Lost / Lost : Les Disparus - TF1 & RTL-TVI
Je poste aussi ce truc ici, sait-on jamais si des gens veulent m'insulter.
Lost est une escroquerie.
C'est une série profondément malhonnête, entièrement bâtie sur le paraître. Lost est un empilement improvisé de gimmicks sans aucune intention derrière. C'est finalement tout le contraire d'une oeuvre d'art, puisqu'elle n'a absolument aucune autre motivation que sa propre subsistance à l'esprit. Elle n'a rien à communiquer, c'est simplement une histoire à suspense comme il en existe des milliers d'autres. Exception faite que sa conclusion sera nécessairement décevante, partielle et sélective, stéréotypée dans un style pseudo-métaphysique, sans rapport direct avec plusieurs épisodes qui n'auront donc rien été de plus qu'une case horaire taillée pour la publicité.
Je ne parle pas simplement du fait que cinq épisodes par saison fassent bouger l'intrigue tandis que le reste remplit, ni même du fait que chaque nouveau flashback détruit la subtilité du précédent en usant le moindre détail jusqu'à la corde, sans même évoquer la fadeur des personnages principaux insipides.
La série aligne les éléments distincts - numérologie, parapsychologie, cryptozoologie - qui ne pourront, quoiqu'il en soit, jamais être reliés entre eux par autre chose que des artifices mystiques. Elle cite des noms de philosophes, d'écrivains, de savants divers toutes les cinq minutes pour donner l'illusion d'une quelconque profondeur, mais derrière le paraître il n'y a plus rien - les personnalités citées ont des rapports très vagues, approximatifs, faciles avec les scenarii, symptomatiques des résumés d'ouvrages en quatre lignes trouvables sur le net. Le tout concourt à une profondeur de façade, ce que je qualifierais d'intelligence de l'anecdote, autrement dit une toute petite intelligence, assez insignifiante passée la routine de l'énumération et du collage forcé sur une structure dont la forme n'est pas adaptée aux références qu'elle reçoit. Lost se donne beaucoup de mal pour travailler cette image de série pertinente mais tout dans le script est imbibé d'une tenace superficialité dès lors qu'elle cite à tout va je ne sais quel peintre italien de la Renaissance ou philosophe français des Lumières sans autre objectif que le paraître. Et pourtant les scénaristes de Lost sont loin d'être des ânes, bien au contraire, ils sont très futés, compétents, mais ce sont avant toutes les bonnes choses que l'on pourrait en dire, des arnaqueurs professionnels.
La beauté d'un hommage, d'une référence, d'une allusion, de l'intelligence, c'est l'inverse de ce que font la plupart des épisodes de Lost. C'est émettre des clins d'oeil discrets et intelligibles à la fois. Mais lorsque l'on arrive avec ses gros sabots, le nom de tel philosophe marqué sur le front au feutre indélébile et en criant "Regardez je suis intelligent", là c'est du canular. Là c'est Lost, et si l'on encense ce procédé vulgaire - très pratiqué dans les dernières années de X-Files également - c'est que l'on manque vraisemblablement d'un peu de background sur le sujet. L'intelligence des références, des hommages ou des parodies ça se constate sur l'ensemble du traitement, comme ont pu le faire Le Prisonnier ou Neon Genesis Evangelion, ainsi qu'une infime poignée d'autres. Mais là on est dans le haut du panier, dans la création d'hommes isolés et dopés par leur solitude, pas dans la commande de chaîne, de studio et autres projets de groupes. Difficile format, mais rien n'oblige à faire croire que l'on a quelque chose à dire.
