J'avais eu la chance de découvrir cette excellente série sur 13ème Rue et je l'ai suivie de la saison 1 à la saison 12. Lorsque j'ai dû me séparer de mon abonnement, ce fut l'un de mes plus grands crève-coeurs; la suite hors de portée pour un long, très long moment pour ne pas dire peut-être pour toujours.
J'ai découvert avec stupéfaction il y a quelque temps, que TF1 entamait la diffusion de la saison 13. Je n'avais pas poussé plus avant dans le programme, persuadée qu'il s'agissait d'une rediffusion d'épisodes et de saisons mélangés. Sans compter l'inévitable censure remontage / reformatage qui accompagne la diffusion de séries sur chaîne et que me donne la rage. J'ai donc visionné les trois premiers épisodes en espérant qu'ils ne soient pas trop amputés, je n'ai pas eu le courage de relever la durée exacte sur mon scope. Déjà que le titre proposé par TF1 me rend dingue. J'avais lu, je ne sais plus où, que la chaîne ne voulait pas du titre de "New York District" parce que ça rappelait trop une production de M6 !!
13.01 Le fanatique
Un début de saison assez moyen qui joue sur les peurs de l'Amérique envers l'Islam un an après le 11 septembre. Je dis moyen, parce que le potentiel concernant le "fanatique" était énorme mais se dégonfle sur une lamantable affaire d'adolescent qui règle ainsi ses conflits avec les femmes, et notamment avec sa maman. Eh oui, c'est toujours la faute de la môman.
Le sale morveux est en fait un fils de bonne famille américaine bien blanc, toujours dénigré et rabaissé par sa maman. Bref, il se convertit à l'Islam fondamentaliste parce que cela lui permet de cracher sa haine des femmes et d'égratigner le gouvernement de son pays. Eh oui, il a dix-neuf ans et pique sa crise d'ado.
Dommage que le "fanatique" n'ait pas été un vrai fanatique, endoctriné pour mourir en martyr. Cette fin m'a laissé un peu sur ma faim.
Le tandem Lennie / Ed fonctionne encore mieux, je trouve. Mais il est vrai que je ne les avais pas vus depuis un peu plus d'un an. Lennie en grande forme nous livre quelques petites phrases dont il a le secret.
Mais alors, où est donc passée Nora ? un nouveau procureur général fait son apparition sans donner de plus amples informations. Aucune introduction du personnage si ce n'est un portrait en deux mots de la bouche de McCoy.
J'ai également trouvé que Serena avait plus d'aplomb. Je la trouvais un peu fade lors de la dernière saison.
Un épisode moyen mais qui se laisse toutefois regarder sans déplaisir.
Law & Order / New York District - 13ème Rue & TF1
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Trek Girl
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13.02 Meurtre au lycée
Très bon. Des retournements de situation comme la série en a le secret. On croit tenir quelque chose et hop, finalement c'est tout autre jusqu'à la conclusion finale qui est elle aussi un dernier renversement de situation et clôt le petit jeu de la coupable en lui clouant le bec.
Pour ce second épisode, on ne sort pas de l'école et de l'adolescence. Encore une prof assassinée et une adolescente en pleine crise... sauf que l'adolescente est en fait une jeune femme de 26 ans qui s'obstine depuis dix ans à rester une gamine de seize. Allez savoir pourquoi elle ne veut absolument pas avoir dix-huit ans ? a-t-elle subi un tel traumatisme à dix-huit qu'elle régresse sans cesse à l'approche de l'anniversire fatidique ? a-t-elle de multiples personnalités ?
Un passage dans le cabinet du docteur Schillinger, euh pardon Emil Skoda, nous montre qu'elle est tout à fait saine d'esprit, juste un brin manipulatrice. Mais trop sûre d'elle, à la fin, elle finit par se faire moucher par sa maman. Eh oui, encore et toujours les mômans, décidément les bêtes noires des ados.
Des personnages très en forme. De l'humour quasiment sans arrêt, la palme encore pour Lennie. Un nouveau procureur général pas très content de s'être ainsi fait berner. Un MCoy qui se fait embobiner en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, "oh la pauvre fille, elle a déjà subi tant de malheurs", ce qui rend Serena particulièrement caustique.
Une réflexion un peu étrange de Serena me laisse à penser que la VF a dû oublier quelque chose en route.
13.03 Série noire
Bof, classique. Un triangle amoureux classique : une fille, deux garçons. Elle quitte l'un pour l'autre et c'est la haine, le tout sur fond de groupe musical rock. Bilan : deux morts et un présumé coupable drogué à mort.
