24 -Saison 3-
-
joma
- Arch-Nemesisss des scénaristes de 24
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- Inscription : 14 août 2002 16:43
- Localisation : Le pays des grenouilles intolérantes
j'ai eu de la chance, avant le 21 j'ai pu voir une redif du 2, donc deux ep de la série.
24H dans la vie d’une série
Episode 2 : CTU, Amour taupe connerie
Bureau de Michael Loceff
Michael est en train d’écrire sur son portable de marque kiwi, quand on tape à sa porte.
Michael : Entrer.
Reiko Aylesworth pénètre dans la pièce. Michael referme alors brutalement son portable.
Michael : Quel P…P…Plaisir de te voir Reiko. Que, pui..puis-je pour toi.
Reiko : C’est à propos du rôle Michael. Je peux t’en parler ?
Michael : Oui, kaikinia ?
Reiko : Je suis assez mal à l’aise…
Michael : … Avec Carlos ?
Reiko : Non ! Avec le rôle. (Michael rougis de sa bévue) Ca fait bizarre de faire des mamours en plein CTU.
Michael : Nan faut pas se sentir bizarre Reiko. On a pensé que montré le côté humain des personnages était important.
Reiko : J’ai trouvé ça un peu gnian-gnian quand même.
Michael (déçus) : J’y ais pourtant mi tout mon am… Cœur !
Reiko (inquiète) : Ah ?
Mais avant que Michael ne puisse dire quoi que ce soit, on retape à sa porte. Elisha entre alors.
Elisha : Michael, je peux te parler… Salut Réré.
Reiko :’lut Lili.
Michael : Euh quoi ?
Elisha : C’est quoi ce truc avec gros pif ?
Michael : Gros pif ?
Elisha : Oui gros pif, c’est comme ça qu’ils appellent JBD sur le site du pote français de Howard.
Reiko : C’est vrai que ça lui va bien ça.
Michael : Mesdames, please. Personne ne doit se moquer d’une particularité physique.
Elisha : M’enfin ça répond pas à ma question. Pourquoi je sors avec gros pif ?
Michael : Parce que ! On l’a décidé comme ça. On a envie de montrer que 24 ce n’est pas que de l’action mais aussi des sentiments profond, des personnes d’exception qui on un cœur et doivent le montrer.
Reiko : Et ça va durer combien de temps ce truc du cœur et des sentiments ?
Michael : Jusqu’au moment ou l’action sera lancée, après on pourra oublier tout ça.
A ce moment on tape de nouveau à sa porte et Agnes Bruckner entre dans la pièce.
Agnes : Salut les filles, ‘lu Mike.
Michael reste les yeux hagards devant la tenue d’Agnes.
Michael : Pourquoi tu te balade en maillot ?
Agnes : Ben quoi ? C’est ma tenue de travail non ?
Elisha : Ah oui, c’est le côté cœur et romance qui ressort quand tu apparais !
Reiko : Mais qu’ont il fait de notre série ?
Elisha : Et attend c’est pas fini, mon personnage n’est pas encore super développé, je risque encore de rencontré un truc bizarre comme une araignée géante, ou un psychopathe bègue.
Agnes : Moi en tout cas j’y suis pour rien, si ça dérape, j’ai juste était engagé pour marcher avec un maillot et avoir ma peau ambrée luisante de crème solaire pour affoler le jeune mâle en manque d’action.
Michael : En manque d’action… Pour l’instant. Mwaahhaaahahahaahhhaa Ca va bientôt changé !
Reiko : Ah bon, quand ?
Michael : Bientôt. Quant on aura décidée ce qu’il se passe dans le prochain épisode.
Elisha : Ah ? C’est pas décidé à l’avance.
Michael : T’es folle, c’est beaucoup trop compliqué.
24H dans la vie d’une série
Episode 21 : Le retour de la femme du prez de la mort qui tue parce que la vengeance et un plat qui se mange froid accompagné d’un peu de mortadelle et de diet coke sponsorisé par Kate Beckinsale !
Studio de la Fox – Burbank – Californie
Madame Gallardo poussé son chariot de nettoyage dans les allées de l’immeuble de la Fox. Depuis 19 ans qu’elle faisait ce travaille Isabella Gallardo avait vu des choses tellement incroyables que les journaux a scandale tueraient père, mère, cousin, cousine pour un peu de news, mais Isabella Gallardo était une personne d’honneur et jamais l’idée de trahir ses employeurs n’avait effleuré son esprit aiguisé par la vision de centaine d’heures de telenovela. Non, Isabella Gallardo, préférais largement s’insinuait dans les petit secret de la Fox et les gardé pour elle-même, c’était son petit plaisir à elle.
Elle arrive devant la porte marquée : J.Surnow.
Tapa deux trois fois à la porte, rien, aucune réponse. Mais cela ne l’étonne guère, a 8h du matin, généralement il n’y avait personne ou alors ils étaient tous en train de cuvé de la fiesta de la veille.
Isabella jeta rapidement un coup d’œil a droite, puis a gauche, glissa son passe dans la serrure et entra.
Le spectacle de la débauche Hollywoodienne s’étala à son regard de bonne mère de famille mexicaine, elle se signa puis entra. Isabella fit slalomer son chariot entre les corps endormis à même le sol de Robert Cochran, Howard Gordon, des canettes de bière et autres bouteilles de whisky. Sans le faire exprès, sa roue cogna la jambe d’Howard, il grogna, se retourna fit le geste de remonter une couverture imaginaire et ne bougea plus.
En soupirant, elle commença à jeté dans son chariot les cadavres des bouteilles vide, il y en avait partout, même quand l’oncle Rosario faisait ces fêtes gigantesques, il ne lui semblait pas qu’il puisse y en avoir autant, ces gringos avaient une sacrée descente.
