Je suis vachement mitige sur epitafios.
En effet l ambiance est assez bonne, mais d un autre cote, j ai l impression qu on a vu ca pas mal de fois.
Un de vous disait que les persos etaient antipathiques. c est vrai. Et a partir du moment ou on n aime pas trop les persos (ou meme pire, quand on s en fout), l interet y en prend un sacre coup. Le Renzo, il se la ramene un peu toujours, et le vrai flic, qui bien sur ne comprend rien a la psychologie du tueur, et cette psychologue qui elle, a tout compris. Pour en revenir sur ce Renzo: Quel nul, c est quoi ce "hero" qui tombe d un toit???
J ai pas bien tout suivi l episode ou finalement il reintegre la police, mais en regardant cette serie, j ai l impression que c est hyper simple de redevenir flic.
c est qui la fille blonde? j ai cru comprendre que c etait une flic externe qui devrait arriver ( dans un doc promo que Jimmy a passe apres l adiffusion des 2 premiers episodes), si c est bien le cas, elle devrait vite venir car je crois qu il n y a qu une dizaine d episodes, et que on est bientot a la moitie.
et cet experience a la fin du quatre? c etait de savori si, quand on est vide de son sang on meurt? meme moi j aurai pu deviner ca.
enfin bon, je vais encore un peu continuer a regarder mais, c est pas super passionnant.
Epitafios - Jimmy
-
Agent Cooper
- Personne vivant au crochet d'Al Bundy
- Messages : 180
- Inscription : 22 sept. 2004 8:29
- Localisation : SL 27
Episodes 5 & 6
Toujours aussi mitigé devant mon écran mais toujours présent.
Malgré ses quelques défauts, on est obligé de reconnaitre que les scénaristes savaient où ils allaient avec leur série. Ca évite de virer dans le n'importe quoi scénaristique au niveau de la trame globale.
Pour preuve, le meurtre du prof de physique (assez gore d'ailleurs quand on repense comment a fini sa tete...) qui fait revenir le principal du lycée est pas trop mal vu (encore que prévoir l'absence de celui-ci était un peu trop baleze à mon gout). Mais ça enchaine sur la scene assez risible de la panne de voiture et de poursuite dans l'aéroport (mais qui a cru que le proviseur allait etre trouvé par le tueur?)... et ça, ça plombe un peu l'hsitoire.
je passe sur l'inintéressant triangle amoureux pour en venir à l'attaque du père de Renzo. pas surprenant quand on a vu la bande annonce de l'épisode (saleté de bande annonce) et intéressant pour l'histoire car maintenant tout le monde connait l'identité du meurtrier. Reste à voir comment ça peut évoluer.
Bilan de la mi-saison: intéressant mais pas transcendant non plus. beaucoup de choses restent prévisibles mais on arrive à etre surpris parfois. par contre, quand je lis les critiques de la presse ("Entertainment Weekly put it on its "must list" and the New York Post called it "super-addictive." " - site de HBO) je me demande si on voit la meme chose...
Toujours aussi mitigé devant mon écran mais toujours présent.
Malgré ses quelques défauts, on est obligé de reconnaitre que les scénaristes savaient où ils allaient avec leur série. Ca évite de virer dans le n'importe quoi scénaristique au niveau de la trame globale.
Pour preuve, le meurtre du prof de physique (assez gore d'ailleurs quand on repense comment a fini sa tete...) qui fait revenir le principal du lycée est pas trop mal vu (encore que prévoir l'absence de celui-ci était un peu trop baleze à mon gout). Mais ça enchaine sur la scene assez risible de la panne de voiture et de poursuite dans l'aéroport (mais qui a cru que le proviseur allait etre trouvé par le tueur?)... et ça, ça plombe un peu l'hsitoire.
je passe sur l'inintéressant triangle amoureux pour en venir à l'attaque du père de Renzo. pas surprenant quand on a vu la bande annonce de l'épisode (saleté de bande annonce) et intéressant pour l'histoire car maintenant tout le monde connait l'identité du meurtrier. Reste à voir comment ça peut évoluer.