Le seul intérêt de l'histoire est le méli-mélo organisé par un ancien flic devenu écrivain (un excellent Tony LoBianco) qui "offre" les preuves au procureur, preuves obtenues le plus illégalement du monde, et qui nous offre à nous une belle altercation entre Lennie et McCoy.
Très bon. Des retournements de situation comme la série en a le secret. On croit tenir quelque chose et hop, finalement c'est tout autre jusqu'à la conclusion finale qui est elle aussi un dernier renversement de situation et clôt le petit jeu de la coupable en lui clouant le bec.
Pour ce second épisode, on ne sort pas de l'école et de l'adolescence. Encore une prof assassinée et une adolescente en pleine crise... sauf que l'adolescente est en fait une jeune femme de 26 ans qui s'obstine depuis dix ans à rester une gamine de seize. Allez savoir pourquoi elle ne veut absolument pas avoir dix-huit ans ? a-t-elle subi un tel traumatisme à dix-huit qu'elle régresse sans cesse à l'approche de l'anniversire fatidique ? a-t-elle de multiples personnalités ?
Un passage dans le cabinet du docteur Schillinger, euh pardon Emil Skoda, nous montre qu'elle est tout à fait saine d'esprit, juste un brin manipulatrice. Mais trop sûre d'elle, à la fin, elle finit par se faire moucher par sa maman. Eh oui, encore et toujours les mômans, décidément les bêtes noires des ados.
Des personnages très en forme. De l'humour quasiment sans arrêt, la palme encore pour Lennie. Un nouveau procureur général pas très content de s'être ainsi fait berner. Un MCoy qui se fait embobiner en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, "oh la pauvre fille, elle a déjà subi tant de malheurs", ce qui rend Serena particulièrement caustique.
Une réflexion un peu étrange de Serena me laisse à penser que la VF a dû oublier quelque chose en route.
13.03 Série noire
Bof, classique. Un triangle amoureux classique : une fille, deux garçons. Elle quitte l'un pour l'autre et c'est la haine, le tout sur fond de groupe musical rock. Bilan : deux morts et un présumé coupable drogué à mort.
Le seul intérêt de l'histoire est le méli-mélo organisé par un ancien flic devenu écrivain (un excellent Tony LoBianco) qui "offre" les preuves au procureur, preuves obtenues le plus illégalement du monde, et qui nous offre à nous une belle altercation entre Lennie et McCoy.
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Trek Girl
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Je me disais aussi que ce n'était pas normal. Trois épisodes dans l'ordre, ça devait être une erreur. TF1 rectifie donc le tir et "oublie" l'épisode numéro 4. La semaine prochaine avec un peu de chance ??
13.05 The Ring – La bague
Très bon. La série colle toujours à l'actualité et livre une surprenante vision du 11 septembre.
Quand l'occasion fait le larron.
Une femme est assassinée le soir du 10 septembre 2001. Son meurtrier enterre soigneusement le corps mais se retrouve face à un problème de taille : comment justifier la soudaine disparition de sa victime ? Ben, un certain Ben Laden dont il n'a jamais entendu parler, va lui filer un formidable coup de main et l'aider à réaliser le meurtre parfait, d'autant plus parfait qu'il n'y aura jamais eu de meurtre.
Dix-huit mois plus tard, des gamins découvrent un squelette dans un terrain vague. Et voici Brisco et Green en quête de l'identification de la victime, armés pour cela d'une bague qu'elle portait encore au doigt. De bijoutier en bijoutier, de porte en porte, les deux inspecteurs finissent par sonner au bon endroit et stupéfaction : la propriétaire de la bague est morte dans l'une des tours jumelles, où elle travaillait, en ce funeste matin du 11 septembre 2001. Seule sa main gauche a été retrouvée ainsi que quelques effets personnels. Le squelette ayant perdu sa main gauche, CQFD.
L'enquête se poursuit sur la pointe des pieds, personne ne voulant croire que quelqu'un aurait pu être assez ignoble pour cacher son crime de cette façon et McCoy est obligé de se servir, à son corps défendant, d'idées qui ne sont pas les siennes.
Le procureur Branch qui énonce ses idées républicaines, annonce un personnage que l'on va certainement détester par la suite.
13.05 The Ring – La bague
Très bon. La série colle toujours à l'actualité et livre une surprenante vision du 11 septembre.
Quand l'occasion fait le larron.