Après avoir fini de débarrassé la table basse, elle s’attaqua au bureau de Joel. Elle ne l’aimait pas beaucoup celui-là, il avait tendance a regardé les autres de hauts, un peu comme Jon Cassar qui bavait allongé sur le canapé.
Alors qu’elle essuyait le bureau Isabella se sentait irrésistiblement attiré par la lumière bleuté de l’écran du portable kiwi, elle se mordilla plusieurs fois la lèvre pour ne pas craquer et regarder sur quoi les scénaristes travaillaient avant de sombrer dans leur coma éthylique. Finalement n’y tenant plus elle tourna le portable et commença à lire, l’entête lui plue de suite : 24 episode 03x21.
Isabella Gallardo aimait bien twenty-four, tout d’abord un des personnages s’appelait Almeida, comme son cousin qui habitait à Chihuhaha, ça lui fit d’ailleurs penser qu’il fallait qu’elle l’appel. Et puis surtout ça rappelait à Isabella les telenovela avec tous leurs rebondissements prévisibles qui frisaient parfois le ridicule et son ancien travail de script pour la télé mexicaine, qualification qui malheureusement n’avait été suffisant que pour nettoyer les bureaux de la télé étasunienne.
Tout de suite elle aima bien l’épisode, digne des meilleurs épisodes d’El magnifico Bronco sa série préférer au Mexique, avec ses trahisons, ses amours contrariés, ses sens du sacrifice, bref tout ce qui faisait un bon soap. Et puis c’était bien, on parlait plus de la drogue de Jack, parce que le héros il peut pas être drogué trop longtemps. Isabella savait après avoir vu un reportage sur National geographique que les drogués mettaient des mois pour se désintoxiquer, quand ils y arrivaient, mais Jack était trop fort et en une journée il venait de prouvé que les drogué de National geographique n’était pas de vrai héros.
Deuxième chose qui lui plaisait, on parlait presque plus du virus, et ça c’était vraiment bien parce que pour Isabella les virus dans la série c’était comme les microbes qu’elle nettoyait à longueur de journée, on en parlait beaucoup mais ça ne faisait au final pas grand mal.
Et puis ce qui arrivait à Michelle l’avait fait frémir, la pauvre enfant, échapper au virus, pour tomber dans pire que tout, être défigurer, Isabella savait par avance que ça serait de longues heures de conversation avec Antonia, son amie qui travaillait à la WB, lors de leur pose la machine a eau.
Mais surtout, surtout ce qui faisait bondir son cœur de ménagère de moins de 50 ans c’était le retour de Sherry Palmer, et ce qui lui faisait encore plus plaisir c’était de voir que malgré tout ce qui avait été dit depuis le début de la saison, elle n’avait pas changé et rester toujours une belle salope (elle se signa et embrassa sa croix en pensant ce mot), ça c’était typiquement la marque des soap, ça ne faisait pas avancer le schmilblick mais elle adorait ça.
Après de longues minutes, elle finit sa lecture, mais resta intrigué par la dernière ligne du scénario que Mr Surnow avait surligné : Maintenant il faut toutélier avec les autres saisons !
Isabella Gallardo n’avait pas vraiment aimé les deux premières saisons, trop de suspense et pas assez de soap, elle ne voulait pas que ça change. Isabella jeta alors un coup d’œil aux hommes qui ronflait et changea un mot sur le portable : Maintenant il faut rienélier avec les autres saisons !
Isabella appuya sur Enter. Puis tout doucement sortie du bureau.
24H dans la vie d’une série
Episode 2 : CTU, Amour taupe connerie
Bureau de Michael Loceff
Michael est en train d’écrire sur son portable de marque kiwi, quand on tape à sa porte.
Michael : Entrer.
Reiko Aylesworth pénètre dans la pièce. Michael referme alors brutalement son portable.
Michael : Quel P…P…Plaisir de te voir Reiko. Que, pui..puis-je pour toi.
Reiko : C’est à propos du rôle Michael. Je peux t’en parler ?
Michael : Oui, kaikinia ?
Reiko : Je suis assez mal à l’aise…
Michael : … Avec Carlos ?
Reiko : Non ! Avec le rôle. (Michael rougis de sa bévue) Ca fait bizarre de faire des mamours en plein CTU.
Michael : Nan faut pas se sentir bizarre Reiko. On a pensé que montré le côté humain des personnages était important.
Reiko : J’ai trouvé ça un peu gnian-gnian quand même.
Michael (déçus) : J’y ais pourtant mi tout mon am… Cœur !
Reiko (inquiète) : Ah ?
Mais avant que Michael ne puisse dire quoi que ce soit, on retape à sa porte. Elisha entre alors.
Elisha : Michael, je peux te parler… Salut Réré.
Reiko :’lut Lili.
Michael : Euh quoi ?
Elisha : C’est quoi ce truc avec gros pif ?
Michael : Gros pif ?
Elisha : Oui gros pif, c’est comme ça qu’ils appellent JBD sur le site du pote français de Howard.
Reiko : C’est vrai que ça lui va bien ça.
Michael : Mesdames, please. Personne ne doit se moquer d’une particularité physique.
Elisha : M’enfin ça répond pas à ma question. Pourquoi je sors avec gros pif ?
Michael : Parce que ! On l’a décidé comme ça. On a envie de montrer que 24 ce n’est pas que de l’action mais aussi des sentiments profond, des personnes d’exception qui on un cœur et doivent le montrer.
Reiko : Et ça va durer combien de temps ce truc du cœur et des sentiments ?
Michael : Jusqu’au moment ou l’action sera lancée, après on pourra oublier tout ça.
A ce moment on tape de nouveau à sa porte et Agnes Bruckner entre dans la pièce.
Agnes : Salut les filles, ‘lu Mike.
Michael reste les yeux hagards devant la tenue d’Agnes.
Michael : Pourquoi tu te balade en maillot ?
Agnes : Ben quoi ? C’est ma tenue de travail non ?
