09> Cap'n Toby Show
Scénario> John Shiban, Vince Gilligan & Frank Spotnitz
Réalisation> Carol Banker
J'ai vu cet épisode il y a très longtemps, mais je ne l'ai plus chez moi. Il faut donc que quelqu'un se charge d'en faire la review.
Cahier critique LGM
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Sullivan
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10> Tango de los Pistoleros
Scénario> Thomas Schnauz
Réalisation> Bryan Spicer
Argument> Les quatre Gunmen espionnent Yves dans la région de Miami, en Floride, et interfèrent dans l'un de ses contrats. Pour aller plus loin, il va leur falloir à tous réussir à mettre les pieds dans un grand concours de Tango.
Opinion> Sullivan : A+.
Il est là! L'épisode grâce auquel, en dépis de tous les moments pénibles par lesquels on est passé, The Lone Gunmen mérite d'avoir été tournée. Le script de cet épisode renoue avec l'Univers de la série, esquissé dans un épisode comme "Eine Kleine Frohike" et laissé de coté depuis. On y retrouve donc les maquillages incroyables de Yves, ou le personnage de Kimmy (le frère jumeau de Jimmy, écrasé par un bus dans "Three of a Kind" de X-Files). Tous ces éléments s'avèrent utilisés dans une histoire absolument formidable et riche, dotée -- cela en sera le seul exemple dans cette série -- d'une ambiance unique. Il le doit à cette mise en scène du Tango, notamment au détour du meilleur teaser de la série (et, comme par hasard, celui qui prend le plus de risque), visuellement fantastique, tout comme le reste de l'épisode. On retrouve là le Bryan Spicer qui nous avait gratifié d'un étourdissant "Inga Fossa" dans Harsh Realm, un réalisateur hors pair doté d'un sens visuel unique qu'il avait un peu laissé en sommeil jusqu'ici (on le comprend: y'avait pas vraiment de quoi être motivé par des scripts pareils). "Tango de los Pisteleros" réalise aussi un travail très intéressant sur les personnage, notamment Yves, qui ne se dévoile vraiment ici que pour la première fois. La même application est mise sur les personnages de la semaine, et Santavos, le méchant, se paye carrément le luxe d'être multidimensionnel! Comme si cet épisode ne se satisfaisait pas de nous impressionner, de nous passionner, et de nous émouvoir, il contient aussi quelques unes des séquences les plus drôles de la série, cette fois -- chose très rare -- réellement intégrée à l'intrigue, tels que l'irresistible audition des compères au concours de Tango, ou encore le retour du grand El Lobo. Ceux qui ont vu l'épisode comprendrons. Les autres, quand bien même les épisodes précédents vous auraient fait abandonner la série, ne manquez celui-ci sous aucun prétexte!
Scénario> Thomas Schnauz
Réalisation> Bryan Spicer
Argument> Les quatre Gunmen espionnent Yves dans la région de Miami, en Floride, et interfèrent dans l'un de ses contrats. Pour aller plus loin, il va leur falloir à tous réussir à mettre les pieds dans un grand concours de Tango.
Opinion> Sullivan : A+.
