bubu a écrit :Parce que je conçois que tu puisse aimer cet épisode pour les raisons que tu cites. Mais de là à mettre 10/10 alors que l'épisode est bourré de trucs pas nets...
Non... Mais, malgrès ces incohérences, je dois avouer que j'ai pris mon pied devant cet épisode.
Un pied dingue, que je n'avais pas pris depuis le final de la première saison de 24! Evidemment, cet épisode avait des lourdeurs, mais elles sont inhérante au "style" de la série (comme je l'ai expliqué) et reprocher que la série est tourné de façon speed avec des ralentis et plein de cascade... bah... c'est un peu le but d'Alias non?
C'est comme si je mettais une sale note à Twin Peaks sous prétexte que je n'aimerais pas les nains qui parle à l'envers.
Ensuite, parceque j'avais envie... en vertu du pied que j'ai pris... de mettre un 10/10. Après tout, si je ne mettais pas 10/10 à cet épisode, je pense que je ne mettrais 10/10 à aucun épisode d'Alias.
Ca vallait bien le coup. De toute façon, comme l'épisode parfait n'existe pas, autant que ça serve quelquechose de mettre une note maximale.
J'ai réfléchi et j'ai compris : il ne s'agit en fait que d'une gigantesque blague.
La gigantesque blague... c'est qu'il n'y a pas de gigantesque blague.
bubu a écrit :* D'abord le titre : "
Ici on rase gratis " ; cela ne signifie pas, comme on pourrait le croire, que l'on démolit le SD-6. Non non : au second degré cela signifie que l'épisode est rasoir.
Perdu. Ca fait référence au SD-6 mais aussi à la plupart des intrigues qui y était liées (Sloane, la CIA, Fran...) C'est aussi un titre que j'ai trouvé à l'arrache quelques minutes avant de mettre ma chronique en ligne.
bubu a écrit :* Et puis le : "
Best épisode Ever " ; c'est trop excessif pour être vrai.
Non, référence à la chronique de Ju pour le même épisode dans EDUSA. (A l'époque je n'avais lu que le titre... a noter que les réactions sont à peu près similaires. Je trouve que ce que j'ai fait pour cet épisode ressemble à du Ju 2.0... c'est d'ailleurs un petit peu ce que je déplore.
bubu a écrit :* " Peu de séries peuvent se targuer d'avoir complètement changé leur fond et leur principe de départ, de façon crédible " ; mais qu'y avait-il dans Alias avant ? Des courses poursuites dans des couloirs et Rambaldi, autant dire rien du tout.
Non, là, tu me parle de la forme, moi je parle du fond
Le principe de la série (dans le fond) "avant Phase One était... je te le rappelle (comme dans chaque avant générique de plus.)
Sidney Bristow est un agent double qui bosse pour le SD-6 tout en étant un agent infiltré pour la CIA, avec son père lui aussi agent infiltré, sous les ordres de Sloane. De plus, elle doit bosser avec des gens qui font partit du SD-6 mais croient faire partit de la CIA.
Tout en menant une vie d'agent, elle cache sa vie d'agent double à son entourage (enfin, sa meilleure copine, qui dit des banalités) et poursuit des études (story line abandonné: on avait rien d'intéressant à dire là dessus.)
Tout ça n'existe plus et à été atomisé en 1SEUL épisode! (Et même pas une fin de saison.) Qu'on aime ou pas la série, ça reste vrai.
bubu a écrit :* Mais l'apothéose vient avec : " en cela que cet épisode fait date dans le monde des séries en règle générale " ; on croit que celui qui écrit la review a pété une durite ( "p'tain c'est qu'Alias quand même ; pas Twin Peaks, Prisonnier ou X-files... L'est fou l'aut'e éh..." ) alors qu'en fait on est pris dans le piège.
Bah, ouais. Un épisode d'Alias possède un épisode que l'on remarque.
Et oui, ça fait date, dans le sens où qu'on le veuille ou non, "Phase One" est devenu une référence. (Voir la dernière chronique sur le dernier épisode de la derniere saison des Sopranos par Lordy... ou quelques remarques dans éPIsodes... par exemples.)
bubu a écrit :2. Double AgentL'épisode te plaît pas mais tu mets 7/10 (pour la présence de Ethan Hawke) ; ça fait pas un peu beaucoup ?
Mais c'est toi qui vois.

Reformulons ça...
"Lorsque l'on lache un peu la continuité et que l'on accepte le scénario en tant que Stand Alone... cet épisode est finalement assez sympas." [/quote]