House
selon Hollywood Reporter, House reviendrait pour l'automne 2005 le mardi à 21h puis, à partir de Janvier 2006, le lundi à 20h "couplé" avec "24" (21h).
http://www.hollywoodreporter.com/thr/ar ... 1000928004
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Vous aimez Desperate Housewives ? Alors vous aimerez Desperate Houseflies...
http://www.desperatehouseflies.com/episodes.html
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121
Même à ce stade de la saison, l'innovation continue sur le plan narratif, et là encore, l'essai est transformé au-delà des espérances. La rencontre entre House et le corps estudiantin ne se limite donc pas aux deux jolis pots de fleurs d'il y a quelques épisodes et c'est une très bonne chose. On sait la fascination/répulsion de House pour la joute oratoire, or, contre toute attente, il ouvre un véritable dialogue avec eux: égal à lui-même, toujours étonnant et jubilatoire. La phrase citée par joma donne des frissons dans le dos, on ressent bien sa frustration, et l'éveil de conscience qu'il appelle semble viser au-delà du groupe d'étudiants.
Formellement formidable. Le procédé à travers le miroir ne s'avère pas trop démonstratif, très drôle (Carmen Electra), émouvant, déroutant. Le choix d'Hugh dans le "corps" du mari est une initiative casse-gueule mais réussie. L'épisode passe à la vitesse de l'éclair, les dialogues, les transitions habiles, concentré et foisonnant. Enfin, en effet, revoir Sela Ward est un pur bonheur OUI.
Culte, Lordy il a dit.
Même à ce stade de la saison, l'innovation continue sur le plan narratif, et là encore, l'essai est transformé au-delà des espérances. La rencontre entre House et le corps estudiantin ne se limite donc pas aux deux jolis pots de fleurs d'il y a quelques épisodes et c'est une très bonne chose. On sait la fascination/répulsion de House pour la joute oratoire, or, contre toute attente, il ouvre un véritable dialogue avec eux: égal à lui-même, toujours étonnant et jubilatoire. La phrase citée par joma donne des frissons dans le dos, on ressent bien sa frustration, et l'éveil de conscience qu'il appelle semble viser au-delà du groupe d'étudiants.
Formellement formidable. Le procédé à travers le miroir ne s'avère pas trop démonstratif, très drôle (Carmen Electra), émouvant, déroutant. Le choix d'Hugh dans le "corps" du mari est une initiative casse-gueule mais réussie. L'épisode passe à la vitesse de l'éclair, les dialogues, les transitions habiles, concentré et foisonnant. Enfin, en effet, revoir Sela Ward est un pur bonheur OUI.
Culte, Lordy il a dit.
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1.21
Excellent de bout en bout. Pas vu venir le lien avec House. Et pourtant, on aurait dû tilter. L'épisode jongle parfaitement entre les tons de la plaisanterie, et sérieux pour finir sur ce qui reste une situation délicate avec les questions tournant autour de ce qu'a fait l'ex-femme de House.
"This guy is not the world's greatest dad. Not even ranked. Who the hell let's their kids play with lead-based paint? That's why he's always sick. Find him some plastic cupsand the class is all his again."
(Content d'avoir vu dans le 1.20 "Swedgin Hen-daï !" aka Wu
)
Excellent de bout en bout. Pas vu venir le lien avec House. Et pourtant, on aurait dû tilter. L'épisode jongle parfaitement entre les tons de la plaisanterie, et sérieux pour finir sur ce qui reste une situation délicate avec les questions tournant autour de ce qu'a fait l'ex-femme de House.
"This guy is not the world's greatest dad. Not even ranked. Who the hell let's their kids play with lead-based paint? That's why he's always sick. Find him some plastic cupsand the class is all his again."
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- That easy... to forget a fucking brother?!
- Money has properties in this regard! Though no remedy is discovered yet sovereign against sentimental remorse.
— Deadwood
There's no cure for life.
- Tony Soprano — The Sopranos
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Nasnet
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Mince alors, je viens de me rendre compte que mes commentaires à chuad de mercredi ne sont jamais passés. Bon tant pis, j'en refais donc en plus court.
1.21 - Three Stories
Magistral!
Une maitrise impresionnante de la narration, un vrai numéro d'équilibriste. C'est difficile à suivre au début mais on rentre dans le jeu et à partir du twist, on est complètement à fond dedans (tout comme la house team
)
ça c'est du flashback
J'avais tilté quand le supposé "drogué" revient, un étudiant s'etonne et House qui precise que le drogué est stupide tout en avalant ses pilules
En tout cas, une série orignale qui arrive à être encore plus originale au 21èeme épisode...
