JeanmiX a écrit :Mad_Ouaf a écrit :Wha, tu orthographie exactement l'expression "Au temps pour moi", c'est rare!!!
Je l'orthographiais pas de cette façon avant mais j'ai vu quelqu'un l'écrire comme ça sur un forum...
Merde, c'était moi!
Boston Public - France 2
Merde, c'était moi!
<B>:smile7: </B>
<B>Dog-Zone, les puces, sur mon blog:</B>www.20six.fr/le-mad-dog
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black coffee
Bon alors pour l'épisodes d'aujourd'hui: ouaih pas mal, ça ce laisse regarder disons.
J'ai trouvé le retournement de veste de Harper au dernier moment assez limite, bien que comprehensible.L'histoire de l'eleve qui perd toute creativité artistique quand il prend sont traitement: pas mal, un peu anecdotique, et j'ais l'impression que c'etait là surtout pour nous refiler (encore!!!) une scene musicale niaise et sans interet.Bref, rien de bien génial.
Pour ce qui est de l'histoire de Jeremy, j'ai plutôt bien aimé.Sa mère est tellement à côté de la plaque, elle culpabilise (mais pourquoi bon sang?quand bien même sa comportement aurais influé sur les preferences sexuelles de son fils, ça ne serait pas la fin du monde, enfin...) et du coup elle a l'air bien larguée, limite ridicule, et donc drôle. Ce qui n'ai pas le cas par exemple de la femme à la chaussure (ou chaussette devrais-je dire), qui de toute façon me gonfle dès qu'elle apparait, et à qui on a encore plus envie de coller des baffes cette fois-ci.
Jeremy est finalement bisexuel, et tant mieux étant donné qu'il me semble que l'homosexualité est un sujet traité beaucoup plus souvent que la bisexualité.
La petite incursion de harry est drôle aussi, c'est dommage que ce perso ait quasiment disparu, je suis convaincu qu'il y aurait eu à creuser de son côté, ça aurait pu donner de bonnes choses.
Bref, c'est regardable(merci jeremy et guber), même si j'ai arrété il y a bien longtemps d'attendre quoi que ce soit de boston public.
J'ai trouvé le retournement de veste de Harper au dernier moment assez limite, bien que comprehensible.L'histoire de l'eleve qui perd toute creativité artistique quand il prend sont traitement: pas mal, un peu anecdotique, et j'ais l'impression que c'etait là surtout pour nous refiler (encore!!!) une scene musicale niaise et sans interet.Bref, rien de bien génial.
Pour ce qui est de l'histoire de Jeremy, j'ai plutôt bien aimé.Sa mère est tellement à côté de la plaque, elle culpabilise (mais pourquoi bon sang?quand bien même sa comportement aurais influé sur les preferences sexuelles de son fils, ça ne serait pas la fin du monde, enfin...) et du coup elle a l'air bien larguée, limite ridicule, et donc drôle. Ce qui n'ai pas le cas par exemple de la femme à la chaussure (ou chaussette devrais-je dire), qui de toute façon me gonfle dès qu'elle apparait, et à qui on a encore plus envie de coller des baffes cette fois-ci.
Jeremy est finalement bisexuel, et tant mieux étant donné qu'il me semble que l'homosexualité est un sujet traité beaucoup plus souvent que la bisexualité.
La petite incursion de harry est drôle aussi, c'est dommage que ce perso ait quasiment disparu, je suis convaincu qu'il y aurait eu à creuser de son côté, ça aurait pu donner de bonnes choses.
Bref, c'est regardable(merci jeremy et guber), même si j'ai arrété il y a bien longtemps d'attendre quoi que ce soit de boston public.
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lordofnoyze
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Ah bon???
T'as juste trouvé ça REGARDABLE??? T'as cessé d'attendre quoi que ce soit de BP depuis longtemps?? Ouh là, un peu de lassitude peut-être...
En attendant voilà ma review...
