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Ma Semaine à Nous - Critique de l'épisode Semaine de la saison Semaine

N°100: Semaine du 06 au 12 avril 2009

Par la Rédaction, le 13 avril 2009
Publié le
13 avril 2009
Saison Semaine
Episode Semaine
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C’est la 100ème semaine de cette chronique ! Youhou ! Pour fêter ça, on a plein de textes, et un bilan tout en statistique par Ju que vous ne devez pas manquer (il est en bas), des bandes-dessinées, un best-of des perles de Drum, et quelques réflexions sur la télévision américaine (il faut bien un peu quand même) : on parle de BSG, de Supernatural, de Terminator, de In Treatment, de The Office, de E.R, et on oublie pas se féliciter d’avoir réussi à tenir 100 semaines. Et pour nous rappeler que les séries télé sont une excellente thérapie, Gabriel Byrne illustre cette 100ème semaine.

Mauvaise foi
Tomemoria n’a pas lu le mémo

Vous savez ce que c’est les centièmes épisodes. Un moment exceptionnel. Le bilan du chemin parcouru. On revient sur ce qui fait l’essence même du show. On fait revenir des personnes disparues (Lyssa ? Tu es là ?). Bref, c’est l’épisode où on brasse les thèmes déjà abordés maintes fois, mais avec ce zeste de vitalité, de bonne humeur, qui nous fait nous rappeler pourquoi on aime tellement cette série.
Pour la centième ma semaine à nous de pErDUSA, il fallait donc aborder ce qui fait l’essence même du site. Voyons, ces rédacteurs sont de sales cons prétentieux. Ils ne rendent jamais rien à l’heure. Ils font des déclarations honteuses. Ah oui, ils se mettent tous les fans de Battlestar Galactica à dos.

Il y a quelques semaines, je faisais une comparaison peu flatteuse entre Roswell et la dernière création de Ron Moore. Depuis février, j’ai entamé une intégrale de Battlestar Galactica dans le but non dissimulé d’atteindre le serie finale avant les notes de fin d’années et de participer moi aussi au F général. Ainsi, j’ai lu avec des années de retard les reviews de Ju, de Feyrtys et une petite de Joma. J’en suis actuellement à l’épisode 14 de la saison 3, celui où un médecin raciste s’amuse à empoisonner tout les Sagitarriens à bord. Cet épisode avait agité haine et rancoeur à l’égard de Ron Moore à l’époque de sa diffusion. Il inaugurait, si j’ai bien compris, le ratage complet qui allait suivre.

Comme l’ont dit beaucoup de gens, mes petits camarades adoptent la politique du "nulougénial". En lisant (toujours avec attention et respect hein) les avis de mes collègues et pour certains, amis, je m’attendais à une vraie débâcle pour cette saison 3. Je pensais que la réalisation allait être une véritable horreur, que les pires idées de narration fuseraient dans tous les coins, que les personnages deviendraient des caricatures et que le tout sombrerait dans un foutoir complètement risible. En bref, je m’attendais à du Damages saison 2. Et bien, le sentiment qui s’empare de moi après ses trois/quart de saison 3 est : « faut pas pousser mémé les gars ! ».

Déjà, on n’a jamais eu affaire à un chef d’oeuvre en saison 1 et 2. Personnellement, je me suis plutôt fait chier durant la 1 mais j’ai pris beaucoup de plaisir à visionner la 2 et pour l’instant, je dois dire que la 3 ne m’a pas déçu du tout. L’histoire avance à un rythme convenable, le même que celui de la saison 2. Le mystère autour des Final Five promet d’être résolu à grands coups de révélations hilarantes. Et tout le monde se retrouve à être plus ou moins l’Elu. Normal quoi.

L’Oeil de Jupiter poursuit les storylines autour de la flèche d’Apollo et du tombeau d’Athéna (débile mais rigolo) et la recherche de la Terre repointe le bout de son nez dès que l’équipage n’organise pas des matchs de boxe pour les shippers (dont je fais parti). Non Battlestar Galactica n’a pas changé à mes yeux. Elle reste un divertissement agréable à suivre où la réalisation me surprend parfois par son ingéniosité et où les personnages assez schématiques obtiennent néanmoins ma tendresse.

