L'éducation à l'image

Discussions sur l'actualité de la télévision et réflexions sur ses programmes. Le site du <a href="http://www.a-suivre.org/_archives/flt/" target="_blank">Front de Libération Télévisuelle</a> se consacre à ces questions.
gib's
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L'éducation à l'image

Message par gib's »

Darklord, j'attend toujours tes arguments en béton contre ce principe (tu étais pour au moment de la rédaction de la DDT, mais qu'il y ait eu discussion sur comment on pourrait implémenter ce principe. SI je me souviens bien) :D
DarkLord
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Re: education à l'image

Message par DarkLord »

gib's a écrit :Darklord, j'attend toujours tes arguments en béton contre ce principe (tu étais pour au moment de la rédaction de la DDT, mais qu'il y ait eu discussion sur comment on pourrait implémenter ce principe. SI je me souviens bien) :D


Tu devras patienter encore un peu car j'ai du boulot.
Je n'ai jamais été pour en tout cas. J'ai toujours souligné la dimension utopique de ce qui, à mon sens, ne serait qu'une charge inutile et incomplète pour les élèves.
DarkLord
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Message par DarkLord »

Éducation à l’image: approche critique

Mon but n’est pas de critiquer un tel enseignement sur le fond. Bien entendu qu’il est souhaitable d’enseigner aux jeunes citoyens comment aborder les médias télévisuels. Le seul argument de fond qui peut-être avancé est qu’il n’est pas sain d’apprendre aux jeunes à se méfier de tout et à tout remettre en cause. Je ne partage pas cet argument d’inspiration humaniste et utopiste.

Seulement cet argument n‘est pas seul. Si on veut être crédible aux yeux de nos interlocuteurs, on ne peut pas lancer des projets en l’air sans réfléchir aux conséquences pratiques.

Ma première critique sera d’ordre matériel. Un enseignement de l’éducation à l’image serait, pour les élèves du secondaires (car c’est de ça qu’il s’agit en l’occurrence) une charge de travail supplémentaire et à ce titre superflue. Il faut penser ce que cela implique pour les élèves et pour l’éducation nationale, au niveau du recrutement notamment. Personnellement, même si l’approche critique des médias est un point qui me tient à cœur, je ne peux pas demander aux professeurs et aux élèves de faire des sacrifices trop importants. Or pour être efficace un tel cours exigerait beaucoup d’investissement des deux côtés.

Ma seconde critique porte sur l’égocentrisme d’un tel enseignement. Pourquoi se limite à l’image ? La presse écrite ne peut pas être ignorée, sinon cet enseignement est inutile Ce que je préconise, c’est l’instauration d’un cours plus général qui tournerait autour de la logique, la critique et de la réthorique. Je ne développerais pas cette idée car cela sort du cadre de notre association.

Bref, je pense que le champs trop restreint d’un cour d’éducation à l’image, conjugué à la charge que cela représente, ne plaident pas en faveur de sa création. Bien sûr, on peut ignorer ces paramètres mais je crois que ce serait une attitude irresponsable. Bien sûr, l’idée de ce cour est idéologiquement formidable mais on peut pas ignorer les obstacles au motif que ce sera aux autres de se débrouiller. On ne peut pas lancer des projets sans penser aux applications pratiques. Je me répète mais j’insiste sur ce point. Jouer les laboratoires d’idées, c’est très prisé sur le plan intellectuel mais c’est totalement superflue autrement. Démarquons nous des associations démagogues qui ne vivent que par des projets aux aspects de fabulation.
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Message par ozgirl »

DarkLord a écrit :Éducation à l’image: approche critique

Mon but n’est pas de critiquer un tel enseignement sur le fond. Bien entendu qu’il est souhaitable d’enseigner aux jeunes citoyens comment aborder les médias télévisuels. Le seul argument de fond qui peut-être avancé est qu’il n’est pas sain d’apprendre aux jeunes à se méfier de tout et à tout remettre en cause. Je ne partage pas cet argument d’inspiration humaniste et utopiste.

