1.10
Et une nouvelle variation, une...
Chaque épisode est imprévisible et ne se déroule jamais comme le précédent, bien que le schéma général reste le même !
C'est hallucinant !
La conclusion de cet épisode est formidable !
Arquette et Mr Dubois sont toujours aussi bons !!
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Jéjé
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joma
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109
Bon point, les visions de le petite, vraiment un bonne idée de donné ce genre de caché. Et la gamine joue suffisament bien pour que ce ne soit pas ridicule.
J'aurais pensé qu'allison protègerais plus longtemps sa fille, néanmoins cela peut donné une bonne dynamique le jour ou son mari pétera vraiment un plomb.
Mais sinon moins intéressant que l'ep précédent.
Bon point, les visions de le petite, vraiment un bonne idée de donné ce genre de caché. Et la gamine joue suffisament bien pour que ce ne soit pas ridicule.
J'aurais pensé qu'allison protègerais plus longtemps sa fille, néanmoins cela peut donné une bonne dynamique le jour ou son mari pétera vraiment un plomb.
Mais sinon moins intéressant que l'ep précédent.
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109 Coded
Oh... risky! D'abord la cadette, maintenant l'aînée. Le genre de choix qui joue à quitte ou double: un, puis deux, et trois, on aurait pu craindre l'overdose et la reddite.
Un mot sur les rêves, qui est à la série ce que le flashback est à Lost, sauf qu'ici le procédé ne résume pas à une technique de récit qui revient automatiquement parce que c'est dans le cahier des charges en dépit de la consitance ou non du propos mais un filtre de représentation, intégré dans le propos de l'histoire et au style de mise en scène. Résultat: quand l'un fait souvent penser à l'équivalent d'un spot de pub et fait retomber son propos et son image à un registre feuilletonnesque conventionnel, l'autre, pensé comme une part intégrante du récit ET de la façon de l'envisager, nous cloue sur la place par la puissance et la poésie de ses effets. Oh, c'est con à dire, et j'aime pas dire ça (je déteste cette phrase balancée comme une pédanterie consensuelle), mais là, on peut parler de "pure poésie". L'épisode commence à peine que la douce voix de Pat nous narre un conte et nous fait immédiatement basculer dans cette dimension par un travail fouillé sur l'image - et l'imagerie du conte, motif qui revient fréquemment, dans le récit (104) ou la matière visuelle (106), utilisé chaque fois avec subtilité - et se termine sur une note qui aurait paru n'importe où ailleurs d'une niaiserie sans égal et qui ici est une bouffée de tendresse et de douceur.
Les effets spéciaux sont quand même depuis le début d'une force hallucinante. quand il ne distingue pas par leur intelligence structurelle, l'agencement du rêve va toujours dans le sens d'une épure - quand les autres se cantonnent à la surenchère - , soit en amplifiant la vérité partielle de ses propos (sa mise en relationt avec le quotidien d'Allison), soit en radicalisant sa distinction visuelle. Ces paysages de carton-pâte, avec des chateaux, des croque-mitaines, des princesses, la voix de la narratrice angélique ou démoniaque par infimes variations sont d'une beauté époustouflante: ici (comme dans le 106), Gondry croise Svanksmajer qui tutoie Burton, et des effets tout sobres comme celui du 107 sont épatants.
Donc, tour à l'aînée, qui s'est distinguée jusqu'ici par un registre de voix crispant. En fait, elle n'est pas moins bien que sa cadette - bien que largement moins attachante, mais c'est le perso "pré-ado" qui veut ça - , juste mieux lotie cette fois. J'aime beaucoup qu'ils n'aient pas totalement éludé la part énervante du personnage (comme dans le deus ex machina avec son 2d "I HAD A DREAM!!") et qu'ils aient cherché à la nuancer. Papa Joe, toujours très bien. C'est un peu le reflet du mauvais spectateur qui refuse de croire à l'histoire ( "I hate that when my little girl has a bad dream, I just can't give her a hug et a piece of cake, I have to expect a visit from the cops and the D.A !") , contrepoint à l'irrationnalité qui gouverne la série. Mari et père de famille idéal, et néamoins personnage très attachant.
Par ailleurs, la pédophilie est représentée sans complaisance ni voyeurisme, et encoreune fois, la représentation du Mal dans la série évite la tautologie et la facilité. Le dénouement aurait pu ressembler à un plombant éloge de l'auto-défense, mais non. Tout ça aurait pu être manipulé avec des doigts de pied, mais non. Petit bémol avec le retour du flic "con-con-mais-sympa-et-utile-au-fond-quand-même", mais très léger.