Elisha : Ah oui, c’est le côté cœur et romance qui ressort quand tu apparais !
Reiko : Mais qu’ont il fait de notre série ?
Elisha : Et attend c’est pas fini, mon personnage n’est pas encore super développé, je risque encore de rencontré un truc bizarre comme une araignée géante, ou un psychopathe bègue.
Agnes : Moi en tout cas j’y suis pour rien, si ça dérape, j’ai juste était engagé pour marcher avec un maillot et avoir ma peau ambrée luisante de crème solaire pour affoler le jeune mâle en manque d’action.
Michael : En manque d’action… Pour l’instant. Mwaahhaaahahahaahhhaa Ca va bientôt changé !
Reiko : Ah bon, quand ?
Michael : Bientôt. Quant on aura décidée ce qu’il se passe dans le prochain épisode.
Elisha : Ah ? C’est pas décidé à l’avance.
Michael : T’es folle, c’est beaucoup trop compliqué.
24H dans la vie d’une série
Episode 21 : Le retour de la femme du prez de la mort qui tue parce que la vengeance et un plat qui se mange froid accompagné d’un peu de mortadelle et de diet coke sponsorisé par Kate Beckinsale !
Studio de la Fox – Burbank – Californie
Madame Gallardo poussé son chariot de nettoyage dans les allées de l’immeuble de la Fox. Depuis 19 ans qu’elle faisait ce travaille Isabella Gallardo avait vu des choses tellement incroyables que les journaux a scandale tueraient père, mère, cousin, cousine pour un peu de news, mais Isabella Gallardo était une personne d’honneur et jamais l’idée de trahir ses employeurs n’avait effleuré son esprit aiguisé par la vision de centaine d’heures de telenovela. Non, Isabella Gallardo, préférais largement s’insinuait dans les petit secret de la Fox et les gardé pour elle-même, c’était son petit plaisir à elle.
Elle arrive devant la porte marquée : J.Surnow.
Tapa deux trois fois à la porte, rien, aucune réponse. Mais cela ne l’étonne guère, a 8h du matin, généralement il n’y avait personne ou alors ils étaient tous en train de cuvé de la fiesta de la veille.
Isabella jeta rapidement un coup d’œil a droite, puis a gauche, glissa son passe dans la serrure et entra.
Le spectacle de la débauche Hollywoodienne s’étala à son regard de bonne mère de famille mexicaine, elle se signa puis entra. Isabella fit slalomer son chariot entre les corps endormis à même le sol de Robert Cochran, Howard Gordon, des canettes de bière et autres bouteilles de whisky. Sans le faire exprès, sa roue cogna la jambe d’Howard, il grogna, se retourna fit le geste de remonter une couverture imaginaire et ne bougea plus.
En soupirant, elle commença à jeté dans son chariot les cadavres des bouteilles vide, il y en avait partout, même quand l’oncle Rosario faisait ces fêtes gigantesques, il ne lui semblait pas qu’il puisse y en avoir autant, ces gringos avaient une sacrée descente.
Après avoir fini de débarrassé la table basse, elle s’attaqua au bureau de Joel. Elle ne l’aimait pas beaucoup celui-là, il avait tendance a regardé les autres de hauts, un peu comme Jon Cassar qui bavait allongé sur le canapé.
Alors qu’elle essuyait le bureau Isabella se sentait irrésistiblement attiré par la lumière bleuté de l’écran du portable kiwi, elle se mordilla plusieurs fois la lèvre pour ne pas craquer et regarder sur quoi les scénaristes travaillaient avant de sombrer dans leur coma éthylique. Finalement n’y tenant plus elle tourna le portable et commença à lire, l’entête lui plue de suite : 24 episode 03x21.
Isabella Gallardo aimait bien twenty-four, tout d’abord un des personnages s’appelait Almeida, comme son cousin qui habitait à Chihuhaha, ça lui fit d’ailleurs penser qu’il fallait qu’elle l’appel. Et puis surtout ça rappelait à Isabella les telenovela avec tous leurs rebondissements prévisibles qui frisaient parfois le ridicule et son ancien travail de script pour la télé mexicaine, qualification qui malheureusement n’avait été suffisant que pour nettoyer les bureaux de la télé étasunienne.
Tout de suite elle aima bien l’épisode, digne des meilleurs épisodes d’El magnifico Bronco sa série préférer au Mexique, avec ses trahisons, ses amours contrariés, ses sens du sacrifice, bref tout ce qui faisait un bon soap. Et puis c’était bien, on parlait plus de la drogue de Jack, parce que le héros il peut pas être drogué trop longtemps. Isabella savait après avoir vu un reportage sur National geographique que les drogués mettaient des mois pour se désintoxiquer, quand ils y arrivaient, mais Jack était trop fort et en une journée il venait de prouvé que les drogué de National geographique n’était pas de vrai héros.
Deuxième chose qui lui plaisait, on parlait presque plus du virus, et ça c’était vraiment bien parce que pour Isabella les virus dans la série c’était comme les microbes qu’elle nettoyait à longueur de journée, on en parlait beaucoup mais ça ne faisait au final pas grand mal.
Et puis ce qui arrivait à Michelle l’avait fait frémir, la pauvre enfant, échapper au virus, pour tomber dans pire que tout, être défigurer, Isabella savait par avance que ça serait de longues heures de conversation avec Antonia, son amie qui travaillait à la WB, lors de leur pose la machine a eau.
Mais surtout, surtout ce qui faisait bondir son cœur de ménagère de moins de 50 ans c’était le retour de Sherry Palmer, et ce qui lui faisait encore plus plaisir c’était de voir que malgré tout ce qui avait été dit depuis le début de la saison, elle n’avait pas changé et rester toujours une belle salope (elle se signa et embrassa sa croix en pensant ce mot), ça c’était typiquement la marque des soap, ça ne faisait pas avancer le schmilblick mais elle adorait ça.
