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Michael a bien avancé dans la construction de son radeau
Qui est Michael deja? Je ne le remet pas, et je ne vois pas de radeau no plus.
c'est l'architecte avec son mome et le chien. quant au "radeau" on voit où en est la construction vers la fin de l'épisode sur la plage quand charlie retrouve claire.
<Fan-DeuxQuatorze> susi une peluche, je saute sur tout ce qui remue
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massilia a écrit :Il ne chassait pas le sanglier pour chasser le sanglier Il chassait surtout les demons de son passé.
Ah oui, vu sous cet angle, c'est quand 'achement plus intéressant...
Ok, c'est ton droit, donc depuis le debut rien n'est interessant dans Lost.
Sullivan ton point de vue est comprehensible, mais Lost n'aurait jamais existé avec des persos aussi "bateau". S'ils n'ont pas d'histoire interessante, s'il n'ya aucune mythologie, la serie serait soporiphique.
Apparemment il y a les pro Sawyer, les pros Boone.
Boone, pour moi, est un perso plat, il n'y a que Locke qui lui donne un certain rayonnement.
Je n'ai pas très bien compris ce que dit Sawyer (le vrai) à Sawyer de l'île perdue, après s'être pris une balle dans le thorax... Pourriez vous m'éclairer?
massilia a écrit :Apparemment il y a les pro Sawyer, les pros Boone. Boone, pour moi, est un perso plat, il n'y a que Locke qui lui donne un certain rayonnement.
On peut être anti Boone et anti Sawyer ?
Parce que Sawyer aussi est plat et il n'a personne pour le faire rayonner.
Il m'indiffère complètement et pire, je le trouve presque pathétique depuis le 116 avec les pseudo justifications à son comportement. "Si je suis comme ça, c'est pas de ma faute" et yada yada comme dit l'autre.
Il aurait été bien plus intéressant sans cette pseudo morale et conscience. Un vrai connard de chez salaud qui agit comme ça parce qu'il est comme ça aurait été nettement mieux. Bon, je ne l'aurais probablement pas aimé plus mais bon, il faut toujours un personnage qu'on aime pas et/ou qui nous indiffère dans une série.
Je suis le dernier échantillon d'homme parfait - Homer Simpson
Que les méchants ressuscitent ok, c’est un peu ce qui fait l’essence d’un méchant. - Keina
Le type joué par Robert Patrick dit à Sawyer qu'il a retrouvé le vrai Sawyer, celui qui a détruit sa famille. Il lui dit qu'il tient un stand de crevette à Sydney et envoie le faux Sawyer (celui qui est perdu sur l'île) à Sydney pour que celui-ci se venge. Mais, quand il va tuer Sawyer, celui-ci lui dit qu'il ne sait pas de quoi il parle et que il aurait fini tôt ou tard par payer le gars (joué par Robert Patrick). En faite, le gars a fait croire à Sawyer que c'était le vrai Sawyer pour qu'il le tue car il avait une dette...
1.17 - ...in Translation Tout d'abord : génial ce titre!
(et assez osé la 'vo' en prime time sur ABC)
J'ai adoré! Un des tous meilleurs de la saison. Parfait équilibre entre flashbacks et temps présent.
Les flashbacks sont très justes et apportent ce qu'il faut à l'histoire sur l'ile. Et ça rend Jin hyper attachant au final. Beaucoup aimé le 'boat' dit à Michael. (et le fait qu'il a encore la partie de menottes au poignet )
De très bonnes scènes sur l'ile avec des interactions. Ce qui me manquait les épisodes prédédents.
Du grand Locke comme d'hab'. Et Walt...
Sun était très bien aussi. Belle scène finale symbolique.
Shanon était très belle aussi.
Et j'ai applaudi devant la fin : les piles sont foutus (je venais de m'étonner que son lecteur marche encore!). Excellent Il serait temps que le Hurley-centric arrive...
P.S. : faites une pause à 15'06"/15'08" !!!
"It's basic truth of the human condition; that Everybody lies... the only variable is about what?" (Greg House, House M.D. 1.21)
Ben pas mieux que toi, sans doute un des épisodes les plus forts de la saison. Comme quoi Javier Grillo-Marxuach passe peut-être du temps sur le Web, mais il écrit encore d'excellents épisodes.
