J’étais en train de me poser la question de savoir si j’allais écrire un résumé, même rapide, à 25 épisodes de la fin... mais en fait non. Donc, idées dans le désordre, tout de suite !
Les verbes, c’est fatigant. Cette orthographe bizarre existe. Peut-être.
La Petite Partie Plutôt Poilue
Le chauve, le barbu avec des lunettes, celui qui n’a plus de cheveux mais qui a une barbe (et qui est myope), c’est Radzinski. Et oui, on en avait déjà entendu parlé, brièvement, à la fin de la saison 2. Pour faire simple, Radzinski, c’était le prédécesseur du prédécesseur de Desmond dans la station du Bouton de L’Apocalypse, celle dont on ignore toujours un peu à quoi elle servait.
A part faire prendre une douche à Kate.
Selon Kelvin, le partenaire de Desmond joué par Clancy Brown, Radzinski était un génie. Il avait trouvé comment hacker le système d’ouverture des portes de sa station (facile, il l’a conçue). Il y avait dessiné une chouette carte de Lildelost invisible à l’oeil nu (ça ne sert à rien). Il s’y était tiré une petite balle dans la tête avec son fusil (vive la productivité), et avait tâché le plafond avec son sang (et c’est qui qui nettoie ?).
Tu parles d’un génie.
Et PAF ! - Première Partie
Et PAF ! Dans les dents, Docteur Ducon. C’était bien la peine de s’endetter pour faire des études de médecine si c’était pour finir homme d’entretien pour une communauté pseudo-scientifique de hippies.
Mon avis sur l’épisode
Un épisode de transition. Pas mal. Plutôt sympa mais pas extraordinaire. Les pseudo-histoires romantiques qui n’intéressent personne m’ont semblé être sous contrôle. Pour l’instant. Il n’y avait malheureusement pas autant d’informations sur la Dharma Initiative que ce que j’aurais aimé. Juste un peu plus de teasing en attendant la suite, avec Pierre Chang et le petit Ben.
Le Petit Ben
Bah, il fait très peur. C’est ses yeux. Mais ça fait quand même plaisir de le voir, malgré ses yeux, car au moins il est arrivé, il est là, il est sur Lildelost version 70, et j’ai vraiment hâte de le voir interagir avec les autres personnages. Surtout Juliet.
Le Petit Ben n’est pas le seul à être là, d’ailleurs. Tout le monde est là. Au même point dans l’histoire. Parce que depuis la fin du fantastique cinquième épisode, c’était devenu un peu le bordel avec une histoire qui n’avançait pas au même rythme pour tout le monde, et des retours en arrière incessants.
Maintenant qu’on a enfin vu Sun et Frank, je crois bien qu’il n’y a plus de trou dans l’intrigue, mis à part évidemment les petites histoires potentiellement insupportables sur la nuit précédent le vol de retour que les scénaristes se sont mis de côté dans le but non dissimulé de nous pourrir quelques futurs épisodes à grands coups de flashbacks inutiles.
Mais pour l’instant, peu importe, le fait est qu’on a enfin rattrapé le cours de l’intrigue et qu’on va pouvoir passer à autre chose. La suite de l’histoire. Le truc dont, au final, on ne sait pas grand chose, maintenant que les personnages ont quitté l’île, qu’ils sont revenus, qu’ils errent un peu sans but. Je me demande combien de temps on va devoir attendre pour découvrir où va la série. Parce que l’extermination de l’Initiative, c’est bien, mais c’est vague et pas forcément très enthousiasmant.
Desmond n’est pas là !
Et c’est bien dommage.
Et PAF ! - Dernière Partie
Et PAF ! Dans les dents, Docteur Ducon. La scène où Sawyer explique à Jack qu’il réfléchit avant d’agir, lui, alors que le Docteur Ducon déconne m’a bien plu.
C’était un peu mesquin, mais bien. Et totalement vrai.
Quel con ce Docteur Ducon. D’ailleurs, ça me fait penser, si vous attendiez mon avis sur le Carré Maudit, le voici. J’espère que Sawyer va finir avec Juliet. Et avec Kate.
Et avec Zombie Ana Lulu.
La Vie à la Plage...
... c’est fini. Maintenant c’est la vie dans les baraquements où, peu importe le nombre de nouvelles recrues, tout le monde semble toujours avoir son propre bungalow.
Mais ce n’est pas vraiment ça le problème. Le problème c’est que les baraquements, même avec des hippies, même transformés en village fantôme du futur, c’est comme la plage où nos personnages se remémoraient leur vie passée entre deux parties de ping-pong. C’est synonyme de routine.
Moi j’aime le Lost vert, le Lost écolo, le Lost dans la jungle.
ZombieClaire !
J’avoue que je ne l’avais pas vue par moi-même, je l’ai lu chez Sepinwall... mais elle est là. J’ai un peu modifié les couleurs pour que ça fasse encore plus peur. Brrrr.... C’est vrai que ça fait peur.
Zombie Bad ! Jungle Tree Pretty !
Et on parlera un peu de Lost.
