2x17 - Rosetta

Argh !
Je viens de finir de taper ma review du dernier Smallville, je valide... et tout plante. Arghhh !
Bon, je vais faire court, parce que cet épisode a beau avoir été très bon, je vais pas m’amuser à retaper deux fois une très longue review !

Pour être clair : l’épisode est superbement réalisé (voir la scène d’ouverture ou la scène de la grotte), la musique est magnifique (composition inédite de Mark Snow, plus les superbes thèmes musicaux de Superman composé par John Williams pour les films !) et l’histoire est tout simplement formidable.

Je passe sur Lana, Chloé et Lex qui ne font rien de vraiment intéressant pour changer, et j’aborde tout de suite ce qui fait l’intérêt de l’épisode.
Clark découvre ses origines !

Et il les apprends d’une manière magnifique, puisque c’est de la bouche même de celui qui a joué Superman durant 4 films, Christopher Reeve, qui interprête le rôle d’un scientifique milliardaire : le Dr. Virgil Swann.
Et la rencontre entre Clark et Swann restera ce que j’ai vu de meilleur dans cet série (juste devant la superbe scène de pluie de sang de Hourglass). Clark apprends son véritable nom, Kal-El, et celui de sa planète d’origine, Krypton. Il apprends également qu’il est le dernier fils de Krypton, et qu’il est donc unique, et seul à jamais.
Je ne suis pas de ceux qui pense que Tom Welling est bon danc son rôle de Clark, par son côté figé qui caractérise bien le personnage. Non. Pour moi, Welling est tout simplement un mauvais acteur. Mais dans cette scène, il m’a bluffé. Peut être était-ce le superbe thème de la Forteresse de la Solitude en fond sonore qui m’a fait cet effet, mais ses émotions étaient plus que clair, et il n’y a pas qu’à Clark que les larmes montaient aux yeux (oui, je sais, je suis une vraie gonzesse).

Seconde scène formidable de l’épisode, Clark et Jonathan qui découvrent le message laissé par le père de Kal-El dans le vaisseau. On apprends avec Clark qu’il a été envoyé sur Terre, en tant que Dieu parmis les hommes, pour utiliser sa force dans le but de nous conquérir. Et pour la deuxième fois de l’épisode (et de la série toute entière !), Tom Welling m’a bluffé ! Et il n’est pas le seul, puisque la réaction de Jonathan était tout simplement magnifique : personne ne peut dire à Clark qui il doit être, Jonathan le connait, il l’a élevé, il est sûr qu’il fera le bien dans sa vie... et on termine l’épisode sur un regard au loin de Jonathan qui en dit long.

Un très bon épisode, un début un peu lent qui introduit une conclusion vraiment formidable.