Impressionnant ! C'est captivant de bout en bout, et pourtant il n'y a même pas de feu ou d'évènement marquant pour le dynamiser. En ça, c'est différent des 2 premiers mais c'est encore meilleur, parce que l'on est désormais quasi sûr de ne pas avoir affaire à la série d'un acteur, les potes de Leary sont bien plus que des accessoires, ce sont des personnages très intéressants et souvent touchants (notamment ici le pompier poète), et surtout, les "hommes" volent définitvement la vedette aux "firemen", avec une évidence assez déroutante.
Et oui, quelle magnifique scène Leary-papa Charles Durning. Elle résume parfaitement l'incroyable alchimie de la dramedy dont se sont spécialisés les auteurs. Leur touch est inimitable, elle pourrait bien devenir une référence à un tel niveau... Donc, ça décolle vraiment, alors que ça ressemble à un épisode de transition: décidément génial
104 DNA
Re-re-whaou
J'allais limite émettre une réserve quand Leary se mit à allumer les cierges sur fond d'une tristoune pop song quand vlan l'épiosde s'arrête
Jusqu'alors un enchaînement implacable de petites histoires qui montent doucement mais sûrement en graine, de sables mouvants qui s'enfoncent et de bons mots à la pelle. A part la scène à l'église, aucune faute du goût, et confirmation d'un grand sens du casting: après Dean Winters, Charles Druning, Siobhan Fallon et Patricia Velasquez, ils ont la bonne idée de mettre Robert John Burke (Oz, SATC, Confessions Of A Dangerous Mind) en soutane.
Elegance, richesse, sobriété, efficacité... Tout y est, et ce n'est qu'un début: plus que prometteur...