Définitivement un des meilleurs shows de la saison avec House et Huff, et tuc!
Oh... risky! D'abord la cadette, maintenant l'aînée. Le genre de choix qui joue à quitte ou double: un, puis deux, et trois, on aurait pu craindre l'overdose et la reddite.
Un mot sur les rêves, qui est à la série ce que le flashback est à Lost, sauf qu'ici le procédé ne résume pas à une technique de récit qui revient automatiquement parce que c'est dans le cahier des charges en dépit de la consitance ou non du propos mais un filtre de représentation, intégré dans le propos de l'histoire et au style de mise en scène. Résultat: quand l'un fait souvent penser à l'équivalent d'un spot de pub et fait retomber son propos et son image à un registre feuilletonnesque conventionnel, l'autre, pensé comme une part intégrante du récit ET de la façon de l'envisager, nous cloue sur la place par la puissance et la poésie de ses effets. Oh, c'est con à dire, et j'aime pas dire ça (je déteste cette phrase balancée comme une pédanterie consensuelle), mais là, on peut parler de "pure poésie". L'épisode commence à peine que la douce voix de Pat nous narre un conte et nous fait immédiatement basculer dans cette dimension par un travail fouillé sur l'image - et l'imagerie du conte, motif qui revient fréquemment, dans le récit (104) ou la matière visuelle (106), utilisé chaque fois avec subtilité - et se termine sur une note qui aurait paru n'importe où ailleurs d'une niaiserie sans égal et qui ici est une bouffée de tendresse et de douceur.
Les effets spéciaux sont quand même depuis le début d'une force hallucinante. quand il ne distingue pas par leur intelligence structurelle, l'agencement du rêve va toujours dans le sens d'une épure - quand les autres se cantonnent à la surenchère - , soit en amplifiant la vérité partielle de ses propos (sa mise en relationt avec le quotidien d'Allison), soit en radicalisant sa distinction visuelle. Ces paysages de carton-pâte, avec des chateaux, des croque-mitaines, des princesses, la voix de la narratrice angélique ou démoniaque par infimes variations sont d'une beauté époustouflante: ici (comme dans le 106), Gondry croise Svanksmajer qui tutoie Burton, et des effets tout sobres comme celui du 107 sont épatants.
Donc, tour à l'aînée, qui s'est distinguée jusqu'ici par un registre de voix crispant. En fait, elle n'est pas moins bien que sa cadette - bien que largement moins attachante, mais c'est le perso "pré-ado" qui veut ça - , juste mieux lotie cette fois. J'aime beaucoup qu'ils n'aient pas totalement éludé la part énervante du personnage (comme dans le deus ex machina avec son 2d "I HAD A DREAM!!") et qu'ils aient cherché à la nuancer. Papa Joe, toujours très bien. C'est un peu le reflet du mauvais spectateur qui refuse de croire à l'histoire ( "I hate that when my little girl has a bad dream, I just can't give her a hug et a piece of cake, I have to expect a visit from the cops and the D.A !") , contrepoint à l'irrationnalité qui gouverne la série. Mari et père de famille idéal, et néamoins personnage très attachant.
Par ailleurs, la pédophilie est représentée sans complaisance ni voyeurisme, et encoreune fois, la représentation du Mal dans la série évite la tautologie et la facilité. Le dénouement aurait pu ressembler à un plombant éloge de l'auto-défense, mais non. Tout ça aurait pu être manipulé avec des doigts de pied, mais non. Petit bémol avec le retour du flic "con-con-mais-sympa-et-utile-au-fond-quand-même", mais très léger.
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Jéjé a écrit :1.10
Et une nouvelle variation, une...
Ben heureusement.
Content de revoir Zach Grenier (échapper de feu Touching Evil US
... Je m'en remet pas) et Grace Zabriskie.
En tout cas, éloignier Pat de son boulot de chez le DA est une bonne idée, surtout quand elle revient pour constaté un échec... Mrs Bucley aura libéré "son" fils mais sera responsable de la mort d'un ados. Dommage Pat fallait être plus rapide cette fois.
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111 Married A Mind Reader
L'épisode est à la mesure du teaser, splendide et déroutant. Ici, on a droit à une variation à la Pleasantville/La Rose pourpre du Caire sur le passage derrière l'autre côté de l'écran et de la face cachée des personnages. Comme à l'accoutumée, la narration s'adapte magnifiquement à l'image et le fond et la forme sont en parfaite symbiose. L'enquête est aussi riche et complexe que la mise en scène simple et limpide, et inversement.
