To Whom It May Concern: Là, c’est plus possible.
Non, en fait, ce qui me pousse à prendre un joker, c’est que la première image de l’épisode est Lorelai, Christopher et Rory qui sortent d’un dîner familial. Certes, il reste Lorelai, Rory, même Richard et Emily, mais vraiment, Christopher, j’en peux plus. Ce personnage nous a gâché, à l’instar de Rory en saison 6, cette septième année de Gilmore Girls en essayant de ramener un peu de fraîcheur de la saison 1 mais en se plantant lamentablement.
Ecrire un personnage antipathique n’est pas chose aisée, c’est même largement plus difficile que d’en écrire un Keith Cool. Chaque série a son Keith Cool. Même Smallville a réussi à en avoir.
Mais alors essayer d’écrire un personnage pas sympa mais en fait c’est la faute d’un peu tous les personnages, non seulement c’est casse-gueule, mais en plus c’est complètement impossible. A moins de s’appeler Joss Whedon.
Jess, Rory, Luke, Chris... Pourquoi s’acharnent-ils ? Pourquoi ? N’ont-ils pas compris que le téléspectateur lambda de Gilmore Girls aime la guimauve, les répliques punchy et le fait que Lorelai et Rory suffisent à être une vraie famille ? On ne veut pas d’homme dans cette maison ! Ca ramasse pas ses chaussettes, ça mange comme un porc, ça aime le foot et les voitures et ça dit des gros mots.
Le nombre de mes jokers diminuant petit à petit, ils ont donc intérêt à le dégager vite fait que je puisse écrire de vraies reviews avec des choses à dire dedans. Et m’amuser devant un épisode de la série, accessoirement.