Les discours avant-élection ont finalement lieu à Deadwood. Entre Hearst et Al, la course à un autre pouvoir, celui de tout contrôler dans l’ombre et en parfaite impunité, prend un tournant violant. Al déjoue un attentat à sa vie orchestré par Hearst, mais fais une erreur tragique en acceptant de rencontrer son rival.
Charlie Utter, le bon Charlie, réconforte Joanie et lui redonne le goût de se battre contre Cy. "Nothing’s over yet", et c’est bien ce qu’on espère pour elle... Et pour Charlie.
La grossesse d’Alma doit être interrompue de toute urgence, sous peine de lui coûter la vie. Mme Ellsworth fait de Sophia son héritière et confie sa garde à... Seth Bullock, ce qui est difficile à entendre pour le pauvre M. Ellsworth que j’aime de plus en plus. Et le sheriff, qui semblait commencer à s’accomoder de la présence de sa femme, ne trompe personne quand il apprend qu’Alma va subir une opération dangereuse. Aaaah, son regard quand Sophia lui dit que sa mère est malade... Ce regard vaut toutes les déclarations d’amour de la terre. L’opération se passe bien néanmoins et Alma survit.
Jane raconte avec bonheur ses aventures avec Custer, et n’oublie pas d’apporter une morale à cette histoire : "I guess my lesson I got to teach you...listen and you won’t get scalped. And don’t look at yourself too much in the mirror."
Le soir des discours, Al se rend chez Hearst, seul, contre l’avis de ses sbires et en particulier de Dan. Il aurait du les écouter pour une fois, car Hearst n’est définitivement pas "the fine man you take me for", des fois qu’on aurait pu se méprendre. Il essaye de convaincre Al de l’aider à obtenir la concession minière de Mme Ellsworth, mais le patron du Gem Saloon n’est pas prêt à l’aider à s’enrichir, ni même à perdre l’appui de Bullock. Son refus lui coûte un doigt... Mais pas sa détermination à se débarrasser une fois pour toute de son ennemi. The game is on !