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Friday Night Lights

jeudi 2 octobre 2008

Messages

  • FRIDAY NIGHT LIGHTS

    J’ai lu pas mal de bonnes critiques sur ce pilot, mais avons nous vu le même ? Moi j’ai trouvé ça affligeant... Incontestablement pire pilot de la rentrée pour l’instant. C’est mal construit, mal filmé, mal joué, cliché, les dialogues sont consternants de phrases toutes faites. C’est bien simple, une mouche a volé pendant que je regardais le pilot, et bien j’ai préférais regarder cela ! Pour vous donner une idée, Louis la Brocante est l’illustration de la France d’en bas, bon et bien là c’est l’Amerique d’en bas avec les scènes de prières et tout ce qui va avec.

    CBS avait fait une série sur le baseball il y a 2 ans, c’était nul certes mais il y avait un côté drama qui faisait qu’on pouvait accrocher. Ce n’est pas vraiment le cas ici puisque c’est souvent filmé à la manière d’un docu-réalité puisque des caméras (a l’épaule) suivent l’équipe de football. D’ailleurs les interviews des joueurs en début d’épisode sont à la lumière de la série, on a l’impression d’interviewer une bande de boeufs avec un QI de 12. Au moins, Friday Night Lights ne bouleverse pas les idées reçues !
    En définitive, j’ai tenu une petit quart d’heure mais pas plus car cette série n’apporte vraiment rien. J’ai donc avancé jusqu’aux scènes de football américain qui, il faut le dire, sont bien filmées cette fois-ci avec une bande originale excellente. Toutefois, on est supposé ici regarder ici une série et non un match. Il manque donc un scénario digne de ce nom à la FNL pour tenir la route.
    En résumé, pour les non fans de football américain, passez immédiatement votre chemin. Et pour les fans, regardez un bon match ! Vu que la concurrence que FNL va affronter à la rentrée (NCIS, Dancing with the stars et House), je ne donne pas cher de la série. Allez, on va aller jusqu’a 6 épisodes dont 3 non diffusés !

  • 1.05

    Le meilleur épisode de la saison, pour l’instant !
    Pas étonnant que NBC l’ait programmé de façon exceptionnelle un lundi soir à la suite de Heroes pour donner à la série une meilleure exposition ! Je n’imagine pas que l’on puisse le voir sans devenir accro !

    Quand l’équipe entière rend visite à Jason et que Tim - c’est le gars aux cheveux longs - salue enfin son meilleur ami, ça été l’ouverture des vannes pour moi !
    Ca a continué quand Sorensen et Coach Taylor réussissent à mener les Panthers à la victoire !
    Et in your face Voodoo !!

    L’intrigue centrée sur Tyra est aussi déchirante que la dernière scène de l’épisode (qui met en sursis cette première victoire - Damn you, Voodoo !).
    Evidemment, le petit gars si adorable de L.A. n’était pas si adorable... Si j’ai pu être dupe, on se rend bien compte que Tyra ne l’a jamais été ! Elle est la seule des ados pour l’instant qui n’est pas dans le déni - elle habite bien une petite ville crasse aux esprits étriqués - mais sa résignation ne la rend pas plus libre pour autant !
    Cette série est magnifique !

    • 1.05

      Le meilleur épisode de la saison, pour l’instant !

      Le 1.04 avait fini de me convaincre que la série était géniale, mais alors le 1.05 a dépassé toutes mes espérances !! Je n’ai jamais été autant électrisée devant une série je crois. La reconstitution des matchs y est pour beaucoup oui, grâce à la pression qui y règne, mais surtout, ce sont les personnages et l’écriture qui permettent à cette série d’être un vrai bijou.

      Quand l’équipe entière rend visite à Jason et que Tim - c’est le gars aux cheveux longs - salue enfin son meilleur ami, ça été l’ouverture des vannes pour moi !

      M’en parle pas ! Le pire, c’est qu’on ne le voit pas venir du tout, et que ça nous prend par surprise. Dans une autre série, la visite à l’hôpital avant le match aurait été gnan gnan, pleine de bons sentiments et de violons. Dans FNL, on a une scène sans dialogue, sobre, et une rencontre qu’on attendait plus entre deux meilleurs amis. Les larmes quasi immédiates du mec aux cheveux longs (j’ai encore du mal à retenir à les prénoms :p) étaient si sincères et si abruptes qu’on ne peut qu’immédiatement être chamboulé. Pas besoin d’explication, tout est dit dans une scène, et c’est souvent ainsi dans la série.

      Non, FNL n’est pas une série sur le football, comme Deadwood n’est pas un western ou Six Feet Under une série sur des croquemorts. FNL est cent fois plus cela. C’est une série sur une petite ville du Texas, avec des gens pauvre qui ont tout perdu à cause du pétrole, des notables qui s’en sortent bien et qui règnent, des ados qui tentent de donner un sens à leur vie et des adultes qui essayent d’être des parents et des modèles.

      Tous les personnages sont excellemment bien écrits, comme le quaterback blessé qui aurait pu être un Dean 2.0, "trop bon trop con", mais qui devient au fil des épisodes un personnage fort, émouvant, et vrai. Même la cheerleader, Lila, est intéressante, dans son dévouement pour son petit ami et sa volonté de laisser sa vie de côté pour lui. Evidemment, le quaterback de remplacement, Sorensen, est formidable, et impossible à détester. Obligé de s’occuper de sa grand-mère pendant que son père se bat en Irak, on ne sombre pas encore dans du Zola, mais on ne s’apitoie pas sur lui pour autant. Il fait front, et avec le sourire. Et les scénaristes ne s’attardent pas sur une "vie bien trop dure et bien trop injuste pour lui" mais plutôt sur son personnage, timide, gauche, indécis mais profondément humain.

      Evidemment, le petit gars si adorable de L.A. n’était pas si adorable... Si j’ai pu être dupe, on se rend bien compte que Tyra ne l’a jamais été ! Elle est la seule des ados pour l’instant qui n’est pas dans le déni - elle habite bien une petite ville crasse aux esprits étriqués - mais sa résignation ne la rend pas plus libre pour autant !

      Ca faisait trop longtemps que je n’avais vu une adolescente aussi bien "captée" et bien écrite.

      Cette série est magnifique !

      Elle l’est ! Absolument !

      Et qui eût cru que Kyle Chandler fut un excellent acteur ? (c’est français seulement ce que je dis ? :p)

  • 1.08

    Un épisode qui me donne envie de revoir "Murderball", ce documentaire sur le sport que pratique Jason à l’hôpital. D’ailleurs l’un des acteurs (celui sans bras ni jambe) joue vraiment à ce sport et fait partie de la team USA, on le voit dans le documentaire. C’était juste pour dire ^^.

    Bref, entre le discours fabuleux du coach à sa fille (très simple mais qui va droit au but :p), la vie sexuelle mouvementée de Tim (mais tellement réaliste), son frère qui sait pas se conduire en adulte mais qui essaye, Jason qui règle ses comptes (je prenais l’acteur pour un Jared Padalecki bis, en fait il est bien meilleur), et l’intrigue de Smash (dont je ne suis pas super fan) qui réussit à prendre de la profondeur, on a un excellent épisode.

    Et le tout sans voir un match et seulement cinq secondes d’un entraînement !

    • 1.08

      Et le tout sans voir un match et seulement cinq secondes d’un entraînement !

      Rhoo, j’adore les épisodes avec les matchs, et pas uniquement parce qu’ils me font pleurer comme une petite fille devant Rémi Sans Famille !

      et l’intrigue de Smash (dont je ne suis pas super fan) qui réussit à prendre de la profondeur

      Effectivement, merci la conclusion de l’épisode : utiliser l’argent récolté à l’église par sa mère pour se doper, c’est une belle illustration de l’esprit sportif !

  • 1x08

    Tout est bon dans cette série et dans cet épisode. Les seules choses qui pourraient me faire douter de la qualité de la suite de la série, c’est la femme du coach, qui devient un peu trop facilement la copine à qui tout le monde raconte tout, grâce à sa place de guidance counselor (d’ailleurs j’ai trouvé le conseil qu’elle donne à Lyla plutôt mauvais, mais ce n’est pas forcément un mauvais point pour la série). L’autre "facilité", dirais-je, c’est le fait que Jason retrouve si facilement un palliatif au football grâce à ce sport. J’ose espérer qu’on aura encore droit à des scènes de doute, de déprime, et pas seulement des histoires de coeur qui, malgré le fait qu’elles soient très bonnes, ne représentent pas forcément la plus grande partie des difficultés en jeu dans le cas d’un accident comme celui ci.

    Sinon c’est du 20/20, Smash prend de la profondeur, la storyline de Tim et son frère était très bonne, et pouvoir apprécier les épisodes sans match de football m’oblige à reconnaître que ce n’est vraiment pas la raison pour laquelle il faut regarder la série, contrairement à l’idée que j’avais pu m’en faire avant de commencer à la visionner. Ah et un autre petit point par rapport au football, la victoire de l’épisode 7 m’a un peu déçu. J’espère qu’on aura encore le droit à quelques défaites et mise en doute de la qualité du coach. (Oui, j’aime quand tout va mal, j’avoue...)

    La suite !

    • L’autre "facilité", dirais-je, c’est le fait que Jason retrouve si facilement un palliatif au football grâce à ce sport.

      Un palliatif au football, certes, mais aussi un exhutoire et une nouvelle occasion de se bousiller la santé... Il met sa rééducation en danger en jouant au "murder ball" si tôt après l’accident ! J’ai trouvé ce match aussi stressant que les précédents, parce qu’une fois de plus la performance et le résultat n’étaient pas tout ! Quand Jason est ejecté de son fauteuil, j’ai pensé que c’était fini pour de bon, qu’il allait être tétraplégique !

      J’ose espérer qu’on aura encore droit à des scènes de doute, de déprime

      Pour moi, le fait qu’il participe au match montre à quel point il ne supporte pas sa situation. Ses soupçons à propos de la relation Lyla-le-gars-aux-cheveux-longs y sont pour beaucoup. Sous prétexte de retrouver les sensations liées à la compétition sportive, il adopte une conduite suicidaire.

      c’est la femme du coach, qui devient un peu trop facilement la copine à qui tout le monde raconte tout, grâce à sa place de guidance counselor

      Je trouve plutôt assez fin qu’un seul personnage soit au centre des repercussions extra-sportives liées au culte de l’équipe de foot et qu’il soit la personne la plus proche du grand manitou ! Mais je suis d’accord avec toi, il ne faudrait que Connie Britten finisse trop souvent assise dans les escaliers avec les lycéens pour leur prodiguer sa bonne parole. Quoique, je suis sûr que les gars de FNL peuvent réussir à en faire mes passages préférés, ils ont bien réussi à me rendre accro aux scènes de foot US !

    • Mais je suis d’accord avec toi, il ne faudrait que Connie Britten finisse trop souvent assise dans les escaliers avec les lycéens pour leur prodiguer sa bonne parole

      Et encore, la bonne parole... Globalement elle conseille à Lila de continuer à mentir à son copain paraplégique...

      Moi, je l’adore ce personnage de la femme du coach. Elle est celle qui, comme le dit Jéjé, voit les vraies répercussions liées au culte de cette équipe. Elle a épousé un ancien joueur de foot, et pourtant, elle n’est ni une cheerleader stupide, ni une femme obsédée par son statut. Elle est juste géniale.

      En fait, faut pas m’écouter, je suis 100% subjective, parce qu’au fond, I’m dying to be her !. Donc tout ce que je dis ne peut être pris en compte :p.

    • 1.09

      Et encore un épisode formidable !

      Moi, je l’adore ce personnage de la femme du coach. [...] Elle est juste géniale.

      C’est pas aujourd’hui qu’on va pouvoir dire le contraire ! Même quand elle est dans la foule des spectateurs, elle parvient à être fabuleuse : Smash se fait bloquer sur le terrain, c’est la panique dans la tribune, sauf que elle, elle sourit, amusée. J’aime beaucoup son petit côté décallé.
      Et j’ai adoré la tronche qu’elle fait quand Saracen embrasse sa fille à la fin du match !

      Encore un peu de facilités, avec Mrs Taylor qui ajoute une ligne à son CV de médiatrice en faisant oeuvre de diplomatie avec la ville adverse. Il faudrait quand même éviter qu’elle se retrouve dans toutes les intrigues.

      Certes, mais quand c’est aussi bien fait, ça ne me gêne pas du tout ! Surtout qu’une fois de plus, elle se retrouve embarquée dans une histoire de football alors qu’elle n’a rien demandé. Comme dans l’épisode où elle avait du organiser en deux jours la fête de l’année chez elle (à l’occasion du derby local).

      Le match dans cet épisode était en plus incroyablement court, se contentait de ces deux phases, et j’ai mis un peu de temps à réaliser que c’était la fin du match (surtout avec un score si faible et si peu de phases de jeu).

      J’ai aussi trouvé le match trop court (ça m’aurait pas dérangé que l’épisode dure dix minutes de plus...) Surtout que je n’arrive pas encore à lire les panneaux annonçant le score. Je n’avais donc aucune idée que l’action finale permettrait aux Panthers d’être victorieux.
      A propos de son aspect métaphorique, je te trouve bien sévère : ce qui se passe en dehors du terrain a bien sûr une influence sur leur déroulement mais on est quand même loin de la démonstration lourdaude !

      Ils ne sont pas des amis proches de Tim ni de Jason, et ils agissaient vraiment pour défendre la fierté de l’ex QB1

      Ils agissaient aussi parce qu’ils ont un instinct grégaire bovin et des valeurs bien traditionnelles (dans le mauvais sens du terme). Pareil pour les filles qui attaquent Lyla sur le terrain. C’est l’horreur du conformisme de la petite ville. La scène du castagnage de la bagnole était assez angoissante, essentiellement à cause de l’attitude résignée du gars-aux-cheveux-longs (faudrait que je retienne son nom, quand même... Hmm, c’est Tim, c’est ça ?) En ne réagissant pas, marque-t-il une attitude repantante pour ses actes supposés "déviants" ou bien est-il lassé par la prévisibilité des réactions dans la ville ?

      Le rendez-vous Saracen-Miss Taylor était grandiose. Rien de bien original, mais le coup de "you want a bier, son ?" et la chanson à la grand mère sont parmi mes moments favoris de l’épisode.

      Enfin, je suis ravi que la série n’élude pas les questions "raciales". Elles approfondissent l’intrigue, au premier abord obligée, liée au dopage. Ce n’est pas anodin que ce soit celle de Smash.

      Pour info : un autre épisode la semaine prochaine, et apparemment, FNL revient le 10 janvier, le mercredi, pour 8 semaines d’inédits d’affilée !

    • 1.09

      J’ai aussi regretté que le match soit si court, mais comme j’ai aimé tout le reste, je vais pas faire la fine bouche.

      Je n’aimais pas du tout le père de Lila, mais je l’ai trouvé formidable dans cet épisode (enfin envers sa fille) ! Tout comme la mère de Smash ! J’aurais même aimé que la storyline du retour à la ville où ils ont vécu dure plus longtemps... C’était un peu court et méritait plus de développement. Toutes les scènes entre la mère et le fils, Smash et sa soeur, sont formidables. La scène au cimetière est très émouvante. Je ne m’attendais pas à voir dans la ville adverse une majorité de noirs en fait ! Du coup, je comprends mieux, avec le recul, la tête de Tamy lorsque le père Garrity lui sort un très limite "those people" en parlant de ces adversaires !

      mais le coup de "you want a beer, son ?" et la chanson à la grand mère sont parmi mes moments favoris de l’épisode.

      Moi pareil ! La façon dont Kyle Chandler sort son "I was kidding" est génial ^^. La chanson à la grand-mère est fabuleuse...

      Comme le dit Gizz, le meilleur ami de Matt prend un peu plus d’ampleur dans cet épisode et c’est bien ! Il a un vrai rôle de meilleur ami. Il semble savoir qui est le vrai Matt et ne perd pas de vue qu’il faut le préserver contre le foot d’une certaine façon.

      Mais de toute façon, tous les personnages sont excellents dans FNL. Même les personnages les plus secondaires apportent quelque chose au show...

      Pour info : un autre épisode la semaine prochaine, et apparemment, FNL revient le 10 janvier, le mercredi, pour 8 semaines d’inédits d’affilée !

      Excellentes nouvelles !

  • 1x09

    Encore plutôt bon. Moins prenant que l’épisode précédent mais pas mal de bonnes choses.

    Je vais commencer par les points négatifs, pour pouvoir finir par le meilleur.

    Encore un peu de facilités, avec Mrs Taylor qui ajoute une ligne à son CV de médiatrice en faisant oeuvre de diplomatie avec la ville adverse. Il faudrait quand même éviter qu’elle se retrouve dans toutes les intrigues. (Mais elle ne s’est pas mêlée des histoires de Lyla dans cet épisode et donne un excellent conseil à son père, ça c’était très bien.)
    Non, le plus gros point noir (c’est relatif, c’est un détail, je cherche juste la petite bête), je dirais que c’est la physionomie des matches. C’est vrai qu’on peut le voir comme une métaphore des relations hors-terrain des joueurs de l’équipe, mais le côté "si on s’engueule on perd, dès qu’on se réconcilie, on les écrase" est un peu réducteur. Le match dans cet épisode était en plus incroyablement court, se contentait de ces deux phases, et j’ai mis un peu de temps à réaliser que c’était la fin du match (surtout avec un score si faible et si peu de phases de jeu).

    Voilà pour les critiques, passons au meilleur.

    Lyla et Tim affrontent les conséquences publiques de leurs agissements. J’ai vraiment eu peur pour Tim quand il se gare face à ses coéquipiers qui viennent de décider de changer de sport en se mettant au baseball. (la réconciliation finale est un peu facile, mais il était difficile de concevoir que ses camarades s’acharnent longtemps à cause d’un acte relativement peu important pour eux. Ils ne sont pas des amis proches de Tim ni de Jason, et ils agissaient vraiment pour défendre la fierté de l’ex QB1). Lyla fait quant à elle face à la cruauté de la meute féminine de la tribune, sans doute plus jalouses de son poste de cheerleader qu’horrifiées par sa conduite. Toujours est-il que l’effet est le même, et que cette très bonne scène permet à Papa Garrity de comprendre un tant soit peu ce qui se passe, et de montrer qu’il est là pour sa fille, quitte à rater le match.

    Tyra montre qu’elle a quand même quelques principes et qu’elle accepte mieux le fait que Tim l’ait larguée que celui qu’il couche avec la copine de son meilleur ami. Elle se rapproche du coup de Jason, et boivent pour fêter leur statut d’outcast, condamnés à demeurer seuls les soirs de match à l’extérieur.

    Du côté du QB1, c’est le chaud et le froid tout au long de l’épisode. La scène chez les Taylor est hilarante. Les parents protecteurs effarés de voir leur fille sortir avec une tenue des plus plaisantes capable de faire perdre ses moyens à n’importe quel homme normalement constitué, la question piège du coach...
    Julie commence à se dire qu’effectivement le statut de joueur de l’équipe de foot peut monter à la tête en voyant Matt tenter d’user de sa position pour voir Eragon. (ce n’est pas la première chose qui me viendrait à l’esprit si j’avais ce pouvoir, j’avoue) Et la séquence suivante qui rassure sur deux choses : Quand on chante faux, on peut quand même jouer dans une bonne série, et par la même occasion plaire aux filles.
    Je me réjouis aussi du personnage de Landry, dans cet épisode, qui, malgré le fait qu’il n’articule pas énormément et qu’il est difficile à comprendre (pas étonnant que le coach écorche son nom), joue bien son rôle de meilleur ami, avec une succession de bons et de mauvais conseils pour Matt, qui en a bien besoin.
    Et son intrigue termine par un beau baiser final au milieu des exclamations, qui n’a malheureusement pas les conséquences qu’on espérait et que, avouons-le, nous attendions pas.
    Toujours au sujet de Saracen, il ne semble pas bien parti pour assumer son statut de leader de l’équipe. Quand on lui conseille de parler à Riggins, il préfère rester en dehors des histoires personnelles des joueurs, ce qui a peut-être mené au lynchage automobile plus loin dans l’épisode. Et qui pourrait avoir d’autres conséquences plus graves plus tard, et remettre en cause sa place de QB1, malgré ses qualités techniques indéniables.

    Pour finir, Smash. Si ses problèmes de dopage en prévision ne sont qu’en arrière plan, du moins au niveau de l’intérêt, le retour dans sa ville natale et les tensions qui en découlent avec sa mère au sujet de sa propension à faire comme si son père n’avait jamais existé sont intéressantes. Je regrette un peu que cela se règle si facilement ("ton père n’était pas un homme parfait, mais tu as hérité de tous ses bons côtés"). Etant donné le tempérament de Smash, on aurait pu supposer qu’il ait plus de mal à accepter le comportement de sa mère, quitte à nier ce qu’elle peut dire sur son défunt mari. Il aurait été interessant de poursuivre dans cette voie un peu plus longtemps, je pense.
    Et le fameux Silverio, joueur star de l’équipe de Gatling, qu’on pensait découvrir un peu, dans quelques scènes avec Smash, n’était en fait qu’un figurant, c’est dommage.

    Voilà à propos de cet épisode. Ne vous fiez pas à la quantité de reproches surpassant celle des commentaires enthousiastes, il est toujours plus facile de critiquer. Friday Night Lights est toujours une série de haut niveau.

  • S01e01-s01e10

    Suite aux avis dithyrambiques de la rédaction au sujet de Friday Night Lights et profitant du calme légendaire lors de la période de Noël, je me suis décidé à donner sa chance à la série. Il faut dire que le sujet au premier abord ne semblait pas passionnant.

    Mais effectivement, plus qu’une série sur cet étrange sport qu’est le football US, il s’agit bien d’une chronique sur une petite ville.
    Chronique qui pourrait être à la limite du désespérant. En effet, même si, plus les épisodes avancent, on se prend à aimer les personnages, voir même tous les personnages ce qui est quand même rare, il n’empêche que leur vie semble assez pathétique. Seul le match du vendredi leur apporte du bonheur. Pour les joueurs c’est un tremplin pour l’avenir, pour les parents un moyen de retrouvé la gloire d’antan lorsque eux même étaient joueurs ou cheerleaders, et quand on reste de la population c’est le meilleur moyen pour oublier pendant plus d’une heure la vie dans ce troue perdu du Texas.

    Et pourtant, malgré tout ça, on est touchés par ce qui se déroule devant nos yeux. Les personnages sonnent juste, il n’y a pas de rajout dramatique pour apitoyer le téléspectateur lambda en manque de sensation forte, (on n’est pas dans One Tree Hill par exemple) et on sent bien que l’ex Dr Billy Kronk (j’ai été agréablement surpris de le voir à la tête de ce projet) et les autres producteurs exécutifs savent ou ils vont.

    Bien content donc de mettre laisser tenté moi.

  • 1.11

    Le père de Matt est de retour d’Irak ; Jason et Lyla essayent de reconstruire leur relation ; Tim et Landry forment un couple inattendu mais très drôle et plutôt touchant.

    Un épisode dans la lignée des précédents : simplement excellent.
    Matt prend de l’ampleur avec cet épisode ; il n’est pas aussi résigné sur son sort qu’il le montrait jusque là.

    Tim se révèle comme le talent comique de FNL quand même ^^. Depuis son "i’m looking forward to it" jusqu’au sourire en coin au concert de Landry, il prouve qu’il n’est pas seulement le mec torturé aux cheveux gras.

    J’ai un faible pour le groupe de Landry, il m’a rappelé plein de souvenirs du lycée ^^.

    • 1.11

      J’ai été un peu déboussolée par Jason et Lyla, j’ai eu l’impression d’avoir loupé un épisode. Je me souvenais parfaitement de leur déchirante conversation précédente, où Jason lui avoue qu’il aimerait lui pardonner mais a du mal, mais leur attitude "copinage" quand ils se croisent pour finir deux minutes après l’un sur l’autre, cela m’a paru une transition un peu abrupte. En plus Lyla se balade avec des amies alors que l’épisode d’avant elle était la catin du coin.
      Cela n’empêche que les problèmes sexuels et amoureux de Jason étaient remarquablement traités, comme d’hab.

      Tim se révèle comme le talent comique de FNL quand même ^^. Depuis son "i’m looking forward to it" jusqu’au sourire en coin au concert de Landry, il prouve qu’il n’est pas seulement le mec torturé aux cheveux gras.

      Les rebelles deviennent drôles maintenant, on vit une année bizarre. ^^ Toutes les scènes du duo m’ont tordue de rire, alors que trente secondes avant je pleurais devant les Saracen. Landry était déjà excellent dans son décalage, mais là il fait des étincelles. La façon dont il dit son "oh my god, you can’t read", je le mets au même niveau que le "I was joking !" du coach ! Et son groupe... mon dieu. J’espère qu’ils feront encore de nombreux concerts et que les scénaristes continueront à ne pas en faire uniquement le mec qui tient la chandelle pour Julie et Matt.

      Matt prend de l’ampleur avec cet épisode ; il n’est pas aussi résigné sur son sort qu’il le montrait jusque là.

      Il montre clairement une sacrée force de caractère. J’ai été assez étonnée de le voir si énervé, jusqu’à carrément envoyer balader sa toute récente petite-amie. Je ne le croyais pas capable de cela, du moins pas avant un moment. Je suis ravie de lui découvrir des tripes, même si j’adore le fait qu’il soit le petit ange de la bande.

      Sinon, Tyra m’a un peu manquée mais pas Smash, ses histoires de drogue m’ennuient assez. Et c’est vrai que Tami se retrouve un peu trop souvent "comme par hasard" la confidente de tout le monde. Jason qui vient lui parler de ses érections, sérieusement...

  • 1x11

    "That’s some intense, man... Very intense..."

    Mais jusqu’où s’arrêteront-ils ? Ce fut encore un bien bel épisode, sans storyline faible et avec des moments très forts.

    Côté Saracen, le repas en famille à lui tout seul mériterait un Emmy, un Oscar ou 5 étoiles sur YouTube... Le bruit de la cuillère sur l’assiette est dérangeant au possible et rend bien compte du malaise que créé la maladie de la grand mère pour les deux hommes de la famille. Matt a beau toujours être très attentionné et faire preuve d’un comportement admirable envers sa grand-mère, il est toujours désarmé et honteux dès qu’il doit partager ces moments de faiblesse avec quelqu’un.
    Le petit speech du père sur la présence de l’armée américaine en Irak était bon. Il sonne faux (ou alors c’est moi qui ait vraiment du mal à croire à ces élans de bonté) comme il faut mais il a le mérite de retranscrire les arguments des partisans de "l’intervention".

    Pour Tim et Landry, c’était très bon aussi. L’association forcée (grâce à Connie Britton) mène à de bons moments de comédie et sert les deux personnages en rendant Riggins beaucoup plus sympatique et en donnant une place un peu plus importante à Landry.

    J’ai été un peu déboussolée par Jason et Lyla, j’ai eu l’impression d’avoir loupé un épisode.

    Ca ne m’avait pas choqué en voyant l’épisode, mais maintenant que tu le soulignes, c’est vrai que la réconciliation est un peu rapide. Mais Jason rappelle bien à Mrs Taylor (encore elle, décidemment) qu’il ne lui a pas encore pardonné. En tout cas j’ai souri au passage de la VHS (la scène en elle même n’étais pas vraiment comique mais ça me fait toujours rire de revoir une VHS).

    Sinon on revoit enfin un peu de jeu ! C’était encore très bien réalisé (avec une passe pleine de suspense où je me suis levé de ma chaise sans m’en apercevoir). Les déboires de Matt n’auront sans doute pas énormément de conséquences pour les prochains matches, et sont plutôt prétexte à accentuer son irritation et à favoriser sa dispute avec son père à la sortie du stade.

    Pour tout le reste c’était bon aussi, le coach Taylor qui avoue que sa femme a toujours raison, Julie qui aide Matt comme elle peut... Mais je continue à soutenir qu’à force de tout faire tourner autour de Connie Britton, le tout va finir par devenir bancal et qu’on ne pourra que la détester...

  • S01e11

    Pas beaucoup de surprise à dire que c’était un bon épisode.
    Il m’a bien semblé que la dernière image de l’épisode précédent semblait relancer Lyla en tant que personne intégré socialement. Son retour dans l’équipe des cheerleaders, a donc du remettre tout à zéros. Néanmoins, je regrette la fin du triangle avec Tim. Lyla qui tente coûte que coûte d’être la petite amie parfaite pour Jason, bof ! Au moins quand elle luttée entre ses sentiments de Mère Theresa pour Jason et de jeune fille normale avec Tim, ça lui donner plus de relief.

    Mais le véritable plus de m’épisode c’est Landry. Celui-ci n’était que le faire valoir de Matt jusqu’à présent. Le mettre avec Tim a au moins l’intérêt de le sortir de son cadre trop étroit. Maintenant, faut que Landry sois encore plus présent pour la suite. Non, parce que j’aime bien Matt, et cet épisode largement centré sur lui étoffe encore le personnage, mais faut vraiment que Landry quitte ses basques. Et puis le voir beugler dans son micro m’a rappelé les séances de pseudo concert sur une scène imaginaire en écoutant Panthera ou Motorhead. Période Hard Rock heureusement révolue.

  • 1.12

    Tyra est fabuleuse. Matt est fabuleux. Même Smash est génial (en étant égal à lui-même en plus).

    La scène de poursuite au club de golf (ou au tisonnier, j’ai pas bien vu) est aussi violente qu’elle est absurde et en même temps réaliste. C’est une scène qui, comme beaucoup d’autres dans la série, vous prend aux tripes.

    La maturité ahurissante des adolescents dans cet épisode aurait pu m’énerver un peu dans une autre série. Des ados qui se comportent et qui parlent comme Matt ou comme Tyra, autant le dire, ça n’existe pas. Sauf que dans FNL, on marche complètement. Oui, Matt est plus mature que son père et oui, Tyra l’est beaucoup plus que sa mère. Ca n’a rien d’étonnant, rien d’exagéré, ça correspond parfaitement aux personnages.

    Quant à Smash... Jamais un personnage à l’attitude aussi antipathique aura été aussi aimable et attachant. Une vraie réussite !

    Je ne sais pas comment Tyra a pu refuser la proposition de Tim ! Son regard seul aurait du suffire à la faire craquer !! C’est pas possible autrement !!

  • 1x12

    Je rejoins Feyrtys. Surtout au sujet de Smash. Son speech final était superbe, on a beau être en désaccord total avec sa façon de penser, on ne peut que le comprendre. Matt est toujours aussi attachant.

    Là où j’ai un peu plus de mal, c’est encore avec Tyra. J’ai vraiment du mal à aimer son personnage. Il a beau avoir évolué et s’être étoffé depuis le début de la série, les personnages à part, en dehors du groupe et avec un dédain des autres sont, je trouve, les moins intéressants. D’une part parce que ce sont les plus faciles à écrire, et qu’ils sont bien souvent un moyen un peu facile de faire l’analyse et la critique du reste des personnages à la place du spectateur, et d’autre part parce que tout le monde les aime et que j’ai l’esprit de contradiction.

    En bonus, une idée de drinking game pour vos soirées TV :
    Envoyez-vous un shot dès que Connie Britton a raison. Mal de crâne garanti le lendemain matin.

  • S01e12

    Je ne sais pas comment Tyra a pu refuser la proposition de Tim ! Son regard seul aurait du suffire à la faire craquer !! C’est pas possible autrement !!

    Tyra est sans doute mon personnage préféré. Non pas parce qu’il y a une facilité d’écriture mais bien parce que justement il y a une certaine difficulté à faire évoluer correctement des personnages hors norme au milieu des autres.
    Depuis le début, Tyra sait bien qu’il y ait peut de chance pour qu’aucun d’entre eux ne s’arrache de Dillon. Même le foot n’est pas une porte de sortie obligatoire, les impondérables, comme pour Jason, sont assez nombreux. Elle a espérait que son aventure d’un soir lui offre la possibilité de fuir mais elle est toujours là, à voir son avenir comme sa mère. Je comprends alors totalement son refus à Tim, elle a vu trop souvent sa mère donner une seconde chance à des hommes pour vouloir faire la même erreur. Elle en fait peut-être une mais au moins elle reste fidèle à sa conduite.

    Oui, Matt est plus mature que son père

    Je ne suis pas sur par contre que Matt soit plus mature que son père. Ce dernier est un militaire, et à priori, pas un officier on peut donc imaginer que toute sa vie il n’a eu qu’a obéire à des ordres. Et d’un coup il se retrouve dans une situation ou il n’y a plus d’ordre à exécuter, ou le cadre bien défini de l’armée n’existe plus, on peut comprendre qu’il soit complètement perdu. Ce qui est sur est que Matt est beaucoup plus autonome et flexible que son père et qu’il aura plus de chance de s’intégré que lui.

  • 1x13

    Cela surprend-il quelqu’un si je dis que j’ai aimé cet épisode ?

    Tout était bon. Même Smash et Tyra, les deux personnages avec lesquels j’ai le plus de mal. Pour Smash, j’ose espérer que comme l’a dit le coach, il lui faudra du temps pour regagner sa confiance et que ce problème ne va pas être expédié rapidement. Il faudra aussi certainement faire face à l’incompréhension grandissante de toute la ville qui voit Smash sur la touche (un peu mise de côté par la victoire dans le dernier match qualificatif pour les play-offs). Tyra et sa mère ont une bonne intrigue, et j’ai bon espoir pour les épisodes futurs. Dès que Papa Garrity sourit en voyant la mère de Tyra, j’ai tout de suite eu un flash "Tyra et Lila vont être belles soeurs !" de bons moments en perspectives...

    Pour Matt, c’était encore bon. Son père est parti, son apparition était très bonne, il est resté le temps qu’il fallait, et Matt doit de nouveau assumer d’être l’homme de la maison. Il commence aussi à prendre de l’assurance dans l’équipe, et gagne peu à peu le respect du coach.

    Du côté des Taylor, Connie Britton est au sommet de sa forme, son personne est plus attachant que jamais, et le couple a une excellente alchimie. Le coach est dans ses mauvais jours, torturé par le sort qu’il doit réserver à Smash, et tout le monde en pâtit. Sa tendance à l’homophobie est bien gérée, d’abord dans les regards gênés vers le couple lesbien, puis dans le discours à sa femme. Il aurait été malvenu de ne voir que des personnages tolérants dans un Etat comme le Texas, et d’avoir osé mettre le personnage central dans cette position est plutôt agréable.

    Donc du bon FNL, avec plein de Connie Britton dedans, et un peu de football qui fait plaisir. Miam.

    • Tout était bon.

      Un peu que c’était bon. C’était excellent même.

      Du côté des Taylor, Connie Britton est au sommet de sa forme, son personne est plus attachant que jamais, et le couple a une excellente alchimie.

      Le couple fonctionne très très bien effectivement (quoi, j’ai aucun argument supplémentaire, et alors ? il faut le dire, les Taylor sont fantastiques !).

      Le coach est dans ses mauvais jours, torturé par le sort qu’il doit réserver à Smash, et tout le monde en pâtit. Sa tendance à l’homophobie est bien gérée, d’abord dans les regards gênés vers le couple lesbien, puis dans le discours à sa femme. Il aurait été malvenu de ne voir que des personnages tolérants dans un Etat comme le Texas, et d’avoir osé mettre le personnage central dans cette position est plutôt agréable.

      J’ai trouvé ça très intelligent, et en plus, ça rappelle un peu à quoi ça ressemble de vivre dans une petite ville du Texas ^^.

      Ce qui n’aide pas, c’est que le personnage du maire est certainement celui qui fait le plus peur :p. En plus, je ne peux pas m’empêcher qu’elle a un gros crush sur Connie. On ne peut pas lui en vouloir, Connie est fantastique...

      Quant à Buddy Garrity et la mère de Tyra... Ca sent les complications à plein nez, mais c’était plutôt bien amené. J’ai bien cru que la mère de Tyra ferait marche arrière et qu’on se retrouverait dans la même situation que dans l’épisode précédent. Mais non, la série joue bien avec les "marche avant, marche arrière" de ses personnages. On y croit et on les suit.

      C’est ainsi que j’ai été surprise par la demande en mariage de Jason... Et par l’assurance que Matt développe.

      Le match était très bien lui aussi, court, mais efficace. (Mais je pensais que les Panthers étaient déjà qualifiés pour les play-offs moi ! Que c’était à ça que servait le tirage au sort de la semaine dernière !)

      Du très bon FNL, avec tout ce qu’il faut dedans !!

  • S01e13

    C’est ainsi que j’ai été surprise par la demande en mariage de Jason...

    Moi aussi. Mais je ne suis pas sur que ce soit dans le bon sens. Même si j’ai confiance dans la futur résolution de cette intrigue par la Katims team, j’ai trouvé ça de trop. Le fais que ce soit mon troisième mariage télévisuel de la journée explique sans doute cela, c’est la saison aux USA ?
    Si je ne nie pas les sentiments de Jason et Lyla, ceux-ci ont été longuement exposés dans les épisodes précédents, j’avoue que le mariage est une idée que je m’attendais plus à trouver dans Grey’s anatomy ou the oc (et qui ont bien eu lieu) Néanmoins j’attends la suite avec impatience.

    Sinon c’était encore une fois très bien. C’est dingue quand même pas un seul boulet dans cette série, on peut trouver certain personnage agaçant, comme Smash, mais jamais leur action ne franchit le pas fatidique qui les rendrait ridicule à nos yeux.

  • Comme indiqué dans les règles d’usage, merci de ne pas faire de pub pour votre site.
  • S01e14

    Tient j’avais oublié de parler de cet épisode 14 et de la fantastique Tyra.
    Non vraiment Tyra est formidable. C’est presque le pendant pour les ados de Tami "Connie" Taylor. Celle qui a le plus de clairvoyance à comprendre ce qui se passe autour d’elle et à prodiguer de bon conseil. Et la voir avec Julie est vraiment une idée sympa.
    Il faut dire que Julie comprend enfin, comme Matt d’ailleurs, ce qu’est être une star du foot dans une petite ville qui ne vibre que pour ça. Sa mère l’avait déjà mise en garde, mais quel adolescent écoute vraiment ces parents. (au malheur des miens, pas moi en tout cas)
    Le reste de l’épisode était très bien aussi, que ce soit coach Taylor qui redonne sa confiance à Smash ou Tim qui retrouve Popa... Mais je n’avis d’yeux que pour Tyra...

  • S01e15

    J’aime bien les grèves, surtout quand ça permet de voir un très bon épisode.
    Dans la description d’une petite ville et le destin d’une partie de ses habitants, la série est déjà très bonne. Mais quand elle arrive à parler de racisme de cette manière c’est encore mieux. Surtout que l’intensité ne fait que monter durant tout l’épisode par finir avec Smash menant la révolte des joueurs de couleurs.

    En plus l’épisode arrive à trouver un véritable équilibre entre le drame et l’humour. Le match de foot des cheerleadears, coaché par Tim et Matt, auquel Tyra et Julie on du participé pour avoir sécher les cours, nous permet de sourire plus que de raison devant : Landry faisant l’arbitre. Tim qui joue son rôle à fond. Matt complètement largué. Tyra avec l’œil du tigre (Tyra I love you !). Et Julie qui se reconnecte avec son père.

    La bombe Buddy Garrity-Angela Colette est amorcée quand ça va exploser ça risque de faire mal.
    Connie est géniale. J’avais mal pour Tami qui, pour une foi échoue dans sa médiation. Le Texas est un ancien état confédéré, les traditions doivent avoir la vie dure.

    Aller, seul point noir, dommage que le match de championnat ait été aussi court.

    • 1.15

      Fantastique ! Une scène de fin aussi intense et aussi bien amenée, c’est rare. C’est pourtant facile de partir dans les grands sentiments avec des gestes aussi politiques et aussi forts, mais FNL fait encore dans la subtilité et la complexité. Non, Smash ne devient pas le leader des noirs de Dillon du jour au lendemain, il le devient avec l’aide de sa copine, par l’intermédiaire de sa mère (j’adore sa mère et son discours dans la banque !!), il le devient parce que tout dialogue échoue avec le crétin d’entraîneur.

      En plus l’épisode arrive à trouver un véritable équilibre entre le drame et l’humour. Le match de foot des cheerleadears, coaché par Tim et Matt, auquel Tyra et Julie on du participé pour avoir sécher les cours, nous permet de sourire plus que de raison devant : Landry faisant l’arbitre. Tim qui joue son rôle à fond. Matt complètement largué. Tyra avec l’œil du tigre (Tyra I love you !). Et Julie qui se reconnecte avec son père.

      L’humour dans ce match est un petit bijou. J’ai A-DO-RE Landry qui remet à sa place le Coach Taylor. J’ai A-DO-RE Tyra qui fonce sur Lyla comme une furie. J’ai A-DO-RE que Tim soit à fond dans le jeu et Matt complètement largué. C’était simplement génial. Et drôle. Et touchant. Et un peu sexiste aussi ce pseudo-match de foot où les filles ne se plaquent même pas ^^.

      Aller, seul point noir, dommage que le match de championnat ait été aussi court.

      Je n’ai pas trouvé. Ils ont montré la scène qui a fait démarrer toute la controverse, quand Smash réussit à envoyer une balle gagnante. En fait, j’ai trouvé l’épisode parfaitement monté, sans un seul moment mort, sans une seule scène inutile. Tamy est encore une fois géniale et Connie Britton sait mieux que personne rester à la limite de la crise de larmes, quand la machoîre tremblote et qu’on essaye de toutes ses forces de se contenir :p.

      It’s not easy to change things around here.

      Ca ne l’est pas et cet épisode le montre parfaitement bien.

  • 1.15

    Bravo les enfants ! Et moi j’écris quoi maintenant que vous avez tout dit ?

    Il ne me reste plus qu’à parler de Jason ! Et bien j’adore aussi la façon dont son personnage évolue, c’est à dire très peu, et la route que prend sa relation avec Lyla.
    C’est incroyable, plus les épisodes passent et plus j’adore tous les personnages de la série ! Les principaux comme les secondaires... Absolument tous !

    Tim qui joue son rôle à fond.

    Allez, je ne vais distinguer que lui aujourd’hui ! Rien pour Tami débordée dans le gymnase, ni pour la mère de Smash à la banque, ni pour Tyra dans n’importe quelle situation...

    Aaargh, la semaine prochaine, Jericho revient sur CBS ! J’espère que ça ne va pas trop abimer les scores de FNL !
    J’essaye tant bien que mal de me convaincre qu’une annulation serait ce qui pourrait arriver de mieux à la série, qu’il vaut mieux 22 épisodes géniaux qu’une saison 2 décevante, mais j’arrive pas... Je veux une autre saison !

  • Ca y est je suis désormais à jour dans la série. Et entre l’épisode 9, où le manque de temps m’avais laissé, et cette épisode, je trouve que la série a encore élevé le niveau. J’en profite donc pour un petit commentaire général sur la série

    Mais comme cette série est bien écrite ! Elle réussit à aborder des thèmes sociaux de fond à foison avec force d’intelligence et sans caricature tout en réussissant à nous accrocher viscéralement aux personnages.

    Soyons clair, ce n’est pas une série sur le sport, le foot US, en l’occurence, et l’esprit de compétition. Non, cet aspect là de la série sert juste de toile de fond et de catalyseur d’un véritable drama social relativement inhabituel à la télévision US (où le propos social du pays est plus largement commenté au travail du récit judiciaire).

    Je ne crois pas me tromper en affirmant que la télé US ne nous avait pas offert un drama social de cette envergure depuis 1991 et I’LL FLY AWAY (Les Ailes du Destin). Et encore cette dernière était un regard historique sur une époque récente mais passée, celle de la ségrégation tandis que FRIDAY NIGHT LIGHT est un regard perçant sur la société contemporaine.

    Cette série va devenir culte. D’autant plus si elle se fait annuler au bout d’une saison. La série 2006/2007 IN-CON-TES-TA-BLE-MENT !

    Dommage que les diffuseurs français risquent malheureusement de s’arrêter sur l’aspect foot US pour donner une visibilité médiocre à la série si ce n’est pas inexistante, alors que, pourtant, les sujets qu’elle aborde possèdent une pertinence internationnale (occidentale du moins).

    Vous l’aurez compris, mon plaisir est immense devant chaque épisode de cette série.

  • S01e16

    Et encore un bon épisode.
    Jason s’en va donc faire son stage à fauteuil land. Je me demande à quel point ça va le changer et jusqu’à quand Lyla va le suivre sur la voie qu’il c’est tracé.

    La mère de Smash à la tête sur les épaules. C’est certes moins romantique que la passionaria Weverly mais au moins ça aide à remettre en place les idées : You quitting football to try and make a point about racism in a small Texas town, that ain’t the “Million Man March” You are seventeen and you got a brilliant future ahead of you and I’m not gonna sit here and watch you throw it away trying to teach a lesson to a bunch of fools.

    Est-ce que Tyra est un véritable danger pour Julie, j’avoue que je n’en sais rien. Mais rien que pour continuer à voir Landry faire le beau devant elle, j’espère que Julie et elle vont rester amie. Non mais c’est vrai me voilà shipper de Landryra ou Tyrandry (au choix) !

    La résolution du différent entre Mac et Smash et un peu facile quand même avec le coup des flics. J’espère néanmoins que cela ne va pas évaporer la storyline "racisme" de la série.

    Aller, vite le prochain.

    • 1.16

      Est-ce que Tyra est un véritable danger pour Julie, j’avoue que je n’en sais rien. Mais rien que pour continuer à voir Landry faire le beau devant elle, j’espère que Julie et elle vont rester amie.

      J’espère aussi qu’elles vont le rester, surtout pour continuer à voir Connie et Kyle (oui, je les appelle désormais par leurs prénoms, c’est comme ça, je fais pareil avec Woody et Feyrtys !) en parents gentiment débordée par leur adolescente de fille !
      Thanks for the input !

      La résolution du différent entre Mac et Smash et un peu facile quand même avec le coup des flics.

      Je la trouve plutôt réussie. Peu importe la façon dont Mac essaie de se rattrapper, le mal est fait. Smash et lui trouvent à la fin de l’épisode une sorte de terrain d’entente, mais on peut imaginer que rien ne sera plus comme avant. De plus, cette dernière scène ne règle pas grand chose. Mac explique à Smash, que comme lui, le flic a fait une erreur. A mon sens, le comportement de l’un est plus grave que l’autre, et c’est assez intéressant de voir qu’il met au même niveau sa déclaration et l’action du flic. Cela veut-il dire qu’il a pris conscience de la gravité de ses dires ou bien, au contraire, qu’il trouve au flic l’excuse de l’ignorance et de l’environnement ? On n’en sait rien et c’est ça qui est bon.

      Non mais c’est vrai me voilà shipper de Landryra ou Tyrandry (au choix) !

      Rhaaa, il faudrait trouver la première personne qui s’est amusée à mixer les noms de deux personnages en un seul et la brûler en place publique en guise d’exemple ! Non, je ne me remets toujours pas de LoVe ! On n’a jamais entendu parler de Romuliette, de Tristeult, on ne fait pas référence à Ricklsa quand on parle de Casablanca, et il y a une raison ! C’est tout naze ! (Rien de personnel Hérial ^^)

      vite le prochain.

      On est d’accord... Et c’est dans deux jours !! Hourra !

    • on ne fait pas référence à Ricklsa quand on parle de Casablanca

      Je pense que Rilsa fonctionnerait mieux, si je peux me permettre.

      (Rien de personnel Hérial ^^)

      no offense here. :p

  • S01e17

    Non mais sans dec, pourquoi les profs vous balancent toujours 10 tonnes de devoirs avant les vacances ?
    Enfin bref j’ai trouvé 10 minutes pour voir ce FNL et bon sang que ça valait la peine.

    J’adore le fait que Julie soit celle qui demande à coucher même si c’est pour de mauvaises raisons. C’est clairement elle qui voit le plus loin pour leur couple, même si Matt agit de manière, on va dire, gentleman.
    J’adore le fait que Tami reste une mère plutôt que juste la conseillère d’orientation.
    J’adore que Coach Taylor sois prêt à écraser son QB s’il couche avec sa fille.
    J’adore Angela qui pète un câble et balance Buddy.
    J’adore Buddy qui cherche à être le pote d’Eric Taylor.
    J’adore Tyra, j’aime bien sa relation avec Poor Old Tim, mais je suis pour Team Landry sur son futur couple.
    J’adore quoi.

  • 1.18

    J’ai beaucoup de mal à parler de FNL et de toute façon d’autres décrivent beaucoup mieux les "wow" que je pense à chaque épisode (celui d’avant : pur chef d’oeuvre !).
    Mais j’ai trouvé une chose qui commence à me déplaire, c’est du côté de Jason. On l’éloigne trop de Dillon et des autres personnages, et j’ai de plus en plus de mal à m’intéresser à lui. Il ne lui reste plus que son histoire avec Lyla comme lien avec les autres, et encore cette histoire-là semble plutôt réglée. Heureusement que de son côté à elle, il y a de quoi se mettre sous la dent (j’espère plus d’échanges avec Tyra maintenant qu’elle sait que leurs parents ont eu une liaison, qu’elles en viennent à se détester encore plus ou au contraire à se rapprocher.) Mais Jason, il faut qu’il retourne à Dillon, parle au coach, à son meilleur ami, revoit l’équipe, retourne en cours, je sais pas, mais il faut qu’on continue de nous raconter les conséquences de cet accident sur cette star déchue et sur son entourage. Pas les aventures trop funs de Super Sportif à Roulettes.

    Pour le reste, je n’ai que des bonnes choses à dire sur tout le monde, donc je vais vous épargner les petits coeurs en criant des "jadoooore" en portant mon t-shirt Team Tim.

    Simplement : filez un Emmy à Connie, bon sang !

  • S01e18

    Mais j’ai trouvé une chose qui commence à me déplaire, c’est du côté de Jason. On l’éloigne trop de Dillon et des autres personnages, et j’ai de plus en plus de mal à m’intéresser à lui. Il ne lui reste plus que son histoire avec Lyla comme lien avec les autres, et encore cette histoire-là semble plutôt réglée.

    Il me semble que l’éloignement est nécessaire, comme l’isolement.
    Jason vient de subir un traumatisme majeur qu’aucun de ses proches ne peut comprendre. Qu’il s’éloigne d’eux ne me gène pas. Surtout que ce n’est pas comme si tous les ados étaient collés les uns aux autres depuis le début de saison, ont a plus souvent plusieurs histoires séparées qui finissent par se recoupé pour certaines d’entre-elles. Comme Smash qui n’a aucun contacte avec les autres dans cet épisode.
    Mais pour en revenir sur Jason il doit changer de perspective. C’est d’ailleurs pourquoi j’avais espéré que Lyla et lui se sépare dans cet épisode. Quelle que soit la solidité des liens qui les unissent tous les deux, je n’ai pas l’impression que Lyla comprennent bien ce que traverse Jason.

    J’aime toujours autant Tyra, non, j’aime encore plus Tyra depuis qu’elle balance ses 4 vérités à Miss T. Et Tami, même si elle s’en prend plein la figure, reste encore la plus cool des mamans.

    Smash et le problème de Weverly arrive un peu soudainement mais le traitement est vraiment bon et l’image finale poignante. Et puis il sera intéressant de voir comment Smash réagira.

    Oh... Et note pour le petit JJ, même s’il a réussit son épisode de the office il devrait regarder FNL pour ce rendre compte qu’on ne meurt pas en passant au travers d’une table en verre !

  • 1x18

    Toujours bon, je n’ai pas grand chose à reprocher, et je vais me contenter de défendre le cas Jason Street pour cette semaine.

    Il me semble que l’éloignement est nécessaire, comme l’isolement.
    Jason vient de subir un traumatisme majeur qu’aucun de ses proches ne peut comprendre. Qu’il s’éloigne d’eux ne me gène pas.

    Tout à fait d’accord. Et je rajouterais que j’ai totalement confiance en cette storyline, simplement parce qu’il y a deux grands scénarios possibles, complètement satisfaisants l’un comme l’autre. Soit Jason intègre l’équipe de Quad Rugby, et perd progressivement le lien avec la ville de Dillon et avec Lyla, ce qui marquerait une jolie sortie de la série pour peu qu’elle soit bien gérée (et je fais confiance aux scénaristes et aux réalisateurs pour ça). Soit il est recalé de l’équipe, et c’est la fin du rêve, du palliatif au football (belle scène au passage avec Lyla et les joueurs de l’équipe, quand cette dernière lance méchamment "you’re right, it’s not football". La réplique a beau être blessante au possible, on sait que si Jason s’est lancé dans ce sport, c’est parce qu’il n’était plus capable de jouer au football et qu’il garde certainement lui aussi un sentiment de supériorité vis à vis de ce sport "diminué"). Si donc, son rêve d’intégrer cette équipe devait tomber à l’eau, il retournerait certainement à un quotidien plus proche de ses anciens amis.

    Ce sont pour moi les deux grands déroulements possibles, certainement plus étoffés et plus fins que mon petit résumé de téléspectateur, mais je crois sincèrement qu’au final, on sera tous comblés par la tournure qu’à pris l’histoire. Ce n’est pas la seule série que j’apprécie cette année, même si elle est certainement sur le podium, Mais c’est sans doute celle en laquelle j’ai le plus confiance.

  • Dissertation :

    Pourquoi devrais-je regarder Friday Night Lights ?

    A vous de me convaincre en 47 mots !

    • et voilà le tout en 47 mots, tu peux compter si tu veux.

      "Tyra et Tami sont formidable, Tyra et Tami sont formidable, Tyra et Tami sont formidable, Tyra et Tami sont formidable, Tyra et Tami sont formidable, Tyra et Tami sont formidable, Tyra et Tami sont formidable, Tyra et Tami sont formidable, Tyra et Tami sont formidable... Pas plus."

    • Pourquoi devrais-je regarder Friday Night Lights ?

      A vous de me convaincre en 47 mots !

      Demander cela sur un topic où plusieurs personnes ne font justement que dire pourquoi ils aiment la série et sur un site où tu trouves des textes un peu partout tâchant de convaincre les gens de regarder, c’est légèrement vexant pour tout le monde...

  • Vous aviez tous raison.
  • 1.19

    Comment fait cette série pour produire 43 min de perfection televisuelle chaque semaine ?Comment NBC peut se poser des questions sur son renouvellement ? C’est vraiment la seule série qui me garantie 40 min de plaisir chaque semaine ...

    Concernant l’épisode il entre pour moi dans le top 3 de la saison ca valait le coup d’attendre, les super moments en vrac,
    - la scene ou les boys sont au stade et Street donne des conseils à Matt
    - buddy et sa famille
    meme celle entre Street et la blonde etait bien faite
    en plus on a eu droit a un peu de Landry(seabiscuit lol),et quelques blagues (brokeback,sergent riggins...)

  • S01e19

    Je l’attendais depuis un moment cette scène. Et finalement, Katims l’a enfin écrite. Smash, Matt, Tim et Jason enfin réunis tous les 4, sur un terrain de foot, à boire et déconner. Avec en plus une sorte de retour aux sources pour Jason. Peut-être qu’effectivement il ne supporte plus de voir ses anciens trophées, mais il a encore le foot dans le sang. Lui voir donner des conseils à Saracen était une jolie image, l’ancien et le nouveau QB qui ne devait pas se parler beaucoup avant l’accident, partageant une même passion. L’un insufflant à l’autre autant sa technique que son envie de gagner. Pour la première fois depuis longtemps j’ai eu une grosse empathie pour Jason.
    Il faut vraiment réunir les joueurs plus souvent, même sans match (en même temps depuis quelques temps, on a plus besoin de match pour faire avancées les intrigues), ils ont beaucoup à apporter entre eux.

    Sinon Tyra for ever. La dynamique avec sa mère est excellente. Difficile de sortir du trou quand on y est habituer. Son regard chez les Taylor, qui est quand même la famille de rêve quasi parfaite, en disais long sur son désir de vivre ça au moins une fois.
    Et puisque la famille Taylor est parfaite, la famille monoparentale des Colette au fond du trou, celle des Garrity est entrain d’exploser.
    Sacré Buddy, on croyait que la mère de Tyra était un coup isolé, mais non. Buddy est un chaud lapin. Lyla est encore déçu par un homme. La trahison de son père est quand plus difficile à digérer que les doutes de Jason sur leur couple (mais en est-ce encore un ?).
    Ah ouais je veux aussi plus de Landry.
    Franchement c’est quand on voit le matériel de base que l’on juge une série. Katims peut écrire un superbe épisode de FNL mais se vautrer complètement sur le pilot de Wedding Bells. Enfin tant mieux, plus vite la daube sera annulée, plus longtemps il restera sur FNL. Oui, oui, je crois à une seconde saison. Mon optimisme me perdra.
    Et pour finir... Go Tim Go ! Brave garçon et gentil voisin.

    • 1.19

      Je l’attendais depuis un moment cette scène. Et finalement, Katims l’a enfin écrite. Smash, Matt, Tim et Jason enfin réunis tous les 4, sur un terrain de foot, à boire et déconner.

      Clair ! Ce que je suis contente de voir Jason retrouver ses potes ! (cf mes râleries précédentes). Voilà, ça j’aime, ça je veux. Virez-moi l’autre blondasse aux tatoos qu’on a vu lui sauter dessus à 10 km et veut le faire quitter Dillon.
      Sinon, question stupide : il a un accent bizarre Saracen ou il a un rhume permanent ? Quand il prend son air hésitant et timide, sa façon de parler le traduit bien, mais durant cette scène j’avais vraiment du mal à le comprendre.

      Sacré Buddy, on croyait que la mère de Tyra était un coup isolé

      Ah, j’ai toujours eu dans la tête qu’il avait cette tendance à tromper sa femme. N’étant pas persuadée d’avoir eu un bon instinct sur ce coup, vu comment j’ai toujours tendance à me planter, il avait dû y avoir des allusions ou des signes. Mais impossible de me rappeler lesquels.

      Sinon, les Taylor, ô surprise, les meilleurs du monde. Julie m’a mise les larmes aux yeux durant son discours et son père m’a fait exploser de rire avec ses "ballet-yers". Il a une façon de débiter certains trucs très cons avec un faciès si sérieux, c’est hilarant.

      TimRiggins, ô surprise (bis), je-l’aime-il-est-formidable-qu’il-m’épouse-sur-le-champ. J’adore sa relation avec le gamin mais je tilte un peu sur l’histoire avec la mère. Un peu cliché la mère célibataire qui se sent seule et se tape le gentil ado, et j’ai du mal à accrocher au personnage. Mais bon je peux pas lui en vouloir de lui sauter dessus... ^^

      Tyra, rien à ajouter, c’est juste formidable (ils sont chiants à faire du génial...) et une tonne d’applaudissements à cette chère Lyla pour son gros bordel final. Excellent !

      Nan mais là, ça atteind de tels sommets...obligé qu’ils soient annulés !

  • Assurément, un des meilleurs épisodes de la saison (le meilleur restant pour moi Git’er Done (le 5eme, pour les 2 cons du fond)). De toute facon, Friday Night Lights, c est du tout bon, du tout cuit ; Mangez - en !
    Bref j’vais pas revenir sur l episode en lui meme, certains l’ ont deja très bien fait, mais jvais m interroger sur le "mais pourquoi s’est si bien ? "
    Parce que FNL creer l illusion de la réalité.

    La grande force de la série, c est l’ émotion qu’ elle sucite chez le téléspectateur, ou plutot comme on va l’voir (fin essayer...)chez le spectateur et cette capacité a l’ impliquer.
    Qui en effet, n a jamais été touché par FNL ? Qui n a pas pas été soufflé lors de la "dispute" entre Riggins et Lyla a la fin du 1.O4, ou encore au bord des larmes, lors de la visite de Tim a Jason ; quand ce dernier est a l’ hopital ? On peut multiplier les exemples, la serie regorge de moments forts, ou le spectateur est totalement électrisé par ce quil voit. Pourquoi ?

    Parce que FNL transforme le téléspectateur en spectateur, en témoin privilégié, en voyeur . On est totalement impliqué dans les scenes , on les vit au plus près ; on les subit de plein fouet car on a aucun recul par rapport a elles.
    Parce que Friday Night Lights recréé la réalité ; dans la forme et dans le fond.

    Ca passe d’abord par des acteurs exellents ( Connie Britton, Kyle Chandler, adrianne Palicki ; pour ne citer que les meilleurs), qui habitent des personnages magistralement écrits, font corps avec eux, a tel point qu’ on se demande parfois si ces derniers n ont pas été écrit spécialment pour eux. Des personnages qui sont, dans leur ecriture, tellement humains, tellement vrais.
    FNL sonne juste, vrai, dans les dialogues par exemple, ou les persos se coupent, hésitent.
    cette écriture est a l’ opposé de ce que peut nous proposer un Sorkin, et de ses dialogues mitraillettes, sorte de ping pong verbal, ou tout est parfaitement calibré, cisélé laissant finalement une impression artificialité ,qui ne véhicule finalement aucune émotion ; a l opposé de ce que peut nous proposer FNL. (A ce propos d’ailleurs,j’avais lu quelque part que ces dialogues laissaient une place importante a l’ improvisation ce qui renforce ce sentiment, cette volonté de sonner juste).

    Cette volonté de coller a la réalité, de casser la barriere de la fiction, se traduit aussi dans la forme ; au travers de la réalisation.
    En effet le meme soucis d’ implication du telespectateur, d ancrage dans la réalité est visible :
    tout est filmé caméra au poing, cette derniere etant quasi systematiquement en mvt, comme pour trancher avce l habituel image parfaite, lisse ; les travellings sans accros que nous proposent les fictions a la télé, comme au cinéma d ailleurs et pour se rapprocher du réel. Mais la, a la difference de beaucoup d’autres shows, la volonté n est clairement pas de créer du rythme.
    L’ utilisation du zoom, et/ou des plans serrés par ex, nous améne au plus près de l action, au plus pres des personnages créant l’illusion, pour le spectateur, de sa presence au coeur de la scene et renforcant son implication.
    Sur le site de NBC (ou sont presentes pas mal d’interviews et quelques scenes coupées ; parfois tres bonnes) on en apprend un peu plus sur la maniere dont est filmé FNL : Les cameras sont placées tres loin de l action, et peu de consignes sont données aux acteurs (pas de marquage au sol...) Du coup cela donne, encore une fois, de la liberté au acteurs, qui sont de ce fait totalemnt impliqués dans leurs personnages, affranchis du cadre cinématographique.

    La justesse du jeu des acteurs, de l écriture, la maitrise totale de la réalisation font de FNL, et je pese mes mots (sortez vos balances), la meilleure serie jamais créee.

    Bref en plus court et moins chiant : ca déchire.

    Plus qu ’ trois...

  • 1x19

    Damned, merci de me laisser passer pour le rabat-joie de service : j’ai pas aimé.

    Cette phrase est bien sûr à relativiser quand on parle de Friday Night Lights, mais personnellement j’aurais plutôt tendance à classer cet épisode parmi les moins bons. Et comme c’est quand même la meilleure série de l’année, je vais passer vite sur les défauts et terminer mon post par un "vivement le prochain !" enjoué.

    Déjà, j’avais quand même pas mal raison pour Jason, et j’ai horreur d’avoir raison. Son petit voyage à StoneHenge2 avec TatooGirl était mignon au début, mais couru d’avance, et le dialogue du "pourquoi c’est tellement facile de parler avec toi, gnagnagna" c’était bof. Si je devais retenir une seule chose dans leur scène, c’est le frigo à l’arrière de la voiture. Un frigo sorti de son environnement c’est toujours drôle (essayez chez vous, vous verrez). Et Monsieur ne trouve rien de mieux que de faire la gueule à Lyla sans raison. Bref...

    La fameuse scène du Brockeback Football Field, c’était mignon aussi au début, mais le coup de la passe "difficile" qui redonne confiance, moui... Riggins et sa voisine, moui... Smash et sa copine, rien de nouveau, scène pas marquante, on attend la suite.

    Ah, et THE truc qui colle pas, c’est vraiment le discours de Julie à son père dans la voiture, ça ne sonnait pas du tout discours d’ado, même intelligente et pleine de bon sens. Et ça faisait déjà vu.

    Lyla et Tyra sauvent un peu l’épisode (surtout Tyra, j’avoue...), l’explication de Tyra à sa mère aurait pu être mieux écrite, mais l’émotion y était.

    Voilà comment on brise un élan d’enthousiasme général. Expliquez moi que j’ai tort, je vous en conjure. Et puis vivement le prochain !

    • 1.19

      Expliquez moi que j’ai tort, je vous en conjure.

      Toujours prêt à te rendre service ! ;-p

      Damned, merci de me laisser passer pour le rabat-joie de service : j’ai pas aimé.

      Premier point, et pas des moindres, je t’ai déjà dit d’arrêter de regarder des épisodes à 5 heures du mat’ ! ^^
      C’était vraiment un des tous meilleurs épisodes, je sais pas ce qu’il te faut...

      Déjà, j’avais quand même pas mal raison pour Jason, et j’ai horreur d’avoir raison.

      Je ne sais pas. Pour moi il était assez clair qu’il ne serait pas pris dans l’équipe, et que seule la chute, son retour à Dillon en vaincu, serait intéressante. Et jusque là, je suis content, parce que...

      La fameuse scène du Brockeback Football Field, c’était mignon aussi au début, mais le coup de la passe "difficile" qui redonne confiance, moui...

      Parce que cette scène, qui nous offre *enfin* un vrai face à face Jason/Matt, est fantastique. Que tu te focalises sur un point peut être un peu facile est dommage, car tout le reste, est fabuleux (hein, Jéjé).

      Riggins et sa voisine, moui... Smash et sa copine, rien de nouveau, scène pas marquante, on attend la suite.

      Pour Smash et sa copine, ils partagent une scène de 30 secondes, donc évidemment on attend la suite.
      Pour Tim, c’est surtout l’occasion de le voir sous un jour différent avec le gnome-qui-parle-bizarrement-mais-qui-arrive-à-rester-supportable.

      Ah, et THE truc qui colle pas, c’est vraiment le discours de Julie à son père dans la voiture, ça ne sonnait pas du tout discours d’ado, même intelligente et pleine de bon sens.

      Moi je trouve que ça sonnait bien ado qui a passé toute sa vie à déménager et qui n’a que 15 ans.

  • 1.20

    Hmmm...
    Complètement dedans. Horrible, à partir du moment où j’ai compris où ils voulaient en venir, mais complètement bluffant du point de vue de l’exécution.

    La PLUIE !

    • 1.20

      La PLUIE !

      Mon dieu cet épisode... mon dieu ces dix dernières minutes... J’ai bien cru que ma tête allait exploser. Toutes ces émotions si différentes en même temps, c’est pas bon pour mon coeur !!!

      Complètement dedans. Horrible, à partir du moment où j’ai compris où ils voulaient en venir, mais complètement bluffant du point de vue de l’exécution

      On rentre dedans et on en sort pas, c’est ça le pire. L’émotion est submergeante, l’action déferlante, et on rend les armes. Ce n’est pas de la manipulation de l’audience, comme pourrait le faire des séries moins intelligentes, c’est du grand art, c’est maîtrisé jusque de bout en bout.

      Bon, c’est pas tout ça, mais il faut que je me remette de cet épisode moi... Et espérer qu’ils nous diffusent le reste et qu’ils renouvellent pour une seconde saison...

  • S01e20

    WOW !

    Oui je sais, la politique de ce forum n’est pas d’utiliser de simple interjection pour exprimer ce que l’on a vu. Mais là je ne vois pas d’autre expression pour faire partager ce que je ressens.
    Pendant 29 minutes 59 secondes, on a un très bon épisode. A partir de la 30ème on bascule dans le génial.
    Le montage, la musique, tout participe à la monté de l’adrénaline. Je ne vois pas comment on pourrais rester insensible à ce que subit Tyra et ne pas être en même temps complètement excité par le match et tous derrières les Panther. Il y avait un mélange d’émotions très fortes, parfois contradictoires mais parfaitement géré.

    Et puis de toute façon, un épisode ou Landry et Tyra apparaissent plus de 2 minutes est forcément un bon épisode.

    La pluie

    It’s our Mud. Our Dirt ! Du grand Coach T.

  • 1.20

    J’ai été obligé de le revoir, parce qu’hier, le choc des dix dernières minutes m’avait un peu fait oublier tout le reste. ^^
    Cet épisode, c’est du tout bon !

    - La relation entre Matt et Landry est formidable. Il aurait été facile de les voir s’éloigner l’un de l’autre, mais ils sont toujours meilleurs amis, et leurs scènes font toujours très naturelles. Pour en rajouter sur Landry, et si on met de côté la fin de l’épisode, il y a quelque chose d’universellement beau à voir le geek commencer à séduire la fille canon. Avec des maths. Encore une fois, c’est aussi drôle qu’authentique.

    - Coach Taylor et sa femme, dans un champ, avec des vaches. La réalisation fait fort, et c’était une très bonne idée d’avoir gardé une demie seconde de Connie Briton qui se marre. ^^

    - Lila est sans doute le personnage qui me parle le moins dans la série, mais elle remonte doucement dans mon estime depuis deux épisodes. Il y avait le coup des bagnoles de son père, mais la voir remettre Jason à sa place est on ne peut plus réjouissant. Bien joué.

    - Jason qui, s’il retrouve le moral un peu trop rapidement à mon goût, a de très belles scènes, avec Matt, ou pendant le meeting du procès. Je ne suis pas trop trop fan de la toute dernière scène avec le Coach Taylor, mais c’est une façon comme une autre de le réintégrer aux autres intrigues.

    - Depuis une paire d’épisode, j’ai tendance à trouver Tim un peu trop propre sur lui, un peu trop gentil, et un peu trop durer. C’est mignon, tout ça, mais vivement qu’il reparte en mode autodestruction. C’est pour ça que la toute petite scène avec son frère, où il lui annonce que sa situation risque de lui péter à la tronche sous peu, est vraiment enthousiasmante.

    - Les dix dernières minutes sont aussi horribles à supporter que parfaites visuellement et rythmiquement. Le speech du Coach est fantastique, mais on a quand même un peu mal à se concentrer sur ce qu’il dit vu ce qui arrive à Tyra. Une Tyra qui s’en sort toute seule, qui n’a besoin d’aucun chevalier servant venant à sa rescousse. Parce que Tyra, elle déchire.

    - Voodoo en finale. Ou comment faire une jolie boucle avec cette première saison. Excellente idée.

    • Depuis une paire d’épisode, j’ai tendance à trouver Tim un peu trop propre sur lui, un peu trop gentil, et un peu trop durer. C’est mignon, tout ça, mais vivement qu’il reparte en mode autodestruction. C’est pour ça que la toute petite scène avec son frère, où il lui annonce que sa situation risque de lui péter à la tronche sous peu, est vraiment enthousiasmante.

      "I don’t have a phD in stupid like you do, but..."

      La réplique la plus drôle de l’épisode !

      La relation entre Matt et Landry est formidable. Il aurait été facile de les voir s’éloigner l’un de l’autre, mais ils sont toujours meilleurs amis, et leurs scènes font toujours très naturelles. Pour en rajouter sur Landry, et si on met de côté la fin de l’épisode, il y a quelque chose d’universellement beau à voir le geek commencer à séduire la fille canon. Avec des maths. Encore une fois, c’est aussi drôle qu’authentique.

      Si je n’aimais pas autant Tyra, je serais jalouse d’elle. Parce que bon, quand même, Landry is the best, et personne ne peut dire le contraire :p. Mais si les geeks tombent systématiquement amoureux des filles comme Tyra, qu’est ce qu’il reste aux filles normales, hein, je vous le demande ?? :p
      En tout cas, je suis contente qu’ils n’en aient pas fait un chevalier, un héros qui aurait sauvé Tyra des griffes du grand méchant loup, je suis contente qu’il se contente de prendre la main de Tyra et qu’il ne soit pas parti à la recherche du gars pour lui casser la tête, comme un joueur de football l’aurait sûrement fait. Le mec était sûrement déjà loin et Tyra avait besoin de Landry tout de suite.

      Une autre scène déchirante, c’est celle entre Smash et sa copine bi-polaire dont je n’arrive pas à me rappeler le prénom :p. L’actrice fait un boulot formidable, on sent qu’il lui est impossible de dire quoi que ce soit tellement l’émotion est forte. Smash qui l’entoure de ses bras alors qu’elle lui tourne le dos, une scène magnifique.

      Coach Taylor et sa femme, dans un champ, avec des vaches. La réalisation fait fort, et c’était une très bonne idée d’avoir gardé une demie seconde de Connie Briton qui se marre. ^^

      C’est tellement génial que ça passe comme une lettre à la poste !

      Vive les vaches !

  • La réplique la plus drôle de l’épisode !

    Landry qui décide de passer de "supporting actor" à "lead in" est pas mal non plus, et tellement vrai.

    En tout cas, je suis contente qu’ils n’en aient pas fait un chevalier, un héros qui aurait sauvé Tyra des griffes du grand méchant loup, je suis contente qu’il se contente de prendre la main de Tyra et qu’il ne soit pas parti à la recherche du gars pour lui casser la tête, comme un joueur de football l’aurait sûrement fait. Le mec était sûrement déjà loin et Tyra avait besoin de Landry tout de suite.

    En même temps, ne me dit pas que, comme moi, tu n’espérais pas que Landry arrive quand elle se débattait ? ;)
    Mais c’est vrai que Tyra qui s’en sort seule, cadre bien avec le personnage. Depuis le début de la série... Aller, je suis confiant... Depuis le début de la saison, les scénaristes nous ont toujours montrés Tyra comme n’étant plus vraiment une ado.
    C’est sur, le physique et l’age d’Adrienne Palicki aide aussi à faire passer cette impression. (Tient, j’avais d’ailleurs oublié que c’était elle la copine de Dean 1.0 qui part en fumer dans le pilot de Supernatural.)

    Le "Landry Moment" que j’adore c’est lorsqu’ils sont tous les deux, face à face et qu’il décide finalement de se rapprocher pour que Tyra ouvre enfin les vannes. C’était vraiment touchant et ça contrasté fortement avec les effusions de la victoire de l’équipe à Coach T.

    c’est celle entre Smash et sa copine bi-polaire dont je n’arrive pas à me rappeler le prénom :p.

    Waverly.

    Lila est sans doute le personnage qui me parle le moins dans la série, mais elle remonte doucement dans mon estime depuis deux épisodes. Il y avait le coup des bagnoles de son père, mais la voir remettre Jason à sa place est on ne peut plus réjouissant. Bien joué.

    Je ne cesse de me le répéter, donner autre chose à Minka Kelly que le rôle de la pauvre copine qui ne comprend pas ce qui se passe autour d’elle. Lyla n’a jamais été aussi chiante que quand elle joue le rôle de la parfaite girlfriend et jamais aussi intéressante que quand elle se prend enfin en main, que ce soit en couchant avec Tim ou s’affranchissant de son père et de prendre ses distances avec Jason.

    Je ne suis pas trop trop fan de la toute dernière scène avec le Coach Taylor, mais c’est une façon comme une autre de le réintégrer aux autres intrigues.

    C’était quand même en filigrane depuis la scène collégial de l’épisode précédent. Et ça clos plutôt bien les errances de Jason depuis son accident. Il cherché un moyen de vivre "normalement", il l’avait depuis le début juste sous son nez.

  • Waverly !

    Merci :).

  • 1.21

    Niveau rythme, on est à l’opposé de l’épisode de la semaine dernière. Et pourtant, cet épisode est aussi prenant que le 1.20, et il prépare parfaitement au season finale sans faire dans le spectaculaire. Une vraie réussite.

    Connie Britton est encore une fois exceptionnelle, et je vais me répéter, mais j’ai rarement vu un couple aussi bien décrit que celui de Taylor.

    Tim et sa voisine finissent leur histoire sans éclat ; je crois que je m’attendais à quelque chose de plus tragique, mais finalement, cette fin me plait également. Et puis le fait que toute la ville soit au courant est plutôt amusant (pas comme la blague de Tim au dîner :p).

    Tyra et Landry... Aaaaah... Une storyline assez classique dans la forme (je partage le secret avec un ami qui me force à le dire à un adulte qui est obligé de faire déposer Tyra qui m’en veut à mort et me traite de geek) mais qui, dans l’exécution, et grâce aux acteurs et à l’écriture, prend une dimension humaine absolument parfaite. Et le regard de Tyra sur Landry qui change complètement après son discours sur Tim... Aaaaaaaaah....

    Lyla, en quelques scènes et quelques lignes, devient un de mes personnages préférés. Depuis quelques épisodes déjà, je l’aimais beaucoup, mais là, son attitude (relativement) calme et posée face à Jason force le respect.

    Waverly et Smash sont adorables. And Smash is gonna get some !! ^

    En fait, c’était l’épisode romantique de la saison. Mais sans sombrer dans les violons, ou le gnan gnan, ou les déclarations d’amour en plastique. C’était tout le contraire. Et c’était vachement bien.

  • S01e21

    Tyra et Landry... Aaaaah... Une storyline assez classique dans la forme (je partage le secret avec un ami qui me force à le dire à un adulte qui est obligé de faire déposer Tyra qui m’en veut à mort et me traite de geek) mais qui, dans l’exécution, et grâce aux acteurs et à l’écriture, prend une dimension humaine absolument parfaite. Et le regard de Tyra sur Landry qui change complètement après son discours sur Tim... Aaaaaaaaah....

    Landry !
    Landry !
    Landry !

    Landry qui balance ses quatre vérités à Tyra c’était grand. Surtout quand ça marche. Bon d’accord ça ne marche que dans les séries (note pour plus tard : éviter de trop se projeter sur Landry !) mais c’est bien pour ça que c’est toujours plaisant à voir, ça entretient l’espoir de tout les geeks qui fantasment sur des canons.
    Tyra c’était... Bien tout simplement, mais bon, Tyra est toujours bien.

    Niveau rythme, on est à l’opposé de l’épisode de la semaine dernière. Et pourtant, cet épisode est aussi prenant que le 1.20, et il prépare parfaitement au season finale sans faire dans le spectaculaire. Une vraie réussite.

    Je n’ai pas vu une fausse note. Jusque dans les regards des principaux personnages présents au roast qui en disait long.
    Comme l’épisode précédent on passe de moment poignant - J’étais complètement avec Landry, abattu quoi, quand il s’en prend plein la gueule par Tyra à la sortie du post de police - et des moments de comédie comme la superbe blague de Tim sur Matt et la fille de coach T au roast. Sacré Tim pour séduire les voisines il est bon mais les blagues c’est pas son truc.
    Bon, c’est flippant, chaque jeudi je ne pense plus qu’à l’épisode de FNL que je vais regarder le soir. Mais en même temps c’est tellement bien, qu’il est difficile de résister.

    Waverly et Smash sont adorables. And Smash is gonna get some !!

    Smash est loin d’être un gros con et ça se confirme encore.

    Lyla, en quelques scènes et quelques lignes, devient un de mes personnages préférés. Depuis quelques épisodes déjà, je l’aimais beaucoup, mais là, son attitude (relativement) calme et posée face à Jason force le respect.