Bilan de la mi-saison: intéressant mais pas transcendant non plus. beaucoup de choses restent prévisibles mais on arrive à etre surpris parfois. par contre, quand je lis les critiques de la presse ("Entertainment Weekly put it on its "must list" and the New York Post called it "super-addictive." " - site de HBO) je me demande si on voit la meme chose...
Truman: You saw a giant?
Cooper: Yes.
Albert: Any relation to the dwarf?
Cooper: Yes.
Albert: Any relation to the dwarf?
Franchement je penssais que le tueur allait l'avoir,car il n'avait pas pas louper une seule de ses victimes avant.Agent Cooper a écrit :Episodes 5 & 6
Toujours aussi mitigé devant mon écran mais toujours présent.
Malgré ses quelques défauts, on est obligé de reconnaitre que les scénaristes savaient où ils allaient avec leur série. Ca évite de virer dans le n'importe quoi scénaristique au niveau de la trame globale.
Pour preuve, le meurtre du prof de physique (assez gore d'ailleurs quand on repense comment a fini sa tete...) qui fait revenir le principal du lycée est pas trop mal vu (encore que prévoir l'absence de celui-ci était un peu trop baleze à mon gout). Mais ça enchaine sur la scene assez risible de la panne de voiture et de poursuite dans l'aéroport (mais qui a cru que le proviseur allait etre trouvé par le tueur?)... et ça, ça plombe un peu l'hsitoire.
je passe sur l'inintéressant triangle amoureux pour en venir à l'attaque du père de Renzo. pas surprenant quand on a vu la bande annonce de l'épisode (saleté de bande annonce) et intéressant pour l'histoire car maintenant tout le monde connait l'identité du meurtrier. Reste à voir comment ça peut évoluer.
Bilan de la mi-saison: intéressant mais pas transcendant non plus. beaucoup de choses restent prévisibles mais on arrive à etre surpris parfois. par contre, quand je lis les critiques de la presse ("Entertainment Weekly put it on its "must list" and the New York Post called it "super-addictive." " - site de HBO) je me demande si on voit la meme chose...
Clara par contre j'ai tout de suite compris,mais ils ont été assez intelligent de nous dire assez tot la véritée,malin.
La serie deviens de mieux en mieux, RENZO n'est pas fait pour etre sympathique pour le spectateur,un depressif ne peux pas l'etre ,et on sait qu'il sera la derniere victime,donc sa vie n'est pas menacer pour le moment.
-
Dino Ortolani
- Glisseur solitaire
- Messages : 241
- Inscription : 31 janv. 2002 15:12
Alors, vous avez tous laissé tomber Epitafios? Dommage, la fin était vraiment pas mal.
Je suis assez d'accord sur le fait que la série était pas spécialement originale, un thriller avec un tueur en série et un flic, une histoire de vengeance... Et il est vrai qu'à part la langue, ça aurait pu être tourné à peu près n'importe où, il n'y a pas eu de vraie diversité sud-américaine, mais après tout pourquoi faudrait-il qu'il y en ait une à tout prix? Ce n'est pas parce que la série est argentine qu'elle doit forcément parler de la situation économique du pays ou qu'on doit nous asséner une musique latinisante.
Par ailleurs, comme ça a déjà été dit, les deux rôles principaux manquaient un peu de relief. Passe encore pour Renzo, j'y reviendrai plus tard, mais alors la psy, le vide intégral, le néant absolu. Leur histoire d'amour était en plus sans intérêt : entre Renzo qui menace de se suicider si la psy s'en va (la classe), et la psy dont je n'ai pas perçu à un seul instant qu'elle aimait vraiment Renzo, difficile de s'intéresser à cette histoire d'amour.