Le rejet de soi et la caution des autres
C'est le thème qui revient dans ce Boston Public beaucoup moins drôle, mais aussi plus élaboré que le précédents. D'abord, il y a un poil de Senete, un poil de Davies et même un poil de Lipschultz, hilarant dans sa doudoune verte: ça c'est la première bonne nouvelle. Ensuite, et là ça change, Cooke et Henson sont beaucoup moins tête à claques et neuneus que les épisodes pérécdents. Ensuite, c'est que les trois thèmes revenant dans cet épisode sont traités avec une grande maestria, refusant la facilité: à savoir la peine de mort, le génie précoce et l'homosexualité.
D'abord, la peine de mort avec cet ancien élève de Harper qui tente de le convaincre de participer à son éxécution. Harper est hésitant entre le fait d'assister dans ses derniers moments un élève qui l'a tenu en estime, bien qu'il ne s'en souvienne plus,de réconforter un homme rongé par le remords, et le refus de cautionner un geste horrible, refus vivement conseillé par le père de la victime. En même temps, il est vrai que ce crime est particulièrement atroce: torture, viol et meurtre par strangulation. Chi Mc Bride, comme dans pas mal d'épisodes depuis que Kelley a eu la lubie de développer son personnage trop souvent synonyme de droiture et de boule de nerfs derrière son bureau, y est grandiose. C'est une conversion réussie.
De plus, Kelley dépeint bien l'enfer d'un condamné à mort, et le rejet de soi qui constitue en lui-même une punition. Quant à la caution des autres, Kelley finira in extremis par choisir son camp: Harper refuse après une scène aussi amusante qu'émouvante avec sa fille. La rédemption est une notion bien trouble, et le pardon est bien difficile à obtenir. A vrai dire je reste encore perplexe devant la morale de cet épisode.
Ensuite, le génie créatif d'un élève sous tranquilisants qui arrête souvent de prendre son traitement. Là aussi, grand brio dans la façon de dénoncer les parents poussant leur enfant à exploiter leur génie et le rendant nerveux. La perplexité de Henson face à la joie de Cooke qui pense avoir résolu le problème en suggérant la discussion avec ses parents laisse entrevoir une possible suite: et si le gamin bluffait, comme pour l'affaire Peters??
Meredith Peters, justement, apprend avec grand effroi que son fils unique Jeremy est homosexuel.Alors oui, le truc des caméras de surveillance, c'est un peu artificiel, mais ça surprend pas quand on voit la parano et les pérjugés dans laquelle s'enfonce Mme Peters. Et quand le rejet de soi n'est pas un problème, c'est la caution des autres qui pousse à livrer bataille.Et donc là aussi, crise de famille: Meredith gueule sur Peters, puis sur Guber, qui se défend à sa manière en prenant ses grands chevaux conservateurs de "prrrroôôôôôôôvisseur adjoint", et il est grandiose lui aussi. Puis Jeremy gueule sur Guber ("Regardez-moi, Monsieur"), Guber qui n'en mène pas large, car son amour pour Meredith revient finalement à cautionner l'homophobie de cette dernière et la peur qu'incite cette révélation. Fin de l'histoire jusqu'au prochain épisode.
Même les Supremes du bahut m'ont pas saoûlé avec leur reprise de "Wake Up Everybody", c'est dire. Et puis, la pétition apportée par la mère d'élève aux mille parfums, vous savez, celle qui était intervenue lorsque Lipschultz avait envoyé ses élèves vider les poubelles, pour tenter d'interdire la pièce du prof de bio est franchement mortelle. Je conclurai donc en disant "Sentez-moi cette chaussette, c'est la chaussette de l'épisode réussi, de la bonne interprétation, des complexes persistants!! C'est la chaussette de l'hymne à la tolérance et de 43 minutes qu'on aimerait voir bien plus souvent!!"
T'as juste trouvé ça REGARDABLE??? T'as cessé d'attendre quoi que ce soit de BP depuis longtemps?? Ouh là, un peu de lassitude peut-être...
En attendant voilà ma review...