Après de longues minutes, elle finit sa lecture, mais resta intrigué par la dernière ligne du scénario que Mr Surnow avait surligné : Maintenant il faut toutélier avec les autres saisons !
Isabella Gallardo n’avait pas vraiment aimé les deux premières saisons, trop de suspense et pas assez de soap, elle ne voulait pas que ça change. Isabella jeta alors un coup d’œil aux hommes qui ronflait et changea un mot sur le portable : Maintenant il faut rienélier avec les autres saisons !
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Membre de la Fédération Internationale des Gros Branleurs
- What you want Natalie ?
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Natalie Portman rap SNL.
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sygbab
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- Localisation : Entre ailleurs et nulle part
Haaaaaaaan ! Chuis carrément à la bourre ! En plus j'avais écrit un superbe post (quoi ?) où je résumais mon sentiment sur chaque épisode assez rapidement et mon navigateur a merdé. Donc ce sera encore plus court, puisque je vais faire ça en général.
Donc j'étais resté scotché au 3x15, et je me suis maté cette après-midi du 16 au 20. En visionnant le premier, je me suis dit : "cool ! Enfin ça redevient intéressant, ils vont peut-être finir la saison en beauté". Sauf que voilà, ils ont encore trouvé le moyen de merder... Pour moi, tout bascule au moment de la mort de Chapelle (pourtant la tension du 18 était bonne, et la scène où ils pensent chopper Saunders était excellente et très bien foutue), qui est sans concession et très malsaine. En vrac :
- Bonne nouvelle, le temps réel n'existe plus ! Comme par hasard, tous les lieux et les personnes qu'ils doivent trouver sont dans les environs et à 10 minutes de leur position.
- Dans la série "grosse incohérence", je veux la collègue : Super Michelle est pas infectée. Super !
- Dans la série "gross incohérence", je veux encore la collègue : Saunders a réussi à capturer Michelle en deux temps trois mouvements. Super !
- Dans la série "grosse incohérence", je veux la fille : Kim est suivie par les caméras dans la librairie (trop fort, mais ça date de la saison 1 les caméras qui se situent au bon endroit au bon moment), sauf quand elle se fait kimnappée. Super !
- Dans la série "grosse incohérence", je veux le père : Jack n'est plus un junkie. Super !
- Sherry se comporte comme une salope - ce qui contraste avec son début de repentir en fin de saison 2 - et qui après avoir fait pression sur Palmer est complètement kelleyrisée : ça prouve que l'intrigue Milliken était bien du remplissage.
- Kim se fait kimnappée mais s'en sort seule. Youpi, on a échappé à ce genre d'intrigues ! Ah bah non, faut que ce soit Michelle qui s'y colle. Trop fort, ils ont réussi à détourner le cliché principal de la série : c'est pas une blonde qui se fout dans le pétrin ! Tiens d'ailleurs, à ce propos, je vous soumets un terme : quand une fille se fait kidnapper et a des emmerdes dans la série, on pourrait dire que c'est le kimmick de la série...
- La pseudo-tension dramatique entre Michelle et Tony tombe complètement à plat.
- Après le bébé pour déstabiliser Chase, la soeur d'Adam pour le perturber. C'est la saison de la famille je vous le dis !
- Comme par hasard, Saunders a une fille... Super cliché !
- Le temps réel n'existe plus et a complètement explosé ! Ah non, ça je l'ai déjà dit...
Allez, je vais pas faire le vache, j'ai des scènes qui remontent le niveau :
1. Celle dont j'ai parlé, quand Chase & Cie croient avoir localisé Saunders.
2. La scène entre Michelle et Gaël quand celui-ci est proche de la mort.
3. La scène entre Kim et Jack, quand ils se disputent.
4. La scène où on voit que le jour s'est levé.
Bon, plus qu'à voir le 21 et je suis à jour. Maintenant, Alias, à nous deux !
Donc j'étais resté scotché au 3x15, et je me suis maté cette après-midi du 16 au 20. En visionnant le premier, je me suis dit : "cool ! Enfin ça redevient intéressant, ils vont peut-être finir la saison en beauté". Sauf que voilà, ils ont encore trouvé le moyen de merder... Pour moi, tout bascule au moment de la mort de Chapelle (pourtant la tension du 18 était bonne, et la scène où ils pensent chopper Saunders était excellente et très bien foutue), qui est sans concession et très malsaine. En vrac :
- Bonne nouvelle, le temps réel n'existe plus ! Comme par hasard, tous les lieux et les personnes qu'ils doivent trouver sont dans les environs et à 10 minutes de leur position.
- Dans la série "grosse incohérence", je veux la collègue : Super Michelle est pas infectée. Super !
- Dans la série "gross incohérence", je veux encore la collègue : Saunders a réussi à capturer Michelle en deux temps trois mouvements. Super !
- Dans la série "grosse incohérence", je veux la fille : Kim est suivie par les caméras dans la librairie (trop fort, mais ça date de la saison 1 les caméras qui se situent au bon endroit au bon moment), sauf quand elle se fait kimnappée. Super !
- Dans la série "grosse incohérence", je veux le père : Jack n'est plus un junkie. Super !
- Sherry se comporte comme une salope - ce qui contraste avec son début de repentir en fin de saison 2 - et qui après avoir fait pression sur Palmer est complètement kelleyrisée : ça prouve que l'intrigue Milliken était bien du remplissage.
- Kim se fait kimnappée mais s'en sort seule. Youpi, on a échappé à ce genre d'intrigues ! Ah bah non, faut que ce soit Michelle qui s'y colle. Trop fort, ils ont réussi à détourner le cliché principal de la série : c'est pas une blonde qui se fout dans le pétrin ! Tiens d'ailleurs, à ce propos, je vous soumets un terme : quand une fille se fait kidnapper et a des emmerdes dans la série, on pourrait dire que c'est le kimmick de la série...