Ken Kelsch fait encore des merveilles, on pense beaucoup à Lynch et ça aide à se faire de fausses idées, notamment grâce au personnage de "Dorothy" (surtout quand l'actrice fait remarquer à Allison qu'elle ne lui ressemble pas).
Très belle guest list avec Frances Fisher et Paul Blackthorne, excellents.
Plus que cinq ...
L'épisode est à la mesure du teaser, splendide et déroutant. Ici, on a droit à une variation à la Pleasantville/La Rose pourpre du Caire sur le passage derrière l'autre côté de l'écran et de la face cachée des personnages. Comme à l'accoutumée, la narration s'adapte magnifiquement à l'image et le fond et la forme sont en parfaite symbiose. L'enquête est aussi riche et complexe que la mise en scène simple et limpide, et inversement.
Ken Kelsch fait encore des merveilles, on pense beaucoup à Lynch et ça aide à se faire de fausses idées, notamment grâce au personnage de "Dorothy" (surtout quand l'actrice fait remarquer à Allison qu'elle ne lui ressemble pas).
Très belle guest list avec Frances Fisher et Paul Blackthorne, excellents.
Plus que cinq
...
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111
Wow !
Première fois que je suis complétement conquis par la série. Les scénario est béton, la réal parfaite et retranscrit très bien les 60s avec une musique qui s'adapte parfaitement à l'ambiance.
Et puis j'aime l'idée d'Allison s'imaginant dans le passé avec le prénom Dorothy, ses visions c'est un peu son Oz à elle.
J'approuve, Paul est 100 fois mieux que dans la pathétique saison 3 de 24.
Wow !
Première fois que je suis complétement conquis par la série. Les scénario est béton, la réal parfaite et retranscrit très bien les 60s avec une musique qui s'adapte parfaitement à l'ambiance.
Et puis j'aime l'idée d'Allison s'imaginant dans le passé avec le prénom Dorothy, ses visions c'est un peu son Oz à elle.
cicéron a écrit :Très belle guest list avec Frances Fisher et Paul Blackthorne, excellents.
J'approuve, Paul est 100 fois mieux que dans la pathétique saison 3 de 24.
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112
Pourri .
On voit tout venir et où on en veut venir à des kilomètres, et l'épisode passe à une lenteur folle. Comme Feyrtys, j'aurai préféré que le condamné meure vraiment, qu'on exploite une faculté dramatique, ici nulle. Aucune surprise. Deux histoire de cache-cache, et une storyline avec la fille aînée au premier plan et hop l'épisode est terminé. Le travail bâclé par excellence, très décevant.
Allez va, je le leur fais confiance pour rattraper cette faute de goût avec les 4 derniers ...
Pourri
.
On voit tout venir et où on en veut venir à des kilomètres, et l'épisode passe à une lenteur folle. Comme Feyrtys, j'aurai préféré que le condamné meure vraiment, qu'on exploite une faculté dramatique, ici nulle. Aucune surprise. Deux histoire de cache-cache, et une storyline avec la fille aînée au premier plan et hop l'épisode est terminé. Le travail bâclé par excellence, très décevant.
Allez va, je le leur fais confiance pour rattraper cette faute de goût avec les 4 derniers
...
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112
Pas terrible, mais j'ai bien aimé un truc.
Qu'Allison se rende compte que joué à Dieu n'a rien d'une sinécure et que son don ne peut servir pour tout, en espérant que ça face intervenir un doute dans une prochaine histoire.
Pas terrible, mais j'ai bien aimé un truc.
Qu'Allison se rende compte que joué à Dieu n'a rien d'une sinécure et que son don ne peut servir pour tout, en espérant que ça face intervenir un doute dans une prochaine histoire.
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113
" You know why everything's gonna be O.K ? I'm 4 months pregnant, I'm unvulnerable!!"
!
Teaser et premier acte en forme de gros clin d'oeil à Lost (très drôles, la réaction du pilote quand il crashe et le "bad" d'Allison quand elle a la vision), efficaces aussi pour les fausses pistes qu'ils initient. Chad Lowe, tout en ambiguïté, est très bon.
