Bof bof

Gros retard sur cette critique parce que l’épisode m’a pas du tout passionné et que je ne savais pas quoi en dire. Mais rien de rien à dire dessus. Ca n’a toujours pas changé mais une différence quand même. L’épisode suivant est passé et rétroactivement, on se rend compte qu’il est important de voir celui-ci qui serait la première partie de l’histoire et le suivant la seconde.

Bon alors, qu’avons nous à part du vide ? Bah rien. L’histoire est celle d’un condamné à mort le soir de son exécution. Il convoque McNorris et lui ordonne de, non pas le faire libérer, mais de commuer sa peine de mort en prison à vie. Et il ne demande pas cela gentillement avec des formules de politesse. Non, il fait duchantage. Si McNorris n’arrive pas à empêcher son exécution, un flic de Los Angeles va mourir. Et comme notre condamné est grand, fort et a un rire de psychopate, on fait ce qu’il veut. Intrigue super ultra crédible ! Surtout quand on apprend qu’en plus, McNorris n’était pas le procureur sur cette affaire et qu’il a suivi cela de loin comme mister nobody alias monsieur tout-le-monde. Bref, faut faire avec ce pitch de départ nul à chier et complétement invraisemblable.

Au moins, on se dit qu’on va avoir droit à un épisode sur Ray et Tom. Bah non. Même pas. On les voit mais ...
Les flics prévenus, réunion de crise au commissariat, super prudence et tout le toutim. Et voilà un nouveau bleu qui apparait comme ça : Vince Manzani. Il fait une drague lourde et masse les épaules de Karen Crane, la bleue dont Tom est tombé amoureux et qu’il "perfore" à l’arrière d’une voiture de patrouille dans l’épisode précédent. Bien sûr, Tom voit le manège de Vince et les petits gloussements de Karen. Détail nul limite soap mais important pour l’épisode suivant. Sinon, j’en parlerai pas.
Bref, on va suivre Vince avec Norwell, son coéquipier. Ok. Bingo, première intervention, piège et les voilà prisonniers, ce qui fait rire le psychopate dans le couloir de la mort qui le sait avec McNorris. Ben voyons ... Le pire est que le piège était gros comme un éléphant et que même moi je l’avais vu. Mais comme je l’ai déjà dis plusieurs fois, sont pas fut-fut dans ce commissariat.

Bref, voilà tout le monde qui se démène pour les retrouver et McNorris qui s’énerve d’être pris pour un idiot par le psychopate. Et voyant enfin comme moi que les flics de cette séries sont des brêles, il use et abuse de tous les moyens pour au moins repousser l’éxecution de quelques heures, temps nécessaire pour coincer les complices qui ne détiennent plus que Norwell puisqu’ils ont relâché Vince (prénom de psychopate dans les séries). C’est lent, c’est long, c’est ennuyeux. Les joutes verbales entre McNorris et le psychopate sont d’une platitude emplie de clichés et manque de rythme, on n’a du mal à suivre le raisonnement des flics et on assiste à une scène surréaliste où Ray emmène Tom voir un caïd / chef de gang encore plus cliché que tout.

Au final, ils retrouvent Norwell qui est mort dans la fusillade entre les méchants et les flics, un Norwell qui vient juste d’apprendre que Vince est un pourri et que c’est pour ça qu’il est le prisonnier. Et le psychopate se fait exécuter.

Youpi, c’est fini. Plus rien à dire.

Un petit récapitualtif avant d’attaquer le suivant meilleur :

 Vince est un flic pourri.

 Tom est amoureux de Karen qui n’est pas insensible à VInce.

 Un flic est mort.

 Ray oscille toujours entre une image de flic pourri et une image de flic accusée à tort d’être un ripou.