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Ma Saison à Moi - Critique de l'épisode La de la saison La

Saison à Black Widow: Edition 2006/2007

Par Blackie, le 22 juillet 2007
Publié le
22 juillet 2007
Saison La
Episode La
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Mais non, l’année n’a pas été que déceptions et atrocités ! J’ai beau être une grosse râleuse, il y a eu tout de même à côté des horreurs pas mal de choses sympathiques et j’aurais trouvé deux énormes coups de cœur. Dans l’ensemble, ma saison à moi fut plutôt équilibrée, avec plein de Joss dedans. Moi, monomaniaque ? A peine....

MON PLUS GROS GEEKASME

It’s about women. It’s about power and women and you just hate those two words in the same sentence, don’t you ?

La meilleure chose de l’année, en ce qui me concerne, fut bien sûr la sortie de la saison 8 de Buffy The Vampire Slayer sous forme de comic book. Une saison officielle, débutée sous la plume du seul et unique maître, et agrémentée par les couvertures purement fascinantes de Jo Chen. L’arc "The Long Way Home" est certes imparfait mais trois ans sans nouvelles du Scooby Gang, c’était long et difficile. Quant à sa note finale, elle ne laisse que présager le meilleur.

Le MONDE !!! LE P*@#&\ DE MONDE !!! Après, faut pas se demander pourquoi je vénère Joss jusqu’aux tréfonds de mon âme. Pourvu qu’il ne laisse plus jamais Buffy nous quitter...

MES COUPS DE COEUR

Bonus du Whedonverse inclus : Julie Benz

Pour continuer sur une note plein d’amour, les deux petits bijoux ayant illuminé ma rentrée 2007 sont Friday Night Lights et Dexter. Deux séries se basant sur des romans pour mieux s’en éloigner, creuser leurs nombreux personnages et leurs thématiques, et en créer d’autres. Finalement, il n’en faut peut-être pas plus que des scripts faisant travailler les neurones, un casting impeccable et des mises en scène inventives, capables de véhiculer des émotions, pour avoir un résultat quasi parfait. Eric et Tami Taylor ou Dexter Morgan et Rita Bennett, je n’ai aucune envie de nommer des préférences. Juste de remercier ceux qui me permettront de prolonger le plaisir pour un an de plus.

MES AUTRES NOUVEAUX PLAISIRS

Bonus du Whedonverse inclus : un Buffster, Christopher Gorham, et l’autre gars de l’Initiative qu’est pas Graham

Avant les nouveautés de septembre, il ne faut pas oublier celles de l’été. Eureka fut ma première bonne surprise. De la science-fiction sans vaisseaux spatiaux, un cast frais et neuf, des intrigues sympathiques, un visuel impeccable... bref, c’est une petite merveille fantaisiste, regardable par toute la famille sans verser dans la mièvrerie pour autant. Vous vous rappelez de Colin Ferguson dans l’horrible adaptation de Coupling ? Moi non plus. Et voilà le genre de service qu’un excellent rôle peut rendre à un acteur.
Découverte un peu tard, Psych m’a fait mourir de rire avec son concept qui semble sortir tout droit d’un délire de sériephile, croisement étrange entre Scrubs, Veronica Mars et Midioum. Elle a su s’éloigner d’un point de départ pouvant vite devenir lassant avec un humour balourd, du genre...hmmm, au hasard : Monk, pour céder plus d’importance aux échanges délirants de ce petit groupe. Les enquêtes, c’est sympathique, mais cela ne reste qu’une excuse aux interactions humaines.
C’est pour ces mêmes raisons que je suis devenue amatrice de Bones, bien qu’elle en soit déjà à sa seconde saison. J’en ai ma claque des formula shows et il me faut un réel petit plus pour prendre la peine de rester devant mon écran. Bones emprunte la voie de l’enquête scientifique de CSI mais dans une direction plus comique, en bifurquant largement à gauche au croisement NCIS. En résumé, c’est ce que j’appelle du divertissement honnête.

