En Direct des USA

Accueil > Reviews > Saison 2002/2003 > Stargate SG-1 - Saison 6 > 6x12 - Unnatural Selection

Stargate SG-1

6x12 - Unnatural Selection

Sir, we can’t call it the Enterprise.

vendredi 6 décembre 2002, par Ju

Oui, un mois d’avance sur l’horaire... on peut remercier la diffusion anglaise d’avoir pris de l’avance sur les USA ! On y perd le 16:9, mais on y gagne du temps d’attente ! :)

Mais tout n’est pas merveilleux dans le meilleur des mondes. Déjà, la vie craint, mais c’est pas trop le sujet alors je vais pas disserter la dessus 107 ans.
Donc oui, où en étais-je... oui c’est ça : l’épisode n’est pas terrible ! Pas étonnant qu’il ne porte pas le même titre que l’épisode précédent, même si celui-ci se terminait bien par un cliffhanger et que celui-ci y réponds, il n’a vraiment rien d’une suite.

Donc tout était assez compliqué à la fin du dernier épisode : le Monde d’origine des Asgards avait été envahi par les Réplicateurs et l’aide de SG-1 était nécessaire pour se débarrasser de ces foutus crabes.
On s’attendait encore à un épisode bien bourrin, rempli de fusils et d’explosion... et j’ai été agréablement surpris, ce n’est pas le cas, et l’épisode par sur une base innatendue : une histoire de distorsion du temps.

Les Asgards avaient eut une bonne idée, en emprisonnant les Réplicateurs sur une planète où le système de distorsion du temps pouvait les ralentir au maximum (au sens littéral du terme), permettant de trouver une solution au problème pendant qu’ils étaient contenus.

Mais le système a eut un raté... et les Réplicateurs ont inversé le système, accélerant le temps pour eux et leur permettant de se reproduire et d’améliorer leurs capacités.

La mission de SG-1 est claire : retrouver le système, et le remettre en état de marche... en bref, s’infiltrer dans la place forte des Réplicateurs, remplir la mission et au possible survivre !

Ils arrivent sur la planète avec le X-303, dont l’Etat Major a rejetté la proposition de O’Neill qui voulait l’appeller "Enterprise" (mdr), et retrouve le système, mais sont arrêtés par des êtres d’apparence humanoïdes : des Réplicateurs ayant évolués grace au milliers d’années qu’ils ont vécut en quelques jours.

S’en suivent de très bonnes scènes où les Réplicateurs explorent les consciences de SG-1 pour apprendre tout ce qu’ils savent sur la Porte, les planètes qu’ils ont exploré, les Asgards, l’Univers. Le but est de les garder pour "toujours" pour découvrir le plus de choses possibles.

C’est sans compter sans un Réplicateur "raté" car trop humain, le n°5 (qui a vu "Appellez moi Johnny 5 ?"... bon, je digresse, mais c’est la même chose) qui les aide.
Mais pour cela, et c’est là que la fin est très bonne, Carter doit trahir le seul Réplicateur au caractère presque humain, qui ne se rend compte que Carter lui a menti qu’au moment où le mécanisme est remis en route, et que le temps ralenti à l’infini pour les Réplicateurs.

En bref, du bon, comme l’humour assez présent et très drôle ou les scènes où le n°1 est dans l’esprit d’O’Neill et du moins bon... bah comme le reste : les réactions bizarres des personnages, très décalés par rapport à d’habitude, les bases du scénario prises dans le précédent et qui ne sont pas terrible... j’espère que ça sera mieux la prochaine fois, mais en fait, je n’en doute pas !