Fin du dyptique de début de saison.
Oui, je sais, le titre de ma review n’est pas très recherché mais que voulez-vous... Bref, voyons donc ce qui se passe dans cet épisode, selon le schéma établi dans la review de la première partie (c’est un défi personnel que d’écrire deux reviews de suite dans la même journée en suivant le même plan, donc si vous pensez que je ne suis pas original ou quoi que ce soit, vous vous fourrez le doigt dans l’oeil, c’est fait exprès et c’est pas par fainéantise ; non mais (...)
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Dead Zone
Johnny Smith mène une vie idyllique. Professeur de sciences physques, fraîchement fiancé avec Sarah qu’il connait depuis son enfance, au petit soin auprès de sa veuve de mère. Sa vie est parfaite...jusqu’à un accident de voiture qui le laisse dans un profond coma. Six ans plus tard, Johnny reprend conscience et découvre que la vie qu’il connaissait a disparu.
Mais Johnny lui-même n’est plus la même personne qu’avant : il se retrouve en possession d’étonnants pouvoirs psychiques qui lui permettent de voir dans la vie passée, présentes ou futures de ceux qu’il touche. Maintenant, il doit ainsi commencer une double quête initiatique : tenter de se refamiliariser avec une vie à laquelle il n’a pas participé durant six longues années et s’accorder avec ses nouvelles capacités - capacités qui pourraient bien se révéler être à la fois bienfait et malédiction...
The Dead Zone a été développée pour UPN par Michael Piller, producteur exécutif sur Star Trek : The Next Generation et co-créateur de Star Trek : Deep Space Nine. Finalement, la série basée sur le roman éponyme de Stephen King atterira sur USA Network devenant ainsi le plus grand succès série de la chaîne cablée américaine.
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