De tout ce qui nous a été amené depuis septembre (et que j’ai pris la peine de regarder), seules trois m’ont convaincue de m’y remettre à la rentrée. J’étais la première (si, si) l’été dernier à dire qu’Heroes n’était peut-être pas super bien écrit et interprété, mais que ce serait très fun. Et ça l’a été. Et j’ai donc eu raison (comme toujours !). Après, de là à trouver que c’est la meilleure série de l’année, faut pas pousser. Son pouvoir de divertissement est assez fort pour pardonner ses énormes défauts, mais pas de là à les cacher.
Ugly Betty s’est avérée assez surprenante, moi qui m’attendais une série moralisatrice sur la beauté intérieure plus forte que celle extérieure (et puis quoi encore ?). Plus que ses messages de tolérance sur fond de caricatures méchamment drôles, je peux remercier la série pour une chose : son duo Marc et Amanda, excessivement jouissif.
30 Rock me fait faire quelques abdos également mais ne pourrait se résumer qu’à une seule personne. Et ce n’est ni Alec Baldwin, ni Tina Fey. Non, la vraie star, la perle de 30 Rock, qui m’a fait rire dès les premières bandes-annonces, c’est Jack McBrayer dans le rôle de Kenneth. Revisionnez sa danse séductrice devant Will Arnett et je vous défie de me dire que ce mec n’est pas un génie du comique. To the wig shop !

MES RETROUVAILLES

Bonus du Whedonverse inclus : David Boreanaz, Alyson Hannigan, Alexis Denisof, Joss Whedon, Seth Green, Summer Glau, Kali “Alfrek” Rocha... Oui, tout ça !

Les séries qui ont entamé leurs secondes saisons ont en majorité tenté d’effacer les défauts de leurs débuts et de surpasser ce qui avait déjà fait leur succès. Supernatural a beau s’être débarrassé de Jeffrey Dean Morgan (un beau mec en moins, ce n’est pas très malin), elle a viré par la même occasion des affreux contrastes clair-obscur et diminué les blondes en danger de la semaine. Côté ajouts, le pendant féminin de la famille Winchester n’a pas fait de mal à l’aspect un peu machiste de bas étages que la série arbore, et l’humour s’est fait beaucoup plus présent. Certes, les scénarios ne volent pas tellement plus haut que l’an dernier, mais l’ensemble devient nettement plus agréable avec le temps et les auteurs ont enfin compris que Padelecki est une tâche qu’on se fout de voir geindre. La vraie bonne chose de Supernatural, c’est Jensen Ackles.
Même style de leçon pour l’équipe de How I Met Your Mother, qui a mis un peu de temps avant de réaliser que le point fort de la série résidait principalement dans ses épisodes comiques, sans se préoccuper des intrigues romantiques. Certes, le mélange de ces genres faisait le charme de la première saison, mais s’est défraîchit aussi vite que le titre. HIMYM en sitcom banale, c’est largement suffisant. J’attends les trois gifles restantes du slap bet pour l’an prochain.

Don’t forget the robot...

Le seul reproche que je trouverais à faire sur It’s always Sunny in Philadelphia est que l’ajout de Danny De Vito (et non Joe Pesci, je les confonds toujours) n’était une idée géniale qu’au départ. Il amenait une nouvelle dynamique de groupe, de nouveaux thèmes et personnages secondaires l’accompagnaient et Kaitlin Olsen pouvait briller loin des garçons. Je dois à DeVito certains de mes épisodes préférés ("Charlie Gets Crippled" et "Hundred Dollar Baby" sont monstrueux), mais sa présence, qui aurait dû être aussi ponctuelle que la mère des jumeaux, a fini par prendre trop de place et évincer les quatre copains.
My Name is Earl n’a pas le droit à un seul reproche. C’est comme ça. Ah, si... : Damn you Randy, à cause de toi j’ai envie de me mettre à l’espagnol. Et j’ai vraiment autre chose à faire !