Une femme est assassinée le soir du 10 septembre 2001. Son meurtrier enterre soigneusement le corps mais se retrouve face à un problème de taille : comment justifier la soudaine disparition de sa victime ? Ben, un certain Ben Laden dont il n'a jamais entendu parler, va lui filer un formidable coup de main et l'aider à réaliser le meurtre parfait, d'autant plus parfait qu'il n'y aura jamais eu de meurtre.
Dix-huit mois plus tard, des gamins découvrent un squelette dans un terrain vague. Et voici Brisco et Green en quête de l'identification de la victime, armés pour cela d'une bague qu'elle portait encore au doigt. De bijoutier en bijoutier, de porte en porte, les deux inspecteurs finissent par sonner au bon endroit et stupéfaction : la propriétaire de la bague est morte dans l'une des tours jumelles, où elle travaillait, en ce funeste matin du 11 septembre 2001. Seule sa main gauche a été retrouvée ainsi que quelques effets personnels. Le squelette ayant perdu sa main gauche, CQFD.
L'enquête se poursuit sur la pointe des pieds, personne ne voulant croire que quelqu'un aurait pu être assez ignoble pour cacher son crime de cette façon et McCoy est obligé de se servir, à son corps défendant, d'idées qui ne sont pas les siennes.
Le procureur Branch qui énonce ses idées républicaines, annonce un personnage que l'on va certainement détester par la suite.
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Oz
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14.11 Darwinian / La Loi de la Jungle
Un bon épisode... Loin des classes supérieures de New York, ça fait du bien !
La réflexion sur la condition des SDF a le mérite de clairement poser le problème de leur place dans la société actuelle, ça ne prenait pas de pincettes et je pense que c'était nécessaire.
Un bon épisode... Loin des classes supérieures de New York, ça fait du bien !
La réflexion sur la condition des SDF a le mérite de clairement poser le problème de leur place dans la société actuelle, ça ne prenait pas de pincettes et je pense que c'était nécessaire.
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Retard, retard quand tu nous tiens. Mais quand on veut voir dans l'ordre…
Allez savoir pourquoi, le numéro 7 est passé après les 8 & 9.
13.06 Hitman /Tueurs à gages
Une fois n'est pas coutume, vite oublié. J'ai même failli décrocher après la pub pourtant passée en vitesse rapide !
Un entrepreneur est retrouvé mort, un balle dans la tête. Meurtre banal qui ouvre autant de perspectives que le secteur du bâtiment a mauvaise réputation : magouilles, escroqueries, mafia, clients mécontents etc. Hélas, après avoir tourné un moment en rond avec ces perspectives, c'est le bon vieux triangle amoureux qui ressort avec pour motif : la bonne vieille assurance-vie.
Donc madame, forcément plus jeune, s'envoie en l'air avec un jeune premier sans le sou. Pas de chance, monsieur le découvre et envisage le divorce et comme le contrat prénuptial prévoit qu'un cas de divorce pour adultère, la dame ne recevra rien, c'est tout bénef pour monsieur. On se demande en passant pourquoi madame, le sachant, a néanmoins commis l'adultère. On comprend mieux quand on voit qu'il s'agit de Bobby Canavale (ex pompier de New York 911). Bref, madame s'affole et engage donc un tueur à gages pour éliminer monsieur. Mais le tueur est arrêté, pour tout autre chose, avant d'avoir rempli son contrat. Qui donc a tué monsieur ? Retour case départ pour les inspecteurs et le procureur d'autant que madame et le jeune premier se renvoient la balle, niant farouchement et s'accusant mutuellement. Bien embêté, McCoy se rabat finalement sur l'ami d'enfance de monsieur, usurier de son état à qui monsieur devait un paquet de fric et dont le compte en banque, par hasard, fait état de mouvements de fonds tout à fait compatibles avec le fameux contrat. Vous suivez, toujours ??
Donc, arrestation et fin de l'histoire.
Eh, non. L'avocat de monsieur débarque avec une cassette sur laquelle… monsieur (le mort donc) disculpe son ami d'enfance (l'usurier donc) en expliquant que sa mort parfaitement programmée devait faire expédier en prison madame et le jeune premier (son épouse infidèle et l'amant donc). Et toc !
Le mot de la fin revient au procureur général : suicide assisté, fin de l'histoire.
J'ai honte de l'avouer, mais je me suis ennuyée ferme.
13.07 Open Season / La chasse est ouverte
ça commence comme une vendetta policière et on se retrouve en pleine paranoïa post 11 septembre. Ou quand l'Amérique a peur et resserre l'étau autour de ses citoyens quitte à restreindre leurs libertés et droits civiques, les avocats voient rouge… et dérapent.
