De plus, l'épisode joue une nouvelle fois sur des effets de longueur, (ce que j'appelle la fameuse "longueur Oz" qui fait que lorsque j'ai l'impression que l'épisode est fini, je suis encore loin d'avoir tout vu.)
Je me demande si cette impression ne vient pas du fait que les épisodes de Oz durent genre 60 minutes, alors que pour les autres séries c'est 45 minutes. J'ai eu aussi cette impression de longueur, et finalement avec le temps de moins en moins, ce qui reviendrait à dire que peut-être mon cerveau a fini par associer Oz à sa bonne longueur.
C'est juste une explication.
C'est marrant, au début, je pouvait pas saquer O'Reilly, mais après cet épisode, il commence à m'amuser avec toutes ces magouilles
Pareil. Je l'ai haï, dans le premier épisode. Forcément, puisque "O'Reilly m'a tuer". Et puis en fait c'est quand même un personnage passionnant, un de mes préférés maintenant. Le seul qui utilise son cerveau avant le reste à Oz.
Moi j'adooooore O'RAILEY : c'est le Krycek des prisons, c'est mon perso préféré depuis le début !!! :)
Gniiiiiiiii. J'y avais jamais pensé, mais j'aurais pas dit mieux. Des surviveurs tous les deux.
les scénaristes ont eu la bonne idée de nous montrer l'un des personnages les plus sympathiques de la série, la gardienne, qui se laisse corrompre par un prisonnier
Tu la trouves sympathique, Diane? Moi pas du tout.
A part ça, est-ce qu'il y a un épisode de la série ou personne ne meurt ?
Oui, oui, mais à mon avis c'est pas pour tout de suite. Sans spoiler, disons que la première saison est finalement une séries de meurtres qui se succède selon un effet domino. Ca part de la mort d'Ortolani, qui provoque la mort de Posh (le mec qui finit buté par les mafieux, avec sa bite dans le bouche), et ainsi de suite, un meurtre en entraîne un autre. Bref, la première saison part du premier épisode (forcément) puis toute la saison en montre les conséquences.
Tout ça pour dire que la construction narrative de Oz est vraiment bluffante. Et que si les scénaristes construisent la dernière saison aussi rigoureusement que la première, en gros, ça va nous réserver un final tel qu'on a pas dû en voir souvent à la télé.
Bordel qu'est-ce que c'est bien Oz quand même. Et quand je pense qu'à ce stade-là Keller n'est même pas encore arrivé.