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Scrubs

3x15 - My Tormented Mentor

I love vagina !

samedi 6 mars 2004, par Eclair

A EDUSA, nous avons déjà Yaya, alors la guerre des sexes, on connaà®t... un peu. A la manière de cet épisode, nous allons tenter d’y voir plus clair. Les mecs, retirez vos mains et tendez la joue...ouf, vous avez évité la baffe, il n’est pas encore interdit de zieuter Elliot !

My Tormented Mentor’s in trouble, cauz’ U know ...

On avait quitté le Dr Cox dans un état pitoyable, et il est dur de se remettre d’un coup pareil. Alors pour redonner foi en la vie, rien de tel qu’une bonne guerre des sexes !

A la maison, Jordan a invité deux copines vampires (bisexuelles ?), et l’ambiance n’est donc pas à la joie. Ce n’est évidemment qu’à la fin de l’épisode que Perry aura sa révélation : c’est pour atténuer sa peine que Jordan a invité ses deux copines. Quel fin psychologue ce Perry ! Fallait lire l’article de Cosmo ou au moins faire le test psy de compatiblité entre un lion ascendant taureau et deux vierges descendant de la balance...

Dr Miller is an amazing hot chick !


Hum. Malgré la pression de Yaya pour que je change de titre, je maintiens. Avec un peu de bol elle lira pas la review. Ah zut, je crois que j’ai mentionné son nom dans l’intro.

Il suffit de voir la tête de Todd et Turk quand cette nouvelle chirurgienne, blonde pour ne pas arranger les choses, et qui de surcroit a le bon goût de ne pas copier la coiffure de Miss Cougar 2003, bref quand cette beauté fatale vient demander des renforts en salle d’op’, les langues pendent. Parce que hein oh, faut pas pousser, la demoiselle en détresse, on connaît, il y en a plein les magasines de certains/tous/la plupart (rayez la mention inutile) des membres du feuleuteu.

La femme objet sexuel ? C’est une vérité indéniable pour Todd, qui multiplie les coups d’éclats, redorant ainsi le blason de générations entières d’hommes opprimés par le rouleau à patisserie de bobonne.

Seulement voilà, il n’est pas le seul, le Dr Kelso subit lui aussi les foudres de la gente féminine. Ben quoi ? dans les années 70, c’était un signe de virilité extrême de taper sur les fesses des infimières. Pfff. Comment voulez-vous qu’on s’en sorte aujourd’hui, avec des plaintes pour tout et n’importe quoi ?

Et quand je dis tout et n’importe quoi, c’est qu’il y a même un zigoto qui porte plainte parce qu’on lui donne des prénoms de fille !
Hum. Bon. Là ok, c’est abusé, Perry n’est même pas capable de rattrapper cette lopette de JD sans le concours du Janitor ! Et ça se veut un farouche partisan d’Al Bundy ?

Non mais franchement dans quel état de décrépitude sommes-nous tombé ? Nous les mâles, nous devons subir des cours comportementaux de la part de Carla ? Nous les chirurgiens blacks nous devons nous excuser pour un comportement tout ce qu’il y a de plus innocent ? Et pire que tout, nous devons écouter en salle d’op’ une fausse rebelle teenager beugler qu’elle est "avec toaaaaa" ...

Bon je vous laisse, il y a ma moman qui veut que je l’aide à éplucher des légumes.

Tous au combat, mes frères !


Un sympathique épisode, qui prouve une fois de plus que les scénaristes de Scrubs ont tout compris : des allusions salaces, de la lingerie en veux-tu en voilà, une splendide chirurgienne, des scènes orgasmo-vampiriques...
Quoi ? il y a une morale ?