- La pseudo-tension dramatique entre Michelle et Tony tombe complètement à plat.
- Après le bébé pour déstabiliser Chase, la soeur d'Adam pour le perturber. C'est la saison de la famille je vous le dis !
- Comme par hasard, Saunders a une fille... Super cliché !
- Le temps réel n'existe plus et a complètement explosé ! Ah non, ça je l'ai déjà dit...
Allez, je vais pas faire le vache, j'ai des scènes qui remontent le niveau :
1. Celle dont j'ai parlé, quand Chase & Cie croient avoir localisé Saunders.
2. La scène entre Michelle et Gaël quand celui-ci est proche de la mort.
3. La scène entre Kim et Jack, quand ils se disputent.
4. La scène où on voit que le jour s'est levé.
Bon, plus qu'à voir le 21 et je suis à jour. Maintenant, Alias, à nous deux !
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joma
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Eclair a écrit :Joma, je m'excuse de me répéter mais fallait que je le dise :
Arrête je vais rougir.
En tout cas je te remercie pour le rienélier, fallait y penser.
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Ju a écrit :Joma : Best. Episode. Ever!
Clair, et c'est pas galvaudé: sérieux, comment veux-tu enchaîner derrière, ça mériterait franchement d'être le mot de la fin
Je reviendrais donc pas sur la pente glissante de la "soap attitude" refoulée. Techniquement, je me suis pas fait chier, l'épisode a au moins pour lui de recycler différemment un poncif éculé de la série, celle de la fausse taupe. C'est intéressant pour une fois de suivre le processus de l'autre côté. Même s'il devrait sérieusement laisser tomber le sparadrap placebo, Tony a enfin une raison légitime d'arborer son éternel air constipé
Bizarrement, cette dimension est devenue une porte ouverte à tout et rien. Je pense à cette phrase de Chappelle où il rappelle à Tony et Gael qu'ils auraient à prendre la responsabilité de toutes les morts de l'émeute à celles de l'après-vente aux enchères et de tous les autres corps amassées entre temps - avertissement aux scénaristes? - Après l'explosion du virus et la contamination de 5 cellules, le bodycount de la série atteint des records limite 11 septembre vol.2, mais comme le note jéjé "c'est plus tendance", donc le privé pallie au collectif ou inversement mais ils n'évoluent plus de pair.
Ce qui suit envenime largement les réussites. Plus Sherry en rajoutait dans la grimace, plus j'avais l'impression d'assister à du pur boulevard, un moment j'ai cru voir Jean Lefebvre dans le rôle de Keeler et Lavanant en Sherry, croyez-moi, l'association est parfaite
Ce qui est grave, c'est que tous les personnages de la saison jouent aux chaises musicales et du coup, ils sont plus inconsistants les uns des autres. Entre le toc toxico, le retour des méchants qui restent indécrottablement méchants (ce cher axe du mal va toujours bien...), les bébés, les boulets... Différence essentielle, ce n'est plus la série qui s'adapte aux destins individuels mais bien les personnages au service des scénaristes-marionettistes.
L'épisode confirme malheureusement qu'il n'est pas possible de taper le freestyle quand on n'a pas un minimum de rigueur. Arriver à 3 heures de la fin à une situation qui aurait un bon départ ne peut pas pallier à un laisser-aller aussi flagrant. Alors qu'ils avaient de nombreux points d'impulsion pour faire décoller (ou toutélier) cette saison 3, ils ont choisi la carte du contentement de soi, et le pire, c'est d'avoir reçu un gloden globe pour cette saison alors qu'il était mérité pour les 2 autres mais pas celui-ci. C'était bien la peine de leur lécher les bottes
Le Final Four s'ouvre donc avec une certaine emphase, à défaut d'être très consistant: que reste-t-il encore à attendre? That's the question...
Dernière modification par cicéron le 09 mai 2004 9:36, modifié 1 fois.
Et puis c’était bien, on parlait plus de la drogue de Jack, parce que le héros il peut pas être drogué trop longtemps. Isabella savait après avoir vu un reportage sur National geographique que les drogués mettaient des mois pour se désintoxiquer, quand ils y arrivaient, mais Jack était trop fort et en une journée il venait de prouvé que les drogué de National geographique n’était pas de vrai héros.
Finalement, j'attend impatiemment la S4... Je regarderai pas les éps, mais je viendrais lire la S4 de joma
Les tigres ajoutent du panache à chaque événement social...
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Olivier.L.
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cicéron a écrit : cette saison 3, ils ont choisi la carte du contentement de soi, et le pire, c'est d'avoir reçu un gloden globe pour cette saison alors qu'il était mérité pour les 2 autres mais pas celui-ci. C'était bien la peine de leur lécher les bottes...
Ils ont recu le Golden Globe pour la saison 2, et non la saison 3. Les saisons en cours recevrons leur Golden Globes une fois terminées...
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24H dans la vie d’une série
Episode 3 : Il était une foi un commencement
Plateau 24 – tournage de l’épisode 401 de la femme Nikita, octobre 1999
Jon Cassar s’affère à placer des figurants pour une scène d’action, dont c’est déjà la 10éme prise et Jon est comme qui dirais un soupçon énervé, ça n’empêche pas Michael Loceff de s’approché de lui.
Michael : Jon, je peux te parler deux minutes en privée ?
Jon : Ouais quoi ? J’ai pas que ça à foutre, on et en retard sur le planning de tournage.
Michael : Justement, j’ai pas écrit du tout ce que tu es en train de tournée.
Jon le regarde alors de haut.
Jon : Est alors ? De toute façon ton script c’est de la merde, et cette série c’est de la merde.
Michael : Normal, c’est tiré d’un film d’un français qui pète plus haut que son cul, donc faut pas en attendre des masses. Il n’empêche, tu pourrais faire un peu plus attention a ce que j’écris.