Et la saison est 2004-05 quasi parfaite, presque tout le cast de O&A est passé devant nos écrans (dont 3 désormais dans House!). Sela Ward vient nous rappeler sa classe
Je termine avec les mots du docteur :
"It's basic truth of the human condition; that Everybody lies... the only variable is about what?"
Au fait Ju, House c'est bien
Bienvenue sur LA révélation 2004/05 (avec VM )
1.21 - Three Stories
Magistral!
Une maitrise impresionnante de la narration, un vrai numéro d'équilibriste. C'est difficile à suivre au début mais on rentre dans le jeu et à partir du twist, on est complètement à fond dedans (tout comme la house team
ça c'est du flashback
J'avais tilté quand le supposé "drogué" revient, un étudiant s'etonne et House qui precise que le drogué est stupide tout en avalant ses pilules
En tout cas, une série orignale qui arrive à être encore plus originale au 21èeme épisode...
Et la saison est 2004-05 quasi parfaite, presque tout le cast de O&A est passé devant nos écrans (dont 3 désormais dans House!). Sela Ward vient nous rappeler sa classe
Je termine avec les mots du docteur :
"It's basic truth of the human condition; that Everybody lies... the only variable is about what?"
Ju a écrit :1.01 & 1.02 & 1.03 & 1.04
Quelqu'un aurait pu me dire que c'était aussi bien!
Au fait Ju, House c'est bien
Bienvenue sur LA révélation 2004/05 (avec VM )
"It's basic truth of the human condition; that Everybody lies... the only variable is about what?" (Greg House, House M.D. 1.21)
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joma
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Ju a écrit :1.01 & 1.02 & 1.03 & 1.04
Quelqu'un aurait pu me dire que c'était aussi bien!
Tu n'écoute jamais chef, c'est pas notre faute. Au lieu de ça tu préfère mater DH.
PS : Tient ça me rappel le topic Veronica ça.
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1.22 - The honeymoon
"You can't always get what you want" dit la chanson, c'est bien vrai et cette scène de fin le confirmant est très forte
Sela et Hugh ont une alchimie détonnante et c'est une excellente chose qu'elle soit là à la rentrée.
On assiste aussi à un House très fragile, ce qui est assez exceptionnel. On ressent sa souffrance et son impuissance. Et malgré ça, il dominera le coté médical (bien aimé la scène où ses houseboys s'opposent à lui)
Ce fut une saison impressionant en tout cas, ça fait du bien une série qui tient plus que la route. Vivement la reprise.
"You can't always get what you want" dit la chanson, c'est bien vrai et cette scène de fin le confirmant est très forte
Sela et Hugh ont une alchimie détonnante et c'est une excellente chose qu'elle soit là à la rentrée.
On assiste aussi à un House très fragile, ce qui est assez exceptionnel. On ressent sa souffrance et son impuissance. Et malgré ça, il dominera le coté médical (bien aimé la scène où ses houseboys s'opposent à lui)
Ce fut une saison impressionant en tout cas, ça fait du bien une série qui tient plus que la route. Vivement la reprise.
"It's basic truth of the human condition; that Everybody lies... the only variable is about what?" (Greg House, House M.D. 1.21)
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joma
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122
Très bon final pour moi qui conclue parfaitement le 121.
Un teaser excellent.
Everybodie lie... Même en n'étant pas conscient, ça m'étonne d'ailleurs que House n'est charcher plut tôt a savoir si son patient lui mentait et qu'il ait fallu une simple conversation pour s'en rende compte.
D'ailleurs lui même se ment un peu à lui même il faisait tout ça aussi pour rester avec Stacy. J'adore d'ailleur la scène ou il confie à Wilson qu'il aimerais que Mark meurt, il devient d'un coup un être humain capable d'aimer, haÏr, bref avoir des sentiments.
MDR aussi lorsque Stacy laisse le déssert pour les House boys, elle le connait vraiment trop bien.
Comme le parallele entre House et Mark.
Et même si l'annonce de Cudy fait un peu trop soudaine, imaginé Sela dans la série l'an prochain (même si c'est en guest semi régulière par exemple) ne peut que me faire plaisir.
Et puis les dernières minutes sont très fortes avec House tentant de marcher seul et se reposant une fois de plus sur la drogue.
Bref, la meilleurs série de la rentrée, aussi puissante que Rescue Me, mais en plus s'étalant sur 22 épisodes.
Aller, que l'été passe vite.
Très bon final pour moi qui conclue parfaitement le 121.
Un teaser excellent.