Le rejet de soi et la caution des autres
C'est le thème qui revient dans ce Boston Public beaucoup moins drôle, mais aussi plus élaboré que le précédents. D'abord, il y a un poil de Senete, un poil de Davies et même un poil de Lipschultz, hilarant dans sa doudoune verte: ça c'est la première bonne nouvelle. Ensuite, et là ça change, Cooke et Henson sont beaucoup moins tête à claques et neuneus que les épisodes pérécdents. Ensuite, c'est que les trois thèmes revenant dans cet épisode sont traités avec une grande maestria, refusant la facilité: à savoir la peine de mort, le génie précoce et l'homosexualité.
D'abord, la peine de mort avec cet ancien élève de Harper qui tente de le convaincre de participer à son éxécution. Harper est hésitant entre le fait d'assister dans ses derniers moments un élève qui l'a tenu en estime, bien qu'il ne s'en souvienne plus,de réconforter un homme rongé par le remords, et le refus de cautionner un geste horrible, refus vivement conseillé par le père de la victime. En même temps, il est vrai que ce crime est particulièrement atroce: torture, viol et meurtre par strangulation. Chi Mc Bride, comme dans pas mal d'épisodes depuis que Kelley a eu la lubie de développer son personnage trop souvent synonyme de droiture et de boule de nerfs derrière son bureau, y est grandiose. C'est une conversion réussie.
De plus, Kelley dépeint bien l'enfer d'un condamné à mort, et le rejet de soi qui constitue en lui-même une punition. Quant à la caution des autres, Kelley finira in extremis par choisir son camp: Harper refuse après une scène aussi amusante qu'émouvante avec sa fille. La rédemption est une notion bien trouble, et le pardon est bien difficile à obtenir. A vrai dire je reste encore perplexe devant la morale de cet épisode.
Ensuite, le génie créatif d'un élève sous tranquilisants qui arrête souvent de prendre son traitement. Là aussi, grand brio dans la façon de dénoncer les parents poussant leur enfant à exploiter leur génie et le rendant nerveux. La perplexité de Henson face à la joie de Cooke qui pense avoir résolu le problème en suggérant la discussion avec ses parents laisse entrevoir une possible suite: et si le gamin bluffait, comme pour l'affaire Peters??
Meredith Peters, justement, apprend avec grand effroi que son fils unique Jeremy est homosexuel.Alors oui, le truc des caméras de surveillance, c'est un peu artificiel, mais ça surprend pas quand on voit la parano et les pérjugés dans laquelle s'enfonce Mme Peters. Et quand le rejet de soi n'est pas un problème, c'est la caution des autres qui pousse à livrer bataille.Et donc là aussi, crise de famille: Meredith gueule sur Peters, puis sur Guber, qui se défend à sa manière en prenant ses grands chevaux conservateurs de "prrrroôôôôôôôvisseur adjoint", et il est grandiose lui aussi. Puis Jeremy gueule sur Guber ("Regardez-moi, Monsieur"), Guber qui n'en mène pas large, car son amour pour Meredith revient finalement à cautionner l'homophobie de cette dernière et la peur qu'incite cette révélation. Fin de l'histoire jusqu'au prochain épisode.
Même les Supremes du bahut m'ont pas saoûlé avec leur reprise de "Wake Up Everybody", c'est dire. Et puis, la pétition apportée par la mère d'élève aux mille parfums, vous savez, celle qui était intervenue lorsque Lipschultz avait envoyé ses élèves vider les poubelles, pour tenter d'interdire la pièce du prof de bio est franchement mortelle. Je conclurai donc en disant "Sentez-moi cette chaussette, c'est la chaussette de l'épisode réussi, de la bonne interprétation, des complexes persistants!! C'est la chaussette de l'hymne à la tolérance et de 43 minutes qu'on aimerait voir bien plus souvent!!"
Lordofnoyze: Every day, new lows.
