter) [x24]

Guest Star(s) : David Bickford (Coco le clown), Dennis Cockrum (Dresseur du singe), Aisha Hinds (Femme de chambre), Cindy Lu (Kirstin), Alyssa Shafer (Petite fille #1), Mackenzie Brooke Smith (Rachel Miller), Haley Tju (Petite fille #2), Barbara Alyn Woods (Laura Miller)

Notes de production

* Notes :
- Le titre donné est celui de Canal+, celui de M6 est "Il Est dans Notre Nature...".
- Barbara Alyn Woods (Nora Miller) est surtout connue pour son rôle de Deborah Lee-Scott de 2003 à 2009 dans la série Les Frères Scott (One Tree Hill). Elle y joue la mère de Nathan Scott (James Lafferty) mariée à Dan Scott (Paul Johansson) puis divorcée. C’est sa fille aînée Natalie Alyn Woods qui joue Lily Roe Scott, la fille de Karen Roe (Moira Kelly) et la sœur cadette de Lucas Scott (Chad Michael Murray) dans la saison 5 de la série.
- On aperçoit David Chisum et Rebecca Staab qui jouent dans le spot publicitaire de la nouvelle saison, “Another Desperate Housewives”, lors de la réunion de voisinage qu’organisent Mike et Susan même s’ils ne sont pas crédités.
- Dates des diffusions internationales :
● Turquie : 22 décembre 2009 sur CNBC-e.
● Pays-Bas : 26 janvier 2010 sur Net5.
● Allemagne : 3 février 2010 sur ProSieben.
● Australie : 1er mars 2010 sur Channel 7.
● Norvège : 2 mars 2010 sur TV2.

* Gaffe :
- Quand la saison 5 a commencé, la série avait fait un bond de cinq ans dans le futur ce qui implique que Gabrielle n’était même pas enceinte il y a cinq ans. Donc Juanita ne devrait pas être âgée de plus de cinq ou six ans. Toutefois, dans cet épisode, il est clairement dit qu’elle est âgée de sept ans. La saison 5 faisait aussi la gaffe dans l’épisode 21 de la saison 5 (“Trop Laide Pour Toi”).

* Allusion :
- Le titre de l’épisode en version originale, “Everybody Ought to Have a Maid”, vient dune chanson de la comédie musicale A Funny Thing Happened On the Way to the Forum (Le Forum en Folie, 1962) de Stephen Sondheim.

* Citations :
Laura : - Mais, qu’est-ce qui se passe ?
Gabrielle : - Rassure-toi, tout va bien. Ces deux bécasses ont décidé de faire de la luge dans les escaliers.
Laura : - Mais pourquoi tu leur as pas interdit ?
Gabrielle : - C’est pas ma faute, j’étais même pas dans le salon.
Laura : - Tu as laissé les filles sans surveillance ?!
Gabrielle : - Mais… elles jouaient. Je peux pas avoir constamment l’œil sur elles.
Laura : - Pourquoi ? Je surveille Juanita quand elle vient chez moi et elle rentre chez toi sans la moindre égratignure.
Gabrielle : - Oh ! Ça, c’est parce qu’elle est indestructible ! (S’adressant à Juanita) Chérie, fais-lui le truc, là, où tu fonces dans le mur. (À Laura) Regarde, c’est trop drôle.
Laura : - Je te trouve bien désinvolte quand on sait que ta négligence a failli tuer ma fille.
Gabrielle (elle prend Laura à part) : - Je dois dire, Laura, que t’es un peu rabat-joie depuis que t’as laissé tomber la cigarette. Si t’essayais la pipe ?!
Laura : - Je dois dire, Gaby, que je te trouve très nulle comme mère.
Gabrielle : - Attends, tu oses me dire ça en face ?
Laura : - Oui et je ne pourrais, hélas, plus amener ma fille ici à l’avenir, la sécurité et le bien-être de mon enfant étant, bien sur, la priorité.
Gabrielle : - D’accord. Juanita ne recevait la pauvre Rachel que parce qu’elle lui faisait pitié. C’était purement humanitaire.
Laura : - Et, Rachel ne viendra pas à la fête d’anniversaire de Juanita, inutile de le préciser.
Gabrielle : - Très bien, ça nous fera du gâteau en plus. Dégage.
Laura (à sa fille, Rachel) : - Aller viens, ma bichette, on s’en va.
Mary Alice (en voix off) : - Oui, il est dans notre nature de juger ceux qui nous entourent. Tout comme il est dans notre nature…
Gabrielle : - Si tu lui avais enseigné la technique du roulé-boulé, à ta gamine, on n’aurait jamais eu cette conversation.