Alors voilà fans de Battlestar Galactica, je viens vous rendre justice. Mon affection pour la série n’a pas faiblie. Je me dresse tel un borgne au royaume des aveugles Et je promets de repasser vous dire ce que moi, rédacteur de pErDUSA fan de Smallville, ai pensé du serie finale. So say we all !


Hello again, old fart
Blackie reprend son traitement

Il faut que je vous confesse que l’an dernier, je n’ai pas entièrement suivi In Treatment. C’était excellent, écrit et interprété impeccablement, fascinant, et une expérience télévisuelle nouvelle en ce qui me concernait (je ne connaissais nullement la série originale). Le problème fut que le rythme tellement rapide de cinq épisodes sur cinq jours a fini par me faire accumuler un énorme retard et que lorsque le temps du rattrapage arriva, j’ai fini par ne plus vouloir me concentrer que sur mes sessions préférées, certaines m’ayant ennuyée dès le départ (le couple chiant !), puis carrément ne me concentrer que sur Sophie jusqu’à la fin. Seul le bien-être de ma petite gymnaste comptait et me rendait Paul supportable, les autres m’indifféraient de plus en plus.

La saison 2 qui vient de démarrer subit une nouvelle forme de diffusion complètement débile sur HBO, mais personnellement je regarde toujours mes cinq épisodes par semaine à mon petit rythme. Ce qui a changé, c’est que je m’aperçois apprécier tous les nouveaux patients de Paul, ainsi que le psychiatre en lui-même. J’ai un peu de mal à me fixer sur ses rencontres avec Mia, qui ne seront apparemment jamais de vraies séances mais sont liées au procès contre Paul, mais j’aime déjà beaucoup Hope Davis dans le rôle. Par contre le cas (chiant) du couple en instance de divorce devient tout de suite plus délicat lorsqu’il s’agit de se concentrer sur le petit Oliver prit au milieu. April est bien partie pour être ma nouvelle Sophie, aussi intelligente, touchante, et émotionnellement déboussolante pour Paul. Walter nous apporte une dynamique différente rien qu’en étant plus âgé que Paul, puis John Mahoney est si bon que j’ai eu du mal à reconnaître l’ancien papa de Frasier. Enfin la géniale Gina ne sert plus de punching bag à Paul, ce qui me permet de ne plus être crispée durant leurs face-à-faces si nécessaires. De façon générale, Paul sans ses problèmes conjugaux et ses fantasmes sur une patiente est un personnage plus agréable doublé d’un meilleur psy. Seul son ancien bureau me manque vraiment, j’adorais le fait que les patients viennent jusque dans sa maison, en traversant son jardin. C’était si personnel…

En fait, cette semaine fut si bonne que j’en demande vite plus, mais surtout elle me fait regretter de ne pas avoir complété mon visionnage de la saison 1 ou au moins d’être allée jusqu’au bout concernant l’histoire d’Alex, au vu des répercussions. Avoir un choc sur ce qu’il est advenu de lui durant le récapitulatif de début, c’est quand même bien con. Ma résolution tardive de l’année est donc d’arriver à suivre toutes les sessions d’In Treatment cette saison, parce qu’elle part trop bien pour en manquer une miette. Qui plus est, j’ai le petit espoir qu’à un moment donné, Paul reçoive un coup de fil de Sophie, qui avait promis de donner des nouvelles. Nous faire nous attacher autant à un personnage et ne pas nous rassurer sur ce qu’il devient serait bien cruel de la part des scénaristes, vous ne trouvez pas ?


It’s not Supernatural, but it’s a little natural
Iris ne fait rien comme tout le monde

Si, il y a quelques mois de cela, un homme dans la trentaine (plutôt séduisant parce qu’ils le sont toujours) et portant un trench coat, était venu me voir en prétendant arriver du futur, pour me dire « Iris, là d’où je viens, tu aimes Supernatural », mon premier réflexe aurait probablement été de lui rire au nez.
Enfin, premier réflexe, juste après lui avoir asséné un grand coup de batte de baseball derrière la nuque, l’avoir attaché à un radiateur afin de le torturer jusqu’à ce qu’il me donne le secret du voyage dans le temps, et en avoir fait un esclave. Parce que c’est bien connu, si c’est dans les vieux pots que l’on fait les meilleurs soupes, c’est bien dans le futur qu’on fait les meilleurs Cosmopolitan.
Et les Cosmopolitan, c’est le bien.