Jusque là, nous sommes d'accord ;)

Seulement cet argument n‘est pas seul. Si on veut être crédible aux yeux de nos interlocuteurs, on ne peut pas lancer des projets en l’air sans réfléchir aux conséquences pratiques.


ok

Ma première critique sera d’ordre matériel. Un enseignement de l’éducation à l’image serait, pour les élèves du secondaires (car c’est de ça qu’il s’agit en l’occurrence) une charge de travail supplémentaire et à ce titre superflue. Il faut penser ce que cela implique pour les élèves et pour l’éducation nationale, au niveau du recrutement notamment. Personnellement, même si l’approche critique des médias est un point qui me tient à cœur, je ne peux pas demander aux professeurs et aux élèves de faire des sacrifices trop importants. Or pour être efficace un tel cours exigerait beaucoup d’investissement des deux côtés.


Premièrement, l'enseignement de l'image, tel qu'il est prévu actuellement dans les textes officiels, commence dès l'enseigenemnt primaire. Il faut faire attention à l'expression "éducation de l'image", qui ne touche pas seulement la télé ou le ciné, mais aussi la peinture, la photographie, la cartographie, les illustrations..., ce qui explique qu'elle soit présente dès le primaire.
Pour le secondaire, ce sont les professeurs de français qui l'ont en charge. Il n'y aurait donc pas de charges financières supplémetaires pour l'Education Nationale, puisuq'il s'agit de profs déjà embauchés sur des horaires déjà définis (ils n'ont pas d'heures en plus pour cet enseignement, qui doit se faire en interaction avec leur cours, sauf, bien évidemment, dans le cadre du cursus littéraire, option cinéma, mais le débat n'est pas là).
Le problème, car il y en a un, c'est que les profs disent eux-mêmes n'être pas assez formés : ils le font souvent seuls ; aux concours de recrutements de l'Education nationale, il n'y a pas d'épreuves sur l'image (sauf à l'agrégation interne de Lettres Modernes, car il y a désormais un film à étudier en Terminale Littéraire). C'est là que pourraient porter des efforts.

Ma seconde critique porte sur l’égocentrisme d’un tel enseignement. Pourquoi se limite à l’image ? La presse écrite ne peut pas être ignorée, sinon cet enseignement est inutile Ce que je préconise, c’est l’instauration d’un cours plus général qui tournerait autour de la logique, la critique et de la réthorique. Je ne développerais pas cette idée car cela sort du cadre de notre association
.

La presse écrite n'est pas ignorée dans un tel cours puique le prof peut, par exemple, faire travailler ses élèves sur les liens entre article et photos d'illustration dans un article. Rien ne lui interdit de le faire.

Bref, je pense que le champs trop restreint d’un cour d’éducation à l’image, conjugué à la charge que cela représente, ne plaident pas en faveur de sa création. Bien sûr, on peut ignorer ces paramètres mais je crois que ce serait une attitude irresponsable. Bien sûr, l’idée de ce cour est idéologiquement formidable mais on peut pas ignorer les obstacles au motif que ce sera aux autres de se débrouiller. On ne peut pas lancer des projets sans penser aux applications pratiques. Je me répète mais j’insiste sur ce point. Jouer les laboratoires d’idées, c’est très prisé sur le plan intellectuel mais c’est totalement superflue autrement. Démarquons nous des associations démagogues qui ne vivent que par des projets aux aspects de fabulation.


Encore une fois, il ne s'agit pas de création : ça existe déjà. Il s'agit, pour moi, de voir comment faire pour que ça soit fait le mieux possible. Dans le cadre du projet avec Carmen Compte, ce qui l'intéresse, à mon avis, c'est de voir les critiques, non pas pour remettre en cause cet enseignement (elle n'en a pas le pouvoir), mais pour essayer de l'améliorer en prenant en compte l'avis des "adversaires" d'une telle conception.