Un avocat est assassiné alors qu'il vient de gagner un procès retentissant : il a réussi à faire acquitter son client accusé de tentative de meurtre sur un policier, ledit policier étant depuis dans un fauteuil roulant.
Tout de suite, l'enquête s'oriente vers une vendetta mais Brisco et Green (ce dernier se rendant très impopulaire avec ses suspicions objectives mais dérangeantes y compris pour son chef) font vite chou blanc et du côté policier et du côté de l'agent handicapé. Ils atterrissent alors dans un groupe d'extrémistes particulièrement remontés contre les instances gouvernementales qui, depuis le 11 septembre, prennent des libertés avec la Constitution, restreignant les libertés des citoyens. Le groupe a fait main basse sur l'agenda de l'avocat assassiné afin d'éliminer tout le carnet d'adresse. Le responsable est arrêté et mis carrément au secret, sans possibilité de contact avec le monde extérieur, uniquement avec son avocat.
Et là, on oublie carrément cette première partie pour plonger au cœur des droits civiques et de la responsabilité des avocats, de leur irresponsabilité aussi par la même occasion.
C'est Melnick, la vielle amie de McCoy, qui débarque, prête à lutter jusqu'au bout pour défendre son client malmené par un gouvernement paranoïaque (mais désireux de protéger ses juges et procureurs). Trop zélée elle-même, elle commet alors la faute de taille : elle sert de messager à son client. En toute bonne foi, croyant aider son client… et c'est le procureur de Floride qui est assassiné, dont l'adresse se trouvait dans l'agenda volé et mémorisée par le client de Melnick… qui se retrouve accusée d'homicide involontaire mais tient jusqu'au bout à préserver le secret professionnel et son éthique.
Le tout ayant nécessité des coups de canifs non négligeables dans la Constitution et autres droits civiques mais McCoy est prêt à tout, lui-même, pour sauver son amie. Tellement prêt à tout, qu'il joue son va-tout auprès de l'inculpé en isolation afin qu'il décharge son ex-avocate. Un mensonge qui coûtera cher… Melnick est victime de représailles de la part des extrémistes, abattue à la sortie du tribunal.
Quand les émotions et l'humanité prennent le pas sur la loi et l'ordre, dans un sens ou dans un autre, c'est le bordel assuré.
Allez savoir pourquoi, le numéro 7 est passé après les 8 & 9.
13.06 Hitman /Tueurs à gages
Une fois n'est pas coutume, vite oublié. J'ai même failli décrocher après la pub pourtant passée en vitesse rapide !
Un entrepreneur est retrouvé mort, un balle dans la tête. Meurtre banal qui ouvre autant de perspectives que le secteur du bâtiment a mauvaise réputation : magouilles, escroqueries, mafia, clients mécontents etc. Hélas, après avoir tourné un moment en rond avec ces perspectives, c'est le bon vieux triangle amoureux qui ressort avec pour motif : la bonne vieille assurance-vie.
Donc madame, forcément plus jeune, s'envoie en l'air avec un jeune premier sans le sou. Pas de chance, monsieur le découvre et envisage le divorce et comme le contrat prénuptial prévoit qu'un cas de divorce pour adultère, la dame ne recevra rien, c'est tout bénef pour monsieur. On se demande en passant pourquoi madame, le sachant, a néanmoins commis l'adultère. On comprend mieux quand on voit qu'il s'agit de Bobby Canavale (ex pompier de New York 911). Bref, madame s'affole et engage donc un tueur à gages pour éliminer monsieur. Mais le tueur est arrêté, pour tout autre chose, avant d'avoir rempli son contrat. Qui donc a tué monsieur ? Retour case départ pour les inspecteurs et le procureur d'autant que madame et le jeune premier se renvoient la balle, niant farouchement et s'accusant mutuellement. Bien embêté, McCoy se rabat finalement sur l'ami d'enfance de monsieur, usurier de son état à qui monsieur devait un paquet de fric et dont le compte en banque, par hasard, fait état de mouvements de fonds tout à fait compatibles avec le fameux contrat. Vous suivez, toujours ??
Donc, arrestation et fin de l'histoire.
Eh, non. L'avocat de monsieur débarque avec une cassette sur laquelle… monsieur (le mort donc) disculpe son ami d'enfance (l'usurier donc) en expliquant que sa mort parfaitement programmée devait faire expédier en prison madame et le jeune premier (son épouse infidèle et l'amant donc). Et toc !
Le mot de la fin revient au procureur général : suicide assisté, fin de l'histoire.
J'ai honte de l'avouer, mais je me suis ennuyée ferme.
