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"It was the eighties!" 
!
Alex a droit à une sortie réussie, digne (c-a-d pas dans le package du dernier) et suffisamment pas trop too much (oh, la vilaine expression que je ne réutiliserais plus jamais). Olivia fut bien sympathique, même si évidemment c'est pas grand-chose à côté d'une Anna

!
16 épisodes pour le ressort Summer-Seth, c'était quand même costaud question crédibilité et ça revient enfin à la normale. Donc, ils ne servent à rien mais
justement c'est comme ça qu'ils sont le mieux et passent enfin à l'image.
J'aime toujours leurs références métasérielles, sauf qu'à ne pas faire assez attention, le public va finir par ne plus croire aux promesses, mais bon pour l'instant, ça va...
Ju a écrit :Bon, Kiki ça m'énerve par contre. On n'a pas eu le temps de sortir de Rebecca qu'on est reparti pour un tour.
En même temps... est-ce qu'on peut attendre autre chose de The O.C

?
"Rebecca" était manifestement une transition - le fantôme aux vilains cheveux qui fait bouh, forcément c'est pas difficile de faire pire - vers le Billy qui, à la différence de Kim (prénom synynome de boulet pour les personnages et maintenant les acteurs), a définitivement quelque chose de plus "o.c"ien. Déjà, il est poli et demande à rencontrer Sandy (comme ce dernier en plus) et se comporte pas comme une grognasse (grognard?) sans égard et puis bon, j'ai l'impression que c'est le genre d'intrigue prévisible depuis la saison 1 le "double date", donc, si c'est bien résolu, pourquoi pas?
Julie, Sandy, ça oui, c'est cool. Et j'aime la conclusion qui a des airs de status quo sans en être. Je suivais le mouvement des lèvres de Sandy devant la K7

! Elle passe aussi bien sincère que manipulatrice, merci Melinda.
Je crois que c'est (peut-être) enclenché...