    Lyla impérial face à Jason c’était bon.
    Faut d’ailleurs que l’ex QB passe vraiment à autre chose... On est dans une série télé et donc la Suzie ce n’est pas un thon, en plus manifestement il l’aime bien, donc bon... hein, qu’il se décide une bonne fois pour toute et arrêter de jouer les veufs éplorés.

    Connie Britton est encore une fois exceptionnelle, et je vais me répéter, mais j’ai rarement vu un couple aussi bien décrit que celui de Taylor.

    Tamy T doit être taureau vu comme elle est têtue, j’en plaindrais presque son mari.
    Mais si Connie est toujours bien il ne faudrait pas oublier le petit Kyle qui lui répond parfaitement depuis le début de saison.
    C’est drôle comme certaine chose qui pourrait paraître banale voir cliché, comme le roast de Miss T à son mari qui fini par une véritable déclaration d’amour, passe bien quand l’écriture et la manière de jouer sont là.

    Tim et sa voisine finissent leur histoire sans éclat ; je crois que je m’attendais à quelque chose de plus tragique, mais finalement, cette fin me plait également.

    Oui mais, Tim... J’aime bien Tim mais sans dec qu’ils me remettent pas avec Tyra. Ou alors, à la condition qu’elle le réduise en poussière à un moment donné !

    Il y avait que Matt en retrait par rapport aux autres, même si la scène ou il semble halluciner quand coach Taylor et Jason lui explique leur programme était du tout bon.

    Plus qu’un, merde, plus qu’un !

  • Les dernières infos sur le renouvellement (ou pas) de la série, pas spécialement rassurantes mais pas non plus complètement mauvaises sont ici. Alors on se met en cercle avec un genou au sol, et on prie Dieu. Oui, même toi là bas au fond...
  • Moi je dis, si c’est pas une bonne, mais encore petite, nouvelle, je sais pas ce que c’est. NBC a commandé 6 scripts d’une éventuelle saison 2. Pouawwww !

    Source : http://community.tvguide.com/blog-entry/TVGuide-Editors-Blog/Ausiello-Report/Exclusive-Friday-Night/700017624

  • 1.21

    I was living in a devil town...

    Une fin parfaite pour une série parfaite.

  • 1.22

    Cela a vraiment été tout ce à quoi je ne m’attendais pas. Je les voyais déjà perdre, ils gagnent. J’imaginais un match très long dont l’issue va conclure l’épisode, et c’est super court en plein milieu... C’est comme Eric qui fait sa superbe déclaration à Tami et au lieu de s’arrêter là sur ses pleurs de joie, ils se prennent la tête pendant dix minutes. J’adore ! Ben oui, vingt-deux épisodes plus tard, je suis encore surprise par la capacité des scénaristes à briser certains codes. J’essaie même pas de les devancer, je préfère me laisser porter.

    Bref, un magnifique épisode qui conclue cette superbe saison avec de très jolies conclusions sur l’évolution de chacun. J’étais ravie de voir Lyla se détacher totalement des influences des hommes de sa vie et se rapprocher enfin de Tyra. Landry et les filles dans la voiture, j’en avais les larmes aux yeux tellement je riais. Et c’était très chouette de voir Tim continuer à jouer la figure paternelle idéale sans pour autant avoir besoin de se taper la mère pour entrer dans le schéma familial idéal (je sais, ça sonne lourd ce que je dis). Mais j’aime beaucoup la relation Bo/Tim, surtout parce qu’elle a été introduite de façon parfaite juste après l’histoire avec Riggins Senior. Et le petit est drôle.

    Bref, très bon final. Mais maintenant en plus d’être triste de ne plus avoir d’épisode pendant des mois je vais me prendre la tête concernant l’an prochain. Parce que les Seniors de l’équipe, comme Smash et Riggins, ils sont censés partir à la fac. Idem pour Tyra et Lyla. J’espère qu’ils trouveront des excuses pour les faire rester à Dillon comme The OC, mais niveau Panthers ça va être dur de justifier qu’ils jouent encore.
    Punaise ce que ça va me manquer.

    • 1.22

      C’était beau, c’était fort, c’était drôle.
      Si la série s’arrête là, ce n’est pas grave. Si elle continue (et la news de Jéjé de ce matin fait plutôt plaisir dans ce sens), c’est encore mieux.

      Je les voyais déjà perdre, ils gagnent.

      Moi aussi.
      Ensuite je me suis dis que c’était mieux qu’ils gagnent, pour qu’ils puissent perdre l’an prochain sans pour autant foutre le coach dehors. Mais en fait il part tout seul, donc je ne sais plus du tout pourquoi ils gagnent.
      Ah, si. Parce qu’on le méritait bien. ^^

      J’imaginais un match très long dont l’issue va conclure l’épisode, et c’est super court en plein milieu...

      Je pense que sur ce point on a été servi avec la demie-finale, je comprends tout à fait l’intérêt de ne pas se répéter. Surtout que, en toute honnêteté, ils pouvaient difficilement faire plus intense que la fin de l’épisode 20.

      Landry et les filles dans la voiture, j’en avais les larmes aux yeux tellement je riais.

      C’était parfait. Ils en font beaucoup, c’est hilarant, mais ils n’en font pas TROP. Juste ce qu’il faut. Parfait.

      Parce que les Seniors de l’équipe, comme Smash et Riggins, ils sont censés partir à la fac. Idem pour Tyra et Lyla.

      Je peux me tromper, mais je ne crois pas que ce soit leur dernière année de lycée. A aucun d’entres eux. Je crois que c’était Street qui était en dernière année.

  • S01e22

    J’ai adoré !

    Je les voyais déjà perdre, ils gagnent.

    Pas moi. Dés qu’ils se prennent 3 Touchdown en ne jouant pas, il était évident qu’on allait avoir droit à LA remonter fantastique en seconde mi-temps. Ben oui, personne n’a jamais regardé The Natural, Major League (ok c’est du baseball pour les deux, mais c’est pas le jeu qui est important là), ou d’autre film de sport ? :p
    Bref, c’était le moment hyper classique de la saison. (Certaines mauvaises langues pourront dire cliché... Je m’en tape.:D)

    Si la série s’arrête là, ce n’est pas grave.

    Ca me fais mal de le dire mais oui. Même en cas d’arrêt, je serais content.
    On a eu la chance d’avoir une saison complète, avec une histoire qui a un début, un milieu et une fin. L’épisode aurait même pu s’arrêter avant la scène finale avec l’équipe. S’arrêter au moment ou coach T roule en écoutant la radio, copie conforme de la première scène du pilot.

    C’est comme Eric qui fait sa superbe déclaration à Tami et au lieu de s’arrêter là sur ses pleurs de joie, ils se prennent la tête pendant dix minutes.

    Non, non, Tami n’est pas une tête de mule, absolument pas.

    Landry et les filles dans la voiture, j’en avais les larmes aux yeux tellement je riais.

    La Landrymobil !!!
    Je veux une place dans la Landrymobil avec toutes ces filles... Enfin juste Tyra, sa striptisoeur et Lyla !

    C’était beau, c’était fort, c’était drôle.

    Le roi de la formule simple a encore frappé. Je ne peux que concourir à ces trois émotions.

    • 1.22

      Dés qu’ils se prennent 3 Touchdown en ne jouant pas, il était évident qu’on allait avoir droit à LA remonter fantastique en seconde mi-temps.

      Je précise ce que je disais, du coup.
      Avant le match, je les voyais perdre. Effectivement, quand il se prenne les trois touchdowns, c’était évident qu’ils allaient remonter. Mais ça n’en était pas moins jouissif, hein !

      Ben oui, personne n’a jamais regardé The Natural, Major League (ok c’est du baseball pour les deux, mais c’est pas le jeu qui est important là), ou d’autre film de sport ? :p

      Moi ça me rappelle Olive et Tom, mais chacun ses références, hein. ^^

      Je veux une place dans la Landrymobil avec toutes ces filles... Enfin juste Tyra, sa striptisoeur et Lyla !

      Quoi, tu oserais virer la mère de Tyra accro aux chocolats aphrodisiaques et la grand mère de Matt qui nous parle de ses dernières règles ? Je le redis, toutes ces scènes étaient parfaites.

      Le roi de la formule simple a encore frappé. Je ne peux que concourir à ces trois émotions.

      J’ai un secret : je suis un peu simple. :p

    • Quoi, tu oserais virer la mère de Tyra accro aux chocolats aphrodisiaques et la grand mère de Matt qui nous parle de ses dernières règles ? Je le redis, toutes ces scènes étaient parfaites.

      Pour mon fantasme du samedi soir je préfère m’en rester au trois nommées. Merci. ;)
      En ce qui concerne l’épisode, il est évident que je ne changerais rien au nombre de personne de sexe féminin, et leurs conversation, qui sont dans la Landrymobil.

      Moi ça me rappelle Olive et Tom, mais chacun ses références, hein. ^^

      J’osais pas mettre ce genre de référence ici. :D Mais on peut rajouter aussi Jeanne & Serge si tu veux ? :p

    • Dés qu’ils se prennent 3 Touchdown en ne jouant pas, il était évident qu’on allait avoir droit à LA remonter fantastique en seconde mi-temps. Ben oui, personne n’a jamais regardé The Natural, Major League (ok c’est du baseball pour les deux, mais c’est pas le jeu qui est important là), ou d’autre film de sport ? :p
      Bref, c’était le moment hyper classique de la saison. (Certaines mauvaises langues pourront dire cliché... Je m’en tape. :D)

      Cela dépend si tu as vu le film/lu le livre FNL ou pas. Le match se passe de façon très semblable et je crois que tous ceux connaissant l’histoire d’origine se sont obligatoirement demandés jusqu’à la dernière seconde si la fin allait être similaire ou non. Je pense qu’ils ont beaucoup compté là-dessus pour jouer sur le suspense, donc c’est sûr que cela doit être moins efficace quand on ne connaît pas.

  • Cela dépend si tu as vu le film/lu le livre FNL ou pas.

    La réponse est... Ou pas.
    Mais en même temps, il ne me paraît pas opportun de comparer 3 médias qui, s’ils racontent la même chose, ne le font pas de la même manière. Je pense que l’évolution des personnages dans un livre ou un film est obligatoirement différent de celle d’une série. Et si les personnages évoluent différemment, il semble aussi logique que l’intrigue qu’ils soutiennent, voir sa conclusion, peut être elle aussi différente.
    Une série a montrée que son développement pouvait prendre énormément de liberté par rapport à une histoire donné, tout en ayant une logique propre qui garanti la maîtrise de l’intrigue (enfin pas pour toutes les séries sur ce dernier point). Rome par exemple malgré un cadre historique bien connue, a pris pas mal de liberté dans la construction de ses personnages et les a fait évoluer en conséquence. Certes, ça n’a pas sauvé Marc Antoine ou César, mais ça a donné une Atia flamboyante par exemple, bien loin de l’original, et causé la mort de Servilia, fait complètement non historique.
    Tout ça pour dire que... Euh... Je ne sais plus. ;)
    Ah si...! Friday Night Light c’est bien.
    Surtout quand on a Your Hand in Mine (enfin je crois) lorsque les Panthers rentre dans le stade des Dallas Cowboys. Frissons assurés.

  • Assez hallucinant de se faire spoiler sur Rome dans un topic de Friday Night Lights... :s
  • D’aprés Kristin d’E ! online, Friday Night Lights aurait été renouvellé par NBC pour 22 épisodes.

    Trés bonne nouvelle pour la meilleur série de l’année !

  • Finalement oui, le monde n’est pas si pourri :).
  • Soit dit en passant, FNL a son slot les "Friday Nights" à 22h, pour l’instant face à 20/20 sur ABC (et Numb3rs sur CBS), et prend ainsi la place de L&O lui même recalé le dimanche soir à 20h

    Killer spot, certes, mais en phase avec le titre chose sans doute assez rare pour le souligner...

  • OH MY GOD,
    quelle série, !!!!!

    ca fesait un sacré moment que je venait sur se site, lire les rewiew et critiques toujours droles et géniales de série que je suivais, j’ai remarquer que cette année FNL était votre chouchou, alors il y a quatre jours je me suis faite la saison 1 en entier.
    Et vous avez dit vrai cette serie est MERVEILLEUSE, je suis totalement accro, c’est incontestablement la meilleure série de l’année et pour moi la meiilleure série qui existe

    je vais pas redire tout ce que vous aves dit comme quoi, tous les perso sont supers bien ecrits, touchants, les dialogues sonnent justes, les sujets sensibles abordé le sont de manière magistrale et les acteurs sont exceptionnnel. je sais que de superlatif mais c FNL et elle le merite

    Biensur coach taylor family est super
    Matt est si touchant et drôle quand il s’y met et sa relation avec julie est si jolie.
    LANDRY et TYRA
    Mais j’ai mon chouchou est celui ci est TIM

    que je suis heureuse d’avoir su que cette série était renouveler avant d’avoir entamer sa diffusion, quelle soulagement
    J’ai une toute confiance en les scénaristes pour nous concocter une saison 2 superbe

    une question me vient : POURQUOI UNE SI FAIBLE AUDIENCE AU USA ??????????????
    je comprend vraiment pa comment une serie comme grey’s fait 20 million et FNL 6 a 7 million
    POURQUOI ????

  • ENFIN ! J’ai enfin pu voir le final et... Pfiou. Une série décidement exceptionnelle ^^

    Le coach m’a enervée pendant les deux derniers épisodes, mais sa réaction avec sa femme l’a fait ré-entrer dans mes bonnes grâces. J’attends la prochaine saison avec la plus grande impatience ^^

    (/me, incapable de faire des reproches à FNL)

  • J’ai également regardé la saison 1 cette dernière semaine. J’ai commencé avec beaucoup d’appréhension et après avoir visionné le pilote, je me suis demandé ce que cette série avait de génial. Parce qu’en toute honnêteté, je n’ai pas accroché du tout. J’ai d’abord détesté le style visuel de Friday Night Lights : cette caméra à l’épaule qui bougeait de manière abusive, ces zooms qui ne voulaient rien dire... Cela m’a empêché de connaître rapidement les personnages alors que d’habitude, je fais le tour dès le pilote. Ce fameux match où Jason a son accident m’a donc laissé totalement froid. J’ai été indulgent et j’ai attendu le deuxième épisode. Toujours rien d’exceptionnel et des zooms déguelasses à n’en plus finir... Et puis il y a l’épisode 3 et cette terrible dispute entre Lyla et Tim sur un bord de route. On quittait un coach tortionnaire. Je m’apprêtais à crier que cette série était à chier et faisait l’apologie du terrible traitement que subissent ces ados aux Etats-Unis... Et j’ai fondu en larmes lorsque Lyla craque car son rêve est parti en fumée et que Jason ne remarchera plus jamais.

    Ce n’est qu’à partir de là que j’ai aimé la série. De plus, j’ai vraiment eu l’impression que les réalisateurs faisaient un effort pour avoir l’air moins brouillon à l’image qu’ils ne l’avaient été dans les premiers épisodes. Ensuite, ce ne fut que du bonheur. Je me suis surpris à être de nouveau accroché à une série comme je l’avais été avec The OC, saison 4 (à croire que les Taylor portent bonheur^^).

    Je n’étais pas très fan de Tyra au départ. Je trouvais que ses intrigues étaient trop à part (le gars qui viens de L.A., par exemple). Son personnage n’était vraiment pas mon préféré. Et puis quand ils ont choisi de la faire se rapprocher de Julie (encore un personnage trop à part au début de la saison) l’effet a été immédiat.

    Mais Friday Night Lights n’a pas que des qualités. Le personnage de Landry a, par exemple, été sous exploité et je regrette que son histoire avec Tyra n’ait pas eu droit à une sorte de conclusion (les filles dans la bagnole, c’est marrant mais ça n’apporte pas grand chose).
    L’autre gros défauts de Friday Night Lights est de rendre toutes les autres séries médiocres. Comment vais-je faire maintenant pour apprécier un minimum Prison Break, Smallville ou Lost ??!! Toutes ces séries vont me paraître tellement pathétiques à présent. J’avais même apprécié Kyle XY. Et bien devinez quoi, j’ai détesté le season premier. Merci Friday Night Lights !

  • Alors là je suis tout à fait d’accord avec toi. Du tout au tout. Les premiers épisodes qui m’ont rebuté, la caméra qui bougeait trop et les zooms qui voulaient rien dire. Et moi aussi je trouve que c’est dommage de pas avoir donné de conclusion satisfaisante à l’histoire entre Tyra/Landry.

    Mais par contre j’aurais aimé avoir un cliffhanger plus haletant. Du genre on est couché dans un lit et on se regarde et je me demande si je vais coucher avec toi ou pas. Nimporte quoi. (Désolée le final de Scrubs me reste encore en travers de la gorge.)

    Sauf que j’ai toujours apprécié Tyra comme personnage, depuis le pilote. Je ne sais pas si c’est parce que j’avais déjà lu toutes les reviews sur le site (ouais Yogolate, moi aussi j’ai été entraînée par l’ardeur que tout le monde propageait ici =P) ou parce qu’en général je flashe toujours sur les garces de service, mais le fait est que Tyra est de loin mon personnage favori. Et par contre je trouve que la rapprocher de Julie était assez tiré par les cheveux. Mais en analysant le personnage, on se dit finalement que les filles comme ça rêvent d’un peu de normalité dans leur vie, et que Julie, par sa simplicité et sa droiture, est quelque part un modèle pour elle, même si c’est l’inverse qui est présenté.

    Et c’est vrai aussi que tout va paraître absolument fade à côté. Friday Night Lights est définitivement inclassable.

  • Saison 1

    J’en avais assez de lire FNL c’est génial par-ci, FNL c’est génial par-là, Connie Britton est géniale, Tyra est géniale... blablabla

    Alors j’ai tenté un premier épisode, et c’était vraiment pas mal comme début. Alors, j’ai continué avec le second, puis le troisième, le quatrième pour finalement engloutir cette première saison.
    Et de fait, je peux scientifiquement confirmer que génial est un faible mot pour décrire cette série.

    Alors que je craignais d’être dégoutée par les mouvements incessant de la caméra, FNL c’est averé fichtrement bien filmée. Alors que raconter l’histoire de la série et des épisodes peut sonner fort cliché à toute personne qui n’a jamais jetté un coup d’oeil ; FNL s’est avérée fichtrement bien écrite. Alors que je pensais ne pas accrocher au football américain, FNL a réussi à me donner envie d’en savoir plus et de me sentir dans les tribunes lors des match ;-).

    Enfin il ya plein de trucs à dire sur cette incroyable série/saison mais mon cerveau n’a pas encore eu le temps de tout digérer. Je vais simplement dire que j’ai adoré de suite Matt Saracen, ses scènes avec Landry, avec sa Grand-mère, avec Julie et surtout avec le Coach.

    Je suis bien contente qu’il y en ait une seconde saison en croisant les doigts pour qu’elle soit aussi bien que la première.

  • Premier post ici, c’est pour la bonne cause. (Bonsoir à tous.)

    Je sais qu’il y a pas mal de fans de FNL dans le coin. Donc, pour ceux que ça intéresse, le season premiere de la saison 2 peut être vu en exclu sur Yahoo.

    C’est uniquement destiné aux vrais geeks. ^^

    La taille de la vidéo est minuscule... mais c’est bon de retrouver FNL !

    • Je sais qu’il y a pas mal de fans de FNL dans le coin. Donc, pour ceux que ça intéresse, le season premiere de la saison 2 peut être vu en exclu sur Yahoo.

      ....

      Non, mais c’était vraiment nécessaire ?
      L’attente se passait bien, je n’y pensais pas vraiment, et là, tu viens nous tenter de regarder ça sur une timbre poste. Tu crois que c’est une bonne idée ? VRAIMENT ?

      Je re-fu-seuh.

      C’est uniquement destiné aux vrais geeks. ^^

      Parce que tu crois qu’il y a quelque chose d’autre, ici ? ;-p

      La taille de la vidéo est minuscule... mais c’est bon de retrouver FNL !

      Non non, ce n’est pas la peine, n’insiste pas.

      Bon.

      Que le prégénérique, alors.

  • Je menais des vacances heureuses et épanouies jusqu’ici, mais il a fallu que tu postes ce lien. Je te maudis sur trois générations.
    Je refuse. C’est hors de question. Cet écran est bien trop petit, ce serait indécent !
    ...
    Bon, juste comme Ju, alors.

    Verdict ? Gé-nial.

  • Parfois, la vie vous met face à des dilemnes insurmontables.

    Regarder le season premiere sur un écran de la taille d’un timbre-poste ?

    Attendre le 05 octobre pour voir, en bonne qualité, l’épisode sus-mentionné ?

    Faible que je suis, dépourvue de toute volonté, j’ai lancé la vidéo. Et j’ai tenu trois minutes. Trois minutes de ce season premiere avant de trouver la force de fermer la fenêtre de Firefox et de me résoudre à attendre le 05 octobre. Trois minutes de pur bonheur, d’extase intense et de bavements intempestifs. Trois minutes qui vont donc être suivies de deux semaines de torture, de WHY, WHY CANNOT I WATCH IT NOOOOOOOW ?

    Merci beaucoup, vraiment, merci beaucoup.

  • Est- ce que ça veut dire qu’on ne peut pas avoir un sujet pour dire ce que nous, lâches ayant regardé ce season premier sur le timbre poste, avons pensé de ledit épisode ? ^^
  • Non seulement tu es lâche, mais en plus tu veux entrainer des gens dans ta chute ? C’est moche.

    Sujet créé, tu peux être le premier en cliquant sur le sujet à droite, sous l’avatar du forum !

  • 2.01

    "You gotta be kidding me"

    Il y a une chose qui est très difficile avec Friday Night Lights : lorsque les dernières minutes sont si éprouvantes, on a du mal à se rappeler de ce qu’on a vu avant. Et quand un épisode est si riche en intrigues, en personnages émouvants et… en tout quoi, on met une demi-heure à taper un commentaire sur un forum alors qu’il ne faut généralement que dix bonnes minutes (la relecture comprise ;).

    L’ouverture m’a un peu étonné et je me suis demandé si j’étais bien en train de regarder la même série : la lumière avait un côté très californien, la caméra ne tremblait pas, on était à une piscine. C’est the OC !!!! Non, non, le ballon ovale me met dans le doute, mais c’est bien l’apparition de Matt et Landry qui m’a soulagé. Avant que je ne perde mon sourire l’instant d’après : 8 mois se sont écoulés et Julie regarde un latinos dont le nom m’échappe. Si le fait que ça n’aille plus très bien entre Julie et Matt ne me dérange pas énormément (c’est le lycée, ça va ça vient, c’est comme ça), j’ai eu très peur qu’ils se soient séparés pendant l’intersaison et ça, ç’aurait été très méchant. Mais il n’en est rien et le latinos ne sera, à priori, qu’un mirage (mais avec cette série, on ne sait jamais). J’ai apprécié de voir Julie évoluer et tenir tête à ses parents. Elle se rebelle et s’affirme de plus en plus, un bon point pour elle. Même si Matt n’a pas de scènes mémorables, il y a quand même celle du supermarché. Voir le coach Taylor s’inquiéter de la détérioration de la relation Matt/Julie était touchant quand on sait qu’il n’était pas très chaud au départ. J’ignore comment cette storyline évoluera mais je doute qu’il reste beaucoup de temps à Matt et Julie.

    Bien qu’il reparte pour Austin, Eric a retrouvé une sorte de complicité avec sa fille tandis qu’il s’éloigne de plus en plus de sa femme. Connie Britton était, pour changer, excellente dans cet épisode. La caméra s’attarde sur ses non-dits et on comprend parfaitement ses raisons quand elle se retient d’éclater en sanglot en présence de son époux.

    Du côté des Garrity, Lyla se plonge dans la religion. C’est sans doute un moyen pour elle d’oublier tout ce qu’elle a vécu l’an dernier et de trouver un sens à sa vie. Néanmoins, la scène des bénédicités souligne qu’elle n’a pas perdu son tempérament. Celle qui casse des voitures et jette des verres à la figure est toujours là. Son père ne s’en sort pas aussi bien. Une fois encore, la jalousie de l’ex-mari aurait vraiment pu être traité avec lourdeur et cliché. Et une fois encore, la série s’en sort avec maîtrise.

    Pour Jason et Riggins, je trouve qu’on ne les a pas assez vu dans l’épisode pour avoir quelque chose à dire mais j’imagine que leurs quelques scènes sont des préparations pour les futurs épisodes.

    Tyra et Landry sont tous les deux exceptionnels. L’appel à l’aide de Landry est drôle à souhait et acquiert une dimension universelle pour chaque geek n’ayant pas su si prendre lors de premiers rendez-vous. J’étais même crispé pour lui lorsqu’il allait tenter de se « rapprocher » de Tyra. Cette dernière a le droit aux scènes les plus angoissantes de la série. Je n’imaginais pas voir ressurgir l’histoire du violeur. La première agression qu’elle subie en manquant de se faire renverser était très intense. La « poursuite » en voiture remettait une couche. Lorsqu’elle demande à Landry de vérifier le jardin, j’ai d’abord pensé qu’elle allait devenir paranoïaque mais il n’en est rien. En effet la dernière scène, formidablement introduite par un plan jubilatoire où la voiture du violeur roule en arrière plan, nous confirme qu’il les observait depuis l’extérieur. Je dois dire que je n’ai pas compris pourquoi Tyra et Landry n’ont pas appelé le 911 juste après la bagarre. Ils étaient en état de légitime défense. L’homme n’était même pas saoul et avait violé la jeune fille huit mois plus tôt. C’est le seul point noir de l’épisode à mon sens. Et je n’ai vraiment pas hâte de voir des scènes où ils culpabilisent et où on retrouve le corps et où quelqu’un leur envoie une lettre clamant « je sais ce que vous avez fait, ça me dégoûte, je vais le dire » et où Tyra se tirera une balle de la tête avant de devenir voix-off de la série…

    Mais je devrais faire confiance à Friday Night Lights pour éviter les clichés et savoir traiter ses futurs intrigues avec toute la justesse qui la caractérise.

    • 2.01

      Globalement du même avis que Tomemoria. Je suis cependant un peu plus sceptique par rapport à la future gestion de la story-line du meurtre. Je ne vois pas très bien à quoi il sert au niveau de l’histoire, si ce n’est pour y revenir plus tard, après que quelqu’un ait découvert le corps. Je ne crois pas que c’était absolument nécessaire de le tourner comme ça pour que Landry et Tyra se rapproche davantage, si là est le but des scénaristes. D’ailleurs, je n’aime pas trop l’idée qu’ils se rapprochent, j’aime bien que Tyra reste cette fille inaccessible pour nous offrir encore quelques scènes mémorbales de Landry. Ceci dit, ça ne pouvait pas rester comme ça éternellement, ça fait évoluer les choses dans leur relation, on se dirige quelque part, soit vers une réelle relation (j’y crois moyennement), soit vers une plus grosse désillusion de Landry.

      Toujours par rapport à Landry... joueur de foot ? Vraiment ? Ça fait bizarre. Le foot et lui, en saison 1, c’était pas la grande amitié. Et puis, rentrer dans une équipe de football comme ça, alors qu’on en a jamais fait (même si on est pas sûr de ça, mais j’en doute), ça me paraît pas trop réaliste, mais bon... Tant qu’ils ne font pas le coup du nouveau joueur qui se révèle être excellent, comme l’année passée avec Matt, ça peut être sympa. Pour la petite histoire, j’ai lu qu’en réalité, Landry était le meilleur joueur de foot de toute la bande.^^

      Sinon, pas grand chose à dire sur le reste. Les Taylor, c’était excellent. Les Garrity, c’était très bon.

      Content de revoir tout le cast, tout le monde est de retour. On a pas vu Waverly, mais on a pas beaucoup vu Smash non plus.

      Bref, FNL est de retour et ça fait plaisir.

  • Si vous avez vu cet épisode via yahootv, sachez qu’apparemment ce n’était pas vraiment le premier épisode de la saison2 mais un melting pot des deux premiers épisodes.

    Bien sur, l’info reste à être vérifier.

    • Si vous avez vu cet épisode via yahootv, sachez qu’apparemment ce n’était pas vraiment le premier épisode de la saison2 mais un melting pot des deux premiers épisodes.

      Exact. Et toujours apparemment, certaines scènes auraient été retournées...

      (Je croise les doigts.)

  • 2.01

    Verdict... C’est mieux. La scène où Landry frappe l’agresseur a été retournée. Il n’y a plus de légitime défense, Landry le frappe, deux fois, alors que l’agresseur se barrait. J’ai envie de dire que ça rend le jeté de corps dans l’eau plus "sensé". Une chose reste quand même assez stupéfiante dans cette story-line, le fait que Tyra ne se barre pas à la vue de l’agresseur, mais se contente d’un "What are you doing here ?"...

    Mise à part ça, le reste est superbe, les musiques sont superbes et le nouveau générique est superbe.

  • 2.01

    Je ne sais pas trop quoi dire ni quoi en penser... J’ai trouvé que la storyline de Landry et Tara était bien trop intense et dramatique pour un season premiere. J’aurai préféré que l’épisode se concentre plus sur les difficultés de la famille Taylor et que l’on garde pour plus tard l’histoire du violeur. Parce que je ne retiens plus que ça de l’épisode, et qu’en plus, cette histoire de meurtre et de corps jeté dans la rivière va certainement détruire ce qu’a été jusque là la relation de Landry avec Tara. Plus de légèreté possible ; la dernière scène où Landy m’a fait rire était certainement celle du coup de fil à Matt dans la salle de bain... Ca me rend triste de devoir dire adieu à cette relation.

    Pour le reste, j’ai adoré, en particulier l’histoire de Julie et celle de Lila, la Reborn Christian. Parmi les différents mouvements religieux aux States, les RC sont probablement les pire : prosélytisme est leur mot d’ordre. Et ça parle de Jésus matin, midi et soir. Je trouve ça intéressant et cohérent que Lila se tourne vers ce mouvement et qu’elle soit aussi passive-agressive avec sa mère et son nouveau petit ami. Son échange avec Tim était excellent.

    Le nouveau coach est pour l’instant, assez détestable, j’espère que ça va changer et qu’il va prendre de l’ampleur, parce qu’il serait trop facile d’en faire un anti-Coach Taylor.

    La scène de l’accouchement est belle juste ce qu’il faut, et le "welcome to the family" d’Eric très émouvant sans sombrer dans le mélo. C’est cet équilibre que la série maîtrise.

    The Suede vs The Saracen, c’était bien vu et complètement compréhensible du point de vue de Julie. Elle aussi a peur de se retrouver enfermée dans un stéréotype... On ne peut que la comprendre, et c’est ça qui est intéressant.

    Ah oui et j’adore le nouveau générique ! J’adore j’adore j’adore !

  • 2x01

    Ah. J’ai pas aimé.
    Comme beaucoup, j’avais juste regardé le prégénérique, qui annonçait tout cela plutôt bien, très bien même. Et puis pouf, générique, que je trouve plutôt moche, et pas mal d’intrigues qui m’ont déçues. Déjà, de commencer avec Coach Taylor de retour, c’était assez déroutant, du fait qu’on ne nous ait absolument pas montré comment Julie et Tami vivaient la relation loin d’Eric. Pour Julie, j’ai trouvé ça un peu bateau comme storyline, même si je n’ai pas vu venir le rateau. Et puis j’ai une allergie envers les guitaristes, ça n’a pas aidé.
    La meilleure histoire était celle de Landry et Tara, jusqu’à la mort du violeur. C’était très mignon, très bien écrit, et comme l’a dit Tys, c’est complètement bousculé par cet évènement. A suivre, mais j’ai peu d’espoir...
    Le nouveau coach n’a rien pour lui, et c’est assez décevant de la part des scénaristes d’avoir ramené ce personnage aussi caricatural. Il est quelconque, et je crois que je ne saurais même pas le reconnaitre dans le prochain épisode s’il ne porte pas une casquette en râlant sur des gens.

    Déçu ! Très déçu... Mais j’en attendais sans doute trop. Voyons si la série continue sur cette lignée ou si elle redresse la barre.

    • 2.01

      Je ne suis pas encore convaincu.
      Mais comme d’habitude, l’avis excessif et rapide de Gizz me laisse sans voix. ^^

      Non, c’était vachement bien sur beaucoup de points, mais l’intrigue de Landry et Tyra me reste effectivement en travers de la gorge. Leur relation était trop agréable à suivre, et maintenant j’ai bien peur que ce ne soit plus jamais le cas... non, mais vraiment, ils tuent le mec et se débarrassent du corps dans une rivière ?

      A part ça, j’ai aimé tout le reste, ce qui est d’autant plus rageant.
      Les Taylor sont formidables, la scène de Riggins et Lyla est très drôle (et c’est une bonne idée d’avoir fait de la pas très aimable Lyla une Crazy Christian), le nouveau générique est chouette (de toute façon, les séries avec des vrais génériques sont toujours mieux que les autres à mes yeux), en bref, c’était vachement bien... mais alors le retour du violeur... quand même...

      Le nouveau coach n’a rien pour lui, et c’est assez décevant de la part des scénaristes d’avoir ramené ce personnage aussi caricatural.

      C’est là que je te trouve un peu rapide, Gizz.
      C’est le premier épisode, on ne peut pas leur en vouloir pour si peu, surtout que Riggins, Smash et compagnie étaient plutôt caricaturaux eux aussi lors du pilote...

  • s02e01

    Déjà, de commencer avec Coach Taylor de retour, c’était assez déroutant, du fait qu’on ne nous ait absolument pas montré comment Julie et Tami vivaient la relation loin d’Eric.

    Pas eu besoin de voir Tami soupirée pendant 4 épisodes devant la photo de son mari partie au loin pour comprendre que ça ne se passe pas super bien. En quelques scènes, quelques phrases tout est sous-entendu.

    Le nouveau coach n’a rien pour lui

    On la vu vraiment sur deux courtes scènes. Attendons un peu avant de jeter l’anathème sur Chris Mulkey et son personnage (et ne pas reconnaître Mulkey avec ou sans casquette faut le faire Gizz, faut vite que tu vois Twin Peaks.)
    Comme le souligne Ju (au fait… C’est perturbant d’avoir un Ju-Rocks d’ailleurs, deux Ju ça va être dur à gérer) la plupart des personnages ont été développés sur toute la saison (là, pour le coach faut juste espérer qu’on en a une cette année.)

    mais l’intrigue de Landry et Tyra me reste effectivement en travers de la gorge.

    Et

    Ca me rend triste de devoir dire adieu à cette relation.

    Effectivement, Katims a franchi un point de non-retour. C’est d’ailleurs assez extrême comme situation et loin du ton de la série je trouve. Même si on peut comprendre la fureur de Landry, après tout le fantasme du "knight in shinny armor" existe bien, plus rien ne sera comme avant.
    Je suis quand même curieux de savoir comment ils vont gérer ça, avec l’espoir qu’il s’en sorte sur cette storyline.

    En tout cas content de ce retour, content de réentendre la ziq, j’aime bien moi aussi le nouveau générique. L’attente à été longue, espérons qu’elle ne gâche pas ces retrouvailles.

  • 2.01

    Je suis très mitigée. J’avais l’impression de naviguer entre des scènes de FNL et des moments d’une autre série où il y a des djeunz en maillot de bain, de la musique de djeunz, et des djeunz sortis d’un Law&Order qui balancent des cadavres à l’eau. Très très bizarre. Surtout que j’ai dû entendre Explosions in the Sky deux minutes en tout et pour tout.

    J’ai quand même eu les yeux humides à plusieurs moments, déjà rien que devant le nouveau générique, et il y a des scènes franchement magnifiques. Mais ce season premiere reste étrange et je n’ai pas encore complètement retrouvé ma série. J’essaie de me dire que c’était sa petite crise de série perdue, qui essaie de reprendre ses marques, une grosse et belle métaphore sur ce qui arrive aux personnages, qui doivent se réajuster. Complètement tiré par les cheveux, mais j’en ai besoin.

    Nan mais sérieusement, pourquoi ce jeté de cadavre plutôt que la réaction intelligente digne d’eux ? Je ne veux pas voir FNL devenir un mélodrama, pitié... si j’étais croyante, je crois que je prierais.

  • 6.5 millions de téléspectateurs pour ce season 2 premiere, soit 200 000 de plus que pour le season 1 finale.
  • 2*01

    J’ai beaucoup aimé ! Les virages dans les storylines des personnages sont parfaitement amorcés tant ils leur restent fidèles et l’exécution est toujours aussi sublime.

    J’ai même eu un regain d’intérêt dans Lyla, Tyra, et leurs relations respectives. La scène avec Tim était très intéressante (oui, il se pourrait que je sois légèrement shipper) et comme pour la scène avec les bénédicités on voit qu’elle reste tiraillée entre son rôle de jeune chrétienne modèle et son caractère moins docile qu’il n’y parait. Le tout, traité avec humour. Tyra devient un personnage de plus en plus attachant et je continue à espérer contre toute attente que son lien avec Landry va perdurer (par contre il faut qu’il abandonne le foot, sérieusement).

    Pour Jason et Riggins, je trouve qu’on ne les a pas assez vu dans l’épisode pour avoir quelque chose à dire mais j’imagine que leurs quelques scènes sont des préparations pour les futurs épisodes.

    C’est là que je trouve le nouveau Coach intéressant. On voit bien dans la scène où Riggs quitte le terrain que s’il est resté l’adolescent légèrement dégénéré qu’il était (voire qu’il a régréssé, où sont passés Bo et sa mère ?) Street est lui beaucoup plus mature et la proposition que lui fait le Coach trouve tout lieu d’être.

    Ensuite on sent que quand Eric se réfugie chez Buddy (j’adore ce fait au passage) il se retient de lui dire que le Coach a bien raison : il est très chiant ! En plus ça représente tout à fait ce que je peux ressentir pour le personnage, il est insupportable la plupart du temps mais je ne peux pas m’empêcher de l’aimer quand même.

    J’aurai préféré que l’épisode se concentre plus sur les difficultés de la famille Taylor et que l’on garde pour plus tard l’histoire du violeur. Parce que je ne retiens plus que ça de l’épisode,

    J’ai été spoilerisée par les merveilleux ! teasers au sujet de l’histoire du violeur et elle m’a donc moins marquée. J’ai surtout ressenti beaucoup, beaucoup de nostalgie en voyant ce qu’est devenue la famille Taylor. Et les quelques scènes suffisent quand on a un Kyle Chandler et une Connie Britton. On ne peut pas dire la même chose de leur fille et c’est là le seul reproche que je ferai à l’épisode. L’actrice est mignonne, certes, mais c’est aussi la moins douée du cast. Elle ne m’a pas convaincue dans la voiture, ce qui a rendu bancale une scène qui aurait du être magnifique. Il faut aussi dire que le personnage en lui même ne m’a jamais intéressée si ce n’est de façon indirecte, à travers ses parents et dans une moindre mesure, Saracen. Alors quand elle se transforme en incarnation parfaite de ce qu’est l’age bête et ingrat dans des scènes à rallonge, ça m’agace. Ces scènes auraient été mieux mises à profit avec un autre personnage.

    Nan mais sérieusement, pourquoi ce jeté de cadavre plutôt que la réaction intelligente digne d’eux ? Je ne veux pas voir FNL devenir un mélodrama, pitié... si j’étais croyante, je crois que je prierais.

    ET

    6.5 millions de téléspectateurs pour ce season 2 premiere, soit 200 000 de plus que pour le season 1 finale.

    J’étais aussi très perplexe au départ et puis je me suis rendue compte que de ce point de vue là, l’épisode ressemblait au pilote. L’accident du parfait golden boy qui finit en fauteuil était aussi une idée éculée et pourtant la série a évité les clichés et n’ a pas sombré dans le pur drama. Alors je garde espoir, et puis si ça attire des téléspectateurs en plus, tant mieux.

  • 2.01 Last Days Of Summer

    On l’attendait depuis de trop nombreux mois, on envisageait, dès le final de la première saison, nos Vendredis avec une morosité démesurée et une Nostalgie à briser notre coeur de fan et voilà que Peter Berg et sa petite troupe rempilent pour une Seconde Saison débutant sur une note plus que positive : Le Season Premiere est excellent, voire brillant !

    Nous assistons à un spectacle qui s’allonge sur tous les niveaux, que l’on évoque la photographie (Une marque de fabrique ? Of Course !), les cadrages et plans choisis par le réalisateur, les dialogues qui s’aventurent une nouvelle fois avec brio dans l’humour et le drame, les nouvelles bases scénaristiques mis en avant et, bien entendu, la B.O qui risque de faire parler d’elle, comme l’année dernière. Il est donc temps de passer aux choses sérieuses et d’analyser en détails, s’il vous plait, ce premier épisode :

    - Commençons tout d’abord par le générique qui fait peau neuve. A vrai dire, j’n’ai jamais vraiment été partisan des changements à ce niveau là puisque pour moi il s’agit du Code de barre d’une série, cette donnée d’informations qui te définit le show, mais alors là j’ai été agréablement surpris. Fondamentalement, il n’est pas transformé sur le fond mais de nouvelles petites scénettes (Donc toutes pitites pitites scènes) voient le jour sur un Your Hand In Mine remixé et différent de la première saison. Ce générique annonce la nouvelle saison sans dénaturaliser la série, il s’agit donc ici d’un choix qui porte ses fruits et qui ne choque pas, au contraire...ça nous donne une sacrée envie de visionner la suite !

    - Tyra et Landry, les Amoureux maudits ?! Rha oui, j’pense qu’il faut vraiment commencer l’analyse par ce qui divise les Fans actuellement. Alors oui, cet arc scénaristique peut en choquer plus d’un vu l’intérêt minime que cette mort peut apporter à la suite de la saison, alors oui on ne peut ne pas comprendre où les scénaristes veulent nous amener, ce à quoi ils pensaient quand ils ont écrit ces lignes sur le papier, alors oui c’est du vu et du déja vu et ça semble bien trop inapproprié à l’égard des autres scènes mais j’ai juste une chose à dire : Rappelez-vous de Jason, et de son accident !
    Friday Night Lights reste une série tout à fait réaliste qui sait mettre en place une base scénaristique pour la développer parfaitement tout au long de la saison (L’accident, l’évolution de Jason durant tout le championnat...), et c’est pourquoi j’ai du mal à comprendre la réaction d’un grand nombre qui expulse toute leur rancoeur face à cette scène, en craignant de voir leur série dériver vers un Teen Show réussissant à aborder de manière totalement maladroite les problèmes qui occupent la vie des adolescents. J’ai du mal à comprendre cette réaction tout simplement parce que nous connaissons tout le potentiel de l’équipe scénaristique, et tout simplement parce que cette scène a loin d’être choquante. Il s’agit de la conséquence directe de la tentative de Viol subi par Tyra, une conséquence qui a poussé Landry à faire l’irréparable. C’est sûrement cette mort qui a gêné la plupart d’entre nous, parce que c’est la première dans la série et que ça nous tombe comme ça après un développement de leur relation sur une base cocasse, mignonne (Landry mettant de la crème solaire sur le dos de Tyra, Landry téléphonant à Matt pour avoir des conseils...).
    L’atmosphère oppressante qui n’a cessé de régner tout du long de ces scènes n’ont fait que rendre cette mort belle dans le sens où les deux adolescents ont été dépassés par les évènements et ne réalisent leur acte que quelques minutes plus tard. FNL nous a déjà offert de magnifiques scènes, cette dernière vaut également son pesant d’or ne serait-ce que pour son issue et les répercussions que cela aura sur la suite : Qu’en est-il vraiment ? L’ont-ils jeté dans la rivière ou l’ont-ils laissé dans la voiture ? La relation Tyra/Landry est-elle vouée à l’échec ou au contraire cette mort les rapprochera-t-elle encore plus ?

    - La relation Julie/Matt, what happened during this 8 months ? Nettement plus difficile à digérer dans le sens où j’m’y attendais pas du tout. Certes ils sont toujours ensemble mais dès les premières secondes on sent bien que quelque chose cloche et que quelque chose s’est passé (Ou pas !) entre eux lors des derniers 8 mois . J’aime la tournure, j’aime cette façon de construire et de briser le couple en sous entendus et en nous offrant de belles scènes mêlant regards équivoques, comportement nous rappelant les débuts et des dialogues qui frôlent la gène et la culpabilité. Il s’agit là encore d’un cas d’espèce dans le sens où on ne tombe pas dans le cliché, on évite heureusement le coup du " Il m’a trompée avec une salo** pendant que j’étais partie en vacances chez ma Tante " ou celui du " Elle m’a jeté comme de la merde, et j’sais même pas pourquoi ! ", et ça j’aime... j’adore même ! C’est nettement plus complexe et recherché, et lorsque la raison tombe on en vient presque à ne pas comprendre Julie : Cette dernière trouverait leur couple trop parfait, et aurait peur de devenir comme ses parents, une chose qu’elle ne peut accepter puisqu’à 16 ans elle mérite de vivre quand même autre chose avant d’arriver à un tel point. On en viendrait presque à ne pas la comprendre mais en fait on la comprend car il est vrai qu’à cet âge là, les premiers amours peuvent se révéler éperdument illusoires et fonder de faux espoirs. Julie en a fais les frais, et avant de devenir comme ses parents qui connaissent en ce moment plus de bas que de haut, elle voudrait vivre autre chose et ne pas tomber dans ce cliché " Premier amour pour toujours ". J’ai dit que j’adorais cette série ?!

    - Tamy And Eric Taylor, the Perfect Imperfect couple ! J’ai toujours adoré le personnage de Tami, cette femme simple, honnête, juste dans ses principes et jouant le rôle de symbole pour toutes les vérités qui nous font fasse quand on fait une connerie ou quand on fait fait face à un dilemme plus que vital. Tami est cette femme que tous les hommes désirent, en secret, d’avoir, elle est cette femme qui n’utilise aucun subterfuges pour arriver où elle veut, elle reste parfaite en somme. Enfin bref, la gestation a bien avancé et les huit mois qui viennent de passer poussent la petite Grace à sortir plus vite que prévu (3 semaines pour être exact), et la famille Taylor s’agrandit donc un petit peu plus, malheureusement ce n’était peut être pas le bon moment. A l’image d’un couple Julie/Matt battant quelque peu de l’aile, les seniors ne réussissent plus à vivre comme avant et sont obligés de passer le peu de temps qu’ils ont ensemble, du au coaching d’Eric au sein de la TMU, à mettre au clair les choses qui ne vont pas... et après une scène mémorable, pratiquement construite que sur des non-dits, on comprend que tout tourne autour de l’éloignement entre le Coach et le reste de la famille. Les pleurs de Tami ne peuvent que renforcer cette idée, le malaise sentimental trouve son origine dans ce job et la dernière scène qui met en avant Eric repartant d’Austin nous fait bien comprendre que si ça continue sur cette voie là, le couple le plus emblématique de la série risque de se briser. Il a donc intérêt à trouver un moyen de le sauver, ne serait-ce que pour la stabilité de la famille !

    - Les autres points qui sont loin d’être négligeables et qui offrent encore plus de profondeur à l’épisode :

    Lyla qui ressuscite dans les bras du Seigneur, un revirement religieux assez extrême qui à défaut de nous surprendre inquiète quelque peu Tim (Même s’il le prend sur le ton de la moquerie. Toujours aussi fin, remarquons le. Sacré Riggins). Ce regroupement religieux, qui pourrait s’apparenter à une secte (Comme le fait remarquer Tim. Encore !), risque bien de rester en premier plan concernant la vie de Lyla lorsqu’on voit les prises de position qu’elle tient lors de l’épisode. Va-t-elle prêcher la bonne parole dans tout le groupe ou va-t-elle être freinée dans son ascension biblique par l’un de ses proches ?!

    Le clash qui va pouvoir naître entre le nouveau Coach des Dillon Panthers et Jason. Les deux hommes ont chacun leur propre vision, et le fait de pousser Riggins jusqu’à ses plus profondes limites physiques, n’a fait que renforcer le gouffre. Il risque donc d’y avoir une certaine précarité dans leur dialogue, et ils risquent d’en venir aux mains assez rapidement. Le pauvre n’est pas habitué à une telle vision de l’entraînement, et son expérience avec Eric Taylor ne peut que lui faire encore plus déprécié le nouveau.

    Le développement du personnage de Buddy. J’adore et j’adhère totalement ! Nous avions tellement l’habitude de le voir se vautrer dans les frivolités sexuelles et financières lors de la saison précédente qu’il est difficile de le voir là, totalement ivre, avachi sur le canapé de son entreprise et prêt à saigner le mec qui sort avec sa femme quand cette dernière le ramène devant le garage à tutures. J’aime le voir dans cet état car son malheur actuel (Se réfugiant dans l’alcool, sa femme sortant avec un autre, viré du terrain de foot par le nouveau coach...) est aux antipodes du bonheur dans lequel il baignait lors de la saison 1 puisque c’était lui qui couchait avec d’autres et qui était le rempart financier de l’équipe de foot’. Il sera donc intéressant de rester attentif à son évolution, juste pour voir où il est prêt à aller pour récupérer tout ce qu’il avait.

    La dernière scène qui est l’une des preuves de la qualité omniprésente dans la série. Avec seulement une bonne musique, une sélection appropriée de transitions et des scènes tout simplement magnifiques, nous avons affaire à cette force qui fait Friday Night Lights. Si nous ne savions pas que le football tenait une place importante, voire vitale, dans la vie de la collectivité texane, on ne pouvait que le constater lors de cette scène. Tout le monde était là sans exception, tout le monde a fait son apparition (La maire, les parents de Jason, la mère de Smash...) et tous les fans ne peuvent qu’être aux anges. Merci Friday Night Lights !

    Bilan : Le meilleur Season Premiere 2007-2008 ( Comment ça c’était pas forcément difficile ? Médisants va. Hum hum). On retrouve l’univers de la saison 1 tout en partageant de nouvelles bases scénaristiques qui s’avèreront nettement plus sombres pour certaines. L’équipe a su ne pas tomber dans le facile et l’incapacité à renouveler la qualité qui jaillissait de tous les côtés. Bravo les gars et on attend la suite avec plus d’impatience que la normale ! Bémol ? Oui juste un, un peu plus que trois secondes d’Explosion In The Sky la prochaine fois !

    SuSu

  • justement, est ce que quelqu’un connaitrait le nom du groupe qui illustre les scènes d’ouverture et de fermeture de l’épisode 1 saison 2 (je ne parle pas du générique...)... Impossible d’avoir des infos... Grand merci d’avance
  • Alors pour te répondre :

    Lorsque tout le monde est dans la piscine il s’agit de : Bang a Gong (Get it on) - T-Rex

    Ensuite lorsque Tami perd les eaux et accouche de Grace, c’est : Muzzle of Bees - Wilco (Et à mon avis, c’est celle là qu’on entend également à la toute fin... même j’en suis sur maintenant ^^)

    A votre service !

    SuSu

  • Ah je suis bien contente que le nombre des téléspectateurs ait augmenté ^^

    Sinon je viens de lire la review de Tigrou et je suis en parfait accord avec tout ce qu’il dit.

    Je me disais tout aussi bien "Bon c’est vrai que c’est elle qui l’a poussé à partir mais en même temps tu peux pas la laisser là avec un mioche braillant et affreux Eric. Steuplé."

    Sinon Julie m’a profondément émue dans la voiture. Le fait qu’elle lui dise qu’elle ne veut pas finir comme lui et sa mère, c’était bouleversant. Son "There’s has to be more than this" est affreusement triste.

    Comme tout le monde, Landry et Tyra.. Je ne vais pas non plus redire tout ce qui a été dit, mais contrairement à la plupart, je ne les ai jamais imaginé en couple. J’adore les relations comme ça, et je m’apprêtais plutôt à voir Landry se recevoir un joli vent, être en rogne, et puis finalement accepter cette relation d’amitié.
    Bon finalement personne ne sera satisfait vu que l’intrigue de la mooort est entré en chemin.

    Sinon tous les autres fidèles à eux mêmes, j’espère que le prochain épisode se concentrera un peu plus sur Tim. Je dis ça je dis rien moi.. ^^

    Contente de ce premier épisode. Go Panthers !

  • Désolée j’ai dit Tigrou à la place de Feyrtys ! Nimporte quoi.. u_u Je m’excuse sincèrement ô chère Feyrtys.
  • 2x02

    Un très bon épisode qui m’a plu de bout en bout. Du FNL comme je l’aime. J’ai même moins tiqué pendant le nouveau générique (légèrement).

    Jason n’a pas complètement accepté son handicap, et rien de plus normal, mais ça me plait beaucoup que lui, le personnage si parfait, si fort moralement, ait tout de même ses failles. Ça nous rapelle qu’après tout il n’est encore qu’un adolescent qui a vécu un traumatisme, et c’est fait de manière très touchante. Entre son rêve (avec Tami, oww !) et le chirurgien au Mexique j’étais très inquiète de le voir se faire de faux espoirs mais je ne pouvais pas m’empêcher en même temps d’espérer avec lui.

    La relation Lyla et Tim (sigh) est encore une fois très bien gérée. Le coup du j’embrasse la pouffe du coin délibérément devant toi pour te rendre jalouse et je me casse le sourire aux lèvres c’était juste excellent. Et j’ai beaucoup aimé la façon dont chacun s’ouvre et laisse un peu tomber le masque quand ils se retrouvent ensemble à la fin de l’épisode. Elle a moins son coté cold moralisatrice bitch et lui laisse s’exprimer son côté doux et oh so charming ! Ça y est je suis définitivement shipper.

    L’intrigue du meurtre est traitée en termes de répercussion sur les personnages plutot que d’enquête criminelle foireuse à pseudo suspense ce qui reste totalement dans l’esprit de la série. Elle nous donne encore de très belles scènes avec deux acteurs très justes et très attachants. Je n’avais vraiment pas vu venir la dernière scène et elle m’a mise mal à l’aise dans la mesure où j’ai eu l’impression que Tyra "se donnait" à Landry pour soulager sa culpabilité. En même temps, c’est peut être dû au fait que je ne les avais jamais imaginés en couple de cette manière et que j’étais parfaitement satisfaite de leur amitié.

    Et surtout the question finit par être posée : mais au fait Eric pourquoi est-ce que tu as laissé ta femme parfaite toute seule avec une ado très ado et votre nouvé né ? hein ? hein ? A voir comment Tami se débattait et comment le Coach était traité (c’est moi ou son boss a bien insisté sur le fait qu’il soit né pour être highschool coach ?) j’avais juste envie de pleurer, crier, prier pour qu’il revienne immédiatement à Dillon.

    Ah oui, et les nouveaux personnages sont cool. ^^

    • 2.02

      Je me sens rassurée aussi. Surtout parce qu’à mesure que l’épisode avançait, j’ai eu l’impression de retrouver ma série, déjà rien qu’avec les chansons trop présentes qui ont progressivement disparues pour relaisser de la place à l’ambiance habituelle. Même si je trouve les dialogues encore un peu trop explicatifs, c’était plus fin avant, mais je chipote parce que ce n’est pas lourd non plus. Bref je me dis que les changements qui m’ont déplus depuis le season premiere vont s’effacer assez vite, une fois que les nouveaux spectateurs auront été habitués au style particulier de la série. J’espère que je n’aurai pas tort.

      Tami et Jason m’ont fait pleurer, Tami et Glenn (je l’aime bien le newbie) m’ont fait pleurer (deux fois !), Landry et Tara m’ont fait pleurer... C’était trop bien ! ^^ Je n’aime toujours pas le fait qu’ils aient balancé le corps, mais les échanges auxquels ont a droit sont tellement bons que cela fait pardonner un peu.

      Je n’avais vraiment pas vu venir la dernière scène et elle m’a mise mal à l’aise dans la mesure où j’ai eu l’impression que Tyra "se donnait" à Landry pour soulager sa culpabilité. En même temps, c’est peut être dû au fait que je ne les avais jamais imaginés en couple de cette manière et que j’étais parfaitement satisfaite de leur amitié.

      Je l’ai vue venir, mais sinon j’ai les mêmes sentiments à leur égard. Cela ne me dérange pas complètement qu’ils deviennent un couple, mais cela me fait un peu bizarre. Cela fait persister cette vieille croyance que si tu persistes et que t’es gentil, la jolie fille te verra plus que comme un ami un jour, ce qui n’est pas du tout réaliste. Mais bon, ici ce n’est pas trop grave...

    • Cela fait persister cette vieille croyance que si tu persistes et que t’es gentil, la jolie fille te verra plus que comme un ami un jour, ce qui n’est pas du tout réaliste.

      Ouais ça devrait d’ailleurs être inscrit dans n’importe quel programe scolaire, placardé sur tous les frontont, rabaché dans tous les manuels, tatoué sur tout les bras des garçons à la naissance, utilisé comme phrase choc sur le papier peint de leur chambre, et inscrit sur tous les manuels de jeu que les geeks, nerds, otaku utilisent, parce que bon, faut avouer on est un peu con à continuer d’y croire... :D

      En même temps, c’est la faute aux films, séries et FNL en particulier ! Mais bon je continue à aimer la série.

  • 2.02

    C’était vraiment très bon.
    J’ai eu un peu de mal au début de l’épisode, contre-coup de la fin du précédent sans aucun doute, mais après quelques minutes j’étais à nouveau à fond dedans, et j’ai trouvé le tout très maitrisé.

    Connie Britton est fabuleuse, l’histoire du meurtre est... c’est bien géré, mais... enfin on verra.

  • Je commets peut être un crime odieux... mais j’ai commencé la série à partir de la saison deux. Je suis déjà accroc même si je comprend pas tout, je n’ai aucune idées des raisons pour lesquelles le coach et sa femme vivent séparement, et je ne sais même pas les prénoms des personnages, sauf pour Landry et Tara (aka Grace Park avec une perruque blonde).

    Et puis mince, vous aviez raison, Connie Britton elle assure.

  • s02e02

    Je l’avoue sans honte j’ai chialer à la scène de fin (Men are the new women disent les bellâtres de big shots, je fais finir par le croire) Plemons et Palicki sont parfais.
    Le reste de l’épisode est quasi parfait. Surtout la fin du monde de Garrity.

    Je commets peut être un crime odieux... mais j’ai commencé la série à partir de la saison deux.

    Ce n’est pas un crime, ce n’est pas odieu, mais bon... Surtout que comme tu le dis, tu passe à côté de l’essentiel de la série qui est quand même la relation entre personnage. Autant pour Smallville tu peux prendre n’importe quelle saison en route avec n’importe quel épisode, là je crois que ce n’est pas possible. ;)

    • Autant pour Smallville tu peux prendre n’importe quelle saison en route avec n’importe quel épisode,

      Et je peux même dire lesquels prendre au hasard et lesquels jeter à la poubelle. :D

      2.02

      C’était vraiment du très beau Friday Night Lights.

      J’aime beaucoup l’arrivée de l’assistante sociale qui vient aider Matt à s’occuper de sa grand-mère. Ça sera un bon moyen pour que son intrigue rebondisse et ne s’attarde pas sur sa rutpure avec Julie.

      Celle-ci m’agace de plus en plus. Je n’aime ni sa relation avec le suédois, ni le fait qu’elle laisse entièrement tomber sa mère et je déteste par dessus tout l’entendre râler tout le temps. Cependant, c’est tout à fait réaliste qu’une ado réagisse comme ça mais quand même j’ai hâte de la voir gagner en maturité.

      Lyla et Riggins qui se rapprochent à petit feu, c’est mignon. Ça n’est pas forcément très original mais c’est bien traîté et ça rejoint l’intrigue du père Garrity, au bout du rouleau. Alors que demander de plus ?

      L’intrigue du coach Taylor était également assez classique et j’ai cru qu’on allait nous refaire le coup de Voodoo mais le jeune dont il s’occupe me semble plus proche de Smash, qu’on ne voit pas du tout de l’épisode. :C

      L’histoire de Tami est sans aucun doute la plus touchante. Cette femme forte qui n’arrive pourtant plus à joindre les deux bouts n’admet ses echecs et son manque de lucidité qu’en fin d’épisode et ça sonne parfaitement juste.

      Je n’ai jamais été embêté par l’intrigue de Tyra et Landry. J’ai tendance à me laisser porter par le vent et il faut vraiment que ce soit mauvais pour me faire tiquer. Si un meurtre a pu m’effrayer à la fin du 2.01, je suis à présent totalement certain que tout sera géré avec maîtrise.

  • Bon moi, je n’en suis qu’au 201

    Le nouveau générique m’a fait bizarre. Mais comme ça avait été le cas avec Veronica Mars, on s’y fait vite.

    La scène d’intro à la piscine était excellente. C’était marrant de revoir Matt et Landry discuter comme lors du premier épisode de la saison 1. Et puis, voilà un vrai bébé, tout petit et dégoulinant !!
    J’adore les Taylor (je postule pour aider Feyrtys à retirer le polo du Coach Taylor !!)
    (bon, Julie fait sa crise, mais c’est compréhensible et totalement humain. N’empêche qu’un Matt Saracen ça se mérite !!)

    On a eu droit à un petit bout de tout le monde, jusqu’à ma scène préférée où Grandma Saracen embrasse CT ! J’adore les Saracen.

    Et puis, la fin. j’ai été spoilé sur ce coup là et m’attendais au pire. Ben, pourtant, je ne vois pas vraiment où est le problème. J’ai assez confiance aux scénaristes pour gérer cela de façon intelligente et pas trop dramatique... on verra.

    Petits points légèrement négatifs, Landry dans l’équipe de foot, ça me fait bizarre. Est-ce que ça va durer ? Est-ce que cela va entrainer des tensions entre Matt et Lui ? J’aimais bien le fait qu’il soit extérieur au Panthers.... en parlant de foot, je ne suis pas une fana de sport ect.. mais là ça m’a franchement manqué. J’ai hâte de revoir un match (voire plus de séances d’entrainement).

  • Bon, histoire de situer un peu, je me suis fait les épisodes 15 à 22 hier jusqu’a 6 du mat (allez vous arretter quand vous avez le DVD vous !). J’ai passé mon temps à reveiller tout le monde en me marrant, et à pleurer. Oh, j’ai aussi adopté toutes les positions possibles en solo sur mon lit pendant les parties.

    2.01 - Last Days of Summer
    2.02 - Bad Ideas
    Je crois que vous avez la mémoire courte, le premier épisode d’FNL était bien plus unidimensionnel que cette petite scène de piscine. Primo Tyra a toujours été sublime et les cadreurs ne se sont jamais privés de le montrer. Mais dans le pilote, elle était beaucoup plus mise en avant comme la contre-bombe face à Lyla.

    Enfin cette scène ne m’a pas plus supris que ça, hormis que j’étais très très faché contre Julia, et un peu moins contre Matt (qui m’agace toujours un tantinet avec sa façon de parler, même si c’est un personne point de vue que j’aime beaucoup).

    Ce qui est intolérable par contre, c’est l’absence du sublime plan de coucher de soleil qui ouvrait le générique de la saison 1 comme une claque. Il y a beaucoup de plans très laids dans le générique, et je parle pas de plans "gris" comme vous dites, simplement de mauvais plans, avec un cadrage sans interet, une image floue mais pas artistique du tout. Bref rien à voir avec l’original qui présentait très bien l’univers visuel de la série et qui chopait les yeux et le coeur à la première note. J’ai cru remarquer des changements au second épisode, ça mérite d’envoyer des lettres enflammés aux Jeffrey, Jason, Peter et compagnie.

    Enervé comme à peu près tout le monde par l’intrigue (c’est mignon de dire storyline, sauf que c’est ridicule quand il y a un mot équivalent en français) de Tyra et Landry, mais j’étais partagé entre la crainte d’une intrigue forcée comme le voyait Feyrtys, et un "ne leur donnont pas ce qu’ils veulent" un peu extrème.
    Le second épisode m’a rassuré sur ce point là.

    Au niveau de la famille de l’entraineur, c’est très interressant de voir le "Behind The Lights" du DVD de la saison 1 juste avant ces deux premiers épisode parce que justement la décision de Mrs Taylor était apparement critiquée sur le tournage même, incomprise. Il me semble que Connie Britton avait du mal à comprendre où son personnage voulait en venir.

    C’était un peu mon cas, jusqu’a ce que la replique "je ne veux pas que tu tiennes ce bébé responsable".
    En effet ça me parait sain (dans la mesure ou l’on se dit que la séparation sera courte en distance, et en temps) de ne pas faire de compromis sur les rêves et les aspirations des différents membres d’une famille.
    Un Coach Taylor pétri de regrets de ne pas avoir tenté sa chance en début de saison 2 m’aura profondément énervé, parce que c’est justement le genre d’attitude qui corresponds plus aux adolescents de la série qu’aux adultes.

    Bon bref, les ch-ch-ch-changes m’ont fait peur, mais le second épisode est solide.

    PS : I’m gay for Tim Riggins

  • Oui les épisodes fabuleux sont de retour.

    J’ai tout adoré. Je veux pas dire trop de choses sinon j’aurai l’impression d’agresser la beauté des choses, des répliques, des personnages.

    C’est juste superbement magnifique.

    Et puis Coach Taylor a intérêt à revenir.

  • 202

    Oh que c’était bien, encore une fois.

    Tami et Jason m’ont fait pleurer, Tami et Glenn (je l’aime bien le newbie) m’ont fait pleurer (deux fois !),

    Pareil, la scène à l’hopital m’a brisé le coeur. Et puis j’adore déjà Glenn.
    Quant à Jason, ce personnage devient de plus en plus attachant.

    Je n’ai toujours pas de réticence par rapport à l’intrigue du meurtre, toutefois la dernière scène m’a un peu dérangée (ce qui, à mon avis, est une bonne chose). Contente de voir le père de Landry.

    Sinon, j’ai quand même hâte de voir plus de Smash (et Maman Smash aussi) qui n’est actuellement présent que par les remarques de Matt.
    J’ai aussi hâte de voir plus de football.

  • 2.03

    C’était déprimant et je n’ai pas aimé la tournure qu’ont pris les évènements même si ça reste un bon épisode dans l’ensemble.

    Pourtant ça commençait très bien, j’ai adoré les premières scènes :

    Tyra avait une réaction normale en se réveillant : I made a huge mistaaake mais la revoilà 2 minutes plus tard qui se met à faire les yeux doux à Landry, parceque vraiment, c’est un gentil garçon, et tout le monde sait que c’est irrésistible.

    Dans le genre girouette, Mac Gregor qui offrait hier à Street le choix d’être un vrai Coach change d’avis et décide que ben non, finalement il sera une mascotte. Tout ça pour mieux coller à l’idée que Buddy s’en fait : "he is mean. he is evil". Je n’attendais que ça, que Coach Taylor revienne, et j’ai hâte de voir la polémique que ça va soulever dans la ville, mais je suis un peu déçue de la façon dont ça a été fait. Certes Mac Gregor n’est pas un bisounours, mais je ne vois rien de mal à ce qu’il utilise au mieux son meilleur joueur. Le but est de gagner, pas que tout le monde ait son quart d’heure de gloire. Après tout Taylor faisait fouiller les poubelles à Saracen avant d’avoir besoin de lui.

    Julie me gonfle sévère, elle a beau être une ado, il y a des limites, j’étais très contente que Tami la giffle (c’est d’ailleurs bien dommage qu’elle ne l’ait pas mise K.O). Je ne comprends plus ses réactions, après tout elle a eu ce qu’elle voulait : rester à Dillon et le swede moche, et c’est plus vraiment de son age d’être jalouse de sa petite soeur.

    Enfin la storyline de Tim était bien glauque. Son frère se tape son ex (est-ce que Bo est content d’avoir gagné un oncle et un papa en même temps ?) histoire de lui faire comprendre en douceur qu’avec elle, c’est fini. Et puis florilège de scènes dérangeantes : à l’Eglise (fuis TIm ! fuis !) dans la chambre de Lyla (mais arrète de mentir !) et avec Street en route vers le Mexique(ton cerveau a-t-il fait une fugue ?). Tout ça pour nous dire que non, seul parmi tous les autres personnages, Tim n’a vraiment pas changé (enfin si, il se balade torse nu et ça c’est Le Bien !)

    • C’était déprimant et je n’ai pas aimé la tournure qu’ont pris les évènements

      Il est question de jeunes qui ont perdu leurs repères. Il est question d’amour, de Dieu, de larmes, de doutes, de jalousie et c’est jubilatoire. Déprimant, je ne sais pas (il faut dire qu’après la Strada, ça ne pouvait quand même pas rivaliser). Mais magnifique, j’en suis certain.

      Julie and the swede

      Même celle de Julie que je trouvais exaspérante la semaine dernière m’a convaincu. Il aurait été dommage de la voir se sentir parfaitement à sa place parmi ses nouveaux potes. D’ailleurs, ils restent pour la plupart dans l’anonymat le plus total et ce parti pris de réalisation a un sens clair : Julie ne les connaît pas et ce qu’ils disent ou ce qu’ils sont ne lui importe pas vraiment. On ne voit que le suédois. L’apothéose de cette intrigue est bien sûr la confrontation avec Tami. Mais si elle avait bien cherché sa gifle, le fait qu’elle veuille s’enfuir plutôt que de revenir dans sa maison n’est pas à prendre comme un simple caprice d’adolescente. C’est un appel au secours.

      elle a eu ce qu’elle voulait : rester à Dillon et le swede moche

      Oui, mais il y a une différence entre ce qu’on veut et ce dont on a besoin, comme dirait Josh Whedon. Julie a vu tous ses repères disparaître petit à petit. Son amour pour Matt s’est consumé, son père a quitté le domicile et pour finir, un bébé lui a volé sa mère. Le suédois représente la porte de sortie, la facilité vers une vie plus irréelle. Néanmoins, et c’est aussi en ça que le personnage garde toute ma sympathie, elle refuse de fumer son joint. Cela montre que le personnage ne veut pas fuir au point de ne plus avoir conscience de ses actes. Elle ne veut pas vraiment fuir, elle veut qu’on l’en empêche. Elle veut que son père revienne. Inconsciemment, je pense qu’elle fait tout ça pour que sa vie retrouve au moins quelques repères.

      Tim and Church Girl

      Là encore, l’intrigue est parfaitement maîtrisée. La série joue sur une corde sensible et s’en sort brillamment. Ce n’est pas facile de parler de l’Eglise sans perdre son objectivité. Pourtant ici, Lyla propose son aide à Riggins car elle sent qu’il va mal. La religion l’a tellement aidée récemment qu’elle veut elle aussi apporter quelque chose à Tim, pour qui elle a encore beaucoup d’affection. La scène à l’Eglise était, elle aussi, parfaite. Elle est vraiment filmée dans sa réalité la plus simple. Des gens prient, dansent, lèvent les mains au ciel, et entrent parfois en transe. Ce que j’aime dans cette scène, c’est qu’on peut l’interpréter de plusieurs manières. Soit, elle se veut dérangeante. Soit, elle montre comment l’Eglise peut aider quelqu’un. Après, cela dépend des individus. Est-ce que l’Eglise peut apporter l’espoir, peut apporter des repères à quelqu’un de terriblement perdu ? Oui. Est-ce qu’elle peut manipuler l’esprit des gens et les rendre dépendant d’une doctrine parfois réactionnaire ? Elle le peut également. Quand Tim cherche à embrasser Lyla, je ne crois pas qu’il mentait. Je pense qu’il aimerait vraiment se rapprocher de Dieu, autrement il ne serait pas rentrer dans l’Eglise et il n’y aurait pas eu ce long champ/ contre-champ entre le pasteur et lui. Lyla représente la fille qu’il aime, la fille proche de Dieu… bref la seule personne qui puisse lui faire du bien en ce moment. La seule personne avec…

      The team mascotte

      Jason aussi a perdu ses repères. Lui aussi aimerait pouvoir retrouver une vie normale. Il s’accroche désespérément à un mirage tout en tentant de rester un bon coach. Lorsqu’il vient voir Tim la première fois, il prétend que c’est pour le motiver, mais en réalité, et c’est pourquoi il repart si furieux, il ne veut que parler à son ami. Quand le coach le traite de mascotte, c’est le point de non retour. Il a perdu tout ce qu’il croyait être vrai. Il vient voir Tim, la dernière personne qu’il lui restait, lui dire tout ce qu’il a sur le cœur. Si Riggins le suit au Mexique, c’est peut-être pour fuir, c’est peut-être par égoïsme. Mais il n’empêche que savoir que Jason ne vivra pas seul sa probable désillusion fait chaud au cœur. Leur amitié pourrait renaître de ses cendres grâce à ce road trip. Réjouissant.

      Coach Taylor and Crazy Tami

      Si Eric n’avait pas décidé de revenir en fin d’épisode, ç’aurait pu être déprimant. Car il est le seul à avoir encore ses repères quand sa femme, elle, ne s’y retrouve plus du tout. La scène où Tami frappe Julie est, de son point de vue, le symbole de tout ce qu’elle a enduré depuis qu’Eric est parti. C’en est trop et elle craque. Elle s’en veut terriblement par la suite. Elle ne peut plus mener cette vie seule et Eric le comprend bien. Coach Taylor, de son côté, ne s’épanouit pas dans son rêve et c’est d’un œil acéré qu’il voit que tout ce qu’il a laissé (l’équipe, sa famille…) est en train de s’écrouler à cause de lui. Il était la base de tous ces gens, la table du château de cartes. On n’a pas besoin de lui à Austin. Mais à Dillon, rien ne va plus.

      The Landry of Tyra

      Cette semaine, pas un mot n’est dit sur le violeur qui fait trempette et tant mieux. On se concentre sur les personnages et ce qu’ils ont fait en fin d’épisodes. Je ne pensais pas qu’ils allaient coucher ensemble. Ma naïveté s’est vue quelque peu bousculé en début d’épisode. Et quand Tyra fuit la chambre dans laquelle elle a commis selon elle une énorme erreur, ce n’est pas, à mon sens, parce qu’elle n’aime pas Landry. Il n’est certainement pas son type d’homme, mais c’est surtout le fait qu’il soit un si gentil garçon qui la pousse à s’éloigner. Car elle sait bien comment tout ça risque de finir. Et elle ne voudrait pas lui faire de mal. En réalité, Tyra se berce d’illusions. Elle tente de se convaincre qu’elle ne ressent rien pour le jeune homme. Et c’est quand Aaron de 24 vient lui demander ce qu’elle peut bien faire avec son fils qu’elle le réalise. Son type d’homme est, comme le rêve d’Eric, un peu naze. La dernière scène nous le fait bien sentir. Lorsqu’elle embrasse Landry, ce n’est pas cette fois pour lui apporter ce qu’il désire, ce n’est pas pour le réconforter. C’est pour elle. Elle donne une chance à leur histoire. Elle aime traîner avec lui, elle aime parler avec lui et elle aime la façon dont il la traite. Ça ne durera peut-être pas mais la durée a-t-elle vraiment de l’importance ?

      Echec and Matt

      Matt aussi perd ses repères dans cet épisode. D’abord Julie, ensuite sa place dans l’équipe. C’est tout son univers qui se modifie quand d’autres savourent leur succès. Comment supporter une telle injustice ? Matt fait comme Julie. Il appelle au secours. Sa bagarre avec Smash dénote d’une vive envie qu’enfin, on réalise que lui, le gamin bien sérieux, qui s’occupe de sa grand-mère, qui s’excuse auprès du coach, n’est encore qu’un adolescent, un enfant. Il a sans doute grandi trop vite, poussé par des responsabilités qu’il a bien du assumer. La Latina ne semble finalement pas avoir été introduite pour une nouvelle relation amoureuse (du moins pas pour l’instant) mais pour apporter le réconfort maternelle qui fait cruellement défaut à Matt. Elle va l’aider à se reconstruire car c’est une fille qui ne se laisse pas marcher sur les pieds, à la volonté de fer et qui est capable de devenir l’un des personnages les plus prometteurs de ce début de saison.

      Incroyable comment cet épisode est lié par les mêmes thèmes et comment ces thèmes sont admirablement exploités. Cet épisode me fait me rappeler pourquoi j’aime tant cette série.

    • 2.03

      Je ne vais pas m’étendre parce qu’en gros, je me suis faite le même style de remarques que pour l’épisode précédent : beaucoup de choses qui me dérangent en première partie et une seconde partie où je me suis beaucoup plus sentie "chez moi", dans cette bonne vieille ambiance calme et dépressive que j’aime tant. Pour cela j’ai adoré la confrontation entre Julie et Tami, celle de Matt et Smash, et la réunion de Jason et Tim me fait franchement plaisir.

      Cette semaine, pas un mot n’est dit sur le violeur qui fait trempette et tant mieux.

      Un peu quand même, il y a toujours le problème de la montre et les blagues glauques de Tyra.

      La Latina ne semble finalement pas avoir été introduite pour une nouvelle relation amoureuse (du moins pas pour l’instant) mais pour apporter le réconfort maternelle qui fait cruellement défaut à Matt.

      La dernière scène laisse de sacrés doutes. J’espère que rien n’arrivera, parce qu’on a déjà eu la femme mûre attirée par l’ado et c’était déjà pas génial.

      Quand Tim cherche à embrasser Lyla, je ne crois pas qu’il mentait.

      J’ai vu ça comme du baratin typique (ce qui m’a bien rire), mais qui sait... Par contre je pense sincèrement que ce genre de soirée doit aider les gens. A mon avis, si t’arrives à supporter toute une soirée cette musique de merde, tu ne peux qu’en sortir en te disant que tu surmonteras tout dans la vie !

  • 2.02 (Bad Ideas) & 2.03 (Are You Ready For Friday Night)

    J’n’ai pas eu vraiment le temps pour analyser en détails le second épisode, ni même le 3ème mais cette série ne déçoit sur aucun point et sait y faire avec la continuité, et la constance - presque effrayante - dans la qualité. (Mais ça, en doutions-nous ?!Perso’, pas du tout) Nous avions vraiment peur que la saison 2 ne réussisse pas là où la saison 1 avait tellement brillé, je crois que ces premiers épisodes, et surtout le 2.03 Are You Ready For Friday Night ? (Qui s’avère être un "Blinders" en puissance... si ce n’est plus), nous écrasent en miettes cette crainte qui n’avait lieu d’être.

    Tout est beau, et tout est excellent. Comment ne pas verser quelques larmes face au désarroi complet d’une Tami perdue dans les méandres de la misère sentimentale et familiale ? Comment ne pas détester la très belle prestation d’Aimee, interprétant une Julie sortant hors des limites de la jeune fille sage et idyllique ?! Comment ne pas crier au génie lorsque Buddy est de retour et impose son point de vue sur la situation Dillonienne du moment à un Eric qui zigzague entre un Coaching TMUien insatisfaisant et des retours inconsistants chez lui ? Comment ne pas tomber amoureux du couple Tyra/Landry qui évite les plus grands clichés et ne tombe pas dans la naïveté la plus inssupportable ? Comment ne pas ressentir un soulagement imprononçable face à l’initiative de Matt infligeant de bons poings à Smash, qui s’avère être un péteux de premiere mais dont l’évolution est compréhensible au vu des évènements qui se sont passés depuis leur dernière victoire ? Comment ne pas apprécier l’amitié qui renoue entre Tim et Jason, en partance pour Mexico ? Et une nouvelle fois, comment ne pas applaudir les petits détails qui font qu’on s’dit quand même " ’Tain que cette série est magnifique" ?