J’ai regardé aussi Boston Legal, Grey’s Anatomy, Medium, The Office et The 4400. Dans l’ordre, cela donne :

- Bien, mais moins qu’avant
- Entre le bien et l’affreux, et j’en ai assez dit là-dessus
- Comme d’hab
- Bien, mais moins bien qu’avant. Et puis Pam m’a gonflée
- Encore plus nul qu’avant, et fallait le faire. Mais je continuerai à regarder. Damn you, superpowers !

Y’a pas à dire, les saisons 3 sont d’une surprise...

Pwa pwa pwa de saison 3 pour Robot Chicken, mais Seth Green et Matt Seinreich ont concocté à la place un épisode spécial sur Star Wars d’une durée trois fois supérieure à la normale, tellement bon que même une non-fan comme moi peut largement l’apprécier.. Certes, il inclut deux ou trois rediffusions, mais je ne vais pas chipoter. Je mangerais bien de ce poulet-là à tous les repas.

MadTV fut bien décevante durant sa 12ème édition et le départ de Ike n’annonce rien de folichon pour la prochaine. C’est toute une ère qui s’évanouit peu à peu. Malgré le manque d’enthousiasme général, l’émission comporte toujours des perles éparpillées ci et là, qui m’empêchent de l’abandonner. Je n’irais pas jusqu’à dire que le soap coréen, les Aufwiedersehen de Crista ou encore le Yataaa de Bobby sur les toilettes valaient le coup de s’ennuyer la majorité du temps, mais elles suffisent largement à justifier le renouvellement de l’émission. Au moins tant que Michael reste.

Cela finit par se savoir : Smallville, c’est mon nanar à moi, mon Fantastic Four à la télé, mon petit plaisir à peine coupable. Et quel plaisir fut cette 6ème saison, alors que j’avais osé l’abandonner lâchement la saison précédente. Tout cela grâce un grand blond faisant du yoga torse nu, Wonder Woman, mon jumeau Ashmore préféré, une grossesse magique, Clark dans un cube, Clark en forme de cube, et tout plein de mecs en collants. Je ne comparerai pas cette saison à la grande époque où Pete se croyait dans 2Fast&2Furious, mais le plaisir y était semblable. Je sais bien que je mon amour pour la série est souvent incompris, mais pour ma part, je ne comprends pas comment on peut ignorer une telle source d’humour. Puisque le ridicule ne tue pas, long live Smallville !

MES ADIEUX DECHIRANTS...PLUS OU MOINS

Bonus du Whedonverse inclus : Tim Minear, Nathan Fillion, Amy Acker, et la grande Melinda Clarke, of course !

Team Taylor !

Que dire de plus que les sempiternels compliments sur la fin de The OC ? Rien, si ce n’est que j’ai repris confiance en Josh Schwartz et que je peux m’attendre à quelque chose de bon s’il ne fait pas semblant d’être en charge de ses nouvelles séries. En plus il a engagé Adam Baldwin, si ce n’est pas prometteur...

Je dis aurevoir avec un peu moins de tristesse à Veronica Mars et Gilmore Girls, mais sans rancœur non plus. Rob Thomas et David Rosenthal n’ont pas fini en beauté mais chacun avait son lot d’excuses : contraintes de plus en plus stupides pour le premier, qui malheureusement sait brillamment faire du compliqué mais n’arrive pas à se mettre aux niveau des scénaristes simplistes, et cadeau empoisonné pour le second, obligé de se dépatouiller avec la montagne de conneries qu’on lui a laissée, devant les justifier, les régler, et conclure de façon satisfaisante une série dont il n’avait jamais eu la charge avant. Tant que Rob ne s’enfonce pas avec un comic book sur Vero, on redeviendra sûrement copains.