"Ya'll ain't ready." Petey Pablo
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tao of myself
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chapitre 30 : je commençais à me lacer de BP qd tt à coup est arrivé cet épisode 30. en 1 mot, j'ai adoré.
l'histoire harper est vraiment très interressante sur le thème de redemption. c'était un sujet assez lourd et dur et il est malgré tt très bien traité. harper se pose des questions, se demande cmt on peut influencer la vie des gens sans qu'on ait des souvenirs d'eux, le pouvoir des profs et leur influence est aussi au centre de cette réflexion. au bout du compte, le gars méritait il l'absolution de harper ou non ? selon harper (et donc kelley) c'est non ms je ne sais pas, c'est un thème délicat et personnellement je ne sais pas ce que j'aurai fait ds pareil cas. sympa de retrouver senate même si c'est + comme faire valoir de harper afin qu'il pose les bonnes questions au bon moment.
ronnie : une belle petite intrigue qui pose le problème des effets de certains médioaments qui soigne qq chose au détriment d'autre chose. le problème étant de savoir qu'en est ce que ce jeune garçon est lui même : sous medicament ou sans medocs ms hyper actif. ça me fait penser au dernier procès d'ally mc beal avec la femme aux 2 personalités, qui est la vraie personne ? dommage neanmoins d'avoir traité le problème avec ronnie, lauren ou marilyn ou encore mieux marla (vu qu'elle aussi prend des médicaments) aurait été plus interressant. j'en ai marre de cette constante mise en avant de ronnie. le personnage est sympa ms à force de nous l'imposer de force pour qu'on l'appreccie ça la rend antipathique.
guber : du très très grand guber et du très très grand boston public. la maniere de réagir de meredith face à l'homosexualité de son fils est très touchante. sa discussion avec la "bombonne" est vraiment superbe. guber se montre aussi très humain et on voit qu'il veut aider jeremy. c'est vraiment le clou de l'épisode et une très bonne intrigue. en + l'humour est présent "scott vs allez me reprendre ma main ?" . c'est magnifique et touchant et très humain.
l'histoire harper est vraiment très interressante sur le thème de redemption. c'était un sujet assez lourd et dur et il est malgré tt très bien traité. harper se pose des questions, se demande cmt on peut influencer la vie des gens sans qu'on ait des souvenirs d'eux, le pouvoir des profs et leur influence est aussi au centre de cette réflexion. au bout du compte, le gars méritait il l'absolution de harper ou non ? selon harper (et donc kelley) c'est non ms je ne sais pas, c'est un thème délicat et personnellement je ne sais pas ce que j'aurai fait ds pareil cas. sympa de retrouver senate même si c'est + comme faire valoir de harper afin qu'il pose les bonnes questions au bon moment.
ronnie : une belle petite intrigue qui pose le problème des effets de certains médioaments qui soigne qq chose au détriment d'autre chose. le problème étant de savoir qu'en est ce que ce jeune garçon est lui même : sous medicament ou sans medocs ms hyper actif. ça me fait penser au dernier procès d'ally mc beal avec la femme aux 2 personalités, qui est la vraie personne ? dommage neanmoins d'avoir traité le problème avec ronnie, lauren ou marilyn ou encore mieux marla (vu qu'elle aussi prend des médicaments) aurait été plus interressant. j'en ai marre de cette constante mise en avant de ronnie. le personnage est sympa ms à force de nous l'imposer de force pour qu'on l'appreccie ça la rend antipathique.
guber : du très très grand guber et du très très grand boston public. la maniere de réagir de meredith face à l'homosexualité de son fils est très touchante. sa discussion avec la "bombonne" est vraiment superbe. guber se montre aussi très humain et on voit qu'il veut aider jeremy. c'est vraiment le clou de l'épisode et une très bonne intrigue. en + l'humour est présent "scott vs allez me reprendre ma main ?" . c'est magnifique et touchant et très humain.
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lordofnoyze
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Toi aussi ça commence à te saoûler que Ronnie soit mise en avant?? Moi aussi, je peux pas m'y faire. Et même l'alchimie avec Henson fonctionne pas, j'aurais voulu l'intrigue avec Lauren au moins ça lui aurait rendu justice.