Quant à la faisabilité des choses, les profs sont très souvent super motivés, mais manquent d'outils pédagogiques pour faire ce qu'ils voudraient faire. Je pesne que le vrai problème est là.
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Message par DarkLord »

ozgirl a écrit :Premièrement, l'enseignement de l'image, tel qu'il est prévu actuellement dans les textes officiels, commence dès l'enseigenemnt primaire. Il faut faire attention à l'expression "éducation de l'image", qui ne touche pas seulement la télé ou le ciné, mais aussi la peinture, la photographie, la cartographie, les illustrations..., ce qui explique qu'elle soit présente dès le primaire.


Dès le primaire ? Ca me semble superflu. Les très jeunes élèves ne sont pas à même de saisir les nuances de la critique à leur âge. Il serait plus judicieux par consolider leur base (notamment en français, anglais, mathématique, ...).

Pour le secondaire, ce sont les professeurs de français qui l'ont en charge. Il n'y aurait donc pas de charges financières supplémetaires pour l'Education Nationale, puisuq'il s'agit de profs déjà embauchés sur des horaires déjà définis (ils n'ont pas d'heures en plus pour cet enseignement, qui doit se faire en interaction avec leur cours, sauf, bien évidemment, dans le cadre du cursus littéraire, option cinéma, mais le débat n'est pas là).


Je ne suis pas convaincu. Le programme est déjà chargé mais surtout, seront-ils compétents en la matière ? J'en doute, je pense que la majorité vont laisser cet enseignement dans leur placard.
On en revient à l'aspect utopiste du cour.


Encore une fois, il ne s'agit pas de création : ça existe déjà.


C'est plus grave que je ne pensais alors car je n'en ai jamais entendu parler. Jamais au lycée on ne m'a enseigné ceci, mon petit frère non plus et il a quitté le lycée très récemment. Pourtant c'est un lycée publique réputée.

Quant à la faisabilité des choses, les profs sont très souvent super motivés, mais manquent d'outils pédagogiques pour faire ce qu'ils voudraient faire. Je pesne que le vrai problème est là.


Il ne faut pas s'attendre à ce que le gouvernement vous donne ne serait-ce qu'un euro pour financer le projet. C'est dommage mais c'est de bonne guerre. On était prévenu au mois d'avril.
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Message par ozgirl »

DarkLord a écrit :
ozgirl a écrit :Premièrement, l'enseignement de l'image, tel qu'il est prévu actuellement dans les textes officiels, commence dès l'enseigenemnt primaire. Il faut faire attention à l'expression "éducation de l'image", qui ne touche pas seulement la télé ou le ciné, mais aussi la peinture, la photographie, la cartographie, les illustrations..., ce qui explique qu'elle soit présente dès le primaire.


Dès le primaire ? Ca me semble superflu. Les très jeunes élèves ne sont pas à même de saisir les nuances de la critique à leur âge. Il serait plus judicieux par consolider leur base (notamment en français, anglais, mathématique, ...).


Il y a des choses tout à fait possible à faire en primaire : par exemple, je connais une instit qui avait fait bosser les gamins sur les différentes cartes de l'Europe : par exemple, une où chaque pays a une couleur différente et une autre où tous les pays de l'UE sont de la même couleur. pourquoi ? Qu'est-ce que ça signifie ? D'autre part, ça peut tout à fait leur faire bosser leur français si tu leur demandes de l'expliquer par écrit.

Pour le secondaire, ce sont les professeurs de français qui l'ont en charge. Il n'y aurait donc pas de charges financières supplémetaires pour l'Education Nationale, puisuq'il s'agit de profs déjà embauchés sur des horaires déjà définis (ils n'ont pas d'heures en plus pour cet enseignement, qui doit se faire en interaction avec leur cours, sauf, bien évidemment, dans le cadre du cursus littéraire, option cinéma, mais le débat n'est pas là).

Je ne suis pas convaincu. Le programme est déjà chargé mais surtout, seront-ils compétents en la matière ? J'en doute, je pense que la majorité vont laisser cet enseignement dans leur placard.
On en revient à l'aspect utopiste du cour.


