bubu a écrit :Je crois avoir compris ce qui gênait Speedu. Parce que moi aussi j'ai été gêné.![]()
Disons que c'est parti vraiment bien :
- un condamné à mort, pourriture des pourritures durant sa vie, qui est prêt à tout pour ne pas mourir. D'un coup, il prend peur.
- les flics aux aboient mais un procureur général qui ne peut céder, au risque de voir ce genre de choses se généraliser
- des flics qui négocient avec des voyoux (j'ai eu l'impression de réentendre l'émission Mots Croisés sur la police, où les flics décrivaient ce genre de choses comme normal)
Et puis ça avance, ça avance... et ça tombe !
Mais qu'est-ce que c'est que cette séquence clipée-rapée qu'ils nous ont pondus ?!![]()
Non seulement j'ai pas du tout aimé la forme, mais en plus, ça casse tout le fond, puisque Chronic n'a en fait pas peur de mourir, c'est juste un super salaud...
Super déçu par la fin.![]()
Quant à l'histoire du flic qui voulaient passer du coté des méchants, je m'interroge : est-ce vrai ou est-ce encore une manoeuvre des kidnappeurs ? Si c'est vrai (ce que je présume), je trouve que ça arrive un peu comme un cheveu sur la soupe, mais je ne saurais aps dire pourquoi.
Petite question au sujet de cet épisode.
Est-ce simplement moi ou est-ce que "subtilement" on nous révelait que Manzoni était la balance chez les flics ? L'un des gangers chuchotte l'identité de la balance au jeune flic avant qu'il ne se fasse descendre, Joel se demande au début de l'épisode comment le duo de flics a pu se faire attraper et après coup, on peut se dire que Manzoni était bizarre lors de son "interrogatoire".
J'ai assez aimé l'épisode bien que j'ai trouvé la narration un peu bizarrement amenée, au niveau des différents points de vue des personnages (qui étaient finalement inexistants) et au niveau découpage de l'intrigue. Peut-être que l'intrigue aurait méritée un double épisode pour pleinement comprendre le jeu de chacun.
*yno