Tu le sens le grand Guber?? J'ai toujours adoré ce personnage, lui il mérite un prix d'interprétation haut la main aux Noyze Awards, ne serait-ce que pour ses interrogatoires d'élèves, ça rend la série culte!!!
Tu le sens le grand Guber?? J'ai toujours adoré ce personnage, lui il mérite un prix d'interprétation haut la main aux Noyze Awards, ne serait-ce que pour ses interrogatoires d'élèves, ça rend la série culte!!!
Lordofnoyze: Every day, new lows.
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black coffee
T'as juste trouvé ça REGARDABLE??? T'as cessé d'attendre quoi que ce soit de BP depuis longtemps?? Ouh là, un peu de lassitude peut-être
je dois admettre que je n'ai jamais été un fana de boston public, j'ais même longtemps completement décroché avant d'y revenir peu à peu, je me suis incroyablement ennuyé devant le pilote...la seule raison pour laquelle je regarde encore cette série c'est l'attachement que j'eprouve pour les acteurs et personnages, point barre.Les scenars m'irritent plus qu'autre chose.
Néanmoins je dois admettre que cet épisode etait plus réussi que les derniers que j'ais vu, disons que pour une fois j'ai ressenti du plaisir à regarder, au moins dans certaines scenes...
j'avais oublié quelques trucs qui m'avaient plu: le coup des caméra même dans la chambre de Jeremy: impardonnable!!!
Et les discussions entre Guber Meredith, puis Jeremy et Guber, sans doute mes moments préférés de l'episode...très drôles, très reussi, pas trop lourds (contrairement à beaucoup d'autres choses très lourdingues dans boston public).
Alors bon je peux presque admettre, en mettant ma mauvaise fois au placard, que cet épisode était relativement pas trop nul.
Et de toute façon Scott et Jeremy(et meredith, et le jeune qui joue au piano....) "effacent" à mes yeux une bonne partie des défauts de l'épisode tellement je les apprecient.
C'est ça le probleme de cette série: les acteurs sont trop bons, les persos trop touchants(enfin certains, brooke ou encore la secretaire me sortent par les trous de nez), et si ça n'etait pas le cas je pourrais enfin faire autre chose de mes dimanche après-midi.
Parcque pour quasiment tout le reste (surtout l'ecriture)ça n'est pas vraiment mon truc, ce qui explique mon poin de vue mitigé.
black coffee a écrit :Pour ce qui est de l'histoire de Jeremy, j'ai plutôt bien aimé.Sa mère est tellement à côté de la plaque, elle culpabilise (mais pourquoi bon sang?quand bien même sa comportement aurais influé sur les preferences sexuelles de son fils, ça ne serait pas la fin du monde, enfin...) et du coup elle a l'air bien larguée, limite ridicule, et donc drôle.
Des études ont montré que, en général, la première réaction des parents qui apprennent que leur enfant est homosexuel est de culpabiliser donc le traitement de cette intrigue est tout à fait logique surtout quand on connaît le caractère de la mère de Jeremy.
Enfin, j'ai trouve cet épisode d'un meilleur niveau que les précédents. Avez-vous remarqué que David E.Kelly n'était d'ailleurs pas crédité au scénario ?
C'est clair que la présence discrète de de Saynete et Lauren nous donne l'impression de regarder un Boston Public "Next Generation" avec de nouveaux profs qui les remplacent.
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lordofnoyze
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Bon, cette fois ci, je me suis dit: "Bon, je regarde 5 minutes, parceque j'ai VRAIMENT pas le temps de glander cet après-midi!" Et puis, des fois qu'il y aurais quelque chose de bien dans l'épisode.
Et là, j'étais content, l'épisode est bien construit, même s'il faut se résigner à voir Harry Senate et Lauren en second plan! Aucune scène inutile, aucun passage cul-cul, moralisateur, déplacé, comme avant. Un épisode très très bien écrit sur la forme, avec d'excellent acteur....
