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1.17 - Black Men Can Jump

Caruso can’t act

Mort D’Un Enfant

samedi 3 janvier 2004, par Anthony

Oui, je sais, je poste cette recap avec un énôôôrme retard. Mais c’est pas ma faute, c’est mon chien qui avait mangé mon brouillon, et, heu, j’avais aussi perdu la k7, et...


Ouais, bon, d’accord, je sais, je n’ai pas de chien. Et je n’ai pas d’excuse valable à vous donner non plus. Je dois faire partie de ces TeX que notre rédac-pas-chef décrit dans l’édito, ceux qui postent leurs reviews/recaps avec des semaines de retard (ou plutôt des mois dans mon cas), ce qui fait que plus personne ne se souvient de l’épisode. Faut dire qu’en même temps, vous n’êtes pas nombreux à suivre cette rediffusion de NYPD Blues et/ou à lire mes reviews, donc personne ne se plaint de mon retard, ce qui d’un coté m’arrange pas mal ^^


Mais bon, assez bavardé comme ça, venons-en au plus important, l’épisode. Et je commence avec la partie la plus intéressante de cet épisode, où, comme par hasard, on y retrouve mon cher Andy Sipowicz.


Il reçoit la visite de Dominic Bucci, dont la fille, Jenny, est portée disparue. Celui-ci lui explique qu’en plus de la police (Andy à déjà travaillé sur cette affaire), il a engagé un détective, Dick je-sais-plus-quoi, pour essayer de la retrouver. Andy comprend facilement que ce Dick est un charlatan dont l’unique but n’est pas de retrouver Jenny, mais bien de plumer Bucci. Il décide donc de passer le voir à son bureau pour en savoir un peu plus et apprend que le détective fait appel à une voyante pour l’aider dans son "enquête". Il avait donc vu juste le Sipo.


Mais ce n’est pas tout, car Andy se rend également chez cette voyante, dont l’appartement est complètement rose (hum hum). Bon, chez elle aussi c’est du grand n’importe quoi puisqu’elle prétend ressentir des choses. Et tout ça grâce à vêtement qui aurait apparemment appartenu à Jenny. Bien évidemment, Sipo n’en croit pas un mot (et en plus, ça rime !) et se barre. Mais il n’abandonne pas pour autant.


Il rend donc une deuxième visite à Dick Tracy en jouant cette fois-ci le ripoux, qui veux lui aussi sa part du gain. Dick, qui porte plutôt bien son nom, tombe dans le panneau et propose 5000$, alors que Sipo voulait la moitié, à savoir 25 000$. Et il lui suffit d’une réplique hilarante ("Tu vas prendre un pain sans savoir d’où il vient et tu vas dire 25 000 avec ou sans tes dents" ^^) pour obtenir ce qu’il voulait.


Et comme on s’en doutait, Sipo portait un micro et a fait écouter la conversation à Bucci. L’épisode se termine sur une scène magnifique, où Bucci, plus désespéré que jamais, sonne à Sipowicz car il croit avoir entendu la voix de sa fille dans un appartement. Malheureusement, après vérification, il ne s’agissait pas d’elle et Bucci et Sipowicz repartent ensemble.


Voilà, si ça ne tenait qu’à moi, je terminerais ma recap sur ce dernier paragraphe, mais comme après tout je suis un TeX et que Sipowicz à un collègue, je suis presque obligé de continuer. Mais rien ne vous empêche vous de continuer à me lire. C’est vrai quoi, tout le monde s’en fout de Kelly, non ?


Non ? Bon, ben, j’y vais alors... Mais je fait vite.
Un meurtre, celui d’un gamin de 13 ans. Le père, veuf et effondré. Deux enquêteurs : Kelly et Lasalle. Une balance : Tashana. Et trois suspects aux surnoms plus que ridicules : C-Dawg, Prince et Shabazz.


C’est C-Dawg qui est le premier à être arrêté. Et donc le premier à avoir été balancé, puisqu’il est le "père" du bébé que porte Tashana. Il avoue avoir volé la radio de la victime (et oui, tout ça pour ça) mais dit ne pas avoir tiré. C’est ensuite au tour de Prince d’être interrogé. Rapidement, il balance le dernier de la bande, Shabazz, en le désignant comme étant le tireur.


Shabazz est donc interrogé dans une scène hilarante où Kelly joue (mal, très très mal) les durs sans pitié. Du genre : tu vas passer le reste de ta vie misérable en prison, le tout en lui retirant sa casquette d’un geste brusque. Dans le genre acteur pas convaincant pour un sou...


Après son petit numéro, Kelly se tire et laisse Lasalle seule avec Shabazz. Bon, en gros, elle c’est la gentille flic, qui est là pour l’aider et bla bla bla. Alors, je sais que c’est un cliché, que ça peut encore marcher de temps en temps, mais quand c’est joué par des acteurs aussi mauvais que Caruso et Wendy Makkena, ça devient complètement ri-di-cule. Surtout qu’après, cette simplette de Lasalle s’en va lui chercher un café, et le laisse donc s’enfuir par la fenêtre (qui n’a pas été réparée correctement mais je vous expliquerai plus tard). Du coup, c’est le père de la victime qui s’est chargé de retrouver le fugitif...


Mais heureusement, cet épisode est porteur d’une bonne nouvelle, puisqu’on y apprend que Lasalle à décidé d’être transférée aux services sociaux. C’est pas une bonne nouvelle ça ? Quand on plus on sait que Kelly va bientôt s’en aller aussi, je me dis que la saison 2 va être phénoménale sans ces deux boulets (enfin, ces 4 boulets, j’ai oubli é Laura et Licalsi, mais elles aussi s’en vont).


Bon, avant de finir, je dois vous expliquer le problème de cette fenêtre. Elle était censée être réparée par le réparateur qui était au commissariat en début d’épisode, mais il ne l’a tout simplement pas fait. Serait-ce à cause des remarques (plutôt justifiées) d’Andy (qui l’avait traité entre autre de glandeur) ?


De l’excellent Sipowicz. De l’hilarant Kelly (dans un histoire qui n’a rien de drôle, preuve qu’il est doué celui-là).