13.07 Open Season / La chasse est ouverte
ça commence comme une vendetta policière et on se retrouve en pleine paranoïa post 11 septembre. Ou quand l'Amérique a peur et resserre l'étau autour de ses citoyens quitte à restreindre leurs libertés et droits civiques, les avocats voient rouge… et dérapent.
Un avocat est assassiné alors qu'il vient de gagner un procès retentissant : il a réussi à faire acquitter son client accusé de tentative de meurtre sur un policier, ledit policier étant depuis dans un fauteuil roulant.
Tout de suite, l'enquête s'oriente vers une vendetta mais Brisco et Green (ce dernier se rendant très impopulaire avec ses suspicions objectives mais dérangeantes y compris pour son chef) font vite chou blanc et du côté policier et du côté de l'agent handicapé. Ils atterrissent alors dans un groupe d'extrémistes particulièrement remontés contre les instances gouvernementales qui, depuis le 11 septembre, prennent des libertés avec la Constitution, restreignant les libertés des citoyens. Le groupe a fait main basse sur l'agenda de l'avocat assassiné afin d'éliminer tout le carnet d'adresse. Le responsable est arrêté et mis carrément au secret, sans possibilité de contact avec le monde extérieur, uniquement avec son avocat.
Et là, on oublie carrément cette première partie pour plonger au cœur des droits civiques et de la responsabilité des avocats, de leur irresponsabilité aussi par la même occasion.
C'est Melnick, la vielle amie de McCoy, qui débarque, prête à lutter jusqu'au bout pour défendre son client malmené par un gouvernement paranoïaque (mais désireux de protéger ses juges et procureurs). Trop zélée elle-même, elle commet alors la faute de taille : elle sert de messager à son client. En toute bonne foi, croyant aider son client… et c'est le procureur de Floride qui est assassiné, dont l'adresse se trouvait dans l'agenda volé et mémorisée par le client de Melnick… qui se retrouve accusée d'homicide involontaire mais tient jusqu'au bout à préserver le secret professionnel et son éthique.
Le tout ayant nécessité des coups de canifs non négligeables dans la Constitution et autres droits civiques mais McCoy est prêt à tout, lui-même, pour sauver son amie. Tellement prêt à tout, qu'il joue son va-tout auprès de l'inculpé en isolation afin qu'il décharge son ex-avocate. Un mensonge qui coûtera cher… Melnick est victime de représailles de la part des extrémistes, abattue à la sortie du tribunal.
Quand les émotions et l'humanité prennent le pas sur la loi et l'ordre, dans un sens ou dans un autre, c'est le bordel assuré.
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13.08 (*) Astérisque
Aussi ennuyeux que le numéro 6.
Un chauffeur de limousine est assassiné. Lennie et Green remontent assez rapidement chez l'un de ses clients : un sportif de haut niveau. L'enquête rebondit de mensonge en mensonge car la star du base-ball est plus préoccupée de cacher ses préférences sexuelles que de révéler qu'il prend des stéroïdes.
Ce qui aurait pu être un grand épisode s'il avait été traité différemment. Ce sportif est censé être l'étoile montante du base-ball et donc, logiquement, traqué par tous les journalistes et photographes sans compter les fans. Rien de tout cela. On passe complètement à côté si ce n'est une petite remarque de Branch qui s'inquiète que le jury puisse se montrer clément en raison de la célébrité de l'accusé. Il en ressort qu'il est plus grave d'être homosexuel que de se doper et tricher. Vive l'Amérique !
13.09 The Wheel / La roue
Pas vraiment ennuyeux mais tout aussi décevant que le précédent.
Ce qui aurait pu (dû) plonger au cœur des relations diplomatiques délicates entre deux grandes puissances, à savoir les États-Unis et la Chine, se contente bêtement de tourner en rond à la recherche du coupable: c'est lui ! mais non c'est pas lui c'est l'autre ! mais si c'est lui ! mais non c'est l'autre ! bon, les gars, faut vous mettre d'accord, y'a plus qu'une minute et c'est la fin.
Une jeune femme est immolée par le feu devant l'appartement d'un consul chinois. Elle appartenait à une secte durement réprimée en Chine et avait déposé une plainte contre le consul, qui, en Chine, torturait ses adeptes. Le consul risquait d'être renvoyé en Chine ce qui ne faisait pas les affaires du meurtrier. Eh oui, ils se sont enfin mis d'accord à la toute dernière seconde !
La secte pratiquant le lavage de cerveau et le suicide collectif, il aurait été extrêmement intéressant d'opposer les "vues" des deux pays à son propos avec manifs etc. etc. mais rien ne vient.