Seulement, sur le fond, il y a un truc, qui m'empêche d'aimer cet épisode: Sa moralité va contre mes principes.
Si l'intrigue de Meredith, Guber et son fils est presque irréprochable, celle avec Harper me fait froid dans le dos. Je suis déjà contre la peine de mort, mais la façon dont il se retourne au dernier moment.... beurk!
Quand à la morale sur la médication: Re-beurk! C'est limite si l'épisode ne prone pas la quiétude des enfants par les médicaments. Et cela, même si la personnalité de l'éléve en souffre, les bonnes notes et la "sociabilité" de l'être doivent prendre le pas sur l'individu. Beurk.
Enfin, je ne veux pas me lancer dans un débat sur l'accompagnement des victimes lors de la peine de mort ou sur la médication des enfants hyper-actifs, mais, ça va contre ma morale et mes principes. Donc, Beurk!
Et là, j'étais content, l'épisode est bien construit, même s'il faut se résigner à voir Harry Senate et Lauren en second plan! Aucune scène inutile, aucun passage cul-cul, moralisateur, déplacé, comme avant. Un épisode très très bien écrit sur la forme, avec d'excellent acteur....
Seulement, sur le fond, il y a un truc, qui m'empêche d'aimer cet épisode: Sa moralité va contre mes principes.
Si l'intrigue de Meredith, Guber et son fils est presque irréprochable, celle avec Harper me fait froid dans le dos. Je suis déjà contre la peine de mort, mais la façon dont il se retourne au dernier moment.... beurk!
Quand à la morale sur la médication: Re-beurk! C'est limite si l'épisode ne prone pas la quiétude des enfants par les médicaments. Et cela, même si la personnalité de l'éléve en souffre, les bonnes notes et la "sociabilité" de l'être doivent prendre le pas sur l'individu. Beurk.
Enfin, je ne veux pas me lancer dans un débat sur l'accompagnement des victimes lors de la peine de mort ou sur la médication des enfants hyper-actifs, mais, ça va contre ma morale et mes principes. Donc, Beurk!
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<B>Dog-Zone, les puces, sur mon blog:</B>www.20six.fr/le-mad-dog
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tao of myself
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Seulement, sur le fond, il y a un truc, qui m'empêche d'aimer cet épisode: Sa moralité va contre mes principes.
je trouve justement ça interressant de montrer des positions oppossées au tvspectateur, cela permet d'avoir un autre point de vue et pkoi pas de se remettre en question. au moins BP évite les morales rose bonbons à la 7th heaven ou docteur quinn même si certaines prises de positions des persos font parfois un peu peur. raz le bol des héros idéalisés et parfaits, place à un peu plus de complexité.
Ce qui n'ai pas le cas par exemple de la femme à la chaussure (ou chaussette devrais-je dire), qui de toute façon me gonfle dès qu'elle apparait
est ce que ce n'est pas justement voulu. cette bonne femme fait chier harper et guber avec ses revendications et ses chaussures. le tvspectateur étant du coté des profs il est normal que cette chieuse de mère nous gonfle également. si c'est intentionnel de la part de kelley c'est mission accomplie.
J'ai oublié de dire que j'avais constaté une erreur de traduction dans cet épisode.
En effet, sur un panneau, on peut voir le nom de la pièce de théâtre que les élèves répètent où il est écrit : "it's our town too". Tout au long de l'épisode, les personnages l'appelent : "c'est notre ville deux" au lieu de "c'est notre ville aussi".
Les traducteurs ont surement dû comprendre : "it's our town two" !!!
En effet, sur un panneau, on peut voir le nom de la pièce de théâtre que les élèves répètent où il est écrit : "it's our town too". Tout au long de l'épisode, les personnages l'appelent : "c'est notre ville deux" au lieu de "c'est notre ville aussi".
Les traducteurs ont surement dû comprendre : "it's our town two" !!!
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tao of myself
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