Jon ne répond rien et va s’asseoir sur la chaise marquée a son nom en soupirant.
Jon : J’en ai marre de ce boulot, je me tape que des séries de merde, si ça pouvait changer…
A ce moment arrive Joel Surnow et Robert Cochran.
Robert : Salut les gars, ça boume ?
Michael : Bof !
Jon ; Ouais bof, qu’est-ce qui vous amène ?
Joel : On voulait te voir, sur le planning c’est toi qui réalise notre prochain script.
Jon (d’une voie fatiguée) : Ah ?
Robert : Hola ! T’as pas la forme toi, tu veux un petit remontant ?
Il ouvre alors un étui a cigarette ou se trouve 3 joins déjà roulé.
Jon : Non ça va. Faut juste que je me trouve un nouveau boulot, Nikita commence à me gaver sec.
Joel : Oh ! Toi aussi.
Jon hoche sa tête de chien abattu.
Michael : Jon, on en est tous là, je vois pas ce qu’on pourrait faire.
Robert : On pourrait créer notre propre série. On en est capable.
Joel : Mais quoi ? tout à déjà été fait ?
Jon : En tout cas il me faudrait un truc d’action, enfin un vrai truc d’action pas comme cette daube que je suis en train de filmé.
Michael : 24 épisodes d’action non-stop ça seraient cool, non ! Mais possible ?
Robert : Ouais sûrement, mais faudrait trouver un angle intéressant.
Le silence retombe pour de longues minutes, nos héros étant perdus dans leurs pensées.
Michael : C’est dingue comme le temps n’avance pas.
Joel et Robert en même temps : Voilà !
Jon : Quoi ?
Robert : Le temps, voilà la solution.
Joel : Oui 24 épisodes représentant une heure, le tout représentant une journée.
Michael : Génialeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !
Jon : Ok mais ça parlerais de quoi ?
Robert : Je sais pas encore, mais…
Joel : Vas-y Robert cogite, cogite !
Robert : Qu’est-ce tu lisais hier Mike ?
Michael : Le Elroy sur les Kennedy, pourquoi ?
Joel : Putain géniale Bob, une histoire sur l’assassina d’un président, très américain ça.
Robert : Yep et en plus on pourra toutélier ça d’un peu de soap, ça nous rappellera le bon vieux temps de Falcon Crest.
Joel et Robert éclatent de rire.
Jon : Ca a l’air cool, de l’action, du soap, je veux en être.
Michael : Moi aussi !
Joel : pas de blèm les gars, il y aura de la place pour les potes.
Jon : Robert, tu me promets que jamais on retombera dans un truc aussi merdique que la femme Nikita ?
Robert : Jamais Jon, on est trop bon pour ça !
Episode 3 : Il était une foi un commencement
Plateau 24 – tournage de l’épisode 401 de la femme Nikita, octobre 1999
Jon Cassar s’affère à placer des figurants pour une scène d’action, dont c’est déjà la 10éme prise et Jon est comme qui dirais un soupçon énervé, ça n’empêche pas Michael Loceff de s’approché de lui.
Michael : Jon, je peux te parler deux minutes en privée ?
Jon : Ouais quoi ? J’ai pas que ça à foutre, on et en retard sur le planning de tournage.
Michael : Justement, j’ai pas écrit du tout ce que tu es en train de tournée.
Jon le regarde alors de haut.
Jon : Est alors ? De toute façon ton script c’est de la merde, et cette série c’est de la merde.
Michael : Normal, c’est tiré d’un film d’un français qui pète plus haut que son cul, donc faut pas en attendre des masses. Il n’empêche, tu pourrais faire un peu plus attention a ce que j’écris.
Jon ne répond rien et va s’asseoir sur la chaise marquée a son nom en soupirant.
Jon : J’en ai marre de ce boulot, je me tape que des séries de merde, si ça pouvait changer…
A ce moment arrive Joel Surnow et Robert Cochran.
Robert : Salut les gars, ça boume ?
Michael : Bof !
Jon ; Ouais bof, qu’est-ce qui vous amène ?
Joel : On voulait te voir, sur le planning c’est toi qui réalise notre prochain script.
Jon (d’une voie fatiguée) : Ah ?
Robert : Hola ! T’as pas la forme toi, tu veux un petit remontant ?
Il ouvre alors un étui a cigarette ou se trouve 3 joins déjà roulé.
Jon : Non ça va. Faut juste que je me trouve un nouveau boulot, Nikita commence à me gaver sec.
Joel : Oh ! Toi aussi.
Jon hoche sa tête de chien abattu.
Michael : Jon, on en est tous là, je vois pas ce qu’on pourrait faire.
Robert : On pourrait créer notre propre série. On en est capable.
Joel : Mais quoi ? tout à déjà été fait ?
Jon : En tout cas il me faudrait un truc d’action, enfin un vrai truc d’action pas comme cette daube que je suis en train de filmé.
Michael : 24 épisodes d’action non-stop ça seraient cool, non ! Mais possible ?
Robert : Ouais sûrement, mais faudrait trouver un angle intéressant.
Le silence retombe pour de longues minutes, nos héros étant perdus dans leurs pensées.
Michael : C’est dingue comme le temps n’avance pas.
Joel et Robert en même temps : Voilà !
Jon : Quoi ?
Robert : Le temps, voilà la solution.
Joel : Oui 24 épisodes représentant une heure, le tout représentant une journée.
Michael : Génialeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !
Jon : Ok mais ça parlerais de quoi ?
Robert : Je sais pas encore, mais…
Joel : Vas-y Robert cogite, cogite !
Robert : Qu’est-ce tu lisais hier Mike ?
Michael : Le Elroy sur les Kennedy, pourquoi ?
Joel : Putain géniale Bob, une histoire sur l’assassina d’un président, très américain ça.