Les scénaristes seraient-ils devenus frileux ??
13.10 Mother's Day / La fête des mères
J'ignore pourquoi un tel titre, mais à mon humble avis, cela aurait plutôt dû s'appeler la fête de Serena. Car elle est à la fête, la jolie blonde. Pour ceux qui auraient encore des doutes sur le Q.I. des blondes ! non mais franchement, à quoi pensaient les scénaristes.
Une ancienne condisciple de Serena (tiens une brune !) prend la défense de l'accusée. Pas très bonnes copines à la Fac, on s'attend donc à un bras de fer. Que nenni ! cette cruche de blonde se fait manipuler si facilement que cela donne envie de…, bon que ce n'est pas crédible du tout et embarque le tout dans un truc pas possible.
J'en ai même oublié le pourquoi des deux meurtres.
13.11 Chosen / l'Elu
Quand le conflit israélo-palestinien s'invite dans l'univers des bookmakers.
L'épisode vaut surtout pour toute la partie judiciaire où McCoy est aux prises avec un avocat déroutant complètement fantaisiste qui ne vise qu'à mettre le jury dans sa poche en le faisant rire, puis s'apercevant que les jurés sont en majorité des Juifs, tout comme son client et… le juge, retourne la situation. "Oui, mon client a volé de l'argent à sa société mais c'était pour aider Israël." Et le voilà parti sur la souffrance du peuple juif.
C'est sûr, quand un bookmaker demande des comptes à son collègue qui a piqué dans la caisse, il mérite d'être assassiné parce qu'à cause de lui Israël ne recevra plus d'argent pour continuer son combat.
Il est dommage que la victime n'ait pas été arabe, cela aurait encore plus relever la sauce.
13.12 Under God / Au nom de Dieu
Lorsque l'on fait jurer les témoins sur la Bible et que l'on placarde aux murs des inscriptions telles que "In God We Trust", il ne faut pas s'étonner que Dieu s'invite dans les tribunaux et la justice des hommes. Et pourtant, si elles se réfèrent à Dieu aussi distinctement, les instances judiciaires ne sont pas pour autant prêtes à admettre que l'on puisse tuer au nom de Dieu. Et il ne reste donc que des hommes aux prises avec leur conscience et leur Foi.
Un dealer est abattu et les inspecteurs soupçonnent tout de suite un père dont le fils a été tué par le dealer. Ce qui amène une question redoutable : pourquoi s'acharner sur un brave homme fou de chagrin alors que le dealer a fait plus de dégâts ? Lennie passerait bien l'éponge, ne s'étant toujours pas remis de la mort de sa fille mais pour Green, la loi c'est la loi.
Mais c'est le prêtre de la paroisse qui s'accuse du meurtre et présente une défense ahurissante : Dieu le lui a demandé.
Aussi ennuyeux que le numéro 6.
Un chauffeur de limousine est assassiné. Lennie et Green remontent assez rapidement chez l'un de ses clients : un sportif de haut niveau. L'enquête rebondit de mensonge en mensonge car la star du base-ball est plus préoccupée de cacher ses préférences sexuelles que de révéler qu'il prend des stéroïdes.
Ce qui aurait pu être un grand épisode s'il avait été traité différemment. Ce sportif est censé être l'étoile montante du base-ball et donc, logiquement, traqué par tous les journalistes et photographes sans compter les fans. Rien de tout cela. On passe complètement à côté si ce n'est une petite remarque de Branch qui s'inquiète que le jury puisse se montrer clément en raison de la célébrité de l'accusé. Il en ressort qu'il est plus grave d'être homosexuel que de se doper et tricher. Vive l'Amérique !
13.09 The Wheel / La roue
Pas vraiment ennuyeux mais tout aussi décevant que le précédent.
Ce qui aurait pu (dû) plonger au cœur des relations diplomatiques délicates entre deux grandes puissances, à savoir les États-Unis et la Chine, se contente bêtement de tourner en rond à la recherche du coupable: c'est lui ! mais non c'est pas lui c'est l'autre ! mais si c'est lui ! mais non c'est l'autre ! bon, les gars, faut vous mettre d'accord, y'a plus qu'une minute et c'est la fin.
Une jeune femme est immolée par le feu devant l'appartement d'un consul chinois. Elle appartenait à une secte durement réprimée en Chine et avait déposé une plainte contre le consul, qui, en Chine, torturait ses adeptes. Le consul risquait d'être renvoyé en Chine ce qui ne faisait pas les affaires du meurtrier. Eh oui, ils se sont enfin mis d'accord à la toute dernière seconde !