L'intrigue familiale a des airs de "special", de concentré. Joe piquant une énième crise sa famille n'étant pas assez normael à son goût, ça aurait pu être barbant, mais ça passe, Jake appelant encore beaucoup d'empathie. Allison, débonnaire tout le long de l'épisode, dans le privé et le professionnel ("you're a very odd woman..."), offre un bon contraste à cette intrigue potentiellement inintéressante. Sa conclusion est très mignonne, kitsch et assez désarçonnante.
Pas mal sans être exceptionnel, mais bien meilleur que le précédent. Maintenant, si on pouvait remplacer Scanlon...
" You know why everything's gonna be O.K ? I'm 4 months pregnant, I'm unvulnerable!!"
!
Teaser et premier acte en forme de gros clin d'oeil à Lost (très drôles, la réaction du pilote quand il crashe et le "bad" d'Allison quand elle a la vision), efficaces aussi pour les fausses pistes qu'ils initient. Chad Lowe, tout en ambiguïté, est très bon.
L'intrigue familiale a des airs de "special", de concentré. Joe piquant une énième crise sa famille n'étant pas assez normael à son goût, ça aurait pu être barbant, mais ça passe, Jake appelant encore beaucoup d'empathie. Allison, débonnaire tout le long de l'épisode, dans le privé et le professionnel ("you're a very odd woman..."), offre un bon contraste à cette intrigue potentiellement inintéressante. Sa conclusion est très mignonne, kitsch et assez désarçonnante.
Pas mal sans être exceptionnel, mais bien meilleur que le précédent. Maintenant, si on pouvait remplacer Scanlon...
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114
Pas très convaincant. Voire moins bien.
Belle-maman qui s'incruste n'est pas un ressort très original, mais l'épisode a le mérite de faire le tour de la situation dans le seul épisode et sans tomber dans la grosse caricature. Les scènes entre Pat et le fantôme de son défunt beau-père sont notamment assez réussies, et ils ont le bon goût de ne pas transformer Kathy Baker en mégère (j'allais dire sorcière mais pas approprié).
Au niveau de l'enquête, c'est assez mauvais. On nous ressort encore ce boulet cabotin de Scanlon pour une intrigue qui a un très mauvais parfum conservateur. Le traitement de l'enquête est tiré par les cheveux jusqu'à cette représentation de la justice "against & above all" : sur le coup, j'ai cerné les défauts que Feyrtys reprochait aux 103 et 112, et la conclusion laisse un goût amer en bouche. Pire, il n'incite pas tant à s'intéresser à la suite tant il est linéaire.
Trop de schématisme narratif, pas assez d'onirisme, faudrait quand même mettre en valeur pour la fin de saison ce que la série a de meilleur à apporter les gars
...
Pas très convaincant. Voire moins bien.
Belle-maman qui s'incruste n'est pas un ressort très original, mais l'épisode a le mérite de faire le tour de la situation dans le seul épisode et sans tomber dans la grosse caricature. Les scènes entre Pat et le fantôme de son défunt beau-père sont notamment assez réussies, et ils ont le bon goût de ne pas transformer Kathy Baker en mégère (j'allais dire sorcière mais pas approprié).
Au niveau de l'enquête, c'est assez mauvais. On nous ressort encore ce boulet cabotin de Scanlon pour une intrigue qui a un très mauvais parfum conservateur. Le traitement de l'enquête est tiré par les cheveux jusqu'à cette représentation de la justice "against & above all" : sur le coup, j'ai cerné les défauts que Feyrtys reprochait aux 103 et 112, et la conclusion laisse un goût amer en bouche. Pire, il n'incite pas tant à s'intéresser à la suite tant il est linéaire.
Trop de schématisme narratif, pas assez d'onirisme, faudrait quand même mettre en valeur pour la fin de saison ce que la série a de meilleur à apporter les gars
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cicéron a écrit :113
" You know why everything's gonna be O.K ? I'm 4 months pregnant, I'm unvulnerable!!"
Teaser et premier acte en forme de gros clin d'oeil à Lost (très drôles, la réaction du pilote quand il crashe et le "bad" d'Allison quand elle a la vision), efficaces aussi pour les fausses pistes qu'ils initient. Chad Lowe, tout en ambiguïté, est très bon.
Je suis d'accord avec ça.
Par contre le reste m'a ennuyer, pourtant l'idée du choix qui éffleure Allison aurait pu être mieux traiter, quelque chose de vraiment cornélien, ou au moins, une fin moins culcul la praline, en clair l'avion aurait du ce crasher.