A peine arrivées, à peine reparties. Je ne m’attendais pas à grand-chose avec une série ayant une course de voitures pour thème, mais je m’étais bien trompée sur le football américain. Et puis, c’était signé par mon Tim. Drive n’était effectivement pas très bonne, mais sans aller dans le mauvais non plus, et je pense sincèrement qu’elle aurait pu s’améliorer avec un peu de temps. Le problème, c’est que Minear sait aussi bien que nous qu’on ne le lui laissera pas et ne fait plus aucun effort. Sérieusement, il faut qu’il aille brûler son contrat chez Fox, cela ne peut plus durer ! So noTORIous aura connu le même destin éphémère, mais le méritait beaucoup moins. Ce n’était pourtant pas gagné avec une sitcom basée sur la vie de Tori Spelling, avec Tori Spelling. L’auto-moquerie était pourtant payante, Tori s’y montrant à la fois drôle et touchante, et Zachary Quinto bien meilleur acteur que dans le rôle de Sylar.

MES ADIEUX PLUS VIOLENTS

Bonus du Whedonverse inclus : dans la catégorie des nullités, vous pouvez être sûrs qu’il n’y en a pas ! (Interdiction d’essayer de me prouver le contraire)

J’essaie de jeter un œil à un maximum de programmes, mais quand la sauce ne prend vraiment pas, je préfère garder mon temps pour autre chose (une série qui me plaît ou un chouilla de vie sociale, au choix). J’ai bien tenu sur quelques épisodes de Jericho, de Studio 60 et The Nine, mais les promesses qu’elles offraient n’ont vraiment pas été tenues en ce qui me concerne (et mes attentes envers Jericho n’allaient pas plus haut que les pectoraux de Skeet Ulrich). J’ai été moins patiente envers The Class, The Black Donnellys, October Road et Dirt. Nul, nul, nul ! The Lost Room ne sera pas devenu une série et...c’est tant mieux. Le duo Krause et Margulies était une bonne idée, mais faudrait voir à leur filer un script qui n’a pas l’air écrit par un élève de 6ème.

Et puis il y a eu la saison 3 de Battlestar Galactica et la 6 de Scrubs... Je n’ai plus aucun respect envers Ron Moore et s’il arrive à faire remonter BSG des profondeurs où il l’a enfoncée, cela ne changera rien à mon dédain pour lui. Sa tête a enflé comme une pastèque et être incapable de reconnaître la moindre erreur est un défaut qui m’exaspère. Bill Lawrence n’aura peut-être pas totalement réussit à rattraper son horrible saison, mais lui aura admis s’être planté. Je lui souhaite de finir sur une meilleure note l’an prochain, peut-être avec l’atroce décapitation de JD par Elliot, et à Moore de planter un couteau vite fait dans un de ses chers toasters. A part cela, je suis plutôt pacifiste...

Tiens, en parlant de connards arrogants, House aura définitivement confirmé dès son troisième season premiere qu’elle n’est qu’un formula show bas de gamme, répétitif à tous les niveaux, avec l’audace de faire croire à ses spectateurs qu’elle fait progresser ses intrigues et ses personnages, pour mieux balancer une amnésie totale cinq minutes plus tard. La seule chose qui bouge dans ce truc acclamé sans raison, c’est sa capacité grandissante à me donner envie de tous les mitrailler.

MES RATTRAPAGES DE VIEUX TRUCS

Bonus du Whedonverse inclus : Sarah "Amanda" Hagan (on trouve les liens qu’on peut)

Il est toujours bon de rattraper un peu de retard pendant les vacances. J’ai donc passé les miennes devant Freaks and Geeks, série culte passée inaperçue (tardivement, en plus) dans nos contrées et m’a fait adopter la même réaction que celui qui se décide à regarder Twin Peaks après des années de « faudrait que je la vois un jour » : Mais comment j’ai pu passer à côté de ce chef d’œuvre ?!
Toute aussi courte et moins formidable, mais agréable quand même, Life as We Know It ne méritait pas non plus de disparaître. Cela aurait signifié pour Chris Lowell une impossibilité de faire Veronica Mars et Private Practice, et ç’aurait peut-être pas été un mal.
Dans la catégorie des intégrales correctes, dans le bon ordre et en version originale, des classiques de la télé, je me suis attelée à 3rd Rock from the Sun (avec des beaux coffrets qui font du bruit quand on appuie dessus). Surtout quand elles atteignent un tel génie d’écriture, débité par un casting en or massif, où la réflexion profonde sur l’humanité côtoie les gags les plus profondément débiles. Je n’ai pas complètement fini mon Rockathon, mais je savoure.

