Critique des meilleures nouvelles séries télé (et des autres)
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Ma Saison à Moi - Critique de l'épisode La de la saison La

Saison à Black Widow: Edition 2005/2006

Par Blackie, le 13 août 2006
Publié le
13 août 2006
Saison La
Episode La
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Ma saison de newbie à pErDUSA a été faite d’un peu tout et n’importe quoi. Heureusement que j’ai effectué un rattrapage intensif ces dernières semaines, car sur la durée j’avais l’impression de subir une année assez éprouvante, faite de déceptions (elles se reconnaîtront) et de nouveautés assez pitoyables (les Four Kings of Boredom arrivent en tête). Mais une année ponctuée par les bêtises hilarantes d’une bande de dégénérés qui regardent trop la télé.

MON COUP DE CŒUR

Mad TV - saison 11
Did you hear about the bomb threat ? Ashlee Simpson might perform.

Il faut toujours écouter Conundrum. Parfois. Enfin, quand il a raison.
Grand bien m’a pris de ne pas ignorer ses cris incessants pour regarder ses vidéos, car j’en ai eu pour 11 ans de sketches et de fous rires plus efficaces qu’une séance d’abdos. Je fais dorénavant partie de ces gens outragés par l’impopularité de l’émission, pourtant plus mordante et bien moins prétentieuse que le Saturday Night Live. Aujourd’hui, je suis fière de pouvoir dire que je sais qui sont Bobby Lee et Mo Collins. Et vous devriez aussi.
MadTv c’est bon, mangez-en.

Mes soirées avec la rédac

MES INDISPENSABLES

Battlestar Galactica - saison 2
You once said "Why does humanity deserve to survive ?" Maybe you don’t.

L’homme aux cojones géantes a réussi à me décevoir durant 3 épisodes (le coup de Billy, sérieusement !). Si le final m’a clouée sur place, avec le recul la saison 3 me paraît très incertaine. Je ne fais plus confiance aveuglément à Moore, soit ça va passer à merveille, soit ça va casser. Mis à part cela, cette saison était absolument incroyable, en particulier du côté de Six et Baltar qui sont pour ma part les personnages les plus fascinants (clones et hallucinations compris). Si on nous donne encore des épisodes du calibre de ceux de cette mi-saison, je suis prête à pardonner les petits faux-pas (nan mais Billy, quoi...sérieusement.).

Scrubs - saison 5
Payback is a bitch, ô lord, payback is a bitch !

Comme Feyrtys, je trouve que la série ne sera jamais aussi bonne que durant ses deux premières saisons. Mais malgré une certaine fraîcheur passée et les mimiques de Zach Braff qui finissent par m’énerver (apprendre qu’il est en réalité un mec exécrable n’a pas aidé), j’ai beaucoup rigolé cette année. Les évolutions sont petites mais présentes et le newbie Keith apporte du sang neuf (et ses jolis pecs). J’ai hâte de voir quelle tête de cinglé aura le bébé Turkelson !

Doctor Who - saison 2
I’m the doctor. And I just snogged Madame de Pompadour !

Excellent démarrage pour ce nouveau Docteur, qui souffre un peu de la comparaison avec Eccleston mais n’en manque pas pour autant de classe. Le point fort de la saison aura été de reprendre la mythologie de l’an passé, même s’il y a eu une baisse de régime en deuxième partie, notamment due à des loners très banals, voir enfantins. Maintenant que Billie Piper a également tiré sa révérence, il va falloir que j’arrête de m’accrocher à ce qu’était la saison 1. Je croise les doigts pour la suite et pour revoir au moins une fois Jackie, personnage comique qui a dépassé son statut pathétique pour démontrer une vraie profondeur. Russell m’aurait demandé mon avis, je lui aurais conseillé de faire de Jackie la nouvelle partenaire du Docteur. Il ne l’a pas fait et je suis sûre qu’il le regrettera amèrement.

