Avant de fermer la parenthèse, je voulais juste dire que j’ai fortement apprécié qu’on censure mon précédent message, certes un peu belliqueux mais que je trouvais plutôt justifié en réponse à quelqu’un qui, en plus de refuser tout dialogue m’insultait copieusement, je ne sais trop pour quelle raison, étant donné que je lui demandais juste d’expliquer son avis très tranché.
Mal m’en a pris, puisque 666 étant modérateur, le problème fut vite expédié façon… Quoi qu’il en soit je ne retire pas un seul mot de ce que j’ai dit.
Bon voilà, passons maintenant à un sujet bien plus intéressant. La discussion sur Seinfeld a enfin décollé, merci Steeve.
Je ne pense vraiment pas que comparer Farscape qui, au demeurant, est une bonne série, et Seinfeld soit des plus judicieux. Les univers sont si éloignés que je ne vois pas très bien sur quels critères pourrait-on baser cette comparaison. C’est un peu comme si on partait sur une analyse comparative de Harsh Realm et des Simpsons, deux séries remarquables mais raisonnablement pas comparables.
steeve a écrit :Il est clair qu'on ne peut pas en parler pour Seinfeld puisque comme tu l'as si bien remarqué , on assisté à chaque épisode au même canevas scénarisitique , mais tout dépend de ce canevas !
Le fait que le canevas utilisé soit identique (ce qui est souvent le cas, mais pas toujours dans Seinfeld) ne me pose pas vraiment de problème. Je me suis beaucoup plus attaché lors du visionnage de la série à comment allait être utilisé ce canevas pour nous montrer autre chose qu’une succession de gags sans intérêt comme savent le faire beaucoup de sitcoms. Même si Seinfeld tombent parfois dans ce travers, les thèmes sont, la plupart du temps, abordés de manière qu’ils conduisent inévitablement à une vision plus ou moins critique de la société, ce qu’on retrouve très peu dans d’autres sitcoms, à commencer par la série coqueluche des Français : Friends.
Les personnages donnent également du relief à cette série, on ne retrouve pas les sempiternelles catégorisations psychosociologiques qu’on à l’habitude de voir dans de nombreuses autres séries.
On ne retrouve pas de coté fleur bleue et moraliste très pesant, les personnages sont totalement égoïstes, voire méchants, mais ont un irrésistible besoin de paraître idéaux aux yeux des autres, ce qui accentue considérablement le pouvoir comique de la série sans la rendre « cul-cul ».
Bon, encore une dizaine de messages et Seinfeld devient résolument la série préférée de 666…
Oz a écrit :On peut le lire où (quelle fac ?) ton mémoire ? Moi, ça m'intéresse !

Moi également, tu ne l’aurais pas en format fichier par hasard ?