La secte pratiquant le lavage de cerveau et le suicide collectif, il aurait été extrêmement intéressant d'opposer les "vues" des deux pays à son propos avec manifs etc. etc. mais rien ne vient.
Les scénaristes seraient-ils devenus frileux ??
13.10 Mother's Day / La fête des mères
J'ignore pourquoi un tel titre, mais à mon humble avis, cela aurait plutôt dû s'appeler la fête de Serena. Car elle est à la fête, la jolie blonde. Pour ceux qui auraient encore des doutes sur le Q.I. des blondes ! non mais franchement, à quoi pensaient les scénaristes.
Une ancienne condisciple de Serena (tiens une brune !) prend la défense de l'accusée. Pas très bonnes copines à la Fac, on s'attend donc à un bras de fer. Que nenni ! cette cruche de blonde se fait manipuler si facilement que cela donne envie de…, bon que ce n'est pas crédible du tout et embarque le tout dans un truc pas possible.
J'en ai même oublié le pourquoi des deux meurtres.
13.11 Chosen / l'Elu
Quand le conflit israélo-palestinien s'invite dans l'univers des bookmakers.
L'épisode vaut surtout pour toute la partie judiciaire où McCoy est aux prises avec un avocat déroutant complètement fantaisiste qui ne vise qu'à mettre le jury dans sa poche en le faisant rire, puis s'apercevant que les jurés sont en majorité des Juifs, tout comme son client et… le juge, retourne la situation. "Oui, mon client a volé de l'argent à sa société mais c'était pour aider Israël." Et le voilà parti sur la souffrance du peuple juif.
C'est sûr, quand un bookmaker demande des comptes à son collègue qui a piqué dans la caisse, il mérite d'être assassiné parce qu'à cause de lui Israël ne recevra plus d'argent pour continuer son combat.
Il est dommage que la victime n'ait pas été arabe, cela aurait encore plus relever la sauce.
13.12 Under God / Au nom de Dieu
Lorsque l'on fait jurer les témoins sur la Bible et que l'on placarde aux murs des inscriptions telles que "In God We Trust", il ne faut pas s'étonner que Dieu s'invite dans les tribunaux et la justice des hommes. Et pourtant, si elles se réfèrent à Dieu aussi distinctement, les instances judiciaires ne sont pas pour autant prêtes à admettre que l'on puisse tuer au nom de Dieu. Et il ne reste donc que des hommes aux prises avec leur conscience et leur Foi.
Un dealer est abattu et les inspecteurs soupçonnent tout de suite un père dont le fils a été tué par le dealer. Ce qui amène une question redoutable : pourquoi s'acharner sur un brave homme fou de chagrin alors que le dealer a fait plus de dégâts ? Lennie passerait bien l'éponge, ne s'étant toujours pas remis de la mort de sa fille mais pour Green, la loi c'est la loi.
Mais c'est le prêtre de la paroisse qui s'accuse du meurtre et présente une défense ahurissante : Dieu le lui a demandé.
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Et voilà, la saison 13 est terminée. Enfin, terminée à la façon TF1 car si l'épisode n° 23 a bien été diffusé, les n° 22 & 24 ont été "oubliés". Bizarre, bizarre, vous avez dit bizarre ?
En tout cas, moi, j'en profite pour remettre tout le monde dans l'ordre.
13.14 Star Crossed / Mauvais sort
Mauvais tout court. Oublié très vite.
Une belle enfant aux goûts de luxe s'invente un monde meilleur que celui, modeste, où elle est née, aidée par un ami d'enfance "un peu lent" mais qui se ferait hacher menu pour lui plaire ou tout du moins endosserait un meurtre sans hésiter pour la sauver.
La belle enfant se servant de ses charmes et de ses… larmes (tiens ça me rappelle un épisode de TOS, ça !) à tout va et sur tout le monde, enfin surtout sur les messieurs, s'essaye d'abord sans succès sur les Incorruptibles de la criminelle, puis entreprend d'adoucir le procureur. Hélas, Serena veille. Dormez tranquille, braves gens, la loi et l'ordre ne se laissent pas séduire. Elliott Ness est fier de vous, les gars.
Évidemment, y'a que les idiots d'avocats qui se laissent prendre et les jurés bien sûr.
Et la belle époque est bien révolue car la fin se doit de punir la coupable, en un sursaut final (décidément cette saison n'en finit pas de rebondir) avec cette fois de vraies larmes.