Robert : Yep et en plus on pourra toutélier ça d’un peu de soap, ça nous rappellera le bon vieux temps de Falcon Crest.
Joel et Robert éclatent de rire.
Jon : Ca a l’air cool, de l’action, du soap, je veux en être.
Michael : Moi aussi !
Joel : pas de blèm les gars, il y aura de la place pour les potes.
Jon : Robert, tu me promets que jamais on retombera dans un truc aussi merdique que la femme Nikita ?
Robert : Jamais Jon, on est trop bon pour ça !
Dernière modification par joma le 12 mai 2004 0:35, modifié 1 fois.
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Natalie Portman rap SNL.
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Olivier.L. a écrit :cicéron a écrit : cette saison 3, ils ont choisi la carte du contentement de soi, et le pire, c'est d'avoir reçu un gloden globe pour cette saison alors qu'il était mérité pour les 2 autres mais pas celui-ci. C'était bien la peine de leur lécher les bottes...
Ils ont recu le Golden Globe pour la saison 2, et non la saison 3. Les saisons en cours recevrons leur Golden Globes une fois terminées...
Olivier
et il n'y a aucun risque que la saison 3 reçoive quoi que ce soit (enfin, j'espère !!!)
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24H dans la vie d’une série
Episode 4 : A new hope
Cet épisode est dédié à Ju… Il saura pourquoi.
Bureau de Howard Gordon.
Howard est plongée dans la contemplation d’une feuille posé devant lui, c’est un mémo que lui a adressé Joel Surnow, en provenance direct des avocats de la Fox, le texte est lapidaire et terrible à la fois :
Comment ce débarrassé de Tony ? Carlos a les yeux trop gros.
Dessous, Joel à rajouter quelques mots de sa fine écriture : Putain de connard d’acteur, fait le souffrir !
En soufflant Howard commence à noter les idées directement sur la feuille, on était au dernier jour de tournage et l’épisode devait impérativement être fini. Les idées affluèrent ; le tuer, par coup de feu, couteau, infecter par le virus (là, Howard barre cette option ; trop long, on n'a pas une journée à perdre) l’amputer, le faire divorcer, le faire coucher avec Chapel… Puis il repose son stylo et s’abîme de nouveau dans la contemplation de la feuille.
Finalement, il barre tout sauf "le tuer". Howard se dit bien que ce n’est guère original, mais c’est le moyen le plus sur pour se débarrasser d’un acteur récalcitrant, reste la manière. Surtout que Tony étant à la CTU ça sera pas évident, bien sur, l’idéal ça serait de le faire sortir et allé sur le terrain, mais Howard repoussa cette idée, que foutrait le chef de la CTU sur le terrain, non c’est vrai quoi c’est pas les agents qui manquent pour appréhender un ados en plus. Mais il lui était impossible de se défaire de cette idée.
« Et puis merde, pensa-t-il, si les fans râle, ils s’en prendront à Stephen, vu que c’est lui qui sera crédité au générique ! »
Sur cette idée réconfortante, il commença à écrire la scène qui devait être la dernière de Carlos Bernard. En 5 minutes se fut torché, il se connecta au réseau interne de la Fox, vérifia que Stephen_Kronish@pcp15534034pcs.nrockv01.md.comcast.net était connecter et envoya la scène.
Tout content, il en sortie un tirage papier, puis composa le 24 sur son téléphone.
Howard : Joel, je peux venir, j’ai un truc à te montrer ? (Un blanc) ok, à tout à l’heure.
Tout content, il arracha les feuilles de l’imprimante, sortie dans le couloir et entra dans la pièce d’à côté. Joel était en train de parler à un type qu’Howard ne connaissait pas : Il avait en face de lui un geek trentenaire qui se caché derrière des lunettes à la Elvis Costello.
Joel : Howard, entre ! (Il montra son interlocuteur) Tu connais JJ Abrams ?
Howard fit signe que non de la tête.
Howard : Enchanté, j’suis un gros fan.
JJ : Merci.
Joel : JJ était venu pour me demander un conseil bien précis, et franchement je te le redis, man ! Ne te laisse pas emmerder par Elle, ne capitule jamais devant un acteur, tu dois t’imposer JJ, c’est ta série pas la sienne.
JJ : Ouais, mais bon, elle est importante pour la mytho.
Joel : Tu t’en fous ! Rien n’est plus important qu’un scénariste.
Il se retourne vers Howard et lui fait un clin d’œil.
Joel : Pas vrais Howie ?
Howard acquiesce bêtement en souriant.
Joel : Son personnage peut être remplacer, chirurgie esthétique par exemple, ou surtout ce qui marche bien ces temps-ci, c’est le coup de la famille nombreuse, tu as plein de solution pour te passé d’Elle. Tu vois, j’arrive même à ne pas dire son nom, pour dire !
Abrams hoche la tête presque convaincut.
JJ : Ok Joel, merci pour tout !
Joel : De rien, c’est un plaisir. Et n’oublie pas, ne pas accepter leur chantage de Diva !
JJ sort alors du bureau.
Howard : Depuis quand tu aide la concurrence ?
Joel : Aidé ?
Un sourire satanique illumine son visage et il éclate d’un rire sardonique.
Joel : Tu veux dire que je lui aie pourri ça saison oui… Trop content de moi.
Il se met alors a faire un petit pas de danse, puis s’aperçoit quand même Howard qui le regarde étonné.
Joel : Tu voulais quoi au fait ?
Howard : T’apporté la scène finale de Carlos.
Joel : Quoi ? T’es dingue. Tu crois pas qu’on va laisser filer Tony Almeida de la série, je vais ramper devant Carlos pour qu’il reste.
Howard : Ah bon ? Mais ce que tu as dit à JJ ?
Joel : Laisse donc ce crétin se demmerdé avec Lena. Nous, on garde nos acteurs, coûte que coûte !
Howard (paniqué) : Mais la scène doit être en train de se tourné !