Susan : - Si c’est pas une affaire d’Etat, pourquoi est-ce que tu ne m’as rien dit ?
Mike : - Julie venait d’être hospitalisée. Si je ne t’ai rien dit, c’est parce que j’ai pensé, quel imbécile, que ça te perturberait de la savoir.
Susan : - Et là, je suis perturbée parce que je viens de réaliser que Katherine ne souffre pas et qu’elle complote. Alors, je vais aller la voir immédiatement et je vais…
Mike : - Non, Susan, tu ne vas pas jeter de l’huile sur le feu.
Susan : - Oh, ben t’as raison, je vais jeter de l’huile sur Katherine. Et si tu m’aimes, trouve-moi une allumette et un alibi.
Mike : - Chérie, laisse-la raconter des histoires, laisse-la comploter et arrête de t’inquiéter pour rien. Je t’aime, Susan, tu es tout pour moi. Et Katherine ne représente rien.
Susan : - Mm, ça c’est gentil (elle embrasse Mike). Je fonce le lui répéter.
Mike (retenant Susan) : - Viens par ici (ils s’embrassent de nouveau).

Carlos : - Qu’est-ce qui se passe ?
Gabrielle : - Heidi Bremmer vient de m’informer que sa fille ne viendra pas à l’anniversaire. Elle doit aller avec Dan rendre visite à sa mère qui est en maison de retraite.
Carlos : - Pourquoi ça te fâche ?
Gabrielle : - Parce que c’est faux. Heidi déteste sa belle-mère. Elle traverserait même pas la rue pour aller vois cette espèce de fossile. C’est la troisième annulation de la journée et toutes leurs excuses sont bidons.
Carlos : - Pourquoi les gens mentiraient pour échapper à un goûter d’anniversaire ?
Gabrielle : - Parce que Laura Miller crache son venin partout. Elle dit à tous les parents d’élèves que quand les enfants sont ici, ils sont pas en sécurité. Et toutes ces bonnes femmes l’écoutent. Et en plus, elles gobent ça.
Carlos : - Juanita sera malheureuse comme tout si personne ne vient.
Gabrielle : - Ils vont venir, t’inquiètes pas. Faut qu’on mette le paquet, c’est tout.
Carlos : - Et ça, ça va me coûter un fric fou, je suis sûr.
Gabrielle : - Carlos, y a des femmes qui pensent que je suis une mauvaise mère et toi, ton job, c’est de me soutenir. Alors tu la fermes et t’allonges le blé.
Carlos : - Mais ce serait pas plus simple de garder un œil sur les enfants pendant qu’ils s’amusent.
Gabrielle : - Attends, tu oses me dire ça ?
Carlos : - Tiens (il lui donne son portefeuille), il est à toi.