La série accuse aussi la redondance de clichés dépassés, empruntés comme par hasard à X-Files, et qui fait des "Ils", des "Eux", des "Chose" et du conditionnel sous toutes ses formes l'essentiel des dialogues haletants de Lost. Il faut toutefois admettre que contrairement à Prison Break qui est un ratage complet sur ce point, Lost recycle habilement la méthode X-Files, il y a un certain talent derrière le remodelage et pas simplement de la redite sans intérêt comme pour la série sus-citée ou la bouillie que produisait The Pretender. Mais toujours est-il que la méthode X-Files est uniquement utilisée dans Lost pour gagner du temps, pour économiser la matière pour chaque fin de saison - encore une fois la malhonnêteté revient et alimente, sous couvert de suspense, le marathon de la série. Résultat, des attentes de parfois un an et demi pour des réponses mineures, qui n'apportent rien pas même un rebondissement, donc rien sinon la preuve que les scénaristes avancent au petit bonheur la chance et ne voient pas plus loin que la saison qu'ils travaillent à l'instant.
La manière avec laquelle la série se désengage incognito, se libère de ses contraintes - contraintes qui étaient pourtant LE digne et respectable choix du programme - en inventant constamment de nouvelles donnes est également discutable. Pour éviter les difficultés initiales pourtant posées comme postulat par le pilote, le moindre prétexte est saisi au vol pour amener de nouveaux éléments qui vont contre les promesses d'inventivité prônées au départ. L'action se fige et les personnages sont devenus trop homogènes ? On invente d'autres survivants à volonté et on verra bien ensuite. Les spectateurs s'ennuient face à la mécanique habituelle ? On tue quelques protagonistes, en prenant bien soin de choisir ceux qui n'ont aucun intérêt, et ils croiront qu'ainsi tout est possible alors que ce n'est pas de l'évènement mais du débarras. La routine des fougères s'installe ? On ajoute sous la terre un bunker avec des salles à manger et des douches, puis des laboratoires, puis bientôt un parc d'attractions si nécessaire. De toutes façons dans cette perspective tout est possible, tout est faisable. Et c'est bien là la médiocrité de la série, de nous avoir fait croire qu'elle était un challenge à part entière. Elle devait tout fabriquer, avec rien sous la main, sans recours possible aux canons du genre. Aujourd'hui elle ne fabrique pas grand-chose, et avec tout.
J'applaudis donc Lost avec sincérité, cette série qui parvient à duper des millions de personnes en vendant des bonbons enrobés dans des pages de dictionnaire, et sans en connaître le parfum. Il y a un brio derrière tout ça, même s'il ne s'agit pas du brio vanté par les fans de la série.
Lost est une escroquerie.
C'est une série profondément malhonnête, entièrement bâtie sur le paraître. Lost est un empilement improvisé de gimmicks sans aucune intention derrière. C'est finalement tout le contraire d'une oeuvre d'art, puisqu'elle n'a absolument aucune autre motivation que sa propre subsistance à l'esprit. Elle n'a rien à communiquer, c'est simplement une histoire à suspense comme il en existe des milliers d'autres. Exception faite que sa conclusion sera nécessairement décevante, partielle et sélective, stéréotypée dans un style pseudo-métaphysique, sans rapport direct avec plusieurs épisodes qui n'auront donc rien été de plus qu'une case horaire taillée pour la publicité.
Je ne parle pas simplement du fait que cinq épisodes par saison fassent bouger l'intrigue tandis que le reste remplit, ni même du fait que chaque nouveau flashback détruit la subtilité du précédent en usant le moindre détail jusqu'à la corde, sans même évoquer la fadeur des personnages principaux insipides.
La série aligne les éléments distincts - numérologie, parapsychologie, cryptozoologie - qui ne pourront, quoiqu'il en soit, jamais être reliés entre eux par autre chose que des artifices mystiques. Elle cite des noms de philosophes, d'écrivains, de savants divers toutes les cinq minutes pour donner l'illusion d'une quelconque profondeur, mais derrière le paraître il n'y a plus rien - les personnalités citées ont des rapports très vagues, approximatifs, faciles avec les scenarii, symptomatiques des résumés d'ouvrages en quatre lignes trouvables sur le net. Le tout concourt à une profondeur de façade, ce que je qualifierais d'intelligence de l'anecdote, autrement dit une toute petite intelligence, assez insignifiante passée la routine de l'énumération et du collage forcé sur une structure dont la forme n'est pas adaptée aux références qu'elle reçoit. Lost se donne beaucoup de mal pour travailler cette image de série pertinente mais tout dans le script est imbibé d'une tenace superficialité dès lors qu'elle cite à tout va je ne sais quel peintre italien de la Renaissance ou philosophe français des Lumières sans autre objectif que le paraître. Et pourtant les scénaristes de Lost sont loin d'être des ânes, bien au contraire, ils sont très futés, compétents, mais ce sont avant toutes les bonnes choses que l'on pourrait en dire, des arnaqueurs professionnels.
