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Urgences
10x19 - Just a Touch
Farewell
jeudi 29 avril 2004, par
Ok ! Je le reconnais je me suis planté en beauté. J’aurais dû intervertir les titre des review du 10x18 et de celle-là, non parce que Pratt est vraiment un boulet. Quand on y pense j’aurais pu tenter de battre le record de Ju pour faire la plus longue review, il me suffisait de faire ça :
Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet, Pratt est un boulet…
En continuant sur 10, 20, 100 pages s’il le fallait.
Mais bon ça n’aurait pas apporté grand chose, à part me défouler un bon coup. Et encore, à l’épisode suivant je me serais encore énervé.
Non parce que je ne comprend toujours pas pourquoi Pratt est encore dans la série (à part que Mekhi Phifer doit avoir un bon agent), si au moins comme Spike dans Angel il montrait son torse tous les épisodes je pourrais comprendre. Il y aurait comme argument que ça affole les hormones des jeunes filles en fleur, bon, on pourra me rétorquer que le public d’Angel n’est pas celui d’ER (bien que je sois la preuve vivante du contraire, même si je ne suis pas une jeune fille en fleur, ni même une jeune fille, ni même une fille tout court), ok, pourquoi pas, sauf que Pratt ne se montre même pas torse nu, non, il ne fait que des conneries et il est toujours médecin au Coock County Hospital.
En fait si on réfléchit bien, Pratt c’est Morris (mais oui, Morris le rouquin qui ne sert a rien) et Morris c’est Pratt, alors ce qui serait cool c’est que les scénaristes nous fondent les deux personnages en un seul, un black roux qu’on appellerait Prorris. Et là, voir ce personnage ne faire que des conneries ça pourrait être marrant.
Par contre je reconnais que Mekhi est un bon acteur (au moins c’est pas front plissé, j’ai de la chance) quand il malaxe les seins de sa patiente sous le prétexte d’un examen médical (Un T.U.B.E : Totaly Unnecessary Breast Exam, d’où le titre de l’épisode : just a touch) il fait bien passer les expressions perverses que cela sous-entend, et puis l’actrice qui joue la patiente et elle aussi très bonne. Sur son visage on lit bien la surprise de sentir les mains du doc qui ne font pas que leur boulot.
Oui mais voilà, à part une remontrance de Kerry (qui a d’autres chats à fouetter) il n’a rien. Faut quand même pas déconner dans un pays où on peut attaquer en justice un McDo pour un café trop chaud, j’ai du mal à croire que Pratt s’en sorte aussi bien, surtout que c’est pas la première connerie qu’il fait ou dit ! (A côté le guignol de Barthez c’est un saint)
Bon bref, passons à autre chose.
Kerry à une bonne histoire. Comme je le soupçonnais la semaine dernière on la voit se (dé)battre pour la garde de son fils, et c’est loin d’être simple. Il y a d’ailleurs une très bonne scène entre elle et Abby où Kerry reconnaît qu’elle n’a pas le temps de pleurer Sandy, elle vient de perdre sa femme et doit se battre pour garder son fils et après une journée à se battre avec les avocats elle peut juste voir son enfant pour le week-end. Au moins, un des frères de Sandy compatit à ce qu’elle vit.
Abby, très bon, le coup de la rotation en psychiatrie c’est bien vu, et la manière dont elle dirige la séance plutôt pas mal, pour une fois avoir grandi dans une famille de barges ça l’a aidé.
Et puis la voir parler Klingon ça vaut son pesant d’or.
En plus Maura est sublime. Je ne sais pas si c’est la coiffure, ou autre chose mais il se dégage d’elle une certaine sérénité.
En tout cas mort de rire de voir Abby partir avec un biker sous les yeux médusés de Carter.
Abby avec de l’humour j’en reveux à chaque fois.
D’ailleurs heureusement qu’Abby et Kerry sont là parce que sinon l’épisode aurait été d’un niveau bouletique élevé.
Chen pas grand chose, à part que son père a l’air d’être un patient bien chiant.
Carter pas grand chose à dire à part deux bonnes scènes. Une avec Chen et l’autre avec Abby. Mais vu que Noah Wyle n’est là que par intermittence, on peut s’estimer heureux je crois.
Neela commence dans un nouveau service de recherche, mais là aussi elle n’est guère à l’aise.
Lizzy se fait prendre avec ses deux mecs et Stephen Saunders… Euh merde non c’est pas Saunders dans ER mais le Dr Jeremy Lawson, Saunders c’est dans 24 faut que je m’en souvienne bon sang, enfin bref ! Lawson tire la gueule vu que Lizzy part avec le père de famille. Ou là là comme c’est chaud l’histoire d’Elizabeth, et comme ça rend super service à son personnage, passé de la salle d’op à un double rencart ça c’est le top !
Luka… Ah Luka, je commence à m’inquiéter pour lui, avec cette histoire du père d’Alex qui revient il est en train de replonger vers sa tête de cocker qu’il avait avec Abby, c’est pas bon du tout ça, il faut que le personnage se reprenne, sinon ça va pas aller.
Par contre la review s’appelle Farewel tout simplement parce que Sharif Atkins disparaît du générique. Son envoi vers l’Irak n’était donc pas le début d’une storyline mais bien sa porte de sortie de la série, adieu donc à Michael Gallant, un des nombreux personnages à avoir été oublié lors des saisons précédentes, alors que le boulet a lui été gâté.
Episode moyen comme d’hab je pourrais dire, sauf que Pratt ruine tout, et ça donne un truc pas terrible à l’arrivée. M’enfin bon, il faut toujours un boulet par série.