Mini-séries

Critique. En deux épisodes de deux heures, « L’école du pouvoir » brosse, de 1977 à 1986, le portrait de la promotion Voltaire de l’ENA, celle qui, à peine diplômée, a connu l’arrivée au pouvoir de François Mitterrand.

Critique. Pourquoi cette version est considérée comme quasi révolutionnaire dans son genre ? Petite analyse 15 ans après...

Critique. Le Village a vu la prochaine mini-série de Hervé Hadmar et Marc Herpoux, six épisodes de 52’ diffusés à partir du vendredi 22 avril (deux épisodes par semaine)

Critique. « Les Beaux Mecs », c’est fini. Comme vous avez pu le remarquer, nous avons aimé cette série, une fiction d’une qualité comme on en a rarement vu ces dernières années sur le service public. Retour sur la création de Virginie Brac et de Gilles Bannier.

Des lofteurs qui se font dézinguer par des zombies en direct, c’est british et ça passe en ce moment sur Paris Première.

Critique. Qualifier une adaptation de libre signifie qu’elle ne reste pas tout à fait fidèle au roman. Les puristes y trouvent rarement leur compte. Mais le plus important n’est-il pas de respecter le fond et les intentions de l’œuvre plutôt que sa forme, souvent marquée par l’époque de son écriture ?

Critique. Les britanniques ont beaux être les spécialistes de l’adaptation, toutes leurs œuvres ne se valent pas. En 2009, la chaîne ITV a diffusé une nouvelle version des célèbres « Hauts de Hurlevent (Wuthering Heights) ». Malheureusement, ce n’est toujours pas la bonne.

Critique. Fort du succès de « Bleak House » (2005), Andrew Davies s’attaque à un autre roman de Dickens, « Little Dorrit ». Même si l’œuvre est moins connue, elle n’est pas passée inaperçue aux Baftas ou aux Emmys... ni au Village !

Critique. En février 2003, ITV, chaîne privée britannique, le TF1 local, diffusait cette mini-série sur la seconde venue sur Terre du fils de Dieu, férocement anti-religieuse. En 2010, notre TF1 en est toujours à « Julie Lescaut ».

Critique. France 2 diffuse enfin la dernière réalisation de Bernard Stora, qu’elle a du retrouver sur l’étagère où elle l’avait posée... il y a 18 mois. Mais ça valait le coût d’attendre.