4.03 - Parallel Play
Sentiment mitigé, c'est plus que je ne sais pas comment juger cet épisode, qui me parait plus être (après un 4.02 où tout semblant repartir dans le bon sens) une prise d'élan avant un veritable saut vers le bonheur de chacun des personnages.
Evidemment ça peut faire bizarre de voir tout le monde heureux, mais c 'est bien ce que laisse sous entendre la devise de cette saison, donc pourquoi pas.
Ce que je trouve interressant dans l'épisode c'est pas ce que font tels ou tels personnages (et je ne suis pas d'accord avec ceux qui disent que la relation de Brenda est chiante) mais plutot ce qu'ils pensaient qu'ils allaient faire.
Keith a enfin trouvé un job de rève, mais une inattention et tout manque de lui passer sous le nez.
Claire est persuadé qu'elle a enfin trouvé un mentor fiable dans le personnage d'Edie or elle est prise de doute (ou de jalousie) lorsqu'elle la decouvre au lit avec une autre fille. Ses questions concernant la partenaire d'Edie au lit son pour le moins revelatrices.
Nate pense avoir enfin trouvé une relation dans laquelle s'épanouir pour finalement arretter de souffrir en pensant a Lisa sans arret, mais là aussi il s'est fait avoir et il se brule les ailes.
Pas du tout d'accord avec Feyrtys concernant la scène (très reminiscente d'Angels In America) du Pôle Nord, je ne sais pas ce qu'on devait déjà avoir compris avec les draps mais cette séquence me parait essentielle pour le personnage de Nate. Alors que justement on ne voyait que le coté aggressif de son deuil et que j'entendais déja dire que Nate était devenu con (Nate a toujours été con

).
Concernant Ruth et George c'est déjà différent, leur probleme va surement grandir avec le temps et l'indifférence des enfants Fisher concernant Georges risque de finir par frustrer le monsieur, sans parler du départ d'Arthur.
Oh Arthur, toi le truc le plus décallé et anachronique de tout l'univers, toi et ton "cottage cheese" etiquetté de ton patronyme, toi et tes parties interminables des Sims, toi et ton gilet-cravatte et lunettes a grosse montures noires. Toi Arthur, toi Martin, reviens nous mon lapin !
Voila c'était mon petit poème en prose pour Arthur
Ah Rico ... Rico, Rico, R-r-r-r-r-rico
Un sacret benet celui là, on en oublierait presque quel fils de pute il a toujours été, et ben pas moi, et c'est vraiment jouissif de voir à quel point il se fait ballader par le nez. Caaaaabronnnnnnn, Caaahaaabronnnn
Le Bonfire final me conforte dans l'idée que cet épisode (bien plus que le 4.01 qui était un épisode de fermeture et le 4.02 d'ouverture) est un épisode de transition. Et je suis quasiment certains qu'on pourrait plus facilement le juger a la lumiere des épisodes suivants, et que ceux qui ne l'ont pas apprecié le reverrons à la hausse.
Quoiqu'il en soit, cette série est un bijoux
PS : Formidable critique Feyrtys
Tu m'énerve tiens