Il est là! L'épisode grâce auquel, en dépis de tous les moments pénibles par lesquels on est passé, The Lone Gunmen mérite d'avoir été tournée. Le script de cet épisode renoue avec l'Univers de la série, esquissé dans un épisode comme "Eine Kleine Frohike" et laissé de coté depuis. On y retrouve donc les maquillages incroyables de Yves, ou le personnage de Kimmy (le frère jumeau de Jimmy, écrasé par un bus dans "Three of a Kind" de X-Files). Tous ces éléments s'avèrent utilisés dans une histoire absolument formidable et riche, dotée -- cela en sera le seul exemple dans cette série -- d'une ambiance unique. Il le doit à cette mise en scène du Tango, notamment au détour du meilleur teaser de la série (et, comme par hasard, celui qui prend le plus de risque), visuellement fantastique, tout comme le reste de l'épisode. On retrouve là le Bryan Spicer qui nous avait gratifié d'un étourdissant "Inga Fossa" dans Harsh Realm, un réalisateur hors pair doté d'un sens visuel unique qu'il avait un peu laissé en sommeil jusqu'ici (on le comprend: y'avait pas vraiment de quoi être motivé par des scripts pareils). "Tango de los Pisteleros" réalise aussi un travail très intéressant sur les personnage, notamment Yves, qui ne se dévoile vraiment ici que pour la première fois. La même application est mise sur les personnages de la semaine, et Santavos, le méchant, se paye carrément le luxe d'être multidimensionnel! Comme si cet épisode ne se satisfaisait pas de nous impressionner, de nous passionner, et de nous émouvoir, il contient aussi quelques unes des séquences les plus drôles de la série, cette fois -- chose très rare -- réellement intégrée à l'intrigue, tels que l'irresistible audition des compères au concours de Tango, ou encore le retour du grand El Lobo. Ceux qui ont vu l'épisode comprendrons. Les autres, quand bien même les épisodes précédents vous auraient fait abandonner la série, ne manquez celui-ci sous aucun prétexte!
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Sullivan
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11> The Lying Game
Scénario> Nandi Bowe
Réalisation> Richard Compton
Argument> Byers demande à ses amis de l'aider à élucider le meutre de son co-locataire à la Fac. Ils découvrent que ce dernier était un maitre-chanteur, et que son assassin ne serait autre que... le Directeur Adjoint du FBI Walter Skinner.
Opinion> Sullivan : A-.
"Tango de los Pistoleros" avait été une excellente surprise. "The Lying Game" est rassurant: l'équipe semble *enfin* avoir compris ce qui fonctionne dans cette série, et nous gratifie d'un autre excellent épisode. On ne peut pas ne pas remarquer, toutefois, que ces deux épisodes sont dus à des scénaristes de l'équipe, et pas à l'un des créateur/producteurs...
Il est impossible d'évoquer cet opus sans commencer par saluer la performance é-pous-tou-flan-te de Mitch Pileggi dans le dernier acte de cet épisode, lorsqu'il interprête Jimmy-déguisé-en-Skinner. Il a su à la perfection reprendre les mimiques de Stephen Snedden pour que l'ensemble soit à 100% convaincant (aidé en cela par des effets spéciaux assez impressionants lorsqu'il arrache une partie du maquillage de Jimmy). Pour le reste, et dans la veine de l'épisode précédent, "Lying Game" réussi fort bien à contruire une histoire sur les fondations bâties précédemment, contribuant à cet impression de fin de saison que la série est en train d'enfin parvenir à créer son propre Univers. Cela passe notamment par une plus grande attention accordée aux personnages, cet épisode servant en effet à intégrer définitivement Jimmy Bond aux Gunmen, et pas seulement dans une position de vache à lait. Enfin, les éléments destinés aux moments comiques servent également, à nouveau, à nourrir l'intrigue (ainsi le secret de la "soeur" du colocataire de Byers n'est pas gratuit). Il est simplement dommage que l'épisode ralentisse un peu vers son milieu, mais ce n'est pas bien grave au final.
Scénario> Nandi Bowe
Réalisation> Richard Compton
Argument> Byers demande à ses amis de l'aider à élucider le meutre de son co-locataire à la Fac. Ils découvrent que ce dernier était un maitre-chanteur, et que son assassin ne serait autre que... le Directeur Adjoint du FBI Walter Skinner.
Opinion> Sullivan : A-.
"Tango de los Pistoleros" avait été une excellente surprise. "The Lying Game" est rassurant: l'équipe semble *enfin* avoir compris ce qui fonctionne dans cette série, et nous gratifie d'un autre excellent épisode. On ne peut pas ne pas remarquer, toutefois, que ces deux épisodes sont dus à des scénaristes de l'équipe, et pas à l'un des créateur/producteurs...