La beauté d'un hommage, d'une référence, d'une allusion, de l'intelligence, c'est l'inverse de ce que font la plupart des épisodes de Lost. C'est émettre des clins d'oeil discrets et intelligibles à la fois. Mais lorsque l'on arrive avec ses gros sabots, le nom de tel philosophe marqué sur le front au feutre indélébile et en criant "Regardez je suis intelligent", là c'est du canular. Là c'est Lost, et si l'on encense ce procédé vulgaire - très pratiqué dans les dernières années de X-Files également - c'est que l'on manque vraisemblablement d'un peu de background sur le sujet. L'intelligence des références, des hommages ou des parodies ça se constate sur l'ensemble du traitement, comme ont pu le faire Le Prisonnier ou Neon Genesis Evangelion, ainsi qu'une infime poignée d'autres. Mais là on est dans le haut du panier, dans la création d'hommes isolés et dopés par leur solitude, pas dans la commande de chaîne, de studio et autres projets de groupes. Difficile format, mais rien n'oblige à faire croire que l'on a quelque chose à dire.
La série accuse aussi la redondance de clichés dépassés, empruntés comme par hasard à X-Files, et qui fait des "Ils", des "Eux", des "Chose" et du conditionnel sous toutes ses formes l'essentiel des dialogues haletants de Lost. Il faut toutefois admettre que contrairement à Prison Break qui est un ratage complet sur ce point, Lost recycle habilement la méthode X-Files, il y a un certain talent derrière le remodelage et pas simplement de la redite sans intérêt comme pour la série sus-citée ou la bouillie que produisait The Pretender. Mais toujours est-il que la méthode X-Files est uniquement utilisée dans Lost pour gagner du temps, pour économiser la matière pour chaque fin de saison - encore une fois la malhonnêteté revient et alimente, sous couvert de suspense, le marathon de la série. Résultat, des attentes de parfois un an et demi pour des réponses mineures, qui n'apportent rien pas même un rebondissement, donc rien sinon la preuve que les scénaristes avancent au petit bonheur la chance et ne voient pas plus loin que la saison qu'ils travaillent à l'instant.
La manière avec laquelle la série se désengage incognito, se libère de ses contraintes - contraintes qui étaient pourtant LE digne et respectable choix du programme - en inventant constamment de nouvelles donnes est également discutable. Pour éviter les difficultés initiales pourtant posées comme postulat par le pilote, le moindre prétexte est saisi au vol pour amener de nouveaux éléments qui vont contre les promesses d'inventivité prônées au départ. L'action se fige et les personnages sont devenus trop homogènes ? On invente d'autres survivants à volonté et on verra bien ensuite. Les spectateurs s'ennuient face à la mécanique habituelle ? On tue quelques protagonistes, en prenant bien soin de choisir ceux qui n'ont aucun intérêt, et ils croiront qu'ainsi tout est possible alors que ce n'est pas de l'évènement mais du débarras. La routine des fougères s'installe ? On ajoute sous la terre un bunker avec des salles à manger et des douches, puis des laboratoires, puis bientôt un parc d'attractions si nécessaire. De toutes façons dans cette perspective tout est possible, tout est faisable. Et c'est bien là la médiocrité de la série, de nous avoir fait croire qu'elle était un challenge à part entière. Elle devait tout fabriquer, avec rien sous la main, sans recours possible aux canons du genre. Aujourd'hui elle ne fabrique pas grand-chose, et avec tout.