    Cette série me dépasse tellement que j’me sens coupable de ne pas pouvoir faire une longue et approfondie review des épisodes. Y’a tellement d’éléments à prendre en compte, y’a tellement de choses à dire que j’m’en veux vraiment ! Disons-nous juste que les vacances approchent et que ça sera l’occasion de rattraper le retard...

    SuSu, Eric And Buddy Are Back !

    PS : Vraiment désolé pour le double post, mais le premier s’avèrait pas forcément idéal à lire ! Désolé.

    • Nous avions vraiment peur que la saison 2 ne réussisse pas là où la saison 1 avait tellement brillé, je crois que ces premiers épisodes, et surtout le 2.03 Are You Ready For Friday Night ? (Qui s’avère être un "Blinders" en puissance... si ce n’est plus), nous écrasent en miettes cette crainte qui n’avait lieu d’être.

      Serait-ce un groupe qui se cache derrière ce pseudo ? Sinon je ne vois pas trop qui englobe ce "nous", car ce n’est clairement pas tous les gens qui ont posté sur ce topic.

    • je ne vois pas trop qui englobe ce "nous"

      Quand on lit l’avis de Gizz sur le season premiere ou qu’on écoute votre podcast, on sent que vous aviez quelques doutes quand même.^^

    • ^^

      Nan, loin de moi cette idée. C’est juste qu’un grand nombre de personnes restait dubitatif quant à l’évolution que pouvait prendre la série lors de la saison 2, la saison 1 étant tellement exceptionnelle sur tous les points. "Nous" ne fait que résumer la pensée de certains, et n’est qu’un terme génétique tel que "on" (Peut être aurais-je du le choisir lui ! ^^).

      SuSu, Tlsnhe qui est loin d’être l’ensemble des initiales de sept personnes ! =P

    • Nan, loin de moi cette idée. C’est juste qu’un grand nombre de personnes restait dubitatif quant à l’évolution que pouvait prendre la série lors de la saison 2, la saison 1 étant tellement exceptionnelle sur tous les points. "Nous" ne fait que résumer la pensée de certains, et n’est qu’un terme génétique tel que "on" (Peut être aurais-je du le choisir lui ! ^^).

      C’est simplement sur la conclusion que ça me gêne, vu que tout le monde n’est pas totalement rassuré et que des doutes persistent sur beaucoup de points.

  • 2x03

    Je suis tout à fait d’accord avec l’avis de Tomemoria. Sauf pour l’approche de Tim vers Lyla, celle ci me laisse légèrement dubitative. Bon il a bien ressenti quelque chose peut être, mais faut pas pousser le bouchon non plus. Je crois pas qu’il essayait de se rapprocher de Dieu en essayant d’embrasser Lyla, de ses lèvres peut être..

    Et sinon pour moi l’amitié de Jason et Tim est la plus solide d’entre toutes. Deux garçons qui ont grandi ensemble dans une ville comme ça, on peut dire ce qu’on veut, c’est pas demain la veille qu’ils vont décider de se séparer. Pour moi le discours de Jason à Tim quand il lui annonce son départ, c’est pas un signe de colère ou de désespoir envers lui. C’est juste quelqu’un qui crie parce qu’il en a marre, et il le crie à son meilleur ami. C’est tout à fait compréhensible.

    Les réactions de Julie me laissent mitigée. Je comprends très bien qu’elle veuille pas finir comme sa mère, marié avec son père, confinée dans une ville pourrie au fin fond du Texas. Mais en même temps vu la mère qu’elle a, c’est désespérant de la voir se comporter comme ça. Enfin, on peut pas vraiment juger son comportement, parce que finalement personne ne sait ce qui se passe comme choses dans la tête de quelqu’un d’autre.

    J’ai l’impression qu’en fait, tout est lié au fait qu’Eric revienne. Tami se sentira mieux, Julie aussi. Il redirigera l’équipe dans le bon sens, il les ressoudra, il dira à Smash de pas se la ramèner autant, et il redonnera confiance à Matt.
    Tout est enchaîné finalement. Eric n’est peut être pas un surhomme, mais c’est celui qu’il leur faut.

    • Je crois pas qu’il essayait de se rapprocher de Dieu en essayant d’embrasser Lyla,

      Ma phrase pouvait prêter à confusion. Bien sûr, Tim ne cherchait pas à se rapprocher de Dieu en embrassant Lyla. Il n’y a que des grand-père de Da Vinci Code qui font ça. Non, je disais que Tim était sincère quand il prétendait qu’elle l’aidait à aller mieux. Je pense qu’il ne s’agissait pas de barratin. L’Eglise lui apporte réelement quelque chose. Malgré tout, il est amoureux de Lyla et il ne le lui cache pas. Il n’y avait aucune connotation religieuse dans son geste. La seule chose que j’ai dîtes, c’est que contrairement à Lyla, je ne remettais pas en cause la sincérité de Tim quant à son approche de l’Eglise. Après, il est tout à fait possible que j’ai tort. La suite nous le dira.

  • s02e03

    Julie me gonfle sévère, elle a beau être une ado, il y a des limites

    Ben non, justement, être adolescent c’est ne pas avoir de limite. Etre ados c’est faire forcément le mauvais choix, ou plutôt celui qui fera chier les adultes. Je comprends Julie, elle a des problèmes et comme elle ne sait pas comment les résoudre, elle choisit la fuite en avant. C’est une des intrigues les plus justes pour l’instant.

    Elle ne peut plus mener cette vie seule et Eric le comprend bien.

    Je trouve qu’il y a une trop grosse facilité ici. Et je me demande si la team Katims avait bien réfléchi à ce que pourrait être le début de saison avec cette histoire ?
    J’adore vraiment Connie.
    Je n’ai pas d’enfant.
    Mais je trouve tout ce qui touche à Tami too much. Ce n’est pas un gamin qu’elle a c’est l’antéchrist sans dec ! Ce n’est pas une montée d’hormone mais un ouragan. Les scénaristes ont un peu trop forcé la dose sur ce coup, et la décision du retour d’Eric me semble téléphoner, le coup d’Eric assistant à la débâcle de son ancienne équipe était aussi une facilité. Sans blague, sa femme prend l’eau mais c’est en voyant ses "boys" se perdrent qui le convainc de revenir ?
    Il n’y a que le coup de Jarnac de Garrity qui me plait bien, parce que cela correspond bien au personnage d’utiliser tous les moyens possibles pour retrouver sa position.

    Quand on lit l’avis de Gizz sur le season premiere ou qu’on écoute votre podcast, on sent que vous aviez quelques doutes quand même.^^

    En ce qui me concerne les doutes sont encore et ils ont tendance à s’agrandir.
    Si mon côté shipper et plutôt content de ce qui se passe entre Tyra et Landry. Plus j’y pense et plus je me dis que cette intrigue du meurtre n’a rien à voir avec l’univers de la série, pire, ça aurait pu être une intrigue qui n’aurait pas été surprenant de trouver dans One Tree Hill (on a déjà eu celle de Dan, alors pourquoi pas un des gamins.) Et ça me met un peu le moral à zéro rien que de penser que Katims a pu mettre ça dans FNL (ce qui me fait dire que je suis presque content qu’il se casse sur Crapionic Woman.)
    Si on réfléchit deux minutes, qui ici imagine Landry en taule ? Ou pire, qui ici s’imagine qu’il serait juste que Landry s’en tire sans rien ? Quand j’y réfléchis, si la vie était une série télé, il serait plus que facile à Alan Shore pour envoyer Landry à la chaise électrique, ou du moins à la prison à vie ? Il n’y avait pas de préméditation, mais il y a bien eu meurtre et dissimulation de preuve…
    Quand je regarde un épisode je le trouve génial, et puis quand j’y réfléchis à tête reposée, plus j’y pense et plus ça me perturbe. Mon capital sympathie pour la série est énorme mais j’ai peur qu’il fonde comme neige au soleil.

    • Qui ici s’imagine qu’il serait juste que Landry s’en tire sans rien ? Il n’y avait pas de préméditation, mais il y a bien eu meurtre et dissimulation de preuve…

      J’étais bien tranquille dans mon univers quand il a fallu que tu introduises de la moralité dans l’équation. C’est vrai que maintenant, Landry est un meurtirier. On a tendance à l’oublier parce qu’au-delà de sa culpabilité, ça n’a pas un impact majeur sur le personnage. C’est vrai que cette intrigue n’avait pas vraiment lieu d’être et que c’est dommage d’avoir introduit un élément aussi noire dans la série. Je me mets à me faire peur moi-même. La banalisation de la violence dans les fictions fait que je ne me suis pas posé la question de savoir ce qu’il méritait vraiment. Landry a cogné un gars par derrière alors que c’était une ordure et un violeur ? Il ne mérite rien. Après tout, d’autres ont fait exploser leur paternel parce qu’ils aimaient pas leurs pieds qui puent et ça m’emmerderait de les voir se retrouver en taule. Au vue de tout ce qu’a fait Jack Bauer, il mériterait la peine de mort, pourtant je n’arrive pas à voir cette idée comme juste. Et dans un pays où la peine de mort est effectivement considérée comme de la justice, je n’arrive vraiment pas à me décider si cet homme, ce violeur, ne méritait pas de mourir. Est-ce que Landry a bien fait ? Non, certainement pas. Mais est-ce qu’il serait juste qu’il s’en tire sans rien ? Oui, ce serait juste. Ça ne veut pas dire que la loi devrait être modifiée pour ce genre de cas et s’il se fait prendre, il devra assumer son acte. Mais il serait juste pour lui (et pour la série ^^) qu’il ne se fasse pas prendre.

  • 2X03

    Je vais la faire courte vu que je n’ai rien de bien constructif à dire si ce n’est que c’était génial.
    Rien que de voir un (S)mat()ch, c’est déjà suffisant pour que j’applaudisse.
    J’ai adoré les 5 hommes (oui je sais il y en a d’autres) de la série partir dans des directions différentes après l’altercation entre Matt et Smash.

    J’ai hâte de voir ce que nous réservent le road trip vers Mexico de Jason et Tim ainsi que l’état de tension dans l’équipe.

    Seul petit hic... pas assez de foot .

  • 2x03

    Quand Tim cherche à embrasser Lyla, je ne crois pas qu’il mentait.

    Je pense qu’il était sincère dans ses sentiments envers elle mais qu’il s’y est pris de la pire façon possible pour les lui faire savoir. C’est à dire en faisant intrusion dans sa foi, son intimité "spirituelle" et en s’en jouant surtout. C’est là que j’ai adoré la réaction de Lyla et que je me suis même sentie mal à l’aise pour elle qui s’était ouverte à lui et qui se sent abusée. En même temps le comportement de Tim est compréhensible parceque c’est un screw-up et qu’il est complètement paumé...

    Pour moi le discours de Jason à Tim quand il lui annonce son départ, c’est pas un signe de colère ou de désespoir envers lui.

    ...Et c’est bien une raison suffisante pour que Jason soit exaspéré de le voir foutre sa vie en l’air alors qu’il pourrait avoir tout ce que lui même a perdu. J’espère que ce voyage au Mexique sera une occasion pour Tim de se prendre en main. Parceque certes, objectivement, son comportement auto-destructeur s’explique. De même le fait qu’il en soit revenu à son point de départ, (ie le pilote) parceque le changement prend du temps et que quand rien ne va plus, il est facile de retomber dans ses travers. Mais ça a beau être complètement réaliste, je ne peux pas m’empêcher de me sentir mal pour lui et de ne pas aimer ça (call me cheesy).

    Ben non, justement, être adolescent c’est ne pas avoir de limite. Etre ado c’est faire forcément le mauvais choix, ou plutôt celui qui fera chier les adultes.

    Non justement, pas forcément. Que ce soit à la tv ou dans la réalité je trouve que "l’adolescence" a souvent bon dos pour excuser des comportements insupportables qui trouvent plus leur origine dans le caractère des personnes. Je ne prétends pas que ce soit une période facile (loin de là) mais ça n’excuse pas tout. Pour le coup, je trouve que Julie a une réaction disproportionnée et c’est ma capacité à la supporter qui se trouve avoir des limites. Elle a eu toute sa vie des parents très présents, aimants et compréhensifs, alors oui le changement est brutal quand le père devient absentéiste mais c’est pour des raisons qu’elle devrait être apte à comprendre, surtout quand elle a fait partie de l’équation qui a mené à cette situation. Pareil pour sa mère qui bien que dépassée et au bord de la crise de nerfs essaie toujours de lui parler (et ça, depuis le pilote). Bref Julie réagit comme une sale gamine égoïste et je-la-dé-tes-te.

    Surtout qu’à coté de ça, on a un Matt qui est tout aussi adolescent et qui fait face à une situation bien pire de façon beaucoup plus mature. Alors quand il s’en prend stupidement au Smash parceque trop c’es trop ! je comprends et ça me fait sourire. Je regrette juste qu’il ne se soit pas plutôt jeté sur MacGregor, parceque lui le méritait et ne portait pas de protection, et c’est là qu’un casque en polycarbonate peut faire des merveilles.^^

    La décision du retour d’Eric me semble téléphonée, le coup d’Eric assistant à la débâcle de son ancienne équipe était aussi une facilité. Sans blague, sa femme prend l’eau mais c’est en voyant ses "boys" se perdrent qui le convainc de revenir ?
    Il n’y a que le coup de Jarnac de Garrity qui me plait bien, parce que cela correspond bien au personnage d’utiliser tous les moyens possibles pour retrouver sa position.

    Après revisionnage je me suis rendue compte que c’est surtout ça qui m’a plombé l’épisode. Le fait que l’évènement que j’attendais depuis tellement longtemps (si si, 3semaines c’est long) arrive de cette manière et que la première chose qu’Eric dise à sa femme en rentrant après je ne sais combien de temps c’est : t’as regardé le match ? était vraiment déprimant !
    Sacré Buddy par contre, vu ses talents de persuasion et ses ressources inépuisables de mauvaise foi, je comprends qu’il soit roi des ventes.

    La banalisation de la violence dans les fictions fait que je ne me suis pas posé la question de savoir ce qu’il méritait vraiment.

    Je ne sais pas si ça tient à ça ou plus simplement au fait même que ce soit littéralement de la fiction. Fiction qui en plus, nous fait prendre parti pour un personnage auquel nous sommes émotionnellement attachés. En tous cas personnellement, sans même me demander s’il devait être puni, j’ai immédiatement "adhéré" à l’acte de Landry. Comme Tyra j’étais loin d’être désolée qu’il soit mort, après tout il aurait très certainement continué à la harceler, et ce n’est qu’une fois que Landry s’est posé des questions sur son éventuelle famille, ses proches, que je me suis dit que c’était peut être un shouya immoral sur les bords. Par contre, ça ne m’empêche pas d’être d’accord avec la conclusion de Tomemoria à ce sujet.^^

  • Je ne crois pas qu’il faut polémiquer éternellement sur le cas de Tim et Lyla, je pense qu’ils sont attirés l’un vers l’autre tout simplement et cela s’accentue d’épisode en épisode. il est vrai qu’on voit un Tim beaucoup plus démonstratif va t’on dire mais j’ai l’intime conviction que Lyla n’en ressent pas moins car sa nouvelle attraction religieuse c’est du vent. En se plongeant dans le cadre religieux des USA on voit vite que ce genre d’église évangéliste, qui d’ailleurs est plus une secte qu’autre chose, est une véritable créche à gens perdus et aigris par la societé actuelle, donc aucun étonnement qu’on la retrouve ici, mais aprés croire que Lyla est submergée par la puissance divine j’ai des doutes. Personnellement je ne serais surpris de la voir passer prochainement une nuit des plus fugueuse avec tim.

    Je suis étonné en lisant les posts précédents par le manque de commentaire et de questionnement sur Smash, bon il est vrai que dans la saison 1 , on était déjà mis au parfum sur l’état narcissique de celui-ci mais est ce moi ( peut etre) qui avait remarqué une certaine complaisance avec l’équipe et plus particulierement avec Saracen et Tim. Ils ont été champion d ’état tout de meme, ca forge l’esprit d’équipe, je veux bien que Smash soit un arriviste de tout premier ordre mais cela m’intrigue tant au niveau du personnage ( oui je sais je suis trop bon envers l’espece humaine) et aussi de la cohésion de l’histoire.

    Beaucoup de personnes se sentent stupéfaites de voir que c’est Garrity qui lance coach Taylor à revenir sur son choix, je ne le suis pas en tout cas moins. Car en regardant les épisodes précédents on peut tout de meme voir avec quelle tristesse il gère la situation et je dirais que c’est souvent les gens les moins proches qui nous font bouger ou réaliser nos erreurs. Puis n’oublions pas que Garrity et les panthers c’est un peu sa vie, voir carrement.

    A part cela, j’ai toujours des réactions allérgiques en regardant Mc gregor, j’approuve streets et son choix de tout foutre en l’air, ce qui j’espere va remettre un peu d’ordre amical lors du road trip vers Mexico avec tim. je sens aussi qu’on se dirige vers une « pause » si je puis dire pour l’histoire du violeur ( un ou deux épisodes) pour justement attendre une clarification de tous ce noeud d’évenements pour revenir en force. En ce qui concerne Matt, cela me rassure qui réagisse comme cela car j’avais trop l’impression qu’il subbissait plus qu’il ne vivait. Sa relation avec Carlotta (j’ai soudain un doute sur le prenom de l’aide à domicile) se matérialise comme une affection maternelle mais mon esprit d’adolescent éternel ne peut s’empecher d’esperer qu’il se passera qq chose entre les deux.

    vivement l’épisode 4

  • 2.04

    Un épisode bien en dessous du précédent où certaines intrigues font du surplace, tandis que d’autres avancent comme on s’y attendait et que quelques-unes sont carrément occultées.

    On vous fait peur, pas d’inquiétude

    Pour ce qui est de Landry et Tyra, je n’ai vraiment pas aimé leur histoire dans cet épisode. La quasi totalité de leurs scènes se résume au même schéma : on place un élément qui fait monter la tension pour finalement la faire retomber l’instant d’après. Si les premiers passent bien, cela devient lassant à la longue. Tyra et Landry n’ont pas assez de scène ensemble et la nature de leur relation n’est plus abordée. L’épisode exploite tout ce qu’il ne fallait pas exploiter dans cette intrigue du violeur.

    Matt et autres figurants

    Après tout ce qui s’est passé la semaine dernière, je m’attendais à ce que son histoire avec Carlotta avance, d’une façon ou d’une autre. Au lieu de ça, il ne se passe plus rien du tout et Matt a autant de temps d’antenne que Smash, qui lui aussi manque à la série. Weaverly a été littéralement keleyrisée et il me tarde de retrouver un brin de profondeur en Smash. Quant au coach partant, toute l’histoire autour de son licenciement était assez gonflant, comme l’est son passage chez les Taylor. Il aurait été beaucoup plus interessant de nous le présenter avec sa vie de famille et ses propres problèmes. A l’instar d’un plan large sur une voiture remplie de figurant, le cas du coach sortant aura été survollé. C’est indigne de Friday Night Lights.

    Julie ou l’intrigue expédiée

    Si la disparition définitive du Swede et de cette intrigue insuportable m’enchante totalement, j’ai trouvé la rupture un peu facile et un brin incohérente. Après toutes les soirées passée avec le suédois et ses amis, la vue de plusieurs cannettes de bierres ne devrait pas alarmer Julie outre mesure. L’impression que les scénaristes se sont empêchés de raconter une histoire noire se ressent fortement. On a même l’impression d’apercevoir ce qu’ils auraient voulu écrire à travers les paroles de Tami sur son passé. Ce n’est pas catastrophique mais ce n’était pas dans la continuité du personnage.

    Church Girl au pays de la prison

    Là aussi il y avait pas mal de clichés. Que Lyla ne puisse pas répondre à la question mainte fois brassée posé par un détenu me paraît assez étonnant. Après tout son endoctrinement, elle aurait dû être à même de répéter toutes les paroles qu’elle a entendue. Au lieu de ça, elle balbutie et ne trouve pas ses mots. Si c’est la manière des scénaristes pour débuter le retour à la réalité de Lyla, je suis déçu. C’est vraiment facile. Et je ne parle pas de cette intrigue très 7th Heaven commencée par la suite.

    Mexico

    Une intrigue assez réussie mais qui n’avance pas très vite. L’amitié entre Tim et Jason se reforme à grand coup de karaoké et de bierres. Si c’était attendrissant, les clichés texans n’étaient pas bien loin. Quant à l’arrestation de Tim, a-t-elle une autre fonction que faire gagner du temps ? Cela dit, l’appel final de Tim me réjouit et me fait croire que d’une part, il comptait vraiment sur Lyla pour l’aider la semaine dernière, et que depuis le début, il a accompagné Jason pour le faire changer d’avis. Cette conclusion réhausse une intrigue très plan plan.

    Coach Taylor

    Ici aussi, c’est bien vite expédié. Les choses s’enchaînent à une vitesse irréaliste et son retour à Dillon m’a paru facile et mal négocié. La petite tension avec l’attaque en justice de l’ancien coach est comme les rebondissements de Tyra, un artifice de scénario qui permet de ne pas trop s’attarder sur l’arc débuté lors du season premier.

    Des facilités scénaristiques, des clichés, des longueurs. C’est l’un des moins bon Friday Night Lights. Il me rappelle le pilote.

  • tlsnhe sera gentil(le) de ne plus faire exploser le forum avec ses messages... ^^

    2.03 Are You Ready For Friday Night (Lights) ?

    De mon point de vue, la saison ne cesse d’hausser la qualité de ces épisodes puisque d’un Season Premiere très très bon, nous sommes passés à un second au résultat excellent pour enfin nous réjouir devant un troisième magistral ! Et ce grâce à de très nombreux points :

    - She Kicked My Ass... : Pour moi il s’agit de LA scène, celle qui d’une part te met dans tous tes états et d’autre part qui est la pièce maitresse de l’épisode en son entier. Les faits sont là, Tami et Julie n’arrivent plus à se comprendre, et les mots ne suffisant plus, on s’met à se combattre et à frapper le plus fort possible. La scène est magnifique, intense et perturbante. Du drame à l’état pur ! On ressent toute la colère et l’inquiétude chez Tami, et toute la rancoeur et l’irrespect chez Julie. On aimerait en détester une, on aimerait comprendre l’autre mais à vrai dire, arrivés à ce point on y arrive pas : Et si Julie n’était pas dans le faux ? Et si Tami s’était beaucoup trop occupée de Gracie laissant de côté l’ainée ? Et si les problèmes conjuguaux qu’elle connait poussent la jeune blonde en dehors du cocon familial ? La jeune adolescente, se sentant écartée de ce qu’elle avait entrepris avec ses parents, connait en ce moment une descente aux enfers impressionnante... Une descente qui s’avère relativement contrôlée (Elle fait des soirées mais ne touche pas aux joints qui tournent, et ça... en c’est bien quand même !). Du moins, ce n’est pas vraiment l’opinion de sa mère qui a connu des jours bien meilleurs : Après avoir joué avec la santé de son deuxième enfant, voilà que maintenant elle fait fasse avec une adolscente capricieuse et sacrément à baffer. Rien ne va plus dans la famille Taylor et il faut que ça sorte, il faut mettre les choses au clair et montrer à l’autre qu’il faut que ça change. Pourquoi pièce maitresse ? Tout simplement parce que cette scène met en lumière le vide laissé par le Coach et l’influence qu’il avait sur ses proches. Sans lui, tout part en miettes et la vie monoparentale que subit Tami ne laisse présager que le pire au vu de tout ce qui s’est passé depuis la naissance de Gracie et le départ du Coach. Et pièce maitresse également parce que Julie perd peu à peu ses repères, surtout concernant ses relations amoureuses : En perdant Matt, qui lui permettait de vire une relation stable, sans tracas et respectueuse, elle perd toute la perfection du couple, ainsi que l’union qui les rapprochait. Maintenant, elle croit trouver ce qu’elle cherchait mais elle risque de tomber bien bas en reconnaissant les erreurs qu’elle a commises, ne serait-ce qu’en s’impliquant un peu trop dans la vie du Suedois (Mon Dieu que j’l’aime pas lui, mais il reste tout de même raisonnable : "J’en peux pas, ca serait du kidnapping"). Wake Up Julie, ne continue surtout pas sur cette voie, tu risques de tomber bien bas (Si ce n’est pas déja fait !)

    - ... But I Kicked His Ass In A Better Way ! : Il y en a un autre également qui aimerait être encore en vacances, ou tout du moins revenir en arrière pour revivre la Période " Taylor Is The Best ". Matt est complètement paumé depuis le début de saison, et ce troisième épisode est l’occasion pour lui de se défouler, se défouler après avoir vu Julie avec le Suédois, et se défouler sur Smash qui est loin de faire l’unanimité en s’la pétant comme jamais face aux médias, coach et fans. C’était forcé qu’un jour ou l’autre ca explose, comment rester calme, même pour Matt, quand votre ex sort de suite avec un Suédois tout moche et fumant des pets en jouant à "Et Si on s’amusait un peu en inventant des histoires de merde" avec ses potes défonçés à l’alcool et aux joints, et lorsque l’un de vos coéquipiers adore son rôle de capitaine jusqu’à le crier sur tous les toits ou à la gueuler sur vous ? A la place de Matt, j’n’aurai pas hésiter une seule seconde, j’aurai frappé dans le Fast Food, j’l’aurai démonté comme jamais, ne serait-ce que pour parler de massages en plein boulot. (En passant je tiens à féliciter Gaius qui est Génial dans cet épisode. Vraiment chapeau !) N’empêche qu’après autant de tensions, le jeune Saracen sait où trouver du réconfort, n’est ce pas Carlotta ? Cette nouvelle relation est loin de m’faire peur, mais j’avoue que je restais sceptique quant à son évolution, je restais sceptique au vu du parallèle qu’on pouvait en faire avec la relation entre Tim et Jackie (Que j’n’aimais vraiment pas à vrai dire !), mais en fait ils n’ont pas autant de différence... juste deux-trois ans au grand max ? Allez, moi j’dis Fonce mon Matt’, ne gâche pas ta vie avec une Julie-peteuse-de-plombs-et-prête-à-s’habiller
    - en-chaudasse-à-la-jupe-rouge-ultra-moulante-pour-sortir-avec-un-mec-
    même-pas-canon-en-plus, n’hésite donc pas à tenter ta chance avec Carlotta, elle m’a tout l’air d’être une chic fille.

    - A Pact With The Devil... : J’le dis haut et fort maintenant pour que ce paragraphe ne prête pas à confusion : J’adore Buddy, j’adore son personnage et j’apprécie plus que tout son évolution, qu’il s’agisse de la saison 1 comme de la saison 2. Néanmoins j’ai un peu peur du retour d’Eric et des conséquences que ça apportera. Je veux bien croire qu’en revenant, un grand nombre de chose va changer, que certains tracas vont être résolus et qu’on va retrouver une grande partie de l’équipe Dillonienne en très grande forme, mais la haine que ressent Buddy envers le coach MacGregor est très très loin de me rassurer. Dès le Season Premiere, on a remarqué que le père de Lyla n’avait plus sa place au sein de l’équipe, comme il avait pu l’être sous le commandemant d’Eric, et si à cela on ajoute le fiasco de son mariage, on ne peut que sentir une certaine crainte quant à sa réelle motivation. Que detient-il pour promettre à Eric la place de Coach ? Qu’a-t-il trouver pour tenter un chantage ou pour tout simplement virer le nouveau Coach ? Il est évident qu’Eric ne peut refuser ce Deal, sa famille se volatilisant petit à petit, et son entrainement au sein de la TMU s’avérant aux antipodes de ses convictions, mais il est sur et certain que Buddy cache quelque chose. MacGregor est vu comme un tyran, un coach prêt à tout pour faire à sa manière, quelque soient les conseils de ses assistants, mais j’suis persuadé que les scénaristes nous réservent autre chose, et ce par l’intérmédiaire de Buddy. Il va nous sortir quelque chose du fin fond des tiroirs, j’le sens bien !

    - ... Or, with God ?! Tim est également aux bords du rouleau, tout va mal pour lui. (Est ce la mode à Dillon ?!) Son ex-copine de 33ans sort avec son frère - qui ne lui a rien dit... mais cela va de soi - et le coach lui réserves des entrainement spéciaux à base de sprints, longueurs en brandissant un pneu, etc... On peut connaitre meilleures situations ! Heureusement pour lui, une certaine révélation va naître et va le pousser à rejoindre (Pour le moment, ou pour un bon bout de temps encore ?!) Lyla au sein de l’Eglise. Alors qu’il pestait sur cette nouvelle facette de son ex-ex, le voilà aux prises de la parole biblique. Une Victoire pour Lyla, et peut être le seul refuge pour Tim ! En tout cas, on n’peut que remarquer une chose : La scène est tout simplement somptueuse. J’ne suis pas fan de tous ces serments religieux pompeux et redondants (7th Heaven ? Jamais, vous m’entendez ?!), mais là c’est ni trop ni trop peu, c’est parfait. Les scénaristes nous imposent une vision du culte religieux qui unit la majorité des Dilloniens, mais ils le font de manière subtile et délicieuse. J’aime voir cet engouement qu’ont certains face aux paroles du prêtre, j’aime voir ça car je sais que ça existe et qu’on ne nous ment pas. J’aime ce réalisme, j’aime cette fidélité de la part de toute l’équipe des scénaristes. J’aime ça car c’est beau, j’aime ça car c’est du Friday Night Light tout craché et j’aime ça car à la fin, on en redemande. Maintenant, il reste à savoir si les paroles de Riggins sont vraies ? A-t-il réellement ressenti la force qui le rapprocherait de Dieu et donc de Lyla ? Ou était-ce un moyen de se rapprocher d’elle pour tenter un nouveau départ, une nouvelle relation ?! En tout cas, Jason, de son côté, croit dur comme fer à Dieu et croit dur comme fer qu’il pourra remarcher. J’ne sais pas où mènera cette intrigue, puisque nous savons d’avance qu’il ne remarchera pas (S’il vous plait, ne le faites pas remarcher, s’il vous plait), mais j’suis terriblement impatient de voir comment tout ça va être introduit, j’ai vraiment hâte de voir de nouvelles scènes entre lui et Tim, ne serait-ce que pour retrouver le punch de leur anciennes scènes !

    Et, les autres points :

    - Tyra et Landry ! On n’avance pas vraiment mais leur relation a le mérite au moins d’être touchante. Ca peut paraitre gros, le fait que l’une des plus belles filles du lycée sorte avec l’un des plus grands geeks du lycée (Au passage j’adôôôôre son T-shirt durant la dernière scène), mais je trouve qu’une nouvelle fois, les scénaistes ont fait un excellent travail d’approche, entamé dès la fin de la saison 1. Je veux voir la suite, vraiment !
    - Le père de Landry qui doute de la sincèrité de la relation liant son fils à Tyra. J’sens qu’il va fouttre la merde dans l’histoire du Meutre, et qu’une confrontation Père/fils risque d’arriver.
    - Glen et la jalousie excessive de Taylor. Rha que j’aime ce Coach, que j’aime ce "Peux-tu dire à Glen de s’asseoir et de se taire ?". J’adôôôôre !
    - Herc, tu n’es pas que le mentor de Jason, tu es également mon mentor. J’veux te voir plus, tu déchires !
    - Je veux plus d’EITS, j’en veux beaucoup plus !

    SuSu

  • 2.04

    C’était peut-être le moins bon épisode de la saison, mais ça ne m’a pas empêcher de le finir sur une très bonne impression... et tout ça grâce à deux petits élements.

    Le premier, c’est la dernière partie de l’intrigue à Mexico, avec d’un côté Jason bourré qui nous sort des trucs très durs, devant un Tim qui se rend enfin compte de ce qu’il fait ici. Ca, plus son appel à Lyla, c’était très bon.

    L’autre point, c’est la conclusion du Coach McGregor. J’ai attendu depuis 4 épisodes qu’ils nous le rendent plus sympathique, mais rien n’y fait, ils s’efforçaient à le rendre désagréable et incompétent, jusqu’à ce qu’enfin il dégage et qu’on se rende compte, en même temps que le Coach Taylor, que le retour triomphal de l’un n’est pas aussi propre que ce qu’on nous avait laissé croire jusque là. Bien joué.

    Oh, et j’aime de plus en plus Buddy Garrity, c’est effrayant. ^^

  • 2.04

    Tout a été dit sur cet épisode, résumable en deux phrases :

    Un épisode bien en dessous du précédent où certaines intrigues font du surplace, tandis que d’autres avancent comme on s’y attendait et que quelques-unes sont carrément occultées.

    mais ça ne m’a pas empêché de le finir sur une très bonne impression... et tout ça grâce à deux petits élements

    Bon courage Feyrtrys pour la review.

    J’ajouterai quand même un 3ème élément avec l’arrivée de l’ex-con (évidemment trop beau pour n’être qu’un simple figurant) parcequ’il permet à Buddy de briller encore une fois dans son rôle de mec pret à tout pour récupérer ce qu’il a perdu. Et qu’il a eu le mérite de mettre Lyla en face de ses contradictions.
    Si elle n’arrive pas à répondre c’est qu’il est beaucoup moins facile de minimiser les maux des gens en les relativisant par rapport au Grand Plan qui anime le meilleur des mondes possibles quand on se retrouve face à ces personnes.

    • Si elle n’arrive pas à répondre c’est qu’il est beaucoup moins facile de minimiser les maux des gens en les relativisant par rapport au Grand Plan qui anime le meilleur des mondes possibles quand on se retrouve face à ces personnes.

      Crois-moi, ils y arrivent très bien. ^^

      Pour en revenir à la qualité de l’épisode, je tiens quand même à ajouter qu’un mauvais épisode de Friday Night Lights reste bien supérieur à un bon épisode de Heroes. ;)

    • 2.04

      Pour en revenir à la qualité de l’épisode, je tiens quand même à ajouter qu’un mauvais épisode de Friday Night Lights reste bien supérieur à un bon épisode de Heroes. ;)

      Ok, mais ça c’est bon pour convaincre les réticents à regarder ou ceux qui se mettent à faire des comparaisons douteuses. Cela me rappelle le discours identique sur la saison 3 de VM, qui ne m’a pas empêchée de la détester. C’est pas parce que c’est meilleur qu’autre chose que ça le rend bon.

      Ceci dit, je ne trouve pas cet épisode de FNL mauvais non plus, juste un peu décevant. Mexico était clairement le meilleur et j’ai encore adoré tout ce qui concerne Julie. On ressent vraiment sa peine et sa rage, et c’est bien beau d’avoir des parents compréhensifs et géniaux, mais à cet âge là quand tu commences à exploser tu ne peux pas t’empêcher de continuer jusqu’à ce que ça ne fasse plus mal. En tout cas c’est de cette façon dont je me souviens de mon adolescence (pas si loin que ça), et les conflits internes de Julie me touchent énormément.

      Sur le reste, j’ajouterais aux autres commentaires que j’ai été assez déçue de la rapidité finale des évènements. Aucune annonce à sa famille de son retour n’a été montrée, voir les réactions des filles Taylor à cette nouvelle me paraissait très importante, et connaître la réaction des joueurs face à ce changement soudain. Cette transition a été amenée très bizarrement.

    • et connaître la réaction des joueurs face à ce changement soudain. Cette transition a été amenée très bizarrement.

      Je crois et j’espère qu’on y aura droit dans les prochains épisodes. Notamment au niveau de Smash, qui a envie d’être mis davantage en avant puisque c’est son année de recrutement.

      Mais hormis les joueurs, c’est surtout la réaction de toute la ville de Dillon, de ces habitants, face au retour de "Judas", que j’espère voir dans les prochains épisodes.

      Sinon, l’épisode m’a globalement bien plu. Dommage que le cas McGregor et le retour du coach Taylor n’aient pas été mieux traités sur ces 4 premiers épisodes.

  • 2x04

    Il est vrai qu’on pourrait dire que l’épisode fut légeremment baclé, mais je me demande si ce n’est pas un mal pour un bien car a trop s’eterniser sur certaines situations, celle de Lyla ou de Streets, l’arrivée du coach Taylor on aurait pu tomber sur un mélange qui au bout de deux ou trois épisodes aurait eu un gout pateu, voir prémaché. On peut aussi ésperer repartir sur des nouvelles peripeties.

    j’espere que les scénaristes ne vont pas trop "agravé" la crise d’adolescence de Julie, ca serait tombé dans un remake vu et revu par maintes series.

  • S02e04

    Il aurait été beaucoup plus interessant de nous le présenter avec sa vie de famille et ses propres problèmes.

    Pas du tout d’accord. Pour une fois la présentation de McGregor depuis 4 épisodes en gros connard trouve une bonne conclusion. Je pense que personne ne pouvait penser qu’il avait une famille et que son licenciement pouvait avoir des répercussions sur sa vie. Les montrés n’aurait servi à rien, je trouve justement que balancer ça à coach T (et nous par la même occasion) à bien plus d’impact parce qu’on l’a détesté sans penser qu’il pouvait en souffrir.

    Le premier, c’est la dernière partie de l’intrigue à Mexico, avec d’un côté Jason bourré qui nous sort des trucs très durs, devant un Tim qui se rend enfin compte de ce qu’il fait ici. Ca, plus son appel à Lyla, c’était très bon.

    +1…
    Je sais que tu adore ça les +1. :D
    Non mais c’est vrai la soirée karaoké en espagnol était bien, voir drôle (mais tout est plus drôle en espagnol) sauf quand Jason commence à croire qu’il va remarcher et là c’est la grosse claque. Tim a au moins le mérite de comprendre que seul il ne pourra pas "sauver" son ami. Je me demande même si l’appel à Lyla est simplement pour Jason ou pour lui aussi ?

    que le retour triomphal de l’un n’est pas aussi propre que ce qu’on nous avait laissé croire jusque là.

    +… Hum… bah voir plus haut donc…

    Oh, et j’aime de plus en plus Buddy Garrity, c’est effrayant. ^^

    Oui, les loser pathétique attire toujours la sympathie. Et c’est vrai qu’ils le rendent vraiment sympathique. Le discourt pour virer McGregor était quand même puissant de sincérité et aussi de roublardise.
    Il est fort Buddy !

    Par contre, je préfère oublier tout ce qui tourne autour de Tyra et Landry. J’ai cru à la fin qu’ils allaient lui filer une médaille.
    Le méchant violeur est mort, rejoice, rejoice, il n’y a pas de justice rejoice, rejoice !
    Katims je te hais pour avoir eu l’idée de cette intrigue pourris.

    • Je pense que personne ne pouvait penser qu’il avait une famille et que son licenciement pouvait avoir des répercussions sur sa vie.

      À part le fait qu’il va devoir déménager avec sa famille pour trouver un autre job, il n’y a pas vraiment de répercussions. Il a été licencié en étant payé pour toute la saison, donc bon...

      Donc, oui, la scène entre Taylor et McGregor était bien foutue, mais il n’y a pas vraiment de fond à ça. J’ai eu l’impression qu’on nous donnait une scène bien foutue dans l’espoir d’oublier la gestion plutôt simpliste du personnage auparavant.

  • Ok, mais ça c’est bon pour convaincre les réticents à regarder ou ceux qui se mettent à faire des comparaisons douteuses.

    En toute honnêteté, je me suis forcé à écrire ça pour ne pas avoir qu’une ligne en commentaire. D’après les règles du forum, c’est pas génial de poster un message à une ligne. Dorénavant, je ne me forcerai plus. ^^

    Je pense que personne ne pouvait penser qu’il avait une famille et que son licenciement pouvait avoir des répercussions sur sa vie.

    Moi j’y avais pensé et j’attendais avec impatience qu’on nous expose sa vie afin de donner une dimension humaine au personnage. Friday Night Lights avait pour habitude de nous présenter des gens que l’on pouvait comprendre, y compris Voodoo. Nous balancer sa famille en fin d’épisode comme si on n’était pas assez intelligent pour comprendre que cet homme avait également une vie, c’est prendre légèrement son public pour un abruti.

  • Crois-moi, ils y arrivent très bien. ^^

    D’accord ils y arrivent mais je pense que justement, Lyla est assez intelligente et pas assez endoctrinée pour se rendre aveugle à ce point et débiter des fadaises sans broncher. Enfin j’interprète ça comme ça parceque j’aime beaucoup Lyla. ^^

    j’ai été assez déçue de la rapidité finale des évènements. Aucune annonce à sa famille de son retour n’a été montrée,

    C’est comme si la réalisation avait suivi la transition rapide et sans douleur qu’Eric voulait. J’espère que dans la lignée de MacGregor, ça lui reviendra en pleine tête. Parcequ’autant le comportement de Julie m’agace, autant je trouverais ridicule que 9mois de tension entre mère et fille soient effacés aussi facilement.

    À part le fait qu’il va devoir déménager avec sa famille pour trouver un autre job, il n’y a pas vraiment de répercussions.

    Je n’y avais pas pensé non plus jusqu’à cette dernière scène, qui a atteint son but en faisant le parallèle entre sa vie et celle des Taylor. A partir de là, les répercussions s’accumulent : déjà le plaisir de se faire renvoyer, un bel ajout sur le CV, faire déménager encore une fois et sur une courte période sa femme et ses enfants...

    • D’accord ils y arrivent mais je pense que justement, Lyla est assez intelligente et pas assez endoctrinée pour se rendre aveugle à ce point et débiter des fadaises sans broncher. Enfin j’interprète ça comme ça parceque j’aime beaucoup Lyla. ^^

      Je pense que tu as raison sur ce point. Je n’avais pas fait cette approche du personnage, trop énervé de croire que les scénaristes n’avaient pas eu assez de courage pour aborder jusqu’au bout les arguments invraisemblables de l’Eglise. Si ton interprétation se révèle exacte, je serai ravi. Lyla est avec Matt l’un des personnages qui me parle le plus et je ne demanderai alors qu’une chose : que l’on mette encore plus en évidence les contradictions que Lyla ressentira entre ce qu’elle entend à l’Eglise et la réalité.

  • 2.05

    Mais qu’est ce que Landry fait dans les vestiaires avec un discours ?
    Mais qu’est ce que Landry fait en nouveau joueur vedette des Panthers ?
    Et quand, exactement, est-ce que Landry est devenu le personnage principal de la série ?

    Pour être clair, j’ai absolument adoré la première moitié de l’épisode. C’était superbement réalisé, les dialogues étaient très soignés, et il y avait même une grosse louche d’Explosion in the Sky. Mais alors, la deuxième partie, et jusqu’à presque la toute fin, je me demandais vraiment ce que je regardais. L’intrigue du meurtre me pourrit bien plus la série que ce que j’espérais, Street qui nage super bien j’ai trouvé ça très limite, quant au match... mouais.

    C’était donc à moitié génial, en ce qui me concerne, à moitié foireux, avec heureusement quelques scènes très bien foutues à la fin pour rester sur une bonne impression.

    Oh, et quelle allumeuse, cette Crazy Christian. ^^

    • 2x05

      Un épisode bancal, déjà meilleur que celui de la semaine dernière mais pas à la hauteur d’un FNL. Toute une partie de l’épisode avec le Coach qui ne m’a pas marquée et surtout une storyline que je préfèrerais oublier.

      Mais qu’est ce que Landry fait dans les vestiaires avec un discours ? Mais qu’est ce que Landry fait en nouveau joueur vedette des Panthers ? Et quand, exactement, est-ce que Landry est devenu le personnage principal de la série ?

      Je plussoie, tout ce qui entourait Landry était nul cette semaine.
      Sauf son père. On apprend enfin à quoi riment les longs regards pleins de sens qu’il échangeait avec Tyra : Il est télépathe !
      Franchement c’est la seule explication que j’ai trouvé au fait qu’il s’étonne que Landry ne lui ai pas dit, dès le dîner du dernier épisode, qu’il connaissait l’homme de la rivière. A moins que j’ai manqué un truc, il n’a aucune raison de suspecter que c’est le cas non ?
      En tous cas ça fait de MrClarke un mec très cool, à la Keith Mars, qui me convainc avec le pourtant éculé : "stay away from my child".

      Oh, et quelle allumeuse, cette Crazy Christian. ^^

      Là aussi j’ai du manquer un truc, genre la scène où le trio trouve des champignons sur le bord de la route et décide de se faire un petit trip avant de fumer de la marijeanne et de boire comme des trous. Malgré tout j’ai trouvé la scène très belle. Elle résume leur relation pour le moins compliquée mieux que de longs discours.

      Street qui nage super bien j’ai trouvé ça très limite

      C’est la seule fausse note de cette storyline. Sinon tout était parfait. Les dialogues, particulièrement ceux sur le bateau, renvoyaient chaque perso à ses "démons", j’ai adoré.
      J’ai aussi adoré Matt qui s’affirme (ça change), et qui réussit à envoyer chier Smash, Coach T ET Evil-Julie (qui voit son temps d’antenne nettement réduit, à mon grand bonheur). La foison de scènes drôles était toute aussi bienvenue.

  • S02e05

    Mais qu’est ce que Landry fait dans les vestiaires avec un discours ?

    Ca ne m’a pas forcément choqué. Landry est le personnage habituel pour ce genre de discoure. Il est un peu le Xander de la série.

    Mais qu’est ce que Landry fait en nouveau joueur vedette des Panthers ?

    Au niveau du match ça ne m’a là aussi pas choqué qu’on joue sur lui à la fin. Faire rentrer Smash et Matt pour la dernière tentative veux sûrement dire que Smash sera forcément plus marqué par la défense que n’importe quand. Tenter un TD avec le rookie me paraît presque logique. Ce qui m’a un peu plus choqué c’est de jouer sur la faute. Sincèrement le geek qui à écrit l’épisode ne devait pas savoir qu’au foot on ne peut plaquer un joueur tant qu’il n’a pas la balle. Landry se fait descendre bien avant de la toucher ce n’était pas la peine d’en faire un suspense pareil.
    Par contre ce qui m’a choqué c’est la réaction après match et la nouvelle popularité de Landry qui me paraît forcé à un point que je n’aurais pas cru possible, là j’ais faillis décrocher.

    Et quand, exactement, est-ce que Landry est devenu le personnage principal de la série ?

    Quand ce gros c.. de Katims (oui je le hais pour ça :D) en a fait un meurtrier en croyant que l’effet Dexter convaincrait tout le monde.
    Je suis content, vraiment, que la grève ait lieu, ça permettra sans doute a tout le staff de scénaristes de réfléchir à des intrigues un peu mieux.

    Street qui nage super bien j’ai trouvé ça très limite

    C’était débile. Il tombe du bateau assez loin des côtes et remonte à la surface à moins de 100 mètres et nage sur un bras sans jambe. Je vais essayer ça l’été prochain pour voir combien de temps je tiens avant de couler.

    Depuis le début de la saison il y a de sacré raccourci et de facilité pris par les scénaristes. On va encore dire que les méchants posteurs du forum de pErDUSA casse le jouet qu’ils ont adoré la saison d’avant mais il y a des choses dans cette seconde saison de FNL qu’il n’y avait pas en première et qui doivent être montré.

    Oh, et quelle allumeuse, cette Crazy Christian.

    Lyla et ses deux hommes. Ca donne un triangle amoureux intéressant. Et la scène en elle-même, avec tous les regards, Lyla tournoyant entre J et Tim, était très belle et parfaite.
    Oui, oui ils arrivent encore à écrire des choses du niveau de la saison 1 et oui il faut le dire.

    Sauf son père. On apprend enfin à quoi riment les longs regards pleins de sens qu’il échangeait avec Tyra : Il est télépathe !

    Ca craignait un max, mais ce n’est qu’une conséquence de plus de la géniale intrigue du meurtre. Chad "Muad’Dib" Clarck a du trop forcé sur l’épice parce qu’il est super balèze a doit être le super flic de Dillon qui trouve tous les meurtriers grâce à son don de prescience.

    Bon faut pas se laisser aller, il ne doit rester que 5 ou 6 épisodes avant la fin de saison forcée par la grève, espérons que ce soit meilleurs.

  • 205

    Je vais faire tâche mais j’ai vraiment bien aimé cet épisode.
    Bon, il est vrai que le Landry show est un peu trop prépondérant, il n’empêche que le personnage est toujours très sympathique.

    Bon, je l’avoue, mon emerveillement devant le pissed Matt rend toutes petites imperfections anodines. Et puis, les scénes de match, j’adore. Et puis aussi le fabuleux échange de regards entre Matt et Landry à la fin.

    Un petit commentaire sur le 204
    Le licenciement de Coach McGregor a, à mon sens, été expédié trop vite. On n’a pas eu vraiment de temps de se familiariser avec le personnage. Est-ce le futur "Voodoo" de l’épisode final ?

    • 2.05

      Je vais faire tâche mais j’ai vraiment bien aimé cet épisode.

      Je te rejoins. J’ai adoré de bout en bout. Rien ne m’a déplut, rien ne m’a agacé. C’était de l’excellent FNL. Peut-être le meilleur de la saison à ce jour. Ils ont pris la décision de faire table rase sur les conséquences du départ du coach pour le moment et c’est tant mieux.

      Church Girl, SwimBoy... et Riggins

      C’était tellement poétique qu’il n’y a guère de mot pour dire à quel point l’ensemble sonnait juste. On met le personnage de Lyla face à ses contradictions. On voit que Street n’a en fait qu’un seul désire, pouvoir se surpasser. Sa brasse jusqu’au rivage est un des plus beau moment de la série et pas seulement parce qu’elle prélude le renoncement de Jason à sa folie chirurgicale. Quant à la dernière scène entre eux trois, elle offre ce que sait faire de mieux FNL : dépeindre des relations humaines compliquées sans tomber dans le cliché ou la lourdeur.

      Eric is baaaaaaack

      J’ai adoré tout ce qui le concerne. Sa petite intrigue secondaire avec Tami conclut de façon cohérente le pétage de plombs de cette dernière. Et la façon dont il gère l’équipe m’a fait bouger dans tous les sens devant mon écran. Ça m’a aussi fait plaisir de voir sa façon de réconcilier Smash et Matt. J’aurais été déçu qu’ils admettent leurs erreurs chez les Taylor. Les faire regarder le match était la plus sage décision.

      The reaper’s storyline

      D’accord, ce n’est sans doute pas la meilleure intrigue de FNL, mais maintenant, elle est là et il va bien falloir faire avec et essayer d’en tirer le maximum de plaisir. Tout le monde semble ahuri de voir que le père de Landry soupçonne Tyra. Mais si on se met de son point de vue, on peut remarquer qu’une fille comme elle ne devrait pas traîner avec un garçon comme Landry, que l’homme retrouvé mort avait failli violer Tyra alors qu’elle avait rendez-vous avec Landry, qu’eux deux se sont mis ensemble peu de temps après la mort présumée du violeur. Il ne sait pas si Tyra est impliquée, il espère avoir tort. Il ne la connaît pas. Et au cas où elle demanderait à Landry de prétendre avoir tuer le violeur (ce qu’il pense que son fils est incapable de faire) par amour pour elle, il préfère lui dire de rester éloigner de son fils. Rien d’incohérent ou d’artificiel là-dedans. Par contre, vraiment, la rupture, c’était du Jason Katims. La fille qui rompt avec le garçon pour protéger son avenir alors qu’elle l’aime éperdument, ça ne rappelle à personne un couple de Roswell, Nouveau-Mexique ?

      Julie and the rest

      Que Julie tente de se rabibocher avec Matt n’a rien d’anormal mais il aurait été décevant de les voir se remettre ensemble. Surtout que Julie ne cherche sûrement qu’à combler un vide affectif avec la seule personne qui l’aimerait aussi fort qu’elle en a besoin. Seulement Matt ne veut plus être un pion. Matt prend des décisions et prend les bonnes.

      C’était superbement réalisé.

      Je suis d’accord. Cette semaine, les cameramen se sont appliqués à coincer le visage des acteurs entre les bords du cadres et leur interlocuteur. De ce fait, on ressent plus vivement que jamais leur enfermement. Que ce soit Tyra, visuellement ensevelie par le père de Landry, ou Matt, complètement englouti entre son amour et sa fierté, la réalisation avait un sens encore plus grand qu’à l’accoutumé.

      Bref, du très très bon.

  • Je me permets un petit hors sujet pour dire que mon oncle de Suisse m’a envoyée une cassette du premier épisode de Friday Night Lights en version française. Pour dire qu’ils ont traduit "Clear eyes, full hearts, can’t lose !" par "Lucides et vaillants, nous vaincrons !". Et pour dire que le doublage est globalement correct. Voilà. Fin du HS.
  • 205

    Déjà bonjour, c’est mon premier post ici. Je ferai ma présentation plus tard.

    Je ne partage pas vraiment l’avis sur cette critique.

    La scène de Jason peut paraître bête mais elle est diablement belle, mise en scène de façon sublime. Comme l’a dit une autre personne plus haut il a besoin de se surpasser. J’aurai tendance à dire qu’il a besoin de se sentir capable. Capable tout simplement de bouger, de faire quelquechose. Depuis que le coach McGregor l’a traîté de mascotte, il était démoli et cet acte désespéré (se jeter à l’eau -tiens l’expression prend toute sa saveur ici) se transforme en véritable résurrection. J’oserai pas faire un parallèle avec Lyla et sa nouvelle passion du Christ mais je pense que tout est lié.

    Par contre la scène de fin entre le trio ne m’a pas emballé plus que ça.

    Sinon tout a été dit, chaque scène avec Eric est magnifique, son duo avec Tami est l’un des plus réussi de la TV américaine. C’est si bien joué...

    Je mettrai un petit bémol sur l’interprétation de la démarche du père de Landry. Il a fait très vite le rapprochement entre le violeur et Tyra, entre Tyra et Landry. Il a vite compris que son fils était impliqué. C’est là aussi un acte désespéré d’un père qui veut éloigner son fils de cette affaire. Pas d’affaire à la Smallville, mais un truc bien plus profond, plus intelligent, plus criminel aussi.
    Une interprétation personnelle du joueur Landry. Ce ne sera pas le héros de l’équipe. Il a eu son heure de gloire mais ça s’arrêtera là. Son discours m’a plu (peut-être cliché, peut-être maladroit mais adapté au personnage). Maintenant on voit qu’au niveau offensif il n’est pas au niveau par contre je lui vois un bon avenir dans un rôle ingrat de défenseur. On notera que c’est à l’entraînement sur une action défensive qu’il se distingue. C’est sur un beau geste défensif qu’il sauve le match également.

    Enfin je mettrai juste en avant la scène exceptionnelle de la rupture entre Tyra et Landry. C’est la scène la plus dure qu’il m’ait été de voir dans FNL (pourtant on a eu notre lot de passages émouvants), les paroles sont cruelles pour Landry mais aussi un déchirement pour Tyra qui est volontairement mechante. Y’a pas de mots après cette scène.
    J’étais tellement sous le choc que la scène entre Julie et Matt (ô combien intéressante par ailleurs) m’a semblé vraiment un cran en-dessous.

    • La scène de Jason peut paraître bête mais elle est diablement belle, mise en scène de façon sublime. Comme l’a dit une autre personne plus haut il a besoin de se surpasser.(...)il était démoli et cet acte désespéré (se jeter à l’eau -tiens l’expression prend toute sa saveur ici) se transforme en véritable résurrection.

      C’est justement cette petite métaphore qui m’a parue décevante, par rapport à la subtilité habituelle de la série. J’ai trouvé ça un peu lourd... Jason décide de vivre malgré tout alors il nage jusqu’à la cote et ne se laisse pas couler ? J’ai regardé la scène avec un sourcil haussé et je ne suis toujours pas convaincue. Je n’ai pas eu l’impression que l’épisode avait besoin de cette scène pour montrer que Jason allait pouvoir passer à autre chose et se construire enfin en tant que paraplégique, et pas en tant qu’"handicapé temporaire qui va forcément remarcher un jour".

      Il a fait très vite le rapprochement entre le violeur et Tyra, entre Tyra et Landry. Il a vite compris que son fils était impliqué. C’est là aussi un acte désespéré d’un père qui veut éloigner son fils de cette affaire.

      Je comprends la peur du père du Landry, mais son sixième sens de flic ne m’a pas convaincu non plus. Quant à faire rompre Tyra et son fils, j’ai trouvé que c’était simplement de trop. En fait, je n’aime rien de cette intrigue de meurtre, absolument rien, et toutes ses conséquences me donnent un goût de gachis. Avoir mis Landry et Tyra ensemble, tout ça pour les faire rompre de manière horrible quelques épisodes plus tard, c’est du sadisme scénaristique, mais pas du niveau d’un Joss Whedon... Et c’est là que ça fait mal. Cette intrigue n’a aucune raison d’être et elle me gâche ce début de saison. Heureusement que le reste est à la hauteur.

      Maintenant on voit qu’au niveau offensif il n’est pas au niveau par contre je lui vois un bon avenir dans un rôle ingrat de défenseur. On notera que c’est à l’entraînement sur une action défensive qu’il se distingue. C’est sur un beau geste défensif qu’il sauve le match également.

      C’est en tant que receveur qu’il sauve le match, pas en tant que défenseur. Les receveurs n’ont pas de rôle défensif particulier, sauf cas exceptionnel. Et ce n’est pas en défense qu’il se distingue à l’entrainement (il se fait démollir littéralement pas Tim dans le premier épisode), mais toujours en tant que receveur. Il a plus le physique d’un receveur qu’un défenseur, mais peu importe ceci dit, le fait est que quand même, Eric lui met le sort du match entre les mains alors qu’il l’a vu sur une seule belle action lors d’un entraînement... Mais espérons que comme tu le dis, cette gloire de joueur de football ne sera que passagère. Et que tout le monde oubliera son nom ! :p

    • C’est en tant que receveur qu’il sauve le match, pas en tant que défenseur. Les receveurs n’ont pas de rôle défensif particulier, sauf cas exceptionnel. Et ce n’est pas en défense qu’il se distingue à l’entrainement (il se fait démollir littéralement pas Tim dans le premier épisode), mais toujours en tant que receveur. Il a plus le physique d’un receveur qu’un défenseur, mais peu importe ceci dit, le fait est que quand même, Eric lui met le sort du match entre les mains alors qu’il l’a vu sur une seule belle action lors d’un entraînement... Mais espérons que comme tu le dis, cette gloire de joueur de football ne sera que passagère. Et que tout le monde oubliera son nom ! :p

      Son action en tant que receveur est anodine. C’est juste une bête faute. Je parle plutôt de son plaquage puissant après une interception qui permet un fumble et une récupération de la balle.

      Et à l’entraînement c’est bien en tant que défenseur qu’Eric tique sur lui. C’est aprèsqu’Eric ait demandé à tout le monde d’inverser les rôles : les attaquants défendent, les défenseurs attaquants. Landry défend sur un receveur, se place bien et intercepte la passe.

      Sinon sur le reste je suis tout à fait d’accord, c’était bien trop tôt, pas très habile.

  • 2.06

    Un bon épisode par le fait qu’il évite les maladresses des précédents. Et par le fait qu’il laisse espérer la fin de la story-line du meurtre. (à moins que les détectives retrouvent près de la voiture brulée le jerricane utilisé, que sa marque ne soit fournie qu’avec le modèle de voiture du père de Landry, que son chef au commissariat ne s’en rende compte et, pour le protéger, aille avec lui en bruler une deuxième).

    Le père de Landry réagit sans hésiter avant même de chercher à comprendre. Il ne veut pas savoir ce qu’il s’est passé, ni comment. L’important est de protéger son fils et de le faire vite.

    Après son omniprésence la semaine dernière la mise en retrait de Landry (il doit dire 5 phrases en tout et pour tout) cette semaine fait du bien.

    Côté Taylors, chaque personnage en prend (un peu) pour son grade. Eric découvre une conséquence inatendue à son retour (ce n’est pas cher payé), Tami s’avoue certaines frustations grâce à la venue de sa soeur et Julie reconnaît enfin ses torts devant Matt avant de le voir embrasser une pom pom girl à l’arrière d’une voiture.

    J’ai eu peur de voir Matt retourner auprès de Julie après les excuses de celle-ci ce qui aurait été un peu facile. D’un autre côté, ça ne lui ressemble pas vraiment d’aller peloter une pom pom girl stupide qu’il a vu deux fois dans sa vie.
    Il tombe dans le cliché du quaterback populaire qu’il avait toujours plus ou moins évité. Mais il a bien mérité de s’amuser un peu. et , heureusement, ça ne va sûrement pas durer.
    Toujours pas de nouvelles de la garde malade de sa grand-mère. Je commence à me demander si on la reverra...

    On pouvait s’y attendre, surtout depuis l’intervention de Garrity dans sa vie, mais je trouve un peu dommage que le dernier nouveau personnage introduit doive absolument enter dans l’équipe, et plus surprenant. découvre à 18 ans qu’il a toujours eu une passion cachée pour le foot. J’ai du mal à saisir ses motivations. Mais Babe catcher ne m’est pas anthipathique et j’attends de voir la suite. J’aime assez ses scènes avec Riggins qui accepte bien volontiers de l’entraîner une fois rassuré sur ses intentions envers Lila. Si les scénaristes évitent la facilité de ramener Tim dans l’équipe au bout de deux épisode, leur relation sera peut être à suivre.

    L’intrigue de Riggins permet à Smash d’agir en capitaine pour un fois (principalement parce qu’il en prend plein la tête à l’entraînement mais bon...). J’aime sa manière d’intéagir avec Tim et la courte scène du repas de famille. ("I’m the smash..." je ne m’en lasse pas). Samsh rappelle à "Tim la larve" une vérité valable beaucoup de membres de l’équipe mais peut être encore plus pour eux deux : sans le foot il ne sont rien. Smash parce que tous ses espoirs futurs reposent dessus, Tim parce qu’à part les quelques bondes sexy avec qui il couche, Jason et Lila, ses vies familiales et sociales sont soit cahotique soit superficielles.

    Jason a du faire face à cette réalité au cours de la première saison, et coupe à présent les derniers liens. Son émancipations par rapport à l’équipe et à Dillon va pour moi dans la continuité du personnage. Tout comme Lila, Jason se cherche encore et petit à petit voit Dillon ressembler à une cage. A 19 ans il en est déjà à regarder des cassettes sur son glorieux passé et comment c’était le bon temps. Le don de celles-ci est plus un moyen de se débarasser d’objets qui le ramènent en arrière que de prendre ses distances avec l’équipe.

    Si comme je l’espère, la story-line du meurtre s’achève bientôt, et avec les dernières conséquences du retour d’Eric Taylor, on quittera les deux "grosses" story-line de début de saison pour revenir vers des histoitres plus "simples", dévellopées peut être plus lentement et plus dans le ton original de la série. C’est au final ce qu’elle fait de mieux.

  • Après quatre épisode ,je dois avouer que j’ai un peu de mal avec ce début de saison .Cela est dû notamment au traitement de deux intrigues : celle du retour du coach et celle du meurtre du violeur .La première me fait douter pour la première fois des scénaristes de FNL .J’ai l’impression qu’ils ne savaient pas ce qu’ils faisaient l’an dernier en faisant accepter à Eric le job d’Austin .J’ai pas aimé non plus la diabolisation du coach McGregor et la façon dont on insistait sur le coté négatif de la TMU .FNL nous a habitué à plus de nuance ,plus de subtilité .

    Et puis ,il y a l’autre storyline .Celle de Tyra et Landry .Deux de mes personnages préférés .Leur histoire me laisse perplexe .D’autant plus que je trouve l’ensemble de leurs scènes (la nuit sur le pont ,bijoutier ,les parents de Landry...) excellentes ,justes ,drôles et très bien interprétées .Le problème c’est juste cette ambiance de polar qui ne va pas du tout avec le ton de la série .

    Sinon ,pour tout le reste ,je dois dire que j’adore ! J’adore Lyla et sa dérive religieuse, Julie et sa descente aux enfers ,Tami en pleine dépression magnifiquement interprétée par Connie Britton .J’aurais voulu voir un peu plus de Smash qui, comme l’an passé, reste un peu en retrait en début de saison .

    Mais mes deux plus grosses satisfactions de ce début de saison 2 ,c’est la réhabilitation des personnages de Jason et Tim .C’est deux là avaient hérité ,je trouve ,des deux plus mauvaises intrigues de la saison 1 (la tatoueuse et la voisine) .Deux intrigues en fin de saison .Ce qui a eu pour effet de me laisser une mauvaise image des deux personnages .Là ,depuis quatre épisodes ,je me surprends à les apprécier de nouveau .Je retrouve le Tim crade mais attachant des deux premiers tiers de la saison 1 .On donne à nouveau une intrigue très intéressante à Jason .Personnage qui de mon point de vue était voué à l’échec juste après le pilote .La série m’avait alors surpris en gardant une personne handicapée comme personnage principal et surtout en trouvant à chaque fois le moyen de le mettre au centre d’une histoire touchante et complexe (la rééducation ,le procès fait à Taylor...) à l’exception bien sûr de cette aventure mal gérée avec la fille des tatouages .Dans l’épisode 4 ,j’ai littéralement adoré les scènes de Jason et de Tim à Mexico (même si on nous a servis tous les clichés possibles sur les mexicains et le Mexique) en particulier la scène où Jason chante en anglais et dit tout son mal-être .Ce passage montre aussi le désir commun qui anime tous les jeunes de Dillon :celui de quitter ce trou perdu .

    Cette obsession de fuir Dillon était pas mal présente en début de saison 1 .Puis le thème principal de la série avait fini par tourner autour de l’aventure des Panthers en championnat . Pour cette seconde saison (qui sera certainement la dernière) ,je m’attends plutôt à ce qu’on nous montre des jeunes paumés qui entament leur dernière (ou avant-dernière) année et qui se sentent étouffés ,coincés à Dillon .C’est donc à une saison deux plus pessimiste et émotionnellement plus violente à laquelle je m’attends .

  • Je rejoins les bémols émis sur le 2.05, mais apparemment il y a un truc qui n’a dérangé que moi : l’attitude d’Eric. J’idéalise sûrement trop ce mec (comme tout le monde), et ok il est humain, n’empêche que j’ai pas vraiment apprécié qu’il soit sympa et décharge sa femme juste une journée histoire de pouvoir enfin coucher avec elle. C’est digne d’un ado. Et que Tami, qui dit bien avoir mal partout et ne pas s’en sentir encore l’envie depuis l’accouchement (ce qui est normal), se force finalement à la fin pour relaxer son mari qui a eu une dure journée, le pauvre. Ajouté à son retour plus pour son équipe que pour sa famille, Eric me déçoit franchement.
  • 2.06

    C’est la première fois que j’ai vraiment l’impression de ne pas regarder du FNL. J’ai trouvé qu’il n’y avait aucune saveur. Assez prévisible. Assez ennuyeux. Les personnages étaient enfermés dans leur définition. Il n’y avait pas que l’intrigue du violeur. Il y avait l’arrivée du nouveau dans l’équipe, Eric borné, Matt et la nouvelle, Jessalyn Gilsig insupportable, pas de match, la popularité de Landry oubliée, Tyra discutant avec un autre mec... Le côté démonstratif était trop accentué. Encore une fois j’ai eu l’impression qu’on appuyait fortement sur certains points, bref qu’on me parlait comme si j’étais demeuré. J’attends autre chose de FNL. Je n’ai même pas envie de développer davantage tant cet épisode m’a paru superflu.

  • S02e06

    C’est la première fois que j’ai vraiment l’impression de ne pas regarder du FNL.

    Ah ! Tient moi c’est une des premières fois ou j’ai justement l’impression de voir un épisode de la série.

    Assez prévisible. Assez ennuyeux.

    Oui c’est vrai, il y avait certain truc prévisible mais c’était plutôt bien négocier et, ouf ! Jason ne devient pas un Crazy Christian, mais à un moment j’ai eu peur.

    Il n’y avait pas que l’intrigue du violeur.

    Ca fait chier, la scène avec Landry et son père dans le garage était très bien, dommage que ça fasse partie de cette intrigue de merde et que ça me la un peut gâcher.

    Il y avait l’arrivée du nouveau dans l’équipe,

    C’est vrai qu’avec Landry ça commence à faire, mais là c’est lier à je-contrôle-tout-Garrity et ça me dérange moins. Depuis que Garrity à virer Gaines, il fait comme si c’était son équipe, imposer ce garçon n’a rien de choquant. Et que le type voit lui aussi une porte de sortie à Dillon, ou pense à payer sa dette à Lyla et son père, avec le foot pourquoi pas, du moment qu’ils n’en font pas le nouveau fullback vedette de la team en deux matchs.

    Eric borné,

    Comme d’hab quoi.

    Matt et la nouvelle,

    Là moi je suis content j’avais peur qu’il nous remette Julie et Matt aussi sec, tout mais pas ça. Ce sont des ados, les hormones travaillent, que chacun aillent voir ailleurs si l’herbe est plus verte, ça me paraît logique.

    Jessalyn Gilsig insupportable,

    Ouais, ça lui aller super bien ! ;)

    la popularité de Landry oubliée,

    Yes, yes, YES !!!

    Tyra discutant avec un autre mec...

    Ben ce n’est pas non plus une nonne. :p
    Bon, ok ! Tu marque un point, les petits rires et roucoulements ça le faisait moyen, une Tyra plus marqué ça aurait été sans doute mieux.

    Ce n’étais pas si catastrophique à mon avis, sûrement pas au niveau de l’an dernier mais j’ai pris du plaisir à voir autant de personnages interagir et recentrer pas mal de chose sur l’équipe. Voir Smash, Riggins et Matt, ensemble, jouer au foot c’était bon, c’était du FNL, les petits trucs de la vie : le foot, les potes, l’entraînement, les filles.
    Loin, très loin d’un meurtre…

  • Vous ne pouvez pas savoir à quel point j’en veux aux scénaristes de FNL .Cette saison (j’en suis au 2.05) ,je n’ai retrouvé que 80 % de ce que j’aimais dans FNL .Je ne suis satisfait que de 80 % des scènes ,des dialogues ,des personnages .Et c’est ce 80% qui me dérange Les scénaristes n’ont pas pour l’instant rééditer la performance de la saison 1.Mais en même temps ,ils n’ont pas réussi à tout gâcher dans la série ,à détruire ne serait-ce qu’un seul des personnages principaux .En plus ,ils ont développé certaines intrigues pas bêtes du tout voire même intéressantes .Alors ,au lieu de me faire une raison ,de passer à autre chose ,je continue à espérer au début ,au milieu ,à la fin et après chaque épisode .Je ne suis jamais totalement déçu par FNL .Je regrette juste telle scène parmi une multitude d’autres scènes que j’ai adoré .Mais au final cette scène finit par m’obséder .
    Franchement ,je ne sais pas si c’est mon baromètre de satisfaction qui est spécialement élevé avec FNL cette rentrée par rapport à la saison 1 mais en tout cas je ressens un malaise qui m’empêche de passer de bons moments comme je peux en passer cette saison devant Heroes ,Chuck ou Drawn Together .
    Que peut-on faire pour cesser d’en attendre trop d’une série ?

    Un petit commentaire sur le 204 Le licenciement de Coach McGregor a, à mon sens, été expédié trop vite. On n’a pas eu vraiment de temps de se familiariser avec le personnage. Est-ce le futur "Voodoo" de l’épisode final ?

    C’est pour moi LE gros gâchis de ce début de saison .Je n’ose imaginer la qualité ,que dis-je la perfection ,de cette saison 2 si le personnage McGregor avait été plus nuancé et introduit comme Éric l’an passé en nous présentant sa famille ,ses espoirs ,ses ambitions .La question de son départ aurait été alors l’axe principal de ce début de saison ,soulevant moult questions ,réactions et provoquant des déchirements au sein de l’équipe .

    D’ailleurs pourquoi ne pas nous avoir montré un Smash furieux du retour de Taylor puisque McGregor lui faisait la part belle ?

    L’intrigue du meurtre me pourrit bien plus la série que ce que j’espérais

    J’avoue que je suis complètement perdu avec cette histoire .Autant ça permet de nous offrir des scènes absolument sublimes (Tyra au poste de police,le repas chez Landry...),autant ça ne va pas du tout avec l’univers et l’ambiance de FNL .

    Mais où les scénaristes veulent-ils en venir ?Savent-ils au moins ce qu’ils font ?
    Au moins l’histoire du coach McGregor est facile à oublier et sans conséquence sur les personnages .Mais un meurtre ! Un meurtre ça vous lâche pas ,ça s’oublie pas !

    Comment faire alors pour réparer les dégâts ,pour que ça ne pourrisse pas toute la saison ?
    Avec ma p’tite cervelle d’oiseau ,j’ai tenté de me mettre à la place des scénaristes .Et j’en suis arrivé à la conclusion que la seule façon de reléguer cette intrigue de meurtre au second plan ,c’est de faire quelque chose d’encore plus tragique ,plus traumatisant .Comme par exemple le suicide de Landry .Je sais que c’est morbide (et farfelu ) .Mais en même temps ,ça s’expliquerait par le poids de la culpabilité ,l’éloignement de Tyra .Et puis ça justifierait tout ce début de saison : le meurtre ,la mise en avant de Landry ,la connaissance de ses parents...En plus, un suicide c’est en accord avec les thèmes de la série :l’adolescence ,le sentiment d’enfermement qui saisit les personnages à Dillon,...Cela fournira également d’intéressantes histoires à Tyra et Matt .

    La scène de Jason peut paraître bête mais elle est diablement belle, mise en scène de façon sublime. Comme l’a dit une autre personne plus haut il a besoin de se surpasser. J’aurai tendance à dire qu’il a besoin de se sentir capable. Capable tout simplement de bouger, de faire quelquechose

    Bien dit .Moi aussi j’ai adoré cette scène .En revanche ,l’image de Jason dans l’eau m’a tout de suite rappelé la fin tragique de Charlie dans Lost .J’ai eu alors un peu peur qu’on nous tue le personnage de cette façon .

    Je suis content, vraiment, que la grève ait lieu, ça permettra sans doute a tout le staff de scénaristes de réfléchir à des intrigues un peu mieux.

    Le NY Times a classé aujourd’hui le show dans la catégorie des séries pour lesquelles la grève est une très bonne chose .Ainsi ,grâce à cette grève ,on peut être sûr qu’NBC n’annulera pas la série à la fin de cette année comme elle aurait pu le faire pour laisser de la place à des programmes de mi-saison .L’article ajoute que si la grève perdure jusqu’en mai,la plupart des chaînes n’auront pas le temps de lancer la production de nouvelles séries dont le succès serait de toute façon incertain .Un programmateur explique alors que dans ce cas-là ,les chaînes pourraient renouveler des séries peu populaires mais dont la mécanique de production est bien huilée et ayant déjà une base de fans .

    De plus ,FNL est l’une des rares séries d’NBC (avec Las Vegas ,je crois) à pouvoir prétendre aller au-delà du mois de janvier puisque 15 épisodes ont été produits et que la série a débuté avec une semaine de retard (le 5/10).Il reste donc 9 inédits à FNL quand il n’en reste qu’entre 3 et 6 aux autres séries du network .

    Pour finir ,vu le faible nombre de téléspectateurs ayant suivi jusque là la série ,NBC pourrait bien lui changer de case horaire et rediffuser quelques épisodes précédents qui feraient alors office de programmes frais pour la majeure partie du public .

  • Pour ceux qui auraient raté l’actualité récente de la série :

    - TV Guide a annoncé que Matt Czuchry (Gilmore Girls) va intégrer la série à partir de l’épisode 12 .

    - Il se murmure que la chaîne câblée ESPN serait prête à reprendre FNL pour une éventuelle troisième saison .Ce que NBC dément (lien)

  • 2.05 Shut up, Tytys :-)
  • 2.06

    Je sais que je suis en retard mais fallait que je dise à quel point j’ai adoré cet épisode .Je reprends enfin confiance en FNL .Ce sixième épisode est excellent .Pour moi le meilleur de la saison jusqu’à présent. Pourtant ,il ne s’y passe pas grand chose mais j’y ai retrouvé tout ce que j’aime dans Friday Night Lights .C’est-à-dire un assemblage de scènes de la vie quotidienne ,des dialogues simples et profonds à la fois .Et pour terminer ,un réalisme qui crève l’écran comme la scène d’ouverture avec les Taylor qui parlent de leur fille puis s’étonnent du salaire d’Eric .

    J’ai l’impression aussi qu’on touche à la fin de l’intrigue du violeur .D’ailleurs, pour une fois depuis le début de la saison ,je n’ai ressenti aucun malaise avec les scènes de Landry .C’était juste bien joué, bien écrit et j’ai retrouvé le Landry que j’aime .

    Je suis aussi content qu’on s’éloigne d’une liaison Saracen-Jeune fille qui s’occupe de sa grand-mère .

    J’ai aussi beaucoup ri avec le personnage de Jessalyn Gilsig ,Glen puis les Riggins dans le bureau de Tami ,Julie qui répond "oui" à Tyra tout en sanglotant,le dialogue entre Matt et la nouvelle dans la voiture,...

    Jason est en passe de devenir mon personnage préféré après Tami et la maman de Smash bien sûr .Son dialogue avec Lyla, dans l’église, était tout bonnement excellent .

    Bref ,j’ai enfin retrouvé la perfection de la saison 1 .

    • Pour tout ce que tu dis dans le premier paragraphe, je suis d’accord avec toi, mais ça s’applique en réalité sur

      2.07

      Un épisode fort sympathique où le rôle de l’ex-détenu m’est apparu comme finalement intéressant alors qu’il m’était indifférent jusque là.

      La relation entre Tyra et Tim était de nouveau abordée de façon intéressante et permettait de développer de nouveau le personnage de Tyra à travers une autre intrigue que celle du mort. Landry, de son côté, n’a pas fait grand chose de l’épisode à l’instar de Jason qu’on ne voit pas du tout.

      Mais ces absences sont grandement contre-balancées par la focalisation sur Smash qui manquait depuis le temps. A n’en plus douter, Weaverly a été keylerisée, ce qui est tout de même regrettable après le développement fait sur ce personnage.

      La nouvelle intrigue de Julie m’intrigue ! Je ne sais pas très bien où ils veulent en venir mais ça m’a l’air d’être quelque chose d’intéressant. Et du côté de Matt, je suis finalement ravi qu’une romance s’installe entre celui-ci et son aide à domicile (désolé Khamsa). Ce personnage sobre et pas trop présent a su se distinguer par toutes ses scènes pleines de fraîcheur.

      Les clichés ont été évacués, on ne se force pas à traiter d’intrigues en trop, on développe de nouveaux personnages, on retrouve des anciens laissés de côté... FNL se porte bien dans cet épisode.

  • 2x07

    Welcome to NFL !!!

    Fini la nébuleuse qui entourait les premiers épisodes de la saison 2 , cette fois ci on est bien reparti dans le charme qui m’avait conquis lors de la saison 1, on y retrouve donc l’ambiance et aussi les themes chocs de la série, je veux bien évidemment parler du football, des peripeties lycéennes, les histoires de coeurs et j’en passe.