Everybodie lie... Même en n'étant pas conscient, ça m'étonne d'ailleurs que House n'est charcher plut tôt a savoir si son patient lui mentait et qu'il ait fallu une simple conversation pour s'en rende compte.
D'ailleurs lui même se ment un peu à lui même il faisait tout ça aussi pour rester avec Stacy. J'adore d'ailleur la scène ou il confie à Wilson qu'il aimerais que Mark meurt, il devient d'un coup un être humain capable d'aimer, haÏr, bref avoir des sentiments.
MDR aussi lorsque Stacy laisse le déssert pour les House boys, elle le connait vraiment trop bien.
Comme le parallele entre House et Mark.
Et même si l'annonce de Cudy fait un peu trop soudaine, imaginé Sela dans la série l'an prochain (même si c'est en guest semi régulière par exemple) ne peut que me faire plaisir.
Et puis les dernières minutes sont très fortes avec House tentant de marcher seul et se reposant une fois de plus sur la drogue.
Bref, la meilleurs série de la rentrée, aussi puissante que Rescue Me, mais en plus s'étalant sur 22 épisodes.
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1.22
ca n'a certes pas l'envergure de l'épisode culte précédent, mais c'était tout de même un excellent épisode, et en tout cas qui conclue parfaitement une excellente saison, peut-être la plus incroyable en qualité depuis un petit moment. Seul bémol j'ai eu un peu de mal à rentrer dans le rythme de l'épisode au début, mais c'est vraiment pour chipoter.
Il y a beaucoup de scènes clés dans cet épisode.
Evidemment la majorité viennent du couple House/Stacy (il va falloir que je m'y fasse à ce prénom). Le pardon que House n'était pas capable de donner à Stacy à l'époque, et que le mari de Stacy lui donnera. Stacy qui évoque l'égocentrisme de House (il n'y a pas de place pour elle dans son coeur), et sur ce sujet là la chanson "you can't get what you want" résonne particulièrement fort. House qui dans sa dernière scène essaye d'être "normal" et se fait sans doute la promesse de ne plus avaler de pilules, avant de reconnaître qu'il ne peut pas changer ce qu'il est.
Et au delà de l'élargissement du cast à Sela Ward, ce qui me procure évidemment une joie immense, c'est bien la perspective de retrouver House fidèle à lui-même, avec ses mises au point arrogantes de vérité...et ses coups bas : le teaser est énorme, et la piqure du cocktail est elle aussi énorme
En plus de ça, la série n'oublie pas ce qui s'est passé, et même si Cuddy et Wilson sont en retrait, l'effet trois mousquetaires était intense. Le bonus pour moi étant l'aveu de Cameron qui réalise que House n'est pas cynique avec tout le monde, et qu'il est capable d'aimer quelqu'un qui n'est pas elle. La scène - importante- était un poil trop courte pour être très intense, mais là encore superbement jouée.
Voilà, que dire d'autre à part que comme l'a dit Joma, le vrai joyau de cette année fut encore ... une série FOX
ca n'a certes pas l'envergure de l'épisode culte précédent, mais c'était tout de même un excellent épisode, et en tout cas qui conclue parfaitement une excellente saison, peut-être la plus incroyable en qualité depuis un petit moment. Seul bémol j'ai eu un peu de mal à rentrer dans le rythme de l'épisode au début, mais c'est vraiment pour chipoter.
Il y a beaucoup de scènes clés dans cet épisode.
Evidemment la majorité viennent du couple House/Stacy (il va falloir que je m'y fasse à ce prénom). Le pardon que House n'était pas capable de donner à Stacy à l'époque, et que le mari de Stacy lui donnera. Stacy qui évoque l'égocentrisme de House (il n'y a pas de place pour elle dans son coeur), et sur ce sujet là la chanson "you can't get what you want" résonne particulièrement fort. House qui dans sa dernière scène essaye d'être "normal" et se fait sans doute la promesse de ne plus avaler de pilules, avant de reconnaître qu'il ne peut pas changer ce qu'il est.
Et au delà de l'élargissement du cast à Sela Ward, ce qui me procure évidemment une joie immense, c'est bien la perspective de retrouver House fidèle à lui-même, avec ses mises au point arrogantes de vérité...et ses coups bas : le teaser est énorme, et la piqure du cocktail est elle aussi énorme
En plus de ça, la série n'oublie pas ce qui s'est passé, et même si Cuddy et Wilson sont en retrait, l'effet trois mousquetaires était intense. Le bonus pour moi étant l'aveu de Cameron qui réalise que House n'est pas cynique avec tout le monde, et qu'il est capable d'aimer quelqu'un qui n'est pas elle. La scène - importante- était un poil trop courte pour être très intense, mais là encore superbement jouée.