L'autre personnage féminin est à peine mieux loti. Son passé est intéressant, la conclusion de son histoire aussi (encore que je n'ai pas compris si le tueur avait envoyé les photos à la police également, ou s'il voulait juste qu'elle arrête de s'aveugler), mais entre les deux... Son interaction avec le tueur était pas sans intérêt, mais je pense que les scénaristes auraient pu pousser plus loin. Quant à l'histoire de la roulette russe, du grand n'importe quoi.
Cela étant, même si l'originalité n'était pas de mise, même si certains personnages manquaient de relief, la construction était quand même exemplaire, le déroulement limpide, impitoyable, dans l'ensemble. Même si on pouvait deviner à l'avance certaines péripéties et révélations, il y avait quand même toujours des surprises.
Avec en plus un tueur extrêmement travaillé, tant dans la construction que dans l'interprétation (je me suis demandé si c'était l'interprétation de l'actrice qui avait fait que je n'avais pas cru à l'histoire d'amour Renzo-la psy), et c'est à mon sens la vraie réussite et la vraie audace, la vraie originalité d'Epitafios : c'est autour de lui que se construit l'histoire, c'est lui le personnage le plus séduisant (physiquement il est quand même plus bandant que Renzo, et intellectuellement aussi), c'est lui qui mène le jeu, et c'est surtout lui le personnage le plus attachant, au final. Alors que c'est lui qui arrache à petit feu les orteils de ses victimes.
Selon moi, ça n'est pas un hasard, due au miscasting des autres interprètes par exemple, mais un choix délibéré de la part des scénaristes : mettre en avant le tueur, et faire en sorte qu'on s'y attache, sans pourtant qu'il y ait rédemption de sa part. Et ça, j'ai trouvé ça très fort.
Tout comme j'ai trouvé très fort qu'on nous mette a contrario un personnage principal "positif" assez pathétique, qui se casse la gueule depuis un toit, est dépressif depuis, et ne comprend rien à rien ensuite pendant treize épisodes. Il est largué complet, manipulé de bout en bout par le tueur, et c'est finalement assez jouissif. A cet égard, la fin est exemplaire, le spectateur sait que Renzo est encore en train de se faire avoir, et il y va quand même, l'abruti. Et puis la mort de la psy, putain quel pied. Enfin, personnellement, le refus de Renzo de se suicider, je ne l'ai pas pris comme une marque, enfin, de sa résistance au tueur, mais juste de sa lâcheté. Car avant tout, Renzo est un personnage lâche, qui fait du chantage affectif sur sa meuf au lieu de la laisser partir, et donc de lui donner la possibilité de s'en tirer, et c'est vraiment lui qui creuse sa propre tombe, ou en tout cas celle de la psy. Et moi j'aime bien les personnages qui creusent leur propre tombe.
Bref, au final Epitafios était tout de même plus original que ce qu'on pouvait croire, et sur la forme, il n'y avait vraiment rien à redire (bon, peut-être aurait-il fallu changer l'actrice qui joue la psy).
Je suis assez d'accord sur le fait que la série était pas spécialement originale, un thriller avec un tueur en série et un flic, une histoire de vengeance... Et il est vrai qu'à part la langue, ça aurait pu être tourné à peu près n'importe où, il n'y a pas eu de vraie diversité sud-américaine, mais après tout pourquoi faudrait-il qu'il y en ait une à tout prix? Ce n'est pas parce que la série est argentine qu'elle doit forcément parler de la situation économique du pays ou qu'on doit nous asséner une musique latinisante.
Par ailleurs, comme ça a déjà été dit, les deux rôles principaux manquaient un peu de relief. Passe encore pour Renzo, j'y reviendrai plus tard, mais alors la psy, le vide intégral, le néant absolu. Leur histoire d'amour était en plus sans intérêt : entre Renzo qui menace de se suicider si la psy s'en va (la classe), et la psy dont je n'ai pas perçu à un seul instant qu'elle aimait vraiment Renzo, difficile de s'intéresser à cette histoire d'amour.