    Malgré ce retour aux source si l’on puis dire ainsi, il reste quelques points mal négociés à mon avis, tout d’abord, l’histoire de Matt et de l’assistante à domicile. il est vrai que lorsqu’elle a débarquée dans l’épisode 2 ( si je ne me trompe pas) on pouvait s’imaginer sans tomber dans la folie televisuelle qu’il se passerait quelque chose avec notre jeune QB1, mais de cette maniere je trouve ca "lourd", je veux bien que Matt a les hormones en pleines activités mais embrasser une autre fille que la cheerleader alors que celle-ci lui a choisi sa voiture, je trouve cela un peu gros.j’aurais peut etre preferé quelque chose de plus subtile. Voici pour moi la seule tache d’oimbre qui peut se meler à l’épisode meme si la scene reste touchante ( celle du baiser et meme celle du petit dejeuner). Par contre j’ai du mal à imaginer le dénouement de cette nouvelle idylle.

    Je fus assez triste que tim Riggins se retrouve dans la situation suivante, le pauvre voir son frere se faire son ex petite amie ca doit faire tout drole. en ce qui concerne le coach Taylor, le voici une nouvelle fois dans le role du "sage" si je puis dire, on nous le montrait déjà à la saison 1 et aussi lorsqu’il a du aller devant la comission lorsqu’il entrainait les quaterbacks à MTU, j’espere que cela ne va pas devenir redondant, ca pourrait nous lasser trés vite.

    enfin, rien de trés méchant, un bon épisode que j’ai eu plaisir à voir et qui j’espere en laisse deviner de meilleur pour la suite.

  • 2x07

    Essai transformé ! Cet épisode vient de confirmer la bonne impression que m’a laissé le 2.06 .

    J’ai donc adoré cet épisode plus léger que les précédents et surtout beaucoup plus drôle .

    Et du côté de Matt, je suis finalement ravi qu’une romance s’installe entre celui-ci et son aide à domicile (désolé Khamsa). Ce personnage sobre et pas trop présent a su se distinguer par toutes ses scènes pleines de fraîcheur.

    Même cette intrigue je l’ai trouvée vachement bien ! Disons que je suis toujours un peu dérangé par cette histoire "trop cliché" et qui semble mener nulle part .Mais en même temps qu’est-ce que j’ai kiffé toutes les scènes de Saracen .C’était drôle et terriblement touchant .La scène du petit déjeuner est un petit bijou et m’a rappelé à quel point Zach Gilford pouvait être attendrissant avec son regard de chien battu .En plus ,Carlotta vous sort des regards et de courtes répliques très bien sentis (comme la scène du début ,en sortant de la douche) .

    La nouvelle intrigue de Julie m’intrigue ! Je ne sais pas très bien où ils veulent en venir mais ça m’a l’air d’être quelque chose d’intéressant

    Comme pour Matt ,cette storyline naissante a un air de déjà vu .Paradoxalement ,je suis plus confiant car j’ai le souvenir d’une intrigue similaire qui avait fait l’objet d’un excellent traitement dans Once & Again .Je me dis donc que FNL est capable de faire la même chose .

    Sinon ,ça ne dérange que moi que le prof ait un CV aussi bien fourni (quantitativement et qualitativement) à 21 ans mais qu’il se retrouve enseignant dans un lycée du fin fond du Texas ? En plus, il se nomme M. Noah Bennett ! Il cache sûrement quelque chose ! Sans oublier ,que c’est un sacré vantard .Qui peut (et avoir le temps de) lire chaque jour le New York Times de A à Z ?

    Landry, de son côté, n’a pas fait grand chose de l’épisode...

    Il reprend petit à petit sa place de personnage sympathique .J’étais content de le voir discuter avec Tyra .

    J’ai aussi l’impression que les scénaristes regrettent ce qu’ils ont fait du personnage depuis le début de la saison et surtout dans le 2.05 .La semaine dernière et cette semaine encore ,on a droit à un Landry humble ,un peu mal à l’aise...Contrairement à ce que laisser augurer le 2.05 ,Landry est quasi-absent des discussions autour de l’équipe et des schémas tactiques ,il semble continuer à fréquenter le même groupe d’amis "geeks" .Au moment du "strip-tease" ,Landry était le seul à avoir gardé son tricot de peau .Je sais que c’est bête comme remarque mais j’ai le sentiment qu’on fait comme si Landry n’avait jamais réellement intégré les Panthers et n’avait pas été à l’origine de la victoire de l’équipe lors du troisième match . Ce qui m’amène au cas de l’ex-détenu .

    le rôle de l’ex-détenu m’est apparu comme finalement intéressant alors qu’il m’était indifférent jusque là.

    Santiago semble bénéficier de ce retour en arrière des scénaristes .Puisque c’est lui qui a été désigné pour incarner le rôle joué par Matt en saison 1 : celui du débutant qui progresse avec l’équipe et sous les yeux des téléspectateurs .Même profil : n’est pas très bon au foot US ,a une situation familiale compliquée ,semble être gentil ,timide et enfin ,il n’a pas de girlfriend .
    Pour l’instant ,je l’aime bien et j’aime encore plus les histoires qu’il pourrait apporter comme sur les sans-papiers étant donné que ses parents ont été "déportés" .
    Et puis ,ça permet de relancer le personnage de Buddy Garrity.
    C’est ainsi que je me rends compte à quel point tout finit par s’imbriquer et être lié dans FNL .En plus ,FNL le fait avec une fluidité déconcertante quand d’autres dramas ont recours à de grosses ficelles qui ont dû mal à passer .

    en ce qui concerne le coach Taylor, le voici une nouvelle fois dans le role du "sage" si je puis dire, on nous le montrait déjà à la saison 1 et aussi lorsqu’il a du aller devant la comission lorsqu’il entrainait les quaterbacks à MTU, j’espere que cela ne va pas devenir redondant, ca pourrait nous lasser trés vite.

    Au contraire ,je trouve que le personnage d’Éric a été mis à rude épreuve depuis le début de cette saison .On l’a vu tour à tour en père dépassé ,en mari négligeant et obsédé sexuel ,en traître qui quitte l’équipe puis complote avec Garrity pour son retour .Depuis deux épisodes ,le personnage reprend son rôle de père exemplaire (puisqu’à part Eric ,les autres pères sont soit morts soit des salauds à l’exception du père de Landry mais bon lui il ne compte pas) .On voit maintenant Eric donner des conseils à Smash ,dire du bien des traditions ,interdire à Julie certaines tenues ou encore aller exiger une augmentation de salaire puisque c’est l’homme qui nourrit sa famille .C’est exactement en accord le personnage de la saison 1 ,son conservatisme avec Julie ,ses airs protecteurs avec Matt ,son homophobie ou encore la façon dont il pensait que sa femme allait le suivre à Austin en bonne épouse qui se sacrifie pour son mari .

    A part ça ,faut rappeler que Kyle Chandler fait un superbe boulot et réussit à rendre hyper crédible son personnage .

    A n’en plus douter, Weaverly a été keylerisée, ce qui est tout de même regrettable après le développement fait sur ce personnage.

    Oui c’est regrettable .Mais ça vient conforter mon idée selon laquelle les scénaristes ont lancé en fin de saison 1 toute une série d’intrigues (départ à Austin ,violeur ,grossesse de Tami ,bipolarité de Weaverly...) sans trop savoir où ils allaient .Ils pensaient peut-être que la série serait annulée .

    Bon avec tout ça j’ai pas dit à quel point j’avais aimé les scènes avec Smash (et sa mère) .

  • 206

    J’ai un peu de retard également. (j’ai donc zappé les commentaires sur l’épisode 207).

    Je rejoins plus ou moins la review de Feyrtys. Sauf que je n’ai rien contre l’intrigue du meutre, probablement parce que le jeu des acteurs est excellent.

    Sinon, je ne sais pas pourquoi, mais j’ai du mal avec la soeur de Tami. Elle sonne faux. La scène de son arrivée m’a semblé plutôt surjouée. Enfin, comme l’a également écrit Feyrtys , il manque ce petit quelque chose entre les deux actrices (chose que les frère Riggins ont).

    Je vais cette fois-ci m’empêcher de dire à quel point j’aime Matt pour admettre mon admiration pour un autre personnage. Il n’est pourtant pas le genre de personnages que j’adore, mais sans lui, FNL ne serait pas aussi bien. Je parle de Smash. J’ai beaucoup aimé sa réaction à l’absence de Riggins. En fait, depuis le début de cette saison, il n’y a pas un message où je ne dit pas que je l’adore ;-).

    Petit hic (mais ça semble être le choix de la saison) pas assez de foot.

  • 2.08

    Formidable, Formidable épisode !
    Les scènes avec Tim et son nouveau meilleur pote resteront sans doute les plus drôles de la série... parce que franchement, le voir dévisser le viseur de ses jumelles pour boire un coup, avant de jouer avec ses bois pour attirer des cerfs...

    Oh, et tout le reste était très bon, hein. ^^

  • Sinon, je ne sais pas pourquoi, mais j’ai du mal avec la soeur de Tami. Elle sonne faux. La scène de son arrivée m’a semblé plutôt surjouée. Enfin, comme l’a également écrit Feyrtys , il manque ce petit quelque chose entre les deux actrices (chose que les frère Riggins ont).

    Au contraire, j’aime beaucoup leur rapport et surtout que l’intrigue avec le prof. n’est pas juste une intrigue de relation malsaine prof/élève mais qu’elle soit utilisé pour mettre en avant la complexité de la relation entre Tami et sa soeur.

    Les scènes avec Tim et son nouveau meilleur pote resteront sans doute les plus drôles de la série... parce que franchement, le voir dévisser le viseur de ses jumelles pour boire un coup, avant de jouer avec ses bois pour attirer des cerfs...

    Je n’étais pas fan du personnage en saison 1, mais depuis la rentrée, je trouve sa storyline réussie. J’aurais bien aimé voir plus longtemps la vie de Tim sans le foot, du coup.

    Le rapprochement Laila / Landry était bien trouvé. En début de saison 1, on nous montrait à quel point il était croyant. Je suis inquiet pour le personnage, mais c’était la seule issue possible pour l’intrigue.

    Enfin, j’ai adoré Eric le connard. Il était odieux et égoiste avec Tami. Et j’ai adoré cette scène. De toutes façons, j’aime tout ce qui donne plus de temps d’antenne à Connie.

  • 2.08

    Ce n’est pas mon cas. Ou bien disons à moitié. Cela fait un moment que Tami me tape sur le système. Non que je la trouve moins bien jouée, Connie Britton continue de faire un travail formidable. C’est simplement ce personnage hypocrite et passablement hystérique qui m’épuise. Sa scène avec le prof à la coupe bizarre en était vraiment le summum. Tami avait tout d’une ado dans cette scène. "J’aime pas que tu conseilles des livres à ma fille, j’aime pas que tu lui parles, j’aime pas tes cheveux et je t’aime pas toi !" Quand Julie a piqué sa crise, je l’encourageais presque comme si j’avais assisté à un match de fin d’épisode (ça manque d’ailleurs beaucoup cette année.) Par contre, et c’est là tout le paradoxe, j’aime beaucoup ce qui se passe entre Eric et elle de son côté. Je trouve Tami très juste et très touchante dans cette intrigue. Du coup, c’est plus Eric qui m’agace. "Mais pourquoi que c’est pas avec moi que tu rigoles ? Occupe-toi un peu de ta famille, femelle insolente." Si ce n’est pas la première fois que les scénaristes insistent sur les défauts de ce cher coach, ils ont mis les bouchés doubles cet épisode.

    Son refus de dialoguer avec Tim a également fini par m’exaspérer. Jason a tellement disparu de la série qu’on oublie que Riggins a quitté l’équipe pour accompagner son ami à Mexico. Je n’ai vraiment pas compris pourquoi on avait tant étiré cette intrigue en longueur. Pourquoi pas une simple conversation entre Tim et Eric qui aurait tout remis à plat ? Parce qu’après tout, quand Tim est parti, c’était encore l’autre coach qui gérait l’équipe il me semble. Tim et Eric ont tout deux abandonnés l’équipe. Je suis attristé qu’il n’y a pas eu cette comparaison à aucun moment. Je ne jugerai pas son mini-arc avec le gros en slip parce qu’honnêtement, je n’ai rien compris du tout. Je n’ai pas compris d’où il sortait ni ce qu’il voulait, et encore moins ce qu’il disait.

    Du côté de chez Matt, j’ai trouvé l’ensemble fort sympathique. La rupture, sa relation avec Carlotta... Tout était court et bien maîtrisé. Ça ne virait ni dans le mélodrame, ni dans le mielleux. Ça sonnait parfaitement juste. Et sa relation avec Smash m’a autant emballé. J’ai mis un moment à adhérer à l’intrigue du Smash. Je trouve que ce personnage n’est intéressant que lorsqu’il est en rapport avec d’autres protagonistes de la série. Dès qu’il se retrouve tout seul, il en devient lassant. Pourtant, sa course poursuite avec un mastodonte en colère m’a fait mourir de rire. J’ai cru que j’allais réveiller les voisins. Je ne me souvenais pas avoir autant ris devant Friday Night Lights.

    Pour se venger de son temps d’antenne diminué, Lyla a décidé de nous détruire le semblant d’espoir de voir disparaître à jamais cette intrigue du violeur. Et tout ça est amené de manière vraiment peu subtil. "Vas-y, dis la vérité, tu te sentiras mieux." Et Landry qui s’exécute sans même penser aux conséquences pour Tyra ou son père. Juste histoire de se sentir mieux. Eh bien, croit-il qu’il se sentira mieux quand on lui demandera de ramasser la savonnette dans les douches carcérale. Good job Lyla.

    Un épisode en demi-teinte. Parfois formidables, parfois agaçants, les personnages ne sonnent pas toujours aussi justes qu’avant et les intrigues ne sont pas aussi bien maîtrisées que l’an dernier. Pour exemple : il est où le nouveau colloc de Buddy Garity ? Même pas là en tant que figurant pour le retour de Tim ! Les scénaristes savent-ils où ils vont cette année ?

    • 2.08

      J’ai préféré à la semaine dernière, parce que ça a plus ou moins rattrappé les trucs sur lesquels j’avais tiqué. Comme du côté de Tyra, car j’avais beau m’amuser devant ses scènes avec les joueurs, je lui en voulais un peu de rire autant alors que cinq minutes avant Landry lui avouait sa panique. C’était un peu "j’en ai plus rien à cirer maintenant que je suis débarassée" comme attitude. Donc bien contente que ça revienne un peu la hanter, même si il faut encore qu’elle file tout sur le dos de Landry parce qu’il est bien gentil de se proposer. Je lui en veux encore un peu de le laisser souffrir tout seul, à part quand ça l’arrange.

      Pour se venger de son temps d’antenne diminué, Lyla a décidé de nous détruire le semblant d’espoir de voir disparaître à jamais cette intrigue du violeur. Et tout ça est amené de manière vraiment peu subtil. "Vas-y, dis la vérité, tu te sentiras mieux." Et Landry qui s’exécute sans même penser aux conséquences pour Tyra ou son père.

      Si il y pense, et il le dit clairement. Il peut très bien dire qu’il a lui-même brûlé sa voiture, et Tyra aura quelques soucis d’être un témoin n’ayant rien avoué, mais elle serait bien gonflée de se plaindre à côté de Landry. Celui qui pète un plomb et risque le plus gros, c’est lui. Et même si son avenir m’inquiète, je suis contente que l’abcès soit crevé d’une façon ou d’une autre.
      Par contre je te rejoins sur Lyla, c’est assez dommage de l’utiliser comme ça. On ne la voit pas de l’épisode, on ne l’a quasiment jamais vue parler à Landry, et elle se pointe comme une fleur avec ses conseils de bonne chrétienne et hop, intrigue réglée. Un peu décevant.

      Sa scène avec le prof à la coupe bizarre en était vraiment le summum. Tami avait tout d’une ado dans cette scène. "J’aime pas que tu conseilles des livres à ma fille, j’aime pas que tu lui parles, j’aime pas tes cheveux et je t’aime pas toi !"

      Je crois que j’aurais pu avoir le même sentiment face à cette scène, mais à cause de ce qui se passe autour je n’arrivais pas à la blâmer. On dirait que tous les ados de Dillon sortent avec des adultes à un moment donné et cela me gave. Tyra avec le mec de L.A, Tim avec sa voisine, Matt avec Carlita... Si Julie s’y mettait aussi, ça me gonflerait. Avoir le beguin pour des gens plus âgés est normal à cet âge, mais tous les adultes n’ont pas envie de coucher avec des ados quand même. Pour un si petit groupe de personnages, cela me paraît énorme. Donc merci Tami de m’avoir rassurée en empêchant définitivement que cela arrive.

      Surtout que tout ce qui en a découlé était formidable. Pareil pour le reste de l’épisode, à part donc des réserves sur Matt et Carlita parce que c’est légèrement redondant.

  • 2.09

    Eh ben, le concept de justice dans une petite ville du Texas fait froid dans le dos ! Non pas que je voulais voir Landry croupir toute sa vie en prison, mais quand même, de là à s’en sortir sans même une tape sur la main ! WTF ?

    J’ai adoré tout l’épisode, et la scène du début m’a brisé le coeur, mais sincèrement, j’ai du mal à croire que ça se termine comme ça.

    Tout ça pour ça ??

  • Adrianne Palicki est une actrice talentueuse et il est très dommage de la réduire à une bimbo blonde de plus qui a eu l’infortune d’être photographiée topless. pErDUSA ne se fera pas le relais de telles photos.
  • Je crois qu’il n’y a plus d’espoir pour une éventuelle troisième saison .Les audiences d’hier soir sont très basses : 5,44 millions de téléspectateurs .La série bénéficie pourtant de la locomotive Deal or No Deal .Par rapport à son lead-in ,FNL perd pas moins de 4 M de télésp. De plus ,NBC a décidé de ne pas changer sa programmation du vendredi soir pour la midseason .Donc ,aucune chance de voir la série débarquer dans une case horaire plus favorable .
  • 2.09

    En même temps que la fin de la série approche vraisemblablement, de nombreuses intrigues se voient conclues de manière agréable, naturelle et subtile. L’épisode en lui-même n’était pas parfait, mais il y avait de nombreux points qui en font un très bon épisode de cette inégale saison 2.

    Tim face à son reflet

    J’ai beaucoup plus apprécié l’intrigue de ce cher Riggins cette semaine car la représentation de ce qu’il pourrait devenir était plus accentuée et plus intelligente. Tim est une sorte de nomade existentiel. Il comprend que le foot ne durera pas toute la vie et il ne sait pas vraiment ce que va être son existence désormais. Mais son retour dans l’équipe le ramène à une réalité plus structurée. Il n’a pas entièrement baissé les bras. Il veut s’en sortir et ne pas devenir cette chose qu’il voit allongée dans un canapé et qui lui tend une bière : un loser. Donc il va chez la seule personne qui se rapproche le plus d’un mentor pour lui, la seule personne qui soit à même de le remettre sur les rails, la seule qui, en définitive, se soucie suffisamment de lui pour ne pas le laisser tomber et surtout, le remuer quand il en a besoin.

    Les Taylor et l’Alien

    L’Alien a apporté beaucoup de changements cette année. C’est à cause d’elle que Julie a eu envie de fréquenter le Suédois. Car quelque part, elle voulait montrer à sa mère qu’elle aussi existait. Puis Julie a finalement vu le vrai Suédois. Il lui aura fallu un moment, mais elle se sera rendu compte que ce n’était vraiment pas la personne qu’il lui fallait. Pourtant, elle était toujours en quête d’affection. Et l’Alien continuait d’obnubiler sa mère tandis que son père était obnubilé, pour changer, par le football. Alors elle s’est tournée vers Matt : celui qui lui avait tant apporté jadis. Mais elle l’avait fait trop souffrir et Matt n’a plus voulu d’elle. Julie était en manque cruel d’affection. Et il y a eu ce prof adorable, intelligent. Quelqu’un de stable qui ne la traitait pas comme une gamine et avec qui elle pouvait discuter de choses bien plus profondes qu’avec le Suédois ou Matt. Mais sa mère a du s’en mêler une fois encore. Tami voit sa fille et ce qui l’effraie le plus, c’est qu’elle fasse des erreurs. Elle a peur qu’en s’occupant trop de l’Alien, elle ne prête plus attention à sa fille et, même si c’est ce qu’elle a fait, Tami tente de réparer les dégâts. Il était temps que toutes deux s’expliquent. Temps que Julie accepte sa place dans la vie de l’Alien. Et quoi de mieux qu’un baptême pour réunir une famille ? Pour la première fois, Julie voit qu’elle peut donner de l’affection à un être qui le lui renverra. Elle fait la paix avec sa mère car celle-ci lui dit enfin qu’elle ne compte pas l’abandonner pour l’Alien, mais qu’elle veut sa famille unie avec elle. Julie fait partie intégrante de cette famille. L’adaptation à l’arrivée de l’Alien n’aura pas été évidente, mais maintenant, tout le monde à trouver sa place.

    Matt, mi amor

    La relation nouvelle entre Saracen et notre très chère Carlotta m’apparaît comme très mignonne et très rafraîchissante. J’y retrouve la même saveur que l’an dernier lorsque Matt sortait avec Julie. Matt évolue de manière positive. Il commence à s’affirmer, à perdre de sa timidité et ce grâce à sa nouvelle compagne. Cependant, il ressent tout de même le besoin de définir leur relation. Doivent-ils continuer à se cacher ? Ne pourrait-il pas vivre leur amour au grand jour ? Des questions que la latina enterre sous des baisers. Ne sait-elle pas où ils vont ? Quelles sont ses intentions ? Elle n’a clairement pas honte de ses sentiments car elle est prête à les montrer au fast-food mais elle ne veut tout de même pas parler du problème. Agréable, cette intrigue fait intervenir Smash pour une petite discussion entre potes avec Matt, mais il me tarde de revoir intervenir Landry dans la vie du QB. Car c’est une des choses qui me déplait le plus cette année, l’amitié entre ces deux-là semble inexistante.

    Jason et WTF

    Même si j’étais très satisfait de retrouver Street cette semaine, il faut que quelqu’un m’explique l’utilité de son intrigue. La dernière fois, on l’avait laissé en plein bouleversement existentiel. Il tirait un trait sur le passé et se concentrait sur l’avenir. C’est ça l’avenir ? Aller à des rendez-vous arrangés, se dérober par lâcheté, embrasser une serveuse ? L’intrigue n’avait rien de désagréable en soi. Mais on se demande juste où on a voulu nous emmener exactement. La dernière scène de Jason illustre bien cette question ? Ces parents inquiets qui l’accueillent au matin en le réprimandant. La scène sonne vraie, mais quel est son aboutissement ? Cela va-t-il vraiment mener à quelque chose : Jason se détachant progressivement de ses parents et cessant de leur rendre des comptes ? Jason commençant une nouvelle vie avec cette nouvelle compagne ? J’attends de voir et espère sincèrement que tout ceci n’était pas du remplissage ayant pour seul objectif d’informer le spectateur sur « ce que devient Jason pendant ce temps-là ».

    Buddy’s son

    En contraste avec cette intrigue, celle de l’ancien taulard se poursuit de manière juste et cohérente. Elle permet d’explorer de nouvelles facettes de Garrity et de son fils d’adoption de manière très belle. Leur dispute dans la voiture était l’un des moments les plus émouvants de l’épisode. Santiago n’arrive sans doute pas à croire que ce qu’il vit est bien réel. Il n’a jamais eu de chance, comme il le disait à Lyla lors de leur rencontre. Il a tellement peur que cette chance tourne qu’il préfère tout fouttre en l’air tout de suite, par lui même, plutôt que s’attacher trop à ce rêve et finalement tomber de haut. C’est une attitude compréhensive, mais bien lâche et c’est ce que lui fait comprendre Buddy. A travers ce gosse, Garrity retrouve à la fois la fierté qu’il avait perdue mais aussi la paternité qu’il n’assumait plus auprès de sa famille. Il mène Santiago vers la meilleure voie pour eux deux. Il comprend les peurs du jeune homme mais il les combat pour lui. La scène du match était d’ailleurs formidable grâce au montage et à la musique. Dommage que le match n’ait pas été montré jusqu’au bout, un peu de suspense n’aurait pas fait de mal. On peut dire que cette intrigue, qui au départ semblait vouée aux clichés, sonne juste et permet à Santiago de se libérer de son passé de manière cohérente. Car c’est un gosse bien comme dirait Buddy et qu’il mérite de s’en sortir. Ce qui nous amène à l’intrigue la plus célèbre de cette saison deux. Celle que l’on appelle communément, le « point noir ». A tort ou à raison ?

    Landry vs Justice Texane

    Comme je l’avais précédemment dit, je ne voulais pas que Landry aille en prison, comme tout le monde sur ce forum à priori. Il y a quelques semaines de cela, un mini-débat avait été lancé sur ce qui serait juste pour Landry. Devait-il aller en prison ? Après tout il a tué un homme. Devait-il être disculpé ? Il n’a fait que protéger Tyra et cet homme était un violeur. La morale nous tiraillait entre ce que mérite un jeune homme dans ce genre de cas et l’affection que l’on a pour Landry. C’est un cas difficile que celui-ci. Si l’on reste détaché et que l’on prend cette affaire avec du recul, Landry a tué un homme qui ne le menaçait pas directement. Il a ensuite cherché à se débarrasser du cadavre. Landry est un meurtrier, il doit payer pour ce qu’il a fait. Seulement ne l’a-t-il pas déjà fait ? N’est-il pas torturé par la culpabilité au point de vouloir à tous prix reconnaître qu’il est coupable et être jeté en prison ? On dit : Landry est coupable, il doit aller en prison. Mais quel serait l’aboutissement d’une telle action ? Pense-t-on qu’une fois sorti de prison, Landry aura compris qu’il avait mal agi et qu’il sera prêt à mener dès lors une vie normale ? C’est une réflexion facile, à l’emporte pièce. Qu’est-ce qui nous assurerait que Landry en sortirait meilleur ? Comment pouvons-nous savoir s’il tiendrait le coup en prison ? Et si ce n’était pas le cas, n’en viendrait-il pas au suicide ? Dans ce cas, pensons-nous que Landry mérite de vouloir se suicider et d’en mourir ? La prison est-elle vraiment la meilleure et la plus juste des options pour Landry ? Le jeune homme le pense. Il est entièrement sincère et souhaite que sa faute soit punie. Ainsi, il pense pouvoir se débarrasser de la dette qu’il a envers la société, mais surtout envers lui-même. Quel est le but premier d’une prison ? Faire comprendre à un individu sa faute et s’assurer qu’il ne réitérera pas son crime. N’avons-nous pas déjà ces certitudes ? Ne sommes-nous pas déjà certains que Landry a compris sa faute et que jamais il ne refera une telle chose ? Mais surtout, et c’est là où réside tout le paradoxe, sommes-nous certains que Landry serait moins apte à recommencer un tel crime en sortant de prison ? Après avoir été la victimes d’autres détenu, après avoir peut-être été violé dans les douches, après n’avoir finalement trouvé que la violence pour survivre, serions-nous certain que Landry serait moins dangereux en sortant de prison ? Ne serait-il pas plus en colère pour avoir perdu autant d’années de sa vie ? Pour être désormais ce qu’on appelle un « ex-détenu » ? Et pour avoir cette image qui le suivra toute sa vie ? Finalement, n’est-il pas plus juste qu’il s’en sorte ainsi ? N’est-ce pas plus raisonnable de l’acquitter plutôt que de l’envoyer en prison ? Si Landry s’est déjà tapé sur les doigts en subissant cette épreuve en silence, en en parlant à personne à part Tyra, en s’éloignant sûrement de son meilleur ami, est-il réellement nécessaire de lui taper une fois encore sur les doigts ? Peut-être. Mais pour en revenir à un avis moins réfléchi, a-t-on réellement envie de voir ça alors que la série touche à sa fin ? Cette intrigue, bien que n’ayant pas forcément sa place dans Friday Night Lights, aura tout de même eu le mérite de donner lieu à une véritable réflexion sur la justice et comment les crimes doivent être jugés. Il est bien aisé de dire qu’un homme ayant commis un crime doit être jeté en prison, voir tué. FNL nous invite, en bouclant cette intrigue, à nous débarrasser des jugements à l’emporte pièce et à, non pas dire qu’il est « juste » que Landry s’en sorte sans être inquiété, mais à remettre en cause notre avis peut-être manichéen sur des lois qui nous semblent justes.

    L’épisode est maîtrisé, la réalisation sert parfaitement le propos, et Friday Night Lights va sûrement nous manquer.

  • s02e10

    Très bon épisode dans la ligne direct de la saison 1.

    Tim qui affole la gent féminine de la maison Taylor ça donnait des scènes absolument jubilatoire.
    Jessalyn Gilsig était d’ailleurs très bien surtout avec sa grande scène drama face à Connie.
    Même si la fin était évidente (trop), j’aurais presque plus vu Tami qui arrive au moment qu’Eric mais comme la réaction final est sans doute la même tout va bien. Dur de s’affranchir de son passé dois se dire le pauvre Tim.

    Landry et Tyra c’était du tout bon. La scène finale à la danse était bouleversante. Et puis Landry jaloux, qui déclenche une bagarre monumental, c’était génial. Cela m’a rappelé les bons temps des "punch time" à The O.C.. Des fois, rien ne vaut une bonne bagarre.

    Pas beaucoup de Buddy ou de Lyla mais le peu que l’on a vu, c’était très juste. Un soupçon de Smash, pas de Jason. Mais ça reste quand même un très bon épisode.

  • 2.10

    Pauvre Tim !
    C’était un super épisode, mais dieu que la fin est frustrante.

    Evidemment, on voit venir la toute fin, mais ça fait quand même de la peine, tant, pour une fois, Tim semblait faire des progrès. Voir Eric être content d’avoir un autre mec à la maison était trop drôle, surtout leur partie de ping pong au milieu de la nuit, et ça ne rend la fin que plus difficile.

    Au milieu de tout ça, une autre équipe bien énervante dont j’ai trop hâte de voir le match (la semaine prochaine ?), une chouette baston, et un Buddy très émouvant.

    Excellent épisode.

  • 2.10

    Très bon épisode.

    En voyant le prégénérique, je me suis dis qu’on allait avoir droit à un épisode spécial autour de la tornade. Un peu comme avec DH. Et puis finalement pas du tout. C’est ce que j’aime dans FNL. Cette capacité à prendre le contrepied. Cela m’a rappelé un épisode de la saison 1 où dès le départ on assiste à une grosse collision impliquant un train transportant des produits chimiques. Finalement, ce n’était qu’un prétexte pour nous offrir un superbe match dans la boue !

    L’épisode en lui-même est vraiment très bon. Tyra et Landry m’ont touché alors que dans les deux derniers (très bons) épisodes, je n’avais pas accroché à leur histoire. Buddy était touchant et j’ai bien aimé la scène où il s’amuse avec ses enfants. Lyla m’a paru adopter la juste réaction avec sa mère puis avec son père.

    La scène de la baston dans le resto était hilarante. D’ailleurs, FNL s’aventure de plus en plus (et avec succès) dans le registre comique.

    J’ai rien à dire sur les Taylor & Tim. C’était parfait. Une fin déchirante.

  • 2.10

    Beaucoup de choses ont été dîtes. Ça m’a aussi rappelé le 1.20 avec l’explosion du train à quelques kilomètres. La scène du début était très réussie, mais de toute façon, j’ai un faible pour les catastrophes inattendues comme les pluies de météorites, les tremblements de terre et les boules rouges au-dessus de Sovogda.

    Ce qui m’a particulièrement plu, c’est que l’histoire naviguait entre les intrigues de manière très fluide. A part celle de Lyla, toutes étaient liées les unes aux autres. L’impression qui s’en dégage est une harmonie effectivement digne de la saison 1. En effet, à cette époque, il me semble qu’on passait des Taylor aux amours de Matt, en passant par Smash et les match, sans que personne n’ait vraiment l’air dans son coin, même lyla et Jason. Cette année, c’était ce qui m’avait posé problème : beaucoup de personnages se retrouvaient dans leurs propres intrigues individuelles sans se soucier de celles d’à côté. Je ne pensais vraiment pas voir un jour Tim et Julie discuter autour d’un verre pour assister à l’arrivée de Matt et Carlotta. Ce serait d’ailleurs sympathique que Tim continue de veiller sur Julie. Depuis son retour du Mexique, il était vraiment trop dans son coin.

    Bien sûr, il est impossible de se concentrer sur tout le monde mais malgré tout, on a l’impression que personne n’est oublié, à part Jason. Véritable pillé de la saison 1, j’ai le sentiment que le personnage n’est qu’encombrant cette année. Sa mission au Mexique était médiocre et il n’y a pas fait grand chose non plus depuis son retour.
    Bref, un excellent épisode où la caméra à l’épaule qui virevolte entre les visages autant qu’entre les intrigues apporte la touche de réalisme palpable qui manquait jusque-là.

  • J’ai maté sur le site d’NRJ 12 le premier épisode de FNL en VF(exceptionnellement disponible). Et c’est franchement pas terrible. La plupart des voix ont été utilisées sur d’autres séries ce qui est toujours très perturbant. J’ai compté trois voix de DH vf (Andrew,Tom et Julie). Malheureusement le coach Taylor hérite de la voix hésitante de Tom. Le personnage perd d’un coup son coté viril et autoritaire. Et j’vous raconte pas la cata du coté des ados. Ils ont tous des voix beaucoup trop matures alors que l’originalité du cast de la série c’est justement sa jeunesse. M’enfin espérons que la série obtienne le succès qu’elle mérite et j’suis content de voir la chaîne faire une sacrée promo pour le show.
    • J’ai maté sur le site d’NRJ 12 le premier épisode de FNL en VF(exceptionnellement disponible). Et c’est franchement pas terrible. La plupart des voix ont été utilisées sur d’autres séries ce qui est toujours très perturbant. J’ai compté trois voix de DH vf (Andrew,Tom et Julie). Malheureusement le coach Taylor hérite de la voix hésitante de Tom.

      Bizarrement, on s’est fait la réflexion inverse avec Tys. Aucun doublage n’est particulièrement bon de nos jours, mais pour certaines séries c’est un vrai massacre qui les rend impossible à regarder (je repense particulièrement à Six Feet Under et surtout aux Sopranos, où les accents originaux caractérisaient aussi fortement la série). Dans le cas de FNL c’est plutôt correct, pas bon non plus mais suffisamment passable, et cela m’a rassurée pour ceux qui découvriront la série ainsi. Certains personnages sont certe mieux lotis que d’autres, mais dans l’ensemble ça aurait franchement pu être pire. C’est certain en tout cas qu’on aurait pû se passer de l’ancien doubleur de Kyle Chandler pour Demain à la Une, qu’on entend partout et est insupportable. Et je regrette que Connie n’ait pas eu la même que pour Spin City.
      Mais il n’y a pas de quoi rebuter les novices et c’est l’essentiel.

    • Pareil que blackie et Feyrtys. Les voix sont pas si mauvaises que ça. Les voix des ados sont comparables à celles des ricains ( faut pas oublier qu’ils ont entre 29 et 18 ans en réalité).

      A part Yoann Sover pour Landry, c’est supportable.

      Evidemment, ce qui est vraiment dommage c’est de ne plus entendre l’accent trainant du sud. Mais sinon, j’ai vraiment entendu pire comme doublage ;) A commencer par l’execrable doublage d’Eccleston dans dr who, d’ailleurs tout le doublage de Dr who est à chier :D

  • Je suis partagé entre les deux avis en fait. Pour le coach Taylor ça détruit le personnage (même si le doubleur n’est pas mauvais en soi) le meilleur exemple reste les discours dans le vestiaire. Dans la VO c’est un moment qui file des frissons, là que dalle, aucune émotion. Par contre le reste (hormis la voix de Matt que je trouve très moyenne) c’est plutôt correct. Mais là je pense qu’on pourra mieux juger quand les personnages auront leurs moments clés
  • 2.11

    Encore un excellent épisode !

    C’était juste parfait. Les personnages paumés, la série c’est très bien faire, c’est même ce qu’elle fait de mieux. Même l’histoire arrivée de nulle part du coach adversaire qui pète un plomb parceque sa femme va mourir m’a touchée, c’est dire. Ça nous rappelle tranquillement que ce n’est pas parcequ’ils ont des polos rouges et que c’est la couleur du diable qu’ils sont complètement mauvais -enfin un peu quand même- mais que ce sont eux aussi des êtres humains dans toute leur complexité et ambiguité.

    Et puis le côté full circle, j’adore : Smash et sa mère face aux recruteurs, Tim "honorable" et son luuser de frère unis dans la connerie et les Taylor enfin réunis. Que demander de plus ? Que ça continue, si possible avec du Jason et du Lyla-Buddy.

  • S02e11

    Encore un bon épisode, je vais finir par croire que Jason Katims s’occupant de Crapionic Woman avant la grève, a du bon impact sur fnl.
    N’empèche j’ai un peu de mal avec les intrigues annexes qui disparaissent au gré des envies des scénaristes, pas de Lyla, rien sur Buddy (même si on le voit au match), toujours pas de Jason, Landry et Tyra au placard, pas grand chose sur Matt. C’est bien de ce concentré sur une ou deux intrigues par épisodes mais faudrait quand même pas oublier le reste.
    Et puis un dernier trucs qui me chiffonne, on peut m’expliquer pourquoi les scénaristes de FNL on décidés de faire des ados, sois des tueurs ou des voleurs ? C’est la saison de la délinquance ?
    Surtout que Tim Riggins se la jouant Omar en piquant le fric du dealer, j’ai là du mal, ça me rappel trop l’intrigue pourri de Landry et son mort.

    • 2.11

      Surtout que Tim Riggins se la jouant Omar en piquant le fric du dealer, j’ai là du mal, ça me rappel trop l’intrigue pourri de Landry et son mort.

      Malheureusement, j’ai le même avis.
      Ils ont pas appris leur leçon ? Jouer les intrigues de ce genre, c’est mal !

      A part ça, c’était très chouette. J’adore vraiment l’intrigue de Smash et de sa mère cette année, et la fin m’a vraiment touchée.

    • 2.11

      Scott Porter me manque...

      N’empèche j’ai un peu de mal avec les intrigues annexes qui disparaissent au gré des envies des scénaristes, pas de Lyla, rien sur Buddy (même si on le voit au match), toujours pas de Jason, Landry et Tyra au placard, pas grand chose sur Matt.

      Je crois que c’est ce qui me dérange le plus cette saison. Tout le monde est tellement séparé que cela fait plus d’intrigues à traiter et on se retrouve à en voir certains une fois sur 3-4 épisodes. Heureusement qu’il y a eu cette idée géniale de rapprocher Riggins et les Taylor, dont la résolution était parfaite. Je crois que Julie arrive en tête de mes personnages préférés cette saison, tandis que Tyra et Matt sont tout au fond.

      Surtout que Tim Riggins se la jouant Omar en piquant le fric du dealer, j’ai là du mal, ça me rappel trop l’intrigue pourri de Landry et son mort.

      Cela ne m’a absolument pas gênée car je considère l’ex-coloc comme un pauvre dealer et pas un gros parrain de la drogue. Je n’ai pas eu l’impression une seconde qu’ils allaient s’attirer de graves ennuis. C’est un taré, mais un taré que je considère seul et sans bande de gangsters pour l’instant. Maintenant que j’ai vu comment une histoire énorme de meurtre était traitée, un petit vol d’un type considéré comme source de burlesque me fait plutôt sourire. Je dois avoir trop l’habitude des conneries des frangins Riggins.

      Le reste aussi était très bon. Cela fait toujours un bien fou d’avoir un peu de Corrina Williams (dont je ne m’étais jamais aperçue à quel point c’est une géante. Elle dépasse Tami d’une tête !). Et la relation entre Eric et le coach des Lions était exactement ce qu’aurait dû être celle du début de la saison. C’était d’ailleurs si bien traité que je me suis faite toute une interprétation sur le pourquoi du comment du placage, jusqu’à que le coach sorte la bombe sur sa femme. Et ça n’a même pas paru comme une facilité.

      Maintenant, qu’on me rende Scott !

  • 2.11

    Encore un bon épisode. La routine quoi !

    D’abord, les p’tits trucs qui m’ont énervé :

    - J’trouve qu’il y a un peu trop de musique depuis quelque temps. J’aimerai bien retrouver des scènes sans mélodie et avec juste les voix des personnages ou les bruits des choses autour d’eux. Y a eu par exemple la séquence où Billy s’excuse auprès de Tim. En bruit de fond, ils ont mis un espèce de son qui ressemble au bruit des vagues.

    - J’ai pas trop aimé non plus le truc du coach qui pète un câble à cause de la maladie de sa femme. C’était sorti de nulle part et ça n’a servi à rien.

    Bon à part ça je dois dire qu’il y a pleins de super bons moments. Des passages drôles comme quand Tami et Éric se plaignent de Shelly. J’ai adoré le "your hair is perfect" d’Eric. Sans oublier, le clin d’oeil à The Office ou encore quand Billy panique au moment où le coach frappe à la porte.

    Bien sûr, j’étais tout ému à la fin avec cette succession de très jolies scènes entre le départ de Shelly, l’émotion de Smash et le portrait de la famille parfaite offert par les Taylor.

    Sinon, pendant un temps j’ai pas compris le mensonge de Julie. Ce n’est que quand son père lui demande si c’était la première fois qu’elle se saoulait que je me suis rappelé à quel point ses parents étaient protecteurs. J’ai tout de suite pensé à l’épisode où elle a failli couché avec Matt et que ses parents l’attendaient à la maison avec inquiétude.

    N’empèche j’ai un peu de mal avec les intrigues annexes qui disparaissent au gré des envies des scénaristes, pas de Lyla, rien sur Buddy (même si on le voit au match), toujours pas de Jason, Landry et Tyra au placard, pas grand chose sur Matt. C’est bien de ce concentré sur une ou deux intrigues par épisodes mais faudrait quand même pas oublier le reste.

    Il me semble qu’FNL fait ça depuis le début. Sinon, comment s’y prendre autrement avec autant de personnages intéressants. Faire du Heroes ? Le plus important c’est qu’au final chaque personnage finit par avoir ses moments de gloire. Smash est très présent depuis quelques épisodes alors qu’on le voit très peu en début de saison. L’an passé, il a eu ses moments de gloire en milieu de saison avec l’affaire des propos racistes et la rencontre avec Waverly. On peut faire le même constat avec chacun des personnages. Lyla et Matt en début de saison 1, Tyra en fin de saison 1, Julie en début de saison 2,... Je pense donc que dans les prochains épisodes, on verra plus de Lyla, de Jason, de Santiago...

    Pour finir, un peu déçu du départ de Jessalyn Gilsig. J’ai fini par m’attacher à son personnage et j’espère qu’elle repassera un jour par Dillon.

    • Il me semble qu’FNL fait ça depuis le début. Sinon, comment s’y prendre autrement avec autant de personnages intéressants.

      Les intrigues n’étaient pas traitées toutes en même temps, mais tous les personnages apparaissaient, se croisaient constamment... Ce qui est bien moins le cas cette année. Je vois d’autant plus la différence que je dois entrer les données sur Nunus et c’est la première fois que je n’entre pas systématiquement tout le cast pour chaque épisode. Les guest stars récurrentes ont également diminué de moitié. Ce n’est pas une question d’intrigues (c’était pareil l’an dernier), juste une sensation de microcosme qui s’efface.

  • 2.12

    J’ai pas aimé.
    Mais alors... pas du tout...

    Damn you, Logaaaaaaan !

    • 2.12

      Damn you, Logaaaaaaan !

      Et damn you, Weevil !

      C’était navrant. Un des pires épisodes de FNL... Une succession de clichés et d’intrigues éculées.

      Je ne sais pas quel était le pire... Santagio qui doit se battre contre son ancien "ami", Tim qui apporte des fleurs à Lila ou Carlotta qui doit repartir au Guatemala.

      Tout ça me laisse pantoise.

  • 2.12

    C’était navrant. Un des pires épisodes de FNL... Une succession de clichés et d’intrigues éculées.

    Wow, je vous trouve durs. D’accord ce n’était pas éblouissant mais tout n’était pas à jeter.

    Et damn you, Weevil !

    Ah non, comme je ne lis jamais les crédits, Weevil (et ses 15kg de plus) était une bonne surprise.
    Il m’a même permis de supporter la storyline par ailleurs très faible à laquelle il participait. Les anciens amis et leur mauvaise influence, la rager qui tourne mal, c’est du déjà vu et ce n’est pas traité de façon originale, je l’admets.
    Mais Buddy relevait le tout avec son discours sur les préjugés qui tombait bien à propos avec le sujet de l’épisode. Et puis surtout, sa scène chez les Taylor était géniale, comme souvent les interactions entre ces personnages.

    Par contre :

    Damn you, Logaaaaaaan !

    Si seulement ça avait été l’autre ! Je ne le supportais déjà pas dans GG alors là... Bon, je n’ai rien contre le personnage en lui-même -à part qu’il vole Lyla à Tim - non ce qui m’a surtout insupporté c’est que sa storyline soit si prévisible, avec une fin qu’on voit venir à 10 km.
    Et puis marre d’avoir des épisodes qui finissent avec un Tim crushed, parceque franchement, mon petit cœur ne le supporte plus ;)

    Autrement la scène de l’appel téléphonique m’a fait mourir de rire, l’apparition de Jason était bienvenue (mais trop courte !) et sa réplique était savoureuse. Dommage qu’ils ne se soient pas arrêtés là pour la "prise de conscience" de Tim. La scène dans la voiture était à la limite du risible et loin de la subtilité à laquelle FNL nous avait habitués.

    Tami qui n’est pas prête à laisser son bébé... soit, ça ne m’a pas passionnée mais ça a permis d’inscrire son intrigue dans le thème de l’épisode -avec McGuy- et de nous prouver encore une fois que le Coach a la classe.
    Tout comme Landry ’hot maid’, dans la seule scène de la storyline de Matt que je retiendrai. Le reste faisait vraiment bouche-trou ou : comment se débarrasser d’un personnage dont on ne sait plus quoi faire et qui, à vrai dire n’a jamais servi à grand chose. Je suis donc contente de la voir partir.

    Enfin la storyline de Smash et de sa petite amie, que j’aime décidément beaucoup, m’a beaucoup plu. Le diner était une façon assez originale de parler de la ségrégation raciale à Dillon. Parcequ’en voyant comment il avait débuté, c’était assez inattendu, et que ça vient de parents bien intentionnés, qui ne sont pas de gros racistes.
    Après, la scène au cinéma était too much mais ne m’a pas tant agacée que ça.

    En bref, de nombreuses faiblesses, mais qui ne m’ont pas empêchée d’apprécier les bonnes scènes de l’épisode.

  • 2.12

    C’est vrai que cet épisode sent un peu la course à l’audience. Mais c’était très très loin d’être du mauvais FNL.

    J’ai adoré l’intrigue de Smash qui rejoint par ailleurs celle de Tami dans la dénonciation de la bonne vieille mentalité texane : les femmes à la maison et les noirs dans leur coin. La scène avec Glenn était très drôle. Tami et Éric étaient touchants dans la séquence où ils sont allongés dans leur lit.

    Pour Carlotta, je trouve sa sortie plutôt bien négociée. Les deux personnages restent sympathiques et la raison du départ est facilement compréhensible (Qui serait resté dans un pays étranger quand sa famille a besoin de lui ?). Très belle scène avec Landry qui m’a rappelée leur complicité des débuts. Enfin, j’ai été ému par la séquence finale quand Matt reste immobile et que sa grand-mère fait et dit des trucs en arrière-plan.

    Santagio qui doit se battre contre son ancien "ami"

    C’est le point faible de l’épisode même si Buddy m’a fait rire à plusieurs reprises.

    Damn you, Logaaaaaaan !

    Je suis pas allé plus loin que le début de la saison 2 de Gilmore Girls (mais je compte bien poursuivre un jour). Donc pas trop de préjugés concernant le nouveau boyfriend de Lyla. Ils étaient tout mimis dans leur studio et j’étais mort de rire avec l’appel de Riggins.

    Non finalement l’épisode était pas mal. La décéption c’est qu’FNL réalise l’un de ses scores les plus faibles (5.3 M ) malgré le peu de compétition et la présence de guests.

  • 2.12

    Ouais, je le trouve pas terrible non plus cet épisode de Gilmore Mars. Et pourtant, du Santiago qui souffre d’être un rebelle et fait couler son eye-liner, ça devrait être tout pour me plaire.

    Donc oui, merci à Tim pour ce moment de fou rire qui m’a donné un flashback de ses couettes de l’an dernier. Je ne retiendrai que cela.

    Et Scott Porter me manque encore plus.

  • 2.13

    Ben voilà, ils se rappellent que Jason existe et ça redevient tout de suite beaucoup mieux !
    J’adore le fait qu’il n’ait pas vraiment une intrigue cette saison, mais qu’il ait l’air un peu balotté partout, à ne pas savoir quoi faire. Cela traduit bien la confusion du personnage. Le problème c’est juste quand les scénaristes eux-mêmes ne savent pas quoi faire de lui.
    J’adore le fait que Lyla soit bien plus lucide que Tim sur ce qu’était leur liaison et ne se laisse pas bêtement attendrir (même si ça paraît bizarre de préférer l’affreux Czuchry).
    J’adore que le rôle de coach soit inversé dans le couple Taylor.
    Et j’adore que malgré la jalousie de Tyra envers la copine de Landry, c’est sur Tim qu’elle balance plutôt sa colère.

    Par contre j’aime beaucoup moins qu’on applique certaines recettes à tous les ados. D’abord ils couchent avec des adultes, maintenant faut tous qu’ils deviennent des délinquants ou aient des ennuis avec la justice ? Cela ne m’empêche pas pour autant d’apprécier qu’on revienne sur le problème du racisme ambiant, mais ça fait un peu beaucoup.

    Maintenant j’espère que Julie ne va pas nous taper une crise où ça pleure et ça crie de jalousie, mais plutôt essayer de regagner l’affection de sa mère. Et que ça va en être fini avec le dealer (si Billy n’est pas trop con, ils appelera les flics pour faire une descente chez lui). On n’a pas besoin de flingues visant constamment les personnages, y’a des limites au drama là, c’est bon on a eu notre dose pour la saison.

  • 2.13

    C’était effectivement beaucoup mieux.
    J’ai un peu de mal avec l’intrigue de Lyla, avec celle de Tim et Lyla (de par le fait qu’elle est quand même un peu parachutée, et que la musique était naze), mais le reste était très chouette.

    Effectivement, Jason et Buddy ça fait du bien. C’était pas hyper subtil, mais c’était bien.

    J’ai adoré Landry et Tyra dans cet épisode. Déjà parce que, même si elles se croisent, leurs intrigues sont plutôt séparées. La scène où Tami se rend compte de la taille de Tyra est hilarante, et même si ça l’entraine à pratiquer le "sport" le plus insupportable de la Terre, c’était quand même très rigolo.
    En plus, Tyra est jalouse.
    Et encore en plus, personne n’a été tué avec une barre en fer.

  • 2.13

    Un épisode plutôt décevant. Je ne supporte plus l’omniprésence de la bande son. On dirait que chaque scène doit être accompagnée par un morceau.

    C’était trop prévisible du coté de Jason et de l’équipe de Volley. J’ai juste ri dans la scène où Jason rentre à l’appart et que son pote l’appelle "darling". Sinon, ça doit être bien plus difficile de scénariser un match de volley qu’un match de foot américain.

    Par contre, j’ai bien aimé les passages de Lyla et de Smash. Ce dernier m’a vraiment ému dans la scène finale.

    Plus que deux épisodes...

  • 2.14

    Ca aurait fait un chouette series finale... je pense...
    L’ambiance est en tout cas électrique, Explosion in the Sky fait un retour remarqué, et cette dernière image...

    Le fait est qu’il reste encore un épisode, j’ai bien peur que ce soit le dernier de la série (les DVD de la saison 2 sortent en avril, ce qui me laisse penser que la saison est terminée quoi qu’il arrive), j’espère qu’il sera aussi bon que celui là.

    Matt m’avait beaucoup manqué cette année. Le vrai Matt, celui à qui il n’arrive que des emmerdes. Et j’étais ravi de le revoir enfin au premier plan. Ses scènes avec Riggins sont très réussies et très drôles, mais c’est la conclusion qui fait tout, et qui justifierait presque toute l’intrigue de Carlotta. La scène entre Matt et le Coach est tout simplement magnifique.

    Landry et Tyra c’était chouette. Ca me fait un peu de peine pour la "gentille geekette", comme l’appelle ’tys, mais c’était chouette quand même. J’aimerais bien, juste, qu’ils arrêtent avec le volley. C’est nul comme sport, le volley !

    Enfin, l’intrigue de Smash est géniale. Gaius Charles est fantastique.

    • 2.14

      Matt m’avait beaucoup manqué cette année. Le vrai Matt, celui à qui il n’arrive que des emmerdes. Et j’étais ravi de le revoir enfin au premier plan. Ses scènes avec Riggins sont très réussies et très drôles, mais c’est la conclusion qui fait tout, et qui justifierait presque toute l’intrigue de Carlotta. La scène entre Matt et le Coach est tout simplement magnifique.

      Tout pareil. Même si Carlotta m’a gonflée, je me suis aperçue que finalement j’avais pas mal apprécié la ’connardisation’ de Matt cette saison. Grâce à cette petite scène. Oh Eric, t’es trop fort !
      Mais je trouve cela étonnant que son insulte à un prof n’ait eu aucune conséquence. Et que personne ne soit envoyé pour remplacer Carlotta non plus.

      Enfin, l’intrigue de Smash est géniale. Gaius Charles est fantastique

      Là aussi, pareil. Cela m’a rappelé le propos de la saison 1. Heureusement pour lui, il a une maman absolument formidable. Cette saison, c’est ma saison "fan de Corrina Williams". Je me serais bien passée des bons gros sentiments au final, mais les scènes d’équipe dans le vestiaire sont toujours à prendre.

      Landry et Tyra c’était chouette. Ca me fait un peu de peine pour la "gentille geekette", comme l’appelle ’tys, mais c’était chouette quand même.

      Là par contre je ne suis pas contente. J’aurais préféré que Landry ne lui resaute pas dessus aussi vite. C’était beaucoup trop rapide, j’aurais aimé que Jean ait vraiment sa chance, et le discours de maman Collette me fais peur pour Landry. Tyra n’a pas réfléchit assez longtemps à mon avis pour pouvoir différencier si sa jalousie vient de son esprit de compétition ou vraiment de ses sentiments. Je ne la trouve pas plus mûre qu’avant et je la vois bien encore changer d’avis pour la cinquantième fois. Je regrette vraiment cette fin, ce que lui avait dit Landry à la sortie du ciné était parfait.

      Sinon, Scott Porter a redisparu... Il est si occupé que ça à faire de la beat box dans les clubs d’Austin ?

      Et je voudrais revenir sur un passage de la review de Tys :

      Ah ça, c’est le gros problème d’être une Crazy Christian. On abandonne les vrais plaisirs de la vie pour une suite de loisirs tous plus emmerdants les uns que les autres, dans l’espoir de finir par mourir d’ennui.

      Je crois que je trouverais le message limite si Lyla était plus âgée, mais j’arrive assez à comprendre qu’elle ait envie d’une vie pépère pour un temps. Elle a vécu un peu trop de drames pour une ado même pas encore majeure et s’est réfugiée dans le sexe (avec Tim) pour ne pas faire face à ses problèmes. Donc qu’elle fasse tout à coup exactement l’inverse, à faire des trucs chiants et innocents avec un gars qui n’a pas l’air d’avoir une libido, dans son parcours cela me paraît logique.
      Puis je crois que ma libido serait morte aussi si je sortais avec Matt Czuchry. Je crois que t’as trouvé le bon terme pour le définir. Il est bien gluant.^^

  • 214

    Meilleur épisode de la saison !
    Du pure plaisir vraiment. Je ne sais jamais vraiment comment exprimer à quel point this show, I adore.

    FNL est passé maître (enfin l’a toujours été) dans l’art de me faire rire ... (Smash qui s’en va va lorsque Landry commence à lui parler ; Tim et Matt trainant ensemble) ... et directement me broyer le coeur (toutes les scènes incluant Smash, MamaSmash, Grandmère Saracen et Matt).

    Oooooohhh Matty, si jamais je te croise attends-toi à ce que je te prenne dans mes bras. Son "what’s wrong with me" était juste brisant... parce que franchement, il n’y a rien à lui reprocher... La scène dans la salle de bain était tout simplement la meilleure de la saison pour moi (sachant que Matt n’a jamais cessé d’être mon personnage préféré).
    Oooooohhh, pauvre Smash. Les trente seconde de MamaSmash ont eu raison de moi. J’espère vraiment qu’ils vont trouver une solution.

    Et puis, Tim, tu peux me harceler tant que tu veux !

    Pas de Street cette semaine... il n’empêche que le fait de voir son nom inscrit en-dessous du "P" vallait 10 minutes à l’écran. Joli.

    Du pure bonheur qui risque apparemment de prendre fin la semaine prochaine.
    Quel dommage.

  • 2.14

    Très bon épisode. J’ai pleuré comme une madeleine à la fin.

    Matt m’avait beaucoup manqué cette année. Le vrai Matt, celui à qui il n’arrive que des emmerdes. Et j’étais ravi de le revoir enfin au premier plan. Ses scènes avec Riggins sont très réussies et très drôles, mais c’est la conclusion qui fait tout, et qui justifierait presque toute l’intrigue de Carlotta. La scène entre Matt et le Coach est tout simplement magnifique.

    Abandonné par son père, le coach, Julie et enfin Carlotta, Matt se sent rejeté, insignifiant. La scène de la salle de bains vient justifier toutes les intrigues du personnage depuis le début y compris celles avec Carlotta ou The Suede.

    Là par contre je ne suis pas contente. J’aurais préféré que Landry ne lui resaute pas dessus aussi vite. C’était beaucoup trop rapide, j’aurais aimé que Jean ait vraiment sa chance, et le discours de maman Collette me fais peur pour Landry.

    Moi, je me demande comment est-ce qu’il n’a pas succombé durant la scène devant le cinéma. Tyra était irresistible avec ses cheveux dans le vent et son regard mouillé. Je comprends tout à fait que Landry ait décidé de rompre dès le lendemain matin avec la geekette. C’est cohérent avec le personnage. D’un coté il est raide dingue amoureux de Tyra et ça on le sait depuis le début. De l’autre, il est trop honnête pour continuer à vivre dans le mensonge (avec la geekette et plus tôt dans la saison, avec l’histoire du meurtre).

    Enfin, l’intrigue de Smash est géniale. Gaius Charles est fantastique.

    J’étais effondré quand Smash a dit que TMU ne voulait plus de lui. Si la série s’achève sur cette note négative pour le personnage de Smash, je crois qu’en revisionnant les épisodes je craquerais à chaque scène de la famille Williams.

    Sinon, Scott Porter a redisparu... Il est si occupé que ça à faire de la beat box dans les clubs d’Austin ?

    Il est peut-être occupé à faire des films. En tout cas, je préfère que Jason reste à l’écart tant qu’on lui aura pas trouvé une storyline digne de ce nom (parce que celle du 2.13....)

    • Moi, je me demande comment est-ce qu’il n’a pas succombé durant la scène devant le cinéma. Tyra était irresistible avec ses cheveux dans le vent et son regard mouillé. Je comprends tout à fait que Landry ait décidé de rompre dès le lendemain matin avec la geekette.

      Quand tu t’es récemment fait traiter comme une pauvre tâche (pour rester polie) pendant un bon moment et que t’es pas franchement la moitié d’un abruti, t’y réfléchis un chouilla avant de retomber dans les bras de cette personne "trop beau/belle". Oui on connaît l’amour un peu trop idéalisé que Landry porte à Tyra, mais justement, on l’a vu retomber de son nuage et en avoir marre. Donc cette rapidité, je la trouve pas cohérente avec le perso.

      Par contre, rien à voir mais j’avais oublié de dire que je trouve cela vraiment bon que Landry soit complètement nul au football et reste sur le banc de touche. Voilà, c’est juste un point en sa faveur.^^

      Il est peut-être occupé à faire des films. En tout cas, je préfère que Jason reste à l’écart tant qu’on lui aura pas trouvé une storyline digne de ce nom (parce que celle du 2.13....)

      Les acteurs de séries tournent en dehors de leurs saisons pour des questions d’emploi du temps et de garanties assez évidentes pour les prods des films. Surtout si le-dit acteur doit se taper des aller-retours Austin-LA. Non, y’a aucune raison valable à son absence totale tous les 2-3 épisodes. Et une intrigue moyenne prouve au moins qu’il habite toujours à Dillon, parce que je commence à douter.

    • Ca m’ennuie, mais je vais être un peu d’accord avec khamsa... ^^

      Quand tu t’es récemment fait traiter comme une pauvre tâche (pour rester polie) pendant un bon moment et que t’es pas franchement la moitié d’un abruti, t’y réfléchis un chouilla avant de retomber dans les bras de cette personne "trop beau/belle". Oui on connaît l’amour un peu trop idéalisé que Landry porte à Tyra, mais justement, on l’a vu retomber de son nuage et en avoir marre. Donc cette rapidité, je la trouve pas cohérente avec le perso.

      Non, mais c’est vrai, Tyra n’a jamais été aussi belle que dans cette scène.
      Le comportement de Landry est parfaitement cohérent, que tu le veuilles ou non. ^^

      Par contre, rien à voir mais j’avais oublié de dire que je trouve cela vraiment bon que Landry soit complètement nul au football et reste sur le banc de touche.

      Heu... c’est parce qu’il s’est blessé en marchant sur je-sais-plus-quoi qu’il est sur le banc de touche... ;-p
      Au passage, c’est parce que Jesse Plemmons s’est blessé pour de vrai qu’il est sur le banc de touche.

      Non, y’a aucune raison valable à son absence totale tous les 2-3 épisodes.

      Moi, personnellement, je pense qu’il est allé se faire replanter des cheveux.
      Mais ce n’est que mon avis. ^^

  • Heu... c’est parce qu’il s’est blessé en marchant sur je-sais-plus-quoi qu’il est sur le banc de touche... ;-p

    Je sais, mais dans ma tête à moi ça prouve qu’il est pas doué, c’est tout. :p

    Au passage, c’est parce que Jesse Plemmons s’est blessé pour de vrai qu’il est sur le banc de touche.

    Je ne savais pas ça. Mais de toute façon c’est pas pour ça qu’on le voit jouer en temps normal le Landry. Donc voilà, j’ai raison !

    Mais ça ne m’étonne pas que tu veuilles donner raison à Khamsa, on a tous compris que c’est toi qui se cache sous ce pseudo...

    Moi, personnellement, je pense qu’il est allé se faire replanter des cheveux.

    Scott ne devient pas chauve ! Il se coiffe juste différemment, c’est pour ça qu’il a l’air d’avoir un grand front, c’est tout.

  • Clear Eyes ! Full Hearts ! Can’t lose... ca faisait un bail qu’on ne l’avait pas entendu ! Dieu sait que ça fait un bien fou. Rien que pour ça, j’applaudis la performance des scénaristes... qui n’avaient guère briller lors du 2.12 !

    Les larmes aux yeux, ça faisait également un moment que j’n’avais pas ressenti ça devant le show. FNL renoue avec ces moments intensivement émotionnels (Comment ça cette conjugaison de mots ne veut strictement rien dire ? C’est l’émotion qui parle, dirons-nous ! ^^) qui vous donnent la chair de poule et vous poussent à fermer la porte à clé afin que personne ne rentre pendant que vous changez vos mouchoirs ! Ici, Smash remporte la palme et rien que la scène finale, ça vous donne un coup au moral. Déja qu’il n’était pas à sa meilleure forme vu la piètre performance de Matt sur le terrain et avec sa Grand mère, alors imaginez après avoir constaté la solitude de Smash ?! J’dois dire que le plan est magnifique, c’est simple mais terriblement efficace... de même pour la scène entre le footballeur et sa mère. De toutes façons, quoiqu’on en dise, les scènes "Williams" restent les meilleures ! (Sauf peut être la joute verbale lors du dîner dans le 2.12... hé oui, encore le 2.12 ! ^^’)

    Tyra et Landry de nouveau ensemble ? Hum hum, et pour combien de temps dites-moi ?! Personnellement, j’ne trouve pas trop que c’est "Out Of Character" de la part de Landry : Il a toujours fait le premier pas, il n’a jamais nié les sentiments qu’il avait pour elle et il est vrai qu’il s’en est ramassé des belles avec elle. Rha ça pour être amoureux, il est amoureux de la belle et tendre Tyra. Ok, il a mis les choses au clair lors du bal de promo et ok, il a tenté autre chose avec... euh, comment elle s’appelle déjà ?! ^^’ Le fait que ça soit Tyra qui vienne vers lui et abatte ses dernières cartes sentimentales n’a fait que scotcher Landry sur place et l’inviter à prendre conscience que son amour est amoureux de lui... et ça, j’pense pas qu’il pouvait passer à côté ! Il en a grave bavé, et j’suis le premier à en avoir voulu à Tyra, mais quand on la voit prendre les choses en mains et accepter réellement ses sentiments pour le footballeur unijambiste (Beau surnom,non ?! Rho mais il reste quand même NOTRE Landry ! =P) -et surtout quand on la voit aussi somptueuse- on ne peut que soutenir Landry. Personnellement, j’ai vraiment dévoré ces moments !

    Concernant la chute de Matt, j’étais plus que soulagé ! Non pas que j’kiffe-de-la-mort-qui-tue son ramassage complet dans sa salle de bain (Quoique !) mais j’apprécie de voir un semblant de continuité dans la série... au vu du 2.13 et au vu de sa non-réactivité face au départ de Carlotta dont il était pourtant amoureux. Mais tout vient à point à qui sait attendre, n’est ce pas ? Le résultat en valait la chandelle car voir Matt dans un tel état, c’est pas donné à tout le monde... et à tous les épisodes ! Sa descente en enfer est très bien proportionnée et suit une ligne directrice logique : Ni peu, ni trop et un comportement Non-Saracenien progressif ! La scène entre Zach et Kyle manque guère d’être spectaculaire, elle est à la fois violente (Et v’là comment j’te démonte le dos sur la baignoire !) et magnifique. J’en redemanderais presque !

    Cet épisode qui est de loin l’un des meilleurs de la saison annonce un season finale débutant sur un match de football qui promet. En espérant qu’ils restent sur la même longueur d’ondes, j’ne pouvais en demander mieux !

    SuSu

  • Au cas où les déclarations récentes de ce gros con de Silverman ne vous auraient pas assez déprimés, sachez que la France ne veut plus de la série non plus. NRJ12 a interrompu la diffusion de la saison 1 en plein milieu en se disant que ses télefilms pourris et ses séries des années 80 feraient plus d’audience.
    Yeah...
  • Moi, ce qui me déprime le plus, c’est de savoir qu’on a su que de nouveaux épisodes ne seraient pas tournés via...le communiqué de presse des DVD de la saison 2, qui ne contiendront que les 15 épisodes quasiment tous diffusés. Je trouve ça particulièrement honteux et mesquin, par manque de mots plus agressifs envers NBC. En plus, ils ont pas été fichus de promouvoir la série correctement alors qu’elle était dans la case de la mort.

    Par ailleurs, NRJ12 assure que c’est temporaire et qu’ils cherchent une nouvelle case pour la série. Donc ils nous font pas un cas de Francetélévisionite (enfin...pas encore). Prochain arrêt:TF1 (qu’avait aussi acheté la série).

  • Au cas où les déclarations récentes de ce gros con de Silverman ne vous auraient pas assez déprimés, sachez que la France ne veut plus de la série non plus. NRJ12 a interrompu la diffusion de la saison 1 en plein milieu en se disant que ses télefilms pourris et ses séries des années 80 feraient plus d’audience.
    Yeah...

    C’est ce genre de nouvelles qui me font soutenir les cylons contre les humains...

    Plus sérieusement, je suis dégoûté de voir tout le fric dépensé par NBC pour promouvoir Lipstick Jungle. Alors que pour la (très probable) fin d’FNL, rien ! En plus, la chaîne n’a même pas cherché à sauver la série en lui faisant changer de case horaire cette année.

  • M’enfin....
    Est-ce dû à la diffusion de House sur TF1 ?

    Ca me déprime tout cela. J’aurais tellement aimé suivre les personnages jusqu’à la fin de leur études à Dillon... :-(((((
    C’est frustrant, j’ai toujours l’impression d’aimer les séries qui seront annulée fissa. Je dois porter la poisse.

    • C’est frustrant, j’ai toujours l’impression d’aimer les séries qui seront annulée fissa. Je dois porter la poisse.

      Rappelle-toi que House a réussi à être renouvelé alors que t’étais la seule au monde à regarder la saison 3. :p

      2.15

      Pfff, je ne sais pas si j’ai envie d’en parler en détails. J’ai bien aimé en général, surtout parce qu’on a vu un peu de tout le monde et que je suis amoureuse de Peter Berg (mais je serais prête à le laisser à Connie, d’ailleus je ne comprends pas qu’ils ne soient pas ensemble).

      J’ai commencé à hurler de déprime au générique et ensuite il s’est passé des trucs vachement flous avec Peter qui m’a fait rire et Scott avec une coupe de cheveux qui ne le rendait pas chauve.
      La vache, même ce running gag crétin de Ju&Jom va me manquer...

      Je ne veux pas que ça se finisse là-dessus !!!

    • Rappelle-toi que House a réussi à être renouvelé alors que t’étais la seule au monde à regarder la saison 3. :p

       :-))) Ok je méritais bien ça après la prise de tête que j’ai pu avoir avec cette saison de House...
      Sinon, NBC a aussi annulé Journeyman que j’aimais bien moi. Au moins on a eu droit à une vraie fin pour cette série... FNL va-t’elle se terminer avec le "Give it a chance" de Jason Street.
      Etait-ce calculé de la part des scénaristes ??

      Sinon, je vais me faire huer mais je viens seulement, avec cet épisode, de réaliser qui était vraiment Peter Berg,... , j’aimais beaucoup son personnage dans Chicago Hope.

      Au sujet de l’épisode en tant que tel, quelques petites remarques après coup... peu de Matt dans cet épisode mais du bon Matt avec Landry. J’ai trouvé chouette que Matt remarque le passage de Jeanne lorsque Landry parade avec Tyra... que Matt prenne encore la mouche au sujet de Carlotta.. qu’ils soient encore de vrais amis ...et que Landry semble avoir des parents "normaux", c’est rare à Dillon. J’aurais bien aimé en savoir plus sur MamaLandry aussi.
      En parlant de Mère, est-ce que j’ai déjà dit que j’adorais MamaSmash. Je me doutais bien que les problèmes de Smash finiraient par "s’arranger" d’une manière ou d’une autre.

      J’ai regardé du rugby cet après-midi....je ne fais jamais ça en général.

  • Ce sadique d’Ausiello continue à évoquer la possibilité d’un renouvellement ou d’une récupération de la série par une autre chaîne (ESPN, The CW...)
  • 2.15

    Arf... Je crois que j’aurais préféré qu’ils finissent avec l’épisode de la semaine dernière...

    C’était sympa, mais sans plus. Sans vraiment beaucoup plus.

    Dommage !

  • 2.15

    Et bien voilà, c’était sûr, ils auraient dû s’arrêter la semaine dernière.

    Arf ! Dégouté...

  • 2.15

    Très bon épisode. Le problème c’est que ça ne ressemble pas à un season finale et encore moins à un series finale.

    J’ai adoré l’ntrigue de Jason. Comme depuis le début, FNL trouve toujours le moyen de relancer le personnage. Au début, j’me suis dis que ça serait mieux si elle avortait pour que ça foute Jason dans tous ses états. Mais même la solution choisie m’a l’air vraiment sympa. Surtout que Jason est vraiment le genre de gars qui prend ses responsabilités et qui peut accepter la vie qui s’offre à lui. J’espère vraiment qu’on aura une suite. Cette storyline peut amener plusieurs histoires interessantes (la réaction des parents de la fille, mariage,...).

    Très touché par un Smash qu’on sent très fragile tout au long de l’épisode. Je ne sais pas trop où se trouve Whitmore mais j’espère que c’est pas très loin de Dillon et qu’on le reverra dans l’hypothèse d’une saison 3.

    J’ai été agréablement surpris par Lyla. La scène avec la famille de son boyfriend avec la musique était excellente. Riggins n’est pas au bout de ses peines parce que Lyla a vraiment trouvé la belle-famille qui lui convient.

    En revanche, ça sent l’essoufflement du coté des Taylor. On nous sort une énième histoire de jalousie avec un ex du lycée. C’était parfois drôle mais le plus souvent très prévisible.

    Enfin, la scène où Tyra et Landry marchent en se tenant la main m’a forcément rappelé la scène d’ouverture de cette saison 2 avec Tyra qui débarque "au ralenti" au bord de la piscine municipale.

    A bas Silverman !

    • 2.15

      J’ai adoré l’ntrigue de Jason. Comme depuis le début, FNL trouve toujours le moyen de relancer le personnage.

      Moi j’ai détesté.
      Jason a 19 ans. Il est paraplégique, il vend des voitures, il va être un jeune papa. Trop cool.

      qu’on le reverra dans l’hypothèse d’une saison 3.

      Elle est bien bonne !

      Riggins n’est pas au bout de ses peines parce que Lyla a vraiment trouvé la belle-famille qui lui convient.

      C’est marrant, j’ai compris la scène d’une façon complètement différente.
      Pour moi elle était super mal à l’aise. Ou alors c’était moi qui était super mal à l’aise. Dans les deux cas, la famille du blondinet gluante fait très peur.

  • Jason a 19 ans. Il est paraplégique, il vend des voitures, il va être un jeune papa. Trop cool.

    Faut se mettre à la place de Jason, c’est peut-être la seule chance pour lui de devenir papa. De faire ce que tout jeune paumé de Dillon rêve de faire : fonder une famille. Bon maintenant c’est pas sûr puisque l’épisode se clôt sur un cliffhanger.

    J’ai lu quelque part que le personnage du coach Deakins était déjà apparu dans pilote. Si c’est vrai, je ne m’en souviens pas et j’ai pas un coeur assez solide pour re-re-re-revisionner le premier épisode de Friday Night Lights.

    Sinon, on dit que le thème de l’épisode serait "donner une nouvelle chance". Comme si la série demandait qu’on lui accorde une nouvelle chance. La dernière phrase de l’épisode et qui clôt le superbe discours de Jason est "Give me a chance". Tyra et Landry se sont donnés la chance d’un nouveau départ. Julie se montre pour la première fois très attentionnée à l’égard de Gracie. Whitmore qui offre l’occasion à Smash de faire une carrière et ce dernier qui donne une nouvelle chance à cette université qu’il méprisait. Lyla qui semble avoir enfin trouvé la rédemption entre un boyfriend parfait et ses nouvelles ambitions de rejoindre Princeton. Eric qui laisse l’équipe adverse marquer un touchdown pour sauver l’honneur. Et surtout, la vie qui offre à Jason le miracle d’une grossesse et la perspective d’une vie familiale "normale".

    Je ne crois pas en Dieu mais j’ai adoré toute la religiosité de l’épisode. Un véritable hymne à la foi qui me fait espérer le miracle d’un renouvellement pour une troisième saison.

    PS : il est passé où le match de la semaine dernière ?

  • s02e15

    J’ai bien aimer l’épisode. Loin d’être génial mais pas non plus catastrophique.

    Le soudain impérieux désire du futur chauve d’avoir son gosse na m’a pas dérangeait. C’est très loin de mes préoccupations actuel, mais pourquoi pas pour Jason. Les parent se projette toujours sur leurs enfants, on peut imaginer Jason se projetant sur quelque chose de lui qui marchera un jour.

    C’est marrant, j’ai compris la scène d’une façon complètement différente.

    Comme Ju.
    Son sourire crispée trahis assez son sentiment. Elle a beau être croyante, il y a des gens avec qui on n’a rien à faire.
    Et puis repousser hornyLilah, faut être dingue ou un crazy christians (quoique c’est presque pareil).

    On nous sort une énième histoire de jalousie avec un ex du lycée. C’était parfois drôle mais le plus souvent très prévisible.

    Moi ça m’a bien plus. Peter Berg qui se trouve du boulot dans sa série, déjà, à la base c’est marrant, enfin moi ça me fait rire. Ensuite Connie et lui allait plutôt bien ensemble et il joue super bien le gros con Texan.

  • Comme Ju.
    Son sourire crispée trahis assez son sentiment. Elle a beau être croyante, il y a des gens avec qui on n’a rien à faire.

    TWoP semble plutôt d’accord moi :
    "And, in the most surprisingly good storyline of the night, Lyla and Chris grow closer when he invites her to a family weekend at his grandmother’s ranch. His family is infuriatingly perfect — educated, somewhat worldly, witty, and loving — and you can see Lyla just blooming under the prospect of becoming part of something so blessed again after being in paralysis/divorce/adultery exile for so long."

    Coté audiences, aucun sursaut de dernière minute. Le 2.15 est battu par des rediffusions de House et Moonlight. Seule satisfaction, c’est l’audience sur une semaine de FNL (technique des DVR). La série est l’un des programmes les plus enregistrés et son audience fait un bond de 38% (classée 3ème parmi tous les prime-time).

    Vive FNL ! A bas la chaine qui renouvelle American Gladiators et Celebrity Apprentice ! Je rentre en résistance préventive contre NBC (mais je continuerai à suivre L&O, Medium, les comédies du Jeudi...)

  • Ju est d’accord avec moi, ça a plus de poids qu’un commentaire sur TWoP !

    Lol ! Un combat de références !

    Mais sinon, c’était pas un simple commentaire sur le forum mais la critique officielle du site. D’ailleurs, les avis sont pluôt très positifs sur cet épisode sur les forums US ou UK.

  • Ouais j’ai beaucoup aimé l’épisode. Mais pas comme series finale pitité.

    Je sais pas mais moi aussi j’ai perçue Lyla vraiment crispée d’être au milieu de ces gens, tendue.
    Quand ils étaient sur le lit, je m’attendais trop à voir Tim sortir d’en dessous, vu le sourire qu’il lui a fait quand elle lui a dit que cette fois, il pouvait pas être là =D

    J’ai adoré aussi les scénes au lycée, d’abord la musique était superbe, et ça avait un air frais. Landry et Tyra qui se la jouent show off, et Tim que j’en reviens pas qu’il fait tout ça pour Lyla. Depuis quand il est devenu comme ça lui ? Alors moi même si je rêve de le voir dans les bras de Tyra, pour le coup, je veux que cette tarée de Lyla lui revienne. Non, qu’elle le supplie à genoux de la reprendre. Mouais =D

    Et il est trop bon comme animateur Timmy. Je le veux dans ma radio le matin

    "Thank you for calling that was ridiculous"

    Et puis quand l’autre est sorti lui dire qu’il savait qu’il était que pour l’emmerder, la caméra a fait un gros plan sur les deux visages. Et j’étais là : Seriously ?

