De retour dans la banlieue chaude de Paris, le 93. Pas chaude pour des raisons sociologiques, mais juste parce que la période de l’année où j’y passe le plus de temps, il fait généralement chaud à crever. C’est un département lourd, aussi, vu que, quand j’y suis, je porte un sac à dos de 15 kilos. Et il est peuplé aussi, au moins 150 personnes au mètre carré. Au moins.

Cette année, la presse est mélangée dans ses files d’attentes, dans ses salles. Ces gens étranges qui suivent la Japan Expo font cause commune avec ces autres gens étranges qui suivent la Comic Con. Le temps de la salle de presse immense quasi-réservée au Village est révolu. Nous n’avons plus de chez nous. Le temps n’est plus à l’opulence. C’est la crise (ou pas, je n’en sais rien en fait...).

La foule est présente en ce jeudi. Très présente. La venue d’Alexandre Astier ne peut y être étrangère. En milieu de matinée, la file d’attente menant au précieux sésame (un bon pour une dédicace du Roi Arthur) prenait déjà toute la largeur du hangar, ou presque.

Aujourd’hui, c’est donc l’Alexandre Astier Day, avec les signatures et la Master Class, que Le Village suivra en intégralité, en essayant, si le réseau le permet, de Live Tweeter l’évènement sur @LeVillage.

On n’a plus de chez nous, mais j’ai trouvé une petite table sympa où nous signerons aussi des autographes durant ce week-end, jusqu’à ce que quelqu’un de la sécurité vienne nous plaquer au sol.

Le point autographe Le Village...

ou pas

En y réfléchissant, on ne va peut-être pas tenter...