Mon second réflexe, ou troisième si on prend en compte l’expression de la violence qui m’habite, aurait été de m’interroger. Comment ? Qu’ouis-je ?! Serait il possible que, moi, Iris, j’en vienne à aimer cette chose ?
Parce que oui, avant même le démarrage de ce qui allait devenir un visionnage compulsif de l’épisode-suivant-et-l’épisode-après-cela, je n’étais pas une complète novice en la matière. Je dois l’admettre, j’avais une certaine expérience des frères Winchester.
J’avais vu leur série sur M6, dans la trilogie du Samedi Soir.

Oui je sais, de suite, ça décridibilise totalement mes propos
.
Mais, étant une fille qui n’a que peu de préjugés si l’on fait abstractions de ceux à l’encontre des noirs, juifs, arabes, français, roux, blonds et postiers (tous des garçons faciles, je vous le dis !), j’ai décidé de passer outre cette piètre première impression, et de leur laisser une seconde chance.
Après tout, malgré la VF, la fatigue typique des lendemains de fêtes, et les tentatives désespérées de l’ami chez qui la soirée de la veille s’était déroulée de me faire dégager de son canapé, j’avais plutôt apprécié la série.

C’est donc avec une confiance relative, et la press... les encouragements de quelques membres de cette rédaction, que je recommençais Supernatural.
Je vais vous faire grâce de mes premières réflexions, à base de « Rah, c’est vrai que l’ambiance est très sympa », « Chouette, moi qui adore les légendes urbaines », « Ce qu’ils sont marrants les frères Winchester » et autres « Seigneur, la BO est une tuerie monumentale » , pour en venir directement aux faits que j’ai réussi à établir après une analyse consciencieuse des 22 épisodes qui constituent la saison 1.

L’ambiance est très sympa, les légendes urbaines c’est fun, les frères Winchester sont marrants, et la BO est une tuerie monumentale !

Comment ça, ce n’est pas suffisant ?
Et si j’y ajoute sexy-Denny-Duquette ? Non ? Toujours pas ?

Bon, alors penchons-nous sur la chose.
En dehors des éléments évidents que je vous ai exposés avec brio et style un peu plus haut, j’avoue que la trame principale un peu timide du « recherchons Papa Ours / son flingue » ne m’a pas scotchée devant mon écran, loin s’en faut. Je dirais même que l’aspect quasi loner des épisodes de début de saison est celui que j’ai préféré, moi qui pourtant n’aime généralement pas ça j’ai dû m’avouer que c’était quand même bien foutu.
Aussi, la relation Dean/Sam a du potentiel, et la persécution/diabolisation des blondes à laquelle on assiste a fait du bien à la brunette que je suis.

Mais, même si en y pensant bien j’ai du mal à y trouver de défauts évidents, il reste un majeur problème.

J’ai la saison 2 depuis deux bonnes semaines, et je ne l’ai toujours pas regardée.
Alors oui, mon intégrité – et le léger crush que j’ai développé pour Sam, bien moins agaçant qu’à l’époque où il était affublé de l’horrible symbiote Rory Gilmore – me forcera à mater la seconde saison, mais si je n’y trouve pas ce petit plus capable de me rendre accro, rien ne me garantit que je continuerai.


Un interlude dessiné et pompé sur Xkcd par Joma




Hasta la vista Baby ? Pfff…
Ju est tout triste

Malgré toutes ses errances, malgré tous ses problèmes, et surtout malgré son titre à la con, Terminator : The Sarah Connor Chronicles va vraiment me manquer si la FOX ne la reconduit pas pour une troisième saison. On sera fixé lors des Upfronts de mai. En attendant, je peux revenir très rapidement sur cette série que, finalement, j’aime beaucoup.