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MON ETERNEL CHOUCHOU

Veronica Mars- saison 2
I smell bacon

Ça manque de Joss à la télé, alors heureusement que Rob est là. Voilà une saison « épique », qui ne m’a pas déçue, même si son ensemble est un peu moins bien maîtrisé il faut l’admettre. Mais peu importe, c’était beau, c’était fort, c’était émouvant, c’était du Veronica Mars comme je l’aime. Franchement, comment pourrais-je dire quoi que ce soit de négatif sur la série dans laquelle mon dieu-à-moi-le-grand-Joss vient faire une apparition ?! En bref : Rob, you rule.

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MON INCROYABLE SURPRISE

Grey’s Anatomy - saison 2
I wish I hadn’t bleeched my butt-hair for him

Un hôpital. Des jeunes internes. Des médecins au look de top-models. Des patients aux cas extraordinaires. Une voix off. Des chansons djeunz. Des acteurs avec 10 ans de plus que leur rôle. Et surtout, des histoires d’amour très TRES compliquées. GA, c’est la série qu’elle est tellement originale et mieux foutue que les autres que les raisons de sa popularité sont aussi mystérieuses que les loges de Twin Peaks. Et ce n’est pas l’épisode soit-disant génial post-superbowl (aussi appelé « 40 minutes dans la vie d’un poulpe » ou « la plus grosse boulette de Meredith ») qui risque de fournir une réponse. Mais par miracle est arrivée la storyline bouleversante d’Izzie et Denny Duquette, véritable summum de cette saison (quoi, McDreamy ou McVet ? Quelqu’un en a vraiment à McCirer ?). Alors finalement, GA est une série plutôt chouette, mais à regarder en commençant par la fin (en plus ça évite de voir le générique ridicule). Par contre ça n’empêche pas d’avoir envie de crier « Shut up Meredith and die ! ».

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MES MALHEUREUSES DEFUNTES

The Inside - saison 1
Let her go ! ... Damn, did that backwards.

Si Tim Minear avait appris à Rachel à aérer ses aisselles comme David Caruso, sa série serait peut-être encore à l’antenne. Mince alors, qu’est-ce qu’il nous fiche avec ses séries complètement allumées qui nous prennent la tête ? Et Katie qui n’est plus ni blonde ni lesbienne. Il reste rien pour sauver les meubles ! Pour la peine, pas de sortie dvd cette fois-ci !

Sur ce je vais tester l’efficacité de la corde offerte par le fanclub de Tim.

Arrested Development - saison 3
And they say vegetables are good for the heart !

Rien à ajouter de plus que les autres. Je préfère pleurer dans mon coin à la perte de ce monument de comédie et me revisionner l’intégrale. Adieu jetpack, never-nude, banana stand, girls with low self-esteem, final countdown, phoques cannibales, blue men group, chicken dance et autres conneries cultes qu’Hurwitz ne nous ressortira plus.

Everwood - saison 4
Everwood ? Where is that ?

Greg m’aurait laissé les commandes, comme je lui avais demandé, Nina serait en ce moment même en train de se faire bronzer les orteils au pays des stars en compagnie d’un chéri capable d’effacer ses rides plus vite que Zorro. Andy serait devenu la bitch d’Edna, tandis que Delia aurait eu en cadeau un grizzli (ils sont « on notice », eux). Harold et Rose auraient adopté tous les bébés du Tiers Monde de leur choix (si Brangelina y arrive, je ne vois pas de raison pour qu’eux non plus !). Bright aurait épousé Hannah et lui aurait fait découvrir les joies de la bête à deux dos, avec pour résultat de la rallier au parti Démocrate juste avant les élections. Et Amy...ok elle aurait fini avec Ephram, mais on aurait appris que 20 ans plus tard elle devenait Présidente (non, pas comme Gina) et lui joueur de synthé dans le métro. Sans oublier l’ajout d’une scène où des gens en costard marchent, pour que Jéjé puisse faire une apparition. Mais noooon, môsieur Berlanti a préféré écouter sa stagiaire qui voulait que tout soit bien qui finit bien...pour les Brown. Que de surprises ! Au moins maintenant, je ferai des économies de mouchoirs. Oui, je l’ai déjà dit, mais c’est bon de se répéter. Surtout quand on n’a rien d’autre à ajouter.