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115 Penny For Your Thoughts
Mise en place assez lente, mais accélération très réussie en son milieu. Bien qu'elle parvient in fine à sauver la fille de ses visions, Allison se voit confirmer que son pouvoir n'est pas omnipotent et manque le sauvetage de la victime. L'enquête zigzague avec élégance et les face-à-face entre elle et le médecin sont d'une très forte intensité.
Côté domestique, c'est assez plan-plan comme d'habitude, et l'intervention de ce genre de situation au cours de la saison était plutôt prévisible. L'intrigue surprend quand même, je ne voyais pas Allison lâcher le morceau.
Bilan provisoire, cette série n'est pas aussi originale et audacieuse que l'on pouvait espérer à ses débuts, mais elle fait l'objet d'un travail toujours très rigoureux, autant sur le plan narratif que formel. Elle contient très peu d'éléments menaçant son caractère routinier, mais elle parvient quand même à être assez riche et variée. Espérons un final à la hauteur...
Mise en place assez lente, mais accélération très réussie en son milieu. Bien qu'elle parvient in fine à sauver la fille de ses visions, Allison se voit confirmer que son pouvoir n'est pas omnipotent et manque le sauvetage de la victime. L'enquête zigzague avec élégance et les face-à-face entre elle et le médecin sont d'une très forte intensité.
Côté domestique, c'est assez plan-plan comme d'habitude, et l'intervention de ce genre de situation au cours de la saison était plutôt prévisible. L'intrigue surprend quand même, je ne voyais pas Allison lâcher le morceau.
Bilan provisoire, cette série n'est pas aussi originale et audacieuse que l'on pouvait espérer à ses débuts, mais elle fait l'objet d'un travail toujours très rigoureux, autant sur le plan narratif que formel. Elle contient très peu d'éléments menaçant son caractère routinier, mais elle parvient quand même à être assez riche et variée. Espérons un final à la hauteur...
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116
Bon season finale mais qui a je ne sais quoi de petit parfum d’arnaque.
On y retrouve le «captain» texan du pilote avec pas mal de plaisir (l’anecdote du poney, voire la plupart des scènes, très justes, avec Allison) pour une énième affaire de vilain serial killer. Le duo marche beaucoup comparativement que celui d’Allison et Scanlon. Et, « comme par hasard », le seul cliff de la saison arrive maintenant, pour une fois que l’affaire n’est pas conclue, on était en droit d’attendre une circonstance plus originale. Là, ça sent la transition très suffisante.
Ce qui est plus étrange, c’est l’analyse du couple Dubois. Leur situation a finalement très peu évolué depuis le pilote et la conclusion est sans surprise limite agaçante car répétitive. Sauf que les dites scènes sontexcellentes et leur traitement très bon. Allison est étrangement détachée et plus souriante que d’habitude dans cet épisode, alors que Joe suit le chemin inverse. La scène où Allison arrondit tous les angles pour pouvoir partir travailler est très efficace sur le plan émotionnel, comme celle du dîner. On n’est pas obligé d’être « avec » Joe pour comprendre ses réactions, du coup, le teaser n'a plus trop l'air d'une arnaque. Le traitement des nuances en ce qui concerne cette dimension narrative confirme à quel point la série a très bien géré ce ressort sur toute la saison.
Maintenant, il y a le traitement global des épisodes qui peut potentiellement poser problème. Autant ça ne pose pas trop de problèmes que la dimension domestique reste plan-plan, autant on a l’impression qu’il y a moins de risques et d’originalité en ce qui concerne les « cas » et leur intégration à cette trame. Le caractère appuyé du « to be continued… » présage malheureusement une disposition au conformisme assez décevante en vue du potentiel prometteur de l’évolution étrange du début de saison.
Très bonne usine à loners, niveau feuilletonnesque, peut mieux faire. Je serais tout de même là l’année prochaine, parce que le bilan de cette 1e saison reste très bon quand on isole les épisodes, reste plus qu’à espérer une évolution surprenante (et cela va sans dire réussie)…
Bon season finale mais qui a je ne sais quoi de petit parfum d’arnaque.
On y retrouve le «captain» texan du pilote avec pas mal de plaisir (l’anecdote du poney, voire la plupart des scènes, très justes, avec Allison) pour une énième affaire de vilain serial killer. Le duo marche beaucoup comparativement que celui d’Allison et Scanlon. Et, « comme par hasard », le seul cliff de la saison arrive maintenant, pour une fois que l’affaire n’est pas conclue, on était en droit d’attendre une circonstance plus originale. Là, ça sent la transition très suffisante.