Il est impossible d'évoquer cet opus sans commencer par saluer la performance é-pous-tou-flan-te de Mitch Pileggi dans le dernier acte de cet épisode, lorsqu'il interprête Jimmy-déguisé-en-Skinner. Il a su à la perfection reprendre les mimiques de Stephen Snedden pour que l'ensemble soit à 100% convaincant (aidé en cela par des effets spéciaux assez impressionants lorsqu'il arrache une partie du maquillage de Jimmy). Pour le reste, et dans la veine de l'épisode précédent, "Lying Game" réussi fort bien à contruire une histoire sur les fondations bâties précédemment, contribuant à cet impression de fin de saison que la série est en train d'enfin parvenir à créer son propre Univers. Cela passe notamment par une plus grande attention accordée aux personnages, cet épisode servant en effet à intégrer définitivement Jimmy Bond aux Gunmen, et pas seulement dans une position de vache à lait. Enfin, les éléments destinés aux moments comiques servent également, à nouveau, à nourrir l'intrigue (ainsi le secret de la "soeur" du colocataire de Byers n'est pas gratuit). Il est simplement dommage que l'épisode ralentisse un peu vers son milieu, mais ce n'est pas bien grave au final.
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12> All About Yves
Scénario> John Shiban, Vince Gilligan & Frank Spotnitz
Réalisation> Bryan Spicer
Argument> Grâce à une source anonyme, les Gunmen remontent jusqu’à Morris Fletcher, un Homme en Noir (X-Files : ‘‘Dreamland’’). L’investigation, à laquelle Jimmy s’oppose de plus en plus, les conduit jusqu’à Roméo 61, une organisation qui serait derrière tous les attentats terroristes majeurs depuis les années 60 et l’assassinat de JFK. Un groupe dont Yves serait l’une des membres...
Opinion> Sullivan : A.
Quelque part, c’est à la fois hallucinant et invraisemblable qu’après nous avoir imposés 10 épisodes éprouvants à divers niveau, les créateurs de la série ont eu le culot de finir sur 3 opus absolument excellents avant de se faire annuler. Mais c’est comme ça. ‘‘All About Yves’’ est donc, en quelque sorte, le premier épisode mythologique de cette série, même si elle n’est en fait qu’esquissée ici. Certaines choses seraient, je suppose, devenues claires dans la seconde partie. C’est un plaisir de revoir Morris Fletcher, utilisé à merveille, comme tous les autres personnages de l’épisode. Derrière son attitude pseudo-comique, il se montre d’un machiavélisme infernal, toute cette histoire n’étant qu’un formidable coup monté destiné à mettre la main sur Yves. Pourquoi ? Pour le compte de qui ? Mystère, pour l’instant. Contrairement au Pilote John Gilnitz réussit très bien, ici, à écrire une intrigue au fond sérieux sur un ton léger. Ce qui est fondamentalement différent de plomber son intrigue avec des gags. Cette histoire se révèle d’ailleurs extrêmement complexe à suivre (peut-être même un peu trop ?), vu l’abondance de fausses pistes sur le but des personnages. Mais cette complexité sert aussi le récit par la part de surprise qu’elle apporte. A noter, enfin, la très amusante scène de rencontre entre Jimmy et Mulder, qui fait ici une courte apparition.
Scénario> John Shiban, Vince Gilligan & Frank Spotnitz
Réalisation> Bryan Spicer
Argument> Grâce à une source anonyme, les Gunmen remontent jusqu’à Morris Fletcher, un Homme en Noir (X-Files : ‘‘Dreamland’’). L’investigation, à laquelle Jimmy s’oppose de plus en plus, les conduit jusqu’à Roméo 61, une organisation qui serait derrière tous les attentats terroristes majeurs depuis les années 60 et l’assassinat de JFK. Un groupe dont Yves serait l’une des membres...
Opinion> Sullivan : A.