En dehors des années où il y a un exam sur programme défini (type bac français), l'enseignement du français est organisé en séquence (perso, je ne trouve pas ça extra, mais je n'y peux rien). Le programme est donc moins "chargé" que tu ne peux le croire. Ce qu'on peut faire : par exemple, en 6ème, tu dois faire une séquence sur le conte. Tu fais donc lire des contes aux élèves, tu étudies des points de grammaire/conjugaison en rapport (par exemple, l'alternance passé simple/imparfait dans le texte), des spécificités littéraires (comment se construit le merveilleux, le pacte narratif, etc.) et le but est qu'à la fin l'élève écrive son propre conte (donc rédaction). Et bien, des prof font bosser dans ce cadre sur des débuts de films, pour montrer que la construction d'un univers fictionnel a des points communs entre un livre et un film, et des différences.

D'autre part, en terminale littéraire, l'étude d'un film est obligatoire, et le film à étudier est décidé par le Ministère de l'Education Nationale. (du moins, c'était comme ça à mon époque)

Encore une fois, il ne s'agit pas de création : ça existe déjà.


C'est plus grave que je ne pensais alors car je n'en ai jamais entendu parler. Jamais au lycée on ne m'a enseigné ceci, mon petit frère non plus et il a quitté le lycée très récemment. Pourtant c'est un lycée publique réputée.


C'est le problème des lycées réputés (ce n'est pas une critique, je sors d'un lycée comme ça ;) ): ils trouvent souvent que c'est une perte de temps et qu'ils ont mieux à faire. Moi non plus, je n'ai pas eu de cours comme ça au lycée (mais j'en ai eu un peu au collège).

Quant à la faisabilité des choses, les profs sont très souvent super motivés, mais manquent d'outils pédagogiques pour faire ce qu'ils voudraient faire. Je pesne que le vrai problème est là.


Il ne faut pas s'attendre à ce que le gouvernement vous donne ne serait-ce qu'un euro pour financer le projet. C'est dommage mais c'est de bonne guerre. On était prévenu au mois d'avril.


Malheureusement...
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Message par DarkLord »

Les arguments de Ozgirl sont pertinents mais ils reposent pour certains sur des anecdotes qui ne me poussent pas à changer d'opinion.
Je crois qu'il faudrait que je puisse jetter un coup d'oeil sur les textes officiels (ou leur projets) relatifs à ce sujet. L'opinion des syndicats de l'éducation nationale ne serait pas superflu.
Je n'ai pas le temps de chercher tout ça, donc si une bonne âme veut nous rendre ce service, elle aura toute ma gratitude. ;)
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Message par ozgirl »

DarkLord a écrit :Les arguments de Ozgirl sont pertinents


Merci

mais ils reposent pour certains sur des anecdotes qui ne me poussent pas à changer d'opinion.


Personnellement, j'appelle ça des cas pratiques et ça me semblait plus simple d'expliquer concrètement que de rester dans l'abstrait.


Je crois qu'il faudrait que je puisse jetter un coup d'oeil sur les textes officiels (ou leur projets) relatifs à ce sujet. L'opinion des syndicats de l'éducation nationale ne serait pas superflu.
Je n'ai pas le temps de chercher tout ça, donc si une bonne âme veut nous rendre ce service, elle aura toute ma gratitude. ;)


Tiens tout (ou presque) est là : http://a.hymon.free.fr/imageduc/index.html
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Message par Adam-Xero »

Bon je suis en 1ere ES et je doit dire que pour l'instant en francais je n'ai rien vu venir sur ce sujet ...
Par contre j'ai un prof d' ECo trés motivé et il n'hésite pas (au travers d'exemple) de nous expliquer les travers des journalistes ...
C'est assez limité car ca ne touche que les journaux tv les journaux papier et un peu la radio mais il essaye vraiment de nous faire acquerir un sens critique et de ne pas être passif devant ca télé (car pour 90% de ma classe c'est le seul médié regardé)
Je pense que l'Education Nationale devrait aller dans ce sens (et d'aprés ce que vous dite c'est a peu prés ca) plutot que de rajouter des heures (Comme l'ECJS par exemple) ou on se dit aller on parle de ca maintenant.
Je pense que ce genre de chose a plus tendance a arriver au fil des discution plutot qu'a une heure bien précise.
Autre possibilité qui pourait être interessante dans les TPE on est amené a rechercher dans ces médias ca serait a mon sens le bon moment pour dire Attention ne prenait pas tout pour argent contant ... et d'entamer le débat ...
Mais enfin ce n'est que mon avi ;) ...
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Message par Nunus »