Ce qu’il est difficile d’imaginer quand on ne regarde pas Terminator, c’est qu’il ne s’agit pas d’une simple série d’action popcorn avec de vilains robots tueur du futur. Il y en a, mais ce n’est pas le propos. Contre toute attente, Terminator est une série très sombre et très honnête qui laisse une grande place à ses personnages (dépressifs) et à leur psychologie (loin d’être binaire). C’est aussi depuis le début une série sur l’intelligence artificielle et ce que ça entraine, en filigrane au départ et de façon de plus en plus insistante en saison 2 à travers Garrett Dillahunt. Ce type est un génie.
Terminator n’est facile d’accès, les scènes d’actions sont plutôt rares et le rythme est très lent. Parfois cela contribue à l’ambiance générale, parfois ça foire complètement et on se retrouve avec quatre épisodes successifs où il ne se passe strictement rien. En effet, le seul vrai point noir de la saison ce sont ces quatre épisodes centré sur le personnage de Sarah Connor, de loin le moins intéressant, juste après la pause hivernale. L’histoire n’avançait plus et la série s’est perdue pendant plusieurs longues semaines dans une introspection un peu pompeuse et carrément chiante.

En photo : rien de pompeux, ni de chiant.

En contrepartie, le reste de la saison nous a offert John Henry, et m’a enfin fait apprécier John Connor (ils ont mis le temps, mais ils ont réussi) et Shirley Manson (très cool, et très drôle, dans un rôle loin d’être évident). Sans oublier la formidable Savannah, 8 ans. Une jeune actrice charismatique dans un rôle génial d’enfant pas tête à claque. Un cas unique à la télévision.
La saison 2 c’était aussi d’excellents épisodes indépendants, celui avec le psy, celui avec Allison from Palmdale, ou encore celui où on découvre comment un robot tueur qui ne dort pas occupe ses nuits. Terminator c’est une série surprenante, unique, dont j’attendais les épisodes avec impatience, qui ne me donnait jamais l’impression de me prendre pour un con, et dont je tenais absolument à parler aujourd’hui… juste au cas où.


Piqûre de rappel
Drum se fait entendre

Hé ! Moi aussi, j’ai bien aimé le final d’Urgences ! C’est pas parce que j’étais en vacances et sous le prétexte bancal qu’il fallait coïncider avec la diffusion du final, et que, en plus, ce n’était pas ma semaine, que je ne peux parler d’Urgences.
D’abord, j’ai été agréablement surpris du retour du vrai générique de la série, ce générique si marquant, emblème de la série qui…quoi ça ? Joma en a parlé. Ah.

C’est pas bien grave, j’ai d’autres choses intéressantes à dire. Je vais en profiter pour vous parler mon personnage préféré de toute la série. Cela va peut être vous surprendre, parce qu’elle n’est pas restée longtemps, mais c’est Anna Delamico incarné par Maria Bel… Blurg ! Tu déconnes, Jéjé !!!!!!

Mais après tout, et comme le dernier plan du finale le montre, ce qui compte, ce ne sont pas les docteurs ou l’équipe médical, ce ne sont pas non plus les guest plus ou moins prestigieux, ce ne sont pas les patients, mais le Cook…Super, Merci Feyrtys !!!!!!!

Bon, et bien il me reste juste à faire part du moment qu’on a tous eu dans sa vie (sauf Joma), le moment où s’est dit "Stop la violence, Urgences, c’est fini pour moi" dans mon cas, c’était très tôt dans la série, plus tôt que la plu…hein ?j’en ai déjà parlé ?!?

Super ! Heureusement, que j’ai un texte sur pourquoi Damages, c’était aussi nul que Sixième Sens, une bonne intrigue ne peut pas uniquement se reposer sur des twists. Et ça, je suis sûr que personne n’en a parlé pendant mes vacances !


