, retour au "24" pur style, avec un dosage savant et juste ce qu'il faut de développement de l'intrigue, de questions-réponses et d'action.
Enfin, "The Man" (en référence à ce qui vous savez), le visage est arrivé, et confirme la condition de sous-traitance d'Amador et Alvers: le premier, bien moins Kief'Cool, est finalement un vulgaire rapiat pas si finaud (on apprend qu'il a un moment cru au retournement de veste de Jack), quant à l'autre, il débarque dans la série pour illico se faire pincer par la CTU, pas très hot comme destin de personnage. Heureusement, Saunders débarque, plein de classe et de mystère. De plus, il a quelque chose contre Jack, une arme secrète, une info en or, qui sait...
Le terrain va bien à Michelle, surtout que Tony squatte jalousement son trône au bureau et la traite comme une brêle, espérons que Michelle reste un de nos guides sur le bitume (j'vois d'ici le truc à la "Fenêtre sur cour", Michelle sera en terrible danger, Tony qui la voit à distance s'en mord les doigts, ravale son amour-propre et retombe amoureux). Elle chorégraphie un peu trop ses mouvements, mais c'est nouveau pour elle, et moi, j'suis pour plus de présence féminine sur le terrain
Par contre, j'aime pas trop la mise à mal de Sherry, surtout que sans David, elle ne serait pas revenue. Je ne vois pas l'utilité de refaire le portrait d'un monstre, bien que j'ai l'impression qu'il ne s'agira pas vraiment de cela... en plus, le côté "laisses(moi tout faire, t'occupes de rien" de Wayne continue à m'énerver toujours plus prodigieusement! Il est clair que l'intrigue Palmer est parallèle mais non liée à celle du virus, ce qui continue de me décevoir, espérons qu'il en sera autrement.
En plus, l'épisode finit par un moment-clé, attendu par tant depuis le début de la saison: le lâcher de virus
Au moins, contrairement à ceux ceux d'"Alias", les scénaristes ont l'intelligence de nous faire poireauter avec de quoi s'exciter la cervelle, rien que pour çà, on serait bien con de bouder ce plaisir