J'applaudis donc Lost avec sincérité, cette série qui parvient à duper des millions de personnes en vendant des bonbons enrobés dans des pages de dictionnaire, et sans en connaître le parfum. Il y a un brio derrière tout ça, même s'il ne s'agit pas du brio vanté par les fans de la série.
Et surtout, dans le cas de TF1, si on la diffuse l'été quand, forcément à un moment ou à un autre, les gens vont partir en vacances, rater une poignée d'épisodes et être complètement largués à leur retour, ce qui n'incité pas à suivre la série.Mad_Ouaf a écrit :Et je rejoins l'analyse de Bubu, le truc avec Lost, c'est que c'est une série feuilletonnante, du coup, on peut pas trop la prendre en cours, mais par contre, on peut perdre de l'audimat, surtout si on tire trop sur la corde en faisant patiner les télespectateur.
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Zmaster
- Frère caché des Salinger
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- Inscription : 21 juil. 2003 11:15
- Localisation : Environs à 750 Kms de Paris
Plutôt d'accord avec Amrith, suffit de regarder les épisodes pour faire ce constat.
1.15 et 16 : Toute la vérité (mais les secrets c'est mieux !)
- Encore une trappe souterrainne qui mène à un labo !
- C'est criminel de montrer Mira Furlan aussi moche juste, pour faire nature !
Sinon, Jin et Sun sont les persos les plus "humains" de la série donc les épisodes tournant autour d'eux sont toujours agréable à regarder même s'ils n'apportent pas grand chose au final.
2 personnes, arrachées de leurs milieux, dans lequel ils étaient "enfermées", tentant de se reconstruire tant bien que mal, sont beaucoup plus touchant que n'importe quels autres personnages tels que Jake le SuperMedecin, Sawyer l'Arnaqueur contre le sanglier, Kate "je réagis de manière disproportionnée", Hurley cache de la bouffe car c'est dans sa nature, Sawyer contre la grenouille etc...
Et pendant ce temps, Michael gambade quelque part dans l'île (ou il se fait torturer, au choix...)
Henry incarne la pensée des téléspectateurs :
"Vous n'êtes vraiment pas très curieux, je me poserai des milliers de questions à votre place !"
En même temps, avec cette saison, on peut louper des épisodes et reprendre en cours de route sans problèmeMad_Ouaf a écrit :Et je rejoins l'analyse de Bubu, le truc avec Lost, c'est que c'est une série feuilletonnante, du coup, on peut pas trop la prendre en cours, mais par contre, on peut perdre de l'audimat, surtout si on tire trop sur la corde en faisant patiner les télespectateur.
1.15 et 16 : Toute la vérité (mais les secrets c'est mieux !)
- Encore une trappe souterrainne qui mène à un labo !
- C'est criminel de montrer Mira Furlan aussi moche juste, pour faire nature !
Sinon, Jin et Sun sont les persos les plus "humains" de la série donc les épisodes tournant autour d'eux sont toujours agréable à regarder même s'ils n'apportent pas grand chose au final.
2 personnes, arrachées de leurs milieux, dans lequel ils étaient "enfermées", tentant de se reconstruire tant bien que mal, sont beaucoup plus touchant que n'importe quels autres personnages tels que Jake le SuperMedecin, Sawyer l'Arnaqueur contre le sanglier, Kate "je réagis de manière disproportionnée", Hurley cache de la bouffe car c'est dans sa nature, Sawyer contre la grenouille etc...
Et pendant ce temps, Michael gambade quelque part dans l'île (ou il se fait torturer, au choix...)
Henry incarne la pensée des téléspectateurs :
"Vous n'êtes vraiment pas très curieux, je me poserai des milliers de questions à votre place !"
