Previously on Heroes: Heroes pour les Amnésiques
Pour ceux qui n’auraient pas eu le courage de revoir les onze épisodes, ou même le clip-show de quarante minutes, voici donc un petit résumé vidéo fait maison, rapide et en musique, pour se souvenir des meilleurs moments de la saison 2 (avec des ralentis et des images inutiles dedans, sans quoi le tour de la question était fait en très exactement 24 secondes). Montage garanti sans cheerleader geignarde et sans sous-titres jaunes.
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La saison 2 s’est donc achevée sur la “mort” de Nathan, abattu par un homme mystérieux alors qu’il allait révéler le secret de son pouvoir. On peut présumer qu’il n’est pas vraiment mort, et ce pour deux raisons : d’abord grâce à Tigrou et Jéjé, auteurs de la maxime “Pas mort avant ’Executive Producer’, pas mort du tout”, et ensuite grâce à Gloria Gaynor, qui a prophétiquement chanté bien avant Nathan la phrase qui ouvrait son discours : “Once I was afraid...” dans la chanson... “I Will Survive” ! Quand les Dieux de la Soul sont avec vous, rien ne peut vous arriver.
Les pauvres badauds de l’assistance, quant à eux, sont restés sur leur faim après l’incomplet “I have the habi...” à la source de nombreuses théories de fin de phrase (le “I have the habit of talking to people like if they were 6 years old” est pour le moment en tête).
Pendant ce temps, Sylar peut à nouveau se servir une bière sans se lever du canapé, Adam Monroe est enterré vivant pour revenir encore plus revanchard en saison 3, et tout est bien qui finit relativement bien pour tous nos personnages favoris, grâce à la grève : celle-ci ayant supprimé le volume 3 original "Exodus", où Peter arrivait trop tard pour rattraper le virus avant qu’il ne s’écrase au sol. Ce qui aurait été vachement plus cool.
Rappelons aussi que du côté des nouveaux, Alejandro est mort depuis qu’il ne sert plus à rien, ce qui m’empêche maintenant de surnommer métaphoriquement les deux jumeaux “les Nazes Communicants”. Monica va beaucoup mieux depuis qu’elle est responsable de la “mort” de Nikki.
Les Bennett sont tristes, mais vivants. Parkman et Mohinder traînent un peu là où on a besoin d’eux pour remplir les intrigues, et Angela Petrelli est la seule à vraiment sortir avec une note positive de toute cette saison.
Rendez-vous dans pas longtemps pour la review du premier épisode.