4x16 - The Reigning Lorelai

J’adore Gilmore Girls. Vraiment. J’adore cette série. Non, non, ne commencez pas à rire en croyant que cette entame est ironique, car j’adore réellement Gilmore Girls. Voilà, c’est dit. Bon… mais maintenant que cela est dit, que diable voulez vous que je raconte sur un épisode pareil ?!

Il est bien cet épisode, attention hein… mais franchement je n’ai strictement rien à raconter après l’avoir vu (ni même des semaines après l’avoir vu dans le cadre du grand concours « En différé des USA » qu’Hobbes et moi livrons… et que je remporterai haut la main, personne n’en doute).

Résumons l’intrigue : Lorelai I, mère de Richard, vient de mourir. Emily se charge de trier ses papiers et d’organiser les funérailles pendant que Richard est au 36ème dessous. Emily découvre que Lorelai I ne l’appréciait tellement pas qu’elle a écrit une lettre à Richard l’enjoignant de l’abandonner au pied de l’autel le jour de leur mariage. Emily pète les plombs, Lorelai reprend l’organisation de l’enterrement au pied levé tandis que Rory découvre les faits de gloire son arrière grand-mère en en réécrivant l’œuvre. Les funérailles ne se passent pas trop mal, Emily décide d’oublier Lorelai I pour se rappeler que Richard l’a choisi comme femme, alors même que ce dernier se résout à laisser sa mère dans sa tombe. Tout est bien qui finit bien, c’est beau l’amour.

Voili voilo… Vous venez sur EDUSA pour des critiques pertinentes et intelligentes d’après ce que disent généralement les webmasters qui ont la gentillesse de placer le site dans leur rubrique Liens, je viens donc de vous donner de quoi méditer pendant de nombreux mois : « c’est beau l’amour ». Merci les scénaristes de m’avoir aidé à formuler cette pensée philosophique de première importance (et qu’on avait jamais entendu par ailleurs en plus).

Oh, je suis mauvaise langue, il se passe UNE autre chose dans cet épisode. Luke s’engueule avec sa femme (mais puisque je vous dis qu’il a bel et bien une femme ! Et puisque je vous dis qu’on s’en fout !) et tout Stars Hollow est à l’affût pour savoir où ils en sont. Plus proche de la fin que du début, ça paraît clair. Mais comme cette intrigue est aussi intéressante qu’un cougar dans 24, je crois que l’on peut dire sans trop se tromper que… l’on s’en fout !!!

Mais je le répète encore : l’épisode est bien. Simplement, il est totalement impossible d’écrire quelque chose qui m’intéresse réellement à son propos. Je vais pas disserter sur la mort d’un personnage auquel je n’ai pas eu le temps de m’attacher et pour lequel l’épisode a beau être bon, il n’est pas pour autant transcendant au point de nous faire nous interroger sur nos héros principaux. Ce qui arrive ici à Richard et Emily était franchement prévisible, il n’y a aucun nouvel apport quant à la psychologie d’un quelconque personnage. Bref, on est loin de Dear Emily and Richard (3x13).

Je tire lamentablement à la ligne depuis le début de cette critique, cherchant à sortir quelque chose d’intelligent, et je me rends compte que je n’ai toujours pas dépassé une page sous Word… Je me demande si je ne vais pas passer du format A4 au format A5 pour avoir l’impression d’avoir écrit un peu plus… Qu’est-ce que vous en pensez ? Quoi ? Ca change rien quand vous lisez la review sur le site ? Ah… oui, effectivement. Bon sang, c’est incroyable comme je n’ai rien à dire !

Tenez, je vous signale que Lorelai est très émue par la réaction d’Emily, assez logiquement après tout, et qu’elle prend le parti de sa mère en achetant une petite culotte absolument pas appropriée pour sa grand-mère. Sinon, Lorelai I était mariée à son cousin, du coup, Lorelai et Rory se demandent si cela peut avoir eu, a ou aura des conséquences sur elles ou leur descendance. Amusant. Mais j’avoue que je ne sais pas quoi rajouter de plus. Je vais tout de même pas vous raconter l’épisode scène par scène, ça n’a aucun intérêt !

(Courage, Oz, tu arrives au bout de ta page Word)

Bon, je crois que je n’ai vraiment plus rien à raconter sur cet épisode et comme je n’ai pas le talent de Ju ou Hobbes pour sombrer dans le nombrilisme compulsif de reviewers fous, je crois que je vais vous laisser et vous donner rendez-vous au prochain épisode.

En attendant, soyez sage, relisez mes critiques, et n’oubliez pas : « c’est beau l’amour » !