Stringer Bell est un excellent businessman
Feyrtys prouve qu’elle lit le forum, parfois

Pour faire plaisir à la seule personne qui participe au sujet sur The Office sur notre forum, je vais parler de la 5ème saison de la comédie de NBC. Et je vais en dire du bien en plus.
C’est vrai que The Office fait un peu parti des meubles du jeudi soir à présent. Depuis près de deux saisons, elle ne fait plus beaucoup parler d’elle sur ce site, ni vraiment ailleurs.
Tout ce qui manquait à la série pour redevenir passionnante, c’était des acteurs de The Wire. Amy Ryan et Idris Elba dans l’ordre. Amy Ryan pour nous faire aimer Michael Scott à nouveau, et Idris Elba pour maltraiter Jim. Parce que soyons honnêtes, on a beau l’aimer le Jim, c’est quand même incroyablement drôle de le voir avoir des sueurs froides devant son nouveau boss, qui le trouve très lourd (il l’est) et pas très compétent (on ne l’a jamais vu vraiment bosser).

J’ai d’abord eu mal à trouver une raison valide pour expliquer le geste de Pam, et j’étais persuadée que Michael ne passerait pas plus d’un épisode en dehors de Dunder Mifflin, et qu’ils trouveraient un moyen de le faire revenir très vite. Mais de façon assez surprenante, cette idée de montrer Michael, Pam et Ryan créer une compagnie de papier fonctionne très bien. J’ai un nouveau respect pour Pam, Ryan est de retour, et blond décoloré qui plus est, et Michael n’est jamais aussi bon que lorsqu’il est plongé dans des plans lose sans fin.
Idris Elba, qui incarne Charles Miner, est parfait car il est d’un sérieux et d’un professionnalisme qui manquaient à la série et qui empêchent cette dernière d’aller trop loin dans le délire et le loufoque. J’ai vraiment hâte de voir comment tout cela va finir, même si je soupçonne que tout redeviendra comme avant d’ici la fin de la saison… Qui vivra verra !


Mes Semaines à Moi
Le best-of de Drum

Une petite liste s’impose pour la 100ème Ma Semaine à Nous. Voici mes 10 perles de sagesse en 99 Ma Semaine à Nous et une poignée de Ma Saison à Moi :

“Il y aussi eu l’annulation scandaleuse de mon nouveau Frasier, Out Of Practice, alors que la trop fade Old Christine se voit renouvelée pour une seconde saison. Heureusement qu’il me reste mon nouveau Friends, How I Met Your Mother...”

“J’aime toujours Ta Mère, la série.”

“Mais bon, avec un casting aussi large, je suis sûr que sur la saison, il aura son moment de gloire. (À propos de B. Whitford dans Studio 60)

“Non seulement les news sont rarement drôles, mais c’est comme si les deux présentateurs étaient dans deux studios différents. Je crois bien que me contenterai des ‘Weekly Kid News with Toby’ de Mad TV pour ma dose de dose de fausses news cette saison, je pense... (À propos du Week End Update de SNL)”

“La série n’est pas super drôle, et Hiro est le contrepoids idéal au coté pompeux de la série.”

Nous ne sommes pas encore du niveau de Murder One, mais si Damages continue sur cette lignée et que la résolution ne déçoit pas, on s’y rapprochera dangereusement.”

“Jusque là, je n’étais pas friand de webséries ou webisodes, mais Quarterlife réussit sa mission.”

“Et je dois avouer que Chuck est une série qui s’améliore d’épisodes en épisodes.”

“Gagnante : Amanda (À propose de Survivor)”

“Mary MacDonnell est vraiment une actrice douée.”

... Allez, à une nouvelle centaine de MASAN !!


I Am pErDUSA (And So Can You !)
Ju aime les statistiques

Youhou ! C’est la Semaine N°100 ! Et… ça fait beaucoup ! Voilà. Pour l’occasion, et parce qu’on n’avait vraiment aucune autre idée pour célébrer cet événement majeur, j’ai relu tous les textes publiés dans cette chronique depuis le 18 septembre 2006. Un par un. Jusqu’au quinzième, où j’en ai eu un peu marre et ait décidé de faire des statistiques idiotes (et beaucoup moins fatigantes) à la place. Voici mes conclusions, forcément passionnantes, remplis de chiffres intrigants, et un peu égocentriques. Pour changer.