Orson : - Et voilà ! Langoustines grillées. Ton plat préféré.
Bree : - Orson, quelle délicate attention !
Orson : - J’ai eu un mal fou à en trouver. Un premier poissonnier a essayé de me refiler des crevettes. Et quand j’ai voulu lui expliquer la différence, monsieur a commencé à se fâcher.
Bree : - Mais qu’ont donc les gens sensés être à notre service ? Avant, ils se montraient polis et respectueux. De nos jours, ils ont une façon de nous regarder de haut… C’est intolérable.
Orson : - Mais je ne les laisserais pas gâcher un bon dîner, ça non.
Bree : - Excuse-moi, aujourd’hui, j’ai eu moi aussi une rencontre des plus désagréables.
Orson : - Ah oui ! Où ça ?
Bree : - Dans… un café. Un café où je déjeunais. Et j’ai eu affaire à une serveuse mal élevée et méprisante.
Orson : - Méprisante ! Avec toi ?! Mais tu aurais dû tout simplement lui mettre ton livre à succès sous le nez comme tu l’as fait la semaine dernière au centre commercial.
Bree : - À mon avis, il lui en faut beaucoup plus pour être impressionnée.
Orson : - Tu crois ? Mine de rien, tu l’as remise à sa place, cette vendeuse de bretzels.
Bree : - J’étais tellement déconcertée que je n’ai pas su quoi dire. J’ai juste… laissé courir.
Orson : - C’est un café où tu déjeunes souvent ?
Bree : - Oh ! Aussi souvent que je le peux.
Orson : - Dans ce cas, la prochaine fois que tu y vas, tu devrais mettre les pendules à l’heure. Un peu de courtoisie, que diable !
Bree : - Merci de ton conseil, je le ferais peut-être dès demain.
Orson : - C’est agréable, non, de partager nos repas, se raconter nos petites journées. Et si tu faisais une croix sur ce café demain et que j’ose te préparer une délicieuse salade ou une omelette ?
Bree : - C’est très gentil à toi mais pour demain, j’ai déjà prévu quelque chose d’un peu plus relevé.

Roy : - Bon sens, vous êtes partout, vous. Faudrait qu’on songe à vous mettre une clochette.
Lynette : - Pourquoi vous téléphoniez à Tom ?
Roy : - Je voulais être sûr qu’il n’a rien contre l’endroit où vous voulez accrocher ce nichoir parce que c’est lui l’homme de la maison.
Lynette : - Ok, je vois ! Etant donné que vous utilisez un portable, vous savez dans quel siècle on vit. Alors juste pour clarifier les choses, c’est inutile de tout vérifier comme ça auprès de Tom, je prends un max de décisions dans notre foyer.
Roy : - Je l’avais remarqué. Disons que je préfère le traiter avec un peu de respect.
Lynette : - Excusez-moi !
Roy : - Vous lui écrasez les noix et on sent que ça vous plaît de faire ça mais moi, c’est pas mon truc.
Lynette : - Mais sans vouloir vous contredire, ses noix sont tout ce qu’il y a de plus intact. Et vous voulez que je vous dise, je crois qu’on a finit là. Je ne vous retiens plus.
Roy : - Je m’en vais. Dès que j’ai accroché votre cabane à oiseaux. Au fait, il a dit que l’endroit lui était égal. Vous avez donc gagné, encore !
Lynette : - Quoi ? Il ne s’agit pas du tout de gagner et je viens de vous virer, alors vous n’avez qu’à rentrer chez vous.
Roy : - Pas tout de suite. J’ai promis à Tom que je l’installerais, je vais donc le faire.
Lynette : - Oui, alors (elle reprend de force la cabane à oiseaux des mains de Roy et la jette par terre).
Roy : - Oh ! J’aurais volontiers nettoyé ce bazar mais vous venez de me renvoyer.