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Ginn
Je persiste à dire que Lost aurait pu être une très bonne série si elle s'était limité à une saison ou mieux une mini-série de 5/6 épisodes d'1h30 chacun, là l'intrigue s'étale sur une période trop longues et les ficelles deviennent trop évidentes pour le téléspectateur, d'où un sentiment diffus d'ennui et de foutage de g***.
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bubu
- Membre du Groupe Millennium
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- Inscription : 06 sept. 2002 13:23
- Localisation : Paris
En gros, comme s'était prévu au départ, avant que al chaîne s'aperçoive que le programme cartonnait et qu'il fallait qu'il dure le plus possible. 
(on a parlé de 5 ou 7 saisons il y a quelques temsp qaund même...
)
(on a parlé de 5 ou 7 saisons il y a quelques temsp qaund même...
BuBu - Lyssa, ne crois rien de ce qui est raconté !
Lyssa - ah ? Tu n'es pas beau, intelligent, jaune, drôle et célibataire ?
Black_Widow : " je me suis endormie et j'ai bavé sur celui à côté de moi durant la séance! "
> Cinéma/Séries SF et Fantastique, sur Serialmaster
> Pour ne rien louper : La Sélection TV du FLT
Lyssa - ah ? Tu n'es pas beau, intelligent, jaune, drôle et célibataire ?
Black_Widow : " je me suis endormie et j'ai bavé sur celui à côté de moi durant la séance! "
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Agent Cooper
- Personne vivant au crochet d'Al Bundy
- Messages : 180
- Inscription : 22 sept. 2004 8:29
- Localisation : SL 27
Episodes de samedi (j'ai perdu le compte)
Soit je deviens tres intelligent (j''ai des doutes) soit les scénaristes de Lost n'arrivent même plus à me surprendre. Mais l'ami imaginaire de Hurley et le retour de Michael se voyaient arriver comme le nez au milieu de la figure. Ca craint un peu quand on arrive à anticiper toutes ces petites choses.
Pour le reste, c'etait du tres classique :
* celui centré sur Locke : l'épisode le plus représentatif de ce qu'est Lost : 40 minutes de vide pour 2 minutes intéressantes. Le flashback était chiantissime au possible mais pour pas que l'épisode soit nul, on nous met une carte mystérieuse à l'écran pendant 1 seconde pour avoir une dose de mystère, le tout accompagné d'un largage (lui aussi mystère) de nourriture.
* celui sur Hurley : il n'apporte rien non plus mais l'histoire de Hurley (à l'hopital et sur l'ile) a eu le mérite de me toucher un petit peu (comme tous les flashbacks d'Hurley). Quant à la révélation finale sur Libby, je pense que c'est le résultat du grand jeu toi-aussi-amuse-toi-à-touélier-les-personnages-avant-leur-arrivée-surl-l'ile. ni plus ni moins.
* celui sur Bernard et Rose : flashback quelqconque. la rencontre rose/locke à l'aeroport me fait me demander si les naufragés sont tous au courant des anciens problèmes physiques de Locke (juste pour savoir). jack et kate vont faire un tour en foret. du grand classique en quelques sortes...
Soit je deviens tres intelligent (j''ai des doutes) soit les scénaristes de Lost n'arrivent même plus à me surprendre. Mais l'ami imaginaire de Hurley et le retour de Michael se voyaient arriver comme le nez au milieu de la figure. Ca craint un peu quand on arrive à anticiper toutes ces petites choses.
Pour le reste, c'etait du tres classique :
* celui centré sur Locke : l'épisode le plus représentatif de ce qu'est Lost : 40 minutes de vide pour 2 minutes intéressantes. Le flashback était chiantissime au possible mais pour pas que l'épisode soit nul, on nous met une carte mystérieuse à l'écran pendant 1 seconde pour avoir une dose de mystère, le tout accompagné d'un largage (lui aussi mystère) de nourriture.