Joel : T’occupe ! On trouvera bien un truc pour s’en sortir, et les fans diront que c’est génial d’avoir mis un personnage principal en danger… Les cons.
Il se précipita alors sur le téléphone et fit le 48.
Joel : Robert ! J’ai niqué JJ, j’ai niqué JJ, j’ai niqué JJ, j’ai niqué JJ…
Howard sortie doucement du bureau, laissant Joel à son immense joie.
Episode 4 : A new hope
Cet épisode est dédié à Ju… Il saura pourquoi.
Bureau de Howard Gordon.
Howard est plongée dans la contemplation d’une feuille posé devant lui, c’est un mémo que lui a adressé Joel Surnow, en provenance direct des avocats de la Fox, le texte est lapidaire et terrible à la fois :
Comment ce débarrassé de Tony ? Carlos a les yeux trop gros.
Dessous, Joel à rajouter quelques mots de sa fine écriture : Putain de connard d’acteur, fait le souffrir !
En soufflant Howard commence à noter les idées directement sur la feuille, on était au dernier jour de tournage et l’épisode devait impérativement être fini. Les idées affluèrent ; le tuer, par coup de feu, couteau, infecter par le virus (là, Howard barre cette option ; trop long, on n'a pas une journée à perdre) l’amputer, le faire divorcer, le faire coucher avec Chapel… Puis il repose son stylo et s’abîme de nouveau dans la contemplation de la feuille.
Finalement, il barre tout sauf "le tuer". Howard se dit bien que ce n’est guère original, mais c’est le moyen le plus sur pour se débarrasser d’un acteur récalcitrant, reste la manière. Surtout que Tony étant à la CTU ça sera pas évident, bien sur, l’idéal ça serait de le faire sortir et allé sur le terrain, mais Howard repoussa cette idée, que foutrait le chef de la CTU sur le terrain, non c’est vrai quoi c’est pas les agents qui manquent pour appréhender un ados en plus. Mais il lui était impossible de se défaire de cette idée.
« Et puis merde, pensa-t-il, si les fans râle, ils s’en prendront à Stephen, vu que c’est lui qui sera crédité au générique ! »
Sur cette idée réconfortante, il commença à écrire la scène qui devait être la dernière de Carlos Bernard. En 5 minutes se fut torché, il se connecta au réseau interne de la Fox, vérifia que Stephen_Kronish@pcp15534034pcs.nrockv01.md.comcast.net était connecter et envoya la scène.
Tout content, il en sortie un tirage papier, puis composa le 24 sur son téléphone.
Howard : Joel, je peux venir, j’ai un truc à te montrer ? (Un blanc) ok, à tout à l’heure.
Tout content, il arracha les feuilles de l’imprimante, sortie dans le couloir et entra dans la pièce d’à côté. Joel était en train de parler à un type qu’Howard ne connaissait pas : Il avait en face de lui un geek trentenaire qui se caché derrière des lunettes à la Elvis Costello.
Joel : Howard, entre ! (Il montra son interlocuteur) Tu connais JJ Abrams ?
Howard fit signe que non de la tête.
Howard : Enchanté, j’suis un gros fan.
JJ : Merci.
Joel : JJ était venu pour me demander un conseil bien précis, et franchement je te le redis, man ! Ne te laisse pas emmerder par Elle, ne capitule jamais devant un acteur, tu dois t’imposer JJ, c’est ta série pas la sienne.
JJ : Ouais, mais bon, elle est importante pour la mytho.
Joel : Tu t’en fous ! Rien n’est plus important qu’un scénariste.
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Joel : Pas vrais Howie ?
Howard acquiesce bêtement en souriant.
Joel : Son personnage peut être remplacer, chirurgie esthétique par exemple, ou surtout ce qui marche bien ces temps-ci, c’est le coup de la famille nombreuse, tu as plein de solution pour te passé d’Elle. Tu vois, j’arrive même à ne pas dire son nom, pour dire !
Abrams hoche la tête presque convaincut.
JJ : Ok Joel, merci pour tout !
Joel : De rien, c’est un plaisir. Et n’oublie pas, ne pas accepter leur chantage de Diva !
JJ sort alors du bureau.
Howard : Depuis quand tu aide la concurrence ?
Joel : Aidé ?
Un sourire satanique illumine son visage et il éclate d’un rire sardonique.
Joel : Tu veux dire que je lui aie pourri ça saison oui… Trop content de moi.
Il se met alors a faire un petit pas de danse, puis s’aperçoit quand même Howard qui le regarde étonné.
Joel : Tu voulais quoi au fait ?
Howard : T’apporté la scène finale de Carlos.
Joel : Quoi ? T’es dingue. Tu crois pas qu’on va laisser filer Tony Almeida de la série, je vais ramper devant Carlos pour qu’il reste.
Howard : Ah bon ? Mais ce que tu as dit à JJ ?
Joel : Laisse donc ce crétin se demmerdé avec Lena. Nous, on garde nos acteurs, coûte que coûte !
Howard (paniqué) : Mais la scène doit être en train de se tourné !
Joel : T’occupe ! On trouvera bien un truc pour s’en sortir, et les fans diront que c’est génial d’avoir mis un personnage principal en danger… Les cons.
Il se précipita alors sur le téléphone et fit le 48.
Joel : Robert ! J’ai niqué JJ, j’ai niqué JJ, j’ai niqué JJ, j’ai niqué JJ…
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joma
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http://www.desperatehouseflies.com/episodes.html
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Ju a écrit :joma a écrit :Cet épisode est dédié à Ju… Il saura pourquoi.
Et bien pour un mec qui arrive à court d'idées...
Tu m'a bien aider avec ton obssession de ne pas dire le nom de "elle" et ta reviews 21bis à été le déclencheur.
Bon pour le 5 j'ai pas d'idée sauf le titre (facile d'ailleurs vu celui du 4
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