Quelque part, c’est à la fois hallucinant et invraisemblable qu’après nous avoir imposés 10 épisodes éprouvants à divers niveau, les créateurs de la série ont eu le culot de finir sur 3 opus absolument excellents avant de se faire annuler. Mais c’est comme ça. ‘‘All About Yves’’ est donc, en quelque sorte, le premier épisode mythologique de cette série, même si elle n’est en fait qu’esquissée ici. Certaines choses seraient, je suppose, devenues claires dans la seconde partie. C’est un plaisir de revoir Morris Fletcher, utilisé à merveille, comme tous les autres personnages de l’épisode. Derrière son attitude pseudo-comique, il se montre d’un machiavélisme infernal, toute cette histoire n’étant qu’un formidable coup monté destiné à mettre la main sur Yves. Pourquoi ? Pour le compte de qui ? Mystère, pour l’instant. Contrairement au Pilote John Gilnitz réussit très bien, ici, à écrire une intrigue au fond sérieux sur un ton léger. Ce qui est fondamentalement différent de plomber son intrigue avec des gags. Cette histoire se révèle d’ailleurs extrêmement complexe à suivre (peut-être même un peu trop ?), vu l’abondance de fausses pistes sur le but des personnages. Mais cette complexité sert aussi le récit par la part de surprise qu’elle apporte. A noter, enfin, la très amusante scène de rencontre entre Jimmy et Mulder, qui fait ici une courte apparition.
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9.15> Jump the Shark
Scénario> John Shiban, Vince Gilligan & Frank Spotnitz
Réalisation> Cliff Bole
Argument> Un an après avoir enlevé Yves en manipulant les Gunmen, Morris Fletcher refait surface. Son but est toujours le même : retrouver la jeune femme, de nouveau dans la nature, pour le compte de ses nouveaux employeurs. Pourtant, même lui devra s’incliner devant l’atrocité que ceux-ci complotent, et que seule Yves peut arrêter.
Opinion> Sullivan : A.
Voilà un de ces épisode qui est, et restera à jamais, sujet à d’infinies polémiques. En ce qui me concerne, il offre la conclusion parfaite aux trois Lone Gunmen, ainsi qu’à Yves et Jimmy ; et offre une bonne résolution au spin-off.
Un an après les évènements de ‘‘All About Yves’’, le retour de celle-ci est prétexte à une réunion de famille qui permet aux auteurs d’expliquer (mais pas vraiment de résoudre) ce qu’était – aurait été – la mythologie de The Lone Gunmen. Yves était animée, comme on s’en doutait, par des motifs purs et justes : une lutte contre un millionnaire, trafiquant d’arme, terroriste international. Un homme qu’elle méprise pour tout ce qu’il représente : son père. Commencée dans la légèreté, cette histoire s’assombrit donc de plus en plus alors que le récit prend des allures de contre la montre, pour contrer son dernier attentat : le meurtre de milliers de gens au travers d’un virus... C’est un plaisir de retrouver les personnages de la série, fidèles à eux-mêmes. Yves, pleine de charme et de mystère, animée par ce but viscéral ; Jimmy, ami infaillible qui a passé l’année entière à essayer de retrouver Yves ; ou encore Kimmy et Morris Fletcher, employé du père d’Yves, mais toujours pantin ignorant la teneur de ce dans quoi il est impliqué, comme à l’époque où il était Homme en Noir.
Au terme de cette histoire, les trois Gunmen rencontrent la fin héroïque à laquelle ils étaient destinés, empêchant la libération du Virus. Ils demandent à Jimmy et à Yves de ne jamais abandonner leur lutte. J’admire beaucoup les auteurs pour nous avoir préserver du pathos lors de cette séquence, et pour nous avoir fait grâce des images de Byers, Langly et Frohike agonisants. On se souviendra d’eux comme ils apparaissent pour la dernière fois : debout et droits. Surtout, ils sont morts pour leur quête personnelle, dans une histoire traitant de leur mythologie. Les faire mourir dans le cadre de la Conspiration X-Files, comme le suggèrent tous les fans de la série qui n’ont pas vu The Lone Gunmen (ça fait beaucoup puisqu’elle est inédite en France) aurait été une insulte impardonnable pour ceux qui ont suivi les aventures de nos improbables héros dans leur propre série, qui a fait d’eux autre chose que des personnages secondaires de X-Files.
