Tonks a écrit :contente de te revoir parmi nous, kidi
Pas mieux Monsieur Kidi ! Re-re-re-re-re-re-re-bienvenue.
Oz a écrit :Je donne dans ces messages quelques pistes pour des articles non urgents, celui qui est intéressé prend. Voici la bible de Police des Polices qu'avait récupéré Bubu pour le FLT :
http://www.fvsp.free.fr/Bible_-_Polices_des_Polices
Si qqun désire en faire un commentaire...
On peut prévoir la publication d'un verbatim de la bible une première semaine et un commentaire sur la bible la suivante...
Polices des Polices
Série de 6 x 52'
* P5 et P6 :
<b>La Police des Polices : souterraine et implacable</b>
Qui en France connaît cette instance à priori barbare : l'IGPN ?
Alors que tous avons entendu parler de son quasi homologue : le FBI.
Comme toutes les polices des polices du monde, l'IGPN est chargé de contrôler les agissements des policiers, d'enquêter sur leurs erreurs, leurs manquements, leurs fautes, leurs crimes et, s'il y a lieu, de les sanctionner.
(...)
En tant qu'élite, l'IGPN a une autre vocation que de protéger la police de ses débordements.
Elle prend en charge toutes les affaires que les polices ordinaires ne peuvent mener à bien, parce qu'elles concernent des cas sensibles, des situations dont on ne parle pas... et pour cause.
(...)
C'est justement là que l'IGPN intervient. Car l'IGPN ne fait <i><u>jamais</i></u> de vagues.
(...)
Elle agit tantôt seule, tantôt parallèlement aux services de police officiellement et régulièrement saisis (qui s'en réjouissent ou s'en indignent)
Instrument de l'état, l'IGPN cherche <i>toujours</i> la vérité.
Mais c'est à l'étatque revient la décision de rendre cette vérité publique, de la travestir ou de la tenir cachée.
Ce qu'elle veut avoir et ce qu'elle veut savoir, l'IGPN l'obtient toujours <i><u>sans scandales</u></i>.
Sa discrétion absolu quand elle "cuisine" les suspects, sa patience infinie lorsqu'elle les fait mijoter jusqu'à l'aveux, a valu à ses officiers l'expressif surnom de "<b>boeuf-carottes</b>"
* P7 et P8 :
<b>Police des Polices : une autre dimension</b>
Les polars américains ont brillament exploré les données de leur criminalité et de leur police en faisant du <b>FBI</b>, en faisant un élément traditionnel de leur <b>tradition</b> littéraire et cinématographique.
Un agent du <b>FBI</b> qui débarque dans un scénario, ça fait toujours bien et vrai, on y croit... Au point que les "agents fédéraux" sont devenus mythiques.
Pourquoi ne pas exploiter, nous aussi, les spécifités de notre police nationale en faisant de l'IGPN, une <b>référence</b> obligée, une <b>puissance</b> souterraine, juste et implacable, qui entrerait à son tour dans notre <b>tradition</b> du polar.
Il ne s'agit pas, dans cette série, de mettre en avant la corruption de la Police comme pour le FBI, mais de démontrer <b>l'autorité</b> incontestée de l'IGPN, et la nécessité absolue du <b>secret</b>.
(...)
La série "POLICE des POLICES" repose avant tout sur des faits réels méconnus du public (avec tous ces petits détails véridiques qui font qu'une histoire existe) incarnés apr des héros atyiques et positifs.
* P9 :
?
* P11 : Raconté à la 1e personne comme un roman
<b>Elle : Claire Renoir</b>
Claire c'est : Le goût de l'action et la recherche de la vérité.
* P19 : Raconté à la 1e personne comme un roman
<b>Lui : Lorenzi</b>
Lorenzi c'est : l'instinct du chasseur, le soucis de la justice.
* P26 et 27 : relation écrite comme un roman
* P29 :
<b>Jacques Dessorelle, le patron</b>
Le Patron c'est : Le sens du devoir, le goût du pouvoir.
* P33 : fiche perso
<b>Marion : secrétaire du patron</b>
* p35 :
<b>Les personnages secondaires</b>
* P38 à 43 :
<u><b>I - Stock shots</b></u>
Constituer une banque d'images de plans de situation et d'extérieur permettant de faire les "coupes" et les "liaisons" au montage.
<u>Exemples :</u>
- Plan de situation de l'immeuble de l'IGPN
- Passages voiture de Claire
- Passages voiture de Lorenzi (Porsche)
- Travellings - intérieurs voiture, etc...
<u><b>II - Les Décors</b></u>
<u>Décor 1 : L'entrée de l'IGPN</u>
(...)
Pour la mise en scène :
- L'entrée de l'IGPN est <u>un</u> passage obligé : les personnages sont <u>en mouvement</u> (entrée/sortie). Ils arrivent et repartent par là (alternance avec les scènes plus statiques des bureaux).
- Rencontre avec les personnages secondaires : en particulier Gabriel / Laure / Spiner
- Prétexte à "vignettes" : le figurant flic, la contractuelle playmate, etc...
<u>Décor 2 : Bureau de Claire et Lorenzi</u>
(...)
Pour la mise en scène :
- Reflète leur personnalité ("heureusement parce qu'on passe plus de temps au bureau que chez soi")
- Lieu d'interrogation : Coupable ? Non coupable ? Vrai , Faux ?
- Ponctue les étapes de l'enquête ; les renseignements arrivent et partent de là (appel à la poilce scientifique, les archives, etc...)
- On y interroge les témoins (méthode boeuf-carottes)
- Tout ce qui est OFFICIEL a lieu dans ce bureau (par opposition à tout ce qui est OFFICIEUX qui se déroule chez Claire)
<u>Décor 3 : Bureau du Patron</u>
(...)
Pour la mise en scène :
- Lieu de départ et de conclusion des affaires.
- C'est là qu'on REND COMPTE, qu'on s'inquiète, qu'on règle (ou non) les problèmes avec L'EXTERIEUR.
- C'est le lieu de tous les SECRETS.
- Aux yeux du public, ce décor doit représenter le SAINT DES SAINTS. Tout ce que nous avons appris arrive ici. N'en ressort que ce que le patron veut bien révéler.
<u>Décor 4 : Dans le prolongement du hall : Marion</u>
(...)
Pour la mise en scène :
- Trait d'union entre le saint des saints et l'extérieur.
- Sert à savoir où est le patron, à faire une pointe d'humour, à donner l'humeur du jour
- On y aprle plus librement qu'ailleurs.
<u>Décor 5 : Appartement Lorenzi</u>
(...)
Pour la mise en scène :
- Essentiel pour établir les relations CLAIRE/LORENZI
- Tout ce qui est OFFICIEUX s'y déroule. (...)
- Constitue l'intimité de notre duo.
- Plaque tournante et lieu de rendez-vous. (...)
- C'est là que nos deux héros aurotn leurs INTUITIONS (Ils iront ensuite chercher les PREUVES sur le TERRAIN).
<u><b>III - Les accessoires de jeu</b></u>
Un soin particulier sera sur l'exactitude des accessoires.
Par exemple :
- Les policiers de l'IGPN n'ont pas de voiture de fonction, mais de location.
- Ils n'ont pas de radio, mais des téléphones portables, etc...
- Leur matériel est "état neuf" par opposition à leurs collègues de la PJ pourtant plus oppérationnels et qui sont obligés de pousser à bout de vieilles 309.
- etc...
* P45 :
<u>Ouverture de "<b>Raisons de Santé</b>"</u>
Stand de tir. CLAIRE est tireur d'élite. Défi l'arme au poing. LORENZI est ridiculisé devant ses collègues. il use de toute sa mauvaise foi en affirmant qu'il a perdu apr galanterie.
<u>Ouverture de "<b>Video preuves</b>"</u>
CLAIRE s'oppose au PATRON. Elle usede tous ses pouvoirs (charme et féminité) pour obtenir gaind ecause, allant jusqu'à le conseiller sur l'attitude à adopter face à la PRESSE et au MINISTRE. LORENZI croit rêver...
<u>Ouverture de "<b>Les Serpents</b>"</u>
CLAIRE explose, prenant LORENZI pour cible sur le thème : avec sa prudence, ils ne feront jamais évoluer le métier dans le sens de l'efficacté et de la justice. LORENZI attend que l'orage s'éloigne, regrettant qu'elle n'ait pas un tempérament plus introverti.
<u>Ouverture de "<b>L'Ilotier</b>"</u>
LORENZI et CLAIRE en mission, en rase campagne. La PORSCHE refuse de démarrer. CLAIRE ironise sur ses approches de séductions éculées : "le coup de la panne..."