Une question lancinante m'est revenue vers la fin: et, au fond, si la vie sur cette île est tout ce dont ils avaient rêvé? Une microcommunauté à l'écart des pressions (Jin), de la mobilité (Walt), d'une condition d'handicapé (Locke), des piles alcaline (Hurley)...
Une légère avancée mythologique: ils ne sont bien pas seuls sur l'île.
J'apprécie de plus en plus le personnage de Locke, c'est finalement très loin des précédentes compositions de O'Quinn, le savoir de Locke et son acuité à avoir un train d'avance lui donnent confiance, et c'est d'ailleurs bien le seul.
Les flashbacks de Jin sont dans la continuité du précédent, on commence à avoir un premier couple, tout ça ne sent pas la fin de saison et c'est tant mieux.
Put**n de bord*l de m*rde, saloperie de Ctrl+W à la c*n qui ferme les onglets Firefox et qui m'a fait perdre mon joli post ! Tant pis, je vais devoir recommencer depuis le début. Donc :
1x17 : ...In Translation
Eh ben ça tombe bien, parce que cet épisode parle de tout reprendre à zéro justement ! Ou comment faire un parallèle avec une loose qu'on vient de commettre, c'est pas beau ça ? Bref, oui, le thème de l'épisode de cette semaine, c'est de recommencer sa vie, de tout remettre à zéro. Et le couple de Coréens, avec ce qu'il a vécu, illustre bien ce propos. Un Jin-centric épisode donc, qui complète les flashbacks que l'on avait eu avec le Sun-centric épisode et qui nous apprend quelle est la nature de ce qu'a fait Jin pour le père de sa femme. On s'attendait sans doute au pire avec un meurtre (en tout cas moi je penchais pour cette hypothèse) mais il ne s'agit "que" d'un "simple" tabassage. On s'aperçoit d'ailleurs que son sens de l'honneur est exacerbé, car ayant déjà franchi une limite il se refuse à en franchir une autre en dévoilant à sa femme la nature de son père. Et ça le rend très attachant effectivement, car on voit qu'il aime sa femme plus que tout, même dans la scène finale déchirante entre Sun et lui (il s'apprête à enlever son sac avant de changer d'avis). Le thème est aussi traité sur l'île avec Shannon qui décide de commencer sa nouvelle vie, après que Locke l'ait influencée quand même.
Au niveau révélations c'est pas mal du tout non plus, tout le monde est servi. Les personnages d'abord, stupéfaits de se rendre compte que Sun sait parler anglais, dans une scène très tendue où tous les personnages principaux/récurrents sont réunis. Nous téléspectateurs ensuite, quand Locke demande à Walt pourquoi il a brûlé le radeau. C'est fichtrement bien amené car le coup de gueule de Locke incriminant "les autres" était tout à fait cohérent.
Ce qui est intéressant c'est qu'on voit Hurley un petit peu tout le temps, pour de courtes apparitions. Il va même jusqu'à s'inviter dans la télé du Ministre coréen le bougre. En tout cas, j'ai adoré l'humour de la scène finale. J'ai tout d'abord été étonné de voir que le walkman fonctionnait toujours et j'allais crier au scandale, et là, pluf, plus de musique. J'ai carrément éclaté de rire, ça me plaît quand une série joue de ses petits défauts et incohérences.
Bref bref bref, c'était trèèèèèèèèès bien, j'adore toujours autant la série, mais il va falloir être patient pour voir le prochain.
Encore une fois, c'était très bon. J'adore ce titre. Cette semaine, on a presque pas de Jack & Kate et c'est pas plus mal. La relation entre Jin et Sun est bien plus intéressante. Et Locke est toujours aussi excellent.
Hurley rocks ! Après Sawyer au commissariat, Hurley à la télé. Vivement son centric-zode, en espérant un truc plus léger et drôle plutôt qu'un passé too much comme les autres.
La fin est géniale. De belles images, une musique pop... Ou comment finir un épisode facilement. Mais paf, plus de piles, Son of a bitch! Superbe.
I'm not a frackin' Cylon ! I'm not... Oh, well. Okay then.