    Ouais le mec de Withmore il était dans le season premiere. Et ça m’a fait vraiment plaisir de le revoir, je sais pas pourquoi.

    J’ai totalement zappé le fait que la série n’allait probablement pas être reconduite. Je viens de percuter.

  • Les pétitions commencent.
    Les emails auprès de NBC, c’est bien aussi.

    Même si ça ne s’avère que des gouttes dans l’océan, ça m’énerverait de ne pas avoir au moins exprimé mon mécontentement.

  • 2.15 May the Best Man Win

    En tant qu’épisode, il était de la même veine que les derniers, c’est à dire d’un excellent crû. Tout s’enchaîne très bien, j’me suis guère retrouvé à regarder l’heure et l’interprétation de Gaius et celle de Kyle restent une nouvelle fois l’un des points forts de l’épisode. Mais si on regarde l’épisode en season finale (ou serie finale), on a tout de suite un très fort goût amer dans la gorge. La déception est d’autant plus grande que le renouvellement de la série s’avère compromis, et ses chances d’être diffusée l’année prochaine s’amoindrissant encore et encore ! Pire que Veronica Mars ? C’était difficile à faire tout de même, mais FNL a réussi à la détrôner, non pas par la qualité de l’épisode (qui je le répète, était excellente), mais par les intrigues qui restent en suspens et une saison qui s’achève sur un nombre de points scénaristiques qui méritaient nécessairement une suite.

    On ne peut pas finir la dessus, c’est inacceptable ! J’veux bien qu’elle ne soit pas renouvelée mais qu’ils fassent un effort pour continuer sur la lancée de la seconde saison, et lui laisser encore 7 épisodes... au moins, pour faire une véritable saison !Au moins, ayez un peu de logique et laissez à la série le temps de finir en beauté... merde !

  • La solution du téléfilm de deux heures pour clôturer la série (c’est la rumeur du moment) me plait bien. Certes ce n’est pas satisfaisant et un renouvellement serait tellement mieux, mais je suis plutôt séduit par l’idée du téléfilm.

    Sinon, à la place de la CW, je serai en train de me battre pour récupérer FNL. La série à une base très solide d’environ 5 millions de téléspectateurs qui ont continué à suivre la série malgré American Idol l’an passé et malgré le fait que le vendredi soit la soirée des sorties aux USA. 5 M c’est bien plus que ce que réalise n’importe quelle série du petit network qui s’enfonce chaque jour un peu plus.

  • Oui mais est-ce que ce serait réellement une bonne chose que la série soit reprise par la CW ?
    Est-ce qu’on aurait le droit à plus de match, moins de guest stars et plus d’intrigues mêlées en un épisode ? Après ce que la CW a fait à Veronica Mars, apprendre qu’elle rachète FNL me rendrait bien morose. J’ai déjà perdu ma série cette année. Ça fait plusieurs épisodes que la seule chose que j’ai à dire, c’est "bof". En même temps, c’est une séparation sans douleur. C’est vrai que la série ne va pas me manquer plus que ça. Mais si elle était renouvellée pour une année de plus sur la CW, je crois que je serais très mécontent. Parce qu’il est évident que je suivrais la série, comme je l’ai fait jusqu’au bout pour Veronica Mars.

    Donc, l’idée du téléfilm me paraît être la meilleure chose qui soit puisque pour le final, ne cherchant plus à attirer un public formaté, les auteurs offriraient une vraie conclusion à la série. Une conclusion d’1h20 avec si possible un match pour bien finir. Ouais, c’est ça que je veux. Ou alors un film.

  • Oui mais est-ce que ce serait réellement une bonne chose que la série soit reprise par la CW ?

    J’ai évoqué la CW car elle me paraît être un bon compromis entre des exigences d’audiences plus faibles (comme pour les chaînes câblées) et une exposition importante (contrairement aux chaînes câblées).

    Est-ce qu’on aurait le droit à plus de match, moins de guest stars et plus d’intrigues mêlées en un épisode ? Après ce que la CW a fait à Veronica Mars, apprendre qu’elle rachète FNL me rendrait bien morose.

    C’est vrai que le risque existe. Mais en même temps ce que la CW reprochait à VM c’était la complexité de ses intrigues (et à un degré moindre le coté "vulgaire" et violent). Dans FNL y a ni intrigue complexe pour geeks ni sang ni scènes de meurtres ou de violence (mis à part toute l’histoire du violeur et entre nous j’aurais préféré que NBC s’oppose à cette intrigue). De plus, le cadre de la série est plutôt conservateur, imprégné de religion.

    Donc, l’idée du téléfilm me paraît être la meilleure chose qui soit puisque pour le final, ne cherchant plus à attirer un public formaté, les auteurs offriraient une vraie conclusion à la série. Une conclusion d’1h20 avec si possible un match pour bien finir.

    C’est pour cette raison que l’idée m’a paru séduisante. Disons que ça montre au moins que NBC cherche à trouver une alternative à l’annulation pure et simple. C’est déjà réconfortant.

    Parmi les chaînes du câble, on parle de USA, d’ESPN et même de la chaîne Bravo.

  • Pour les amateurs de spoilers. Dans sa dernièrevidéo, Ausiello évoque ce qui devrait (ou aurait dû) se passer dans la suite de la saison 2 de FNL.

    Perso, j’attends que NBC enterre définitivement la série pour lire (ou écouter) ce que j’aurais préféré voir.

  • bouhou ca sent la fin... je préfère ne pas écouter cela non plus...
    Merci quand même

    Je ne me suis pas vraiment tenue au courant ces dernières semaines... Sur une échelle de 10, quelles sont les chances qu’elle soit renouvellée ?

    Pour les téléfilms, même si ça vaut mieux que rien, ça reste trop ponctuel je trouve. Certains n’ont pas apprécié les 9 mois entre la saison 1 et la 2, alors pour les téléfilms se sera pareil.

    Par contre, une reprise par la CW pourrait être positive. FNL a son "public" et n’a pas tellement de problème de violence ect... De plus, la chaîne, même si je ne suis pas trop au courant de ce qu’elle diffuse, me semble avoir besoin d’une série plus terre à terre dans le genre. (mais bon, à part Smallville et Supernatural, je ne sais pas ce qu’il y a sur cette chaîne).

    Ca me rappelle Traveler et l’explication du créateur sur son blog de ce qui aurait dû arriver si ABC avait donné sa chance à la série.

  • A propos de la critique du 2x15

    Je m’insurge !

    La seule raison de regarder FNL a toujours été Riggins ! Et la 2ème saison a été exemplaire sur ce point, commençant très fort avec des bandeaux "Get your own Tim Riggins" encore plus impressionnants que ceux de Bionic Woman (qui donnaient quand meme vachement envie de regarder).

    Puis, beaucoup de Riggins en débardeur, sur un bateau au Mexique montrant sa grande ame, torse nu, tabassé, faisant le guignol à la chasse, avec des gnons, à la rue avec son air de chien battu, chevaleresque, injustement accusé, éconduit, en sueur avec son air sombre d’écorché vif... Bref, le gars qu’on aimerait avoir chez soi en effet... Et authentique oui : meilleure réplique de la série, en réponse à la question : trouves tu que parfois casser la gueule de qqun est justifié ?

    Hell yes !!!!

    Riggins, en gros, c’est Shane en mec... Le mec irrésistible, dark, avec le meilleur fond du monde sous sa carapace taciturne, que le malheur semble avoir pris pour cible... Maudit quoi... On en veut plus !

    Bon après, toutes les intrigues chiantes de FNL... Ben elles ont toujours été plus ou moins chiantes en fait. Moi j’ai pas eu d’entrainement sur GG, donc je crois que l’effet est plus fort sur moi, mais bon, soyons honnetes ! La seule vraie nouveauté de FNL est la réalisation, un environnement sportif compétitif héroique qui pend le spectateur à son poste 5 mn par épisode, et un ton qui se rapproche plus de My So Called Life que des séries clinquantes djeunz à la The OC mais bon... Pour le reste, les intrigues ont toutes dejà été vues et revues, la 2ème saison n’a juste plus l’atout de la surprise.

    Julie, le personnage ado le mieux traité ? Julie est pour moi une horreur : le seul personnage (avec sa petite soeur) que j’aurais vraiment voulu voir décasté tellement il est insupportable, réagit toujours comme une sale gosse (et précisément comme on espère qu’elle ne réagira pas puisque on est dans une série à part... Mais bon, pour ça, Heroes a remis la barre très haut et recréé une forme de tolérance...).

    Nan, le meilleur ado de FNL, pour ceux qui n’ont pas compris c’est Riggins ! Ou Landry à la limite mais pas Julie casse couilles !

    Bon, sinon, sympathique que les deux seules séries qui semblent avoir réussi à continuer à diffuser malgré la greve (alias FNL et Boston Legal, les séries qui nous aident à survivre et à se retenir encore de rattraper Lost) soient annulées.

    • Julie, le personnage ado le mieux traité ? Julie est pour moi une horreur : le seul personnage (avec sa petite soeur) que j’aurais vraiment voulu voir décasté tellement il est insupportable, réagit toujours comme une sale gosse (et précisément comme on espère qu’elle ne réagira pas puisque on est dans une série à part...

      Cela ne signifie pas qu’elle est l’adolescente avec la storyline la mieux traitée de FNL, mais qu’elle est la mieux traitée "en tant qu’adolescente". Julie fait une crise d’ado qui paraît extrêmement juste, par ses coups de rage, de jalousie, de perte de repère... Et tout cela trouve, du point de vue du personnage, des justifications. C’est justement parce qu’on est dans une série à part qu’on a droit à cette image pas très agréable de ce que signifie véritablement se comporter en adolescente.

      Le but n’était pas d’apprécier le personnage mais de voir une attitude plausible, surtout en comparaison avec les autres de Dillon qui ont trop souvent été des mini-adultes. Julie n’est pas comparable à Riggins quand son mérite revient uniquement sur le plan de l’écriture, tandis que lui ramasse des éloges sur le capital sympathie (malgré son statut de cliché vivant).

      Bon après, toutes les intrigues chiantes de FNL... Ben elles ont toujours été plus ou moins chiantes en fait. . Pour le reste, les intrigues ont toutes dejà été vues et revues, la 2ème saison n’a juste plus l’atout de la surprise.

      Non, la différence entre les deux saisons n’a rien à voir avec le facteur "nouveauté" ni avec une quelconque originalité dans les intrigues (on sait très bien que ça n’existe plus). Les reviews de Feyrtys et les commentaires ici ont assez revus les vraies raisons de ce changement. Quand à trouver les intrigues chiantes depuis le début, ce n’est pas un avis que je partage.

    • Le but n’était pas d’apprécier le personnage mais de voir une attitude plausible, surtout en comparaison avec les autres de Dillon qui ont trop souvent été des mini-adultes.

      Plausible ? C’est l’ado la plus casse-couilles vue depuis Nelly Olson oui ! (ou Nancy Olson, ça dépend des points de vue). Tu étais comme ça toi ado ? Mais à sa décharge, elle a parmi les parents les plus mèle-tout abusifs jamais vus dans une série TV.

      D’une certaine manière, tous les persos de FNL sont des clichés vivants d’ailleurs : l’entraineur renfrogné, son épouse dévouée mais qui quand meme tient la culotte, le mec qui l’est gentil au fond mais qu’il a pas de bol, le bon petit samaritain qui s’occupe de sa grand mère, le showman black, le geek humoristique, la rebelle, l’ado casse-couille, l’équipe d’outsiders qui remporte tous les matchs quand meme.

      rien à voir avec le facteur "nouveauté" ni avec une quelconque originalité dans les intrigues (on sait très bien que ça n’existe plus).

      Ksssss. Que tu ne trouves pas FNL foncièrement ennuyeuse est une chose (faudrait me donner des listes de tes plus grands chefs d’oeuvre séries et ciné confondus, que je trace un profil et un MO), mais venir rabaisser tout le reste pour justifier le syndrome du "j’ai tellement exagéré mon jugement positif sur une série pendant un an que, une fois l’été passé, je ne la reconnais plus". Personnellement, j’aime bien FNL, je la trouve un peu lente, un peu ennuyeuse (certains m’ont par exemple dit que tout comme GA, c’était une bonne série à sudokus), mais j’aime bien son univers. Mais de là à en faire un chef d’oeuvre juste à cause de Riggins, faut pas pousser non plus.

      Mais surtout, de l’originalité, il y en a encore : John From Cincinnati, Pushing Daisies, Dexter, The Office, Ugly Betty, meme Boston Legal pour n’en citer que quelques récentes qui me viennent en tête, comme ça.

    • Nan, le meilleur ado de FNL, pour ceux qui n’ont pas compris c’est Riggins ! Ou Landry à la limite mais pas Julie casse couilles !

      Riggins n’est plus un ado, et ca fait longtemps qu’il ne l’est plus. Julie est défintivement l’archétype de l’adolescente, elle est moins mure, plus dans la mouvance de ce qu’est le cliché d’un ado. Elle a les problèmes que toute ado a.

      Riggins, lui, est ce que l’on appelle un jeune adulte. Bien qu’il soit mon personnage préféré, c’est justement parce qu’il n’est plus un ado qu’il est intéressant. Il n’est pas en crise, il n’est pas non plus renfermé sur lui-même, il est certes égocentrique mais c’est surement pas à cause de son âge. Il a des problèmes d’abandon et de parents mais pas besoin d’être un ado pour ça, suffit d’avoir le bon (lire mauvais) environnement. Il ne réagit pas non plus comme un grand incompris. Il réagit souvent avec philosophie lorsque ca lui retombe sur la tête, ou plutôt il réagit en défaitiste mais ca, justement, ca ne colle pas avec un adolescent. Un adolescent, lui, considérera que ce n’est jamais sa faute, que c’est toujours la faute des autres et jusqu’à présent, je n’ai jamais vu ça dans l’attitude de Riggins.
      Il a certains problèmes d’ado mais il les règle en adulte pour la plus part.

      J’ai dû mal à saisir comment on peut croire que Riggins soit un ado. 1) il a 18 ans 2) il n’a jamais été dépeint comme un ado, ils n’ont jamais essayé de le faire passer pour ce qu’il n’est pas. Il est juste entre les deux mondes. Et ça c’est plus la description d’un jeune adulte tiraillé entre l’enfance et la maturité qu’autre chose. Quand il n’a plus ’endroit où aller, il va demander de l’aide à la seule véritable figure paternelle qu’il connaisse, le coach, et là on voit un enfant par son attitude envers lui mais en même temps sa démarche, paradoxalement, est adulte.

      Herial, Nellie Olson c’est la petite maison dans la prairie mais de toute manière, la comparaison est mauvaise. Le personnage de Nellie Olson est écrit pour être une peste du début à la fin, cela n’a rien à voir avec sa soit disante adolescence, ca colle à un personnage écrit dès le départ comme une peste. On n’est pas dans le même cas de figure ici. On a une jeune fille plus ou moins équilibrée qui se dispute avec ses parents aux bons moments, genre quand ils lui interdisent de voir son petit copain et genre quand d’un coup on lui demande de se comporter en adulte alors qu’elle n’est qu’une enfant. Avoir une petite soeur alors qu’on est en pleine adolescence et que les parents présument que leur fille aînée doit faire plus que vivre sa vie c’est un cliché. Et il est bien intégré. Je suis parfaitement d’accord avec Blackie, son personnage est l’adolescente la plus juste qu’on est vu depuis très très longtemps. Même si cela fait d’elle un personnage assez désagréable au final. Et encore jusqu’à cette fâmeuse crise, on peut dire sans se tromper que Julie était quand même une bonne petite soldate, bien élevée et qui posait pas de problèmes et encore une fois le personnage est peut être le plus inintéressant du groupe mais la construction (l’écriture) de celui-ci est juste. C’est la différence entre la perception que l’on en a et ce qu’il est. La simple différence entre objectivité et sujectivité.

      Pour la nouveauté dans les autres séries il faut m’expliquer...Ugly betty est l’histoire d’une fille moche mais qui réussi grâce à sa beauté intérieure, Dexter se découvre un frère jumeau caché maléfique (même sunset beach l’avait fait !) et pushing daisy est très clairement inspirée de Big fish. Attention j’aime beaucoup ces séries (enfin au moins deux d’entre elles) mais les intrigues ne sont pas originales. Leur traitement par contre les rends intéressantes.

      Exactement. Le pitch n’est rien d’autre qu’un point de départ. Le but c’est de le tourner de telle manière que cela pourra en faire quelque chose d’original. Aujourd’hui, on ne peut pas vraiment parler d’originalité dans les prémisses d’une série mais dans la façon dont c’est raconté. Tous les scénaristes le reconnaissent. Après près de 100 ans de cinématographie et 60 ans de télévision, il serait hypocrite et abérrant qu’un auteur dise non non rien ne m’inspire, tout est original. Grâce à la grève des scénaristes, j’ai pu pas mal les écouter et ils reconnaissent tous qu’il y a toujours une part d’inspiration mais ce n’est pas parce qu’un autre auteur ou réalisateur t’a inspirée que tu es un sale copieur.
      Si tu prends Juno, le prémisse n’a rien d’innovant, une jeune ado en cloque, c’est du râbaché mais la façon dont l’histoire est racontée est originale. Tu peux dire la même chose de Jekyll aussi, Moffat prend une histoire, et la tourne à sa sauce. Rien d’original dans son prémisse en soi, son traitement et ce qu’il filme la rende différente.
      Pour FNL, c’est pareil, ce n’est pas tant les sujets abordés qui sont originaux mais leur traitement et là on est aussi d’accord. La façon dont la ségrégation et le racisme sont traités, par exemple, est très différente de ce que l’on a pu voir, c’est là où Dark Defender a tort, dans le sens où il confond le sujet et son traitement. En tout cas, moi c’est comme ça que je le comprend.

  • les deux seules séries qui semblent avoir réussi à continuer à diffuser malgré la greve (alias FNL et Boston Legal, les séries qui nous aident à survivre et à se retenir encore de rattraper Lost) soient annulées.

    Annulées ? Pas encore. Mais NBC a commandé six scripts supplémentaires de... Lipstick Jungle !

  • C’est bien joli de vouloir répondre sur un ton prétentieux, encore faudrait-il que t’arrives à saisir le sens des propos auxquels tu crois répondre.

    (certains m’ont par exemple dit que tout comme GA, c’était une bonne série à sudokus)

    Et ces gens-là m’ont l’air d’avoir des goûts fabuleux, ils n’attendent sûrement que toi pour venir pimenter leurs conversations. Allez, à dans trois mois pour ton prochain message sortit de nulle part où tu nous éclairera encore de ta science !

    • C’est bien joli de vouloir répondre sur un ton prétentieux, encore faudrait-il que t’arrives à saisir le sens des propos auxquels tu crois répondre.

      (certains m’ont par exemple dit que tout comme GA, c’était une bonne série à sudokus)

      Et ces gens-là m’ont l’air d’avoir des goûts fabuleux, ils n’attendent sûrement que toi pour venir pimenter leurs conversations. Allez, à dans trois mois pour ton prochain message sortit de nulle part où tu nous éclairera encore de ta science !

      Je trouve ce message un peu insultant personnellement et pas très constructif : est-ce que l’admin ne pourrait pas le supprimer s’il vous plait ?

  • Bonjour, petite nouvelle sur le forum...Je connais le site depuis longtemps mais n’ai jamais eu le courage d’intervenir. Mais bon là quand même !

    Il ne me semble pas que Julie soit plus casse couille que ça...Elle est juste un peu délaissée par ses parents et pas trop habituée car ayant été fille unique pendant 15ans ! Elle est chiante mais à mon avis pas plus que un ado quelconque de 15 ans...En tout cas , je sais pas pour Blackie, mais moi j’étais comme ça !

    Les autres personnages de la série sont bien sur très clichés. Mais tout come pour les intrigues, ce n’est pas tant les personnages qui importent que le traitement qui en est fait. Et le traitement de FNL est plutôt subtile. Ce qui rend les personnages sympathiques et atypiques alors que dans tout autres séries ils seraient probablement insupportables.

    Pour la nouveauté dans les autres séries il faut m’expliquer...Ugly betty est l’histoire d’une fille moche mais qui réussi grâce à sa beauté intérieure, Dexter se découvre un frère jumeau caché maléfique (même sunset beach l’avait fait !) et pushing daisy est très clairement inspirée de Big fish. Attention j’aime beaucoup ces séries (enfin au moins deux d’entre elles) mais les intrigues ne sont pas originales. Leur traitement par contre les rends intéressantes.

    Pour finir, Tim Riggins est une excellente raison de considérer FNL comme un chef-d’oeuvre...

    • Merci Lili, enfin une critique constructive !

      Le problème de Julie, c’est pas tant qu’elle joue les pourries-gatées (meme si elle cumule salement, sachant qu’au début de saison dernière, c’était plutot l’ado cool mature, un peu bizarre qu’elle pete les plombs à l’arrivée d’un bébé), c’est plutot qu’elle est utilisée systématiquement comme un fusible pour créer des situations pénibles qu’on voit arriver à des kms comme si elle devait absolument cumuler TOUS les travers négatifs des ados.

      Et en effet, elle dénote un peu parmi les autres, parce qu’elle passe pour sacrément idiote et peu nuancée/approfondie.

      En revanche, oui, tu as raison, le traitement des intrigues dans FNL est beaucoup plus subtil que dans la plupart des shows : c’est pour ça que je regarde, avec les matchs. Le parti pris est, en général, de prendre le téléspectateur à contrepied de ce qu’il attend de ce genre de situations en ne traitant pas les persos comme des blocs monolithiques qui réagissent systématiquement de la meme façon dans une situation, mais comme des etres réflechis capables de faire la part des choses. Mais ça c’est une mouvance générale depuis quelques années, à laquelle des séries comme DH, Heroes ou Lost ont coupé court certes, mais qui demeure dans l’air du temps.

      Et l’autre particularité de FNL, le ton très roots à la Angela 15 ans, ben c’est pas très original non plus, surtout quand au final on ne va pas vraiment jusqu’au bout : avec une équipe qui gagne tout le temps, avec des intrigues récurrentes (les malheurs de Riggins) qui se reproduisent, certes, mais ne vont jamais jusqu’au bout et reviennent en permanence au point mort.

      Voilà donc pourquoi je ne peux décemment crier au chef d’oeuvre. Mais je le répète, j’aime bien.

      Les originalités des séries que j’ai mentionnées ?
      - Ugly Betty : une semi-cartoonisation de la série (et des personnages) qui lui permet des scénars frolant perpétuellement la démesure sans qu’on ait rien à redire. Evidemment que ce n’est pas réellement Betty qui est interessante.
      - Dexter : suivre la vie d’un serial killer (et tenter d’y donner une cohérence, voire de le justifier), et au travers de ce prisme analyser toute la société dans les mêmes termes (et non plus en jouant sur l’altérité bien/mal), dans le monde des séries, ça c’était pas trop fait.
      - Pushing Daisies n’est pas réellement inspirée de Big Fish, où je ne me souviens plus du film de Burton. Certes on y retrouve un ton quelque peu Burtonien, voire meme plus Jeunet, mais le concept de base de la série (tout comme celui de Dead Like Me) est original.

      Après, évidemment, comme tu es dans un monde d’humains, tu retrouves les thématiques principales humaines de notre temps et de tous temps. C’est la vie.

  • Plausible ? C’est l’ado la plus casse-couilles vue depuis Nelly Olson oui !

    Je ne sais pas qui est Nelly Olson mais je sais que quand je parle à mes parents de ma périodes 16-18 ans, ils lèvent les yeux au ciels. Ce regard me fait dire qu’il auraient préférés avoir une Julie Taylor si j’avais été une fille.
    J’en déduis donc que tu étais, comme dirais John Bender, l’enfant que tous les parents mouillerais d’avoir.
    Ceci est juste une référence à Breakfast Club... Au cas ou...

    D’une certaine manière, tous les persos de FNL sont des clichés vivants d’ailleurs

    Tient j’avoue que tu as presque raison.
    Sauf qu’un cliché bien écrit dans une intrigues qui tient la route, ça devient un archétype, et ça devient de suite moins péjoratif. Bon ok, cette saison pleins d’intrigues on flirtaient avec le clichés et ça a rabaisser la qualité de la saison. Ce qui est bien dommage.

    Mais surtout, de l’originalité, il y en a encore : ... Dexter

    Ca y est !
    Je me demandais d’où je connaissais ton pseudo, t’es le ubergeek qui croyait que la noirceur dans les comics était apparu dans les années 80.
    Pas grave, t’avais juste 20 ans de retard.

  • Je ne sais pas qui est Nelly Olson

    Herial, honte sur toi ! Mais comme je suis gentil, je vais te mettre sur la piste d’un des plus grand monuments télévisuels qui pourrait te permettre de voir passer la grève comme une lettre à la poste. Il s’agit de la série "la Petite Maison dans la Prairie", qui doit avoir 3000 épisodes à son actif (tu peux meme lire les bouquins si tu deviens fan hardcore) et a un spin off nommé "Les Routes du Paradis" qui doit juste cumuler les 2000 épisodes.

    Je me demandais d’où je connaissais ton pseudo, t’es le ubergeek qui croyait que la noirceur dans les comics était apparu dans les années 80.
    Pas grave, t’avais juste 20 ans de retard.

    Ben pour tout dire, je signalais surtout que la noirceur dans les comics n’était pas apparue il y a "quelques années" comme le suggerait la critique officielle de l’épisode 2.05 de Dexter, et encourager (peut etre) mes lecteurs à aller découvrir Moore et Miller.

    En revanche, merci pour les infos - que je viens d’aller voir dans le sujet consacré (auquel j’avais renoncé après avoir été quelque peu sauvagement censuré) - et qui, meme si elles ne contredisent pas réellement ce que j’ai avancé sont en effet nouvelles pour moi : j’ignorai que le premier Batman était un pur antihéros.

    Je ne suis pas un ubergeek, ni meme un wannabe ubergeek, je serais plutot un nerd vengeur, un Dark Defender qui en a marre de la récupération du "phénomène geek" (qui autrefois avait une signification autre qu’aimer les gadgets et les séries) par le mainstream.

  • Selon Kristin d’E ! Online, c’est bien parti pour le renouvellement de la série pour une troisième saison (lien). Friday Night Lights serait alors diffusée à la fois sur NBC et sur la chaîne câblée DirecTV.
  • Oui, c’est confirmé de toutes parts, ici aussi.

    Oh joie !

  • A Y’EST.....SAISON 3 OFFICIELEMENT CONFIRMEE !!!!

    News ici : http://www.tvworthwatching.com/blog/2008/03/march-27-2008-exclusive-nbcs-f.shtml

    CLEAR EYES FULL HEARTS C’ANT LOOSE !!!

  • A Y’EST.....SAISON 3 OFFICIELEMENT CONFIRMEE !!!!

    Officiel ? Pas tout à fait. Mais c’est vrai que le principe d’une troisième saison semble acquis au vu des différentes déclarations des acteurs, producteurs et autres blogueurs bien informés.

    Je crois que l’annonce officielle interviendra le 2 avril lors de la présentation des projets de NBC pour la saison 2008/2009.

    Concernant les récentes déclarations de Katims, je suis un peu inquiet par l’ellipse temporelle annoncée. 6 ou 7 mois c’est un peu beaucoup surtout par rapport à des intrigues comme celle de Lyla et Tim ou encore Jason et son éventuelle paternité. C’est vraiment dommage. On n’assistera pas aux débuts du couple Tyra/Landry, à la fin de la saison des Panthers... En même temps, je suis impatient de suivre Smash à la fac et de découvrir des petits nouveaux dans l’équipe du lycée. Le fait aussi d’être diffusé sur le câble permettra peut-être à la série de s’éloigner, encore plus, des codes habituels des teen show et de traiter avec plus de profondeur certaines intrigues. Bref, ne pas rechercher l’audience à tout prix avec des romances et des intrigues de meurtre.

  • bon petit nouveau dut au fait que je viens de me faire les deux saisons en deux semaines !surtout que sur la lancée de la première saison que j’ai adoré j’étais en perfusion intensive de FNL ! Mais la saison 2 quel désastre franchement et je vais m’expliquer de suite (sans faire un speech inutile de 2km) :

    rien qu’au commencement la relation julie matt qui se termine d’un coup sans crier gare ça m’a cassé le moral

    on a des intrigues vraiment inutile comme le meurtre le viol ou le vol de l’argent du dealer qui n’a mené a rien d’intéressant !Avec ces intrigues la série se rapproche trop d’autres séries comme one tree hill et compagnie alors que dans la saison 1 ce n’était pas le cas

    les matchs de foot et les entrainements sont sont beaucoup moins présents alors que c’est tout de même ce qui m’a attiré à la base dans la série

    des relations plus ou moins négligées comme la relation landry matt beaucoup moins présente à se demander s’ils étaient encore potes alors que dans la saison 1 leurs conversations étaient toujours un régal

    la religion omni-présente dans la saison 2 encore plus que dans la saison 1 qui me pousse à avoir envie de mettre une baffe à la crazy christian pour qu’elle remette les pieds sur terre ou encore les phrases assez surprenantes du coach sur ce que doit faire sa femme etc... j’espère juste que les scénaristes ne font pas passer des prises de positions qu’ils adhérent car ça me décevrait

    sinon pour répondre au sujet de julie moi son comportement dans la saison 2 me rendait énervé tout seul devant mon ordi (qu’est ce que j’ai aimé la baffe miss T avec tous lé cheveux qui ont volé partout) mais que c’est l’ado fille unique dans toute sa splendeur (même si j’aimais la relation qu’elle avait avec matt dans la saison 1)
    ensuite en parlant de stéréotype si riggs est ton personnage préféré je ne te condamne pas (même si je préfère 7) mais c’est quand même un sacré stéréotype le mec beau gosse rebelle avec les cheveux longs qui a 16 ans musclé de ding sans un gramme de bidon alors qu’il a toujours une bière à la main !la brute au bon coeur ! si la c’est pas du stéréotype !!

    • Tiens, un petit nouveau. Bienvenu !

      bon petit nouveau dut au fait que je viens de me faire les deux saisons en deux semaines !surtout que sur la lancée de la première saison que j’ai adoré j’étais en perfusion intensive de FNL !

      Wow, il a l’air chouette ton message, et tout et tout. Malheureusement, je ne peux pas en lire plus que deux lignes. Bah oui, sans majuscules et avec une syntaxe n’importe comment, il n’a pas l’air de vraiment respecter les règles du forum... et c’est bien dommage.

      Oh, un deuxième message !

      Dans le feuilleton :"Friday Night Lights va t-elle être renouvelée pour une 3ème saison ?", le suspense est en passe de s’achever...

      Chouette, des majuscules, je lis !

      Lors d’une interview, Kyle Chandler, qui incarne le coach Taylor, a en effet indiqué que la série créée par Peter Berg avait bien été renouvelée.

      Hmmm... ça fait beaucoup de précision, mais pourquoi pas. Et puis, c’est vraiment bien d’avoir fait l’effort de mettre des majuscules...

      Ca aurait été sans doute mieux, par contre, de ne pas nous faire perdre de temps en copiant-collant les textes majusculés des autres.

      Et encore bienvenu, hein !

  • Dans le feuilleton :"Friday Night Lights va t-elle être renouvelée pour une 3ème saison ?", le suspense est en passe de s’achever... Lors d’une interview, Kyle Chandler, qui incarne le coach Taylor, a en effet indiqué que la série créée par Peter Berg avait bien été renouvelée. Selon l’acteur, l’accord pour partager les coûts de production a bien été conclu (voir article). Encore plus rassurant : il serait d’ores et déjà attendu en juin, à Austin, pour tourner la saison 3 de Friday Night Lights ! Le renouvellement est donc pratiquement assuré et il ne manque plus que la déclaration officielle de NBC. Le network dévoile la 1ère partie de sa grille de programmation 2008/2009, ce mercredi 2 avril. Alors, patience...
  • Ouhlalala il est méchant le Ju !Mais merci pour cet charmant accueil ! Bon le premier message je n’étais pas au courant pour les majuscules donc désolé et deuxième message t’as bien fait ton travail d’enquêteur mais je n’ai jamais revendiqué cette info ! Je l’ai trouvé et j’ai pensé que ça vous intéresserez ! Mais apparemment nan :D
  • Bon le premier message je n’étais pas au courant pour les majuscules donc désolé et deuxième message t’as bien fait ton travail d’enquêteur mais je n’ai jamais revendiqué cette info ! Je l’ai trouvé et j’ai pensé que ça vous intéresserez ! Mais apparemment nan :D

    Bienvenue Bastos ! Fais pas attention à Ju (les rédacteurs de pErDUSA sont méchants, c’est écrit dans la présentation du site), il est en manque de Lost et cherche quelqu’un sur qui taper. En plus, c’était drôle.

    Bref, la prochaine fois prend la peine de citer tes sources ou de mettre un lien sur le site d’origine de ton information. En plus, pour cette fois, Vicleviking avait déjà évoqué l’interview de Kyle Chandler à NPR deux posts au dessus du tien. Même l’article d’Allocine renvoie au site donné par Vicleviking (TV Worth Watching).

    J’espère que cela ne te découragera pas de continuer à participer sur ce forum.

  • Quand je lisais les posts précédents j’avais remarqué que tu faisais parti des gentils khamsa ;) ! Ben en fait j’avais vu le post qui était marqué au 29 mars et l’article sur allociné était posté le 31 donc je pensais pas que c’était le même !Enfin bref le principal c’est que FNL ait une saison 3 j’espère juste qu’elle sera meilleure par rapport à la saison 2
  • En espérant que ce n’est pas un poisson d’avril, ;-)
    C’est une excellente nouvelle !!

    Ce sera donc la dernière année de Matt et Landry au collège aussi ?
    Et Tyra et Tim aussi je suppose ?

    Mes voeux pour cette future saison ; plus jamais de meurtre, plus de Guatemalteque,
    mais surtout plus (le contraire de moins) de scènes entre Landry et Matt, des nouvelles de Papa Saracen d’Irak, des nouvelles des mamans Saracen et Riggins... et bien d’autres choses !

    Si Smash est à l’université, ça va faire encore plus de personnages ? Ils avaient déjà du mal cette année si bien que Street voire parfois Matt étaient franchement négligés...

    Ca fait quand même franchement plaisir...

  • T’as oublié moins de religion Anne ;)
  • Ben non pas vraiment en fait !
    Ca ne m’a pas tant perturbée que cela... c’est plus Lyla que la religion qui m’a un peu agacée (mais elle m’agaçait déjà un peu avant...) ;-))

    Sinon, je n’ai aucun problème à ce qu’on voit un baptème, un enterrement ou les personnages à une simple messe du dimanche...

    Ce qui m’a essentiellement manqué cette saison, c’est le foot et les scènes entre les personnages principaux tels que Matt et Landry, Tim et Street... tout le monde était dans son petit monde et j’espère qu’il y aura plus de connexions durant la saison 3.

  • Le baptême et la messe faite par le pasteur qui était le péèe de Wave (tu sais le fantôme qui a disparu par magie dans la saison 2) ne me dérangeait pas plus que ça ! moi c’est plutôt les messes auxquelles assiste Lyla qui me dérange !Les gens me font un peu flippé quand je les vois dans l’église !Comme disait Tim (je crois) ça ressemble plus à une secte que autre chose !

    Le discours du coach un peu préhistorique sur les femmes me titille aussi !

    Mais bon les reste sur le manque de foot et de relation entre les joueurs de l’équipe est frustrante car c’est ce qui animait vraiment la saison 1 ! Dans les vestiaires, la préparation du match l’après match, etc...

  • C’est officiel, NBC vient de renouveler FNL (youpi !), Medium (super !), 30 Rock (magnifique !) et...Lipstick Jungle (WTF ?).

    FNL ne change pas de case horaire, sur NBC. La série est coincée le vendredi soir entre Deal or No Deal et Life. NBC compte la diffuser à partir de janvier 2009. Je suppose donc qu’il s’agira d’une seconde diffusion. Une chaîne du câble programmera, sans doute, FNL dès la rentrée 2008. D’ailleurs, un blog du LA Times semble aller dans ce sens et annonce une saison de seulement 13 épisodes (lien).

    Autre bonne nouvelle, c’est le spinoff de The Office (et non KNIGHT RIDER) qui bénéficiera de la case post-Super Bowl.

    Les liens : ici, ici ou ici.

    Le baptême et la messe faite par le pasteur qui était le père de Wave ne me dérangeait pas plus que ça ! Le discours du coach un peu préhistorique sur les femmes me titille aussi !

    Moi, j’aime bien le coté religieux et conservateur de FNL. Dillon c’est pas Elmo (Men In Trees). Il y a du racisme, du sexisme, de la bigoterie, de la pauvreté, du chômage et des paysages affreux. J’aime l’utopie de Men In Trees (ABC a intérêt à la renouveler !!) mais j’aime aussi le réalisme dérangeant de Friday Night Lights. Donc, que Eric continue à faire son macho, que Tami ne cesse jamais de surveiller les fréquentations et les lectures de sa fille et que les joueurs continuent à prier avant chaque match. L’Amérique profonde c’est aussi une Amérique attachée à ses traditions (débiles ?) et à ses valeurs morales contestables.

    moi c’est plutôt les messes auxquelles assiste Lyla qui me dérange !Les gens me font un peu flippé quand je les vois dans l’église !Comme disait Tim (je crois) ça ressemble plus à une secte que autre chose !

    Je te conseille de regarder les reportages sur les mouvements évangéliques du sud des USA. Le dernier que j’ai du voir remonte à il y a deux ou trois semaines, dans ARTE Reportage. C’est assez effrayant de voir leurs rassemblements et c’est bien plus impressionnant que les messes de Lyla.

    Mais bon les reste sur le manque de foot et de relation entre les joueurs de l’équipe est frustrante car c’est ce qui animait vraiment la saison 1 ! Dans les vestiaires, la préparation du match l’après match, etc...

    Il me semble avoir lu une interview de Katims qui disait qu’à la base il avait prévu de concentrer les intrigues sur la saison des Panthers en fin de saison. Problème, y a eu la grève. Je crois aussi qu’il a dit qu’il a entendu les fans et qu’il y aura plus de foot l’an prochain. Mais bon, s’il fallait croire tous les créateurs qui disent avoir entendu les fans...

  • Pour avoir passé un été en Californie l’an dernier et experimenté à deux reprises (oui j’en ai redemandé) le type de messe de Lyla, je dois dire que cette rencontre m’a pas mal débarassé de mes préjugés. D’accord c’était un peu étrange que les gens se secouent comme s’ils étaient électrocutés, que certains s’écroulent du fait de la "trop grande présence de Dieu" ou qu’une vieille les pousse en arrière pour qu’ils gesticulent sur le sol, en pleine communion avec le monsieur d’en haut. Oui, j’ai été révolté par le discours anti-musulman et homophobe (qui se suivaient à trente secondes près). Mais il y avait quelque chose d’émouvant chez tous ces gens qui dansaient en symbiose, qui croyaient tous ensemble en la présence d’un être supérieur. J’aime l’objectivité que tente d’atteindre FNL par ses quelques scènes à l’Eglise. Honnêtement, j’avais l’impression de revoir ce à quoi j’avais assisté. Il s’agit de montrer une réalité et c’est ce que la série sait faire. Je suis absolument pour le fait de montrer des scènes à l’Eglise, du moment que je n’entends pas qu’un seul son de cloche. La religion est tellement importante aux Etats-Unis, pour ce que j’en ai vu, qu’une série réaliste ne peut pas passer à côté et faire comme si elle n’avait pas d’influence sur la vie des gens.
  • Je comprends ce que vous voulez dire toutes les deux mais bon ça me gênerait peut être moins si je sentais vraiment une critique derrière de la part des scénaristes et dès fois j’ai quand même du mal a l’apercevoir. Par exemple la sexualité de la maire de Dillon avait choqué le coach mais derrière personne lui a fait vraiment comprendre que c’était stupide de penser comme il le faisait (à part peut être sa femme).

    Je pense que intégrer un nouvel élève musulman pourrait être intéressant (enfin c’est peut être une idée à la ... pour vous) pour vraiment mettre en avant les visions de cette Amérique profonde.

    • Je comprends ce que vous voulez dire toutes les deux mais bon ça me gênerait peut être moins si je sentais vraiment une critique derrière de la part des scénaristes et dès fois j’ai quand même du mal a l’apercevoir. Par exemple la sexualité de la maire de Dillon avait choqué le coach mais derrière personne lui a fait vraiment comprendre que c’était stupide de penser comme il le faisait (à part peut être sa femme).

      Sauf que la critique n’est pas le but de la série, juste de montrer quelque chose le plus proche possible de la réalité, qu’on l’apprécie ou pas. Il n’y a pas besoin que des personnages viennent faire la morale aux autres, comme dans beaucoup de séries qui elles ont pour but de faire passer des messages. Dans la vie, on entend malheureusement tout le temps des gens dirent pas mal de conneries, mais on ne voit pas quelqu’un venir systématiquement leur expliquer ce qu’est la tolérance et pourquoi leur mode de pensée est complètement con (ça marche que sur le net, ça^^).

      Je pense que intégrer un nouvel élève musulman pourrait être intéressant (enfin c’est peut être une idée à la ... pour vous) pour vraiment mettre en avant les visions de cette Amérique profonde

      Et avoir des histoires de haine religieuse ou des messages de tolérances toutes les deux minutes ? Cela me paraîtrait lourd, on a déjà un univers assez riche. En attendant, t’as toujours Aliens In America qui en parle un peu sur le mode comique... et se ramasse de sales audiences. Ouais, pas sûr que ce soit une bonne idée pour que l’amérique se mette à regarder FNL.

  • Je comprends ce que vous voulez dire toutes les deux mais bon ça me gênerait peut être moins si je sentais vraiment une critique derrière de la part des scénaristes et dès fois j’ai quand même du mal a l’apercevoir. Par exemple la sexualité de la maire de Dillon avait choqué le coach mais derrière personne lui a fait vraiment comprendre que c’était stupide de penser comme il le faisait (à part peut être sa femme).

    C’est toujours très périlleux pour un drama d’aborder les thèmes de la discrimination et de diffuser un message de tolérance. Le risque est de tomber dans la leçon de morale façon "7 à la Maison", de rendre des personnages antipathiques, de les juger ou encore de laisser croire qu’il suffit d’un bon discours pour que les racistes oublient leurs préjugés et changent de mentalité.

    Tu évoques l’épisode avec le maire de Dillon. J’avais bien aimé le traitement de l’intrigue. Le coach Taylor avait eu une réaction réaliste pour un gars d’un certain âge et du fin fond des USA. La critique est venue de façon subtile, par la voie de Tami qui s’est contenté de dire que l’homosexualité du maire ne les regardait pas. Pas besoin d’en faire plus. Le téléspectateur est intelligent et tire tout seul, comme un grand, les conclusions de cette intrigue. FNL ne se pose pas en donneuse de leçon et c’est tant mieux !

    Même chose pour l’intrigue religieuse de Lyla. Au nom de quoi la série va-t-elle se permettre de critiquer les croyances de quelqu’un et la façon qu’il a de les exprimer ? Pourquoi dire que chanter, se mettre en transe et prier dix fois par jour n’est pas une bonne façon de vivre sa spiritualité ? FNL se contente de nous montrer des scènes de prières au resto, des scènes de prêche à l’église...Que chacun en tire les conséquences. Chacun est libre de penser que cette façon de croire en Dieu est dangereuse. Les discours de Lyla comme quoi le sexe c’est mauvais et c’est une dépravation est facilement contrebalancé par tout l’amour qui se dégage de la relation Tyra/Landry et la tendresse de la première fois de Matt. Le miracle de la paternité de Jason s’oppose aux injustices de la vie subies par Smash, Matt ou encore Santiago. Le discours sur l’immoralité de la jeunesse et son amour du risque est contredit par la décision de Julie de ne pas couché avec Matt ou encore par celle de Landry de se dénoncer à la police. C’est cette diversité des discours, cette diversité des opinions et des situations qui me fait aimer la série. C’est sans doute pour cette raison que beaucoup d’entre nous avons été déçus par la traitement caricatural réservé au coach ayant remplacé Eric en début de saison 2 ou encore par la leçon de morale "Faut éviter les mauvaises fréquentations" de l’intrigue de Santiago qui retrouve ses anciens potes.

    C’est pour cela qu’au lieu d’interdire ou diaboliser les personnages tenant des propos homophobes, sexistes (Eric) ou racistes (l’assistant du coach), je préfère qu’on nous les montre sans tomber dans la caricature et qu’on fasse confiance au téléspectateur pour se faire sa propre leçon de morale dans sa tête.

    Je pense que intégrer un nouvel élève musulman pourrait être intéressant

    Je suis partisan d’une diversité systématique dans les séries fantastiques, les soaps, les comédies ou encore les dramas pas très réalistes comme Men In Trees, Grey’s Anatomy, One Tree Hill... En revanche, pour les séries réalistes, je préfère qu’on tienne compte de la réalité du terrain. The Wire se déroule à Baltimore, ville à majorité black (comme Washington, La Nouvelle-Orléans,...) et respecte tout à fait cette règle puisque une grande partie de son casting est composé d’acteurs noirs. Le futur spinoff de Beverly Hills aura un ou plusieurs personnages d’origine moyen-orientale. La décision de Rob Thomas est tout à fait logique puisque 30% de la population de Bevely Hills est originaire du Moyen-Orient (d’Iran plus particulièrement). Le maire de la ville est d’origine iranienne.

    FNL se déroule au Texas. L’État comporte une importante minorité noire (12%) mais aussi et surtout une forte minorité hispanique (35.7%). On peut donc dire que FNL a mis du temps à intégrer des personnages hispaniques. Il aura fallu attendre la saison 2 pour voir débarquer Santiago et Carlotta. En revanche, il n’y a que 400.000 musulmans au Texas, principalement dans les grandes villes (Huston, Dallas...). C’est moins de 2% de la population.

    S’il fallait introduire une nouvelle minorité dans la série, je serai partisan pour que cela soit un(e) gay. L’homosexualité a été ignorée par la série et c’est un peu dommage. J’aurais voulu une intrigue autour du maire ou d’un(e) adolescent(e) qui découvre son homosexualité. Peut-être qu’avec Smash à l’université, on aura droit à un peu plus de diversité.

    • S’il fallait introduire une nouvelle minorité dans la série, je serai partisan pour que cela soit un(e) gay

      Doucement, Santiago "Lila is JUST a friend" Herrera vient juste d’arriver, laisse lui le temps de faire son coming-out tranquillement.

    • Lol c’est vrai qu’il a un peu une dégaine de gay avec sa tête de chien battu à faire pâlir Riggins !Pour une série réaliste comme vous me l’avez répété si bien ;) je trouve qu’il ne fait pas réellement gangster pour un mec qui est allé plusieurs fois en centre de détention.

      Oui j’ai bien compris maintenant que la série a confiance en son téléspectateur pour se faire ses propres idées, mais comme aujourd’hui dans notre cher monde les gens sont tellement intelligents......

    • Lol

      Strike 1 : langage affilié SMS

      c’est vrai qu’il a un peu une dégaine de gay avec sa tête de chien battu à faire pâlir Riggins !

      Strike 2 : réflexion un poil homophobe (c’est quoi exactement, "une dégaine de gay" ?)

      Je le dis le plus gentiment possible, attention Bastos ! Et encore, je ne prends pas en compte l’absence de ponctuation des premiers messages et l’utilisation quelque peu bancale du Français de façon générale. Merci de penser à te relire.

  • Effectivement, parler de dégaine de gay c’est borderline. En revanche je trouve qu’il marche comme un débile !! Quand il va chez wivel pour récupérer la montre de budy, sa démarche de mec en pétard est vraiment ridicule !! Ne voyez pas la un quelconque propos débilophobe, mais bon, c’est quand même pas des gens comme nous...
  • 3.01

    C’est moi ou dans le previously, et dans les premières scènes hyper récapitulatives, il n’est nulle part question de Landry Clark, amoureux transi de la belle Tyra, et de son penchant attendrissant pour les MEURTRES ET DISSIMULATIONS DE CADAVRE ?

    Hmmm...
    Voilà, l’aigreur est passée, l’épisode était vachement bien !

    J’ai adoré les scènes du Coach avec Smash (et c’est quand même très con qu’il ne soit plus régulier), j’ai adoré l’intrigue de Tyra et le fait que Tami soit toujours sa mentor/protectrice/conseillère/superhéroïne. L’intrigue avec le nouveau QB1 potentiel est prometteuse, le plan avec Matt sur la touche et sa grand-mère en fond sur les gradins est assez puissant.

    Non, vraiment ça fout des frissons.

    • 3.01

      Ouep, le meilleur concerne vraiment toute la relation entre Smash et le Coach. Cela m’a d’ailleurs encore plus pris au coeur lorsqu’on voit la photo de Jason (dont l’histoire a intérêt à être bien bouclée sous peu).

      A part le rappel très désagréable du fait que Landry fait partie de l’équipe, l’épisode faisait plaisir. Plus de meurtres, plus de crazy christians ni de troll de Gilmore Girls... J’ai l’impression de revenir doucement à un état normal.

      J’étais un peu déçue au début de voir Tami en proviseur, elle qui a un tel besoin de se sentir proche des élèves pour mieux les aider, donc j’ai été rassurée que cela soit justement mis sur le tapis. Sa nouvelle situation lui correspond finalement bien et amène des choses très intéressantes. Puis ça va chauffer avec Buddy. L’arrivée du Jason 2.0 peut être pas mal aussi, si on ne nous ressort pas la même chose qu’en saison 1 avec le réfugié de Katrina. L’ajout de D.W. Moffet me plaît, en tout cas.

      Par contre j’ai des trous de mémoire ou le boytoy de Buddy a été kelleyrisé ?

    • 3x01

      D’habitude je suis plutôt rancunier, mais là c’était absolument génial. Katims s’est débarrassé de tout ce qui a ruiné la saison 2, et tout de suite la formule remarche. Rien n’a perdu de sa saveur. Le prégénérique était parfait, les musiques sont toujours aussi prenantes, chacun est à sa place, tout roule, c’est beau.

      L’arrivée du Jason 2.0 peut être pas mal aussi, si on ne nous ressort pas la même chose qu’en saison 1 avec le réfugié de Katrina. L’ajout de D.W. Moffet me plaît, en tout cas.

      Je ne pense pas qu’il y ait de risques d’avoir le droit à la même chose. Déjà parce que Saracen n’a plus le même statut dans l’équipe, et ensuite parce que le côté présomptueux de Tatum ne se retrouve pas du tout dans le petit nouveau. Et son père est un nouveau Buddy, en beaucoup plus malin et fourbe. J’ai de toute façon de nouveau complètement confiance en la série, et avec un départ comme ça, j’ai vraiment très très envie de voir la suite !

      Quelques reproches, tout de même ? Pas grand chose, mais Tim qui passe en attaque (je crois que c’est nouveau, je ne me souviens vraiment plus de la saison 2 !) alors que c’était le seul joueur de la défense qu’on suivait pendant les matches, c’est un peu dommage. Sinon, on voit encore beaucoup trop Gracie. Et 50 minutes c’est beaucoup trop court.

      J’ai dit que c’était génial ?

  • Ah que ça fait plaisir de retrouver FNL, comme il a été précédemment on retourne aux bases de la série et ça fait vachement du bien.
    Je me suis surprise à avoir un sourire béat pendant tout l’épisode.

    Je sens que l’intrigue de smash va être particulièrement triste....
    et puis la conférence de presse était super drôle, le coach pratiquant une langue de bois assez énorme.
    Comme à son habitude on retrouve Tim torse nu !!!! donc on retourne à l’essentiel et ça fait plaisir.
    Sinon la soeur de tyra et et le fréro de Tim se sont bien trouvés !!!!

    vivement la suite, j’espère que les audiences auront été bonnes !!!

  • C’était effectivement que du bon pour moi, l’épisode m’a fait réaliser à quel point la série m’avait manquée, j’ai passé quasiment tout le temps à sourire niaisement ^^ Le générique est toujours aussi puissant !

    Les scénaristes ont dû bien prendre conscience des boulettes de la saison 2 car je n’ai rien trouvé à redire, j’ai absolument tout aimé : Smash d’abord, bien sûr (j’espère qu’on le reverra régulièrement), Tyra, Tim et Lyla, Tami qui galère en nouvelle principale, et le nouveau QB et son papa entreprenant peut créer des bonnes tensions. La scène avec Saracen à la fin du match était bien poignante, il était un peu en retrait dans cet épisode donc j’attend qu’on développe un peu plus la semaine prochaine. Je me demande aussi ce que devient Jason, j’ai un peu peur vu ce qui l’attendait à la fin de la saison 2...

    Bref très contente :)

  • Bonjour à tous,

    Je n’ai pas grand chose à rajouter, tout à été dit dans vos différents sujets et dans la critique de tomemoria.
    Comme vous, je suis vraiment heureux de retrouver FNL, surtout après les risques d’annulation que nous avons dû supporter il y a quelques mois et ce même si j’étais moi aussi déçu par la saison 2.

    J’émettrais néanmoins un seul bémol dans le grand nettoyage qui a été fait en ce début de saison. La ou la plupart des disparus ne manquent pas réellement (Santiago peut être), je n’apprécie pas un Pilote de Saison 3 sans Jason. Mine de rien, même si tous les personnages de la série ont leur importance, Jason reste un peu un pilier de FNL pour moi.
    Alors soit, il va disparaitre durant la saison, ou du moins, c’est fort probable, mais ils auraient pu au moins le faire apparaitre, ne serait-ce que quelques secondes dans cet épisode.

    Bref, quoiqu’il en soit, c’est un pur plaisir de retrouver FNL et surtout le FNL qu’on a connu durant la saison 1 !

  • Comme ce fut dit precedemment, on s’éloigne des rives de la saison 2 de maniere fort agréable, et retrouve le bien etre de la saison 1. Cet épisode est tout simplement bon, ca nous met au parfum pour une suite que j’espere de bonne qualité. On notera l’apparition de nouveau personnage.Tout d’abord le nouveau Quaterback JD "Gun" ; son père, bien plus fourbe et malin que ce pur texan de Buddy, peut comparer son fils au futur Street, moi il me fait penser a saraccen lors de son premier match, on decouvre un nouveau talent ce qui va nous valoir un beau duel entre les deux meme si saraccen à mon avis aura un dur début de saison. En ce qui concerne coach taylor, c’est la meme chose, l’image du pere protecteur et de l’entraineur aidant son équipe.

    Tout ca ne laisse envisager que du bon.

    ps : sur le forum d ela saison 2 j’avais envisagé que Tim et la folle de Jesus se remettraient ensemble, j’avais vu juste... une dizaine d’épisode en plus.

  • 3.01 - 3.02

    J’avais trouvé le season premiere très solide. Mais le 2ème épisode m’a totalement enthousiasmé. Je ne fais pas partie de ceux qui ont détesté la saison 2 mais je suis bien content de voir FNL renouer avec des intrigues moins glauques que l’histoire du meurtre.

    Les couples de la série sont tous plus mignons les uns que les autres. J’ai adoré la scène de Lyla et Tim dans le magasin ou encore les deux scènes Matt/Julie du second épisode. Même la demande en mariage du frère de Tim était assez touchante.

    J’apprécie aussi le fait que FNL prenne le temps de dire au revoir au personnage de Smash. Son intrigue est vraiment bien écrite. J’étais ému quand il a annoncé au coach qu’il arrêtait le football et qu’il allait dorénavant essayer d’être Brian plutôt que Smash.

    Bien sûr, tout bon épisode de FNL possède des scènes fortes, criantes de réalisme. Il y a eu la scène où Tyra a envoyé ch... Tami. Dans une autre série, les acteurs auraient rendu cette scène beaucoup trop over-ze-top. Mais dans FNL, c’était tout simplement savoureux.

    Tami d’ailleurs s’en sort très bien. Elle aurait pu devenir une vraie tête-à-claque avec son nouveau job. Mais pas du tout, elle est toujours aussi sympathique même quand elle hurle sur sa fille ou fait la morale à Tyra.

    Sinon quelques points négatifs :

    *Même si je sais très bien que Scott Porter est prévu pour 4 épisodes, j’aurais bien voulu entendre des nouvelles de Jason au détour d’une conversation entre des personnages. Même remarque pour Santiago.

    *J’espère qu’on arrêtera assez rapidement de nous présenter les McCoy comme de méchants notables prêts à tout pour écarter le pauvre Saracen du poste de QB. Il ne faut pas que l’erreur de l’an dernier (la présentation manichéenne du coach ayant remplacé Eric Taylor) se répète.

    Je n’ai jamais vu une série s’excuser aussi bien de la qualité médiocre de sa saison passée.

    C’est aussi quelque chose que je n’aime pas trop. La saison 2 a apporté son lot de bonnes et de mauvaises choses. J’aurais préféré que Katims en tienne compte plutôt que de la renier. J’ai l’impression d’être revenu deux ans en arrière : Tyra est une slut, le coach Taylor est attendu au tournant, Landry est un figurant et ne donne pas l’impression d’avoir tué un homme quelques mois plus tôt, Matt est de nouveau un pauvre gosse qui doit faire ses preuves pour garder sa place dans l’équipe, Julie est revenue à la période pré-crise d’adolescence et enfin, Lyla couche avec Tim sans le moindre remord vis à vis de Dieu et de Jason.

    J’attends de voir mais je serai très déçu si les évolutions apportées par la saison 2 soient complètement évacuées.

    • 3.02

      C’est aussi quelque chose que je n’aime pas trop. La saison 2 a apporté son lot de bonnes et de mauvaises choses. J’aurais préféré que Katims en tienne compte plutôt que de la renier

      Oui, comme toi, je trouve que renier la saison 2 est un peu facile. Mais ça ne m’empêche pas d’apprécier les efforts faits pour revenir aux sources de la série.

      Tyra est une slut

      J’aime pas trop qu’on dise ça des femmes en général. Après tout, on ne dit pas que Tim est une slut. Et pourtant, il le mériterait peut-être.

      Landry est un figurant et ne donne pas l’impression d’avoir tué un homme quelques mois plus tôt

      Il a toujours plus d’importance que Jason. Quant au meurtre, cette histoire était déjà derrière lui vers la fin de la saison et, surtout, c’est vraiment l’intrigue qui mérite d’être occultée. Pour toujours !

      Julie est revenue à la période pré-crise d’adolescence

      Au contraire, elle devient plus adulte en cherchant un travail par elle-même et en se débrouillant (certes sournoisement) pour obtenir ce qu’elle veut sans râler tout le temps.

      Lyla couche avec Tim sans le moindre remord vis à vis de Dieu et de Jason.

      Entièrement d’accord pour Dieu. C’était la seule intrigue du personnage l’an dernier. Si elle s’est éloigné de Jésus, ça serait sympa de nous expliquer pourquoi et comment. Pour Jason, euh, il va fonder une famille avec une fille qu’il connait à peine. Lyla m’emmerderait à se sentir coupable vis-à-vis de quelqu’un qu’on ne voit jamais.

    • 302

      Encore meilleur que le season premiere. Le petit arrière goût de la saison 2 a totalement disparu cette fois pour moi, j’ai retrouvée mon ambiance préférée. J’en ai même eu les larmes aux yeux durant quelques scènes tellement j’étais prise dedans. Et je me remets à aimer Matt, incroyable.
      Faire apparaître sa mère est d’ailleurs la meilleure des idées.

      Non vraiment j’ai rien à dire à part que je suis heureuse comme tout et qu’il faut que cela continue comme ça. Merci DirecTV.

      Tyra est une slut

      J’aime pas trop qu’on dise ça des femmes en général. Après tout, on ne dit pas que Tim est une slut. Et pourtant, il le mériterait peut-être.

      Non seulement c’est une sale insulte sexiste, mais je ne vois pas trop ce qui pourrait faire dire ça d’un spectateur (les autres élèves, oui, parce qu’ils sont cons et ne la connaissent pas comme nous). On ne l’a pas vue avec un seul mec dans ces deux épisodes. A moins qu’être sexy (elle n’y peut rien) et miser sur une image sexuée et stupide pour gagner une élection soient des critères.
      Pour le reste je suis d’accord avec les réponses de notre newbie.

  • 3.01 - 3.02

    J’étais bien contente de retrouver un Dillon quelque peu lobotomisé la semaine dernière, ça sentait bon le retour aux sources, mais cette semaine, on ne peut pas dire que la série prenne un nouveau départ. Au contraire c’est l’heure du retour en arrière, on sent bien le déni de la saison 2.

    La saison 2 a apporté son lot de bonnes et de mauvaises choses. J’aurais préféré que Katims en tienne compte plutôt que de la renier. J’ai l’impression d’être revenu deux ans en arrière

    Exactement, l’évolution des persos est passée à la poubelle et ils se retrouvent finalement à faire du sur-place dans des intrigues assez prévisibles et je dirais presque, faciles : que ce soit Buddy qui menace Tim et la réaction de celui-ci, les Panthers qui viennent aider Smash, Matt qui rencontre Julie et lui raconte spontanément sa vie...
    Même la réhabilitation de Smash m’ennuie (bon c’est vrai que j’avais de toute façon complètement oublié qu’il s’était blessé) et heureusement qu’on a un Kyle Chandler pour donner un peu de saveur à cette storyline.

    *J’espère qu’on arrêtera assez rapidement de nous présenter les McCoy comme de méchants notables prêts à tout pour écarter le pauvre Saracen du poste de QB.

    J’aime bien les McCoy, le nouveau QB, d’après ce qu’on en a vu, a plutôt l’air d’un bon petit gars avec un talent extraordinaire qui veut montrer ce dont il est capable. Et l’insistance du père est légitime de ce point de vue là, même si sa façon de faire te donne envie de lui mettre des claques. J’espère que pour cette intrigue, l’épisode de la saison 2 où le Coach fou Saracen sous la douche sous ses "What’s wrong with me ?" ne sera pas oublié...

    • l’évolution des persos est passée à la poubelle et ils se retrouvent finalement à faire du sur-place

      Je vais regretter d’argumenter ici parce que je vais forcément me répéter dans ma review, mais je ne trouve pas que les personnages fassent du sur-place. Ils ont tous grandis et commencent tous à s’assumer. Pour l’instant, le seul personnage que je ne reconnais pas, c’est Buddy. Où est passé le grand Buddy Garity de cette saison 2 ?
      Le reste des personnages me semble conforme à ce qu’ils étaient. Après, que ce soit prévisible, c’est possible. J’en parlerais ailleurs. ^^

      bon c’est vrai que j’avais de toute façon complètement oublié qu’il s’était blessé

      On l’a quand même appris la semaine dernière. Comment fais-tu pour t’ennuyer devant une série si tu oublies ce qui s’est passé dans l’épisode précédent ? ;)

      J’espère que pour cette intrigue, l’épisode de la saison 2 où le Coach fou Saracen sous la douche sous ses « What’s wrong with me ? » ne sera pas oublié...

      Je ne vois pas du tout le rapport. Tu peux développer ?

  • Non seulement c’est une sale insulte sexiste, mais je ne vois pas trop ce qui pourrait faire dire ça d’un spectateur (les autres élèves, oui, parce qu’ils sont cons et ne la connaissent pas comme nous).

    Très bien dit mais je ne me sens pas du tout concerné. C’est assez curieux de voir à quel point on a mal interprété mes propos. Bien sûr que je n’étais pas en train d’émettre un jugement en disant que Tyra est une slut. Je disais que la personnage nous avait été présenté comme étant "la fille facile" du village lors des premiers épisodes de la série. Puis, le personnage s’est révélé et s’est enrichi par la suite. Mais comme beaucoup de choses dans ce début de saison 3, FNL a remonté le temps et nous présente Tyra à nouveau comme étant la "slut" du lycée.

    • FNL a remonté le temps et nous présente Tyra à nouveau comme étant la « slut » du lycée

      Je ne suis pas d’accord. Et je dirai pourquoi.

      C’est assez curieux de voir à quel point on a mal interprété mes propos.

      Moi j’ai dit que je n’aimais qu’on dise ça des femmes. Jusque-là, je ne pense pas m’être trompé dans mon interprétation. Blackie, elle, t’a dit que c’était une sale insulte sexiste et qu’elle ne comprenait pas comment tu en étais arrivé(e) à cette conclusion.
      Pour elle comme pour moi, Tyra n’est ni une slut et encore moins présentée comme telle. Je me doutais bien que tu n’avais pas osé émettre un tel jugement sur le personnage et que tu parlais de la manière dont il était abordé cette année.
      Mais le problème, c’est qu’en écrivant un commentaire simpliste, en déclarant "Tyra est une slut", plutôt que : "on simplifie le personnage de Tyra en le réduisant honteusement à la slut du lycée (je crois que c’est ce que tu as voulu dire)", tu engendres une polémique peut-être pas totalement injustifiée puisqu’elle débouche sur cette conclusion : faites attention à ce que vous voulez dire et au sens que vous voulez donner à vos propos...

      Décidément, quoiqu’il arrive, FNL suscite des explications intéressantes.

    • Je disais que la personnage nous avait été présenté comme étant « la fille facile » du village lors des premiers épisodes de la série. Puis, le personnage s’est révélé et s’est enrichi par la suite. Mais comme beaucoup de choses dans ce début de saison 3, FNL a remonté le temps et nous présente Tyra à nouveau comme étant la « slut » du lycée.

      J’ai très bien compris que ce n’était pas un jugement de ta part. Mais en plus d’expliquer d’abord pourquoi j’aime pas trop ce mot (parce que j’ai toujours des raisons de râler), comme je te disais je ne vois absolument en quoi elle pourrait être retournée à cette image de la première saison. Parce que sur deux épisodes bien entiers ces petites scènes de sa campagne montrent plus une fille belle et idiote que la fille facile du coin pour moi. Et c’est vraiment que deux scènes. Je ne vois pas de vieille image de la première saison dans cette nouvelle et si on prend seulement le point de vue des lycéens, on ne doit revenir à rien du tout parce que sa réputation n’a sûrement jamais bougé d’un poil.

  • 3x03

    Décidemment, je suis content de faire confiance à la série. Mes critiques de la semaine dernière s’envole, ici tout était encore parfait.

    Je suis vraiment fan de l’intrigue des McCoy, elle prend de plus en plus de profondeur. Le petit J.D. se confirme effectivement n’être qu’un gamin de 15 ans qui veut simplement jouer au football et qui souffre des chamailleries des "grands". Il serait peut-être bon maintenant de lui donner un peu le devant de la scène, pas spécialement sur le terrain, mais par le biais d’une intrigue au lycée.
    Chez les adultes, c’est toujours aussi crispant. On commence à trouver le coach Taylor un peu borné quand il refuse de faire jouer JD alors que Saracen est un peu mal en point, mais on peut le comprendre étant donné que la ville se ligue contre lui. Ce qui était vraiment bon, notamment dans la scène autour du billard, c’est que le père McCoy ne prononce presque pas un mot, ses amis se chargent de la propagande pour lui. C’était fin, réaliste, et très bien interprété de tous les côtés.

    Smash est toujours bien présent, même s’il n’a aucune scène avec le coach ou avec ses anciens camarades. La storyline avec sa mère était touchante, l’offre d’emploi surprise était une bonne idée, et renforce l’idée que Smash a vraiment un coeur et un cerveau, pas seulement tournés vers le football.

    Le reste était bon aussi. Riggins (que je n’aime toujours pas voir dans l’équipe d’attaque, mais je m’y ferai) et son frère, Riggins et Lyla. Je ne vois pas bien où le couple va mener, et on sent que le duo fraternel court à la catastrophe, mais c’est toujours bien écrit et joué.

    Du tout bon, le match était plutôt sobre, complètement tourné vers Matt (mais les spectateurs l’étaient eux aussi), et la fin est satisfaisante pour l’histoire. La scène où Eric arrache les pancartes sur son gazon est très réussie. Et c’était "plaisant" qu’il retrouve des réactions machistes, comme à la belle époque. "I miss the coach’s wife...".

    J’aime cette série !

    • 3.03

      Ouaip. C’était très chouette.
      Et finir sur un petit montage sur fond de Death Cab, pour changer, c’était une bonne idée.

      J’adore l’intrigue de Smash, même si il est effectivement un peu exclu du reste et qu’il ne lui reste plus qu’un épisode. J’espère que la conclusion offerte à Jason, si elle arrive un jour, sera aussi réussie.

      Quand au match, c’était le meilleur auquel on ait eu le droit depuis longtemps. La conclusion était prévisible, il faut bien créer des tensions, mais c’était agréable de voir Matt aussi déterminé. Et effectivement, la conclusion avec les pancartes sur le gazon fout les boules, et est parfaite.

    • Une petite précision

      Riggins (que je n’aime toujours pas voir dans l’équipe d’attaque, mais je m’y ferai) et son frère, Riggins et Lyla.

      Riggins a toujours été dans l’équipe d’attaque.
      Il jouait jusque là full back, qui est en gros un tail back (poste de Smash et poste que Riggins occupe actuellement) un peu plus costaud, chargé entre autre de courir devant le tail back pour lui ouvrir la route en bloquant les défenseurs adverses.
      Les 2 postes ont pas mal de points communs, et il est fréquent de voir un full back porter le ballon durant un match. Ca reste donc tout à fait cohérent d’avoir changé Riggins de son ancien à son nouveau poste.

      C’est vrai qu’on a un peu de mal à comprendre Eric. Pour sa défense, je dirai d’abord que c’est cohérent avec le personnage. Coach Taylor est quelqu’un de borné et de très fier. Le fait que toute la ville se soit liguée contre lui pour titulariser JD n’a fait que le radicaliser davantage. Il a envie de montrer que c’est lui le coach et que personne ne lui dicte ce qu’il doit faire.

      Ensuite, je pense que Eric a développé une sorte de relation privilégiée avec Matt. Il le connait et connait les difficultés que ce jeune a dû affronter pour arriver là où il en est. Le détitulariser serait une sorte de trahison, la seconde après l’avoir abandonné pour entraîner TMU. Et on voit bien à quel point c’est dur pour Eric d’abandonner ses joueurs ( C’est ce qui le pousse à être derrière Smash).

      Enfin, je crois qu’il existe chez les entraineurs une sorte de syndrôme du « talent découvert ». Dès qu’un coach fait découvrir à tout le monde un nouveau talent, il a dû mal ensuite à admettre le fait de s’en séparer. Ce serait comme une défaite personnelle pour lui.

      Pour connaitre assez bien le football américain, je pense tout simplement que Coach T a fait un choix sportif.

      Premièrement, les Panthers avant le match étaient 2-0, il n’y a donc aucune raison objective de changer une recette qui marche. La vraie remise en question devrait avoir lieu dans le prochain épisode.

      Deuxièmement, il est très rare de voir un freshman (1ere année) jouer titulaire, même si c’est un joyaux, quand l’école dispose d’un QB expérimenté et performant (même s’il n’est pas un joyaux).

      Troisièmement, comme tu le dis, il y a l’affectif. Les entraineurs adorent "façonner" leur QB. Coach T se tiendra à Matt tant qu’il ne verra pas de raison sportive de l’écarter.

      En espérant vous avoir apporté un éclairage, certes futile, mais qui pourra en interesser certains.

    • En espérant vous avoir apporté un éclairage, certes futile, mais qui pourra en interesser certains

      Je ne m’en suis pas servi dans ma review mais j’apprécie ce genre de commentaire car s’il y a bien une lacune que j’ai, c’est celle là. Les règles et coutumes du Football Américain demeurent assez confuses pour moi. Tu m’aurais été bien utile l’an dernier pour comprendre pourquoi Landry était devenu une star alors qu’il avait juste, il me semble, été victime d’une faute.

  • 3.03

    Un excellent épisode. L’ensemble du cast était très bon mais mention spéciale à Kyle Chandler.

    Un petit reproche : la sous-utilisation du personnage de Landry. On dirait qu’on le tient pour responsable du gâchis de la saison 2 alors que Jesse Plemons y avait fait un travail incroyable.

    Pour le season premiere, FNL a réuni 400.000 téléspectateurs sur The 101. C’est vraiment pas beaucoup et ça sent l’annulation. Mais bon, DirecTV s’est félicité d’une 2ème place occupée par FNL auprès des abonnées femmes âgées de 18 à 49 ans.

    On commence à trouver le coach Taylor un peu borné quand il refuse de faire jouer JD alors que Saracen est un peu mal en point

    C’est vrai qu’on a un peu de mal à comprendre Eric. Pour sa défense, je dirai d’abord que c’est cohérent avec le personnage. Coach Taylor est quelqu’un de borné et de très fier. Le fait que toute la ville se soit liguée contre lui pour titulariser JD n’a fait que le radicaliser davantage. Il a envie de montrer que c’est lui le coach et que personne ne lui dicte ce qu’il doit faire.

    Ensuite, je pense que Eric a développé une sorte de relation privilégiée avec Matt. Il le connait et connait les difficultés que ce jeune a dû affronter pour arriver là où il en est. Le détitulariser serait une sorte de trahison, la seconde après l’avoir abandonné pour entraîner TMU. Et on voit bien à quel point c’est dur pour Eric d’abandonner ses joueurs ( C’est ce qui le pousse à être derrière Smash).

    Enfin, je crois qu’il existe chez les entraineurs une sorte de syndrôme du "talent découvert". Dès qu’un coach fait découvrir à tout le monde un nouveau talent, il a dû mal ensuite à admettre le fait de s’en séparer. Ce serait comme une défaite personnelle pour lui.

  • 303

    Du très très bon FNL.
    J’ai particulièrement aimé Matt durant cet épisode. Le personnage à énormément muri l’air de rien. Il y a deux ans, contre Harnet Mead, il avait joué avec des bleux si je ne me trompe ?

    Alors pour la raison de ne pas avoir fait jouer JD, je pense simplement que CT (et je le rejoins sur ce point) pensait qu’il ne serait simplement pas à la hauteur.
    En plus, Matt s’en tirait vraiment bien jusqu’à la fin. Il n’a pas lâché le morceau alors que les joueurs de Hartnet Mead n’arrêtaient pas de le plaquer à chaque phase. Je doute franchement qu’un tout jeune JD, aussi excellent soit-il, aurait tenu le coup comme Matt l’a fait. Ajouter à cela que le Coach ne le connaît pas comme il connaît Matt. C’aurait été encore plus risqué de l’aligner au lieu de Saracen face à une équipe pas facile. Et puis apparemment, même Jason Street n’a jamais gagné contre eux.

    Landry me manque également. Plus de scènes (avec Matt de préférence) serait la bienvenue.

    Sinon, j’aime beaucoup l’introduction des McCoy... tout en douceur l’air de rien surtout JD qui a l’air plutôt sympa comme gars. J’ai hâte d’en voir plus de son côté également.

  • Je vais pousser un cri de colère car bien trop de fois j’ai lu que JD etait presenté comme le diamant detronant le golden jubilee mais il a fait quoi dans FNL, enfin je veux dire on l’a pas vu gagner un championnat, pour ceux qui ont la mémoire courte c’est un peu grace a saraccen qu’on remporte le dernier Touch down qui a permis à la fin de la saison1 de remporter le titre. Ca m’horripile de voir des commentaires poussant notre pauvre petit saraccen sur le banc en train de boire du gatorade.
    • Je vais pousser un cri de colère car bien trop de fois j’ai lu que JD etait presenté comme le diamant detronant le golden jubilee mais il a fait quoi dans FNL, enfin je veux dire on l’a pas vu gagner un championnat, pour ceux qui ont la mémoire courte c’est un peu grace a saraccen qu’on remporte le dernier Touch down qui a permis à la fin de la saison1 de remporter le titre.

      Bah et la ponctuation alors ?

      Ca m’horripile de voir des commentaires poussant notre pauvre petit saraccen sur le banc en train de boire du gatorade.

      C’est clair ! Que celui qui a osé dire ça se montre !

  • 3.03 Lyla & Finding Nemo, c’était tordant, Lyla essaie de se rattraper, balbutie, est embarrassée, j’ai réalisé à ce moment que cela faisait deux ans que je n’avais pas vu Lyla comme le personnage qu’elle était ! Le match de fin d’épisode, so rock n’ roll, était un moment assez long, cela faisait longtemps ! Tami et Eric s’éloignent, j’ai trouvé leur « I miss the coach’ wife / principal’s husband » sobrement juste, désireux de jouer les médiateurs. La mère de Smash est parfois aussi über et déchirante que Tami, ses tirades sont toujours émouvantes et vibrantes. J’aime tous les personnages de Dillon à la folie et encore plus sous l’air entraînant des Death Cab.
  • 3X03

    Encore une fois FNL m’a fait fondre (ah cette musique de fin...), le rapprochement entre matt et Julie n’est pas du tout téléphoné mais va de source, c’est vrai que l’abandon de matt par tout Dillon à la fin du match était révoltante et à pleurer.

    J’ai du mal à savoir où les scénaristes veulent nous amener avec Tim et Lyla, des flash back promis seraient interressant pour comprendre le début de cette relation, même si le sex appeal de Tim est indiscutable !!!

    La relation des Taylors est toujours aussi juste et géniale...

    Les Mckoy sont integrés progressivement à la série pas comme l’année dernière (même si j’ai trouvé FNL bien au dessus de la plus part des séries, malgrés de gros ratages) où les nouveaux perso arrivaient avec de gros sabots. On nous a introduit progressivement le père, la mère et on attend le fils maintenant.

    Du grand FNL encore une fois !!!! et vivement la suite

  • 3.04

    Au revoir, Smash !
    Parfaite conclusion à son intrigue. Voir le Coach se battre pour lui était génial, mais pas autant que la tête de sa mère quand il lui annonce la nouvelle. J’espère vraiment que le départ de Smash ne veut pas dire qu’on ne verra plus Corrina, mais j’ai un peu peur.

    A part ça, j’adore l’intrigue de Matt et sa mère, c’est extrêmement bien traité, personne ne joue le rôle du méchant, et les réactions de tous sonnent très vraies. Au moment où il se prend une mauvaise nouvelle à cause de JD, c’est au moins une bonne chose de voir qu’il lui arrive quelque chose de bien dans sa vie personnelle. Pour une fois.

    Encore une fois, très bon début (premier tiers...) de saison.

  • 304

    J’aime de plus en plus Tamy et Eric !

    J’adore la scène où elle parle à Eric de ses problèmes, puis subitement, il s’arrête au bar, et ils ne parlent que de ses problèmes à lui. C’est rare de voir des adultes matures dans les séries. Elle met ses problèmes de côté quelques instants pour écouter son mari, et plus tard, Eric vient lui remonter le moral quand elle en a besoin. Dans Grey’s Anatomy, chacun aurait parlé sans écouter l’autre, dans Brothers and Sisters, chacun se serait plaint de la non-écoute de l’autre.

    J’ai beau réfléchir, mais je ne trouve aucune autre série où des adultes agissent vraiment comme tel.

    Sinon, Smash et Saracen, c’était vraiment bien. Et Némo et Landry c’était vraiment bien aussi ^^

  • 3.04

    Étrangement, cet épisode m’a fait pensé à la saison 2. L’intrigue de Smash était excellente et tire l’épisode vers le haut. Et pour la première fois depuis le début de la saison, Landry fait plus que de la figuration.