Ce qui est plus étrange, c’est l’analyse du couple Dubois. Leur situation a finalement très peu évolué depuis le pilote et la conclusion est sans surprise limite agaçante car répétitive. Sauf que les dites scènes sontexcellentes et leur traitement très bon. Allison est étrangement détachée et plus souriante que d’habitude dans cet épisode, alors que Joe suit le chemin inverse. La scène où Allison arrondit tous les angles pour pouvoir partir travailler est très efficace sur le plan émotionnel, comme celle du dîner. On n’est pas obligé d’être « avec » Joe pour comprendre ses réactions, du coup, le teaser n'a plus trop l'air d'une arnaque. Le traitement des nuances en ce qui concerne cette dimension narrative confirme à quel point la série a très bien géré ce ressort sur toute la saison.
Maintenant, il y a le traitement global des épisodes qui peut potentiellement poser problème. Autant ça ne pose pas trop de problèmes que la dimension domestique reste plan-plan, autant on a l’impression qu’il y a moins de risques et d’originalité en ce qui concerne les « cas » et leur intégration à cette trame. Le caractère appuyé du « to be continued… » présage malheureusement une disposition au conformisme assez décevante en vue du potentiel prometteur de l’évolution étrange du début de saison.
Très bonne usine à loners, niveau feuilletonnesque, peut mieux faire. Je serais tout de même là l’année prochaine, parce que le bilan de cette 1e saison reste très bon quand on isole les épisodes, reste plus qu’à espérer une évolution surprenante (et cela va sans dire réussie)…
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lordofnoyze
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Je sais pas.
Je viens de finir le 1.04-Night of The Wolf, et à vrai dire, passé le pilote que j'avais bien aimé, j'ai beaucoup de mal à rentrer dans la série.
Du côté des points positifs on a le duo Arquette/le mari, qui fonctionne à chaque fois à merveille, toujours très juste, et une description réaliste de la vie de famille-moyenne.
Mais l'intrigue de Bridget je la trouve très superficielle. C'est bien simple, lors de l'expédition pour aller voir "l'ami imaginaire", je trouvais ça très creux (et je me dis fan de fantastique
).
Le seul moment réellement bien amené est la révélation de l'identité du tueur, d'abord j'ai été agréablement surpris, ensuite en voyant la poursuite je me suis dit "Ridicule".
Enfin, voilà, si quelqu'un pouvait me convaincre des qualités de la série pour que je continue plus loin....
Je viens de finir le 1.04-Night of The Wolf, et à vrai dire, passé le pilote que j'avais bien aimé, j'ai beaucoup de mal à rentrer dans la série.
Du côté des points positifs on a le duo Arquette/le mari, qui fonctionne à chaque fois à merveille, toujours très juste, et une description réaliste de la vie de famille-moyenne.
Mais l'intrigue de Bridget je la trouve très superficielle. C'est bien simple, lors de l'expédition pour aller voir "l'ami imaginaire", je trouvais ça très creux (et je me dis fan de fantastique
).
Le seul moment réellement bien amené est la révélation de l'identité du tueur, d'abord j'ai été agréablement surpris, ensuite en voyant la poursuite je me suis dit "Ridicule".
Enfin, voilà, si quelqu'un pouvait me convaincre des qualités de la série pour que je continue plus loin....
Lordofnoyze: Every day, new lows.
"Ya'll ain't ready." Petey Pablo
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115-116
Bon, je reste toujours mitigé sur la série.
Je la suis mais sans réel plaisir ni passion.
A l'exception de deux épisode ou je suis vraiment rentré dedans, le reste je l'ai vu comme un simple spéctateur, ou plutôt sans aucune implication émotionnel de ma part. Et ce n'est pas comme ça que je fonctionne normalement.
Je tenterais donc de suivre les premiers épisodes de la saisons 2, mai sje ne suis pas trop sur de suivre toute la saison.
Bon, je reste toujours mitigé sur la série.
Je la suis mais sans réel plaisir ni passion.
A l'exception de deux épisode ou je suis vraiment rentré dedans, le reste je l'ai vu comme un simple spéctateur, ou plutôt sans aucune implication émotionnel de ma part. Et ce n'est pas comme ça que je fonctionne normalement.
Je tenterais donc de suivre les premiers épisodes de la saisons 2, mai sje ne suis pas trop sur de suivre toute la saison.
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