3x18 - His Story 2

Rentrons tout de suite dans le vif du sujet, c’est vrai quoi c’est pas mon genre de paraphraser pour faire concurrence à la review la plus longue de l’histoire d’EDUSA. Non non, ce n’est pas un concours interne à la rédaction. Non, nous ne sommes pas payés au mot près. Et non, je n’arriverais pas à écrire beaucoup de choses sur l’épisode d’aujourd’hui. Damned !

Faut dire que Scrubs commence à devenir routinier (oups, ça y est le mot est lâché !). Et contrairement à Strat’, moi la nuit, je dors. Comment ça quel est le rapport ?

L’occasion est trop belle de rappeler quelques storylines de cette saison (et des saisons précédentes) :

Au commencement il y eut JD, puis vint Elliot. Encore. Et encore.

Saison 1, JD est resté trop longtemps dans la case "ami" avec Elliot. Heureusement, ça ne les empêchera pas de faire des folies de leur corps.
Et puis... ils rompent. Parce que c’est comme ça, cherchez pas !

Saison 2, JD reprend les choses en main. Après avoir trop longtemps séjourné dans la case "ami", JD et Elliot partagent la même pizza au saut du lit. Et puis... basta !. Parce que c’est comme ça, cherchez pas !

Saison 3, vous l’aurez compris, JD et Elliot remettent le couvert. Bon ce coup-ci Elliot a un nouveau sous-tif’, et puis basta ! Parce que c’est comme ça, cherchez pas ! En fait non, il y a une raison, mais je veux garder l’effet de surprise à la fin de ma review.

Carla and Turk Forever. Forever. Forever. Forever.

Non,non y a rien à faire ces deux là RESTENT ensemble. Surprenant, non ?

Bon alors il la commence sa review, oui ou .... ?

Ok, ok, poussez pas comme ça.

Au commencement il y eut un mauvais clône de Strat’

Bon alors les gars là ça va pas, mais alors pas du tout.
Ca commence à se voir qu’on utilise les mêmes histoires.

Prenez par exemple Carla et Turk, on arrête pas de nous ressasser que ce chirurgien a peur de s’engager. Alors le coup des invit’ de mariage qu’il ne veut poster qu’à la fin de l’épisode, mouais bof. Et puis comme d’hab’, on entremêle ça d’un cas-clinique-parce-que-c’est-une-série-médicale-à-la-base. Non vraiment ça va pas du tout. En plus, Turk qui foire l’opération d’un pianiste, handicapant sa main droite, tout ça parce qu’il flirte avec le Dr Miller. C’est d’un goût. Bon alors énième morale de l’histoire, faut assumer, bébé !

Ah et puis "his story 2", le concept est très mal utilisé : autant faire parler Cox dans le précédent volet était intéressant, autant on se rend compte que Turk a peu de choses à dire. D’ailleurs , à l’instar de Carla, comme on a tous cerné le personnage, on devine facilement ses pensées, pas besoin de voix-off !

Et ça continue, avec Cox vs Kelso Round 2854 ! Ce coup-ci ils se disputent les faveurs de la bellissime chirurgienne Miller. Et personne ne gagne : elle n’agit que dans son propre intérêt. Ces histoires de "camp", c’est démodé ! Va falloir trouver autre chose, ça tourne en rond

Mais alors le fin du fin, c’est la scène shipper JD/Elliot, devenu passage obligé. Pas autant que les scènes de dents de cheval dans Alias, mais quand même. Vous me direz, une fois par an, c’est mieux que 3 fois par épisode... Enfin bon ça dépend du point de vue.

Bref, ce coup-ci, Elliot est en manque de Sean qu’elle réveille à 4 h du mat’. Et quand elle voit qu’une magnifique patiente est en couple avec un "Hobbit" (selon ses propres termes), elle comprend une chose : l’important, c’est d’avoir quelqu’un à ses côtés quand on en a besoin ! Allez hop, c’est reparti. Screugneugneu. Quand JD et Elliot se rhabillent, Sean débarque - il était inquiet - et reprend Elliot sous les yeux horrifiés de JD. Clap !

Je ne suis pas contre ces scènes de réunionite aîgue, mais ça fait pas avancer le schmilblick, et au bout de 3 ans... il y avait peut-être moyen de faire évoluer les personnages ?

Mais alors l’épisode, il était drôle ?

Oui ... et non. En vrac, quelques réparties intéressantes, la prise de catch de Laverne, JD le clown vs Janitor le clown...
Dans l’ensemble, ça passe assez bien, sauf pour deux gags assez moyens :
 JD, en costume de clown, doit annoncer la mort d’un patient. Et son noeud papillon se met à tourner...

 le combat Kelso/Cox conduit à l’arrachage des deux bras de Miller, avec giclées d’hémoglobine. Le tout dans l’esprit de JD, bien sûr.

Bon alors, le somnifère de Strat’ il marche ?

Euh...non. Et en plus il a des effets secondaires.