    Tout était très bien sauf peut-être l’intrigue du Jambo-machin. Franchement, je ne vois pas trop l’utilité de cette histoire. À la place, j’aurai préféré qu’on nous montre plus de Smash, de Jason ou alors mieux introduire l’intrigue Landry-Tyra de cette semaine.

    Et comme à la grande époque de Friday Night Lights, j’ai terminé l’épisode en larmes devant les adieux de Smash.

    J’ai beau réfléchir, mais je ne trouve aucune autre série où des adultes agissent vraiment comme tel.

    Le couple Eric/Tami me rappelle beaucoup le couple Dubois dans Medium. Adorables, réalistes et matures à la fois.

  • 3.05

    Matt est vraiment au coeur de ce début de saison, et chaque semaine je suis un peu plus impressionné par la façon dont les scénaristes maitrisent parfaitement cet arc. En dehors du fait que la réalisation était bizarrement foutue dans le prégénérique (c’est quoi cet enchainement de musiques et EitS tronqué ?), la dernière image de Matt, seul, était foutrement efficace.
    J’adore toujours l’intrigue avec sa mère, en contrepoint nécessaire à ce qui lui arrive sur le terrain, et la scène où les deux histoires se chevauchent, quand Mamie Saracen arrive alors que le coach lui annonce la nouvelle, était géniale, tous les acteurs fantastique.

    A part ça, content de revoir Jason, surtout accompagné d’un Tim à mourir de rire. A chaque fois qu’il répétait la phrase de Buddy (et qu’elle fonctionnait !), moi j’en pouvais. J’imagine que, comme Smash, Jason aura le droit à son happy end, et comme Smash, je suis heureux qu’ils prennent le temps d’apporter une conclusion à son personnage.

    Moins convaincu par l’intrigue de Tyra. Amusé (et pas énervé !) par celle de Julie. J’attends de voir.

    Du bon FNL cette saison, y’a pas à dire.

    • 3.05

      la dernière image de Matt, seul, était foutrement efficace.

      Une nouvelle fois, l’ombre de la caméra m’a empêché d’apprécier le moment. Ils pourraient faire attention, surtout pour une séquence comme celle-là !

      Pour le reste, je suis assez d’accord avec toi et je ne vais pas m’étendre beaucoup mais je suis content que la transformation de Tyra soit voulue par les scénaristes (comme ils ont l’air de le dire à travers Tami). J’attends donc de voir où ils veulent en venir avec elle.

  • 3.05

    Un épisode qui conforte mes très bonnes impressions quant à ce début de saison 3.

    J’avais un petit peu peur avant de regarder l’épisode. Je craignais que l’absence de Smash ne se fasse sentir. Mais au fur et à mesure de l’épisode, je me suis laissé emporté par les intrigues et le visionnage s’est achevé sur un très bon sentiment.

    L’intrigue de Jason était très bien foutue. Ses scènes avec Buddy ou son bébé étaient excellentes. Plus que trois épisodes avant de dire adieu à un autre pilier de Friday Night Lights.

    L’autre très bonne intrigue de l’épisode c’est celle de Saracen . Le prégénérique était époustouflant. Quant à la mère de Matt, j’ai juste envie qu’elle reste dans le coin histoire de me consoler d’avoir perdu celle de Smash. C’est pour l’instant une excellente addition à la galerie des personnages de FNL.

    Amusé (et pas énervé !) par celle de Julie.

    Moi aussi, j’ai pas mal aimé l’intrigue de Julie. C’est une bonne vieille intrigue qui met en lumière le coté ultra-protecteur des parents Taylor. Ca m’a rappelé certains épisodes de la saison 1. En plus, ça met en place une certaine continuité avec les évolutions du personnage en s2. Julie a peur de finir comme ses parents, de vivre une vie banale au fin fond de l’Amérique. Et même si sa crise d’ado est bien finie, elle continue de temps en temps à donner un bon coup de pied à la tutelle parentale (l’histoire de l’emploi du temps, celle du tatoo,...).

    Concernant Tyra, wait & see. Cependant, j’ai adoré la scène où Landry l’observe dans sa bagnole avec la musique à fond.

    2 reproches :

    * J’aurais aimé voir Lyla interragir avec Tim ou Jason dans cet épisode. Les trois sont supposés être meilleurs amis. Ils sont même allés au Mexique ensemble ! D’ailleurs, je trouve Minka Kelley assez absente depuis 2 ou 3 épisodes.

    *J’aurais bien aimé voir Julie défendre Matt auprès de son père. Cela aurait constitué un bon motif de dispute entre Julie et ses parents.

  • 3x05

    En "savourant" cet épisode que j’ai beaucoup aimé je me suis rendu compte que Jason m’avait énormément manqué !!! que ça m’a fait plaisir de le revoir avec Tim et Herc, "réunions" à mourir de rire.

    Sinon Matt toujours au centre de ce début de saison, j’adore ce personnage chacune de ses réactions sont justes, la première scène de l’épisode est particulièrement dure et quand il apprend qu’il sera maintenant le QB2 ahhhhhh c’est vraiment triste !!!! sa nouvelle relation avec sa mère est pour l’instant très belle.

    Un peu plus de Lyla et se serait parfait....

    J’aime toujours autant FNL et je suis impatiente de voir le suivant.

  • 3.06

    Encore une fois, trop bien.
    Arrivé à la moitié de l’épisode, en voyant apparaitre une jolie brunette, j’ai pas trop compris. J’avais complètement oublié que Lyla était encore dans la série. Comme quoi, elle a beau être jolie, elle ne sert plus vraiment à grand chose.

    Scène très émouvante entre le Coach et Jason, et j’ai adoré le "mais pourquoi tu as de la peinture dans les cheveux" de Tami quand il la rejoint finalement au bal. Subtile et très efficace... comme Julie qui rentre au petit matin et se regarde dans le miroir, juste parfait.

    A part ça, des scènes hilarantes avec Riggins, d’autres avec Mamie Saracen... et d’autres beaucoup plus dures, avec les mêmes personnages, quand on y rajoute J.D. et son père. Chouette intrigue, j’ai hâte de voir la suite.

    Quant à Tyra, bah c’est toujours pas terrible. Heureusement que Landry, de son côté, s’améliore un peu. Et en parlant de Landry, excellente réplique quand Matt explique qu’il est content d’être sur le banc parce que ça lui laisse plus de temps pour discuter avec lui. ^^

  • 3.06

    Un très bon épisode.

    Très belles scènes avec Jason. En particulier celle du prégénérique et celle où il a les larmes aux yeux en parlant au coach Taylor.

    Du coté de Matt et Julie, c’était très bien traité. La scènes de l’après-première fois était excellente. En quelques images on comprend ce qui s’est passé entre les deux. Je craignais qu’on nous refasse le non moins excellent 1.17. Mais cette fois, Katims a choisi de nous montrer l’après plutôt que l’avant.

    J.D. prend encore du relief dans cet épisode. Et Riggins était parfait.

    Du coté de Landry, j’espère qu’on va pas nous refaire le coup de la geekette qui se fera dégagée au moindre signe de Tyra et terminera dans la prochaine saison de Heroes.

    En parlant de Tyra, la pauvre hérite encore une fois de l’intrigue la moins bonne. En même temps, certaines de ses scènes étaient très bien (la robe de mariée de sa soeur ! Au moins aussi horrible que celle de Kath & Kim). Si je devais défendre cette intrigue, je dirais que depuis le début les scénaristes prennent le soin de nous montrer une Tyra indécise, incertaine et en conflit avec elle-même. Dans un même épisode, elle se fâche contre Tami puis se réconcilie, elle rompt avec Cash puis revient vers lui, elle dit qu’elle refuse de finir comme sa mère et sa sœur mais sèche les cours pour flirter,...Bref, Tyra symbolise toute cette jeunesse de Dillon en lutte contre une destinée qui les étouffe et les enracine dans ce bled perdu de l’Amérique.

  • 3.07

    Même quand mon intrigue préférée n’est pas dans l’épisode, ça arrive à être trop bien. Toutes les semaines, il y a une scène qui m’émut beaucoup, et là, c’était la vidéo de Tim. Vraiment chouette.

    A part ça, je continuer d’adorer l’intrigue de JD et son père, et le parallèle avec le père du Coach est un nouveau détail intéressant. C’est en tout cas toujours aussi génial de le voir s’occuper de ses joueurs comme ça, et Tami ne ment pas pendant son speech sur son mari.

  • 3.07

    Ma scène lacrimale à moi fut juste après, avec celle tant attendue entre Lyla et Jason. Dès qu’elle commence à avoir la larme à l’oeil j’ai suivi, mais à torrents. Je veux pas que ce soit la dernière scène de Scoooott ! (je sais plus s’il lui reste un épisode)

    C’était encore très bon du côté de JD et j’ai été surprise que ce ne soit pas lui le personnage gay que je me suis spoilée l’autre jour. Je voyais quelque chose de trop prévisible avec la petite bassiste, donc finalement tant mieux. J’aime bien aussi Jamal (si j’ai bien compris son nom), il a l’air trop vieux pour être encore au lycée, mais c’est pas grave, on n’est plus à un acteur près.
    J’ai presque pas regretté l’absence de Matt dans tout ça, tiens.

    Et Tami : meilleure réplique de toute la série, face à Landry. Faudrait en faire des banderoles.

    • Ma scène lacrimale à moi fut juste après, avec celle tant attendue entre Lyla et Jason

      Moi aussi.

      C’était encore très bon du côté de JD et j’ai été surprise que ce ne soit pas lui le personnage gay

      Moi aussi.

      Je voyais quelque chose de trop prévisible avec la petite bassiste

      Moi aussi.

      J’ai presque pas regretté l’absence de Matt dans tout ça, tiens.

      Moi non plus...
      C’était plus sympa à faire que d’écrire :"je suis d’accord avec tout ce que dit Blackie".

  • 3.07

    Excellent épisode.

    C’est pas compliqué : j’ai tout aimé dans cet épisode. Mais ce qui m’a fait le plus plaisir c’est de constater à quel point les scénaristes ont réussi à remettre le football au centre de tout. On en parle dans l’intrigue de JD, de Tim, de Jamarcus, Buddy qui ne supporte pas que ses enfants maltraitent sa passion ou encore Jason qui envisage une carrière en tant qu’agent sportif.

    Le départ de Jason se met en place. Espérons que l’épisode de la semaine prochaine soit à la hauteur du personnage. En tout cas, j’ai enfin eu droit à une vraie scène entre Lyla et Jason.

    Du coté de Landry, c’était très bien. Je m’attendais pas du tout à ce que Devin révèle son homosexualité. D’ailleurs, j’aime beaucoup le jeu de l’actrice. FNL a le don de dénicher les jeunes talents. Les scènes Landry/Tyra et Landry/Tami étaient géniales.

    Du tout bon aussi du coté des Riggins et des McCoy.

    On aperçoit Julie une seule fois (dans les tribunes). Même chose pour Matt (vers la fin de l’épisode, derrière Landry).

    Mais mon intrigue préférée de la semaine est celle de la réunion de famille des Garrity. Lyla était tout bonnement parfaite. Et Brad Leland a fait du très bon boulot dans cet épisode. J’avais les larmes aux yeux durant sa scène avec Lyla dans la voiture (la nuit).

    La chanson de Devin me trotte dans la tête. Mais je me demande si ce n’était pas de la pub déguisée pour le sponsor de la série, Unilever, qui fait avant et après chaque épisode la promotion d’un produit nommé "Vaseline Man".

    J’ai pris l’intrigue Jamarcus pour ce qu’elle était. Une intrigue bouche-trou qui a le mérite de nous montrer que des minorités vivent encore à Dillon (depuis le départ de Smash et Santiego, FNL est devenue bien pâle). Une intrigue qui démontre une nouvelle fois l’importance du Football dans la vie des habitants de Dillon et l’incompréhension que cela provoquer chez ceux qui n’ont pas été élevés dans le culte du ballon ovale. C’était aussi l’occasion de nous montrer à quel point les Taylor font une bonne équipe. Dans tous les cas, je ne pense qu’on reverra Jamarcus. A moins que les scénaristes tentent de nous présenter un des futurs personnages d’une hypothétique saison 4.

  • 3.08

    Hmmm... il y a de la poussière par ici, ou ça vient de moi ?
    C’était très joli. Pas crédible pour un sou, mais une fin très émouvante pour Jason. Le dernier plan sur Riggins est PAR-FAIT, et c’est impossible de ne pas être un peu... beaucoup... ému.

    Pendant ce temps, Tyra fait n’imp’, mais finalement c’est bien.

    Et la scène avec le Coach et Matt, et tout ce qui tourne autour du diner en fait, était très bien. Tout comme la discussion autour de la maison, la deuxième, là où Tami n’est pas borderline insupportable.

    Snif !

  • 3.08

    J’ai oublié le moment le plus drôle de l’épisode.
    "Moi, Tyra Colette, 17 ans."

    Nooooon ! ^^

  • 3.08

    Je vais sérieusement douter de l’humanité de toute personne n’ayant pas été émue par la scène finale. C’était très touchant.

    L’épisode en lui-même est loin d’être le meilleur de la saison. J’ai plus eu l’impression qu’il concluait (départ de Scott Porter) ou introduisait de nouvelles storylines (Tyra qui "fugue", le nouveau poste de Matt). Bref, un gros épisode de remise en place qui laisse présager une très bonne fin de saison.

    J’ai beaucoup aimé la partie Eric/Tami. Hyper réaliste.

    C’était aussi très bien du coté de Matt et Julie. Précédemment, j’avais critiqué les scénaristes pour ne pas avoir fait intervenir Julie au moment de la mise à l’écart de Matt. Là, ils semblent avoir enfin compris que la relation Matt/Julie ne peut qu’avoir des répercussions sur la place de Matt au sein des Panthers.

    C’était bien aussi du coté de Tyra. La scène où on la montre seule dans la cuisine (après nous avoir montré les Taylor en plein repas de famille) est excellente. Sinon, je suis content que Cash n’ait pas disparu de la circulation sous le prétexte ridicule de la tournée de 6 mois. Même si le personnage n’a rien d’extraordinaire, j’ai envie de voir les scénaristes aller au bout de leur idée.

    Point négatif :

    Ne pas avoir fait intervenir certains personnages (Lyla aurait pu accompagner Jason et Tim, Landry aurait pu apparaitre dans la position de confident dans les intrigues de Tyra et Matt, absence de la mère de Matt, la mère de Smash aurait pu apparaitre à l’hôpital et donner des nouvelles de son fils...)

  • 3.08

    J’ai un peu envie de dire tout pareil que Ju, c’est-à-dire des « c’était trop bien » partout.
    Sauf sur Tami qui serait « borderline insupportable », faut pas pousser. Je suis totalement admirative de cette femme, qui est constamment en train de prendre des gants avec son mari, à devoir prendre une voix douce et des discours compréhensifs toutes les deux minutes pour ménager sa sale humeur. Sinon il l’écouterait jamais. Moi je me mettrais très vite à hausser le ton à sa place, une zénitude pareille ça me dépasse. Donc quand elle ne se met pas dans ce mode-là, je la trouve juste normale (et encore, elle est toujours trop gentille).

    Mais bon, c’était un très bel adieu à Jason. Et je suis contente qu’un des personnages vienne enfin m’accompagner dans mes torrents lacrimaux en fin d’épisode. Il a l’air un peu déficient mental quand il essaie de lire, mais il est bien ce petit Riggins.

  • Mauvaise nouvelle. Aimee Teegarden (Julie) a été castée dans 90210. Et NBC a d’ores et déjà annoncé que la saison 3 n’ira pas au-delà des 13 épisodes commandés initialement. En gros, c’est mal parti pour une saison 4 de Friday Night Lights.
  • 3.09

    Le sans-faute continue avec ce neuvième épisode. C’est fou comment est-ce que la série arrive à sortir des scènes poignantes et émouvantes toutes les 10 minutes. Je suis passé plusieurs fois de la mélancolie (Tyra sous la pluie qui appelle Landry,...) à une joie extrême (la réaction de Grandma et maman Saracen à l’entrée de Matt sur le terrain, la réconciliation Lyla-Tim). J’ai même été ému par le previously on à la simple vue de Jason.

    Ce que j’ai le plus aimé dans cet épisode c’est l’interaction entre les différents personnages de Friday Night Lights. Lyla et la soeur de Tyra, Landry et Julie, les Taylor et Tyra,... Chose que la série a eu beeaucoup de mal à faire en s2.

    Sinon, j’ai toujours rien compris aux règles du Foot US.

    Un reproche : qu’on nous dise une bonne fois pour toutes pourquoi Grandma Saracen déteste autant sa belle-fille parce que j’ai eu du mal à comprendre ses réactions durant l’épisode.

    • 3.09

      Sinon, j’ai toujours rien compris aux règles du Foot US.

      Moi non plus. Mais alors là, encore moins que d’habitude.
      J’ai compris qu’ils avaient gagné. J’ai bon ? ^^

      Un reproche : qu’on nous dise une bonne fois pour toutes pourquoi Grandma Saracen déteste autant sa belle-fille parce que j’ai eu du mal à comprendre ses réactions durant l’épisode.

      Personnellement, je ne trouve pas qu’on ait besoin de plus d’explications. La mère de Matt était très jeune quand elle l’a eu, elle est partie. Et Mamie Saracen ne pouvant pas donner tord à son fiston, même si c’est plutôt un enfoiré, ne peut en vouloir qu’à sa belle-fille. C’est très suffisant en ce qui me concerne, et crédible.

  • 3.09

    Episode assez quelconque, avec de très bonnes scènes.

    C’est plutôt épatant la façon dont ils arrivent à taper dans le mille question émotion au moins une fois par épisode cette année. Matt, sa grand-mère et sa mère, j’adore toujours autant. Et même si elle est coincée dans une intrigue bizarre, Adrianne Palicki est magistrale cette semaine.

  • 3.09

    Bizarrement, c’était génial... De bout en bout. Comme l’a dit khamsa, le meilleur était les interactions nouvelles entre les personnages, particulièrement entre Mandy et Lyla, ainsi que la scène entre Landry et Julie, qui n’est bizarrement pas courante.

    Je me suis surpris à rentrer vraiment dans l’intrigue à plusieurs reprises. Mais vraiment. A la mi-temps, je crois que j’attendais les mots reconfortants et le coup de pied au cul du Coach Taylor a peu près autant que ses joueurs, et Cash m’a vraiment fait peur quand les Taylor sont venus chercher Tyra.

    Ce n’était pas l’épisode le plus attirant de la série, mais c’est pourtant un de mes préférés. Toutes les scènes sont excellentes, les images sont fortes (Tyra sous le parasol !), les intrigues avancent. Ca n’a peut-être pas la force d’un match sous la pluie ou d’un départ de personnage, mais j’ai rarement été autant pris de bout en bout dans un épisode de n’importe quelle série.

    Et sinon pour l’histoire du match, je ne comprends pas grand chose non plus, mais pour ce coup là, je crois qu’ils étaient à la 4ème tentative, et que le suspense reposait sur le franchissement des 10 yards. S’ils les rataient, l’équipe adverse reprenait l’attaque, et pouvait donc revenir au score. Matt a franchi de peu les 10 yards, et a donc redonné 4 tentative à son équipe, et vu qu’il ne restait pas énormément de temps au chrono, ils pouvaient jouer la montre...

    • Petites précisions techniques sur les 2 derniers épisodes.

      Le passage de Saracen de QB à receveur. Apparemment ca ne vous a pas choqué, et donc juste pour préciser que c’est tout à fait plausible.
      Il est fréquent de voir des QB de lycée devenir receveurs à l’université, et des QB d’université devenir receveur au niveau pro (NFL). Il est encore plus fréquent de voir des joueurs de lycée trimballés à plusieurs postes, vu qu’à ce niveau là, il suffit d’être un bon athlète pour être au dessus du lot (ce qui, soyons honnête, ne colle pas tout à fait au physique de Matt, mais bon...)

      Et sinon pour l’histoire du match, je ne comprends pas grand chose non plus, mais pour ce coup là, je crois qu’ils étaient à la 4ème tentative, et que le suspense reposait sur le franchissement des 10 yards. S’ils les rataient, l’équipe adverse reprenait l’attaque, et pouvait donc revenir au score. Matt a franchi de peu les 10 yards, et a donc redonné 4 tentative à son équipe, et vu qu’il ne restait pas énormément de temps au chrono, ils pouvaient jouer la montre...

      voila c’est exactement ca

      Le principe de base du football américain est que tu as 4 tentatives pour gagner 10 yds, par des passes ou des courses. Une fois les 10 yds gagnés, tu as 4 nouvelles tentatives, et ainsi de suite jusqu’à marquer des points ou perdre la balle.
      Arrivé à la 4e tentative, il y a plusieurs possibilités :
      - tu es vraiment tout prêt du touchdown, donc tu tentes une dernière fois
      - tu es à distance correcte des poteaux, donc tu tentes le field goal (équivalent de la pénalité de rugby)
      - tu n’es pas à distance raisonnable pour un field goal, donc tu dégages la balle au pied (le punt), pour que l’équipe adverse démarre sa phase d’attaque le plus loin possible.

      Selon les circonstances du match, l’entraineur peut être amené à tenter la 4e tentative, le plus souvent quand il a un besoin vital de marquer des points, mais aussi quand il a besoin de jouer la montre, ce qui est notre cas. C’est ce que Coach T décide de faire ici.
      Il y avait 3 possibilités :
      - dégager la balle (ce que son assistant lui suggère) : solution la moins osée, mais qui laisse à l’adversaire 50 sec pour marquer, ce qui est tout sauf impossible, bien que difficile
      - tenter les 7 yards restant, et rater : dans ce cas l’équipe adverse démarre là où l’attaque des Panthers s’est arrêté, autant dire que c’est match perdu si les Panthers sont bas sur le terrain (ce qui devait être le cas)
      - tenter les 7 yards et réussir : dans ce cas tu peux te permettre de laisser couler le chrono sur les 50 dernières sec, en mettant genou à terre (ce qu’on voit brièvement faire)

      Généralement le coach prend la décision en fonction des forces de son équipe. Dans des moments cruciaux comme ca, le tout est de savoir si tu fais plus confiance à ta défense (dans ce cas tu puntes) ou à ton attaque (dans ce cas tu tentes).

  • s03e09

    C’était bien.
    La peur montante de Tyra, seule dans le bar, puis face à Cash, aura au moins servie à quelque chose. Pour une fois l’intrigue du viol à eu une résonance positive dans un ep de FNL et sert à quelque chose.
    Mandy-Lyla même combat. Est-ce dire que Lyla ne vaut pas mieux que Mandy au niveau relation ? Ou les Riggins sont trop fort, une bonne excuse et ça repart aussi sec avec les copines qui les avaient largués.
    Je comprend la colère de la grand-mère, comme Ju. Si ils veulent donné une autres explication grand bien leur fasse, mais moi j’aime bien celle là. ;)
    La série va bientôt me manquer.

  • Merci beaucoup Varino pour tes explications. Je sais maintenant que la série ne perd pas tout son réalisme quand il s’agit des scènes de football.

    Par contre, je continue depuis 3 ans à me demander comment ils font pour réaliser les scènes de foot. D’abord, c’est pas très facile d’écrire un scénario dessus. Mais ce qui m’intrigue le plus c’est l’exécution. Les acteurs sont-ils doublés pour les scènes les plus techniques ? Y a-t-il des marques sur le terrain pour dire qu’un tel doit courir jusqu’à tel ou tel endroit ? Je veux dire que des matches comme celui dans la boue (1.20) ont l’air tellement réaliste. J’ai vraiment le sentiment que les séquences ont été filmées en continu, sans coupures. Bref, c’est peut-être ultra bête ce que je suis en train de dire mais j’aimerais bien voir des vidéos sur les coulisses du tournage.

    Ah et voici une vidéo qui montre bien que Connie Britton est intelligente en plus d’être très talentueuse.

  • 3.10

    Quel salaud ce Ben Silverman. Maintenant, ça va me faire beaucoup de peine quand la série va être annulée. C’était encore trop bien, cette saison est géniale. Il n’y a pas une intrigue plus faible que les autres dans cet épisode, pas une. J’avais un peu peur avec Buddy et Lyla au début, mais leur face à face valait vraiment le coup. J’aime toujours autant l’intrigue de JD, Matt et Julie c’était formidable, et Tyra et Landry aussi. Non, vraiment bien.

    Plus que 3 épisodes.

  • 3.10

    Je ne sais pas pourquoi mais j’avais très peur d’être déçu par cet épisode. J’étais stressé pendant toute la première demie-heure. Au final, j’ai beaucoup aimé.

    J’ai adoré l’intrigue Lyla/Buddy. Et Minka Kelly rappelle qu’elle a autant de talent que le reste de ses camarades.

    J’ai été surpris par la tournure prise par l’affaire Matt/Julie. Je m’attendais à une grosse dispute. À ce que le coach en fasse baver à Matt. À ce que Julie hurle de toutes ses forces. Mais là encore j’ai adoré le choix des scénaristes d’utiliser un maximum les regards et les silences. J’étais à fond dans la conversation Tami/Julie et j’avais honte pour Matt dans sa scène dans les vestiaires ou quand Tami lui ouvre la porte.

    C’était très bien du coté de JD McCoy. La mère s’affirme et commence à se rendre compte que le football a rendu fou son mari.

    Tyra/Landry : rien à dire. C’était hyper réaliste leur dispute. J’ai suffisamment connu ce genre de situations (dans la peau de l’arbre ou du petit garçon).

    Kyle Chandler était EXCELLENT dans toutes ses scènes et en particulier, le moment où il harcèle l’arbitre.

    Points négatifs :

    -Je crains que le dernier regard de Tyra ne nous entraine dans une nouvelle romance complètement mal gérée par les scénaristes. Surtout que j’étais bien content de voir Landry se détatcher un peu d’elle.

    -J’aurais voulu qu’on fasse participer la mère de Matt à l’intrigue du sexe. Il aurait été intéressant de voir une mère absente tenter d’avoir une discussion avec un fils complètement refermé sur lui-même.

    -Il ne reste plus que 3 épisodes. Et cette idiote de NBC veut supprimer la case de 22h (qui sera consacrée au talk-show de Jay Leno). En gros, même Law & Order et Chuck sont menacées d’annulation. Alors ne parlons même pas de Friday Night Lights.

  • 3.10

    J’ai deux petits reproches à faire à cet épisode. Petit un, je n’ai pas aimé que la rupture entre J.D. et Madison soit coupée par des commentaires dans le car. Petit deux, je n’ai pas aimé que la chanson de Landry soit coupée par une autre qui collait plus aux yeux de Tyra.

    Ça compense tout le bien que je vais en dire.

  • 3.11

    C’était encore trop bien.
    Entre le match sous la pluie, l’altercation entre McCoy, et la toute dernière scène entre Tyra et sa mère... hmm... assez émouvante... hmm... il y a de quoi être plutôt ravi.

    Tout ça, plus Tim et Lyla, Landry et Tyra, Matt et sa famille...

    • s03e11

      C’était encore trop bien.

      J’étais aux anges.

      Entre le match sous la pluie, l’altercation entre McCoy, et la toute dernière scène entre Tyra et sa mère... hmm... assez émouvante... hmm... il y a de quoi être plutôt ravi.
      Tout ça, plus Tim et Lyla, Landry et Tyra, Matt et sa famille...

      J’ai pas grand chose à dire de plus tellement l’épisode correspond à ce que j’attends d’un épisode, on avait le parfait dosage entre le drame et les moments plus léger (Tyra-Landry).

      La seule chose de dérangeante, c’est cette maladie que j’ai à avoir devant les yeux le spectre des intrigues de la saison 3. Quand je vois la qualité de cette saison 3, de ses histoires, le gâchis de la saison 2 et de ses intrigues trop éloigner de l’univers de Dillon c’est dur de ne pas penser à ce que pourrais être l’ensemble de la série avec justement une saison 2 au même niveau que la 1 et la 3.
      Enfin, je finirais par m’y faire.

  • 3.11

    Comme en saison 1, à deux épisodes de la fin, Friday Night Lights nous offre un match sous la pluie, une brutale agression et une Tyra en larmes. Inutile de préciser que j’ai adoré l’épisode et que la future annulation de la série me fait beaucoup de peine.

  • En attendant les 2 derniers épisodes de la saison 3 (prévus les 7 et 14/01), Chris Littman nous fait un point sur les audiences de Friday Night Lights sur la chaine câblée The 101. En gros, c’est plutôt pas mal pour le réseau câblé DirecTV. Maintenant reste à voir si l’autre partie au contrat (NBC) sera satisfaite par les audiences des rediffs qu’elle diffusera à compter de février 2009.
  • Merci pour les précisions sur les règles !

    Ce qui est formidable avec FNL c’est que la manière de filmer et l’expression des personnages est tellement intense qu’il n’y a limite pas besoin de comprendre les règles pour être absorbé par cette série !
    Pour moi la saison 3 renie effectivement un peu la saison 2 mais ca reste toujours fidèle. Ma bouffée d’air le soir !
    Pour finir par une note d’espoir j’espère, est ce que quelqu’un a des nouvelles "officielles" sur la suite de la série ?? Beaucoup disent que ça risque de s’arrêter la ... pourtant les audiences ne sont pas catastrophiques par rapport à certaines série maintenues ...
    merci d’avance

    • Pour finir par une note d’espoir j’espère, est ce que quelqu’un a des nouvelles « officielles » sur la suite de la série ?? Beaucoup disent que ça risque de s’arrêter la ... pourtant les audiences ne sont pas catastrophiques par rapport à certaines série maintenues ...

      Je pense honnêtement qu’on n’aura pas d’épisodes supplémentaires après la fin de la saison 3. NBC ayant prévu de supprimer un tiers de ses cases horaires consacrées aux séries à la rentrée prochaine, j’ai du mal à imaginer qu’une des cases qui leur reste pourra être consacrée à FNL.

      Maintenant, si l’expérience a été suffisamment satisfaisante pour Direct TV, j’ignore dans quelle mesure ils peuvent être intéressés pour reprendre le flambeau tout seul.

      Et maintenant, un petit mot sur l’avant dernier épisode de la série.

      3.12

      Oh, Tyra, comme je t’aime. Et je ne suis pas le seul.

      A part ça, j’étais persuadé depuis longtemps qu’ils allaient perdre en final, et effectivement ça n’a pas raté. Je suis très content dont le match tourne, c’était très prenant et chacun a eu son moment pour briller, et je suis surtout ravi d’avoir vu la finale alors qu’il reste encore un épisode dans la saison, pour je l’espère voir les conséquences sur la ville et les personnages... ou alors flash-forwarder sur le futur de Matt, Tim, Landry et Tyra ?

      Je ne sais pas, mais j’ai hâte.

  • 3.12

    Encore un très bel épisode de Friday Night Lights. Plus que 45 minutes avant le grand Chelem.

    Contrairement à Ju, j’étais persuadé qu’ils allaient gagner. Résultat : un choc et des joues ruisselantes de larmes à la fin de l’épisode.

    Si le match n’était pas réaliste pour un sou, sa réalisation était excellente et son déroulement captivant.

    Mais j’ai encore plus aimé l’avant-State avec les McCoy et l’essai de Tyra. C’était aussi très bien de voir Julie soutenir Matt et ne pas faire une crise d’ado à cause de son départ. Elle a bien grandi notre Julie.

    Tout le prégénérique était excellent tout comme la confrontation Tami-Katie McCoy. Jeremy Stumper était très touchant.

    Mais le moment que j’ai le plus aimé dans cet épisode c’est quand Tyra rappelle l’accident de Jason et toutes ses conséquences sur la petite ville de Dillon. Et avec le recul, cet accident a beaucoup changé la vie de nos personnages (Matt qui est titularisé et qui rencontre Julie, Tim qui récupère une Lyla dont l’univers vient de s’effondrer, Smash propulsé au rang de superstar de l’équipe et qui cède face à la pression,...). C’était donc bien de le rappeler surtout qu’il constitue l’évènement majeur du pilot de la série.

    J’ai aussi trouvé très juste que Tyra dise que c’est grâce à Julie, Tami et Landry qu’elle s’est sentie pour la première fois intégrée.

    Bref, j’ai pleuré à chacun des 12 épisodes. Il va falloir qu’on déclenche le plan inondation dans mon quartier en prévision du Season (Series ?) Finale.

  • 3.12

    Je crois que c’est l’un de mes épisodes préférés de la série. Je ne sais pas, tout m’a parlé dans cet épisode, du début jusqu’à la fin.
    Je me doutais qu’ils allaient perdre aussi (et je suis plutôt satisfaite que les scénaristes les aient fait perdre) mais je suis carrément rentrée dans le match. J’ai trouvé la façon d’agir de JD assez réaliste et assez cohérente avec son histoire. J’étais ravie. Landry fait un super bloc et ça suffit, pas la peine de le voir intercepter le ballon et marquer un touchdown comme il aurait pu le faire la saison dernière. C’était un beau match, le coach a raison. C’est le match dont je me rappellerai en tout cas.

    Tyra, tout est pardonné, tu es géniale !

  • 3.13 - Season Finale

    Excellent !

    Friday Night Lights a réussi le coup de force de conclure avec brio les différentes intrigues tout en lançant de nouvelles qui me donnent terriblement envie de voir une 4ème saison.

    J’ai trouvé que le prégénérique était un clin d’oeil à l’entame de la saison 2. Avec ce 5 months later et ses scènes estivales à la réalisation bien léchée. C’est bien que le show assume cette saison 2 pourtant pas si mauvaise que ça.

    Excepté la scène un chouia over-ze-top de la dispute Tyra/Landry en plein champ, tout le reste était parfait.

    J’avais les larmes aux yeux dès le générique et pourtant, j’ai beaucoup ri dans cet épisode. J’ai même hurlé de joie dans l’excellente scène où Tyra apprend son admission à la fac.

    J’ai adoré les moments entre Tim et Bill Riggins. Les deux acteurs dégagent une véritable complicité, les dialogues étaient très bien écrits et Taylor Kitsch était énorme dans cet épisode.

    J’ai aussi beaucoup aimé Lyla dans cet épisode. Tout comme Julie dont l’évolution a été très bien maitrisée.

    Que dire des scènes entre Matt et Grandma Saracen ! Excellent et émouvant !

    Plus que la saison de football, c’est la confrontation Taylor/McCoy (et...le mariage Bill/Mindy) qui aura été le fil rouge de cette saison. Et c’est en toute logique que le season finale tourne à l’affrontement avec une victoire de McCoy.

    Tami et Eric reste l’âme du show et leur scène sur le terrain dévasté de East Dillon m’a beaucoup ému.

    Au final, si cet épisode se révèle être le dernier, c’était un très joli et un très satisfaisant Series Finale. Mais qu’est-ce que j’ai envie de voir une saison 4 avec la rivalité entre les deux Dillon ! Si saison 4 il y a, je pense que ça serait judicieux de ne garder que quelques personnages (les Taylor, les McCoy, Buddy,...) et de nous introduire de nouveaux jeunes qui interagiront avec Julie et J.D.

    Unique décéption : j’aurai bien aimé entendre "Devil Town" à un moment de cet épisode.

    PS1 : Sympa la référence aux excellentes performances universitaires de Smash Williams.

    PS2 : et Landry, il va où ? Est-il au même niveau que Julie ou s’en va-t-il au collège ?

    • C’est bien que le show assume cette saison 2 pourtant pas si mauvaise que ça.

      Katim assume peut-être, mais de Peter Berg a la plus part du cast, y a pas beaucoup de gens qui ont aimer les intrigues de cette saison 2. Katim reconnait lui aussi qu’il c’est éloigné de ce qui faisait la substance de FNL.

      PS2 : et Landry, il va où ? Est-il au même niveau que Julie ou s’en va-t-il au collège ?

      Celon Katim, il est comme Julie. Je me demande s’il pourrait faire partie de East Dillon ?

      En tout cas très bon final, qui donne effectivement envie de voir une hypothétique saison 4.
      Néanmoins, comme il y a plus de chance que l’on ais rien, on termine sur un chapitre fini qui conclu bien la série

  • 3.13

    Oui, l’intrigue des East Dillon Lions donne envie.

    Mais j’espère vraiment que la série va être annulée par NBC, car ce dernier épisode était absolument magnifique. Pas grand chose d’autre à dire. Je ne suis pas sûr qu’il soit nécessaire d’en rajouter.

  • J’adore quand les acteurs d’une série s’investissent à fond pour tenter de sauver leur show. Y a eu beaucoup d’interviews des acteurs et producteurs de Friday Night Lights ces deux dernières semaines. Et tout ce beau monde est unanime pour vouloir rempiler pour une s4.

    Dans le tas, une très bonne initiative de Entertainment Weekly qui propose des reviews des épisodes de la saison 3 réalisées par les acteurs eux mêmes. Première review : Connie Britton donne son avis sur le 3.03. Forcément un délice ! Dans les prochaines semaines, ce sera au tour de Scott Porter, Gaius Charles et Zach Gilford.

    Sinon, une interview de Taylor Kitsch répond partiellement à mes interrogations quant au tournage des scènes de foot.

    Les 3 jeunes actrices de FNL font partie des 100 femmes les plus sexy de 2009 (Minka Kelly étant numéro 1).

    Et comme je suis en mode Buffy ces jours-ci, je ne pouvais pas ne pas parler de cette vidéo de fan qui utilise une chanson de Once More With Feeling pour illustrer la fin de la saison 3 de FNL.

  • Juste une question pour savoir si quelqu’un pourrait m’éclairer sur le reformatage des épisodes pour la diffusion sur NBC ? Qu’est-ce que cela signifie exactement ? Quelqu’un a-t-il regardé la saison 3 sur Direct TV puis NBC ? Merci.
  • 4.01

    J’ai adoré. J’ai pris un pied pas possible devant cet épisode qui avait tout l’air d’un pilote.

    À la fin de l’épisode, j’étais à fond pour les Lions et je suis hyper excité à l’idée de les voir évoluer (et progresser ?) tout au long de la saison.

    J’ai beau adoré Tyra et Lyla mais je dois avouer que leur absence ne sait pas du tout faite sentir.

    Comme d’hab, Tami a été géniale et j’avais le cœur serré quand elle a dû expulser les élèves s’opposant au nouveau découpage administratif.

    Et que dire du magnifique Coach Taylor. De son hilarant nouvel assistant. De la superbe confrontation entre Tim et son frère.

    Les quatre nouveaux personnages (Becky, Vince, Jess et Luke) ont l’air d’être des copies de Tyra, Smash, Lyla et Matt. Mais vous savez quoi ? Je m’en fous. Surtout si c’est pour avoir au final de superbes storylines aussi touchantes que celles des trois premières saisons.

    Clear Eyes, Full Hearts, Can’t Lose !

    • 4.01

      Les quatre nouveaux personnages (Becky, Vince, Jess et Luke) ont l’air d’être des copies de Tyra, Smash, Lyla et Matt.

      Tu as absolument raison !
      Il y a un blanc, un noir, et deux filles, ce sont donc des copies de Tyra, Lyla, Smash et Matt. Qui lui est toujours là. Je ne sais pas comment j’ai pu passer à côté de ça...

      Et je ne me souviens pas avoir vu de Jess dans l’épisode. Exactement comme Lyla ! C’est dingue.

      Sinon, à part ça, comme j’ai oublié de le dire dans ma critique, c’était vraiment bien.

  • Tu as absolument raison !
    Il y a un blanc, un noir, et deux filles, ce sont donc des copies de Tyra, Lyla, Smash et Matt. Qui lui est toujours là. Je ne sais pas comment j’ai pu passer à côté de ça...

    J’ai dit ça sur la base des nombreux spoilers qui ont circulé cet été et la façon dont chaque nouveau personnage nous a été présenté. Tu n’as qu’à faire un tour sur le site de DirecTV pour te rendre compte de la ressemblance.

  • 4x01

    Un mélange de joie énorme et de petite déception pour moi.

    Je commence par le mauvais : L’introduction de certains personnages, ou le retour à l’écran des anciens n’était pas toujours bien négocié. J’ai détesté le black à la chaîne en or, on a pas besoin d’un nouveau Tatum. Je ne sais pas si il est censé revenir plus tard ou s’il est effectivement hors de l’équipe pour de bon, puisque j’évite tout spoiler, même de casting pour la série. Je n’ai pas non plus aimé l’introduction de la petite chanteuse (désolé, je ne retiens jamais aucun nom tant que je ne les vois pas écrits), puisque je comprenais pas pourquoi elle chantait. Finalement en la retrouvant sur le terrain des Lions, j’ai trouvé ça parfait.

    Comme Ju, je n’étais pas ravi du retour de Tim, mais il faudra voir à la longue.

    J’ai eu un peu de mal avec la photographie de l’épisode aussi, où tout ce qui concernait East Dillon était terne et désaturé, sauf le rouge. Parce qu’ils jouent en rouge. Wow.

    Après ça, vient tout le génial. La copine de Landry qui est là, Julie qui veut aller à East Dillon (absolument brillant), Eric et Tami, et cette nouvelle équipe de bras cassés qui promet.

    Moi content !

  • 4.01

    J’ai eu un peu de mal avec ce season premiere. Peut-être beaucoup de mal même. Comme à son habitude, la série manque de petites transitions. A moins qu’un détail m’ait échappé, on ignore où en est la relation entre Tyra et Landry. Le J.D. mal dans sa peau et qui manque de confiance en lui a été kelleyrisé et remplacé par un gros connard qui boit de la bière et se prend pour le centre de l’univers. Cool. J’aurais adoré voir comment il en arrive là.

    Pour le reste, j’ai plutôt aimé. Si je ne vois pas du tout Vince comme un Smash2.0, je n’ai pu m’empêcher de trouver une trop grande ressemblance entre Becky et Tyra. Je suis sûr que le personnage (survolé pour l’instant) sera différent, mais pour l’instant, ses intonations, sa répartie et son visage m’ont vraiment rappelé Adrianne Palicki. Ce qui n’est pas forcément une mauvaise chose.

    Mais je ne suis pas très emballé, pas très impatient de découvrir la suite. J’espère changer d’avis.

    • 4.01

      A moins qu’un détail m’ait échappé, on ignore où en est la relation entre Tyra et Landry.

      Il me semble que Landry en parle à un moment. Ou je l’ai rêvé, c’est possible aussi. Dans tous les cas, c’est loin d’être important à mes yeux. Tyra a quitté la ville, je vois mal quel genre de relation tu veux qu’ils aient.

      Le J.D. mal dans sa peau et qui manque de confiance en lui a été kelleyrisé et remplacé par un gros connard qui boit de la bière et se prend pour le centre de l’univers. Cool. J’aurais adoré voir comment il en arrive là.

      Là, par contre, je ne suis pas du tout d’accord.
      Autant c’est vrai que les McCoys apparaissent sans doute trop pourris dans cet épisode, autant la transition de JD me semble très naturelle. On le voit se comporter comme un gros con avec Julie (la fille du Coach) et Matt (le protégé du Coach). Et dans la scène de la fête, il remet sur le tapis le fait que le Coach l’a dégagé de la finale pour le remplacer par Saracen "parce qu’il avait pitié pour lui".

      Pour moi c’est clair que sa rancoeur vient de là. On le voyait déjà prendre la défense de son père, malgré tout, en fin de saison 3, et l’incident de la finale n’a fait que renforcer sa frustration envers Matt et le Coach.

    • 4.01

      Et dans la scène de la fête, il remet sur le tapis le fait que le Coach l’a dégagé de la finale pour le remplacer par Saracen « parce qu’il avait pitié pour lui ».

      Pour moi c’est clair que sa rancoeur vient de là.

      Pour moi aussi. Il n’empêche qu’il est devenu arrogant d’un coup. C’est une transformation logique, mais à laquelle j’aurais aimé assister, c’est tout.

      On le voyait déjà prendre la défense de son père, malgré tout, en fin de saison 3

      Moi je me souviens surtout avoir vu J.D. reprocher au coach d’appeler les services sociaux et risquer ainsi de l’éloigner de sa mère et de son foyer. Mais de toute façon, j’avais déjà dit à l’époque (enfin y a deux mois quoi) dans mes reviews que la loyauté de l’épouse et du fils envers le père McCoy, après ce qu’il avait fait, me semblait un peu facile. Leur intrigue paraissait inachevée et j’espérais qu’une saison 4 continuerait de développer cette relation père/fils singulière. Peut-être le fera-t-elle.

      Tyra a quitté la ville, je vois mal quel genre de relation tu veux qu’ils aient.

      Une relation à distance. Comme Seth et Summer de the OC ou Doug et Carol de E.R. Enfin ce que je voudrais, c’est surtout savoir comment tout ça s’est fini.

      Il me semble que Landry en parle à un moment.

      C’est possible. Honnêtement, je n’ai rien compris à ce qu’il dit à Devin au début de la fête. C’était peut-être là.

    • Le J.D. mal dans sa peau et qui manque de confiance en lui a été kelleyrisé et remplacé par un gros connard qui boit de la bière et se prend pour le centre de l’univers. Cool. J’aurais adoré voir comment il en arrive là.

      Je suis pas du tout d’accord avec cette affirmation. Déjà en fin de saison 3 le changement était amorcé. On est 4 mois plus tard, il me semble. Il est donc logique que la transformation soit finale. C’était déjà dès le départ un petit garçon en mal d’amour, abusé par un père qui malgré tout tente par tous les moyens de lui faire plaisir. Et en enfant pourri et gâté, il se comporte comme un connard. Tous les ingrédients étaient présents en saison 3 ; je ne trouve donc pas son comportement si choquant. Il avait tout du salaud en sommeil dès le départ.

      J’ai trouvé ce premier épisode à la hauteur de la saison 1. L’image est de retour à ce qu’elle était en saison 1 (il me semble), et les personnages sont toujours très justes. J’ai beaucoup aimé le petit pied de nez du personnage de Connie Britton lorsqu’elle les met en attaque pour le match, la vengeance est un plat qui se mange tiède chez les Taylor.

      J’attend de voir comment tout va se goupiller avec Matt et les petits nouveaux. Et Riggins en coach à East Dillon, ca me plairait beaucoup beaucoup :p Il me semblait que Matt Lauria serait à East Dillon mais on dirait que non, j’ai dû louper le passage où cela changeait ou alors il va être transféré ?

  • Je suis d’accord avec Tonks là-dessus. Même si je comprends Tom parce que c’est vrai que Friday Night Lights a eu un peu trop de longues coupures inter-saison pendant laquelle ils faisaient tout changer. Mais en fait la principale c’était celle entre la saison 2 et la 3, et ils n’ont pas eu le choix — le saut dans le temps étant surtout du à la grève.

    Mais dans le cas présent, l’évolution de JD ne me semble pas du tout un gros bond, mais bien une progression logique par rapport aux graines plantées tout au long de la saison dernière. Et si les trop grandes ruptures sont embêtantes, cela le serait aussi qu’on essaye de nous faire croire que rien n’a jamais lieu pendant l’été.

    Et par ailleurs, je ne trouve vraiment pas ça "facile" la loyauté des McCoy envers le père. C’est au contraire assez osé et ça ne me semble pas très commun. Dans n’importe quelle autre série US, JD aurait emménagé chez les Taylor la saison dernière.
    Là, on a là deux personnages, JD et sa mère, avec lesquels on a maintenant un rapport très compliqués en tant que téléspectateurs parce que c’est dur de s’empêcher de ressentir une sorte de sympathie ou solidarité, et en même temps ils sont dans le "mauvais" camp. J’ai hâte de voir ça évoluer. Faudra essayer de ne pas en faire trop sur le père McCoy, mais j’aime bien qu’il y ait un antagoniste fort dans la série (et oui, le bras de fer avec Tami est génial)

    Glmobalement, j’ai adoré ce premiere moi aussi. Et j’adore savoir qu’il y a deux saisons devant nous, parce que ça devrait nous éviter de voir les Lions passer de zéro à champions en 13 épisodes. On peut envisager quelque chose de plus progressif.

    Je ne suis pas embêté du tout qu’on ait pas les réponses à toutes les questions dans le premier épisode — c’est plutôt le contraire en fait, je préfère que le statut des différentes relations et les nouvelles des anciens viennent naturellement plutôt que d’enchaîner les scènes d’exposition lourdingues.

    Surtout, j’apprécie énormément le fait que l’intrigue de East Dillon remette très clairement en évidence le coeur social de la série. (Parce que ça me sidère toujours quand je lis des sites où des gens parlent de FNL d’une façon qui indique qu’ils ne font pas la différence avec One Tree Hill.) Les personnages de la série sont intelligemment confrontés à leurs contradictions (via la réaction des Taylor à la décision de Julie, par exemple) et le propos de la série sait être très subtil (pas une ligne de dialogue pour sur-ligner la prévalence des noirs à East Dillon, par exemple).

    C’est vraiment une très grande série, avec beaucoup à dire. Je suis content qu’ils continuent à bien le faire.

  • 4.02

    Encore une fois, j’ai beaucoup aimé.

    FNL reste l’une des rares séries à offrir des scènes d’une force émotionnelle aussi intense en plein milieu d’un épisode. J’ai du prendre un break après la scène très touchante entre Tami et Luc. J’ai dû faire une autre pause après la superbe dispute entre Tami et Eric. C’est dans ces moments-là que je regrette de ne pas voir les épisodes en direct avec plein de pub dedans et autant d’occasions de souffler et de digérer ce qui vient de se passer.

    J’ai adoré le fait que Landry tienne tête au coach.

    Tami était excellente dans sa petite gueguerre avec Joe McCoy.

    Kyle Chandler continue à faire de l’excellent boulot. Mais bon, les Emmys vont préférer récompenser Hugh Laurie ou Kiefer Sutherland.

    Si j’ai bien compris, East Dillon High était fermé depuis plusieurs années et a réouvert grâce au plan de redistribution soutenu par Tami. Quelqu’un peut-il confirmer ?

    • 4.02

      C’était encore meilleur que la semaine dernière.

      Trop de scènes géniales pour toutes les aborder. Je veux dire, il n’y a presque aucune scène ou réplique inutile, c’était assez fantastique. J’étais absolument contre voir Tim devenir Assistant Coach Non Officiel, mais pourtant, difficile de ne pas être ému lors de sa scène avec Eric.

      Un seul petit reproche, l’intrigue de Saracen. C’était très drôle pour son arrivée à son stage, mais le reste un peu trop déconnecté de la série à mon goût.

      Et j’aime beaucoup les nouveaux personnages, pour le peu qu’on les a vu.

      Si j’ai bien compris, East Dillon High était fermé depuis plusieurs années et a réouvert grâce au plan de redistribution soutenu par Tami. Quelqu’un peut-il confirmer ?

      C’est ça.

  • Si j’n’arrive pas à la bourre complète pour HIMYM, c’est pour FNL. Désolé donc d’arriver comme un cheveux sur la soupe, et de dire quelques petits trucs sur le season premiere ! ^^’

    Au vu de ce début de saison 4, cette série va me garder à ses côtés pendant un bon bout de temps, tellement ils ont su renouveler les storylines principales de la série (L’équipe des Panthers, Eric en coach parfait, des pressions de toutes parts...) en gardant ce qui fait la force de FNL : L’authenticité !

    4.01 East Of Dillon

    La saison commence où la précédente nous avait laissés, c’est-à-dire en plein désarroi face au visage du pauvre Eric lorsqu’il découvre les ruines footbalistiques de Dillon Est. Le Coach Taylor reprend donc les rênes d’une équipe totalement inexistante et particulièrement mauvaise, et c’est ça qui risque de faire la force principale de cette saison : Réussir à faire quelque chose de cette pauvre petite équipe !
    Le devant de la scène (re)-donné à Eric n’est qu’un excellent signe avant-coureur de ce que risque d’être la saison : Un pur concentré d’exploitation de moments relationnels entre le coach et ses joueurs. Non pas qu’on commençait à tourner en rond avec les anciens joueurs, mais on avait du mal à retrouver ces interactions qui donnaient carrément le frisson quand on les regardait. Voir le Coach soutenir ses joueurs, le voir se forcer pour exploiter au maximum les capacités de ses atouts (je pense notamment à Matt, Smash et Riggins), le voir jouer un rôle de coach-papounet est l’un des points forts de la série. L’authenticité dans la mise en œuvre de ces relations ne me refroidit guère dans le visionnage de la série, et m’incite à regarder encore et encore tous les épisodes de FNL. C’est bien pour ça que cette saison 4, dans la continuité de la 3, s’annonce sous les meilleures auspices et promet un retour en force de notre coach qui sera sans doute amené à décupler ses forces pour faire gagner ne serait-ce qu’un match à sa nouvelle équipe !

    Les bases de la nouvelle saison sont nombreuses - et tant mieux ! - mais la plus frappante est sûrement la confrontation Est-West Dillon. D’abord sur un plan purement sportif puisqu’il n’y a pas photo, les deux équipes ne se ressemblent pas du tout (même si le dénominateur commun est le coach Taylor !) et sont séparées par un énorme canyon niveau capacités. La superbe scène où Eric prend soin successivement de ses joueurs complètement défoncés par le match qu’ils viennent de jouer en est la preuve : Ils n’ont pas le matériel pour, ils n’ont pas le physique pour, ils n’ont pas la force des Panthers pour entamer correctement un match !
    Et d’un autre côté, la confrontation se joue sur le niveau de vie en lui même : Une "pauvreté" accablante d’un côté, et une aisance sociale de l’autre. Il est vrai qu’on n’avait pas vraiment été habitué durant les trois premières années, et le fait d’accroitre les problèmes pour la majorité de l’équipe rendra le challenge pour Eric encore plus important. Le renouvellement des personnages - Plus de Tyra, plus de Lyla et moins de Matt et Tim - va surement permettre de développer profondément cet axe, et offrir une nouvelle dynamique au show. Ça ne peut que faire du bien !

    A côté de cette nouvelle vie pour Eric, on suit les aventures de nos anciens sportifs, et le moins qu’on puisse dire c’est que c’est pas forcément tout rose pour eux. L’évolution de Riggins est fidèle au personnage, c’est-à-dire complètement paumé mais sûr et certain d’une chose : La Fac, c’est pas fait pour lui ! Le voir se faire rejeter par son frère était émouvant, car des bastons entre eux on en avait déjà vues mais sans cette intensité dramatique en filigrane. Tim est vraiment rejeté, et il commence à comprendre qu’il lourde son frère qui, lui, a maintenant une vie (une femme et un enfant en route !). Reste à savoir ce qui va advenir du bougre !
    Matt quant à lui, pas grand chose à dire, il suit son petit bonhomme de chemin en s’faisant traiter par sa prof de "gros nul, tu sais vraiment pas dessiner. Et t’appelles vraiment ça de l’art ?" et en se fightant avec JD. Oui rien de bien nouveau dans la vie de l’ex-quaterback ! Le fait est qu’il en bave encore, et qu’il n’est pas prêt d’être sorti de là. Le revirement - ou bien l’évolution normale, au vu des évènements - de comportement de JD laisse envisager de nouvelles querelles, et surtout une belle occasion pour Matt de montrer ce qu’il a dans le ventre !

    En vrac :

    - Tammie, toujours aussi formidable. Une sournoiserie légendaire : Le coup de la pièce était magique !
    - La relation entre Landry et la grand mère de Matt : Tout simplement irrésistible !
    - Tyra et Lyla ne manquent vraiment pas. Ça ne peut qu’être une excellente nouvelle !
    - La B.O est toujours finement bien choisie. Un travail magnifique !
    - Clear Eyes ! Full Hearts ! Can’t Lose !

    Sullivan

  • 4x02

    Wow. Effectivement, encore mieux que la semaine dernière.

    J’étais un peu perdu dans la première partie de l’épisode, avec l’introduction des nouveaux personnages, j’ai eu l’impression de regarder une autre série.

    Mais une fois ce sentiment passé, c’était absolument génial. J’adore déjà Luke, et sa scène avec Tami était la plus forte de l’épisode (qui en est pourtant truffé).

    La mère de Vince et les vingt dollars, l’entraînement spécial du samedi soir, la dispute entre Eric et Tami, les affrontements Joe/Tami... Génialissimes.

    Mais ce que je ressors surtout de cet épisode, c’est son travail sur l’introduction de Luke. On sent que les scénaristes ont énormément travaillé son arrivée, et que l’acteur fait un boulot parfait. On sent tout de suite tout le potentiel du personnage (qui aurait pû être mal amené, si les scénaristes s’étaient contentés de le faire arriver en disant "il va sauver les Lions"). Il était parfait avec Tami, et le vouloir arriver avec son T-shirt Panthers le samedi soir, pour mieux le brûler pendant le feu de joie, c’était parfait.

    J’ai dit que c’était parfait ?

    Il y avait quelques éléments un peu en dessous, mais je n’en parlerai même pas.

  • 4.02 After The Fall

    Diantre, que j’aime cette série !

    Cette saison 4 débute et continue sur les chapeaux de roue, c’est vraiment du très très grand niveau. Alors que j’osais imaginer une baisse de niveau pour le 2nd épisode, me voilà joyeusement surpris par son excellente qualité. FNL n’a jamais été mauvaise pour moi depuis sa création (même si j’dois avouer que la saison 2 sur certains p’tits points faucheux laissait à désirer !), et la saison 4 ne fait que conforter ce sentiment : Ils arrivent à tout faire, même à faire chialer un newbie ex-Panthers. Ils sont vraiment trop forts !

    Le jeu des acteurs en est pour beaucoup, et j’en ai pris une vraie claque aujourd’hui. Non pas que j’n’en avais pas pris les saisons précédentes (Je compte pas les épisodes avec les larmes sur les joues, ni même les dizaines devant lesquels y’avait les larmes aux yeux... m’enfin bon !) mais là il faut avouer qu’on fait fasse à du lourd : Les intarissables Connie Britton et Kyle Chandler font montre - encore une fois - d’un jeu proche de la perfection. Ils restent, à mon avis, les deux valeurs sures, les deux pièces maitresses du show et leurs scènes conjointes sont tout simplement géniallissimes et criantes d’authenticité.

    Et d’un autre côté, on a Luke. Que dire...? Que dire à part que sa scène sous la pluie, face à une pauvre Tammie retranchée sous son parapluie, est simplement à chialer. Pour une première scène, il rentre bien dans le bain le bougre... il ferait presque oublier les autres euh... Jason ? Smash ? Tim ? Nan mais franchement, j’ai été vraiment étonné de la prestation tout en nuances (un coup je m’effondre, et une seconde plus tard j’lâche un timide "I’m fine") du jeune garçon. C’est la révélation de l’épisode ! La courte scène qu’il occupe avec Eric laisse envisager que du bon...

    Sinon, on poursuit la lente ascension des Est-Dillon vers un semblant d’équipe prometteuse tout en approfondissant quelques personnages. C’est du FNL tout craché, c’est-à-dire une série qui met en lumière la difficulté - pour pas dire misère ! - sociale de Dillon Est en se concentrant sur l’environnement familial de Vince. C’est sobre, court mais relativement efficace ! Bizarrement, j’n’en demande pas plus...

    Et on poursuit également du côté de la confrontation Tami/Joe qui petit à petit s’envenime en dehors du ressort intimiste : Maintenant, c’est toute la population lycéenne et obsessionnels footblistiques qui prennent partie. En tant que proviseur c’est dur à vivre, et ça rappelle vaguement les pressions, les actes et remarques que subissait le pauvre Eric. Courage Tami, un ’tit verre de vin et tout redeviendra comme avant !

    Diantre que j’aime cette série !

  • Et bien moi je viens seulement de découvrir cette série et de terminer la saison 1.

    Et ce qu’ il y a bien lorsqu’ on découvre une très bonne série assez tard c’ est qu’ on sait que derrière on a 2 ou 3 saisons qui nous attendent et là j’ ai qu’une hate c’est de voir la suite

  • 4.03

    Moins bon que les deux premiers épisodes.

    En gros, tout était très bien SAUF :

    L’intrigue Saracen : j’ai un peu de mal à m’accrocher. En plus, cette fois ça a carrément bousillé le rythme de l’épisode. Il ne lui reste plus que 4 épisodes et j’ai l’impression qu’on nous fait perdre notre temps avec ce stage chez l’artiste farfelu. Je veux voir Grandma Saracen. Je veux voir Matt interagir avec les Taylor ou Landry ou Tim.

    • 4.03

      L’intrigue Saracen : j’ai un peu de mal à m’accrocher. En plus, cette fois ça a carrément bousillé le rythme de l’épisode. Il ne lui reste plus que 4 épisodes et j’ai l’impression qu’on nous fait perdre notre temps avec ce stage chez l’artiste farfelu. Je veux voir Grandma Saracen. Je veux voir Matt interagir avec les Taylor ou Landry ou Tim.

      C’est extrêmement rare, et ça mérite le coup d’être souligné, mais je suis 100% d’accord avec toi. Cette intrigue est nulle, prend trop de place, casse le rythme, et effectivement je veux vraiment voir la grand-mère Saracen, Erica, Landry et Tim avec Matt, et pas ce pseudo Yoda alcoolique insupportable.

      A part ça, j’ai eu du mal avec l’intrigue de la foi de Julie, mais c’est sans doute plus parce que ça me mets personnellement mal à l’aise qu’autre chose. Au moins ça ne prenait pas trop de place. Et Gracie Belle est flippante. FLIPPANTE.

      En dehors de ces deux points noirs, c’est du tout bon. L’intrigue de l’argent, Tim et Becky qui me font rire, Luke est très bon, et le match était court mais merveilleux. J’adore voir les Lions perdre.

      Enfin, la petite scène de Buddy au milieu des Boosters était attendue, mais quand même réjouissante.

    • 4.03

      Toujours très bon.

      Grandma Saracen manque certes cruellement à l’intrigue de Matt, mais elle n’est pas complètement inintéressante pour autant, ne serait-ce que pour la remarque faite à Julie sur son statut de "ball and chain". Une exagération, mais avec une part de vérité qui trouble à juste titre Jules, qui est bien consciente de ce besoin d’échapper à Dillon, dans tous les sens.
      Et puis cette petite scène avec Matt sincèrement en admiration devant son oeuvre était touchante, on sentait enfin la "fibre artistique" qui relie les deux hommes, même si Yoda frise trop souvent la caricature.

      Il ne lui reste plus que 4 épisodes

      9_9 Ca tu vois, je ne le savais pas, et j’aurais préféré ne pas le savoir...

      Sinon j’ai trouvé très drôle la réaction toute excitée des Lions face à leurs nouvelles fringues... il leur en faut quand même peu ^^ Celle de Tami l’était beaucoup moins mais j’adore la façon dont les difficultés qu’éprouve Eric dans son boulot se répercutent dans son wondercouple, même si c’est sans conséquence pour l’instant.

      J’ai eu un pincement au coeur en voyant Eric ne trouvant toujours pas le sommeil à la fin de l’épisode, mais le principal de East Dillon le remettant à sa place était quand même assez jouissif. Le Coach peut quand même être assez détestable et arrogant quand il veut, mais c’est aussi ce qui fait son charme.

      Je ne suis toujours pas convaincue par les deux nouveaux personnages féminins introduits cette saison, en dehors de leur role de love interest, je les trouve plutot sans saveur.
      Contrairement à Luke qui brille encore une fois, son perso de ptit gars simple, poli et travailleur qui ne veut que jouer à la balle et échapper à Dillon est touchant et bien écrit et son interprétation est pour l’instant sans faute. Je serais curieuse de voir une relation se développer entre lui et un Riggins qui a réalisé son rêve, juste pour finir déchanté et paumé...

  • 4.03

    Je ne suis pas exactement fan non plus de l’intrigue sur le "Yoda de l’art", mais je dois dire que pour moi c’est exactement la même chose que quand ça parle religion comme dans l’intrigue de Julie. J’ai l’impression que c’est un domaine dans lequel on a une différence culturelle si fondamentale avec les américains qu’il faut soit être champion olympique de l’empathie ou roi de la suspension of disbelief pour y adhérer. (Pour illustrer, tout ce que Six Feet Under a fait avec Claire dans son école d’art, c’était pour moi tout aussi incompréhensible/"insupportable"/impénétrable. Et là, heureusement, je crois que c’est parti pour durer moins longtemps que Claire.)

    Et si ça avait duré encore moins longtemps... Et bien je crois que j’aurais vraiment pas aimé qu’on passe de Saracen sacrifiant tout pour rester à Dillon à Saracen réalisant que parfois il faut penser à soi en deux épisodes et quatre scènes... De la même manière, son isolement, je le vois aussi comme une façon de montrer que soit on coupe les ponts et on réussit à s’en aller, soit on ne le fait pas, comme Tim, et on va passer sa vie là et un jour devenir Budddy Garrity.

    C’est vrai que ça prenait beaucoup de temps, mais je dois dire qu’il me semble qu’il y a des chances que ça s’arrange parce que cet épisode m’a vraiment donné l’impression que le process du changement de focus s’activait pour de bon et que les nouveaux personnages s’appêtaient à monter sur l’avant-scène. Au passage, je n’arrive pas à croire à quel point j’adore les quatre nouveau. Même la quatrième qu’on a pas vu énormément, je l’ai trouvé adorable. Et Luke, Jess et Vince, je suis prêt à signer tout de suite pour 10 saisons avec eux. Heureusement que je peux pas, je serais capable de ruiner la série. Et je trouve Matt Lauria assez incroyable.

    Sans oublier que je trouve génial que maintenant, dans Friday Night Lights, c’est la fête quand ils arrivent à marquer au moins une fois avant la fin, du match ! Et j’en suis déjà à me demander si, à la fin de la saison prochaine, la série se terminera sur les Lions gagnant le State ou bien échouant de justesse... Mais même dans le meilleur des cas, il va en baver pour sa State Ring, Luke.

  • 4.01/02/03

    Ce début de saison 4 me fait mal au coeur. (Mais dans le bon sens si c’est possible).
    Je souffre avec Matt qui a fait une immense erreur en restant, et je suis surprise de lire que vous regrettez la grand mère, car même si sa relation avec Matt est poignante et singulière, je trouve ce personnage tellement égoïste de l’avoir laissé renoncer à Chicago.
    Je souffre avec Tim qui est un autre personnage qui me fend le coeur. Tellement fort pour les autres et incapable de s’aider lui-même.

    Ce début de saison 4 me frustre pour le sous emploi de Tim. Ce personnage mérite un rôle plus engagé émotionnellement. Je n’aime pas cette histoire de caravane, barmaid et collégienne qui chante. Ca n’amène rien.
    Frustration aussi avec ce qui se passe avec Matt. Je pense que depuis la révélation de l’Art Institute of Chicago en saison 3, jusqu’à son stage dans l’atelier d’un artiste, ses aspirations artistiques ont été super mal amenées. Et attention, j’adore Saracen, mon énervement est juste proportionnel par rapport à mon amour du personnage. Et puis où est passée sa mère ?
    Autre énervement, contre moi cette fois-ci, car je n’ai pas encore été touchée par les nouveaux personnages. J’ai l’impression de voir des caricatures de banlieues défavorisées. L’ancien cast me manque, la transition est brutale. Je ne dis pas que l’opposition entre les deux lycées d’une même ville ne reflète pas une réalité, pas du tout d’ailleurs, mais dans le cadre du show, je suis totalement déstabilisée.

    Reste cet amour du foot, et la ligne du coach est passionnante cette saison, bien sûr. J’ose imaginer qu’ils auront l’intelligence de ne pas les faire gagner en season finale. J’espère aussi que l’on ne tombera pas dans un monde binaire : les sponsors et le fric détruisent le sport et les petites équipes sans le sou sont le vrai sport. Parce que ces notions méritent pas mal de lignes de gris entre le blanc et le noir.

    Aussi simpliste que cela puisse paraître, ça me fait vraiment mal au coeur. Parce que comme vous je suis convaincue que FNL est un show exceptionnel. C’est un des rares qui peut vraiment me faire passer une bonne ou mauvaise semaine. Mes frustrations sont à la hauteurs de mes attentes.

  • 4.04

    Mais quel coup de pute de la part des scénaristes !
    La fin est bien fourbe, pas le temps de voir venir quoi que ce soit, et qu’est ce que c’était bien foutue. Assez difficile à voir, mais vraiment génial.

    Et l’épisode, en dehors de ses trois dernières minutes, était assez formidable. Pas d’intrigue en dessous des autres cette semaine, c’était vraiment du tout bon du début à la fin.

    On a enfin eu Saracen et Riggins ensemble, et ça valait le coup d’attendre. Pour Grand-Mère, je ne doute pas que ça sera pour le suivant.

    Voir Julie et Devin ensemble c’était très bien, Landry est toujours un tombeur, et le Pep Rally des Lions était un grand moment. La rivalité Vince / Luke a explosé bien plus vite que ce à quoi je m’attendais, pour atteindre une détente assez bienvenue. Je ne pense pas que ça va durer longtemps, mais l’intrigue est bien gérée.

    Une petite pensée pour cette pauvre Tami, qui décidément s’en prend plein la tronche cette semaine. D’abord sur le forum de pErDUSA, et ensuite à la radio. Dur !

    • 4.04

      Mais quel coup de pute de la part des scénaristes !

      Ouais, nous remontrer enfin mamie et maman Saracen pour trente secondes et un moment aussi horrible, c’était juste dégueulasse. Mais bien joué. Mais quels salauds quand même !

      On a enfin eu Saracen et Riggins ensemble, et ça valait le coup d’attendre

      Je crois que j’ai eu la larmichette à l’oeil quand Matt dit "texas forever". Le flashback énorme sur le pilote et la pensée du chemin parcouru depuis, avec ces deux derniers anciens, c’était fort en émotion. Par contre deux minutes avant je me marrais en voyant Matt et Tim Winchesters.

      Je suis contente qu’on introduise un homme gay faisant partie du monde du football. On en discutait il y a quelques temps avec Tomemoria quand je me demandais si Luke était gay et on se disait que ce serait intéressant à aborder dans la série. C’est peut-être pas un joueur, mais c’est déjà pas mal.

      D’ailleurs je suis un peu moins amoureuse de lui cette semaine le Luke. Je le préfère tout gentil et qui traine avec ses vaches plutôt que McCoy Jr.

      Une petite pensée pour cette pauvre Tami, qui décidément s’en prend plein la tronche cette semaine. D’abord sur le forum de pErDUSA, et ensuite à la radio. Dur !

      C’est la croix des gens parfaits, ce sont des incompris. Moi je dis qu’il faut envoyer Matt chasser plus souvent, avec un peu de chance il atteindra Mc Coy et ses potes sans faire exprès.

  • 4.04 (toujours)

    J’ai oublié de dire que j’ai trouvé ça quand même bizarre que ce soit Julie qui annonce la mauvaise nouvelle. Déjà qu’elle soit au courant avant lui, parce que cela m’étonne que la mère ou la grand-mère le dise à Julie avant Matt, mais surtout c’est pas une nouvelle qui doit être annoncée par n’importe qui. Personnellement je lui aurais dit d’aller tout de suite voir sa famille, j’aurais pas pris cette responsabilité. Et il risque de toujours la lier à ce moment maintenant, super pour une relation amoureuse.

    • 4.04

      Perso cette saison 4 me tue. Quelle noirceur, quel pessimisme, les 3 premiers épisodes ont fait le noeud de la corde et le 4 balance la chaise sous la corde...
      On voit bien où on va mais avaient ils vraiment besoin de nous donner envie de nous pendre avant de nous faire réagir devant la renaissance des Lions ?
      +1 pour les larmes devant le "Texas forever" de Tim, +1 pour "le coup de pute final".

      J’ai oublié de dire que j’ai trouvé ça quand même bizarre que ce soit Julie qui annonce la mauvaise nouvelle

      Moi je trouve ça bien au contraire. Il passe voir sa copine avant de rentrer chez lui, ils s’aiment. Je trouve ça beau que ce soit elle. Les retrouvailles avec la grand mère vont être tellement horribles que Matt a le temps de se préparer à la voir sans la surprise de la nouvelle. Je redoute l’épisode suivant à un point physique...C’est l’enfer cette année, c’est l’enfer.

      Je continue à ne pas me faire à ce nouveau cast ça m’énerve, ils m’énervent.

    • 4.04

      Teardrop version Jose Gonzalez (si je ne m’abuse), ça a quand même de la gueule.

      Je continue à ne pas me faire à ce nouveau cast ça m’énerve, ils m’énervent.

      Hormis Luke, et la "petite amie" de Landry dont j’apprendrais peut être un jour le nom, et qui pourrait se révéler intéressante, je leur suis surtout indifférente. La petite minette fait bien la petite minette, mais sans plus, et le perso de Vince me déçoit vu le potentiel qu’il semblait avoir au début. Ou alors c’est l’acteur qui ne me revient pas, parce que je n’ai pas du tout détesté l’intrigue du porte-feuille volé malgré son côté tellement vu et revu.

      Je suis contente que le coach assistant ait pris de l’épaisseur dans cet épisode, en plus d’amener le thème de l’homosexualité dans le milieu macho et dégoulinant de testostérone qu’est le foot. Je suis curieuse de voir où tout cela va nous mener, particulièrement après son déni, mais en attendant son coté décalé me fait toujours marrer.

      J’avais beaucoup aimé que le Coach se rapproprie le Clear Eyes, Full Hearts, Can’t Loose ! (ça aurait été indécent de voir ce ptit con de McCoy le scander) mais avec le pep-rally, les Lions prennent une autre envergure à mes yeux. Quoi qu’on pense du curieux mélange religion-foot, the Lions’ Pride, ça a quand même du cachet et ça donne une âme à cette équipe de voir ces gens rassemblés autour de ce slogan.

      Je pense aussi que l’annonce de la mort de Saracen Sr. n’aurait pas du être faite par Julie, la scène aurait surement été plus poignante et plus juste si Tim avait déposé Matt chez lui. Mais ça c’est peut être du au fait que je n’aime pas Julie et que je ne suis pas convaincue par son actrice. Maintenant, ça ne retranche rien à ces dernières putaines de minutes :p

      Texas Forever !

  • 4.03 In The Skin Of A Lion & 4.04 A Sort Of Homecoming

    J’vais pas faire de longs résumés car y’en a pas vraiment besoin. La série reste toujours la même, c’est-à-dire naviguant entre le très bon et l’excellent. On ne peut le nier, elle arrive à créer des moments de tension, de drame pur et d’humour impensables dans d’autres séries. Elle arrive à toucher un réalisme jusqu’alors presque inégalé (car sur d’autres terrains, on peut penser à The Wire, Mad Men, Oz, The Shield, les Sopranos...) et nous gratifie d’un grand nombre de scènes tout bonnement poignantes, et surtout réussit à nous surprendre encore et encore !

    Alors qu’on avait connu notre coach maitre de ses propres choix, maitre de sa propre équipe, et à des centaines années lumières d’être inquiet du futur de sa propre équipe de foot, le voilà en plein désarroi matériel et financier le mettant face à un mur qu’il n’avait jamais connu auparavant. Il est loin le beau temps des Panthers. Et là encore se grandit le gouffre entre les deux parties de la ville, poussant Eric à mettre la main à la poche - et pas une p’tite poche s’vous plait ! - pour avoir de nouveaux chasubles, de nouveaux équipements... pour avoir une équipe en somme !
    Par contre, le positif dans l’histoire, c’est qu’il réussit, à cette occasion, à re-motiver toute son équipe et à ne pas abandonner un match. Alors que pendant trois ans, on voulait que les Panthers gagnent, dorénavant on veut qu’Est Dillon finisse au moins un match. Donc quoi de mieux que de finir un match en évitant le ridicule "0" point ? Et c’est là la force de cette nouvelle saison, on nous force à suivre une équipe qui n’a pas le niveau de l’ancienne, avec de nouveaux joueurs, de nouvelles ambitions, et pourtant on est autant accroché que pour les matchs de haut niveau (vous savez, les matchs dans les grands stades, ou sur des terrains faits à la vite dans un champs...?!). C’est fort, et c’est drôlement bien géré !

    Et à ses côtés, la pauvre Tami est la risée de l’ensemble du staff’ des Panthers, mais également de tout le lycée, ce qui lui vaut des sifflements et des graff’ sur sa voiture. Son évolution l’a réellement poussée à devenir une femme forte, une femme d’action qui n’a peur de faire des choix importants, quitte à ce que ça déplaise. Eric avait subi ce genre de pressions durant trois années, mais là on ne peut pas passer à côté du fait que sa femme n’est pas plus en sécurité qu’il pouvait l’être après ses nombreuses victoires. Tami est contre une population pendue aux lèvres des McCoy, et j’ai peur que ça la déstabilise grandement, dans le sens où j’ai peur qu’elle ne réussisse pas à tenir le coup. Face à cette coalition sportive, j’ai vraiment peur qu’elle ne tienne plus la barre et qu’elle perde toute la foi qu’elle pouvait avoir. Hum, j’ai peur pour Tami !

    A côté de ça, même si les nombreuses autres storylines (Tim et sa nouvelle "petite amie", Landry et son charme renversant, Matt et sa destinée artistique...) ne sont pas des plus importantes et restent dans cette optique de complexifier la série - ce qui est tout à fait ce qu’il faut faire - il n’en reste pas moins qu’elles sortent des conventions, et nous proposent un nouveau regard sur la vie dans une bourgade texane. C’est toujours aussi bien écrit, j’ai la larme aux yeux devant quelques références à l’ancien temps (Texas forever !), je plains certains personnages alors que je souris aux nouvelles complicités qui naissent... Ah quoi bon, j’suis toujours aussi fan de FNL ! Merci les mecs

  • 404

    Cette série a le chic pour me briser le coeur. Teardrop.

    Les scènes à la chasse avec Matt et Riggins étaient du pur bonheur. J’ai beaucoup aimé le plongeon de Riggins lorsque Matt tire après le vent. Matt serait-il le Don Quichotte de Dillon ?

    L’échos du Texas forever au premier épisode était merveilleux. Le tout ne dérogeant pas avec le ton général de la série ; Dillon et son atmosphère douce amère. Je veux dire que ces deux mots prononcés par Matt, étaient nettement moins optimistes que ceux prononcés lors du pilote par Riggins et Street alors ayant des ambitions, des rêves. Ils étaient jeunes et insouciants. Devant le feu, Matt et Riggins discutaient comme deux vieux loups, pessimistes ou plutôt réalistes sur leur situation.
    Ces scènes resteront probablement parmi mes préférées de la série.

    J’aimerais avoir le tempérament (et le mari) de Tami. Cette femme est incroyable. Je suis toutefois étonnée que le Coach ne soit pas plus au courant de sa situation et de tous ce qui se dit de l’autre côté de la ville. Il est fort occupé me direz-vous. Et puis Julie n’est plus à East Dillon pour être également au courant.
    Juste une petite remarque... pourquoi ne change-t-elle pas la chaîne radio ?

    En ce qui concerne les nouveaux personnages, à part la voisine de Tim (je n’aime pas trop la tournure que pourraient prendre les choses), je les trouve plutôt chouettes. Pour le moment toutefois, je ne suis parvenue qu’à retenir un seul prénom, celui de Luke (et Devin mais on ne peut pas vraiment dire que c’est un nouveau personnage). Bizarre.