Katherine : - Susan. Juste un mot. Tu n’as pas vu que j’avais levé la main ? Je me portais volontaire.
Susan : - J’ai vu. Là, en fait, j’ai voulu prendre des personnes ayant toutes les qualités pour protéger les environs.
Katherine : - Et tu as pris Irma Pritchet ? Elle a un fils en maison de retraite, Irma.
Susan : - Oui, Katherine, c’est vrai, elle est âgée mais c’est pas une supère menteuse, elle.
Katherine : - Je ne suis pas sûre d’avoir compris.
Susan : - Dis-moi, c’est pas toi qui va raconter à tout le monde que mon mari te drague ?
Katherine : - Oh ! Susan. Tu es sous tension, c’est terrible, je sais, mais… franchement, crois-tu que ce soit sage d’étaler ton linge sale comme ça, ce soir, devant tout le monde ?
Susan : - C’est ton linge qui est sale. Mon linge est nickel, plié et bien rangé, espèce de barjot.
Bree : - Hum ! Les filles ? Est-ce que tout va bien ?
Katherine : - Non, rien ne va. Je suis soi-disant une menteuse et… et une barjot, à présent.
Susan : - Très bien. Vous avez tous entendu ce qu’elle a raconté, vous avez vu la conduite qu’elle a eue à mon mariage.
Mona Clark : - Susan, tout le monde n’a pas été invité à ton mariage.
Susan : - Ça va, Mona, je sais que t’as pas digéré cet affront.
Katherine : - Susan, ça se conçoit que tu sois contrariée. Oui, moi aussi, je serais à cran si mon couple avait ce type de problèmes.
Susan : - Ok ! Alors, Mike est heureux avec moi et je suis heureuse avec lui. Le seul problème qu’on ait c’est toi. Donc, tu restes en dehors de nos vies sinon tu vas le regretter.
Katherine : - Si vous êtes aussi heureux que tu le prétends, Mike, où est-ce qu’il est parti ?
Susan (soupirant) : - Il est allé déboucher le siphon d’une dame (ses amies lui lancent un regard étrange). Et oui, la formulation était équivoque. Vous devriez arrêter les fantasmes !

Carlos : - Faudrait peut-être arrêter de te torturer. C’était pas si dramatique.
Gabrielle : - Carlos, un macaque a failli tuer un clown. Ça c’est la définition d’une fête qui a pris une tournure dramatique.

Katherine : - Tu vas aller en prison. Tout le monde t’a entendu proférer des menaces contre moi, j’ai des témoins.
Susan : - Oh mais enfin ! Si je voulais te tuer, tu crois que je le ferais dans mon jardin, côté rue, non. J’entrerais chez toi en douce et je te descendrais dans ton sommeil. (Regard désapprobateur de ses amis) Quoi ? Jamais je ferais ça !
Membres additionnels de la production

Producteur exécutif : Matt Berry (II), Marc Cherry, Bob Daily, David Grossman, Joey Murphy, John Pardee, George W. Perkins, Larry Shaw, Sabrina Wind
Co-producteur exécutif : Dave Flebotte, Peter Lefcourt, Marco Pennette
Producteur : Stephanie Hagen, Charles Skouras III
Producteur superviseur : Jamie Gorenberg
Producteur consultant : Alexandra Cunningham, Joe Keenan
Musique : Steve Jablonsky
Montage : Jonathan Posell
Directeur de la photographie : Lowell Peterson
Création des décors : P. Erik Carlson
Assistant montage : Joe Rockom
Bruiteur : Ryan Maguire
Chargé de Production : Charles Skouras III
Chef accessoiriste : Chuck McSorley
Chef décorateur : Erica Rogalla
Coiffeur : Gabor Heiligenberg
Coordinateur des cascades : Wally Crowder
Coordinateur des Effets Spéciaux : Mark DiSarro
Coordinateur de la production : Julianne Weick-Maunder
Coordinateur de Post-Production : Nick Corney
Coordinateur des transports : Bo Ehrig
Créateur des Costumes : Catherine Adair
Directeur Artistique : Brian Jewell
Distribution des rôles : Scott Genkinger, Junie Lowry-Johnson
Maquilleur : John Elliott
Montage de l'histoire : Jason Ganzel
Monteur online : Greg Faluszczak
Monteur Son : Gary Megregian
Premier Assistant Réalisateur : Thomas A. Irvine
Producteur associé : Dana N. Wilson
Second Assistant Réalisateur : Richard E. White
Supervisation du scénario : Linda Leifer
Superviseur de la musique : David Sibley
Superviseur de la post-production : Luke Haberkorn
Superviseur de la production : Amanda K. Roberts
Superviseur du montage son : Robb Navrides
Technicien des effets spéciaux : Jamal J. Farley

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Mise à jour le : 22/09/2010 à 02:16