Love monkey - saison 1
Love is a marathon

Peu de nouveautés m’ont enchantée cette année. Il n’y a qu’un seul drama dans lequel j’avais de l’espoir et c’était la nouvelle série de Tom Cavanagh. Malgré certains défauts, qu’elle perdait d’ailleurs très rapidement, Love Monkey m’aura conquise en l’espace de trois épisodes. Qui resteront malheureusement les seuls diffusés. Le milieu traité était original, le ton frais et léger, la bande son excellente, l’ensemble très prometteur...d’où l’annulation rapide par la FOX. Forcément, être diffusée sur le plus stupide des network c’était déjà partir du mauvais pied. Inviter James Blunt n’a pas aidé non plus.

Six Feet Under - saison 5
It’s already gone

Que de beauté dans cette ultime révérence d’une des oeuvres les plus poignantes de ces dernières années. Les dernières saisons étaient si dépressives que j’ai bêtement tardé à visionner celle-ci, qui tranche par son espoir permanent et un finale (surtout le final du finale) m’ayant laissée sans voix (et sans plus une goutte d’eau dans le corps tant j’en pleurais encore le lendemain).

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MES GROSSES DECEPTIONS

Gilmore Girls - saison 6
Ooohhh, you have your evil face !

Worst.season.ever. Pas besoin de m’épancher sur le pourquoi chaque épisode cette année fut un calvaire, tout le monde l’a déjà fait. Je n’avais pas autant souffert depuis le massacre de la dernière saison d’Ally McBeal. Je peux dire merci à Amy et Daniel de s’en aller d’une façon aussi pitoyable, puisqu’ils n’ont pas même pas eu la décence d’achever une bonne fois pour toutes ce cadavre ambulant qu’est devenu GG. Aucune pitié ces Palladino...

Drawn Together - saison 2
I’m more than a bird, I’m more than a plane, I’m more than some pretty face beside a train...Boo ooh, it’s like he wrote it for me !

Quel dommage qu’ils en aient trop fait. De la série animée hilarante et irrévérencieuse, elle est devenue simplement vulgaire et glauque. Au lieu des rires, elle n’amène plus que de la gêne, malgré quelques moments excellents mais qui n’ont pas suffit à sauver cette saison à mes yeux. Moi qui suis pourtant amatrice d’humour « trash », je me suis souvent sentie mal à l’aise en plus de m’être ennuyée (ce qui n’est pas bon signe pour une comédie). Frappant là où ça faisait mal, DT frappe dorénavant n’importe où et n’importe comment, avec la seule volonté de pousser les limites du politiquement correct plutôt que celles de l’humour. La saison 3 sera sans moi.

House M.D. - saison 2
Where are you from in England ? Badaccentville ?

House suit toujours la même formule et en devient lassant. Pourtant la saison était bien partie. Cameron commençait à être étoffée puis l’histoire a été vite avortée. Ce n’est que vers la fin que la série se rattrappe un peu, avec une excellente storyline concernant Foreman et un season finale ressemblant enfin à un drama plus qu’à un formula show. Prochaine énigme à résoudre : House retrouvera-t-il son mojo ?

The OC - saison 3
Pretty pretty...pretty white kids with problems

Je me suis arrêtée au bout de quelques épisodes tellement ça devenait insupportable. Et pourtant j’avais suivi entièrement la saison 2, que j’ai plutôt bien aimée (ah, Juju et ses vidéos, ça c’était des grands moments). Mais Jeri Ryan m’a achevée. A cause d’elle et de l’ennui profond que m’a inspirée cette saison, je n’ai même pas eu le courage de regarder au moins les apparitions de Morena Baccarin (ma carte de Browncoat a été résiliée depuis) et de Jeff Hephner (qu’on devrait transférer dans « Supernatural », ça m’éviterait de m’éparpiller, merci). J’ai quand même eu la force de voir le finale, parce que la mort d’un gros boulet, c’est aussi immanquable qu’une Lara Flynn Boyle qui s’envole. Et puis les explosions, c’est vachement romantique.