Adam-Xero a écrit :Bon je suis en 1ere ES et je doit dire que pour l'instant en francais je n'ai rien vu venir sur ce sujet ...
Par contre j'ai un prof d' ECo trés motivé et il n'hésite pas (au travers d'exemple) de nous expliquer les travers des journalistes ...
C'est assez limité car ca ne touche que les journaux tv les journaux papier et un peu la radio mais il essaye vraiment de nous faire acquerir un sens critique et de ne pas être passif devant ca télé (car pour 90% de ma classe c'est le seul médié regardé)
Je pense que l'Education Nationale devrait aller dans ce sens (et d'aprés ce que vous dite c'est a peu prés ca) plutot que de rajouter des heures (Comme l'ECJS par exemple) ou on se dit aller on parle de ca maintenant.
Je pense que ce genre de chose a plus tendance a arriver au fil des discution plutot qu'a une heure bien précise.
Autre possibilité qui pourait être interessante dans les TPE on est amené a rechercher dans ces médias ca serait a mon sens le bon moment pour dire Attention ne prenait pas tout pour argent contant ... et d'entamer le débat ...
Mais enfin ce n'est que mon avi ;) ...

Je suis tout à fait d'accord avec Adam-Xero, je suis moi aussi en premiére et je dois dire que les TPE et l'ECJS sont fait de telle façon que le sens critique des éléves, ne peut être dévellopé. Certes, ma prof d'histoire essaye de nous amener à lire les journaux, à nous intérrésé à l'actu (enfin, j'emploi un vous mais j'avais pas besoin d'elle ;-) )... Mais les élèves ne sont pas récéptif.
L'exemple le plus frappent et bien sur en TPE comme l'a dit Adam, nombreux sont mes camarades qui prennent des infos sur le net, dans des journaux pour agent comptant sans se démander si ils sont d'accord avec ce qui à écrit. Je pense en particulier à des articles de Libé, Le monde, le figaro ou de certains sites web.
Mais voila pour moi le probléme se pose aux niveaux des compétences des profs dans ce domaine. Comment faire passer intelligement un sens critique aux élèves dans que ceux-ci ce disent: "C'est le prof qui le dit, on s'en fiche, on le retient pour le DS et puis voila" et malheuresement, vous dirait que j'exagére mais je l'ai entendu et vu plus d'un fois !!!!!
Enfin, j'ai pas envie de mon plonger dans ces textes de l'éducation nationale car entre ceci et la réalité, ils existent un énorme fossé. A la fois sur le plan matériel (une télévision pour 10 salles de cours ...) et de temps.
Je pense que le sens critique ne peut être acquit par des leçons de critique mais par une pratique en rapport avec d'autres activités.
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Message par gib's »

Désolé mais ce forum est interdit au moins de 18 ans :D
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Message par DarkLord »

gib's a écrit :Désolé mais ce forum est interdit au moins de 18 ans :D


Eh Guy Bedos, c'est quoi tes arguments sur la question de l'éducation à l'image ?
Trop funky ?

:D ;) :lol:
gib's
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Message par gib's »

DarkLord a écrit :
gib's a écrit :Désolé mais ce forum est interdit au moins de 18 ans :D

Eh Guy Bedos,


Euh, s'il te plait, pas d'insulte.
Appelle moi: the funky sarcozy.

c'est quoi tes arguments sur la question de l'éducation à l'image ?


Patience, patience ;)

Trop funky ?


Blame it on the boogie.
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Message par Adam-Xero »

gib's a écrit :Désolé mais ce forum est interdit au moins de 18 ans :D

ben oué de toute facon on a aucun sens crtitique alors qu'est que l'on pourait bien y avoir a dire :rolleyes:
gib's
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Message par gib's »

Tu peux toujours venir perturber le topic, ca met un peu d'ambiance.
Verrouillé