D’abord, les chiffres. Cent numéros de Ma Semaine à Nous c’est avant tout 98 chroniques et 103 semaines. Vous pouvez aller vérifier si ça vous chante, moi je continue. Cent numéros, c’est aussi 91 vignettes d’illustration en page d’accueil avec des gens dessus (100 personnes, mais pas 100 personnes différentes), ou encore 44 hommes et 56 femmes (soit, si je ne dis pas de bêtises, respectivement 44% et 56%). Sur ces cent personnes mises en avant chaque semaine, seuls 9 acteurs et actrices ont eu l’honneur de réapparaitre plus d’une fois. Parce qu’on manquait un peu d’imagination ce jour là, ou tout simplement parce qu’on les aime vraiment beaucoup.
Examinons tout de suite la liste des doublons pour vérifier : Jensen Ackles, Gabriel Byrne, Sarah Chalke, Eliza Dushku, Nathan Fillion, Lauren Graham, Christina Hendricks, et Sam Waterston. Le record du plus grand nombre d’apparitions est tenu par Tina Fey, avec trois vignettes (dont deux identiques, la honte…).

JEU ! Toi aussi, amuses-toi à relier les rédacteurs de pErDUSA à leur fantasme dans la liste d’acteurs et d’actrices ci-dessus !

Niveau série, et malgré la suprématie de Tina Fey sur ses petits camarades, la série ayant le plus souvent profité de la vignette hebdomadaire est… Friday Night Lights, avec 7 semaines en page d’accueil et 7 acteurs différents. Parce que, contrairement à Fey et 30 Rock, on aime tous les personnages de FNL sans exception.
Mais pas au point de mettre Minka Kelly en photo, hein, faut pas déconner.

Cent numéros de Ma Semaine à Nous, c’est aussi un grand nombre de séries abordées. Genre, beaucoup. Genre, tellement que j’ai un peu eu la flemme de compter. Ce que je peux vous donner, par contre, c’est le top 3 des séries ayant inspiré la plus grande partie des 579 textes publiés dans la chronique.
En numéro 3, Survivor avec ses 16 textes ayant intéressé environ 3 visiteurs et 60% des rédacteurs du site. En numéro 2, Friday Night Lights et ses 17 textes pour en dire du bien, puis un peu moins de bien, puis à nouveau du bien. Et enfin, sur la plus haute marche du podium, la série la plus abordée dans la chronique, avec ses 18 textes… Battlestar Galatica. Hé oui.

Pour lever un peu le voile sur les coulisses du site, Ma Semaine à Nous c’est aussi un planning très compliqué qui nous indique qui est censé écrire sur une semaine donnée, dans le but d’assurer un minimum de 4 textes par chronique. Pour que vous ayez des choses à lire. Un objectif que nous avons toujours tenu (sauf une fois), avec en moyenne 5,9 textes par semaine, malgré le fait que ce pauvre planning est un peu plus maltraité à mesure que les chroniques s’enchainent.
Et comme vous pouvez vous en douter, le plus dur c’est d’écrire le 0,9 article chaque semaine.

Enfin, Ma Semaine à Nous, c’est surtout des rédacteurs fatigués qui ont appris à redouter la terrible deadline du dimanche soir. Parmi eux, saluons le détenteur du plus grand nombre de textes écrits, Joma, avec 85 textes et une moyenne de 1,47 texte par semaine de participation. Et tant que nous y sommes, saluons Conundrum et Feyrtys, détenteurs ex aequo du record de semaines de présence avec une participation à 62 chroniques chacun.

JEU ! Sauras-tu deviner qui de Gizz et Lyssa a écrit le plus de textes ?
La solution, en bas de page.
 [1]

Pour finir, cent numéros de Ma Semaine à Nous, c’est aussi les petites obsessions de chacun révélées au grand jour. Jéjé et ses listes bien pratiques. Blackie et les inséparables Supernatural et Smallville. Conundrum, sa barbe, et sa mégalomanie. Joma qui fait ses adieux à Urgences depuis 3 ans. Feyrtys et son problème d’alcool (Chut !). Lyssa et ses nombreux textes sur Ugly Betty (alors qu’elle était censée reviewer la série). Tigrou et ses schémas explicatifs sous Paint. Et surtout Gizz et son incapacité à saisir le concept de séries américaines.

la Rédaction
Notes

[1Solution du jeu : Lyssa et Gizz ont écrit exactement le même nombre de textes. Coïncidence ?
Probablement.