L'autre personnage féminin est à peine mieux loti. Son passé est intéressant, la conclusion de son histoire aussi (encore que je n'ai pas compris si le tueur avait envoyé les photos à la police également, ou s'il voulait juste qu'elle arrête de s'aveugler), mais entre les deux... Son interaction avec le tueur était pas sans intérêt, mais je pense que les scénaristes auraient pu pousser plus loin. Quant à l'histoire de la roulette russe, du grand n'importe quoi.
Cela étant, même si l'originalité n'était pas de mise, même si certains personnages manquaient de relief, la construction était quand même exemplaire, le déroulement limpide, impitoyable, dans l'ensemble. Même si on pouvait deviner à l'avance certaines péripéties et révélations, il y avait quand même toujours des surprises.
Avec en plus un tueur extrêmement travaillé, tant dans la construction que dans l'interprétation (je me suis demandé si c'était l'interprétation de l'actrice qui avait fait que je n'avais pas cru à l'histoire d'amour Renzo-la psy), et c'est à mon sens la vraie réussite et la vraie audace, la vraie originalité d'Epitafios : c'est autour de lui que se construit l'histoire, c'est lui le personnage le plus séduisant (physiquement il est quand même plus bandant que Renzo, et intellectuellement aussi), c'est lui qui mène le jeu, et c'est surtout lui le personnage le plus attachant, au final. Alors que c'est lui qui arrache à petit feu les orteils de ses victimes.
Selon moi, ça n'est pas un hasard, due au miscasting des autres interprètes par exemple, mais un choix délibéré de la part des scénaristes : mettre en avant le tueur, et faire en sorte qu'on s'y attache, sans pourtant qu'il y ait rédemption de sa part. Et ça, j'ai trouvé ça très fort.
Tout comme j'ai trouvé très fort qu'on nous mette a contrario un personnage principal "positif" assez pathétique, qui se casse la gueule depuis un toit, est dépressif depuis, et ne comprend rien à rien ensuite pendant treize épisodes. Il est largué complet, manipulé de bout en bout par le tueur, et c'est finalement assez jouissif. A cet égard, la fin est exemplaire, le spectateur sait que Renzo est encore en train de se faire avoir, et il y va quand même, l'abruti. Et puis la mort de la psy, putain quel pied. Enfin, personnellement, le refus de Renzo de se suicider, je ne l'ai pas pris comme une marque, enfin, de sa résistance au tueur, mais juste de sa lâcheté. Car avant tout, Renzo est un personnage lâche, qui fait du chantage affectif sur sa meuf au lieu de la laisser partir, et donc de lui donner la possibilité de s'en tirer, et c'est vraiment lui qui creuse sa propre tombe, ou en tout cas celle de la psy. Et moi j'aime bien les personnages qui creusent leur propre tombe.
Bref, au final Epitafios était tout de même plus original que ce qu'on pouvait croire, et sur la forme, il n'y avait vraiment rien à redire (bon, peut-être aurait-il fallu changer l'actrice qui joue la psy).
"Je suis doux et pacifique"
(Koltès, Roberto Zucco)
(Koltès, Roberto Zucco)
-
joma
- Arch-Nemesisss des scénaristes de 24
- Messages : 3740
- Inscription : 14 août 2002 16:43
- Localisation : Le pays des grenouilles intolérantes
Merci... Bon, j'ai loupé le 13, quel burne.Lemonhead a écrit :http://mapage.noos.fr/grilletv/episothe ... l#show2888
Membre de la Fédération Internationale des Gros Branleurs
- What you want Natalie ?
- To drink and fight !
- What you need Natalie
- To fuck all night !
Natalie Portman rap SNL.
- What you want Natalie ?
- To drink and fight !
- What you need Natalie
- To fuck all night !
Natalie Portman rap SNL.