13.15 Bitch / La louve
Ah les hormones féminines ! qui, comme chacun sait, malmènent les femmes tout au long de leur vie. Qui n'a pas balancé un jour un galant : "t'as tes règles ou quoi ?" à une femme un peu énervée ?? sous-entendant une fluctuation hormonale agissant sur son comportement.
Ah, messieurs, vous pensiez que vos compagnes ne seraient plus sujettes à ces changements d'humeur intempestifs lorsque viendrait la fin de leurs cycles ? eh non, c'est pire à la méno-pause !
Sacrés œstrogènes ! qui conduisent à l'instabilité mentale et au… meurtre !!!
Alors, faites gaffe, messieurs, ne contrariez pas madame !!
A meurtre banal commis pour la plus vénale des raisons : la cupidité, défense pour le moins surprenante et délirante. Bref, on se régale. Un McCoy qui se demande s'il ne devient pas fou lui-même, un duel d'experts psychiatriques qui fait grimper le docteur Olivet aux rideaux (ses hormones sans doute !!) et sourire le docteur Skoda (normal, c'est un homme !). Et au milieu, le procureur Branch qui, en ami de l'accusée, aimerait bien remettre les choses à leur place, car connaissant l'accusée, il sait lui… que les hormones ont bon dos.
Et l'inévitable retournement de dernière seconde, faut bien que les coupables soient punis !! Franchement, là, ça commence à filer la nausée.
Pourrait-on me confirmer, mais lors de la diffusion sur 13ème Rue, il y a bien une voix off qui lit les cartons indiquant les lieux, lesquels sont libellés en anglais et pas en français comme sur TF1.
Du coup, je me demande s'il n'y a pas aussi une voix off dans les spin-off diffusés sur TF1 ?
En tout cas, moi, j'en profite pour remettre tout le monde dans l'ordre.
13.14 Star Crossed / Mauvais sort
Mauvais tout court. Oublié très vite.
Une belle enfant aux goûts de luxe s'invente un monde meilleur que celui, modeste, où elle est née, aidée par un ami d'enfance "un peu lent" mais qui se ferait hacher menu pour lui plaire ou tout du moins endosserait un meurtre sans hésiter pour la sauver.
La belle enfant se servant de ses charmes et de ses… larmes (tiens ça me rappelle un épisode de TOS, ça !) à tout va et sur tout le monde, enfin surtout sur les messieurs, s'essaye d'abord sans succès sur les Incorruptibles de la criminelle, puis entreprend d'adoucir le procureur. Hélas, Serena veille. Dormez tranquille, braves gens, la loi et l'ordre ne se laissent pas séduire. Elliott Ness est fier de vous, les gars.
Évidemment, y'a que les idiots d'avocats qui se laissent prendre et les jurés bien sûr.
Et la belle époque est bien révolue car la fin se doit de punir la coupable, en un sursaut final (décidément cette saison n'en finit pas de rebondir) avec cette fois de vraies larmes.
13.15 Bitch / La louve
Ah les hormones féminines ! qui, comme chacun sait, malmènent les femmes tout au long de leur vie. Qui n'a pas balancé un jour un galant : "t'as tes règles ou quoi ?" à une femme un peu énervée ?? sous-entendant une fluctuation hormonale agissant sur son comportement.
Ah, messieurs, vous pensiez que vos compagnes ne seraient plus sujettes à ces changements d'humeur intempestifs lorsque viendrait la fin de leurs cycles ? eh non, c'est pire à la méno-pause !
Sacrés œstrogènes ! qui conduisent à l'instabilité mentale et au… meurtre !!!
Alors, faites gaffe, messieurs, ne contrariez pas madame !!
A meurtre banal commis pour la plus vénale des raisons : la cupidité, défense pour le moins surprenante et délirante. Bref, on se régale. Un McCoy qui se demande s'il ne devient pas fou lui-même, un duel d'experts psychiatriques qui fait grimper le docteur Olivet aux rideaux (ses hormones sans doute !!) et sourire le docteur Skoda (normal, c'est un homme !). Et au milieu, le procureur Branch qui, en ami de l'accusée, aimerait bien remettre les choses à leur place, car connaissant l'accusée, il sait lui… que les hormones ont bon dos.
Et l'inévitable retournement de dernière seconde, faut bien que les coupables soient punis !! Franchement, là, ça commence à filer la nausée.
Pourrait-on me confirmer, mais lors de la diffusion sur 13ème Rue, il y a bien une voix off qui lit les cartons indiquant les lieux, lesquels sont libellés en anglais et pas en français comme sur TF1.
Du coup, je me demande s'il n'y a pas aussi une voix off dans les spin-off diffusés sur TF1 ?