9.15> Jump the Shark
Scénario> John Shiban, Vince Gilligan & Frank Spotnitz
Réalisation> Cliff Bole
Argument> Un an après avoir enlevé Yves en manipulant les Gunmen, Morris Fletcher refait surface. Son but est toujours le même : retrouver la jeune femme, de nouveau dans la nature, pour le compte de ses nouveaux employeurs. Pourtant, même lui devra s’incliner devant l’atrocité que ceux-ci complotent, et que seule Yves peut arrêter.
Opinion> Sullivan : A.
Voilà un de ces épisode qui est, et restera à jamais, sujet à d’infinies polémiques. En ce qui me concerne, il offre la conclusion parfaite aux trois Lone Gunmen, ainsi qu’à Yves et Jimmy ; et offre une bonne résolution au spin-off.
Un an après les évènements de ‘‘All About Yves’’, le retour de celle-ci est prétexte à une réunion de famille qui permet aux auteurs d’expliquer (mais pas vraiment de résoudre) ce qu’était – aurait été – la mythologie de The Lone Gunmen. Yves était animée, comme on s’en doutait, par des motifs purs et justes : une lutte contre un millionnaire, trafiquant d’arme, terroriste international. Un homme qu’elle méprise pour tout ce qu’il représente : son père. Commencée dans la légèreté, cette histoire s’assombrit donc de plus en plus alors que le récit prend des allures de contre la montre, pour contrer son dernier attentat : le meurtre de milliers de gens au travers d’un virus... C’est un plaisir de retrouver les personnages de la série, fidèles à eux-mêmes. Yves, pleine de charme et de mystère, animée par ce but viscéral ; Jimmy, ami infaillible qui a passé l’année entière à essayer de retrouver Yves ; ou encore Kimmy et Morris Fletcher, employé du père d’Yves, mais toujours pantin ignorant la teneur de ce dans quoi il est impliqué, comme à l’époque où il était Homme en Noir.
Au terme de cette histoire, les trois Gunmen rencontrent la fin héroïque à laquelle ils étaient destinés, empêchant la libération du Virus. Ils demandent à Jimmy et à Yves de ne jamais abandonner leur lutte. J’admire beaucoup les auteurs pour nous avoir préserver du pathos lors de cette séquence, et pour nous avoir fait grâce des images de Byers, Langly et Frohike agonisants. On se souviendra d’eux comme ils apparaissent pour la dernière fois : debout et droits. Surtout, ils sont morts pour leur quête personnelle, dans une histoire traitant de leur mythologie. Les faire mourir dans le cadre de la Conspiration X-Files, comme le suggèrent tous les fans de la série qui n’ont pas vu The Lone Gunmen (ça fait beaucoup puisqu’elle est inédite en France) aurait été une insulte impardonnable pour ceux qui ont suivi les aventures de nos improbables héros dans leur propre série, qui a fait d’eux autre chose que des personnages secondaires de X-Files.
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Sullivan
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Avec tout ça, et sachant qu'il reste deux épisodes des Gunmen à reviewer, plus vos ajouts éventuels aux derniers épisodes... On en est où du cahier critique ?
Il reste beaucoup à faire ? Je peux rallonger les reviews, et on avait dit qu'on complèterait avec des épisodes de la fin de la saison 9, éventuellement.
Il reste beaucoup à faire ? Je peux rallonger les reviews, et on avait dit qu'on complèterait avec des épisodes de la fin de la saison 9, éventuellement.