  • 4.05

    Pauvre, pauvre Cobra Saracen...
    Y a pas à dire, ça fait toujours du bien de se faire pourrir le moral par une série. Et là, ça ne manque pas. À part une petite scène de foot un peu joyeuse au début de l’épisode, vive la déprime. Et c’est tant mieux.

    Zach Gilford est ahurissant. Ok, en l’occurrence on lui a donné un super intrigue, mais il est plus qu’à la hauteur, et l’émotion ne m’a pas lâché du début à la fin. La scène sur le terrain de foot, celle devant le cercueil... pfiou.

    Les intrigues de Vince et Luke sont bonnes aussi, mais difficile de penser à autre chose qu’à Matt.

    Un petit reproche, histoire de râler, l’apparition parfaitement inutile de Minka Kelly. Non seulement ça n’apporte rien, mais en plus ça m’a fait penser que Smash, lui, aurait eu toutes les raisons d’être présent. Dommage. Et au moins, il passe à la télé pendant que le Coach s’occupe de sa fille mutante.

    • 4.05

      J’ai les neurones floutés par les larmes et je n’arrive plus à retrouver les exemples précis mais ce genre d’épisodes, généralement c’est pour remercier un acteur et son personnage avant son départ. Pour le coup, Gilford-Saracen restera longtemps dans les mémoires de tous ceux qui auront suivi FNL.
      Un magnifique hommage à Saracen qui prend les 3/4 de l’épisode et donne l’opportunité à Gilford de nous donner une immense prestation. Toutes ses scènes ahurissantes, mais celle du funérarium est démentielle. Je comprends pas que ce mec n’explose pas ailleurs.

      Y a pas à dire, ça fait toujours du bien de se faire pourrir le moral par une série.

      Avec le recul d’accord, parce que là va bien me falloir quelques semaines pour m’enlever la boule au ventre. Episode lacrymal longue durée...Je reste au lit tout le week end.

      Je le craignais tellement cet épisode qu’entre temps je me suis refait l’intégrale + bonus et deleted scenes, histoire de prendre des ondes positives avant le crash. Clairement nécessaire vu le specimen du jour...
      Même Matt et Vince ont réussi à me faire passer quelque chose, mais ça je le mets sur l’émotion Gilford.

      Un petit reproche, histoire de râler, l’apparition parfaitement inutile de Minka Kelly. Non seulement ça n’apporte rien, mais en plus ça m’a fait penser que Smash, lui, aurait eu toutes les raisons d’être présent.

      J’aurais adoré voir Smash débarquer, enfin adoré mais chialé de plus belle, je crois que son passage tv a encore plus d’effet émotionnel sur l’analyse de la situation de Matt. Pour Minka Kelly, je crois au contraire que c’est bien comme ça. Quand je l’ai vue au générique, j’étais super contente, j’aime vraiment beaucoup le personnage de Lyla et sa relation avec Tim (beaucoup, beaucoup). Mais leur histoire est un élément important d’autant plus qu’il nous raccorde aux saisons passées et l’ancien cast. C’était un épisode Saracen. La dissolution Lyla Tim ce sera pour le prochain ou le suivant...

    • suite : (parce que oui, déconcentrée par cet épisode)
      Je pense donc que Minka n’est pas inutile car si ce n’était pas le moment de développer la relation Tim Lyla, c’était tout de même important de voir un ancien cast et Lyla s’impose en étant la fille de Buddy et amorce les prochaines scènes avec Riggins. Les autres auraient fait cheveux sur la soupe et aucun d’entre eux, ç’aurait été négatif. (à mon avis)
  • 4x05

    Du bon, du très bon. Ca a déjà été dit, mais Zach Gilford était vraiment extraordinaire dans cet épisode, et Matt Saracen a droit à une superbe storyline, surtout en comparaison du stage chez son artiste qui m’avait laissé sur ma fin.

    J’ai aussi beaucoup aimé la performance de Aimee Teegarden, pas du niveau de celle de Matt, mais elle a tout de même eu le droit à quelques très belles scènes. Par contre Gracie Belle me fait peur à moi aussi, elle dit pas un mot, elle a le regard vide... Brrr, flippant.

    Le coach gère vraiment bien la situation et même si il s’agit d’aider son gendre, je le vois parfaitement agir de la même manière avec n’importe lequel de ses joueurs, sauf que certains risquerait de le prendre nettement moins bien (Vince par exemple).

    Pour ce qui est de Vince et des autres personnages, pas grand chose de nouveau. La mère de Vince est toujours camée, il fait toujours des conneries pas très légales, JD est toujours un petit con, Luke est toujours un brave gars (avec des amis cons), Becky est toujours aussi pleurnicharde, Jess est toujours aussi jolie. Bref, à part le retour de Lyla et la possible romance Luke/Becky, rien de bien nouveau.

    J’ai été un petit peu déçu du discours de Matt lors de l’enterrement, les scénaristes avait réussi à passer l’épisode entier sans aborder le sujet du bien-fondé de la guerre, et à se concentrer seulement sur la souffrance de la famille. Dommage qu’ils nous servent un petit relent de patriotisme sur la fin, heureusement que ce fut bref.
    Enfin, je les pardonne aisément, surtout pour la scène où les McCoy se font claquer la porte au nez lors de la veillée funèbre, c’était tout simplement jouissif !

  • 4.05 The Son

    Il fut fichtrement très très dur de pas verser des larmes devant cet épisode qui donne la part belle à l’émotion pure et dure, et à un Zach Gilford totalement bouleversant !

    Toutes ses scènes, qu’elles se déroulent chez lui, sur le terrain de foot, chez les Taylor ou à l’enterrement, étaient empruntes d’une puissance émotionnelle ahurissante. Les conséquences d’un tel évènement sur la vie de Matt n’étaient pas faciles à concrétiser en images mais le résultat est vraiment à la hauteur de mes espérances. C’est encore une fois la sobriété qui est reine, et ça m’fait du bien de voir qu’on peut nous foutre le moral à zéro avec un tel réalisme dans chacun des agissements des personnages. Alors qu’on nous avait pondu une sotryline pour Matt pas franchement captivante, ils ont réussi à la remanier pour nous offrir un excellent épisode. La performance de Zach G. est vraiment superbe, et quand il côtoie Aimee T, Kyle C ou Connie B., ce n’en est que meilleur. Et c’est là qu’on remarque que l’ensemble du cast est tout simplement magistral, et permet à FNL d’être l’une des meilleures séries qu’il m’ait été donné de voir.

    A côté de ça, il est vrai qu’on avance pas des masses avec les newbies mais j’n’en demandais pas tant, donc ça me convient parfaitement. J’apprécie néanmoins de plus en plus Luke qui, en allant à l’encontre du p’tit con de McCoy, ne peut qu’être vu sous un bon jour. Et étrangement, j’aurais bien voulu qu’il oriente son tir de Pain-ball sur lui plutôt que sur son autre pote !

    En vrac :

    - Lyla qui revient parmi ses amis Dillon-iens ?! Hum hum. Et sinon, dans l’histoire, elle vient faire quoi à part embrasser Matt dans le cou ? Fais gaffe à ton mec Julie, fais gaffe...
    - Les McCoy qui se font refouler de chez Matt. Grandiose, tout simplement grandiose !
    - Lyla, nan mais vraiment, Lyla ?!
    - Tim qui repousse Becky. J’crois que c’est bien la première fois que j’le vois comme ça ! Quel homme c’te Tim, quel homme !
    - Et pendant ce temps là, les East Dillon marquent de plus en plus de points. Ça sent une prochaine victoire !
    - Lyla ???!!

    • Lyla, nan mais vraiment, Lyla ?!

      J’me sens obligée de réagir sur Lyla. J’aime beaucoup Lyla.
      Alors oui, parfaitement, Lyla !
      Je ne reviens pas sur mon sentiment lié à son retour, je l’ai noté plus haut.
      J’ai juste envie de défendre un peu, comme je le peux le personnage de Lyla, je la sens un peu seule...
      Son personnage n’est sans doute pas aussi passionnant qu’un Matt ou qu’un Riggins, mais c’est le personnage féminin que je préfère du casting. Oui Lyla !

      J’ai été touchée par son évolution, depuis la chef pom-pom qui sort avec le quaterback avec une famille "bourgeoise locale" , elle part donc d’un statut de cliché sans intérêt. En trois ans elle a explosé son image de miss perfection en commettant quand même un sacré adultère et s’est retrouvé à un "statut social scolaire" aux antipodes. Dans son monde, elle a quand même eu une année de merde et son retour en fin de saison 1 à la tête des pom-pom et en assumant ses fautes, je trouve que c’est une très belle leçon, parce qu’elle n’a vraiment pas eu le chemin facile.
      Elle a découvert dans la même action ce que fait de pêcher en cédant à la passion et choisit de se retrouver et de passer à autre chose pour évoluer avec l’aide de la foi. Encore une fois pas aidée par son entourage. Pour moi, Lyla est un personnage ultra courageux.
      Cerise sur le gâteau, la passion elle l’a connaît avec Riggins (moi jalouse) et elle est la seule dont il tombe amoureux et pour qui il reste fidèle (moi encore plus jalouse).
      Enfin, même amoureuse de Riggins elle reste ancrée et choisit d’aller à Vanderbilt et de continuer à prendre sa vie en mains. Parce que c’est quand même elle qui sauve la confrontation de son père et de son oncle pour le prêt.

      Lyla est un personnage intelligent, courageux, humain, avec des failles et qui les affrontent seule et décide de la vie qu’elle veut mener. Parce que même si son père l’aime, c’est quand même un beau boulet le Buddy. Une Tyra fait ussi face à l’adversité, mais l’histoire de Lyla me touche plus. Quand à Tami, elle m’énerve depuis la saison 3 où elle a commencé à faire des erreurs, la première devenir la copine de McCoy. Et Julie n’a encore qu’une vie d’ado dans une famille stable avec des problématiques plus simples.
      Alors oui, parfaitement, Lyla !

  • J’me sens obligée de réagir sur Lyla. J’aime beaucoup Lyla. Alors oui, parfaitement, Lyla !

    Je ne retiens que ça, mais sache que j’ne pourrai pas contredire l’ensemble de tes propos vu que j’pense la même chose du personnage ! Le fait est que j’ai été (agréablement) surpris de revoir l’ex de Riggins, voire très surpris. Loin de moi le fait de renier son évolution sur trois années, mais la revoir comme ça, comme un cheveux sur la soupe, alors qu’on n’a eu aucune nouvelle depuis le Season Finale de l’année dernière, je trouve ça assez osé de la part des scénaristes. Personnellement, j’ne vois pas pourquoi c’est elle que les scénaristes ont choisie pour soit faire une apparition soit jouer les guest-star-clin d’oeil aux années précédentes ?

    Je reviens sur ce qu’a dit Ju, j’aurais plus misé sur Smash qui était nettement plus proche de Matt que n’avait pu l’être Lyla. Et là encore, aucune méprise sur mes propos hein, j’ai adoré le personnage de Lyla, mais je trouve très surprenant de la revoir en coup de vent durant l’enterrement du père de Matt. Encore pour une storyline concernant Buddy, j’n’y aurais sûrement vu qu’une belle manière de la faire revenir, et terminer brillamment avec son personnage (oui parce que Tyra et Lyla sont parties dans l’indifférence presque générale à mon goût !). Là, bizarrement, j’ne vois qu’une manière un peu téléphonée de faire un clin d’oeil aux précédentes saisons ! (Celui de Smash était tout de même bien introduit !)

    Quand à Tami, elle m’énerve depuis la saison 3 où elle a commencé à faire des erreurs, la première devenir la copine de McCoy

    Perso’, j’suis pas vraiment d’accord sur ce point ! Je trouve que c’est au contraire ce qui fait la force de Tami, la voir en tant que femme luttant avec ses problèmes quotidiens depuis qu’elle a accédé au rang de directrice est plus que bénéfique. A mon avis, la faire stagner sur le même registre de la femme aimante, ayant (heureusement) toujours raison, aurait été une erreur. La faire évoluer était dans la logique des choses, et commettre des erreurs (même si avec le recul, j’ne vois pas lesquelles ^^) fait partie de cette évolution. Tout comme Lyla, elle aussi peut faire les mauvais choix, et devenir directrice n’a fait que la propulser vers des conflits encore plus grands et ardus. Je trouve donc qu’elle gagne en épaisseur, et que ses confrontations, notamment avec les McCoy, ainsi que les divergences d’opinion qu’elle peut avoir avec la majorité de son lycée, vont amener à approfondir encore plus le personnage et à me la faire apprécier encore plus !

    Sullivan, qui adore Lyla hein !

  • Sullivan, qui adore Lyla hein !

    ok, les chevaux sont rentrés à l’écurie...

    mais je trouve très surprenant de la revoir en coup de vent durant l’enterrement du père de Matt. Encore pour une storyline concernant Buddy, j’n’y aurais sûrement vu qu’une belle manière de la faire revenir, et terminer brillamment avec son personnage

    Je crois sincèrement qu’avec un appel du pied à Smash par son match, Lyla était le retour le plus crédible d’un ancien cast. Fille de Buddy , elle est forcément au courant des funérailles (difficile de ne pas imaginer Buddy appelant Lyla pour l’informer que le père du quaterback est décédé), au delà de rendre hommage au copain, c’est aussi un personnage qui a la foi et pour qui ça compte. D’un point de vue scénaristique, je peux bien sûr me planter mais je pense que c’est le moyen d’ouvrir un petit arc justement sur le départ de Lyla dans l’un des deux épisodes suivants.
    Parce que :

    oui parce que Tyra et Lyla sont parties dans l’indifférence presque générale à mon goût !

    Totalement d’accord. Et la faire venir, ça fait embrayer sur son départ définitif, ses retrouvailles-rupture (quel malheur) avec Riggins que l’on a pas vues et va bien falloir donner un peu de lard à Taylor Kitsch qui ne fait pas grand chose depuis le début de cette saison.

    Je trouve que c’est au contraire ce qui fait la force de Tami, la voir en tant que femme luttant avec ses problèmes quotidiens depuis qu’elle a accédé au rang de directrice est plus que bénéfique.

    Je ne remets pas du tout en cause l’intérêt de voir Tami au poste de principale, rien à dire là dessus, ça la met face à de nouvelles adversités. Lorsque j’écris qu’elle m’énerve depuis la saison 3 et sa relation avec mrs McCoy, ce n’est pas tant parce qu’elle fait une erreur alors qu’elle n’en faisait pas avant, c’est qu’elle devient totalement aveugle devant cette problématique "arrivée et montée des McCoy". Elle que l’on nous montrait si perspicace et avec du recul depuis le début, j’ai vraiment vécu l’évolution de Tami comme une marche arrière totale en saison 3. Et pas à cause de ses affectations professionnelles. Elle devient hermétique. Elle veut une copine pour elle parce qu’elle est mal dans ses pompes et ne réfléchit pas. L’organisation du pep rallye chez les McCoy, mais j’avais des envies de gifles à ne la voir pas tilter une seule seconde, et son personnage ne m’avait pas habituer à cela. Pas l’erreur, l’hermétisme. Si je faisais ma mauvaise foi, je dirais qu’elle pousse un peu trop dans les aigues depuis la naissance de sa fille et sa compétition avec sa soeur...

  • 4.06

    Lettre au Père Noël :
    S’il vous plaît,faîtes que Matt soit heureux dans sa nouvelle vie, que Tim et Lyla se marient, fassent des enfants et vivent d’un amour éternel et que les Lions battent d’un point de pénalité les Panthers.

    Bon Dieu que j’aime FNL. Si Gilford n’est pas nominé aux Emmys 2010 je pète un cable.

    Avec cet épisode, j’ai enfin passé mon aversion pour Vince et Lauria. Mais Becky c’est toujours pas possible...

  • 406

    Shut up Becky ! Enfin !
    Merci Tim !

    Mon personnage préféré vient de quitter une des meilleures séries que je connaisse. Je suis à la fois triste et heureuse. Triste de voir ZG/MS s’en aller et heureuse de savoir que ce personnage est enfin "libre". Durant la dernière scène, j’avais les larmes aux yeux tout en esquissant un petit sourire.

    J’espère vraiment que Zach Gilford aura l’occasion de montrer tout le talent qu’il a dans de futurs projets. J’espère aussi que Matt refera quelques appartitions nous donnant l’occasion de revoir GrandMa Saracen. Les scènes entre Landry et Matt vont terriblement me manquer.

    • Shut up Becky ! Enfin ! Merci Tim !

      Je crois qu’il se sont fait un plaisir sadique à pousser cette réplique de Tim jusqu’à la dernière milli seconde où l’on pouvait supporter Becky émettre un son...

      ...heureuse de savoir que ce personnage est enfin « libre ». Durant la dernière scène, j’avais les larmes aux yeux tout en esquissant un petit sourire.

      Le demi sourire de Matt vaut tous les mots. Il m’a rendu ma respiration, j’étais en apnée depuis la semaine dernière.
      Ce final sur Bob Dylan "don’t think twice it’s alright" avec Matt au volant et la séparation Tim-Lyla. On pouvait pas trouver meilleure bande son.

  • Une excellente interview de Zach Gilford au Los Angeles Times sur les épisodes 4.05 et 4.06 et sur le personnage de Matt, trop bonne pour ne pas en parler, elle est ici

    Avec une dernière phrase de Gilford qui effacerait toute ma liste au Père Noël précédente :

    What do you see as the future for Matt ?
    He heads up to Chicago, and he’s figuring stuff out, I guess you can say. It’s all a little vague. But Jesse and I are waiting to see what happens to his character. If he leaves, him and I are going to try and make a spinoff

    .

  • 4.06

    Putain, FNL c’est un peu la meilleure série du Monde.

    Le 180° par rapport à la semaine dernière ne pourrait pas être plus marqué, j’ai passé la quasi totalité de l’épisode le sourire aux lèvres. Tout ça pour être complètement ému ET très heureux pendant les dernières minutes. Simplement merveilleux. Et toujours magnifiquement réalisé, il ne faudrait pas l’oublier.

    Vraiment un très bel épisode, du début à la fin, absolument parfait en ce qui me concerne.

    Et j’aime toujours Becky. Tout en ayant été ravi de la petit phrase de Tim. Parfait, je vous dis.

  • 4.06 Stay

    "Shut Up Becky, please !". Du Tim, tout simplement ! Simple mais sacrément efficace, la classe à l’état pur. Bravo m’sieur !

    Avec cet épisode, on change totalement de registre, et comme l’a dit Ju, on passe plus de temps à sourire qu’à essuyer nos tombées lacrymales. Ça fait du bien de voir, enfin, un Matt qui semble heureux : Le demi sourire qu’il nous lâche à la toute fin de l’épisode, alors qu’il quitte Dillon, et se dirige vers l’inconnu sur une bien belle ambiance musicale, me rassure quant à l’état d’esprit dans lequel il est.

    C’est également l’épisode des ruptures, des ruptures qui mettent fin à des storylines quelque peu importantes : Matt, après un arrêt chez lui, quitte le bercail Dillon-ien et laisse ainsi notre Julie en désarroi complet. La progression dans la révélation finale est parfaite, car c’est seulement avec quelques petits passages (Dans la chambre d’hôtel, au festival, dans la voiture et enfin chez les Taylor) qu’on nous prépare à l’effondrement de la jeune blonde.

    Et de l’autre côté, Lyla revient vraiment dans la série pour un départ encore plus cruel : La pauvre Tim espérait vivre un beau rêve avec elle, et avait même, dans une insouciance craquante, fait des projets qui incluaient sa petite amie en tant que vraie pièce maitresse de leur avenir. Lyla quitte la série d’une façon également très bien maitrisée, et tout comme Tim, on reste décontenancé, et on aimerait bien avoir un Pick-Up pour s’appuyer comme il le fait devant le "Dillon Bus Depot". Lyla a droit à une belle sortie, à l’image de son personnage qui n’en avait pas besoin de plus pour parachever une évolution parfaite. I miss you Lyla !

    Et à côté de ça, on reste dans du FNL tout crâché, c’est-à-dire une exploitation des personnages brillante, des matchs de foot’ emprunts encore d’une excellente émotion, et une B.O décapante !

    En vrac :

    - J’me suis trompé en disant que j’adorais Lyla. C’est faux, j’suis amoureux d’elle, y’a pas d’autres mots je crois ! ^^
    - Gracy Bell qui sourit, et qui a tout de suite un peu plus de charme. Je crois que c’est son loooong front, et sa coiffure qui la désavantagent carrément !
    - Une B.O et une réalisation magnifiques !
    - L’assistant gay du coach Taylor me fait toujours autant délirer, et je pense qu’il va progressivement avoir son importance ! Et j’ose espérer qu’il a le béguin pour Eric, ça risque d’amener à des scènes particulièrement intéressantes !
    - Lyla est revenue, on peut espérer revoir Tyra ?! (Peut être avec une autre histoire de meurtre, et de "jetage" de corps dans l’eau ?! ^^)

    Sullivan

  • 4.07

    C’est un peu dommage que le dernier épisode avant la pause (la série reprend le 6 janvier) soit celui-là, et non pas le précédent. Pas que l’épisode soit raté, c’est juste qu’il ouvre tellement de pistes pour la suite et fin de saison qu’il aurait sans doute était mieux placé avec les suivants (là où justement le précédent apportait une belle conclusion à la première partie de la saison).

    L’épisode aborde beaucoup, beaucoup d’intrigues, et il en souffre un peu je trouve. On a Julie sans Matt, Landry et "Tyra", Becky et son père, Luke et le sien, les Riggins et les strip-teaseuses, Vince et le Coach... ça fait déjà beaucoup, alors avec tout ça, j’aurais sans soute pu me passer de Glenn et Tami. Surtout si c’était pour qu’elle ne chante même pas...

    Mais bon, avec une scène comme celle où Julie rend visite à Grandma et Shelby, j’y trouve déjà mon compte niveau émotion, le reste c’est que du bonus.

    Et Tinker est formidable chaque semaine, avec ses 30 secondes d’apparition hebdomadaire.

    • 4.07

      Comme Ju, je pense que l’épisode précédent aurait été le parfait fall finale. On est entré dans une nouvelle ère FNL avec le 4.07.

      J’ai abordé cet épisode les yeux et les oreilles grands ouverts me demandant comment ils allaient faire une suite qui ne soit pas d’une fadeur extrême en comparaison aux semaines précédentes. Le talent est encore là.
      On se retrouve plongé dans le quotidien de Dillon. Ca m’a donné un peu mal au coeur. Le season premiere m’avait révoltée à cause de la rupture et de la perte du cast principal. Trop vite, trop dur, pas prête. Puis, les trois derniers épisodes ont provoqué un deuil forcé des trois premières saisons et de leurs émotions. Cet épisode, est pour moi l’entrée dans le cast 2.0. Faire de la résistance n’a plus aucun sens. Matt, Tyra reviendront sans doute faire un coucou pour des arcs courts, dans cette saison ou la suivante, mais là j’ai plus le choix, il faut ouvrir la porte aux nouveaux. J’ai du mal mais j’y viens.

      Alors le moment karaoké, je l’ai vu venir depuis la saison 3. Il aura mis le temps. J’aurais aimé qu’ils soient surpris par quelqu’un. C’est évident que Tami ne trompera pas son mari mais un quiproquo public ç’aurait été marrant. L’histoire de Vince, je la trouve un peu facile et ils jouent la carte du "coach-de-foot-coach-de-ma-vie" un peu trop fort à mon goût. J’aurais préféré un crescendo plus long pour arriver à cette finalité, parce que la destruction d’arme, c’est pas rien, même si on est au Texas. L’intrigue des petits nouveaux que j’ai préférée, c’est Luke coincé au ranch, aidé par Tinker pour finir sur la blessure. Très intéressant, très belle ouverture.

      Cela dit, l’ancien cast domine totalement. Que Landry sorte avec la fille du footeux, pourquoi pas. Tyra reviendra à un moment, en saison 5 je crois, mais leur relation m’amusait plus qu’elle ne m’intéressait. Pourquoi pas. Mais tout ce qui tourne autour de Becky, je suis allergique. Dès qu’elle est à l’écran à moins d’1m de Riggins j’ai une poussée d’ulcère. Par PITIE qu’il ne se passe rien entre les deux. J’ai envie de voir grandir Riggins, le voir se prendre en mains, et la dernière scène...avec son chien...j’ai adoré.
      Enfin, je ne suis pas une fan de Julie Taylor. Vraiment pas, ses histoires étaient trop enfantines jusqu’ici. Je la trouve géniale dans deux épisodes : le powderpuff en saison 1, et dans l’épisode 4.07. Je l’ai trouvée très juste et elle m’a beaucoup émue. Et j’aime vraiment beaucoup la mère de Matt. Depuis sa première apparition.

      Après, pendant la baby shower, il y a une idée qui m’est passée par la tête : le frère de Tim va faire un deal qui tourne mal et il va mourir. Laissant Tim avec un neveu. Le genre de truc qui me passe par la tête en une demi seconde...

      Anecdote : je suis allée voir the blind side au ciné hier. Première image du film : le maillot d’un joueur, Riggins. Je me dis, ok, clin d’oeil, marrant. 10mn après, un des personnages secondaires, le frère adoptif du défenseur, est joué par le gamin qui était fan de Riggins, le petit voisin qui courait partout (et qui court toujours partout dans le film). Dès qu’on parle de foot, les références à FNL apparaissent...Ou je suis obsédée par FNL ce qui n’est pas à exclure...

  • L’épisode aborde beaucoup, beaucoup d’intrigues, et il en souffre un peu je trouve. On a Julie sans Matt, Landry et « Tyra », Becky et son père, Luke et le sien, les Riggins et les strip-teaseuses, Vince et le Coach... ça fait déjà beaucoup, alors avec tout ça, j’aurais sans soute pu me passer de Glenn et Tami. Surtout si c’était pour qu’elle ne chante même pas...

    Mais bon, avec une scène comme celle où Julie rend visite à Grandma et Shelby, j’y trouve déjà mon compte niveau émotion, le reste c’est que du bonus.

    Je n’ai pas vu du tout le même épisode.
    Moi qui suis d’habitude un grand fan de Julie, j’ai trouvé son intrigue nulle. (il faut relativiser mon "nulle", c’est tout de même FNL). Elle m’a énervé tout du long à pleurnicher à ce point, avec des trucs pas subtils qui lui rappellent l’absence de Matt.

    Le reste, j’ai adoré. Surtout les nouveaux. L’intrigue de Vince et du coach était géniale, Luke s’en sort toujours merveilleusement, et Tinker prend de l’ampleur. Je suis peut-être le seul, mais j’ai plutôt aimé Glenn dans son intrigue avec Tami. Même si on sentait la chose venir à 15 kilomètres, sa réaction et ses excuses étaient merveilleusement écrites et jouées.

    Je n’ai pas spécialement été gêné par la quantité d’intrigue, ça fait du bien de temps de se perdre un peu dans Dillon et de se souvenir qu’il y a autant de personnages importants. Et puis il faut relancer la machine qui s’était un peu ralentie pour laisser la place à Matt pendant 2 épisodes.

    Je n’ai pas bien compris la conclusion sur Riggins, et j’en ai un peu honte, moi qui 5 minutes avant me disait que c’était agréable de regarder une série où on nous prend pas pour des cons en nous expliquant la moindre émotion/action de manière grossière...

    • Je n’ai pas bien compris la conclusion sur Riggins, et j’en ai un peu honte, moi qui 5 minutes avant me disait que c’était agréable de regarder une série où on nous prend pas pour des cons en nous expliquant la moindre émotion/action de manière grossière...

      Pour moi ça fait suite à sa conversation avec Lyla dans l’épisode précédent. Elle lui demandait ce qu’il voulait dans la vie, il lui répondait elle, et c’est tout.

      Dans cette scène, Tim se trouve enfin quelque chose qu’il veut dans la vie (un Ranch... comme dans le pilote, d’ailleurs). Reste à voir comment il va essayer de réaliser son nouveau rêve.

    • Je n’ai pas bien compris la conclusion sur Riggins

      Pour moi ça fait suite à sa conversation avec Lyla

      Pour moi cette scène c’est le début de l’évolution de Riggins suite à l’electrochoc Lyla qui lui mettait le nez dans son absence d’ambition, voire de volonté tout court.

      Riggins prend un chien pour palier à son manque d’amour maladif ce qui devrait nous éviter de le revoir se perdre dans tous les bras féminins de Dillon et d’avancer.
      Retour à sa première envie intrasèque du pilote, comme le rappelle Ju, (en tout cas on aura pensé à la même chose), son ranch, son Texas forever, un fusil, un chien, des enfants qui jouent au foot et une femme à la maison. Le bonheur quoi.
      A lui d’acheter son champs maintenant...

      Et je crois qu’il va devenir responsable de son neveu. Mort ou prison, le frangin va gicler à un moment.

  • 4.07 In the bag

    Un épisode qui ne se prend pas les pieds dans le filet, malgré l’explosion d’intrigues se mêlant les unes aux autres. Il était dur de développer quelque chose de convenable après l’excellent épisode de la semaine dernière sur le départ de Matt, mais je trouve que les scénaristes s’en sont plutôt pas mal débrouillés, avec une Julie dans le meilleur de sa forme. On devait faire face à son état de déprime, l’occulter aurait été une grave erreur et n’aurait pas suivi la logique relationnelle qui unissait Matt et Julie.
    Le résultat est excellent, et FNL nous montre une Julie totalement perdue, et faisant réellement face à la perte - affective ! - de son petit ami. Le fait qu’elle craque au moment du concours/challenge lycéen était simple mais sacrément touchant. Un moment sublimé, encore une fois, par la présence de Tami ^^

    Sinon, c’est officiel - là encore ! - mais Becky m’insupporte, aussi bien son intrigue que le personnage ! Je trouve qu’elle ne sert strictement à rien, à part être une fille complètement désespérée et cherchant à tout prix à s’faire Tim Riggins, le conducteur en chef pour l’amener en cours, et celui qui squatte sa caravane. Je ne sais vraiment pas où ils veulent en venir avec elle, mais elle écope d’une intrigue faiblarde diminuant fortement la qualité de l’épisode. Et je trouve également qu’ils n’ont pas choisi la meilleure actrice qui, à mon avis, sur-joue beaucoup trop !

    Après, pendant la baby shower, il y a une idée qui m’est passée par la tête : le frère de Tim va faire un deal qui tourne mal et il va mourir. Laissant Tim avec un neveu. Le genre de truc qui me passe par la tête en une demi seconde..

    .

    =D

    Étrangement, j’ai pensé exactement la même chose. Dès que j’ai vu le pote de Vince, et dès que je l’ai vu se rapprocher de Billy, j’ai eu la sensation que ça allait mal tourner. Surtout que sa petite vie familiale est bien trop parfaite - en dehors de l’assurance médicale défaillante ! - pour être dans FNL. Personnellement, je vise plutôt un séjour en prison... Et ça sera peut être, entre autres, le déclic pour faire réagir Tim, et le faire grandir. Voir son frère toucher le fond, alors qu’il a tout pour lui, l’amènerait à réévaluer sa propre situation, et à tout faire pour éviter d’être dans le même merdier. En tout cas, le fait d’avoir pris un chien, et de penser à racheter 25 hectares de terrain, c’est le début d’une belle évolution pour le personnage. La discussion avec Lyla, et son départ précipité, ont du bien le secouer ! J’le kiffe ce Tim !

    A côté de ça, les intrigues ne sont pas forcément extraordinaires, mais vu que c’est du FNL, ça se regarde sans grande difficulté. On retrouve notre coach en véritable père sportif prêt à tout - faire disparaitre une arme - pour le bien être de ses joueurs. Ce côté "Papa-poule" m’avait manqué, et me ramène aux intrigues de Smash ou de Riggins !

    En vrac :

    - Où va mener la blessure de Luke ? Sera-t-il capable de jouer pour le prochain match ?
    - Landry, seul, à attendre Tyra. C’était une bien belle scène de monologue qui met enfin un terme à l’intrigue "Tyra-Landry" !
    - Tinker a définitivement la classe... mais je m’attendais quand même à ce qu’il réussisse à ramener quelques collègues footeux. L’arrivée de 5-6 footballeurs, avec en arrière scène un superbe couché de soleil, ça l’aurait fait grave ! ^^
    - Tami va-t-elle dire à son mari que Glenn l’a embrassée ou en a-t-on fini avec cette histoire ? Car l’ultime scène entre le proviseur et "le superbe chanteur de karaoké" était parfaite à mon goût...
    - Le quota de Gracy Bell est toujours là... toujours !

    Sullivan

  • 4.08

    Préambule : les commentaires qui suivent ne remettent en rien le fait que FNL est toujours aussi géniale.

    Je suis énervée par la ligne qui est attribuée à Tim. Le dernier commentaire de l’épisode est totalement négatif et je refuse de croire que c’est ce personnage que les scénaristes veulent nous faire adopter. On a Buddy qui nous explique que Taylor a su transformer ces jeunes, les faire devenir une équipe, etc, et après un plan sur Tim qui s’enfonce dans la connerie ? Je ne suis pas d’accord avec cette ligne.

    Pas de changement pour Becky, elle m’est toujours aussi inutile et insupportable, et Vince prend un peu de matière, c’est agréable.
    Julie a tendance à n’avoir que des scènes de rebellion d’ado envers ses parents depuis le début de FNL. Ici, j’ai aimé son entretien à la fac. On lui donne un peu plus d’épaisseur, à petites doses, mais ça lui va bien je trouve.

    • 4.08

      Préambule : les commentaires qui suivent ne remettent en rien le fait que FNL est toujours aussi géniale.

      Non, mais c’est pas parce que tout le monde où presque dans la rédac’ et sur le forum adore FNL qu’on n’a pas le droit de critiquer, hein... La preuve : j’étais moyennement convaincu par l’intrigue de Julie cette semaine (mais j’ai aimé son entretien d’entrée), et j’ai trouvé Taylor Kitsh très limite dans sa première scène d’engueulade avec Billy (mais très bon dans sa dernière où, étrangement, il avait moins de lignes de dialogues).

      Et toutes les dernières minutes avec le match étaient fabuleuses. Et je suis assez content de voir la série sortir un peu de la caricature avec le pote de Vince. Je crois que c’était la première fois qu’on le voyait sourire et être un peu positif en 8 épisodes.
      Oui, c’est un antagoniste, mais un peu de nuance c’est bien aussi.

      Le dernier commentaire de l’épisode est totalement négatif et je refuse de croire que c’est ce personnage que les scénaristes veulent nous faire adopter. On a Buddy qui nous explique que Taylor a su transformer ces jeunes, les faire devenir une équipe, etc, et après un plan sur Tim qui s’enfonce dans la connerie ?

      Je ne suis pas sûr de saisir ton problème. C’est la superposition (volontaire) entre le commentaire de Buddy et l’intrigue de TIm qui te choque, ou simplement l’intrigue de Tim ?

      Moi, en dépit du fait que je suis assez méfiant quant à ce pan de l’intrigue (ça me rappelle sans doute trop la saison 2), j’ai trouvé ça plutôt malin. Et assez triste, de voir Tim suivre ce chemin (encore une fois, ce n’est pas la première fois). La scène où il rejoint son frère m’a fait mal au coeur.

      Pas de changement pour Becky, elle m’est toujours aussi inutile et insupportable, et Vince prend un peu de matière, c’est agréable.

      Personnellement, j’ai toujours autant Becky (bien que comprenant très bien ce qu’on peut lui reprocher). Et j’ai trouvé Vince très bien dans son intrigue avec Jess, j’en demande encore.

    • et toutes les dernières minutes avec le match étaient fabuleuses.

      C’est vrai. Même si elles m’ont fait pensé tout le long que mudgame de saison 1.

      je ne suis pas sûr de saisir ton problème. C’est la superposition (volontaire) entre le commentaire de Buddy et l’intrigue de TIm qui te choque, ou simplement l’intrigue de Tim ?

      C’est la superposition bien sûr. Appliquer la scène des Riggins sur la fin de commentaire de Buddy, je l’ai compris comme "vous voyez, Taylor a su modeler des gamins qui étaient un peu paumés (pour faire simple) pour en faire une équipe de supers mecs. Et si Buddy parle des Lions, il m’a semblé évident par le montage des images que ce commentaire s’appliquait aussi aux Panthers sous Taylor incluant Tim (et aux talents de du coach en général). Et à ce moment, on voit Tim qui choisit l’illégalité et la facilité, reniant ainsi le coaching qu’il a eu pendant 3 ans.
      Alors là où je ne suis pas d’accord, c’est quand on nous dit, "regardez Tim finalement il ne peut être que bien quand il est au coeur d’une équipe sous Taylor, parce qu’il n’apprend rien et gâche tout son enseignement", alors que les épisodes précédents, on nous l’avait montré évoluer dans le bons sens.

      et assez triste, de voir Tim suivre ce chemin (encore une fois, ce n’est pas la première fois).

      C’est justement ce reniement de son évolution qui m’énerve. Evidemment que Tim ne peut pas devenir golden boy et acheter son terrain en 3 épisodes (ce sera peut être le moment final de Riggins dans FNL), faut rester dans le sujet, mais je ne suis pas convaincue qu’en faire un pire looser que son frère soit la bonne direction pour son personnage, pas convaincue du tout.

      La scène où il rejoint son frère m’a fait mal au coeur.

      Celle là plus celle de son entretien pour vendre des matelas, mais arrachez moi le coeur !

  • 4x08

    J’ai rarement eu aussi mal au coeur devant mon écran, et envie de crier "bordel de merde espèce d’abruti !". Mais dans le bon sens, hein.

    C’est horrible de voir Tim amorcer une descente aux enfers certaine, mais c’est riche. C’est énervant de le voir renier son évolution des dernières années, mais c’est logique. J’aurais par contre préféré qu’ils jouent la carte de la solidarité fraternelle plutôt que celle du "je veux mon ranch à moi", mais soit.

    Pour Tim, j’ai surtout tiqué par rapport à son comportement envers Luke, je ne vois pas bien pourquoi il l’aide à empirer son état physique alors qu’il avait l’air plutôt à l’écoute des joueurs depuis le début, et jouant le soutien.

    Julie ne m’a pas passionnée, mais Connie Britton m’impressionne toujours autant, même quand elle dit des trucs aussi débiles que "c’est toi mon rêve", j’y crois.

    J’ai déjà mal d’avance pour Landry, qui va se faire balader pendant un moment avant que sa copine ne lui brise le coeur pour aller rejoindre Vince (mention spéciale à sa mère, excellente dans cet épisode en seulement deux scènes).

    Bref, mon coeur risque de lâcher avant la fin de la saison, étant donné ce qui s’est amorcé ici. Ne manque plus qu’un froid dans le couple Taylor et je pourrai me payer une déprime digne des grandes heures de Six Feet Under.

    C’est bon de souffrir, mais à petites doses !

    • C’est horrible de voir Tim amorcer une descente aux enfers certaine, mais c’est riche. C’est énervant de le voir renier son évolution des dernières années, mais c’est logique.

      C’est justement cette logique que je n’arrive ni à voir, ni à comprendre. FNL n’est pas une série sur les loosers et les abrutis qui ne comprennent rien. C’est tout le contraire !!!

      J’aurais par contre préféré qu’ils jouent la carte de la solidarité fraternelle plutôt que celle du « je veux mon ranch à moi », mais soit.


      Si Tim avait joué la carte "de la solidarité fraternelle", ç’aurait marqué pour moi le reniement de tout, ç’aurait été pire. Là il est entré dans une logique "tout faire pour réaliser son rêve", je peux le comprendre. La fraternité, pour moi ça voulait dire, "je n’ai rien compris à la vie et surtout pas après la connerie de voler les tuyaux de cuivre ou de je ne sais plus quoi". On a quand même vu qu’il avait pris un peu plomb dans le cerveau, et qu’il décidait enfin de grandir et de faire quelque chose pour lui, pas juste protéger le frangin abruti. On va pas lui effacer tout ça quand même !?

      Pour Tim, j’ai surtout tiqué par rapport à son comportement envers Luke, je ne vois pas bien pourquoi il l’aide à empirer son état physique alors qu’il avait l’air plutôt à l’écoute des joueurs depuis le début, et jouant le soutien.

      C’est marrant que tu la prennes comme ça cette scène. J’ai plutôt vu une franche camaraderie sportive qui se donne les tuyaux pour se permettre de jouer. C’est très courant dans le sport. C’est pas comme s’il l’avait fourni en produits dopants. Ca ne m’a pas du tout interpellée. Au contraire j’ai vu "Tim le grand frère ancien panther".

  • J’ai rarement eu aussi mal au coeur devant mon écran, et envie de crier « bordel de merde espèce d’abruti ! ». Mais dans le bon sens, hein

    Exactement la même chose ! Et tu vois, j’m’attendais à ce qu’on finisse l’épisode sur une note nettement plus enjouée, genre Julie et Tami s’embrassant, tout en marchant vers un soleil disparaissant à l’horizon, ou genre Landry s’amusant comme un p’tit foufou avec son requin en plastique !
    J’étais pour le moins désabusé. Prendre un revers aussi violent, c’était pas ce à quoi je m’attendais : Être aux anges face à la victoire des Est Dillon m’aurait amplement suffi et m’aurait réjoui quant à la carrière d’Eric qui reprenait du poil de la bête. Pourquoi s’acharner autant sur Tim Riggins qui ne veut qu’une chose "SON RANCH A LUI" (Là faut juste imaginer Michael gueuler "Waaaaaaaalllllt") !

    C’est pourtant pas difficile d’achever sa storyline, nan ? Il bosse en tant que vendeur électro-ménager pendant plus de 10 ans et hop, il l’a son ranch ! Je reste dégouté mais à vrai dire, c’est dans une logique presque intrinsèque à la famille Riggins. Leur relation fraternelle les a poussés à prendre pratiquement que des mauvais choix (Dès le pilot quand on le voit glander sur le canap’ avec Tyra, avant d’entamer un pack de 6 !), et même si depuis quelques temps la roue avait tournée, il fallait bien un nouvel évènement pour remettre les frères sur la mauvaise pente. Je me répète, mais je préfèrerai nettement que Billy meurt... Là on aurait du bon Taylor Kitsh !

    Le pauvre, on ne peut pas dire que le début de saison soit tendre avec lui : Se faire larguer gentiment par Lyla, abandonner la fac dès le premier cours, vivre dans une caravane aux côtés d’une barmaid et de sa fille (un peu trop soulante à mon goût, et au jeu totalement limité !), et maintenant bosser avec son frangin en toute illégalité. Heu, ça va le mener où ça ? A mon avis, et ce pour faire un total contre-poids avec le futur plutôt réjouissant vers lequel se destinent tous les anciens (Smash, Matt, Lyla, Jason...), je le vois bien s’orienter vers quelque chose de très mauvais. Un drame de plus dans FNL !

    A côté de ça, les intrigues amoureuses de Landry me font mal au cœur pour le jeune garçon qu’il est, et surtout vu la complicité qu’il y a entre Vince et Jess, j’ai peur qu’il tombe de haut, et qu’il en bave, encore ! Et pourquoi pas une confrontation Landry-Vince au sein de l’équipe ?! Ça peut donner quelque chose d’intéressant !

    Julie suit son petit bonhomme de chemin sans vraiment m’intéresser mais ses scènes en commun avec Connie Britton sont toujours aussi excellentes (Et ce, même avec des propos "too much" qui s’apprécient pleinement ici, comme tu l’as dit Gizz)

    Sullivan

  • C’est justement cette logique que je n’arrive ni à voir, ni à comprendre. FNL n’est pas une série sur les loosers et les abrutis qui ne comprennent rien. C’est tout le contraire !!!

    C’est une série sur des gens qui ont des qualités et des défauts, et qui vivent dans une ville du fin fond du Texas. Ils font avec leur environnement et leur caractère, et si les plus motivés s’en sortent pour aller vers de plus beaux horizons, ceux qui n’ont pas le "courage" ou pas l’opportunité choisissent de rester et/ou de sombrer.

    Même si ça nous fait mal au coeur, c’est normal d’avoir des personnages qui ne réussissent pas. C’est ce qui a fait que la 4ème saison de The Wire reste un de mes souvenirs les plus forts de télévision, avec ces gamins attachants, intelligents et faisant tout pour sortir de leur ghetto qui finissent morts ou dealers.

    C’est marrant que tu la prennes comme ça cette scène. J’ai plutôt vu une franche camaraderie sportive qui se donne les tuyaux pour se permettre de jouer. C’est très courant dans le sport. C’est pas comme s’il l’avait fourni en produits dopants. Ca ne m’a pas du tout interpellée. Au contraire j’ai vu « Tim le grand frère ancien panther ».

    Luke est clairement mal en point, et surdose ses médicaments. Tim le sait (il lui a dit franchement) et lui donne le tuyau. C’est de la camaraderie effectivement, et ça part d’un bon sentiment, mais c’est complètement irresponsable, et c’est certain qu’il va arriver des malheurs à Luke à cause de cette blessure cachée, avec d’énormes conséquences (des répercussions sur le coach Taylor ?).

    il fallait bien un nouvel évènement pour remettre les frères sur la mauvaise pente. Je me répète, mais je préfèrerai nettement que Billy meurt... Là on aurait du bon Taylor Kitsh !

    Je pense que ça va arriver. Ou du moins il risque de terminer en tôle (en portant tout le chapeau pour couvrir Tim, histoire de le trouver sympathique une dernière fois ?). Je viens d’ailleurs de me faire la réflexion de l’absence de conséquences de la délinquance dans la série. On y voit très peu la police, et très peu de méfaits (nous rangeons tous la saison 2 dans un coin de notre mémoire) à part pour l’introduction de Vince. Ce serait peut être un "bon" côté à traiter pour les scénaristes.

  • Ils font avec leur environnement et leur caractère, et si les plus motivés s’en sortent pour aller vers de plus beaux horizons, ceux qui n’ont pas le « courage » ou pas l’opportunité choisissent de rester et/ou de sombrer.

    Même si ça nous fait mal au coeur, c’est normal d’avoir des personnages qui ne réussissent pas.

    C’est évident que l’émotionnel entre en ligne de compte lorsqu’une série est si bien faite et nous prend autant les tripes.
    Ce que je retiens pourtant, c’est que je n’ai vu aucun jeune de FNL sombrer. Accident, dopage, environnement familial, meurtre, etc, il n’y en a pas un qui ait fait marche arrière. Des personnages faibles, qui se plantent et qui grandissent, pour moi c’est le coeur de la série. Les personnages faibles qui rament et s’enfoncent sans espoir, je les retrouve dans la génération du dessus : Billy, la mère de Tyra, Buddy, le père de JD, le père de Matt, chacun à leur degré bien sûr. Les Taylors sont les seules figures parentales (importantes) totalement positives.
    Quant aux enfants, qu’ils rament dans leurs merdiers respectifs, ou non, j’ai toujours ressenti une note d’espoir, qu’il m’a fallu attendre parfois plusieurs épisodes pour la fin de l’arc, mais elle est venue, et ma respiration avec. Alors peut être que Tim va avoir (encore) une révélation la semaine prochaine ou la suivante, mais je ne comprends pas pourquoi, on déciderait de le planter, lui et seulement lui.
    Depuis quelques épisodes je pensais à la mort puis à l’emprisonnement de Billy, ça me semble de plus en plus logique, pour faire le dernier nécessaire ultrachoc de Tim. Il peut être tellement bêta parfois que ça prend plus de temps avec lui... Je me serais emballée trop vite et je repenserais à mes chevaux sortis au galop avec soulagement. Je l’espère

    Je n’ai pas eu l’occasion de suivre les 4 saisons de the Wire, donc je n’en connais pas l’essence, des séries qui m’ont plombée le moral par leur pessimisme et noirceur, j’en ai quand même eu. C’est une chose. Là, ce qui me rend peut être un peu trop obsessionnelle, (toutes mes excuses), c’est vraiment que je ressent FNL comme une série qui fait grandir, pas l’inverse.

    Je viens d’ailleurs de me faire la réflexion de l’absence de conséquences de la délinquance dans la série. On y voit très peu la police, et très peu de méfaits (nous rangeons tous la saison 2 dans un coin de notre mémoire) à part pour l’introduction de Vince. Ce serait peut être un « bon » côté à traiter pour les scénaristes.

    Ce début de saison et la présence de ce nouveau thème m’a beaucoup gênée et j’ai eu du mal à m’y adapter, mais il y avait beaucoup en même temps, le renouvellement du cast qui en était la source. Je l’ai ressenti comme hors sujet, mais je sais bien que "le rejet de la nouveauté est un mécanisme de défense pour ensuite s’y faire doucement". Alors je me suis dit qu’ils n’avaient pas 36 possibilités :

    - on garde le cast et il se retrouve éparpillé parce qu’ils sont diplômés : merdier quasi garanti, on perd le sens communautaire

    - on change le cast et on garde les mêmes thèmes : aucun intérêt pour une série de ce niveau

    - on change une grande partie du cast avec de nouveaux thèmes. Ca semble la plus rationnel sur le papier. Mais du coup on a changé de communauté, et si un esprit communautaire est toujours présent - parce que ce sentiment de communauté est quand même l’essence de FNL - ce n’est plus le même, et parler de la délinquance et de l’intrusion du système policier et/ou judiciaire, cela resterait, même avec du temps pour s’adapter, hors sujet pour moi. D’où la saison 2 un peu à part.
    Difficile d’apporter ce degré sans changer l’oeuvre. Il y a des séries policières, judiciaires, et il y a des dramas. Je pense que cet aspect ne peut être abordé qu’en petites touches pour appuyer un arc, mais cela ne devrait pas prendre plus d’ampleur.

  • 4.09

    C’est le premier épisode de la saison 4 auquel je n’accroche vraiment pas. Les quelques dernières minutes étaient chouettes, avec le match, mais le reste j’ai eu beaucoup de mal.

    Sauf l’intrigue de Vince et du père de Jess, qui m’a beaucoup plu. Et de voir D’Angelo Barksdale et Wallace dans le même épisode (sans être dans la même scène, malheureusement.

    Le reste, l’intrigue hyper casse gueule de Becky, le truc chiant de Julie, le Triangle Amoureux de Landry.... ouaip ouaip ouaip, c’était pas bien du tout. Et heureusement que l’intrigue d’Eric s’est améliorée sur la fin, parce que ça commençait mal.

    • 4.09

      Un épisode en demi ton. J’ai un arrière goût comme quoi l’épisode repose sur le nouveau cast et que c’est un peu léger, il aurait pu y avoir plus de relief.
      L’intrigue autour de Becky est très mal gérée à mon sens. Je ne suis sans doute pas objective par rapport au personnage qui m’indiffère ou m’énerve, ça dépend, mais là, sa grossesse, avec Luke, c’est quand même un sacré cheveu sur la soupe sorti de nulle part. Le thème aurait sans doute tenu la route amené différemment.

      Le personnage de Steve Harris, refusait tout contact et tout implication avec le foot, là tout d’un coup il ne peut pas être plus dedans... L’intrigue autour du match est intéressante, mais là encore, un développement ultra rapide.

      En fait, les précédents épisodes nous ont tellement impliqués dans les arcs (très forts) de Matt puis Riggins, que là, ils ont besoin de nouvelle matière et c’est comme s’il me manquait 1° d’un épisode de transition et 2°de relief.

  • 4.09

    Jusqu’à ce que Becky parle avec Luke, j’étais en pleine confusion. Je me demandais vraiment avec qui des deux garçons elle avait couché. Ça m’a un peu mis en rogne parce que avec cette information, j’aurais pris la scène de la semaine dernière, où Luke et Becky se croisent devant chez elle, d’une toute autre manière. L’ellipse devient un défaut de plus en plus important de la série et ça serait bien qu’elle se mette à corriger ça.

    Du côté du triangle amoureux Landry/Vince/Jess, j’avais rarement vu autant de lourdeur dans la série (la saison 2 est loin). Le silence répété de Vince était vraiment gonflant et irréaliste. C’est d’autant plus regrettable que son autre intrigue avec le père de Becky passait comme une lettre à la poste.

    J’ai bien aimé l’intrigue des Taylor et la confession de Glenn m’a fait rire. Eric était tordant dans cette scène. Le match également était très plaisant. C’était le premier de la série, je crois, à être aussi léger et aussi reposant.

    L’histoire de Julie me laisse, elle, un peu indifférent. Je ne suis pas mécontent qu’elle se remette de sa rupture mais j’attends de voir ce que Ryan va apporter pour vraiment juger.

    Je me demande ce que Tys pensera du discours de la série sur l’avortement. ^^

  • 4.10

    Nettement mieux.

    A part l’intrigue de Julie, dont je n’arrive toujours pas à savoir si elle existe pour préparer le départ d’Aimee Teegarden ou la faire rester une saison de plus, le reste était impeccable.

    Très bon traitement de l’intrigue de Becky (si elle a bien fait ce qu’elle dit à Luke à la fin), avec une intervention de Tami pas forcément naturelle, mais à propos. L’actrice qui joue Becky fait du bon boulot.

    Du côté de Vince, c’était excellent, dans le genre de ce que sait faire la série : ça déprime à mort, mais qu’est-ce que c’est bon ! Michael B. Jordan est excellent dans la scène où il retrouve sa mère ou face à elle à l’hôpital, et je me suis vachement attaché à son personnage depuis le début de la saison. La fin risque d’être douloureuse. Très.

  • 4.10

    Nettement mieux.

    Je suis mitigé, mais plutôt pas d’accord. J’ai trouvé ça un peu sirupeux. Tout du long. J’ai vu du potentiel et des bonnes idées un peu partout, mais tout était poussé trop loin. Vince et sa mère, c’était très bien, mais la dernière scène avec le flingue a pour moi tout gâché. Pour Becky (même si l’actrice est effectivement très juste), j’aurais aimé un peu plus d’originalité, et une psychologie un peu plus creusée. La relation avec la mère, qui a elle-même eu Becky trop jeune aurait pu mener à un peu plus de conflit, qui a maintenant disparu si effectivement l’avortement a eu lieu (et si ce n’est pas le cas, c’est encore plus grave, on tombe dans la ficelle scénaristique, bien loin de l’esprit de la série).

    Et en écrivant ce message, je crois que je viens de me rendre compte de ce qui m’a gâché l’épisode. Ce n’est pas tant sa qualité en tant que telle, mais le fait de réaliser que la saison n’est pas très bien gérée. Moi qui dit le plus grand bien des épisodes depuis le début de l’année télévisuelle, je crois que je me suis fait un peu balader. Les évènements dans la série m’apparaissent comme plus intenses qu’avant, mais sans grandes conséquences. Luke se blesse, et se "drogue" pour jouer, mais tout est oublié à l’épisode suivant. Les frères Riggins se lancent dans une entreprise risquée, et changent d’avis la semaine d’après. Et je crois que c’est le parallèle mental que j’ai fait entre la famille de Vince et celle de Matt qui m’achève. J’étais beaucoup plus en empathie devant la grand-mère de Matt qui oublie d’éteindre le four, que devant l’overdose de la mère de Vince. C’est donc que quelque chose cloche.

    J’espère chasser ces mauvaises pensées avant le prochain épisode.

  • 4.10

    Autour de Becky
    Ce qui me gêne, c’est qu’un personnage prenne la moitié d’un épisode alors qu’il était un peine plus d’un figurant jusqu’à présent, c’est un peu radical, et comme je ne l’aimais pas avant, trop dur pour moi de m’attacher à son histoire. Pourtant, je dois dire que tout ce qui concerne Becky est très bien monté et écrit, avec un point de vue sur l’avortement bien géré (particulièrement bien géré lorsque l’on a vu comme moi Private Practice cette semaine qui tombait dans une vision tellement insupportable). Mais l’actrice, je peux pas, pourtant elle vous a conquis Gizz & Ju...Je ne sais pas ce qui me dérange tant chez elle, mais vraiment elle ne me touche pas une seule seconde, elle geint tout le temps, même quand elle n’est pas enceinte.

    Autour de Vince.
    Mon sentiment...Mon sentiment jusqu’à 2mn de la fin de l’épisode, c’est que les scénaristes prenaient la décision de remplacer Saracen par Vince. Seulement en beaucoup plus pathos ce qui me dérangeait. Parce que malgré le cas social Saracen, et la tristesse sous entendue, on est jamais tombé dans le pathos. Et avec Vince, si. Et puis le cas social se transforme en plus grosse connerie et descente aux abîmes, encore plus fort que les Riggins et un peu plus cliché aussi.

    Ce que j’ai aimé, vraiment aimé, c’est tout ce qui tourne autour de Steve Harris, l’acteur est à la hauteur de son personnage. Et du coup j’ai beaucoup d’attentes.

    Ce qui m’a amusée, c’est le dîner chez les Taylor et le Ryan qui tente d’ouvrir la discussion, mais sinon, tout ce qui est autour de Julie est comme à l’accoutumée, une histoire d’ado pas vraiment intéressante.

    Autour de Tim
    Apparemment il fallait que je sois patiente, il finit par comprendre maintenant mais c’est évidemment trop tard. Car le frangin va aller en taule et Tim deviendra grand en élevant son neveu comme senti 3 épisodes plus tôt. Et ce serait bien que ça arrive, parce que ça va arriver, et que Kitsch ne fera pas une saison 5 entière, voire pas du tout, et que là, ils ne lui donnent vraiment rien à faire, et l’avoir juste au générique, c’est peut être rassurant pour la production mais ça ne sert pas à grand chose.

    Alors oui, cet épisode, je le trouve supérieur à la semaine dernière mais je trouve que depuis le départ de Saracen cette saison 4 a du mal à s’envoler.

  • 4.11

    Est ce qu’avoir le sourire pour la journée après un tel épisode est une marque de perdition mentale ?
    Difficile aussi de prôner l’objectivité lorsque 75 secondes de Matt Saracen comptent pour 45mn...
    Cet épisode était GENIAL. Du grand FNL.

    Tout s’emballe, on approche de la fin et bon sang, elle n’est pas joyeuse : que ce soit la chute de Tami, la chute du coach, la chute de Luke, la chute de Vince, la chute des Lions...Toutes les intrigues étaient magiques (j’entends intenses, intelligentes, bien montées, bien jouées, intéressantes) et j’ai même apprécié Becky, c’est dire... Quelques soupçons de positif dans ces méandres : Tinker, Becky (!) et Buddy que j’ai trouvé au top.
    Je n’ai même pas envie de noter que Tim peut déjà (!) faire une offre pour son terrrain (il n’était pas à 25.000$ ?).

  • 4.11 Injury List

    Est ce qu’avoir le sourire pour la journée après un tel épisode est une marque de perdition mentale ?

    J’ai eu peur un court instant... En n’apercevant que le mot "sourire", j’me suis demandé si on avait vu le même épisode, tant ce dernier est emprunt d’un optimisme proche du néant ! ^^ Donc dans un certain sens, tu me vois rassuré, il s’agit bien du 4.11 et il s’agit bien de l’un des meilleurs épisodes de cette saison !

    Après une lenteur assez remarquable dans le 10 qui m’a même poussé à éviter une review, j’ai été surpris par l’enchainement des scènes, et la qualité irréprochable de l’ensemble. Les intrigues commencent à prendre fin, et on voit petit à petit vers quoi les scénaristes se dirigent. Et surtout on revient aux véritables bases de FNL, c’est-à-dire du foot, conjugué aux tracas des persos’ principaux.

    L’action ne manque pas, et on s’étonne de constater la facilité déconcertante qu’ils ont pour aboutir à un tel résultat. Voir un semblant de match tout à fait plausible, et loin d’être surjoué (Voir Luke finir le match sans égratignure, et sans engueulade m’aurait vraiment déçu), une Tami en proie à ses démons lycéens, un Eric totalement désabusé dans un bar avec son poto Buddy, un Tim au sommet de la sobriété et de la classe (Ne pas coucher avec les deux, se faire jarter et ne rien dire, ou très peu, c’est magnifique !), le triangle "môôôôôôdit" amoureux Jesse-Vince-Landry superbement bien ficelé ET le retour de Matt Saracen, ne peut que ma satisfaire au plus haut point.

    Sullivan

  • 4.12 Laboring

    Un doublon vraiment ? Excusez-moi donc pour cet acte anti-forumial, et j’espère que vous me pardonnerez en ces temps de perfection FNL-ienne.

    Car oui, cet épisode est parfait de bout en bout et l’erreur est juste que l’épisode est beaucoup trop court, et qu’on se rapproche fatalement de la fin de saison. Le 4.11 avait réussi à s’organiser autour d’intrigues finement bien travaillées, des intrigues qui trouvent, pour la plupart, leur point de chute aujourd’hui... Et tout ce qu’on peut dire, c’est que le pessimisme qui régnait précédemment n’est pas prêt de s’envoler, et poursuit un chemin bien contraire : Chacun s’enlise inexorablement dans une profonde descente en enfer, et ce n’est pas prêt de s’arrêter !

    Le Triangle amoureux fait encore des siennes. Alors qu’on suivait les aventures charmantes des deux amoureux et alors que Vince s’octroie un petit tête-à-tête avec Lance pour lui dire que c’est un mec bien et qu’il mérite son ex’, on se retrouve dépité en peinant le pauvre Landry, avachi sur sa voiture et s’imaginant buteur pour un soir, tout en attendant sa dulcinée qui n’arrivera jamais. Jesse à un passé sentimental qui la pousse à se rapprocher du pauvre Vince qui est dans une situation délicate, de laquelle pour le moment il s’en sort plutôt bien. Alors qu’on pouvait imaginer le meilleur pour le joli p’tit couple, la réalité reprend ses droits et me fait inquiéter quant à la tournure que ça va prendre, surtout pour Landry. Il ne mérite pas ça le bougre !

    Tami et Eric s’épaulent, quant à eux, dans l’incompréhension, l’énervement et la plus amère des déceptions. Il subissent un tel degré de pressions et de harcèlements qu’ils ne peuvent que se laisser tomber sur leur canapé, et fixer le vide sans trop quoi penser.
    J’espérais que la confrontation Est-West se serait achevée sur une note nettement plus sympathique, à l’image du petit combat que s’étaient données les Panthers et les Tigers durant la saison 1... d’autant plus que la remise en forme du terrain rappelait vaguement le terrain neutre, en plein champ, qu’avait confectionné Eric avec l’aide toute son équipe dans le 1.20 Mud Bowl. Ces petits clins d’oeil m’offraient une perspective réjouissante, et là encore j’étais loin d’imaginer un tel revers : Finalement Est Dillon devra jouer sur un terrain situé à West Dillon. Une nouvelle défaite pour Eric qui, dans un contexte footballistique un peu houleux, ne peut que soutenir sa femme prise au piège dans le débat "Pour l’IVG/Contre l’IVG". Le téléphone en est la preuve : Il n’est vraiment pas bon d’être en ce moment chez les Taylor ! Pauvres Julie et Gracy Bell

    Et le dernier pour la route, et pas le moindre : Tim. Ça, nous pendait au nez et on l’avait prédit : Il ne pourra jamais être heureux, tant que son frère est dans les parages et qu’il l’embarque dans des aventures dangereuses et illégales. Et là encore, ils ont tout fait pour que je tombe royalement dans le panneau : Tim repousse, ENCORE et définitivement, la gentille petite Becky qui commence vraiment à être collante,il devient oncle, et reste émerveillé par la tendresse qui unit Billy et son fils. Oui, sûrement trop beau pour être vrai mais MERDE QUOI, on ne peut pas lui laisser juste un moment de bonheur, on ne peut pas le laisser tranquille afin qu’il ait son terrain, qu’il construise son ranch et qu’il ait une femme et ses trois enfants, et son chien, et son parc d’attractions, et son moulin à vent, et ses distributeurs de cannettes de bières ? On ne peut pas juste faire ça ? Ce mec me brise tout simplement le cœur, et la dernière image qu’on a de lui, les larmes aux yeux dans la cellule, m’a laissé sans voix. C’est juste dégueulasse, et rien que pour ça j’en veux aux scénaristes... Bien trop cruels à mon goût !

    Oui, cet épisode était bien trop parfait pour regretter une seule chose. Ils ont fait un travail magnifique, et je croise les doigts pour que le prochain (et le dernier ?) soit son équivalent, voire le surpasse !

    Sullivan

    • 4.12

      Ce mec me brise tout simplement le cœur, et la dernière image qu’on a de lui, les larmes aux yeux dans la cellule, m’a laissé sans voix. C’est juste dégueulasse, et rien que pour ça j’en veux aux scénaristes... Bien trop cruels à mon goût !

      Pas mieux. C’est pas faute de l’avoir vu venir pourtant.
      Je ne reviens pas sur le pessimisme ambiant et la très haute qualité de cet épisode, encore du grand FNL. A vous flinguer avant de dormir.
      En revanche j’ai envie de revenir sur les Riggins. Tim qui dit qu’il est heureux dans le champ et l’épée de Damocles pèse tout à coup 10 tonnes...La scène des frangins au-dessus de l’enfant béni, m’a rappelé combien on peut s’attacher à des personnages si cons ! Les grands coeurs balladés par la vie...Et puis ça m’a rappelé l’interview du cast de saison 1 (celle du dvd), où Taylor Kitsch disait que la beauté de FNL c’est quand il n’y a presque pas de dialogues et que tout passe par un jeu minimaliste. On s’est déjà moqué des qualités d’acteurs de Kitsch, mais je dois avouer que ces scènes de jeu minimaliste, comme ses têtes à têtes avec Lyla, son au-revoir à Jason, ou celle de la cellule, magistrale, ces scènes font partie de mes préférées de FNL.

  • 4.13

    Ah, je veux même pas imaginer les litres de larmes que je vais pleurer quand on en sera au series finale avec le 5.13, tiens...

    J’ai trouvé ça un poil curieux de finir la saison sur Matt, même si c’était une très chouette scène, et ça participe du fait que Saracen, officiellement guest star et absent de plusieurs épisodes, est resté le personnage principal de la série du coté des teenagers, ce qui a un peu déséquilibré cette saison.
    Mais sinon, j’ai adoré cet épisode final avec ce moment de bonheur qu’il fallait absolument nous donner, la victoire des Lions sur les Panthers, et en balance la tristesse absolue du sacrifice de Tim qui déjoue finalement les prédictions de ceux qui le voyaient élever l’enfant de son frère emprisonné : c’est lui qui finit derrière des barreaux...

    J’ai énormément aimé cette saison, je suis absolument ravi de l’ancrage social renforcé cette année. Mon seul regret, c’est qu’il me semble que le format de 13 épisodes a desservi la série cette année. Avec tout ce qu’il s’est passé, il y avait largement de quoi nous faire une vingtaine d’épisodes, en en profitant pour ré-introduire un peu de respirations qui auraient aussi laissé plus de place aux nouveaux pour vivre (même si j’adore les nouveaux personnages, y compris Becky, et même si Jess n’a pas tout à fait été exploitée à la hauteur de son potentiel). Et cela aurait permis de développer des tas d’aspects qui ont été largement ellipsés, ce qui m’a à l’occasion pas mal frustré. (J’espère notamment que la saison 5 reviendra sur les McCoy et sur JD.)

    Je suis content de retrouver Tami à East Dillon l’année prochaine, et de voir les Taylor travailler ensemble là où on a le plus besoin d’eux. Quelle joie de ne pas la voir s’excuser !

    Moins content à l’idée qu’il va encore y avoir un time-jump de huit mois (je suppose que c’est en large partie imposé par la place logique que devait avoir le match Lions-Panthers dans la saison — si les Panthers s’étaient qualifiés, il devait y avoir tout le reste de la compétition et le State championship en ligne de mire en fin d’année scolaire — mais l’idée que toute cette saison s’est passée en trois mois tient très, très, très peu la route (le trafic des Riggins ça a duré quoi alors ? Quinze jours ? Et ça a suffit pour qu’il s’achète son terrain, c’est *encore* plus ridicule avec cette chronologie)

    Il y a beaucoup de choses à faire la saison prochaine, surtout qu’il y aura inévitablement des retours d’anciens. J’espère que ce ne sera tout de même pas trop dense comme cette année. Mais bon, malgré une deuxième moitié un poil plus décousue, ce fut quand même une brillante saison pour ce qui me concerne...

    • 4.13

      J’ai été un peu déçue. Mais cela tient surtout au fait que cela ne ressemblait pas à un season finale pour moi. Comme tu dis Sullivan il y avait largement de quoi continuer sur plusieurs épisodes, donc je n’ai pas du tout de sensation de page qui se tourne. La prochaine saison sera vraiment 8 mois plus tard ? Cela me soule qu’on ait encore pas droit à une saison de foot complète. Je veux du Championnat d’Etat !

      Ce qui m’a surtout gênée c’est que le match tant attendu ne m’a pas surprise. Je ne sais pas s’il aurait fallu suivre un peu plus les Panthers en parallèle, ou connaitre plus de joueurs chez les Lions avec leurs progrès, mais là j’ai eu l’impression d’une victoire prévisible pour nous faire plaisir. Parce que bouh, les Panthers étaient les méchants cette année.

      C’est triste pour Tim aussi, mais là encore couru d’avance. Je n’ai pas versé une larme durant cet épisode. Et pourtant je suis quelqu’un qui peut pleurer devant une pub Google.

  • La prochaine saison sera vraiment 8 mois plus tard ?

    Fondamentalement, je n’en sais rien, hein.

    Dans un premier temps, j’ai envisagé aussi que la saison 5 soit dans la continuité et qu’on ait une année répartie en deux saisons. Mais l’intention annoncée des scénaristes est d’avoir Taylor Kitsch dans le plus d’épisodes possible (aucune idée de ce qui sera finalement possible vu son emploi du temps et le tournage d’un film à coté) et j’imagine mal que cela soit par le biais d’une visite au parloir à chaque épisode. Donc il faudrait plutôt qu’il sorte de prison pendant la prochaine saison...

    Et le Time Jump de huit mois est aussi la possibilité, pour le coup, de revenir vers le State Championship, ce qui n’aurait pas été crédible cette saison-ci.

    Donc en y réfléchissant je suis plutôt pour que la prochaine saison se passe pendant la prochaine année scolaire, j’aurais surtout préféré qu’une plus grande partie de cette année scolaire ci soit couverte par cette saison.

  • 4.13 season final

    Je m’étais tellement préparée à chialer que finalement j’ai juste la boule au ventre. Je sais pas si c’est mieux, parce que...autant expulser ma consternation et ma colère tout de suite : mais d’où un grand frère laisse le petit prendre tout sur lui alors qu’il a suivi son ainé ??? Mais comment on peut laisser faire ça ? Et même si Tim au grand coeur et idéaliste existe depuis le début, je trouve le sacrifice tout de même un peu gros, à chaud. Un peu too much pour servir plus Taylor Kitsch que Tim Riggins. Et en plus c’est la loose, il n’a pas de vie à défendre alors il se laisse gâcher. Pas d’accord. Donc grosso modo, la saison 4, en ce qui me concerne, gâchis côté Kitsch-Riggins.

    En dehors de ça, j’ai aimé ce final de saison, d’abord fortement , puis modérément.
    Parce que si j’aime la transition offerte à Tami, quid du dirlo qui est déjà en place à East Dillon ? Curieusement ils vont nous sortir que c’est sa dernière année avant la retraite ?
    Mais j’ai aimé toute la ligne dans cet épisode et globalement toute l’intrigue autour de l’avortement.

    Le match de foot m’a donné des émotions fortes. Contrairement à Black Widow

    (...)le match tant attendu ne m’a pas surprise.(...)mais là j’ai eu l’impression d’une victoire prévisible pour nous faire plaisir.

    Je m’attendais à la défaite des Lions. J’avais en tête un énorme écart de niveau et j’ai vécu le match comme le match d’une vie pour les joueurs et une leçon de pur coaching pour Taylor et j’étais à fonds dedans. Même si tout le monde y a la part belle et que quand on y réfléchit c’est un peu facile : le Tinker TD pour le remercier de ses bonnes apparitions sporadiques dans la saison, Vince qui devient un nouvel homme avec l’amuuuur des deux femmes de sa vie donc qui gère à mort son poste, Matt qui se sacrifie, et Landry...mon vrai bonheur de l’épisode...

    Quant au "goodbye" sur Matt : j’ai a-d-o-r-é ce final.

    J’ai trouvé ça un poil curieux de finir la saison sur Matt, même si c’était une très chouette scène, et ça participe du fait que Saracen, officiellement guest star et absent de plusieurs épisodes, est resté le personnage principal de la série du coté des teenagers, ce qui a un peu déséquilibré cette saison.

    Parce que la saison 4, je n’ai eu de cesse de le dire, elle a d’un côté souffert (pour ma perception) de l’absence des anciens ou de leur sous emploi, je ne me suis vraiment attachée à aucun nouveau au final, et d’un autre c’est surtout LA saison Saracen, et sans qu’il soit un cast régulier en plus. Des épisodes chocs, une ligne superbe, un acteur à la hauteur. Et dans cet épisode, la complicité entre Landry & Matt est géniale. Ce goodbye final est pour moi totalement justifié. Sans Saracen cette saison, c’était la cata.

  • 4.13 Tanksgiving

    Des frissons de bout en bout. Même si avec un poil de recul, je trouve certaine scènes relativement faciles, voire un peu honteuses quand on connait l’habituelle finesse de la série, il n’en demeure pas moins que ce Season Finale achève la saison de bien belle manière, tout en promettant une prochaine saison (Et la dernière ?) également excellente (tout du moins, c’est ce que j’espère !)

    Je commence par Explosions In The Sky qui donne au show ce caractère unique, et cette force dramatique. Quel bonheur de ré-entendre certaines compositions qui m’ont donné la chair de poule, surtout durant la préparation avec le match. Le parallélisme avec la première saison est évidente et permet à cette scène de se regarder avec le sourire jusqu’aux oreilles. Friday Night Lights ne serait vraiment rien sans sa bande son... Tout comme Lost et Michael Giacchino !
    Le match est tout simplement monstrueux et est dans lignée directe de ceux joués par les Panthers lors des premières saisons. L’intensité était au rendez-vous, et même si certains points restent tout de même gros (Gagné encore à la toute fin, Landry qui donne vie au miracle, Eric qui amène encore une équipe à la victoire...), j’suis tout de même super ravi de voir les scénaristes retourner aux bases de la série, et de s’attarder sur un match d’une importance aussi cruciale : Là au moins, Eric a du crédit quant à ses compétences, et risque d’être un peu plus soutenu qu’auparavant !

    Le retour de Matt était pour le moins imprévisible, audacieux et payant. Il reste une valeur sûre, et son apparition renforce encore plus le malaise qu’il a laissé lors de son départ. Il est quand même le point d’encrage d’un certain nombre de storylines : Grand-Ma’ Saracen (Qu’on a que trop peu vue cette année !), son amour pour Julie, l’amitié avec Landry et le football ! Son longue absence les a toutes ébranlées, et est la preuve que Matt Saracen est LE personnage, avec Eric et Tami, majeur de FNL. Et terminer sur lui, sur une bande son une nouvelle fois parfaite, est pour moi tout à fait logique, et permet d’achever, dans une sobriété proche de la perfection, son intrigue. A ce niveau là, ils ont vraiment bien géré !

    Ce qui n’est vraiment pas le cas pour TIM. WTF ? C’est quoi cette histoire de "Je prends tout pour ma gueule car finalement mon frère, avec son speech à deux balles pendant le repas de thanksgiving, mérite d’être heureux en famille, surtout quand j’le regarde allongé sur le lit avec sa femme et son fils. C’est trop beau pour que je détruise tout ça... Et puis de toute façon qu’est-ce que j’ai à perdre ? Moi j’ai rien, donc autant faire le con pour quelqu’un qui m’a toujours embarqué dans les pires situations qui soient. C’est bien connu, faut que j’en bave pour mon irresponsable et immature frère" ? Comme Aline, je trouve, avec maintenant assez de recul, que cette saison 4 est une déception totale quant à l’intrigue Riggins. L’évolution est cousue de fils blancs, pour ne pas dire désastreuse, et dirige Tim vers une descente en enfers pire que tout qu’il ne mérite surement pas. Où est passée l’intrigue du "Coach, j’vais être votre assistant" ? Qu’a donné sa trop longue épopée sentimentalo-amicale avec Becky et sa mère ? Et surtout que vient faire cette histoire de sacrifice trop énorme pour être vraie, afin de clôturer son histoire ? Vraiment là, je comprends pas du tout le trip des scénaristes...

    Donc oui, ce Season Finale est fichtrement bon, mais il aurait pu être parfait - comme le 4.12 - s’il avait occulté certaines prises de décision scénaristiques tout à fait discutables. Et oui, cette saison 5 je l’attends avec une impatience démesurée !

    Sullivan

    • 4x13

      Partagé sur l’épisode.

      La partie football est très bien, en particulier la relation du coach avec son équipe, qui est formidable. On voit tout le chemin parcouru depuis le premier entrainement, la discipline, la complicité et l’attachement qu’il est parvenu à susciter malgré des débuts plus que difficiles. Même la très courte discussion Vince/Coach à la fin de l’entrainement vaut son pesant d’or, Vince confirme être un personnage particulièrement complexe, attachant et intéressant, en espérant qu’on dépassera la tentation des clichés sociaux un peu faciles la saison prochaine.

      Comme le souligne Aline, le match est une leçon de coaching, fini la sévérité bourrue paramilitaire, le coach connait tous les points faibles des Panthers, et il leur donne une leçon, mais malgré un désir de revanche évident, il fait cela sans prendre en otage sa propre équipe, au contraire, il veille à ce que ses joueurs s’amusent et c’est ce qui paie.

      Pour cela, le match Lions vs Panther m’apparait comme une réussite, en tout cas ça a fait du bien. En revanche, dommage qu’on doive recourir à un miracle pour donner une bonne scène à Landry que j’ai personnellement toujours le plus grand mal à voir comme un footballer (Landry geek avec la langue bien pendue et son groupe de rock, c’était bien suffisant, Landry tombeur c’était dejà un peu plus dur à gober, Landry footballer un peu nul ça allait encore mais Landry footballer recordman alors).

      Dommage également qu’on ait immobilisé Luke dans deux intrigues passablement ennuyeuses, le personnage a du potentiel et méritait d’être développé au delà du coté bon petit gars courageux un peu lisse.

      Je rejoins Aline et Sullivan sur l’intrigue Riggins, qui est un pur gachis et tellement grosse qu’on la sentait arriver depuis la découverte par Tim du business de son frère. Ras le bol de se taper systématiquement les mêmes histoires, les mêmes aller-retours stupides pour un personnage qu’on nous présente les 3/4 du temps comme manifestement plus profond et intelligent que ça.

      Pour Tami, à l’exception du refus de s’excuser qui est très bien (mais aurait mérité une plus belle plaidoirie), c’est un peu pareil : l’idée de la voir muter pour East Dillon est implantée depuis le début de la saison, dommage qu’il faille une histoire légèrement à dormir debout et le recours à un joker pour y arriver. Sans compter que les parents à la source de toute cette histoire sont les parents d’un élève d’East Dillon, accentuant encore le forçage d’un transfert vers ce lycée, censé satisfaire la plèbe en colère.