* celui sur Hurley : il n'apporte rien non plus mais l'histoire de Hurley (à l'hopital et sur l'ile) a eu le mérite de me toucher un petit peu (comme tous les flashbacks d'Hurley). Quant à la révélation finale sur Libby, je pense que c'est le résultat du grand jeu toi-aussi-amuse-toi-à-touélier-les-personnages-avant-leur-arrivée-surl-l'ile. ni plus ni moins.
* celui sur Bernard et Rose : flashback quelqconque. la rencontre rose/locke à l'aeroport me fait me demander si les naufragés sont tous au courant des anciens problèmes physiques de Locke (juste pour savoir). jack et kate vont faire un tour en foret. du grand classique en quelques sortes...
Truman: You saw a giant?
Cooper: Yes.
Albert: Any relation to the dwarf?
Cooper: Yes.
Albert: Any relation to the dwarf?
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rik spoutnik
- Témoin de "C'est mon choix"
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Ginn
Regarde la fin de la saion, ils ont trouvés une explications toute faite sur la fin.Ginn a écrit :Question: pourquoi le fils de Michaël est absent de toute la saison 2?
Réponse: une croissance monstrueuse (+14 cm) difficile à justifier en 2 mois sur l'île![]()
Qu'est-ce qu'ils vont nous pondre expliquer ça?
Pas sûr que je regarde encore la série l'année prochaine.
Sinon, j'ai détesté cette saison 2 et deux ou trois vidéos sur le net, vues cet été m'ont donnée envie de voir cette saison 3.... Non, pas les trailers, autres choses.
(Mais bon, j'en parlerais la semaine prochaine avec la fin de la série!)
<B>:smile7: </B>
<B>Dog-Zone, les puces, sur mon blog:</B>www.20six.fr/le-mad-dog
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Agent Cooper
- Personne vivant au crochet d'Al Bundy
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Fin de saison - 2 épisodes
J'avais beau savoir que Ana Lucia et Libby mouraient, j'ai pas vu arriver le fait que c'etait en meme temps et que c'etait Michael qui les tuait! Y a longtemps que j'avais pas été surpris comme ça par Lost!
Le reste est du Lost classique: on montre sans rien montrer. On trouve un nouveau bunker mais il n'en ressort pas grand chose. On nous montre les Autres mais au final qu'avons nous appris de plus sur eux? Rien!
A voir la semaine prochaine comment ils bouclent la saison... même si je le vois arriver gros comme une maison!
Curieux de savoir ce qui t'incites à voir la saison 3...
J'avais beau savoir que Ana Lucia et Libby mouraient, j'ai pas vu arriver le fait que c'etait en meme temps et que c'etait Michael qui les tuait! Y a longtemps que j'avais pas été surpris comme ça par Lost!
Le reste est du Lost classique: on montre sans rien montrer. On trouve un nouveau bunker mais il n'en ressort pas grand chose. On nous montre les Autres mais au final qu'avons nous appris de plus sur eux? Rien!
A voir la semaine prochaine comment ils bouclent la saison... même si je le vois arriver gros comme une maison!
Tu as détesté la saison 2. Ca veut dire que tu avais aimé la saison 1?Sinon, j'ai détesté cette saison 2 et deux ou trois vidéos sur le net, vues cet été m'ont donnée envie de voir cette saison 3.... Non, pas les trailers, autres choses.
Curieux de savoir ce qui t'incites à voir la saison 3...
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Agent Cooper
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D'apres l'interview de Carlton Cuse (producteur executif et scenariste sur la série) dans l'excellent HS#2 de Mad Movies, il semblerait que:
- la durée de la série dépende entièrement du bon vouloir des gens de ABC. Autrement dit, tant que la série sera populaire, elle sera à l'antenne
- la conclusion de la série se fera à la télé t non pas au cinéma qui n'apporterait rien de plus à la série...
- la durée de la série dépende entièrement du bon vouloir des gens de ABC. Autrement dit, tant que la série sera populaire, elle sera à l'antenne
- la conclusion de la série se fera à la télé t non pas au cinéma qui n'apporterait rien de plus à la série...
Truman: You saw a giant?
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