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MES NOUVELLES HABITUDES

It’s always Sunny in Philadelphia - saison 1
I was cute, I was energetic, I was fun. Why didn’t I get blown ?

S’il y a bien une chose que je regrette cette année (en plus de l’existence persistante de Bledel et Pompeo, cela va de soit), c’est que je ne découvre Always Sunny qu’au moment où démarre sa saison 2. Son créateur-scénariste-interprète-ex-acteur-à-la-dèche Rob McElhenney est instantanément devenu mon nouveau héros, mon rêve américain incarné, mon American Idol à Moi. Ses personnages sont égoïstes, avars, grossiers, capables d’offenser le monde entier, mais surtout très très drôles. Comment ne pas les adorer ? Qui plus est, la série est d’utilité publique : à chaque fois que je vois l’appart de Charlie, ça me donne envie de faire le ménage.

How I Met Your Mother - saison 1
Suit up !!!

Très bonne surprise de la rentrée dernière que cette sitcom rafraîchissante, axée sur le romantisme. Avec sa bande de copains sympathiques, ses gimmicks efficaces et un génial Neil Patrick Harris, il n’y a pas trop de quoi bouder son plaisir. Il ne reste plus qu’à faire abstraction de son concept casse-gueule et la série pourra rouler tranquillement encore quelques années.
Au fait, je vous ai dit que Neil est venu faire un tour chez MadTv cette année, pour un joli duo avec Michael McDonald ? En voilà un gars bien.

My Name is Earl - saison 1
Karma this, you dummy !

J’ai vu plus bête, plus méchant et plus osé...mais Earl n’en manque pas moins de charme. Sans doute la nouveauté la plus drôle de l’année, avec une bande de doux péquenots délirants et attachants, qui a le mérite de ne pas s’essouffler aussi vite que son adversaire HIMYM. En prime, la série a permis à Jamie Pressly de rejoindre Heigl et Helfer au panthéon des ex-bimbos devenues Keith Cool. 2005 est un bon cru pour les blondes.

Supernatural - saison 1
Sam, this is bigger than you think

Jugée à tort comme l’héritière de Smallville, Supernatural fait partie de ces séries magistrales malheureusement incomprises. Car si les scénaristes ont beau répéter qu’il s’agit de l’histoire d’une « famille » pour mieux faire passer la pilule, elle est en réalité parfaitement explicite dès le Pilote : lorsque Dean vient chercher Sam pour que celui-ci « assume ce qu’il est vraiment » et qu’il en résulte la « mort de sa petite-amie », tous deux décident de partir retrouver l’homme qui « les a initiés au paranormal ». Sur leur chemin, ils chassent tout ce qui est « hors norme », laissant des traînées de femmes en détresse derrière eux (forcément), mais ce rejet fini par les « tuer » lors d’un final dramatique. Avec ses trois beaux mâles (1 pour chaque tranche d’âge) souvent à moitié nus qui créent en permanence une tension sexuelle à couper au couteau, je ne pouvais qu’adorer. Et vu le nombre de guillemets qu’elle me fait employer, il n’y a aucun doute qu’on tient là une série culte. A ranger entre les lives de Cher et Wonder Woman. I wish I could quit you, mais c’est trop dur. Je serai là pour la saison prochaine les mecs !

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MES TRUCS QUE J’AI MEME PAS HONTE DE REGARDER

The 4400 - saison 2
The world will have to deal with us

Donnez-moi des gens avec pleins de super-pouvoirs, quelques mecs pas trop moches au milieu, et je suis contente (même si ça manque de Milooooooo, oubli qui sera bientôt rattrapé ailleurs). Depuis la révélation de la fin de saison 1, je ne suis pas trop mécontente de la direction que prend la série. Ce n’est pas grandiose, ça n’exploite pas un potentiel pourtant bien là, mais c’est assez divertissant pour que je suive sans déplaisir. En tout cas, ça me fait moins rager qu’X-Men 3.