Voilà, que dire d'autre à part que comme l'a dit Joma, le vrai joyau de cette année fut encore ... une série FOX
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joma
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- Localisation : Le pays des grenouilles intolérantes
Eclair a écrit :et la piqure du cocktail est elle aussi énorme
Ca m'a rappeler la scène du 121 ou House (bien qu'on ne sait pas encore que c'est lui) ce pique avec la même violence pour calmer la douleur de sa jambe.
Le bonus pour moi étant l'aveu de Cameron qui réalise que House n'est pas cynique avec tout le monde, et qu'il est capable d'aimer quelqu'un qui n'est pas elle.
C'est clair, le face à face Stacy/Cameron était attendu, on en a eu deux. le premier Stacy perce à jour Cameron et ses sentiments, la seconde ou Cameron comprend un peu mieux son Dr House.
Néanmoins la saison prochaine va vraiment être intéressante a ce niveau.
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1122 The Show Must Go On (PAS L'AUTRE, HEIN, CELUI-LA et ça tombe bien!!)
La percutance de l'épisode précédent m'a fait oublier que j'avais un p'tit problème avec l'arrivée soudaine du personnage de Sela (bien que j'en sois ravi, sans même connaître "Once & Again").
Cette focalisation sur la vie affective de House en si peu d'épisodes m'a paru un peu précipitée, en raison de la récente évolution de son histoire avec Cameron. Je n'ai d'abord pas apprécié l'épisode parce que Stacy mettait du coup en retrait le House aérien comme on l'aime et qu'on retrouve un peu à l'avant-dernière scène, ici il se montre souvent pince-sans-rire, mesquin, et surtout totalement mené par le bout de nez par la femme qu'il aime. J'ai beaucoup aimé la scène des mousquetaires mais je n'ai pas aimé le House qu'elle me présentait, et pire dans la scène sur le toit.
Mais le problème est progressivement renversé, comme le souligne joma, c'est ce côté humain et modeste de sa riche personnalité auquel on fait peu souvent face qui est étonnant et touchant, un peu comme la scène où Stacy devine sa cruauté. Encore mieux, la scène où Stacy lui confie qu'il est "the one", si on pouvait la pressentir, n'en est pas moins le sommet émotionnel de l'épisode, ce qui permet à l'annonce parachutée par Cuddy de bien passer. L'essentiel, c'est qu'au détour de 2 scènes et d'une belle réplique de Cameron à House, le tout parvient quand bien même à être cohérent, qui en effet risque d'être intéressant la saison prochaine si la confrontation entre deux concurrentes se met bien en place.
Le problème de rythme, je ne sais si c'est dû à l'absence (rare) de cas secondaire ou alors justement qu'on est habitué depuis un p'tit moment que tout aille à 100 à l'heure (et pas que depuis l'apparition de Chi) L'arrivée de Stacy, c'est d'abord une pause rêveuse pour House, et ça devient dans cette magnifique scène finale une espèce d'utopie: le temps retrouvé, cristallisé, quelques secondes d'éternité qu'il voudrait voir refaire surface. Magnifique plan final qui évoque le sublime épisode 11. Bref, il n'a pas fini de nous étonner le bonhomme...
Et cette série. Franchement, si on pouvait pressentir de bonnes choses dès le pilote, qui pouvait une évolution assez subtile, habile et étonnante? Si la série s'était cantonnée au registre automatique des 1ers épisodes, elle n'en aurait pas moins été réussie, mais visiblement on a vite compris que la complexité du personnage impressionnait encore plus que la virtuosité de la mise en scène. Ca aurait du devenir une prod Bruckheimer mais non.
Après une Medical Investigation de triste mémoire, avoir oublié depuis quand je ne suis un E.R plan-plan que d'un oeil et des débuts assez difficiles avec Grey's Anatomy (pour pas mal des raisons invoquées par 'Drum), aimer est à ce point un med show est pour moi la grande surprise de cette année, je n'ai pas vu de nouvelle série aussi impressionnante, et ça m'étonnerait bien de changer d'avis à partir de demain
!!
La percutance de l'épisode précédent m'a fait oublier que j'avais un p'tit problème avec l'arrivée soudaine du personnage de Sela (bien que j'en sois ravi, sans même connaître "Once & Again").
Cette focalisation sur la vie affective de House en si peu d'épisodes m'a paru un peu précipitée, en raison de la récente évolution de son histoire avec Cameron. Je n'ai d'abord pas apprécié l'épisode parce que Stacy mettait du coup en retrait le House aérien comme on l'aime et qu'on retrouve un peu à l'avant-dernière scène, ici il se montre souvent pince-sans-rire, mesquin, et surtout totalement mené par le bout de nez par la femme qu'il aime. J'ai beaucoup aimé la scène des mousquetaires mais je n'ai pas aimé le House qu'elle me présentait, et pire dans la scène sur le toit.