      Bref, en conclusion, je dirais comme Blackie que la saison a énormément souffert du manque de football, ainsi que du manque de scènes faisant interagir les membres de l’équipe ensemble. Mais également du manque de développement des nouveaux personnages cantonnés à être mis en scène dans des drames clichés pour compenser. Dommage également que les personnages féminins aient été encore plus limités à n’être que "la fille amoureuse de Machin qui équilibre Machin" : il eut surement été préferable de keylleriser Julie qui n’a eu que des intrigues bouche-trou (jusqu’aux Maçons du Coeur), peut être se débarrasser de Matt que j’adore mais qui n’avait pas besoin de tant de temps de présence, et donner un peu plus de place aux nouveaux.

      En revanche, les bons points de la saison sont pour moi la progression de la relation d’Eric avec sa nouvelle équipe et son nouvel environnement, et le dépassement des préjugés mutuels. L’amitié d’Eric avec Steve Harris, avec ses chocs culturels récurrents était assez succulente (j’ai beaucoup aimé les "What’s that suppose to mean ?" perplexes du coach (et de Landry), prononcés en apparté à voix haute ou non). Une autre réussite est le retour aux sources vers le plaisir du sport, contre l’espèce de terrorisme auxquels sont soumis les joueurs suréquipés sursponsorisés des équipes de ces villes qui ne vivent qu’au travers du football (terrorisme qui est d’ailleurs beaucoup plus palpable et glaçant dans le film original que dans la série, même si on a eu quelques aperçus).

  • 5.01

    Et les premières larmes de la rentrée vont à FNL !
    Le pré générique commençait mal pour moi, j’avais déjà la gorge qui se nouait, la musique du générique est vraiment gravée dans ma mémoire, très efficace pour l’émotion, et quand j’ai compris que tout l’épisode se basait sur la nostalgie, j’étais mal devant tv...*tain de FNL, la magie opère encore. Le départ de Julie, ça m’a achevée.

    Une dose d’anciens, et arriver à faire revenir Matt sans l’acteur, c’est quand même balaise. Rêver d’acheter un cd de Crucifictoriux pour poursuive l’expérience Landry, je ne l’aurais pas cru non plus. Voir Kitsch et Plemmons en guest, petit coup de couteau supplémentaire. Tim en taule, j’ai toujours envie de filer une paire de baffes à son frère. Et Landry et Julie sur le parking, moi aussi je le revois le chapeau blanc ridicule de Matt derrière le comptoir !...

    Hors nostalgie. Becky : toujours pas, elle reste mon boulet. En revanche, sorti de son misérabilisme ambiant, j’ai beaucoup aimé Vince (!). Il dégage enfin un personnage volontaire et solide. Sa copine aussi était plaisante (!), surtout dans sa scène avec le futur recruté. Mon dieu, voilà que j’en accepte deux !

    Enfin, j’ai adoré la scène de foot. Toujours aussi bien filmée, efficacement, Go Lions !

    Nostalgie + Foot + Musique + Tami qui rame + Coach Taylor qui t’explique ce qu’est le foot = ça y est, je suis retombée dedans. Je tremble comme une feuille à l’idée du final.

  • 5.01 Expectations

    Je te rejoins volontiers Aline, c’était d’un nostalgique à se pendre. Du FNL comme je l’aime, et comme j’ai toujours aimé. Retrouver les anciens, mêlés aux moins anciens et aux moins-moins-anciens m’a fait constater une chose : Cette série m’avait terriblement manqué ! Les scénaristes réussissent à faire partir Landry ET Julie de la plus belle manière qu’il soit, tout en finesse et toutes en émotions. Juste grandiose !

    Explosions In The Sky + Whataburger + Ping-Pong + Tinker + animateur radio local + paysages purement texans + larmes - Gracy Bell et Becky = Putain que cette série est bonne !

    La nostalgie a du être, pour sur, le fer de lance des débats au sein de la salle des scénaristes en imaginant ce premier épisode, il ne peut pas en être autrement ! Et j’dois dire que c’est vraiment pas humain de faire ça, on ne mérite vraiment pas autant pour une dernière saison. Si elle commence dans cette veine, j’n’imagine vraiment pas mon état lors du Serie Finale. Nan, j’préfère même pas y penser !

    Le départ de Landry est amené avec tellement de justesse qu’il m’a fait ressasser tous les superbes moments qui ont pu accompagner le jeune artiste. Et diantre ce fut douloureux, surtout quand Julie quitte le garçon, en plein club de striptease. C’était tellement inhabituel, tellement inattendu que ça m’est apparu comme parfait. Landry, véritable second rôle au début de la série face au succès sans demi mesure de Matt, a su grandir et gagner en maturité pour devenir l’un des plus grands piliers de la série. L’intrigue du "meurtre du presque violeur" mise de côté, le personnage a bénéficié d’un réel travail dramatique orchestré de mains de maître, et cet épisode poursuit le même chemin. Les adieux à Grand Ma’ Sacacen (très très très grand moment), ses instants intimistes avec son amie Julie, ses dernières prouesses musicales, les vieux souvenirs concernant Matt... c’était tout simplement niquel. J’ai vraiment rien à dire, c’est du Landry tout craché ! Il va vraiment me manquer ce con !

    Le départ de Julie est lui aussi assez brillant dans la forme comme dans le fond. Là aussi c’est progressif, surement une technique scénaristique pour que l’on s’accroche encore plus au personnage et pour que le départ nous anéantisse nettement plus. En tout cas, j’ai aperçu le futur envol de la jeune fille par les yeux d’Eric et Tami qui, tous deux, n’ont pas vraiment l’intention de la voir partir et qui anticipent le vide familial qu’elle va laisser. Contrairement à Landry, ce n’est pas vraiment elle qui fait prendre conscience aux autres du prochain palier, c’est plutôt ses parents qui constatent que ce modèle familial, auquel ils se sont terriblement habitués, va bientôt disparaitre. Certes, ils ont Gracy Bell mais Julie, notre Julie, leur a fait voir des vertes et des pas mûres, et que ces moments soient désastreux ou terriblement touchants elle reste leur aînée, leur grande fille. C’est pour ça que la sublime scène du Ping-Pong et celle du au-revoir familial sont de la même ampleur émotionnelle que celle partagée entre Landry et Grand Ma’, c’est-à-dire somptueuses. A l’image du départ de Landry, celui de Julie joue sur la même corde sensible, et clôture un personnage, là encore, très très très bien écrit ! Elle va me manquer c’te p’tite !

    A côté de ça, les nouveaux-anciens personnages réussissent à occuper de plus en plus de place, et la pilule passe plutôt bien. Vince est définitivement mon nouveau perso’ fétiche, tellement ses scènes - surtout celle avec Dre - sont justes et me rappellent (Épisode nostalgique oblige) la bonne vieille époque de Smash. Jess, Luke, Billy et le nouveau Ruckle se voient offrir de nouvelles perspectives narratives, et étant donné la fluidité avec laquelle elles ont été amenées (je pense à celle concernant Billy et son nouveau rôle d’assistant coach, et à celle du nouveau Ruckle), j’ai plutôt apprécié. A voir ce que ça donnera sur toute une saison !

    Ce Season Premiere laisse envisager une nouvelle aventure FNL-ienne digne de la série, et permet d’entrevoir une dernière saison sous les meilleures auspices. Et je croise vraiment très très fort les doigts pour que l’intégralité du cast ayant quitté l’univers de Dillon (Smash, Matt, Tyra, Jason, Lyla, Landry, Julie...) revienne par j’ne sais quels moyens, afin de terminer FNL en apothéose. Oui, même mes orteils sont croisés !

    En vrac :

    - J’espère que la storyline de "Riggins assistant Coach" soit nettement moins bâclée que celle tentée l’année dernière avec le p’tit frère !
    - J’ne sais pas si c’est l’actrice ou l’intérêt des scénaristes pour le personnage mais Becky m’insupporte toujours autant. J’ai l’impression qu’elle ne fait que chouiner lorsqu’elle parle, c’est assez désagréable !*
    - Tami rocks again and again and again ! Best character ever... with Eric !
    - Gracy Bell un peu plus mignonne, mais c’est pas encore ça. Allez, encore un p’tit effort !
    - J’ai eu le droit à mes 30 secondes Tinker-iennes (et quelles 30 secondes : Bouffant un burger, en bagnole, alors que ses potes courent, et embrassant une truie ! MA-GIQUE), je peux m’endormir heureux !

    Sullivan

  • 5.02

    Mon dieu que ça va être dur... J’avais pas l’intention de pleurer toutes les semaines, et cet épisode a encore délivré un belle charge émotionnelle dans les dernières secondes.

    Cinq scènes tellement FNL, tellement belles, tellement fortes :
    - L’engueulade que se prend Becky par Mindy et sa réponse
    - Julie qui est paumée et qui se replie sur le match de foot comme point d’attache
    - Luke a échangé Mirabelle pour Becky. Mirabelle !
    - Tami qui sourit en découvrant Epic à son bureau et à l’heure
    - Coach écrit State au tableau...(Grosse, grosse charge)

    Becky m’a semblé plus supportable, mais c’est pas encore ça. Vince, Luke et Jess étaient parfaits. J’ai une légère incertitude sur l’histoire qui se profile pour Julie. Pitié, si on pouvait éviter le soap avec le chargé de cours... Et puis Gracie Belle est aux mac & cheese au petit déj, respect.
    Mais surtout, si on se fait un series finale en championnat d’état, je ne m’en remettrai pas. Cette saison sent très, très bon.

  • 5.02 On the Outside Looking In

    Aline, si ça continue comme ça, on review toute la saison à deux avec un parallélisme sur le fond assez déconcertant, mais ô combien normal, vu la qualité de ces deux premiers épisodes ! ^^

    Oui, j’ne peux que te rejoindre, et ce, sur tous les points. C’était une nouvelle fois du grand, du très très grand FNL. La série dégage une telle puissance émotionnelle, un tel degré de réalisme que j’me retrouve, à chaque fois, chamboulé par l’articulation de toutes ces scènes. Je veux bien croire qu’elle peut être cataloguée en tant que "drama sportif" mais de là à verser sa petite larme toutes les semaines... Faudrait quand même établir une pause lacrymale, j’ai pas envie de me retrouver sur les rotules lors du Series finale. Malheureusement, vu comment c’est parti, j’ai bien peur que j’en sois obligé, et au final c’est pas un mal. Cette série m’a donné de terribles frissons, elle m’en donne toujours autant, malgré le temps qui nous sépare du Series Premiere et malgré quelques intrigues à l’intérêt limité voire nul, et elle m’en donnera encore beaucoup avant la fin. Tout comme toi, je sens que ça va être fichtrement dur ! ;)

    L’ultime scène est pour moi cultissime, c’est d’une charge émotionnelle magistrale. Conduire une si petite équipe au rang de champion d’État ça tient réellement du miracle, bien plus qu’avec les Panthers. Et c’est ça qui donne autant de force au simple "State". Juste "WOW" ! C’est surtout que j’ne m’y attendais pas en voyant la réaction d’Eric face aux attentes de ses joueurs, face à leurs inquiétudes quant à leur Rang. Ses "Stay focus" parlaient d’eux mêmes, mais quand il s’est confronté aux coups bas de l’équipe adverse - pauvre Luke - et qu’il a remarqué l’engouement de toute la ville pour les jeunes lycéens, ça a du terriblement le titiller. Il a peut être en main une équipe assez forte psychologiquement et physiquement pour espérer une ascension progressive vers le titre. Quand on se souvient du pauvre "terrain" sur lequel ils "jouaient", de "l’équipement" dont ils disposaient et de la "qualité" de leur jeu, le contraste avec les débuts dans la nouvelle équipe est saisissant. Et c’est cette évolution qui me donne autant de bonheur devant la série, et comme un con, je souris bêtement d’extase devant les entrainements, les réflexions du coach, le stress dans les vestiaires et devant des mots, comme "State", inscrits sur un tableau. Y’a que FNL pour me faire ça !

    Tami, elle, continue toujours d’être l’objet de mon admiration ultime. C’est comme ça, je n’arrive à lui trouver aucun défaut, et pourtant c’est pas faute de chercher. On s’fout presque de sa gueule par derrière alors que tout ce qu’elle veut, c’est bien s’intégrer. Tout le monde aimerait louper les réunions entre profs alors qu’elle tout ce qu’elle veut, c’est proposer de nouvelles perspectives éducatives pour les lycéens en grandes difficultés. Tout le monde picole des Pina Colada et se fait de bien bonnes Private Jokes alors qu’elle tout ce qu’elle veut, c’est rigoler à leurs blagues, connaitre leurs intérêts et se faire de vrais amis, quitte à ne pas gueuler quand on fait, presque exprès, renverser de l’alcool sur elle. Tout le monde subit sa vie professionnelle et essaie tant bien que mal de terminer sa journée sans péter un câble alors qu’elle tout ce qu’elle veut, c’est prendre des nouvelles de sa très chère Julie pour avoir des petits détails de sa nouvelle aventure étudiante. Tout le monde perd la foi face aux comportements de certains élèves, dont Epick, alors qu’elle tout ce qu’elle veut, c’est les aider, les soutenir et leur faire respecter leurs engagements. Et comme d’habitude, Tami réussit tout ce qu’elle entreprend. Bien pour ça qu’elle restera toujours parfaite à mes yeux ! I love you Tami !

    Sinon, tout comme pouvait l’être la relation maternelle qui se dégageait entre Smash et sa mère, celle qui met en lumière le perso’ de Vince est tout simplement brillante. C’est tout simplement beau, et c’est sacrément touchant de voir que la vie a réservé une seconde chance à cette petite famille, sa mère ayant trouvé un boulot et Vince se voyant ouvrir de grandes portes d’universités. Et rien que ça, ça me suffit pour sur-kiffer le personnage que j’avais adopté dès sa première apparition. Tout comme Luke (Je me rappelle que trop bien de sa première scène avec Tami où il était tombé en larmes. Sublime !) qui dans cet épisode est parfait. Son rapprochement avec Becky m’a quelque peu réconcilié avec cette dernière qui, Ô joie, était nettement moins insupportable (Cf Aline ;) ).

    Et puis Gracie Belle est aux mac & cheese au petit déj, respect.

    =D

    La même, j’me suis surpris à repasser la scène 3-4 fois pour comprendre la ’tiote. Une future Gracie Belle obèse ? M’en passerais bien, tiens !

    En vrac :

    - Le regard de Kyle Chandler lors des dernières secondes ? Juste... MAGIQUE !
    - L’intrigue "Julie-corps professoral" n’avait déjà pas fonctionné, ne faites surtout pas la même erreur. Un grand merci d’avance !
    - Tinker, Tinker, Tinker, Tinker... toujours le même, et diantre que ça fait du bien ! Encore, encore, encore !
    - Je veux l’avoir ce Series Finale avec tous les anciens, je veux vraiment l’avoir. Un Series Finale de cette envergure en plein "State", ce serait vraiment la fin parfaite quoiqu’on en dise ! ^^

    Sullivan

  • 5.02

    Julie Taylor n’est pas un personnage assez attachant ou intéressant pour justifier le fait qu’on doive la suivre dans sa propre intrigue, complètement déconnectée du reste, et pas franchement passionnante. C’est dit.

    Le reste était formidable.

    J’aurais sans doute pu me passer de la façon similaire dont la plupart des intrigues étaient tournées. Je pense notamment à Becky chez les Riggins et Tami à son boulot (deux fois, avec ses collègues et avec "Epic"). Dans les deux cas on a une situation un peu déjà-vue, mais qui se termine sur quelque chose d’inattendu qui réchauffe le coeur (c’était mieux fait avec Mindy et Becky qu’avait Tami, où les deux retournements de situations m’ont semblé un peu trop faciles).

    A part ça, je suis très content de deux choses. On a une bonne intrigue de football qui se met en place, qui est bâtie sur les fondations de la saison précédente, mais en y apportant un peu de nouveau. L’autre chose, c’est la façon dont le nouveau cast commence à prendre forme de façon convaincante. C’était une bonne idée de les mettre tous ensemble dans une même fête, je ne crois pas que ça avait été fait l’an dernier, où Becky était quand même souvent isolée.

    Donc oui, formidable épisode.

  • 5.03

    Cette semaine, on rétrograde. Principalement parce que les thèmes abordés ont déjà été abordés auparavant (un joueur de foot et un parent absent qui réapparait, les rally girls en perdition) ou bien n’étaient clairement pas passionnants comme l’intrigue de Julie. Ceci dit, cela reste du FNL, le coach et Buddy opèrent encore en magie et Vince a gagné en profondeur, et pas à cause de son père. Ce n’est pour moi qu’un passage de vitesse, on continue d’avancer, parce que les Lions sont passionnants et que Jessie aux uniformes, c’est clairement pas la meilleure idée de Tami !

    - Vince et son père
    Premier contact : je me dis que c’est pas une bonne idée, stop au misérabilisme ambiant, et puis les retrouvailles avec un parent absent, ça a tellement été bien traité avant avec Saracen et sa mère, que c’est une redite dont on pourrait se passer. Même si j’aime l’acteur qui joue le père de Vince. Et puis vient le pétage de plomb de Vince face au coach. Et ça aussi on y a déjà eu droit. Mais il est très bien fait. Il n’en est que meilleur quand on voit comment Vince transforme sa rage lors du match qui suit. Donc mitigée "plus".

    - Julie
    Déjà la semaine dernière, je ne le sentais pas. Et bien on est en plein dedans. Non pas que cela me surprenne, car Julie a toujours été cette douce idiote attachante. Elle a deux qualités : avoir été le premier amour de Matt, et être la fille de ses parents. Donc la voir dans le lit de son prof après X semaines de cours, pas vraiment une surprise. Ju disait la semaine dernière que le personnage de Julie ne méritait pas son intrigue particulière. Je reconnais que c’est vrai si l’on fait un barème quantifié de tous les personnages FNL, mais je ne suis pas d’accord sur l’idée. Parce que Julie, et ses deux qualités principales précédemment citées, font d’elle le lien avec le FNL historique. Ils n’ont plus personne d’autre sous la main. Alors certains diront que FNL c’est l’histoire de coach et Tami, d’abord. Moi je pense que c’est surtout l’histoire de ce qu’apportent à la jeune génération le coach et Tami. Donc Julie est dedans. Sans même rappeler que c’est leur fille. Julie est sans doute le personnage historique que j’aime le moins, mais son épisode de powderpuff est l’un de mes 5 préférés de toute la série. Elle a mis sa marque, tout en étant une tête à claque. (sur ce, je vais revoir le dit épisode de powderpuff :)

  • 5.04 et 5.05

    Deux épisodes assez faibles (en toute relativité) pour la norme F.N.L, assez plats. Et quand c’est plat, ça manque cruellement de Gilford, Kitsch ou Plemmons...

    Je me suis fait la réflexion cela dit que le 5.05, portait bien l’étiquette Provenance F.N.L Certifiée pendant la scène du match de foot. Oui bien sûr, les matchs sont toujours aussi bien filmés, mais ce n’est pas ça. Je veux parler de cette boule au ventre, qui apparait, grossit, et ne se fait pas oublier, nous faisant résonner dans un coin de la tête "tu vois ce match il est génial, les Lions gagnent, il y a de l’action, c’est bien fait, mais attention, quelque chose de pourri va arriver, est-ce par le flan du père de Vince avec le mec de T.M.U, sur le flan Vince-Luke ?". F.N.L. c’est aussi ça, le double effet kiss-cool, tu t’éclates mais t’as la trouille.

    • 5.05

      Deux épisodes assez faibles (en toute relativité) pour la norme F.N.L

      Ah ?

      Peut-être le précédent, mais j’ai trouvé le cinquème absolument génial de bout en bout. Allez, il n’y a guère que l’intrigue de Julie qui plombait l’ambiance, comme d’habitude, parce qu’on savait pertinemment où on en venait depuis des semaines, mais le reste avec l’équipe sur les routes c’était excellent.

      Et en plus, c’était une première dans la série, ce qui après cinq saisons fait toujours du bien.

  • Ah ?

    Peut-être le précédent, mais j’ai trouvé le cinquème absolument génial de bout en bout. Allez, il n’y a guère que l’intrigue de Julie qui plombait l’ambiance, comme d’habitude, parce qu’on savait pertinemment où on en venait depuis des semaines, mais le reste avec l’équipe sur les routes c’était excellent.

    Et en plus, c’était une première dans la série, ce qui après cinq saisons fait toujours du bien.

    5.05 Julie Taylor is a slut

    Tout pareil que M’sieur Ju. Le quatrième était certes de loin le moins bon de cette cinquième saison, mais le dernier était absolument mythique (l’intrigue relou de Julie mise de côté !) : Un road trip footballistique, c’est du bonheur à l’état pur !

    J’aime, voire j’adore, cette ambiance au sein de l’équipe, cette solidarité entre les joueurs et les coachs qui est distillée dans chaque scène. J’ne sais pas pourquoi mais je la trouve nettement plus naturelle et beaucoup plus profonde que celle narrée à l’époque des Dillon Panthers. En rien je fais table rase du passé West Dillon, mais avec cet épisode je me suis vraiment marré et j’ai pris un immense plaisir face au retournement tactique lors du match. J’ai éclaté de rire devant la scène du tatouage au fer, devant l’entretien téléphonique sentant bon l’alcool entre Tami et Eric, devant le simple geste de Jesse refermant la porte derrière Vince, devant les impro’ de rap et devant la coiffure de Gracie Bell. Et j’ai surtout pris un pied d’enfer devant la discussion sur le balcon entre les 4 gars et le rentre-dedans tactique opéré par Eric après la pause.

    Nan vraiment, j’ai adoré de bout en bout. Cette dimension sportive collective me manquait cruellement et avec ce Road Trip on voit finalement qu’on a affaire à une réelle équipe partant d’Eric au ’tit dernier, Buddy Jr. L’évolution est dantesque quand on se remémore l’état du groupe au début de la saison 4, et j’apprécie d’autant plus qu’on se rapproche de la fin et que je sais - oui j’le sens bien - que ça va se terminer en explosion émotionnelle. Cet épisode m’a fait vraiment du bien, et je félicite grandement les scénaristes de ne foirer qu’une intrigue secondaire ! Julie Taylor, you’re a slut... and so naive !

  • 5.06

    Je ne suis toujours pas prêt à pardonner l’intrigue ultra-prévisible de Julie pendant les 4 dernières semaines, non, pas dans la dernière saison de FNL, mais les conséquences étaient superbes. Voir Tamy et Coach réagir à leur fille de cette façon, sans résolution évidente ou trop précipitée en fin d’épisode, c’était excellent.
    Tout particulièrement quand on voit les conséquence sur Coach, qu’on n’avait jamais vraiment vu douter, ou pas à ce point. Excellent.

    J’aime aussi beaucoup l’utilisation de Billy et Mindy cette année, et avec eux Becky. J’aimais déjà beaucoup Becky l’an dernier, mais c’est bon de la voir un peu plus détendue, et (un peu) mieux intégrée au reste des personnages. Et les Riggins en parents de substitution pour Luke et Becky, c’était pile la pointe d’humour qu’il fallait à cet épisode.

    Ce qui est moins bien, c’est Vince.
    Rha, je déteste les intrigues criminelles dans FNL. Là, ça a au moins l’intérêt d’être lié au père de Vince (et Cress Williams est excellent dans toutes ses scènes, avec la parfaite dose de menace), mais tout de même, ça m’embêterait que la série retombe ENCORE UNE FOIS dans des intrigues qu’elle ne maitrise pas du tout.

  • 5.07 Perfect Record

    Dur, dur, dur de passer juste après la review de Ju, et c’est bien pour ça que je vais pas forcément étayer mes propos, bien que l’épisode en lui même soit l’un des - pour ne pas dire LE - meilleurs de la saison !

    En tout cas, je te rejoins sur tous les points, cet épisode excelle dans le développement de toutes ses intrigues et laisse envisager une fin de série digne de son gabarit qualitatif qu’elle assume brillamment depuis le début ! Je dois l’avouer, même Becky, je l’ai adoré... ou tout du moins son évolution sentimentale avec Luke. C’était drôle, touchant et carrément romantique. Du FNL tout craché !

    Mais surtout, c’est cette solitude tactique embryonnaire du coach, au sein de sa propre équipe, qui m’a le plus surpris et dont j’ai été le plus fan. Il est vrai qu’avec les 4 premiers épisodes on ne savait pas vraiment sur quels pieds danser, aussi bien concernant les exploits sportifs des jeunes Lions que l’intérêt de l’arrivée du père de Vince. Là, on nous éclaire de façon très subtile et de manière à ce que ça me donne de vrais frissons. La confrontation assez calme, mais non sans malaise sous-jacent, entre le Coach et l’ex-détenu ainsi que celle qu’il a, beaucoup plus violente et exceptionnelle, avec Vince juste après le match convergent en une seule et même idée : Le coach perd de son influence paternaliste et sportive sur le garçon. Ce qui n’est jamais bon signe quand on voit le comportement des rapaces de TMU. D’autant plus que de manière plus générale, le Coach fait face à une équipe nettement plus agressive, percutante et aux antipodes des règles de base enseignées. La réaction de l’assistant coach à l’encontre de Billy et son refus de sortir boire un verre sont à eux seuls la preuve qu’Eric va devoir rapidement remettre les pendules à l’heure. Et j’attends cette scène avec une très très grande impatience !

    Et si à ça on ajoute le retour mesuré, mais ô combien magistral, de notre Jason Street (porte ouverte au retour de tous les anciens pour un Series Finale gigantesque ?), la perfection maternelle de notre Tami, l’entrainement très Balboa-esque made in Billy et une fin d’épisode sur du Fink, c’est l’apothéose sérielle quoiqu’on en dise !

    Plus que 6 épisodes, mais putain ils ont intérêt d’être d’aussi bonne facture que ce 5.07. Oh que oui !

    Ps : Encore une fois, Bravo m’sieur Ju !

  • 5.07

    Oui, bravo Ju, vraiment, pour appuyer et relever tout ce qui méritait de l’être dans cet excellent épisode. S’il est quasi parfait, il est vrai qu’un épisode F.N.L parfait m’aurait apporté une grande charge émotionnelle en plus, que je n’ai pas eue, je garde en revanche le 2ème effet kisscool, celui du mal au coeur pour l’intrigue autour du non respect du jeu, tellement inhérent au coach Taylor.

    Du côté fin de série, puisque à priori on va commencer à enchaîner les apparitions d’adieux, je suis partagée sur le retour de Jason Street dans de telles conditions. Vrai personnage central historique, son cameo aurait sans doute mérité d’être plus appuyé, mais avec le recul, cela veut aussi dire que le F.N.L 2nde vague a désormais pris son espace, donc…c’est un mal pour un bien. Mais j’apprécie le geste de nous donner une sortie positive pour Jason.

    Maintenant Ju, il y a quelque chose que je ne peux pas te pardonner, c’est lorsque tu écris que tu préfères le personnage de Becky à celui de Lyla…Ca c’est très dur à lire pour moi…

  • J’ai trouvé la critique de Ju très intéressante, je n’ai pas vraiment grand chose à rajouter, si ce n’est que j’ai été effectivement déçue de ne pas voir JD, avant de me souvenir qu’il doit probablement avoir fini le lycée, non ? Si je me souviens bien, il était en première pendant la dernière saison de Saracen... Il était proche de Luke, mais il ne me semble pas qu’ils étaient dans la même classe... En tout cas, j’ai trouvé un peu dommage que les panthers ne soient qu’effleurés, après tout, on a aimé cette équipe pour une bonne partie de la série ! Mais ils ont bien balancé ça en "ternissant" un peu l’image des Lions qui étaient une sorte de héros/conte de fée à la Cendrillon... Bref, je suis d’autant plus impatiente de voir ce qu’ils nous préparent pour la suite (putain, oui, plus que 6 épisodes)
  • 5.08

    Je n’ai pas beaucoup aimé cet épisode.

    Beaucoup trop de Julie et d’Epyck pour que je puisse l’apprécier. Avec un peu de chance c’était la dernière fois qu’on voyait Epyck, mais c’est loin d’être sûr. Je n’ai pas non plus aimé l’intrigue de Vince, qui suivait à la lettre ce à quoi on pouvait s’attendre. Pas de surprise, rien, juste un déroulement classique, en attendant de pouvoir passer aux vraies choses sérieuses.

    Ce que la séquence finale annonce particulièrement bien. C’est la seule scène de l’épisode qui a vraiment fonctionné pour moi au niveau de l’ambiance, et bon sang, qu’est ce que la toute dernière image faisait plaisir à voir.

    Cobra !

  • 5.08 Fracture

    Bizarrement, même si l’épisode était loin d’être excellent il ne m’a pas franchement laissé de marbre. Et je remercierai seulement la dernière scène, et le "Shut up !" viscéral balancé par Eric !

    Epyck permet uniquement à Tami d’avoir quelques scènes en lien avec son boulot, à part ça cette intrigue sert pour l’instant à rien. C’est dommage de gaspiller du temps d’antenne pour Connie Britton qui mérite tellement mieux !

    De même pour la pseudo-romance, presque tuée dans l’œuf, entre Becky et Luke.C’est pas franchement passionnant et j’espère que ce statu quo sentimental va rapidement être dynamisé. Déjà que j’apprécie pas trop le personnage alors la voir dans un concours de beauté...euh, non merci ! Heureusement que Mindy vient donner un ’tit coup de punch !

    Julie pendant tout l’épisode m’a fait affreusement peur. Retomber dans les bras de ce piètre assistant m’aurait fait abandonner ipso facto la sympathie que j’avais pour elle. Et diantre, qu’on retrouve notre ex-quaterback de malheur ça m’fait oublier la lenteur et l’inutilité de l’intrigue de Julie depuis le début de la saison. Quelle fin, putain quelle fin !

    La confrontation entre le père de Vince et le coach est de nouveau approfondie, laissant envisager une relation de plus en plus tendue, surtout au vu de l’ambiance exécrable au sein de l’équipe. Le "Shut Up !" d’Eric montre à lui seul l’état d’épuisement et d’énervement dans lequel il est depuis quelques épisodes. A mon avis, la fin ne risque pas d’être joyeuse !

  • 5.08

    Je crois que l’on est tous d’accord vis à vis de cette fin qui s’approche, quel que soit l’état dans lequel elle nous mettra.
    Concernant cet épisode. Objectivité ou pas, Becky reste pour moi la personnalisation de l’inutilité depuis 2 saisons. A quoi sert son personnage ? A rien. A nous avoir fait peur l’année dernière avec Tim, et à nous rendre nostalgique de Tara dans les vestiaires du stripclub, mais à part ça, stagnation la plus complète. Epick au moins sert à nous montrer Tami, mais ça ne va pas plus loin. A elles deux, c’est clair que c’est pas brillant. Mais le reste l’est.

    Premier cas de figure pour Eric en 5 saisons : un coach qui fout la merde, Billy, et un joueur qui prend le melon et réussit à flinguer l’équipe. Oui, je n’oublie pas Smash, l’inoubliable Smash, mais on est pas dans le même contexte, à savoir "la merde intégrale". Et puis on avait Riggins et Matt pour équilibrer, et même à l’époque des conflits raciaux, il y avait plus d’unité, de valeurs. Là on a plus rien. On est à deux doigts qu’Eric se barre pour leur donner une leçon. Parce que pour la première fois, Eric est en constat d’échec, en complète inadéquation avec une saison invaincue. Pour moi c’est une surprise. Le personnage du père de Vince n’étant qu’un accessoire à cette démonstration.

    Julie. Là disparaitrait ma tentative d’objectivité, tout pardonner pour ce dernier sourire du bienaimé Gilford, 3 secondes et demies que j’attendais depuis son nom au générique. A part cela, je reste convaincue que Julie représente notre unique lien direct avec le cast et intrigues originaux, donc son intrigue je l’accepte sans effort. Et si je ne considère que son histoire à elle, on a assisté à son évolution depuis le pilote. La différence est qu’elle était particulièrement bien entourée. La preuve, elle y retourne…

    Ce qui me sidère toujours autant, c’est l’effet qu’un nom au générique, ou 3 secondes et demies d’écran me rendent dingue. FNL c’est un monde à part, même si elle aurait sans doute dû s’arrêter après l’épisode The Son à la mi saison 4.

  • 5.09

    Et s’il n’en restait qu’un…Zach Gilford.
    Oui, je suis prête à soutenir envers et contre tous que le final n’est pas cheezy, que tout l’arc Julie-Matt n’est pas cheezy, parce que Gilford, entre les mains de Berg, et surtout pas de Shonda Rhimes, ne sera jamais cheezy. Il est vrai. Il est sensible. Il est touchant. Il est Matt Saracen. C’est tout.

    Vince sur le banc : génial.
    Tami qui est dégoutée de la vie ne fera que faciliter le déménagement pour le futur poste d’Eric.
    Et oui, Gracie Belle était vraiment flippante cette semaine…
    Plus que 4 putain…

    • 5.09

      Et s’il n’en restait qu’un…Zach Gilford.

      Et Connie Britton alors ?

      Parce qu’après avoir râlé toute la saison sur l’intrigue d’Epyck, en un seul regard de Mrs Coach au bord des larmes, tout était pardonné. Wow, Connie Britton.

      Il est Matt Saracen. C’est tout.

      Bon, allez, je te l’accorde, c’est tellement bien résumé.

      Et oui, Gracie Belle était vraiment flippante cette semaine…

      Après 4 saisons à rôder dans l’ombre, Celle Qui a Une Énorme Tête a enfin eu sa plus grande scène. C’était brillant, foutrement bien écrit, un feu d’artifice de... oui, elle fait grave flipper Gracie Belle.

      Plus que 4 putain…

      Yep !

  • 5.09 Gut Check

    Oui, Matt Saracen est surement le meilleur personnage - avec Tami ! - de l’aventure FNL-ienne. Et oui Julie Taylor apparait comme l’unique lien entre le FNL d’aujourd’hui et les anciens. Non, je n’ai pas peur de le dire, dans 4 épisodes, je vais tout simplement être dévasté. Putain d’excellente série !

    L’intrigue amoureuse qui lie l’ex-QB1 et la fille du coach était bien trop attendue pour qu’elle m’apparaisse trop mielleuse et trop gnan-gnan (Ce qu’est pour moi la relation Luke-Becky !). Elle est absolument délicieuse et en accord complet avec l’histoire du couple. Matt n’en fait guère des tonnes, et contrairement à l’autre assistant, ne joue pas un double jeu. Julie, est pour lui, l’amour de sa vie et loin de la jeter au bout du 3ème jour il fait tout pour que leur relation dure. La scène finale montre à quel point il tient toujours à elle et que malgré la distance qui les séparera il sera toujours là pour elle.
    C’est dans le personnage, mais sa réaction, face à l’aveu de Julie concernant sa précédent aventure sexuelle, était sublime. Tout souriant et compréhensif juste après l’annonce, et emprunt d’une certaine amertume devant la glace. Tout en nuances en un seul regard : Zach Gilford est grandiose. Et c’est là qu’on remarque qu’il manque grandement à la série, surtout quand on fait face à l’inutilité scénaristique de l’arrivée respective de Rucke et Buddy Jr ! Putain oui, il me manque le bougre ! Et Landry ! Et Jason ! Et Smash ! Et Tim !

    Le conflit entre Eric et Vinc’ est encore plus coriace d’autant que la réaction du père laisse envisager, une nouvelle fois, une menace physique sans précédents. Néanmoins, la victoire de l’équipe, grâce à Luke et sans l’aide du QB1 attitré, permet à Vinc’ de remettre en questions ses agissements antérieurs et d’avoir un peu plus foi en la parole sportive et professionnelle du Coach. Et encore une fois, la scène avec sa mère est convaincante du début à la fin. Les relations maternelles ont toujours été développées de manière extrêmement brillante dans la série (Tami-Julie ; Matt-Grand Ma ; Smash et sa mère...), et celle là ne déroge vraiment pas à la règle. Surtout lorsque la prise de conscience du footballeur arrive juste après la discussion. Juste parfait !

    Epyck...ben, euh... à part donner à Connie Britton la chance d’exceller dans son jeu (Un sourire, emprunt d’une certaine fierté, lorsqu’elle voit Gracie Belle et Epyck ; les larmes aux yeux quand les flics emmènent sa protégée), elle ne sert/n’a pas servi à grand chose. Dommage ! Il n’empêche que j’te rejoins Aline, cette politique scolaire du "Ne faisons pas confiance aux malheureux pauvres lycéens qui ont un passé délinquantiel hors normes" , la dégoutant plutôt qu’autre chose, va surement l’amené plus facilement à suivre son mari. Surtout qu’à part ça, rien ne la retiendra à Dillon.

    Oui, dans 4 épisodes, j’vais tout simplement être dévasté !

    Ps : Gracie Belle est diaboliquement affreuse ! La coupe de cheveux est soignée à la perfection. Bravo à l’équipe qui est derrière tout ça !

  • 5.10

    Suis-je la seule à vouloir qu’Eric accepte le poste en Floride ? Je suis en complète contradiction avec la dernière scène. Très bien faite, mais prévisible. S’ils le font rester à East Dillon en donnant une leçon que ce qui compte c’est l’éducation au lycée, ça va m’énerver. Même si en fait je suis d’accord. Pas sûre d’être claire là...

    Tim. Tim... Si c’est un cameo d’un ancien par semaine, j’aimerais avoir Smash la semaine prochaine, et puis Landry pour le 12, et le retour de Matt, des filles et de tous pour le départ de coach où on chialera tous comme des gosses. Tim donc. Je reste persuadée que cet arc de prison est une erreur. On pouvait sûrement garder Tim en suspend autrement pour que Taylor aille faire du cinéma. Aura t-il son "Texas Forever" en 3 épisodes restants ? Est ce que j’ai dit combien c’était bon de revoir Tim ? J’en suis malade de le voir réduit à cette souffrance humaine. Son personnage mérite mieux que cela, et j’ai encore des frissons du plaidoyer de Buddy qui justifie à lui seul sa présence cette saison. Première larme de la mort à petit feu de F.N.L.

    Enfin, j’ai trouvé cet épisode quasiment sans faille. Sauf que ça sent la fin à plein nez. Et je ne veut pas qu’Eric reste pour les Lions alors qu’il était parti pour les Panthers ! F.N.L, tu me déchires le coeur avant même ton final...

    • 5.10

      Tous les acteurs sont vraiment en feu en cette fin de série.

      Cette semaine c’était au tour de Kyle Chandler, et pfiou, qu’est-ce qu’il était bon. Même dans ses scènes avec Gracie Belle. Brrr...

      Suis-je la seule à vouloir qu’Eric accepte le poste en Floride ? Je suis en complète contradiction avec la dernière scène. Très bien faite, mais prévisible. S’ils le font rester à East Dillon en donnant une leçon que ce qui compte c’est l’éducation au lycée, ça va m’énerver. Même si en fait je suis d’accord. Pas sûre d’être claire là...

      Non, effectivement, tu n’es pas très claire. ^^
      Je suis loin d’avoir trouvé la décision d’Eric prévisible. Enfin... je me doutais qu’il allait rester, mais je n’ai pas trouvé que le choix était présenté de façon trop facile, et j’étais loin de penser que la décision arriverait aussi vite.

      J’ai adoré la dernière scène. Comme j’ai adoré l’hommage qui lui est rendu par son équipe (et le petit debriefing avec Mrs Coach juste après, toujours aussi naturel).

      Sauf que ça sent la fin à plein nez. Et je ne veut pas qu’Eric reste pour les Lions alors qu’il était parti pour les Panthers !

      C’est différent.
      Mais je ne me souviens plus très bien de la fin de la première saison, donc ne compte pas sur moi pour te dire en quoi c’est différent. ;)

      Est ce que j’ai dit combien c’était bon de revoir Tim ? J’en suis malade de le voir réduit à cette souffrance humaine.

      J’étais ravi de retrouver Tim. Mais j’ai toujours du mal avec Taylor Kitsh.
      Dans sa première scène de l’épisode avec Billy, quand il l’envoie méchamment balader sur un ton sombre et torturé, j’ai trouvé que Kitsh en faisait dix fois trop. Cinq minutes plus tard, lors des discours d’Eric et Buddy, j’étais complètement bluffé et ému, rien que par les expressions défilants sur son visage.

      Moins Tim parle, plus Taylor Kitsh est bon.

    • Non, effectivement, tu n’es pas très claire. ^^
      Je suis loin d’avoir trouvé la décision d’Eric prévisible. Enfin... je me doutais qu’il allait rester, mais je n’ai pas trouvé que le choix était présenté de façon trop facile

      Il m’a semblé, que cet hommage des joueurs, était très (trop) facile (écriture et mise en scène). A partir du moment où Buddy a vu les oranges, mon envie de voir partir Eric ne s’est que renforcée. Je comprends bien qu’Eric et Tami font du bon boulot chez les lycéens locaux, mais je ne peux m’empêcher de me dire que ce serait les retenir en arrière que de les faire rester à Dillon. Leurs personnages méritent de grandir. Ce serait comme si on avait fait rester Saracen à Dillon vendre des pizzas ou assistant coach. Les personnages méritent leur envol, et pourraient tout autant avoir une très belle utilité et profondeur.

      et j’étais loin de penser que la décision arriverait aussi vite

      J’ose croire que ce n’est pas encore joué...

      Moins Tim parle, plus Taylor Kitsh est bon.

      Amen.

  • C’est différent.
    Mais je ne me souviens plus très bien de la fin de la première saison, donc ne compte pas sur moi pour te dire en quoi c’est différent. ;)

    Si jamais Eric quitte les East Dillon (on ne sait jamais), la résolution de l’intrigue ne sera pas résolument si différente que lors de la 1ère saison (Pour tout te dire, j’me refais actuellement l’intégrale de la série. Oui, j’suis dans une phase de déni complet quant à la fin de la série ! ^^) :

    - Il les amènent en finale, c’est à dire comme pour les Panthers (match ultra serré contre Voodoo Tatum)
    - Il quitte la navire alors que tout s’passe pour le mieux dans l’équipe, c’est à dire comme pour les Panthers (Accepte d’être coach des QB au TMU, alors qu’ils ont remporté le Championnat d’Etat)

    A vrai dire, les seules différences se situeraient à ses alentours : Alors que Tami, le ’tit foetus Gracie Belle et Julie étaient restées à Dillon (Rappelez-vous cette belle époque du Suédois, du prof d’anglais, du violeur, de Carlotta... ^^), là, dans cette dernière saison, elles devraient l’accompagner jusqu’à sa nouvelle demeure, SI et seulement SI il accepte le boulot !

    Si c’est un cameo d’un ancien par semaine, j’aimerais avoir Smash la semaine prochaine, et puis Landry pour le 12, et le retour de Matt, des filles et de tous pour le départ de coach où on chialera tous comme des gosses

    Depuis le début de la saison, c’est mon plus grand souhait ! J’ose espérer qu’ils réussiront à nous offrir un final en véritable apothéose de guest. Surtout que des personnages comme Tyra ont quitté la série sans réelle conclusion, ce qui est assez anormal après 3 ans de vie Dillon-ienne !

    Sinon, tout a été dit : Excellent épisode avec un Buddy transcendant, un Eric Taylor fidèle à lui même depuis 5 saisons, c’est-à-dire juste sensas’, et un retour très satisfaisant de Timmy !

    Moins Tim parle, plus Taylor Kitsh est bon

    Amen. Amen.

    • 5.11

      Hé bé... c’était sacrément bon.

      On avance à toute vitesse sans y perdre quoi que ce soit dans le récit, et sans y perdre en émotion. Les scènes chez Vince, ou la dispute entre Riggins (et le contre-coup avec Mindy !) étaient tout simplement parfaites, alors quand en plus elles sont accompagnées par une avance-rapide sur les victoires de Lions...

      Rien à dire. Pas un reproche.

      Sinon, pour rebondir sur une discussion d’il y a quelques jours...

      Depuis le début de la saison, c’est mon plus grand souhait ! J’ose espérer qu’ils réussiront à nous offrir un final en véritable apothéose de guest. Surtout que des personnages comme Tyra ont quitté la série sans réelle conclusion, ce qui est assez anormal après 3 ans de vie Dillon-ienne !

      Je ne suis pas du tout du même avis.
      Pour moi la seule qui n’ait pas vraiment eu de conclusion, c’est Lyla. Et c’est sans doute parce que son personnage était trop définie à travers Street et Riggins. Je n’ai aucune envie, en tout cas, de la voir réapparaitre avant la fin dans un rôle qui détournerait trop du reste.

      Quant à Tyra, encore une fois, elle avait une très grande place dans toute la saison 3, et toute son intrigue d’entrée à l’université offrait une très belle conclusion au personnage, à mon sens. Même si ça me ferait plaisir de la revoir dans une scène ou deux, ce n’est pas parce qu’elle aurait été abandonnée il y a deux ans.

      Quant à Landry, la dernière image qu’on a eu de lui dans le premier épisode de la saison était absolument parfaite, je refuse de le voir réapparaitre.

      Reste Matt, qui mériterait quand même d’avoir une paire de scène dans le final...

    • J’ai l’impression que l’on a eu le même emploi du temps ce soir, Ju, à 2mn près ;)

      Pour moi la seule qui n’ait pas vraiment eu de conclusion, c’est Lyla

      Pas d’accord. Lyla est revenue pour faire ses adieux à Tim (à mon grand désespoir) et on sait qu’elle fonctionne bien à la fac grâce à Buddy en saison 4, elle est sur ses rails. Tyra en revanche, elle n’est pas revenue en saison 4, et sauf erreur de ma part, on a juste eu Landry qui l’évoquait lorsqu’elle commençait la fac, pour moi, c’est elle qui n’a pas eu sa conclusion.

      Reste Matt, qui mériterait quand même d’avoir une paire de scène dans le final...

      Pas de final sans Matt et Tim. Et s’il faut choisir un, Matt. Mais F.N.L est une famille, un clan, je suis prête à parier qu’une réunion aura lieu. Pour mon plus GRAND bonheur (désolée Ju).

      Enfin, je voulais savoir si pErDUSA assure une cellule de soutien psychologique à partir de la semaine prochaine ?

  • 5.11

    Cette semaine, entre le métro et le boulot, F.N.L me hante. Et (je vous jure que c’est vrai), je me suis dit, C’est Tami qui va avoir un super poste et qui provoquera leur départ de Dillon. Parce que, chère aline (oui, je me parle à la 3ème personne dans ces moments là), ce n’est pas Eric le coeur de F.N.L, c’est Tami.
    Nous y voilà.
    State est là. Comme prévu.
    Smash était bien là cette semaine (en coup de vent, dommage).
    Tim a enfin pu exprimer sa colère et sa frustration envers son frère. Quelle souffrance cette scène du parking. Et puis la scène avec Mindy m’a aussi bouleversée.Pourtant les Riggins nous ont offert en 5 ans quelques scènes d’antagonisme, mais celle-ci était vraiment tragique.
    L’inattendu attendu est là aussi, avec l’opportunité de Tami. Et quand, la semaine dernière, j’écrivais que je voulais voir leurs personnages grandir, parce qu’ils le méritaient, c’était EXACTEMENT ça.
    Putain…Je suis dedans à un tel point que j’en suis malade…Plus que deux…

  • Quant à Tyra, encore une fois, elle avait une très grande place dans toute la saison 3, et toute son intrigue d’entrée à l’université offrait une très belle conclusion au personnage, à mon sens

    Mouais, personnellement j’ai été sacrément déçu de la voir disparaitre de la série comme ça alors que tous les autres personnages (Smash, Lyla, Matt, Tim, Street, Landry...) ont tous eu le droit à une évolution de leur intrigue nettement plus poussée (s’étalant sur beaucoup plus d’épisodes, voire saisons) et en accord avec leur caractère. Terminer sur son entrée à la FAC est peut être bien, mais personnellement j’en attendais un peu plus. Quoi ? J’en sais rien mais ne perdons pas de vue qu’elle était un personnage clé de la série et à mon sens quelques scènes la mettant en avant ou un retour à Dillon (Je sais pas moi, peut être pour Mindy et Billy, pour sa mère, pour Tami...) n’auraient pas été de trop ! Oui, en avoir terminé avec Tyra à la fin de la saison 3, alors que je pensais la revoir en saison 4 m’a laissé un gout très amer ! ;)

    Pour moi la seule qui n’ait pas vraiment eu de conclusion, c’est Lyla

    Je rejoins Aline sur ce point ! Même si j’ai pas une très grande sympathie pour le personnage (On va pas revenir là dessus, ça avait déjà fait débat à l’époque ! ^^), on ne peut pas dire qu’elle n’a pas eu de véritable conclusion. Son retour en saison 4, la poursuite de son intrigue en dehors des enceintes du lycée, et le statut de ses relations avec Tim et Buddy m’ont semblé parfaits pour la laisser quitter Dillon une fois pour toutes !

    Sinon, lorsque j’évoquais l’ultime réunion de guests c’était dans l’idée d’une sorte de grande photo de famille réunissant les anciens et les nouveaux, afin lier les deux époques, afin de se remémorer ce qui a fait la série. Loin de moi l’idée de les faire revenir pour achever une quelconque intrigue laissée en suspens ou conclue de manière mitigée, non vraiment j’ai en tête un final ultra nostalgique à se prendre. C’est tout ! ;)

  • 5.11 The march

    Pouah pouah pouah ! Juste parfait ! L’un des meilleurs épisodes de la série à mon gout ! Y’avait vraiment tout pour plaire, et surtout y’avait vraiment tout pour finir en beauté cette saison grandement excellente. Le Series Finale en est surement pour beaucoup mais étrangement chaque plan (Le départ en bus des Lions, le regard furtif entre le Coach et la mère de Vinc’, la solitude de Billy, l’arrivée avec la foule de fans en délire...), chaque scène (oui oui même celles avec Becky !) sentait à plein nez la nostalgie. Et putain, ça fout les ch’tons quand on sait que la série n’est pas encore terminée !

    On accélère le court du temps sportif pour amener directement nos jeunes athlètes à la finale. C’était osé, et pouvait apparaitre comme téléphoné, mais le clin d’oeil répété au tableau, sur lequel Eric avait inscrit State au tout début de la saison et sur lequel on peut voir le décompte des matchs restants avant la finale, a détruit toutes mes craintes. Ca permet de rassembler toute l’équipe, de faire ressurgir cette solidarité qui manquait tant dans les derniers épisodes (Du aux comportements de Vinc’ et Luke) et surtout de sensibiliser toute l’équipe face à ce qui les attend dans quelques jours. Le parcours est gigantesque entre le début de la saison 4 et la saison 5 et je trouve ça d’une logique implacable d’avoir construit le groupe en deux ans, et surtout de l’avoir construit de telle sorte qu’ils atteignent un tel niveau en tant de temps. C’est ultra bénéfique, et ça permet d’apprécier encore plus grandement la fin qui se profile. Il l’auraient tentée en fin de saison 4, c’aurait paru bien trop facile !

    Et cette solidarité qui renait s’en trouve sublimée avec ces deux scènes qui montrent les joueurs courant sur place devant les demeures respectives du Coach et de Billy. Superbes à en avoir des frissons ! Toute la mise en scène (Bruits venant de l’exterieur, Billy arrachant son ’tit frère de sa oisiveté...) fait monter la pression, et m’a permis de cumuler le sourire et, encore une fois, la nostalgie-d’avant-l’heure !

    FNL ne serait rien sans son lot de moments dramatiquement badants. Et cet épisode ne déroge pas à la règle loin de là. Et on commence avec le retour mouvementé de Tim. Fidèle à lui même, il boit des bières et regarde de faux programmes télé (Si c’est pas de la pêche, c’est des courses de bagnoles. YEAH, rock’n’Roll). Mais attention petit changement, il est barman et grâce à ça, on a le droit à notre smash "guest" Williams vite fait bien fait. Et rien que pour ça, j’suis heureux ! Ceci dit, il reste fidèle à lui même dans le sens où il sera à jamais torturé et son séjour en prison n’a fait qu’accentuer le trait. L’altercation avec son frère est surement la plus violente (tant physiquement qu’émotionnellement), la plus viscérale et la plus authentique à laquelle, à mon avis, on a eu le droit pendant toute la série. Voir Billy à genoux, seul sur le bitume, à gueuler qu’il est désolé est un de ces plans qui me fait adorer la série. On peut le comprendre, c’est son ’tit frère et tout et tout mais on ne peut pas le plaindre quand on sait que Tim est allé en taule à sa place, ou tout du moins il y est allé pour les conneries de son frère et pour qu’il ait l’occaz’ d’avoir une famille. Qu’il finisse seul, dans sa caravane, à suivre difficilement les exploits de son ex-Coach, à boire de la bière et avec cet air triste qui lui va si bien, ça me déchire le coeur. Encore une fois, il mérite pas ça !

    Je tiens sinon à rendre hommage à la relation qui se noue depuis deux saisons entre Vinc’ et sa mère car c’est d’une incroyable justesse. Les deux acteurs font montre d’un jeu tout en nuances qui me fait fondre à chaque fois. J’ai vraiment un gros gros gros coup de coeur pour l’actrice, je la trouve brillante. Cette femme blessée, tiraillée entre son (ex)-mari drogué et violent et l’ascension fulgurante de son fiston, là depuis le début pour elle, est l’une des meilleures idées offertes par les scénaristes ! J’aime, j’aime, j’aime !

    Et enfin, le clou du spectacle FNL-ien : Tami et son futur-nouveau-poste-qu’elle-va-forcément-prendre ! Yes, yes, yes ! J’aime cette femme, j’aime Connie Britton, j’aime Tami. Ce personnage est LE personnage, avec Eric, de la série. Elle a tout pour plaire. Sa réussite a toujours été développée de manière réaliste, et son caractère a réussi à la hisser jusqu’au plus haut niveau. Le changement, ici, intervient dans la dynamique du couple : Alors qu’elle était forcée de suivre son mari du fait de ses changements de jobs, ça sera peut être elle qui va amener Eric à quitter Dillon. Lors du début de la saison 1, Tami était prête à suivre son mari à Austin, du fait de son engagement auprès de TMU. Si elle accepte ce nouveau boulot, ce sera à Eric d’être tiraillé entre le désir professionnel de sa femme et son futur sportif (qui risque d’être mis à mal par la fusion des deux équipes l’année prochaine !). Tiraillé, mais pendant combien de temps ? A l’allure où vont les choses, et au vu des coupes budgétaires formulées par le Principal, y’a fort à parier que Tami va décider pour deux ! En tout cas, bien heureux de voir une telle évolution du personnage !

    Pas de Gracie Belle= Épisode PARFAIT !

  • 5.12

    Ju, j’ai vraiment été désolée pour toi, l’espace d’une demie seconde, c’est vrai. Parce que cet avant dernier épisode, était sans doute tout ce que tu ne voulais pas. Mais, (tu peux te boucher les oreilles parce que je vais le crier très fort), j’ai A-DO-RE. Pour moi c’était parfait. Un angle nostalgie et rangement de boites.
    Tyra - Julie - Tim - Matt - Mac - Angela…

    Un épisode, pour ranger toutes les boites du F.N.L 2.0 : Vince et Jess, Luke et Becky, Billy et Mindy, Tinker a droit à sa sortie, et surtout les Lions.
    Est ce que si les Lions avaient survécu le choix qui nous attend la semaine prochaine aurait été différent ? Est ce une certaine facilité ? Pas vraiment, car après tout, on propose à Eric la mega équipe…Mais quand Tami veut quelque chose…C’est vous, les mecs de ce forum, qui n’avaient pas cessé de dire tout au long des dernières années que Tami avait toujours raison. 18 ans, comme elle le dit si bien…

    Et pour revenir sur l’émotion :
    1. le panneau de Saracen 7 renversé dans le jardin
    2. Tim qui dit à Luke de jouer sa finale comme si c’était la dernière chose de bien de sa vie
    3. les slippers de Lorraine
    4. Tyra qui demande à Tim devant un coucher de soleil s’il veut vraiment partir en Alaska
    5. la bande son
    6. le sourire de Tyra
    7. Tim qui demande à Tyra de ne pas partir
    8. Matt qui serre sa grand mère sénile dans ses bras
    9. Tami et Julie qui discutent de leur père accoudées à leur cuisine
    10. Julie et Tyra assises sur le bord du truck

    De mon côté, il y a eu des pleurs et des sourires…

  • 5.12

    The Devil Town !

    C’était plutôt parfait. Faudra faire aussi bien la semaine prochaine.

    Rha, Tyra ! Et le retour honteusement manipulateur de Matt avec sa grand-mère ! Et les Lions qui boivent des bières en pleine nuit sur leur terrain ! L’accolade entre Vince et le Coach ! La scène entre Buddy et Eric (et Buddy qui entend parler du Jumbotron à la radio ! ^^) !

    Rhaaaa... ça va être difficile la semaine prochaine.

    • (et Buddy qui entend parler du Jumbotron à la radio ! ^^) !

      Oui, j’ai oublié de le mettre dans ma liste, mais c’est l’un de mes sourires de l’épisode que d’entendre parler du jumbotron à la radio.

      Ce qui m’amuse sinon, autrement que nous avons encore posté nos commentaires à 2mn près, ce sont les exemples que tu donnes Ju, car nous n’en avons pas un en commun (à part mon oubli du jumbotron). Et c’est vraiment ça la richesse de F.N.L. et de cet épisode : pas un temps de gâché, tout est utilisé à bon escient dans l’écriture, le jeu ou la production pour servir l’essence de la série et répondre aux attentes de tous les types de ses spectateurs.

      Et heureuse de voir que même Ju qui jurait ne pas vouloir de réunion d’anciens élèves la semaine dernière, s’est régalé cette semaine...

      Rhaaaa... ça va être difficile la semaine prochaine.

      C’est rien de le dire...J’ai prévenu le boulot, un comité anti déprime est prévu...

  • 5.12 Small Town/TExas whatever

    J’ai chialé, j’ai ri, j’ai re-chialé, j’ai re-ri...mais j’ai surtout bien chialé ! Putain que cet épisode, à l’image du précédent, était diaboliquement parfait ! Chaque scène avait sa raison d’être, chaque retour (Désolé Ju ! ^^) était en osmose complète avec les différentes intrigues et chaque moment d’anthologie qui a modelé, au fil des saisons, l’univers de FNL a été révisité de la meilleure manière qu’il soit. Je vous rejoins aisément sur la question de l’impact de la série, et je tiens à dire que la semaine prochaine sera l’un des plus douloureux deuils sériels auxquels j’ai pu assister et me confronter. 5 saisons balayées comme ça avec seulement 45 minutes de sur-kiff total, ça va être humainement catastrophique. Dans une semaine, j’ne sors plus de chez moi, me réfugie sous la couette et m’enfile l’intégrale jusqu’à épuisement émotionnel ! Putain que ça va être dur !

    Je me contente de presque-paraphraser Aline en étant désolé pour toi Ju qui trouvait que Tyra avait quitté la communauté Dillon-ienne de la meilleure façon et qui ne voulait pas d’une réunion du Old Cast ! Parce que oui cet épisode renoue avec les rires et les pleurs d’antan, et surtout renoue avec une partie de l’ancien cast qui, personnellement, me manquait cruellement : Tyra en brune, Grand Ma’ et ses chaussons, Matt et son sapin de Noël, Mac et sa casquette bleue m’ont comblé comme jamais. Réussir à fusionner les deux périodes aussi brillamment, c’est trop beau pour penser que la série arrive à son terme dans moins de 7 jours. C’est juste impensable !

    Dès l’arrivée de Tyra - où dès l’entente de son magnifique rire ! RrRRrRRRrrr Tyra ! - j’me doutais qu’elle allait une nouvelle fois tomber dans les bras du Tim-musclé-qui-aime-péter-un-câble-tout-seul-dans-sa-caravane et même si leurs retrouvailles sentimentales et sexuelles peuvent apparaitre comme téléphonées, j’ai trouvé ça trop nostalgique et mignon pour y prêter une quelconque attention. Vu tout ce à quoi Tim a été confronté ces derniers mois, vu sa relation désastreuse avec son frère, vu son pétage de plombs dans la caravane, que Tyra, son ex-ex-ex-ex-ex... petite amie lui fasse réaliser qu’il part un peu en couille, qu’il doit se fixer sur son rêve et qu’elle soit la seule à qui il peut se confier me semble tout à fait convenable et me fait comprendre la réaction du bad boy ! Oui Tim a besoin d’un truc bien dans sa vie, et si ça passe par une relation avec Tyra et l’aboutissement de son rêve avec son immense terrain, moi j’dis "Carrément OUI" !

    L’une des intrigues les plus éprouvantes, pour moi, était celle entre Tami et Eric. Avec la fin du dernier épisode, je ne m’attendais pas à un tel déchirement. Personnellement le point ultime, et j’ne sais pas pourquoi, de ce vrai problème durable au sein du couple se trouvait dans la discussion entre Tami et Julie lorsque la première dit "You Know, your father and i we love each other very much". J’ne sais pas pourquoi mais pour moi ça sonnait comme le glas de leur relation, comme si c’était un avant goût d’une future séparation, d’un futur divorce. C’est souvent cette phrase qu’on utilise aux enfants pour amoindrir le choc de la révélation et la manière dont Tami l’a dit ça m’a tout de suite traversé l’esprit. Et la tension qui subsistait dans le dialogue avec Eric ne m’a guère enthousiasmé. Oui, pour la première fois, j’ai peur pour leur couple ! Cette situation professionnelle qui s’offre aux deux est assez unique dans l’histoire de la série pour m’autoriser à être craintif, et surtout pour être désarmé face à l’évolution de l’intrigue. Je n’ai aucun moyen d’anticiper, et je n’ai donc aucun moyen d’être rassuré. "Tami Knows Best" (3X02) est le titre qui résume à lui seul parfaitement le personnage : Elle a toujours eu raison, et même si elle a pu commettre des erreurs, elles a toujours su les retourner en sa faveur. Je me dis donc qu’après 18 ans à être la femme du coach elle a le droit de renverser les rôles et de faire déménager la famille pour un job qu’elle désire depuis un bail. A voir maintenant si Eric est capable de mettre de côté sa fierté et son orgueil professionnels (Et rien que pour ça : Buddy, espèce d’enfoiré ! Sale opportuniste-bouffeur-de-steack) et de suivre sa femme parfaite !

    Devil Town pour clore l’intrigue du combat entre les deux villes était le choix musical évident. Et diantre ça fait mal de voir East Dillon tomber sous la puissance et l’omniprésence des Panthers. Le discours de Vinc’ était pourtant irréprochable, et l’accolade donnée par le coach renforce la grandeur du personnage. Les quelques scènes où il occupe le devant de la scène (Avec Jess, sur le terrain de foot, la motivation de l’équipe, le speech...) ont été carrément poignantes et me le font déjà regretter amèrement. C’est pour moi l’une des meilleures évolutions dramatiques d’un personnage au cours des 5 saisons. Il me fend à chaque fois le coeur, et le talent de Michael B. Jordan y est évidemment pour beaucoup. Putain, est-ce que j’ai déjà dit que je n’ai vraiment pas envie que cette série se termine ?

    Et puis comment passer outre la re-visite de ces grands moments d’anthologie qui, pour la plupart, ont fait de la série un gros gros show ? Je parle évidemment (ou pas !) de la réunion nocturne sur le terrain entre nos principaux joueurs rappelant grandement les sorties tardives de Matt, Smash, Tim et Jason. Et puis le plan des souliers de Lorraine à chaque fois sublime et émouvant (Ses retrouvailles avec Matt...euh... tout simplement dantesques !). La relation Tim-Tyra qu’on nous avait présenté dès le Pilot de façon très Sex-alcohol-Rock’n’roll et ici repeinte de façon plus romantique. Le panneau "7 Saracen" rangé derrière le grillage, symbole d’une époque révolue mais pour autant inoubliable. L’opportunisme exacerbé de Buddy, aujourd’hui au sommet de sa folie Panthers-ienne. Et surtout le "Pas Gracie Belle" qui était quand même le meilleur du meilleur en ce début de série.

    C’est tout vu : la semaine prochaine je suis tout simplement désemparé !

    • Mais vous êtes d’une mauvaise foi absolue. Et je sais de quoi je parle !

      Ju, j’ai vraiment été désolée pour toi, l’espace d’une demie seconde, c’est vrai. Parce que cet avant dernier épisode, était sans doute tout ce que tu ne voulais pas.

      Et heureuse de voir que même Ju qui jurait ne pas vouloir de réunion d’anciens élèves la semaine dernière

      Je me contente de presque-paraphraser Aline en étant désolé pour toi Ju qui trouvait que Tyra avait quitté la communauté Dillon-ienne de la meilleure façon et qui ne voulait pas d’une réunion du Old Cast !

      Alors, que ce soit bien clair. Je n’ai pas dit que je ne voulais pas d’une réunion de la distribution précédente. J’ai dit que je ne voulais pas du retour de Lyla ! (et Landry, mais c’est négociable, tout le monde adore Landry !).

      J’étais donc ravi de revoir Tyra, comme tout le monde, et ravi de revoir Matt.

      Ce que je ne voudrais pas, ça serait de la nostalgie qui prendrait trop de place et qui n’aurait aucune incidence sur les intrigues en cours. Ici, Tyra est parfaitement utilisée, dans le sens où elle sert l’intrigue et le personnage de Tim.

      (et pour clarifier, encore, ce genre d’utilisation de Tyra, au dépend complet de son personnage, n’est acceptable uniquement parce qu’elle avait une toute la troisième saison pour sortir de la série en beauté... mais je me répète... parce que j’ai raison... ^^)

      Bon, et pour avoir revu plusieurs épisodes des premières saisons ce week-end... je sens que la fin va être dure. Comme quoi, ce genre de nostalgie, ça peut avoir du bon.

  • Always

    Parfait.

    Des scènes d’anthologie de la série (avec ou sans acteur dans le champ d’ailleurs). L’émotion est si grande que c’en est presque indécent à se mettre dans de tels états pour ce qui n’est n’est qu’une série de télévision, oui mais c’est ce qui se fait de mieux dans le genre, et tout simplement de celui de la fiction tout format. Les auteurs et producteurs ont maitrisé le sujet d’un bout à l’autre. Il m’est impossible d’en dire plus, le choc attendu est venu, pas une seconde de déception.
    <brFriday Night Lights laisse un grand vide. Un immense vide.
    Bravo à Ju pour la clairvoyance d’écriture après un tel choc émotionnel. Bravo pour le choix de la photo, vous devriez même la mettre dans le poste de télé du bandeau pErDUSA.

    Je reconnais ne pas avoir assez de distance ce soir pour me plonger dans une analyse mais pour ceux que ça intéresse, il y a ça et il y a ça.

  • 5.13 Always Clear Eyes, Full Hearts, Can’t Lose !

    Parfait.

    Des scènes d’anthologie de la série (avec ou sans acteur dans le champ d’ailleurs). L’émotion est si grande que c’en est presque indécent à se mettre dans de tels états pour ce qui n’est n’est qu’une série de télévision, oui mais c’est ce qui se fait de mieux dans le genre, et tout simplement de celui de la fiction tout format. Les auteurs et producteurs ont maitrisé le sujet d’un bout à l’autre. Il m’est impossible d’en dire plus, le choc attendu est venu, pas une seconde de déception. Bravo à Ju pour la clairvoyance d’écriture après un tel choc émotionnel. Bravo pour le choix de la photo, vous devriez même la mettre dans le poste de télé du bandeau pErDUSA.

    Euh... pas mieux !

    J’étais habitué aux très longs discours review-esques après chaque épisode - et j’en suis désolé pour ça ! - car c’était (Rien qu’utiliser l’imparfait ça m’donne des frissons ! Putain !) l’une des séries, pour ne pas dire LA série, qui m’obligeait à déverser sur le forum tout ce que j’avais pu ressentir face à un tel déferlement de scènes plus somptueuses les unes que les autres. Je sais pas pourquoi mais là, ce soir, maintenant, tout de suite après le visionnage de cet ultime épisode, j’n’arrive même pas à m’y retrouver dans cet imbroglio émotionnel, si fort et si déstabilisant, dégagé après cette heure de final. C’était tellement parfait !

    Cette série m’a habitué à tant de bonheur(s) télévisuel(s) que je m’attendais pas à une telle explosion de magnificences dramatiques. Un tel condensé, tout simplement inhumain, m’a frappé à la gueule comme jamais et j’en ressors, comme je l’avais prédit, totalement déboussolé. Et comme tu le dis (peut être que Ju aussi, mais j’n’ai pas encore lu sa superbe review. Je récupère de mes émotions ! ^^’), c’est presque aberrant de se mettre dans des états pareils pour une simple fiction et des personnages irréels qui n’ont, à proprement parler, aucune incidence sur nous. Pourtant c’est bien le cas, j’m’y suis pris au jeu dès les premières minutes du show et je ne l’ai pas lâché d’un seul oeil tout du long. La prouesse était d’exceller dans la durée, et sur les 5 saisons, avec le recul, rien n’est à jeter et le tout (Personnages, intrigues, B.O, la photographie...) forme, pour ma part, une série d’anthologie qu’il serait inacceptable de louper ou de seulement survoler.

    Ce Teen Show magistral a su remanier les codes du genre à sa façon avec une telle maturité et un tel sens de l’irréprochable qu’on en vient à se demander si : 1) une autre série aura l’occaz’ d’atteindre le même degré qualitatif ? 2) les américains qui ont délaissé le show ne vont pas amèrement le regretter ? 3) je vais un jour me remettre de son series finale parfait ?

    Texas forever !

  • Toute la série

    dès le final et les réactions positives lues un peu partout, je me suis convaincu qu’il était temps de regarder la série. Cela peut paraitre tardif, mais mes rapports avec FNL ont été un peu chaotiques. en effet, les premiers épisodes que j’ai vu et bien... c’est les 1ers de la saison 2. Autant dire que j’ai commencé par le moins bon ! J’ai donc abandonné l’idée de suivre la série à la vitesse des américains et je l’ai rangé dans mon tiroir "à voir" dans un coin de ma tête.

    Or pendant les dernières vacances d’hiver, si je ne me trompe pas, je suis tombé sur la 1ère saison sur la chaine n°1 en Suisse (enfin casi la seul existante quoi). C’était le matin, mes yeux avaient du mal à suivre la caméra et tout le monde parlait français ?! Malgré tout ça, j’aimais beaucoup et c’était devenu une motivation pour me lever, pendant les vacances ! La diffusion fut aléatoire et les cours ont repris donc j’ai fini par oublier à nouveau la série.

    L’après diffusion du finale m’a alors fait un électrochoc. Je suis passé à côté de quelque chose d’unique, qu’on ne reverra pas de si tôt à la télévision. je me devais de corriger le tir. et puis, point positif, J’ai pu apprécier chaque seconde sans me dire à chaque fois que la série va être annulée. Elle avait droit à une vraie, je me suis investi à fond (au détriment de mes études...) !


    Saison 1

    Je rejoins tout le monde pour dire que c’est la meilleure saison, Pas grand chose à dire de plus si ce n’est que sur le coup je n’avais pas prêté attention au gros filtre bleu qui assombrit toute couleur vive et fait ressortir les maillots de l’équipe. que se soit l’image, la musique, les acteurs, les storyline, tout est parfait, je pardonne même les amourettes entre Jason et Lyla. Explosion in the Sky est devenu une sorte d’hymne qui me met dans une état second dès les premières notes. C’en est presque flippant ! Paquets de mouchoirs utilisés : 9.5/10 (le nombre d’épisode variant selon la saison, j’ai fait une moyenne^^)

    Saison 2

    Patatra ! Je ne sais même pas si elle va faire partie de mon intégrale... Non, sans être pessimiste, il y a quand même quelques trucs que je garderais. Mais soyons sérieux, Landry n’a jamais tué personne et ce n’est jamais devenu la star de l’équipe de foot. Les scénaristes étaient déjà en grève et ils voulaient juste nous faire une blague. Paquets de mouchoirs utilisés : 5/10

    Saison 3

    On est en milieu de série, et la nostalgie envahit déjà chaque storyline. On ne sait même plus qui part à l’université l’année suivante, parce qu’on a le sentiment que tout ce qu’on savait de FNL va disparaitre à la fin du finale. Les adieux de Smash font disparaitre toute la communauté noire de Dillon pendant un instant. Jason Street, après avoir souffert à cause de son état, voit le destin lui tendre une main (voir un bras) pour qu’il puisse s’en sortir, avec une femme, un gosse, et un travail dans le monde du football. C’est abusé mais on est touchés par son histoire. Tyra nous prouve que tout est possible quand on a des gens derrière qui nous soutiennent et nous aident à atteindre nos objectifs malgré les difficultés qui nous semblent insurmontable. Sa lettre d’admission pour l’université m’a totalement bouleversé et remis en question toute mon existence. J’exagère à peine. C’est le personne qui m’a le plus inspiré. Saracen, il est tellement maladroit et cool au même temps. juste sa dernière décision de rester qui m’a déçu. Et pendant ce temps, Tim essaie de devenir meilleur pour plaire à Lyla. ça n’a mené nulle part, Bon. Reste que la saison 3 renoue avec les débuts de la série et en plus, l’équipe perd. Parce que FNL, ce n’est pas que le football, ce sport qui n’offre que peu d’avenir pour ces stars d’un soir. Paquets de mouchoirs utilisés : 8.5/10

    Saison 4

    Passé les premiers épisodes un peu faibles, on a droit au départ de Matt, après un épisode magistrale sur la perte du père. A cela, on ajoutera les adieux entre Tim et Lyla, touchant, mais logique. Qui a jamais cru à un avenir commun entre les deux personnages ? c’est bien qu’ils se soient séparés sans drama, ni trop de larme (à part les miennes). la suite est un peu plus en demi teint. Plus de filtre bleu, cete fois on fait ressortir le rouge, ce qui rend la pelouse plus verte aussi. En peu de temps, les Panthers deviennent nos pires ennemies et on espère voir émerger une vrai team dans les bas fond de Dillon. J’ai été outré par les injustices si bien orchestrées et jouées. On a envie de botter le cul des sponsors à chaque épisode et la victoire des Lions à la fin, même si elle ne mène pas à grand chose, elle aura un petit gout de vengeance bien méritée ! Dommage pour les nouveaux personnages, je me suis senti moins impliqué dans leurs problèmes. On a frôlé Esprits Rebelles, avec les gangs, meurtres et autres histoires qu’on préfère oublier. Mais dans l’ensemble c’était quand même bien d’illustrer ces gens dans la misère, en partie à cause des personnes qu’on a aimé à West Dillon. Les Riggins prennent de l’importance et forment le pilier qui soude toute la série, avec la famille Taylor, évidemment. Landry et Jess, ça n’aura pas servi à grand chose mise à part démarrer la relation entre Jess et Vince. J’avais d’ailleurs déduit, quand Landry amène le vélo tout neuf, que leur relation était terminée. C’était aussi une manière de laisser Tyra partir, parce que son absence s’est bien fait sentir ! Luke et Becky, mouais, je me suis fait un avis plus précis dans la saison suivante. Ha et Julie, son personage est tout de suite moins bien sans Saracen, donc j’espérais surtout qu’elle occupe pas trop de temps d’antenne, sans pour autant la détester, juste que ses storyline étaient trop forcées. Paquets de mouchoirs utilisés : 7/10

    Saison 5

    Dur parce que jusqu’à l’épiosde 7, on ne voit pas trop où la série veut nous emmener. je pensais d’ailleurs qu’après cet épisode qui montrait une équipe des Lions indomptable, on allait voir le Coach reprendre en main ses gamins. mais en fait tout est passé à travers Vince, qui à lui seul représente tout l’esprit d’équipe. Ce n’est pas plus mal car j’ai été agréablement surpris par son évolution, et le malaise qu’on avait devant les matchs des Lions s’estompe.

    Landry a eu droit à un joli départ, tout comme Julie, sauf qu’on la suit dans ses mésaventures trop peu engageantes à l’université. ça n’a pas fait de bien à son personnage et c’est peut-être le gros point noir de cette saison 5. Heuresement, tout sera pardonné pour le finale. Tim en prison, on aurait pu voir les Riggins moins présents mais en fait c’est tout le contraire. Il aura réussi à réunir une véritable famille, avec Becky en bonus. du coup j’ai pu apprécier un peu plus Becky et Luke. Jess se fait moins présente, malgré son intrusion dans le monde du foot hautement machiste.

    Enfin, beaucoup trop de choses à dire, le retour de Tyra était bien traité, j’ai adoré les scènes de réunion entre les anciens, même si le pauvre Landry accroche juste une déco de Noël avant de disparaitre on ne sait où. Beaucup d’motions (Mindy et Becky !) , de nostalgie en regardant le dernier match de foot. C’était une véritable torture de se dire qu’on ne verra plus ces ballons au ralenti avec ce public engagé dans chaque passe, chaque course. cette frénésie qui nous prend aux tripes chaque touchdown... je ne pensais pas que la partie football de la série aurait un tel impact émotionnel sur moi !

    A l’épilogue, on se dit que la série aurait encore pu continuer 1-2 ans faciles. Mais on se dit également qu’ils ont su s’arrêter au bon moment. que tout était parfait. Qu’ils n’ont pas essayé de nous faire une redite des premières saisons pour retrouver le même esprit qui passait par ses personnages. depuis la saison 4, c’était différent, mais vachement bien quand même. Paquets de mouchoirs utilisés : 8.5/10 (surtout à cause du finale)

    Conclusion

    J’aurai évité de parler du Coach et de Mrs. T. parce qu’il n’y a pas grand chose à dire. Ils étaient parfait, dans leur moment de gloire ou d’échec. Eric Taylor est un personnage tellement subtile, où ses regards veulent dire plus que milles discours. On ne sait jamais vraiment quand il est fâché ou amusé. Il a parfois l’esprit très ouvert, sauf quand il s’agit de sa fille. Et on ne peut pas dire qu’il aide ces ados pour faire l’âme charitable. Il considère que le football va pouvoir les aider, mais qu’en retour ils vont contribuer à l’équipe, pour recevoir un plus gros chèque à la fin du mois. c’est une méthode qui fonctionne et tout le monde est gagnant donc on peut dire que c’est un grand homme. Et sa femme, mais quelle femme ! Si vous avez un doute sur n’importe quoi, Tami a la solution. Et c’est tellement drôle de l’entendre parler avec ces bureaucrates de manière presque insultante, avec un amusement et une ironie subtilement amenée pour ne pas agacer. Elle sait jouer avec les règles. Et elle a un fond tellement bon, des convictions tellement fortes qu’on voudrait la voir présidente. Mais on va laisser cette chance à Tyra !

    FNL n’est pas un teen show. Ce n’est pas une série sur le football, c’est autre chose. Quelques chose qui n’est pratiquement pas exploité à la télévision ou alors seulement par à-coup, dans des épisodes spéciaux. Avec FNL, c’est les sweeps toute la saison. La série nous a émerveillé, déçu, surpris... mais définitivement conquis !

    Alors j’ai envi de lever ma bière et crier "Texas forever", mais ça n’aurait aucun sens, vu que je n’y ai jamais mis les pieds. Pourtant, j’ai l’impression d’y avoir laissé une partie de moi.

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