Stargate : Atlantis - saison 2
What am I, MacGyver ?

Non, je n’ai pas fait preuve d’un élan de solidarité envers Ju. J’ai juste fait ma fille, à savoir regarder pour le McYamy de la série et accessoirement son copain le gros râleur (j’aime bien les gros râleurs. Peut-être parce qu’ils sont mes exactes opposés...). Même si les scénaristes sont atteints d’Alzheimer, signe obligatoire pour bosser sur la franchise Stargate, ce spin-off se laisse suivre sans déplaisir et parvient parfois à se hisser bien plus haut que sa série-mère (je garde en mémoire l’hilarant « Duet » où tout le talent d’Hewlett est enfin exploité). A regarder à petites doses quand même.

Survivor Panama : Exile Island - saison 12
Follow me, I want to show you my favorite bush

Jéjé est un homme dangereux. D’abord, il vous amadoue en vous offrant un mister freeze, puis vous refourgue l’air de rien un épisode de Survivor. « Allez, tout le monde à pErDUSA regarde...Tu veux faire partie de la rédac oui ou non ? Jette au moins un œil, on te forcera pas à voir la suite... ». Et voilà, le mal est fait, vous êtes devenu un adorateur de Jeff Probst et vous surfez sur ebay pour dégotter le buff noir de la fusion des tribus. Vous êtes foutu, faut vivre avec.

Beauty and the Geek - saison 2
I put the stud in study

Mon générique préféré ! Pas de moqueries, cette émission n’est pas de la simple real-tv, non, c’est une « expérience sociale » ayant pour seul but de rendre notre planète plus aimante et tolérante. Une œuvre de bienfaisance, en somme. Quand je la regarde, je retrouve ma naïveté perdue. Parfois c’est bon de se dire que les gens cherchent à devenir meilleurs et non à s’entretuer pour un peu de fric. Parfois c’est chouette de voir des gentils geeks (sauf Chris et ses horribles cartes) et des gentilles bimbos s’entraider dans une jolie maison rose. Ça me redonnerait presque foi en l’humanité.
I’ve got the brain, you’ve got the look, let’s make lots of money...

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MON EPISODE QUE JE NE POUVAIS PAS RATER

South Park - Trapped in the Closet
Now I’m in the closet, now I’m in the closet too

Xenu + urban opera = me loooove it. Et Tom Cruise a parfaitement comblé mon manque de Timmay.
C’est déjà culte, c’est donc à voir, et ça a intérêt à gagner l’Emmy Award.

MON MOMENT PAS POP

Pauvre Kristen. Elle a eu beau chanter aux votants de l’Academy des Emmy Awards « remember my name ! » tout en se remuant dans un justaucorps, ils ont encore été capables de l’oublier. T’en fais pas, nous on t’aime Kristen. Attends un peu qu’on organise nos pErDUSAwards...

MON MOMENT TRES ROCK

Thank you Stephen. Thank you.

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Ma Saison à Moi sera officiellement achevée lorsque j’aurai fini mon rattrapage de The Office, dont je peux déjà dire que je suis fan. Maintenant je comprends mieux l’enthousiasme shipperesque engendré par Jam (ou Pim. Moi j’aime bien les appeler Pim, c’est tout meugnon comme eux et ça me fait marquer ma différence). J’ajouterais bien une autre série à la liste, mais cracher sur Big Love sans avoir dépassé le Pilote serait puéril et on m’a apprit qu’on ne l’est pas à ici, alors je m’abstiendrai (même s’il n’empêche que c’est chiant comme des gens qui patinent avec des regards de merlans frits).

Blackie
P.S. Vous pouvez réagir à l’excellente saison de Blackie (quel bon goût elle a !) sur le forum, en cliquant ici.