Surtout, je me suis vue la saison 4 de Ed. Ed est une série difficile à visionner, parce que peu évidente d’accès. Question diffusion, dvds, tout ce que vous voulez. Ce que je trouve incompréhensible vu sa qualité et son style, qui la rend aussi facile et agréable à suivre que les Gilmore Girls durant les cinq premières années. Pourtant, Ed Stevens et Stuckeyville étaient là bien avant Lorelai et Stars Hollow ! Qui a appris à l’autre à raconter n’importe quoi aussi vite, hein ? Bref, après trois saisons incomplètes et visionnées dans le désordre, j’ai enfin pu assister au mariage loufoque d’Ed et Carol, sur "My Little Corner of the World" qui plus est. Ça, c’était de la fin réussie. Ça, ce n’est pas le niveau qu’ont atteint les Gilmore. N’en déplaise à ses détracteurs sans aucun goût : Tom Cavanagh rules !

MES (TROP NOMBREUSES) EMISSIONS DE REAL-TV

Pas de bonus. Faut pas pousser non plus...

Je ne parlerais même pas de guilty pleasures dans cette catégorie, parce qu’à un moment il faut bien finir par assumer. Oui, je regarde des émissions aussi formidables que Girls Next Door, Beauty and the Geek et Shear Genius. Oui, je prends un plaisir fou à voir Tyra Banks faire des leçons sur la vie qu’est trop trop dure à des cotons tiges vivants, et même lorsque Survivor se plante lamentablement (arf, les Fiji), je continue à tenter de convaincre mon entourage qu’il s’agit du meilleur jeu télé du mondeuh (ah, Cook Island !). Je n’argumenterai même pas à leur sujet, il faut voir pour comprendre (Joma a en réalité une très forte cataracte, ceci explique cela).

I WANNA HAVE HIS BABIES - Edition 2007

Il est intelligent, honnête, classe, beau, drôle, altruiste, torturé, intègre, peut-être gay. Je m’en fous. Accessoirement riche. Il est un journaliste reconnu travaillant sur CNN, le seul à avoir encore de l’intégrité, des neurones qui marchent, et il faut bien le dire une classe d’enfer. Surtout, il n’est certainement pas ce vieux sénile de Larry « je ne sais même pas différencier les Beatles mais je sais bien lécher les pieds de tout le monde » King.
Anderson Cooper, AC est une perfection totale et mon homme de l’année.

Je ne vais pas faire la snob qui affirme ne jamais rater son émission Anderson Cooper 360°, parce que ce serait faux. Les infos me dépriment un peu trop, alors je me contente des meilleurs moments (qui parfois me dépriment aussi). Anderson est un homme intelligent qui rapporte les faits importants dans le monde, pose les questions qui fâchent, n’a pas peur de montrer ses émotions face aux évènements... en gros c’est le seul pendant sérieux de Jon Stewart. Parfois aussi, parce qu’il faut bien respirer au milieu de tant d’horreurs, il parle de faits divertissants avec son style bien particulier, rigolant devant la bataille entre Rosie et Trump, ou donnant son point de vue sur Paris Hilton, qui l’isole d’autant plus de ses collègues et me fait l’aimer davantage.

Pour reprendre les propos de Kathy Griffin : "I’m in love with you. I’m in love with you Anderson Cooper. Hold me. Touch me inappropriately. Anderson Cooper, come to my home tonight and love me."

Blackie
P.S. P.S : Je lance tout de suite mes prédictions 2007/2008 : Pushing Daisies et Aliens in America seront des bombes. Passez de bonnes vacances d’été devant Mad Men (Catherine Hendricks et Vincent Kartheiser inclus), et habituez-vous au fait qu’il faudra dire en revenant "Oh, Blackie avait ENCORE raison !"