Mais le problème est progressivement renversé, comme le souligne joma, c'est ce côté humain et modeste de sa riche personnalité auquel on fait peu souvent face qui est étonnant et touchant, un peu comme la scène où Stacy devine sa cruauté. Encore mieux, la scène où Stacy lui confie qu'il est "the one", si on pouvait la pressentir, n'en est pas moins le sommet émotionnel de l'épisode, ce qui permet à l'annonce parachutée par Cuddy de bien passer. L'essentiel, c'est qu'au détour de 2 scènes et d'une belle réplique de Cameron à House, le tout parvient quand bien même à être cohérent, qui en effet risque d'être intéressant la saison prochaine si la confrontation entre deux concurrentes se met bien en place.
Le problème de rythme, je ne sais si c'est dû à l'absence (rare) de cas secondaire ou alors justement qu'on est habitué depuis un p'tit moment que tout aille à 100 à l'heure (et pas que depuis l'apparition de Chi) L'arrivée de Stacy, c'est d'abord une pause rêveuse pour House, et ça devient dans cette magnifique scène finale une espèce d'utopie: le temps retrouvé, cristallisé, quelques secondes d'éternité qu'il voudrait voir refaire surface. Magnifique plan final qui évoque le sublime épisode 11. Bref, il n'a pas fini de nous étonner le bonhomme...
Et cette série. Franchement, si on pouvait pressentir de bonnes choses dès le pilote, qui pouvait une évolution assez subtile, habile et étonnante? Si la série s'était cantonnée au registre automatique des 1ers épisodes, elle n'en aurait pas moins été réussie, mais visiblement on a vite compris que la complexité du personnage impressionnait encore plus que la virtuosité de la mise en scène. Ca aurait du devenir une prod Bruckheimer mais non.
Après une Medical Investigation de triste mémoire, avoir oublié depuis quand je ne suis un E.R plan-plan que d'un oeil et des débuts assez difficiles avec Grey's Anatomy (pour pas mal des raisons invoquées par 'Drum), aimer est à ce point un med show est pour moi la grande surprise de cette année, je n'ai pas vu de nouvelle série aussi impressionnante, et ça m'étonnerait bien de changer d'avis à partir de demain
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joma
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cicéron a écrit :1122 The Show Must Go On (PAS L'AUTRE, HEIN, CELUI-LA et ça tombe bien!!)
Cette focalisation sur la vie affective de House en si peu d'épisodes m'a paru un peu précipitée, en raison de la récente évolution de son histoire avec Cameron.
Viens de revoir en partie l'épisode 12 et Wilson ne va pas à la course de Monster Truck dont House à les ticket parce que Stacy est en ville. En fait le personnage est introduit à ce moment... La vache si ça c'est pas du toutéliage moi j'y comprend rien.
En plus c'est aussi le premier rendez-vous entre House et Cameron, en fait la partie feuilletonante à comencer bien avant l'arrivé de Chi ! Je suis une buse de pas l'avoir vu à ce moment.
Va vraiment falloir se revoir la série pour faire attention à tous les détails.
Membre de la Fédération Internationale des Gros Branleurs
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lordofnoyze
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joma a écrit :
J'adore d'ailleur la scène ou il confie à Wilson qu'il aimerais que Mark meurt, il devient d'un coup un être humain capable d'aimer, haÏr, bref avoir des sentiments.
Bon, je dois revoir cet excellent épisode, mais je suis quand même pas d'accord.
Justement, si j'ai avalé tout ce shipper délicat et plutôt subtil (en d'autres mains ça m'aurait paru gonflé), c'est précisément parce que l'évolution de House en être humain s'est faite sentir autour des derniers épisodes. Je les ai trouvé particulièrement savoureux, parce qu'on brise la cuirasse d'un homme enfermé dans sa brillance et sa misanthropie finalement assez feinte. Du rendez-vous avec Cameron jusqu'à cette patiente à qui il a demandé si ça valait le coup qu'elle vive (je me souviens plus de quel épisode), House a été bel et bien malmené dans ces derniers épisodes. Ce qui lui a permis de passer du statut d'antihéros pourtant aimable des premiers épisodes, au véritable héros un peu brusque mais carrément adorable.
Pour moi, c'est le vrai coup de force de la première saison, donc c'est LE coup de chapeau à tirer à Shore, Attanasio and Co.