Oz a écrit :- 15/11/2004 : L'éducation aux médias - Critique du Rapport Thélot, par Ozgirl


Oz a écrit :ozgirl a écrit :MerciCe n'est pas trop long, j'espère ?
Penses-tu ! Si tous les articles pouvaient être de cette longueur, ça serait génial !
Il faut simplement que tu apprennes à mettre en italique les citations et ça sera parfait ;-))) (pour cela, voir le manuel)


Oz a écrit :Sullivan devrait écrire un commentaire des bibles des Cordier et de Police des Polices pour le 6/12, sous réserve que je lui retrouve la bible complète des Cordier... On aura donc le commentaire qui suivra directement le verbatim, je pense que c'est un joli coup à faire (d'autant plus que nous l'avions raté lors de la publication des extraits de celle des Cordier).
Sinon, j'ai un sujet qui, je pense, mériterait d'être développé : l'enregistrement des procès judiciaires.
Pour ceux qui ont lu Le Monde Télévision daté du 14-15/11, vous savez qu'un rapport devrait être remis à Perben normalement en février 2005 pour réfléchir à la possibilité d'introduire la caméra dans le prétoire à l'occasion d'autres procès que ceux à caractère historique. Je pense qu'on ne devrait pas laisser l'occasion de s'exprimer là-dessus. J'ai donc une proposition de trois articles :
- un article sur les grandes affaires médiatiques américaines, et notamment l'affaire Simpson, pour montrer rapidement l'impact qu'a pu avoir la télévision dans ces occasions là,
- un point de vue sur la légitimité ou non de permettre l'accès aux caméras pour les procès, avant la remise du rapport,
- une analyse du rapport comme a pu faire Ozgirl au sujet du rapport Thélot.
Qu'en dites-vous ? Nos juristes seraient-ils intéressés ?